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entretiens et videos - Page 582

  • Maurras, l'homme de la politique, L’homme de la cité par Jean-Baptiste Donnier

    Jean-Baptiste Donnier, Hilaire de Crémiers

    A la demande générale, nous reprenons ici l'intervention de Jean-Baptiste Donnier, professeur des universités - Maurras, l’homme de la Cité - lors de notre colloque du 21 avril dernier à Marseille. Cet exposé tout à fait important a été un moment marquant de cette journée de réflexion sur Charles Maurras. Essentiellement sur sa conception de la nation. Un appréciable instrument d'information ou, selon les cas, de formation. Bonne écoute !  LFAR 

    Réalisation de la vidéo : Paul Léonetti

    colloque Maurras - l'homme de la cité from Lafautearousseau on Vimeo.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2018/05/18/maurras-l-homme-de-la-politiqu-l-homme-de-la-cite-par-jean-b-6052291.html

  • Un grand entretien avec Philippe Randa sur le site Métamag

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    Source Métamag cliquez ici

    Écrivain, éditeur, chroniqueur politique, Philippe Randa (il est le fils du romancier Peter Randa) dirige le site internet Eurolibertés. Auteur de plus de 112 livres de genres très différents (essais, dictionnaires, études historiques et romans), il dirige depuis une trentaine d’années des maisons d’éditions diffusées sous l’enseigne Francephi (Dualpha, Déterna, L’Æncre). Ancien collaborateur du site Boulevard Voltaire, Philippe Randa donne actuellement des billets pour le quotidien Présent. Il est également sociétaire de l’émission Bistrot Libertés animée par Martial Bild et co-anime avec Roland Hélie l’émission radiophonique hebdomadaire Synthèse (avec Pierre de Laubier et Aristide Leucate). Philippe Randa nous fait l’amitié de répondre aux questions de Métamag. Il vient de publier Une démocratie hors de prix, préface d’Aristide Leucate (Éditions Dualpha).

    Rémy Valat : Une question me vient automatiquement à l’esprit : après avoir écrit autant de livres, comment se fait-il que nous n’ayez aucune visibilité sur les grandes chaînes télévisées ou dans les grands quotidiens ? Seriez-vous l’auteur le plus censuré de France ? Un mal-pensant parce que trop non-conformiste ?

    Philippe Randa : Je n’ai pas le culte de la victimisation et soyons honnête, pourquoi des médias avec lesquels, généralement, je ne suis pas tendre, me dérouleraient-ils un tapis rouge ? Ils ne sont pas plus masochistes que je ne pense l’être… Je ne hante pas les « grands médias » comme vous dîtes, et alors ? D’une part, on vit très bien sans médiatisation et à une époque où ces « grands médias » perdent continuellement de l’audience par manque de crédibilité, ça ne me semble pas si dramatique que ça… D’autant que j’ai tout de même la chance de pouvoir m’exprimer très librement à la fois sur nombre de sites internet (Synthèse nationale, Métamag), dans les colonnes du quotidien Présent et bien évidemment dans les différents supports du groupe Libertés… Je dirige depuis deux ans le site de la réinformation européenne EuroLibertés dont les articles – entre autres les miens, donc – sont énormément repris sur différents sites européens francophones (Les Observateurs.ch) ou traduits… Si on cumule toutes ces audiences, je me considère comme un auteur censuré extrêmement diffusé, non ? Quant à être ou avoir été « l’auteur le plus censuré de France », cela vient d’une campagne internet du journaliste Jean Robin qui avait comparé le nombre de livres écrits de certains auteurs avec leur présence sur les grands médias : j’arrivais (largement) en tête de ces auteurs incontestablement bien peu (euphémisme !) invité… Cette campagne a été assez bien relayée et à une époque comme la nôtre où la victimisation est pour certains la qualité suprême s’il en est, je me suis donc retrouvé, très ponctuellement, au top d’une certaine notoriété internet… qui m’a plutôt amusée !

    Vous avez commencé votre carrière comme romancier ; pourquoi avoir évolué de la science-fiction et du polar vers la politique et l’édition ?

