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entretiens et videos - Page 539

  • Olivier Delamarche et Philippe Béchade parlent de la répression financière

    Lors d’une assemblée de gilets jaunes, Olivier Delamarche et Philippe Béchade évoquent la répression financière dont sont victimes les travailleurs français.

  • « Prison ferme contre Dieudonné, Vincent Lambert assassiné » été 2019 avec Jérôme Bourbon

  • Politique & éco n°224 – Après la crise, nouvel ordre (ou désordre) monétaire international ?

    Revenu de base mensuel, hélicoptère monétaire, crypto monnaies, fin du cash, big data et IA, Facebook crée une monnaie…
    Olivier Pichon et Pierre Bergerault reçoivent Vincent Held, économiste suisse pour son livre : Après la crise (Editions Réorganisation du monde)

    1) Un modèle économique actuel à bout de souffle

    – Transformation du système économique mondial
    – Basculement du centre de gravité vers l’Asie
    – Crise financière et Intelligence artificielle
    – Les bulles vont crever
    – Perspectives alarmantes sur l’emploi : l’exemple suisse
    – Peu de réactions
    – Même le tertiaire, une bipolarisation de l’emploi, très qualifiés et sans qualifications
    – Le Tripallium : un symbole ?
    – Vers le revenu de base universel
    – Alliance contre nature des néo-marxistes et des grands capitalistes
    – Menaces sur les systèmes sociaux de protection maladie, retraites
    – L’hélicoptère monétaire
    – France stratégie et le rapport Villani
    – Klaus Schwab fondateur de Davos invite des marxistes au Forum

    2) La crise occasion du changement de paradigme

    – Attali et les « opportunités » de la crise
    – La BCE reprendrait le contrôle des opérations monétaires sur les banques commerciales
    – Le REPO, un produit à risque qui expose les pays vertueux à la dette des autres
    – Les changements ne sont pas affaire de droite et gauche
    – En Suisse, l’UDC favorable au revenu universel
    – La Banque d’Angleterre en pointe sur le nouveau système
    – BIG DATA, BIG BROTHER ?
    – Acceptation par les populations du contrôle de solvabilité, la fin du crédit place au financement coopératif
    – Réduction en vue de la taille des banques
    – Le modèle chinois de contrôle social
    – Fin du cash et taxe de liquidité, taxe sur toutes les transactions financières y compris entre particuliers
    – Observatoire européen des systèmes de santé, bons et mauvais comportements aux conséquences sociales, la carotte et le bâton
    – Vers des cryptomonnaies d’Etat ?

    3) Nouvel ordre monétaire économique et social ?

    – Le retour paradoxal de l’étalon or
    – Ces pays qui achètent de l’or : Russie, Chine, Allemagne et Turquie
    – La BCE utilise déjà la base de données pour les bénéficiaires de crédits
    – Vers la confiscation bancaire en cas de crise ?
    – Les 100 000 euros non respectés ?
    – L’Europe s’intéresse depuis longtemps à la blockchain, la Deutsche Bank aussi
    – Facebook et sa monnaie LIBRA, la BRI approuve
    – La santé, un dossier explosif – My health, my data
    – Big Data, Big Pharma !
    – Retour sur le RBU, une illusion d’optique
    – La Suisse s’y est opposée par une votation contre la classe politique
    – Les failles du RBU quand B. Hamon est d’accord avec Bill Gates

    https://www.tvlibertes.com/politique-eco-n224-apres-la-crise-nouvel-ordre-ou-desordre-monetaire-international

  • Simon Roche (Suidlanders) : « Nous nous attendons à une guerre civile en Afrique du Sud » [Interview]

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    Une guerre civile est-elle à venir en Afrique du Sud ? 
    C’est en tout cas ce que pensent de nombreux blancs, de plus en plus victimes d’une politique raciale folle menée contre eux par le gouvernement de la nation « arc-en-ciel ». 
    Première cible des autorités noires ? 
    Les fermiers blancs.

    Il y a deux ans déjà, nous avions interrogé Suidlanders, ONG de protection des blancs en Afrique du Sud, qui entend sensibiliser, notamment dans le monde blanc, sur le risque de génocide des blancs dans le pays de Nelson Mandela
    Simon Roche, représentant de l’organisation, mène actuellement en cette année 2019 une nouvelle tournée, aux USA puis bientôt en Europe, pour faire connaitre son organisation et les menaces qui pèsent sur les blancs en Afrique du Sud, dans l’indifférence générale en Europe, dont les autorités semblent avoir sombré, sur cette question comme sur d’autres, dans un aveuglement, volontaire, idéologique, au choix…

    Un entretien qui fait froid dans le dos concernant la situation en Afrique du Sud, et qui confirme les conclusions de l’excellent reportage, Farmlands, réalisé par Lauren Southern à ce sujet.
     


