
Comme le rapportent la RTBF et RTL info, plusieurs de leurs journalistes ont été agressés physiquement et verbalement lors des incidents. Ce dimanche soir, les deux rédactions ont fermement condamné ces violences.
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Comme le rapportent la RTBF et RTL info, plusieurs de leurs journalistes ont été agressés physiquement et verbalement lors des incidents. Ce dimanche soir, les deux rédactions ont fermement condamné ces violences.
Une entreprise allemande sur quatre envisage de déplacer sa production vers d'autres pays dans le contexte de la crise énergétique, a déclaré Tanja Gönner, PDG de la Fédération des industries allemandes (BDI), au média Die Welt am Sonntag.
par H16
Tiens, voilà qu’une Große Katastrophe se profile sur l’horizon teuton : on apprend qu’Uniper, la principale société allemande de vente de gaz et premier distributeur de l’entreprise russe Gazprom, doit faire appel à l’État allemand à hauteur de 55 milliards d’euros suite à une perte nette kolossale établie à 40 milliards d’euros depuis le début de l’année.
Un milliard d’euros par-ci, un milliard d’euros par-là et, rapidement, on commence à parler gros sous. En tout cas, à 55 milliards d’euros, voilà une somme rondelette qui va peut-être faire réfléchir Olaf Scholz sur les choix énergétiques opérés ces dernières années par l’Allemagne : manifestement, multiplier les efforts sur les énergies renouvelables revient un peu trop à multiplier aussi les approvisionnements en gaz et à se retrouver en fâcheuse posture lorsque la conjoncture internationale change un tantinet.
Bernard Plouvier
S’il ne s’agissait de morts prématurées d’êtres humains, les larmes de crocodile versées par les si utiles Eurodéputés de Strasbourg sur le « terrorisme russe » feraient hurler de rire et pour diverses raisons.
Toute guerre est par définition une cause de terreur pour les civils qui sont pris entre deux feux. Il serait bon de méditer l’une des rares phrases intéressantes de Karl v. Clausewitz : « La guerre est un acte de violence ; il n’y a pas de limite à la manifestation de cette violence ».
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Comme vous le savez, il y a dans ce monde de taux variables dans lequel nous évoluons, un petit village qui résiste encore et toujours aux légions bancaires.
Entouré de camps retranchés de banquiers, le petit village gaulois résiste et continue à fonctionner avec des crédits à taux fixes.
Les taux fixes permettent d’éviter les vagues d’insolvabilité à chaque fois que les taux montent et finalement les crises financières car les banques se retrouvent inévitablement fragilisées par le nombre d’emprunteurs en faillite qui augmente dans ces cas là.
C’est exactement comme cela que les banques américaines ont très largement tangué lors de la crise des Subprimes entre 2007 et 2010 et que la Lehman Brothers s’est effondrée dans un immense fracas qui a résonné dans le monde entier.
Kiev est plongée dans le noir et le contraste est saisissant entre d’un côté un triomphalisme médiatique avec l’Ukraine qui remporterait toute les batailles et une armée russe aux abois, et de l’autre, une capitale sans électricité pour laquelle la France envoie une centaine de générateurs électriques. Un don qui semble indiquer que les actuelles coupures qui frappent le pays sont parties pour durer...
Invité sur Franceinfo ce venrdedi, le président du Rassemblement national, Jordan Bardella, estime que "La France doit retrouver la maîtrise des prix de son énergie par la sortie du marché européen de l’électricité. L’Espagne et le Portugal l’ont négociée et vont ainsi bénéficier d’une énergie trois fois moins chère que la nôtre."
C’est en tout cas le constat dressé par Jordan Bardella lors d’une conférence de presse tenue ce 22 novembre, en cette même enceinte, appuyant là où ça fait mal.