    Je répondrais volontiers que j’ai d’abord été romancier pour faire « comme papa » et que tout naturellement, à cause de mauvais penchants politiques et d’occasions trop belles pour un larron comme moi, j’ai sévis différemment… Disons que j’ai commencé dans mes jeunes années par régler leurs comptes aux bandits et extraterrestres malveillants et qu’ensuite, je m’en suis pris aux malfaisants de la vie politique… C’est vrai que les premiers – criminels et monstres venus de l’espace – étaient nettement plus sympathiques que les seconds – politiciens et mondialistes… Et puis, peut-être aussi qu’à l’époque, j’avais un peu fait le tour de la littérature populaire et que passionné depuis toujours d’histoire et de politique, ceci explique cela… avec également des rencontres qui n’y ont pas été étrangères ; pour l’anecdote, c’est Emmanuel Ratier qui m’a convaincu de collaborer à Minute et Roland Hélie qui m’a présenté à Jean-Pierre Stirbois, alors secrétaire général du Front national, qui m’a ouvert les colonnes de National Hebdo… Et si parallèlement, je me suis lancé dans l’édition, c’était d’abord pour rééditer deux livres qui me tenaient à cœur : Les copains de la Belle étoile, le premier roman de Saint-Loup sur les auberges de jeunesse avant-guerre… et L’écrivain, la politique et l’espérance de Jean Mabire (que j’ai réédité sous le titre La Torche et le glaive) : avant d’y parvenir, j’avais édité ou réédité plusieurs autres titres et ensuite, comme ça a marché, j’ai continué… Il est très difficile de lancer une activité qui réussisse, mais parfois difficile de l’arrêter ensuite. Comme je peux assurer toutes mes activités de chroniqueurs, d’écrivain et d’éditeur, j’en profite et ne vais sûrement pas me plaindre…

    Vous avez dirigé un collectif d’auteurs et édité une série de trois volumes intitulée L’islamisation de la France. Fantasme ou réalité… Les tragiques événements qui ont endeuillé récemment la France appellent en effet à réfléchir sur cette question. Pourriez-vous nous apporter des précisions sur ces publications, ses contributeurs et son apport sur la compréhension du sujet ? Quel a été l’accueil des médias au moment de leur parution ?

    La place de l’islam dans la société européenne déchaîne les passions et malheureusement, trop souvent, donne l’occasion de dire ou d’écrire n’importe quoi : plus que les pamphlets ou les essais, j’aime les panoramas qui offre aux lecteurs des angles de vue différents – parfois contradictoires, et alors ? – sur un sujet. Et donc, j’ai sélectionné une cinquantaine de contributeurs – écrivains, journalistes, philosophes, acteurs ou observateurs de l’islam – en leur laissant carte blanche pour qu’ils donnent leurs points de vue avec honnêteté sur ce sujet tout de même extrêmement clivant… Personne ne s’est plaint de côtoyer des intervenants qui ne pensaient pas la même chose qu’eux et les commentaires qui ont accompagnés la sortie de ces trois volumes (aux angles assez exhaustifs sur la question : États musulmans, laïcité, athéisme, liberté d’expression, coutumes, mœurs, théologie, politique, djihad, entretiens, témoignages…) ont été parfaitement sereins, si ce n’est même extrêmement favorables. De toute façon, je suis comme mon ami et complice Roland Hélie un homme de « synthèse » : j’accepte les différences de chacun et cherche toujours ce qui peut rassembler plutôt que diviser. Les Français aiment se quereller ; « La France est un pays de guerre civile » répétait avec dépit l’ancien député et directeur de National Hebdo Roland Gaucher ; c’est vrai, mais on peut tout de même espérer changer les mentalités et croire comme Guillaume d’Orange qu’« il n’est pas nécessaire d’espérer pour entreprendre ni de réussir pour persévérer »… et qui sait si ça ne peut pas changer un jour ?

    Le combat métapolitique a-t-il selon vous de l’avenir ?

    S’il y a bien un combat qui a de l’avenir, c’est le combat métapolitique. Bien plus qu’un programme politique qui ne peut s’appliquer éternellement, aussi excellent soit-il… En France, les quarante dernières années du XXe siècle ont été dominé sous (étouffé par) la Pensée unique post-soixante-huitarde, celle qu’on appelait communément la « dictature intellectuelle de gauche »… qui a littéralement implosé au début du nouveau siècle, d’abord par la qualification de Jean-Marie Le Pen au deuxième de l’élection présidentielle de 2002 (même s’il a ensuite été largement battu, c’est symboliquement énorme), puis par la campagne électorale et l’élection de Nicolas Sarkozy en 2007 (et malgré les reniements idéologiques et les échecs économiques de son quinquennat). Certes, une nouvelle Pensée unique – celle des partisans de la mondialisation, pour faire simple – l’a remplacée, mais dans le même temps, cela a réveillé la conscience identitaire des peuples européens ; bien malin qui peut prédire la suite des événements…

    Comment expliquez vous le dénigrement et les tentatives de criminalisation d’une partie des médias internet de réinformation ?

