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Europe et Union européenne - Page 458

  • Invasion migratoire : des milliers de manifestants à Bruxelles contre le pacte de l’ONU

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    Devant les institutions européennes à Bruxelles, ils sont venus clamer leur opposition au Pacte de l’ONU sur les migrations.

    Signé par la Belgique à Marrakech le 10 décembre, ce Pacte sur les migrations recense une vingtaine de principes dont l’intégration des migrants. Les manifestants souhaitaient dénoncer un texte qui pourrait encourager les flux migratoires incontrôlés.

    Coordonné par plusieurs organisations dont le Vlaams Belang, le rassemblement a réuni plus de 5000 personnes, selon la police.

  • Vous trouvez que l’Europe de l’Est est autoritaire ? Essayez l’Allemagne et la France

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    Par Paul Gottfried, professeur de sciences humaines au Elizabethtown College ♦ Le 17 novembre dernier, Polémia présentait l’indice Libertex au cours du 4e Forum de la Dissidence. Cet indice, prenant en compte de multiples facteurs, se veut un état des lieux exhaustif de la liberté d’expression dans plusieurs pays du monde. Cette publication a attiré l’attention d’un média outre-atlantique : The American Conservative. Nous partageons avec nos lecteurs la traduction de cet article rédigé par Paul Gottfried pour le média américain.
    Polémia

    Une étude récente conclut que les puissances occidentales libérales répriment la parole plus que leurs voisins « antilibéraux ».

    La prétendue plongée des pays d’Europe de l’Est, et en particulier de la Pologne et de la Hongrie, dans les griffes de régimes nationalistes autoritaires a fait l’objet de vives discussions. Cette préoccupation n’a pas seulement attiré l’attention anxieuse de nos médias de gauche, tels que le New York Times, le Washington Post et le New York Review of Books, mais elle a également suscité de vives réactions de la part des groupes de réflexion républicains de Washington, en particulier l’AEI et la Heritage Foundation. Tous deux ont fait des déclarations faisant état de leur inquiétude quant à l’orientation identitaire et antilibérale qui touche aujourd’hui la Hongrie de Orban, la Pologne et, peut-être de façon moins dramatique, l’Autriche et l’Italie sous des gouvernements de centre-droit. On peut penser que les pays d’Europe occidentale dont les gouvernements sont socialement libéraux mais pro-capitalistes sont mieux protégés contre la menace de cette peste de droite. En langage profane, cela peut signifier que ces autres pays européens sont considérés comme plus amis des élites politiques et économiques américaines.

    Compte tenu de ces attitudes qui prévalent aujourd’hui, il peut être utile d’examiner une étude française récemment réalisée par Libertex, une opération de sondage libertaire, sur la liberté des échanges d’informations dans divers pays européens. Cette étude comparative, qui examine l’ouverture d’esprit de divers pays européens à l’égard des opinions politiques dissidentes, fonde son enquête sur plusieurs critères. Parmi ceux-ci figurent l’absence relative de loi sur les discours de haine, un système judiciaire impartial (non politisé), la volonté ou non des gouvernements de demander à Google et à Facebook de censurer les opinions politiques inacceptables (une pratique qui, en Europe occidentale, cible presque toujours la droite), le nombre d’agences de presse et la possibilité de tenir des discussions ouvertes en dehors de la censure du gouvernement.

    Selon la plupart de ces critères, les États-Unis (avec un score total de 92,1) sont le pays le plus libre cité dans cette enquête, suivis du Danemark (81,8) et du Royaume-Uni (71,3). Mais curieusement, le mouton noir du PC West, la Hongrie (à 69,7), est juste derrière le Royaume-Uni, et est suivi par l’Italie (à 69,1). La Russie (51,1) et la France (46,4) clôturent le classement. L’Allemagne, qui n’est pas incluse dans l’étude, se classerait, selon toute probabilité, en bas de l’échelle, étant donné l’étendue de sa surveillance gouvernementale « antifasciste » et son recours à des lois interdisant toute opposition politique. (Pour plus d’informations sur le scandaleux « déficit démocratique » de l’Allemagne, j’ai recommandé mon ouvrage The Strange Death of European Marxism récemment réédité.)

