
Tandis que la France s’effondre, entrainant les agriculteurs dans sa chute, Gabriel Attal exhibe dérisoirement sa jeunesse et son homosexualité. « Je suis né en 1989 », a-t-il tenu à préciser mardi devant les députés en introduction de sa déclaration de politique générale, lue au même moment par le quinquagénaire Bruno Le Maire devant des sénateurs hilares. Et le premier ministre a cru bon de conclure son long discours en rappelant : « Etre Français en 2024 c’est (…) pouvoir être Premier ministre en assumant ouvertement son homosexualité ». Or ces ficelles du jeunisme et d’un courage surjoué sont les artifices d’une communication qui n’abuse plus les gens sensés.