    J’ai édité une excellente biographie du polémiste Henri Rochefort de Richard Dessens chez Dualpha ; on y découvre qu’au XIXe siècle, figurez-vous, les amendes et les peines de prisons étaient bien plus terribles qu’à notre époque. Ça n’empêchait pas que ruiné, en fuite, en prison ou déporté, tant qu’ils n’étaient que blessés et pas tués (ça arrivait plus souvent qu’on ne l’imagine !), Rochefort et bien d’autres continuaient de défier les Puissants… Quant on a conscience de ça, ce ne sont tout de même pas les insultes, les diffamations et les mensonges de ceux que nous affrontons qui nous ferons perdre le quart d’une demi seconde à se demander si on ne devrait pas plutôt aller planter des choux ou des betteraves à la mode… surtout celle de chez eux !

    Site EuroLibertés cliquez ici

    Site Francephi cliquez là

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/05/17/un-grand-entretien-avec-philippe-randa-sur-le-site-metamag-6052379.html

  • JEUDI 17 MAI, SCIPION DE SALM INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS

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    ECOUTER RADIOS LIBERTÉS CLIQUEZ ICI

    LES PRÉCÉDENTES EMISSIONS

    "SYNTHESE" CLIQUEZ LÀ

  • Perles de Culture #167 : Un russe nommé Poutine, portrait

  • NICOLAS DUPONT-AIGNAN : « LE GOUVERNEMENT INTERDIT TOUT DÉBAT DE FOND, C’EST INDIGNE D’UNE DÉMOCRATIE ! »

    Après l’attentat de samedi, dans le quartier de l’Opéra à Paris, qui a fait un mort, plus l’assaillant, et quatre blessés, Nicolas Dupont-Aignan réagit au micro de Boulevard Voltaire. Il pointe du doigt l’inaction du gouvernement qui s’exonère de toute responsabilité. Des mesures concrètes devraient être prises pour combattre le terrorisme, propositions figurant dans son projet de référendum d’initiative populaire sur l’immigration. À ce jour, seule Marine Le Pen l’a signé. Le député de l’Essonne revient sur cette nécessité d’union des droites, les réticences de Laurent Wauquiez et l’aveuglement des responsables LR.

    Suite à l’attentat dans le quartier de l’opéra ce week-end, vous avez exprimé sur les réseaux sociaux votre lassitude et pointez l’inaction du gouvernement.
    Pouvez-vous développer ?

    C’est très simple. Le gouvernement veut banaliser l’horreur et les égorgements mensuels de nos concitoyens. Le gouvernement veut interdire tout débat de fond sur la situation.
    Or, je sais qu’il y a des mesures concrètes, solides et sérieuses qui pourraient être prises et permettraient de resserrer les mailles du filet.
    Je suis effrayé de cette espèce d’esprit totalitaire de la pensée unique qui voudrait qu’on se laisse égorger sans rien dire.

    Faites-vous allusion aux paroles de Benjamin Griveaux qui soutenait qu’on ne pouvait pas prévoir ce genre d’action ?

    Oui. Si on regarde les 16 attentats depuis celui de Charlie Hebdo, on s’aperçoit que les terroristes auraient dû être, soit à l’étranger après avoir été expulsés, soit en prison.
    La plupart étaient fichés S, naturalisés ou rentrés sur notre sol sans avoir été contrôlés aux frontières. Bref, nous sommes dans une démission de l’État. L’État a une responsabilité et le gouvernement a une responsabilité. Cette manière de s’exonérer de toute responsabilité est indigne d’une démocratie.

    Vous proposez des solutions concrètes dont cette idée de référendum national sur les questions d’immigration. Que voulez-vous apporter de nouveau ?