    Breizh-info.com : Que représente votre organisation désormais en Afrique du Sud ? 
    Simon Roche (Suidlanders) : Je représente Suidlanders — suidlanders.org — qui est une organisation de protection civile constituée en vertu des dispositions des Protocoles additionnels de 1977 aux Conventions de Genève de 1949 qui prévoient expressément que les groupes ethniques identifiables doivent se préparer à agir pour protéger le bien-être des civils en cas de conflit armé qui menace ces civils. 
    Comme vous l’imaginez probablement vous-même, nous nous attendons à une guerre civile en Afrique du Sud.
    Une guerre civile qui, inévitablement, se déroulera notamment via des critères ethniques, raciaux.
    Breizh-info.com : Nous sommes en juillet 2019. Quelle est la situation actuelle en Afrique du Sud ?
    Simon Roche (Suidlanders) : La situation en Afrique du Sud n’est pas bonne et elle s’aggrave. Notre fournisseur national d’électricité est en faillite, ce qui a entraîné de longues pannes de courant au cours des dernières années. 
    Les 44 stations de pompage d’eau qui fournissent de l’eau à la province de Gauteng  (12 % du PIB de l’Afrique) sont toutes détruites.
    Il y a exactement dix ans, notre monnaie valait 1/6 d’un dollar des États-Unis ; aujourd’hui, elle vaut 1/15e. 
    La valeur de TOUTES les terres agricoles du pays a chuté de 32 % (ce chiffre a été vérifié par notre parlement) en seulement 5,5 mois après que le président ait annoncé que le gouvernement allait commencer à exproprier les propriétés des Blancs sans compensation.
    Qu’il s’agisse d’éducation, de santé, d’administration gouvernementale, de logement, d’assainissement, etc., il en va de même.
    Breizh-info.com :  Il semblerait que les meurtres et les viols augmentent, contre les blancs dans votre pays, est-ce vrai ?
    Simon Roche (Suidlanders) : Oui, c’est vrai, surtout les attaques sur les fermes parce qu’elles sont éloignées et vulnérables. 
    Il y a eu une recrudescence soudaine des attaques et des meurtres dans les exploitations agricoles depuis le lendemain de nos élections nationales du 8 mai de cette année. 
    Mais la situation était mauvaise bien avant. 
    Et cela même si le gouvernement refuse de publier des statistiques sur les meurtres de fermiers.
    Selon l’Institut d’études de sécurité, le taux est de 145 meurtres pour 100 000 fermiers. 
    Afriforum, une organisation d’activistes et de lobbyistes, dit qu’il y en a environ 130 pour 100 000. Le Dr Gregory Stanton de World Genocide Watch affirme qu’il s’agit de 120 pour 100 000. 
    À titre de comparaison, le taux d’assassinats en France est de 1,35 pour 100 000 ; et le taux national d’assassinats en Afrique du Sud est de 35,9.
    Je ne suis pas un fermier, mais on m’a déjà tiré deux fois dessus. 
    Il y a quelques années, mon père a été contraint de s’agenouiller, prêt à être exécuté à l’occasion d’un vol de voiture, mais le pistolet s’est enrayé et les agresseurs sont montés dans sa voiture et sont partis, Dieu merci. En 2013, mon fils de douze ans a été violemment agressé alors qu’il rentrait de l’école ; la mère de mes enfants a été victime d’une double effraction et sa voiture a été dérobée deux fois. Tout cela uniquement dans ma famille proche. 
    Pouvez-vous imaginer cela ?
    Breizh-info.com :  En Europe, beaucoup de gens et de politiciens disent que les Blancs en Afrique du Sud ne sont pas légitimes dans ce pays et qu’ils doivent être punis pour l’apartheid. Que pensez-vous de ça ?
    Simon Roche (Suidlanders) : C’est peut-être vrai, mais dans ce cas, le peuple zoulou doit aussi être puni pour le génocide presque complet des Bushmen (San) dans les montagnes du Drakensberg (même à ce jour, tous les plus beaux exemples d’art rupestre Bushmen se trouvent dans les montagnes du Drakensberg, mais il n’y a plus de Bushmen). 
    N’oubliez pas non plus que la première rencontre entre les Bantous noirs (je ne parle pas du peuple autochtone San & Khoi) et les Blancs a eu lieu à la fin de 1777 — exactement 125,5 ans après l’arrivée des Blancs en Afrique du Sud, car les Noirs n’avaient jamais réussi à traverser la rivière Great Fish.
    Par conséquent, au moins 40 % de l’Afrique du Sud n’appartient pas légitimement au peuple noir (encore une fois, je ne parle pas du peuple autochtone)
    Les gens devraient également garder à l’esprit que l’Afrique du Sud était un pays très peu peu peuplé avec une population totale d’environ 2 000 000 d’habitants au milieu des années 1800 (toutes ces statistiques sont faciles à vérifier) et les rois noirs étaient donc très heureux de vendre leurs terres aux blancs. 
    C’est un fait, et peu importe si cela gène les politiciens de l’hémisphère nord occidental.
     