    J’avais proposé à François Hollande 25 mesures très précises après Charlie Hebdo. Vous pouvez les retrouver sur mon site internet.
    La première est d’interdire tout retour de djihadistes de Syrie. Il faut savoir que près de 320 sont revenus et un certain nombre sont en liberté.
    La deuxième mesure fondamentale est de contrôler nos frontières.
    La troisième mesure est d’appliquer le Code pénal, dont l’article 411 est beaucoup plus sévère.
    Et enfin, il est nécessaire de mettre en rétention les fichés S les plus dangereux, de mettre des bracelets électroniques à ceux qui représentent un risque et d’expulser les délinquants et les fichés S étrangers. Si tout cela était fait, alors nous irions mieux.
    J’ai effectivement proposé un référendum sur l’immigration, parce que c’est le seul domaine où les Français n’ont jamais eu leur mot à dire. Je propose dans ce référendum cinq décisions fondamentales sur lesquelles les Français voteraient.

    Valeurs Actuelles a relevé que Marine Le Pen a signé ce referendum. Ils y ont vu un signe de bon augure pour l’union des droites.
    Pensez-vous que cela va dans ce sens ?

    Oui, je suis sensible qu’elle ait signé. Je regrette que Les Républicains ne le fassent pas alors qu’ils proposent le même référendum, mais sans l’avoir déposé devant l’Assemblée.
    Monsieur Wauquiez a repris mon idée, j’en suis ravi. En revanche, il demande au président de la République de convoquer un référendum. On sait qu’Emmanuel Macron ne va pas convoquer un référendum.
    Dans ce cas, la seule solution est qu’il y ait 185 signatures de parlementaires pour permettre de lancer une procédure de référendum d’initiative partagée ou populaire.
    4 600 000 signatures permettraient ensuite de mettre sur le tapis, devant l’opinion, une vraie question référendaire.
    Je demande à Laurent Wauquiez de donner la possibilité à ses parlementaires du groupe LR de signer ma proposition. Je sais que beaucoup d’entre eux veulent la signer.
    Que pensez-vous de la sortie de Virginie Calmels sur le fait que vous êtes toujours persona non grata et que vous représentez la ligne rouge à ne surtout pas franchir ?

    Je remarque de mon côté que les responsables jeunes de Virginie Calmels viennent de la quitter parce qu’ils en avaient assez de son sectarisme. Cette remarque est incompréhensible.
    Ces gens-là veulent-ils qu’Emmanuel Macron reste au pouvoir éternellement ?
    Être capable de s’unir, ne veut pas dire de se fusionner. Chacun reste avec son identité.
    En soutenant Marine Le Pen, Debout La France est resté totalement indépendant du Front National. Les gens le savent bien. Je ne demande pas à LR de fusionner avec Debout La Franceou avec le Front national. Je demande que nous travaillions ensemble à un travail commun et à une alternative politique.
    Je demande aussi que le pays passe avant les partis. C’est la seule solution, sinon nous serons spectateurs de notre action. Je demande à la base, c’est-à-dire aux électeurs, de faire l’union sur le terrain puisque les grands chefs n’en veulent pas.

    http://www.bvoltaire.fr/gouvernement-interdit-debat-de-fond-cest-indigne-dune-democratie/

  • Virginie Vota décortique les manipulations médiatiques au sujet de l’accord nucléaire iranien déchiré par Trump

    Virginie Vota s’emploie ici à lutter contre le prêt-à-penser au sujet de la décision de Donald Trump de déchirer l’accord nucléaire avec l’Iran. Elle met en évidence comment les médias français tentent de nous faire passer cela pour un exemple de plus du caractère capricieux de Donald Trump, alors qu’il s’agit bien évidemment d’une décision coordonnée avec Israël.

  • L'émission Synthèse du jeudi 3 mai sur Radio Libertés avec Patrick Gofman

    Les émissions Synthèse sur Radio Libertés cliquez là

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  • Paris, samedi 12 mai : images du colloque Mai 68 et le bien commun : utopies, échecs et perspectives

    Quatre-cents personnes, une vingtaine d'intervenants et des échanges de qualité : le colloque Mai 68 et le bien commun : utopies, échecs et perspectives fut une réussite !

    Un grand banquet a clôturé cet après-midi de réflexion autour du thème du bien commun.

    Un compte rendu et des vidéos à venir sont annoncés.

    Prochain événement : Université d'été de l'Action Française | CMRDS 2018 

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