    Breizh-info.com : À nouveau, vous venez en Europe pour quelques mois présenter votre organisation et votre combat. Pourquoi ?
    Simon Roche (Suidlanders) : Nous voulons sensibiliser l’opinion à ce qui se passe réellement en Afrique du Sud afin de contourner la censure médiatique autour du mensonge qui entoure la « Nouvelle nation arc-en-ciel d’Afrique du Sud »
    D’une manière générale, nous pensons que la rhétorique des dirigeants noirs concernant une possible guerre civile et un génocide des Blancs doit être prise très au sérieux. 
    Les Afro-Africains noirs ne font pas de menaces en l’air, cela ne fait pas partie de leur schéma mental.
    Par conséquent, il est important que les blancs originaires d’Europe, c’est-à-dire les principales cibles des assassinats, et principales victimes de l’expropriation des terres et de la politique de discrimination positives, et ainsi de suite, s’unissent pour se protéger et envisager un avenir serein. C’est aussi simple que cela. 
    Si vous êtes une cible définie, ne devriez-vous pas au moins vous défendre ? 
    Et peut-être même vous préparer à vous défendre activement ?
    Breizh-info.com : Est-il possible que les Blancs et les Noirs vivent ensemble, en Afrique du Sud ?
    Simon Roche (Suidlanders) : Il n’y a aucune possibilité de cohabitation harmonieuse et égale entre Blancs et Noirs tant les cultures sont si différentes. 
    Cela sera toujours le cas (à l’exception de quelques personnes qui s’assimilent) et seuls un enfant ou un idéaliste qui ne vivent pas dans le monde réel pourraient croire l’inverse. 
    Nos ancêtres, les vôtres et les miens, n’étaient pas les idiots que les libéraux croient qu’ils sont.
    Propos recueillis par YV
    Crédit photo : DR
    [cc] Breizh-info.com, 2019, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

    breizh-info
  • Zoom – Jacques Bompard : « Pourquoi je suis à nouveau candidat à Orange »

    Alors qu’il vient d’inaugurer un important Mémorial de la Terreur révolutionnaire à Orange, l’ancien député de Vaucluse annonce en exclusivité sur TVL, sa candidature pour un cinquième mandat dans sa ville d’Orange. Jacques Bompard s’explique sur ce choix, répond aux accusations de système de type clanique et évoque la recomposition de la droite française au lendemain des européennes. Fort de son succès à la tête de la ville d’Orange, l’édile revendique une ligne directrice : »Travailler pour le Bien commun ».

    https://www.tvlibertes.com/zoom-jacques-bompard-pourquoi-je-suis-a-nouveau-candidat-a-orange

  • France : la disparition – Le Samedi Politique avec Barbara Lefebvre

     

    La disparition de la France avec Barbara Lefebvre

    Barbara Lefebvre est enseignante d’histoire-géographie. Avec son dernier ouvrage, C’est ça la France (Albin Michel), l’auteur nous livre un constat accablant de la situation du pays, entre mépris de soi et communautarisme. Un essai qui tire la sonnette d’alarme pour d’urgence renouer avec la Patrie.

    Les symboles dévoyés ou raillés

    Depuis plusieurs dizaines d’années, les symboles de la France sont voués aux gémonies… Associés aux fameuses « heures les plus sombres de l’histoire », les drapeaux tricolores n’ont plus le droit de citer dans la sphère publique en dehors des manifestations sportives. Un vide rapidement comblé par les identités de nations étrangères et les symboles européens.

    L’école devenue terreau du communautarisme

    A force d’adaptations et de révisions de l’histoire, l’Education Nationale ne remplit plus son rôle. Les élèves annoncent quand ils le veulent encore des poncifs bien-pensants où la repentance de la France tient un rôle toujours grandissant. Entre discrimination positive, culte victimaire et poids grandissants des Indigènes de la République, la machine à intégration s’est enraillée.

    L’explosion d’une nation

    Les territoires se morcellent, les populations se séparent, le communautarisme est désormais perceptible dans tous le pays. Entre les quartiers totalement défrancisés et les zones périphériques désertées par les services publics, le pays est devenu un amoncellement de zones de non-droit… Celles où le droit n’existe plus et celles qui n’ont plus le droit à rien.

    https://www.tvlibertes.com/le-samedi-politique-france-la-disparition-avec-barbara-lefebvre