    Le sondage, qui offre « une classification réaliste de la liberté d’expression », en particulier en France, « examine le côté sordide de l’ingénierie sociale antifasciste qui s’implante actuellement dans les démocraties occidentales ». L’Allemagne et la France ont de nombreuses lois sur les discours de haine : elles punissent la « banalisation » ainsi que la négation de ce qui est officiellement considéré comme un génocide. Les lois que Libertex qualifie de « lois mémorielles » (lois ou directives traitant de la mémoire historique inadmissible) incluent maintenant la criminalisation des conclusions malséantes sur le massacre arménien de 1915 que les universitaires, les enseignants et les journalistes sont tenus, sous la menace d’amendes élevées et d’éventuel emprisonnement, de considérer comme un acte de génocide.Les gouvernements français et allemand poursuivent aussi allégrement les détracteurs de l’immigration musulmane comme étant coupables de crime de haine. En même temps, ils encouragent habituellement ou tentent d’expliquer les diatribes antisémites et les actions impliquant des activistes musulmans. Les médias, avec la coopération des gouvernements progressistes, tenteront souvent d’associer ces attaques verbales ou physiques à l’ « extrémisme » de la population autochtone européenne. Selon Libertex, la censure ciblant les auteurs et les mouvements de centre droit fait rarement l’objet du même examen médiatique que les plaintes émanant de la gauche multiculturelle.

    Il semble également que des pays qui peuvent être répressifs d’une autre manière permettent parfois une étonnante variété d’opinions politiques. La vindicte de Poutine à l’égard de certains opposants politiques peut ne pas se traduire par une forme de censure aussi stricte et systématique que celle que l’on trouve dans la France multiculturelle ou dans l’Allemagne antifasciste. Contrairement à l’opinion libérale classique, toutes les libertés ne sont pas menacées de la même manière, même lorsque certaines d’entre elles rétrécissent. L’étude Libertex souligne également le fait évident que les pays « les plus libres » en termes d’expression ne sont plus aussi libres qu’autrefois. Même les gouvernements de pays aussi relativement libres que la Grande-Bretagne traitent parfois avec brutalité ceux qui entravent les efforts qu’ils font pour bâtir une société multiculturelle.

    L’étude Libertex présente peut-être une faiblesse qui consiste à utiliser au moins un critère douteux pour émettre ses jugements. Libertex prend pour norme de liberté la « pluralité des agences de presse » existant dans les pays qu’elle a évalués. Mais il est peu probable que les petits pays disposent ou aient besoind’autant d’agences de presse que les grands. Plus important encore, il n’y a aucune raison de supposer que l’augmentation du nombre d’agences de presse apporte une plus grande diversité d’opinions. Aux États-Unis et dans une grande partie de l’Europe occidentale, de grands conglomérats de presse et des agences de presse idéologiquement standardisées fabriquent et diffusent à la fois des opinions publiées. Souvent, ceux qui sont associés à ces chaînes ne sont pas plus soucieux de préserver la diversité de pensée que le gouvernement français que Libertex attaque bravement. Pour renouveler la liberté en Occident il faudrait que prolifèrent des médias sociaux non censurés qui offriraient la diversité d’opinions que certains d’entre nous exigent. Malheureusement, ceux qui dirigent Google et Facebook poursuivent probablement des objectifs très différents.

    Paul Gottfried 16/12/2018

    Source : The American Conservative

    https://www.polemia.com/europe-est-autoritaire-essayez-allemagne-france/

  • Des listes GJ aux Européennes financées par Macron pour faire plonger Marine et NDA

    jacline-mouraud.jpgCela semble de plus en plus probable, de plus en plus clair.

    2 listes GJ au moins seraient en train de constitution, et la Jacline qui ne se sent plus et lance des satisfecit au gouvernement en veux-tu en-voilà vient d’en parler. Elle se verrait bien député européen, l’accordéoniste… De là à se dire que depuis le début elle marche main dans la main avec le gouvernement et que c’est pour cela que sa video a été connue et a buzzé ?

    Cela ferait au moins 3 listes GJ. Pour le moment. Susceptibles de se fondre en une, évidemment.

    Et l’argent, me direz-vous ?

    Une liste GJ des patriotes anti-immigration, anti-islam, anti-Cop 21… (nous avons été sollicités) serait tout à fait possible légalement et pourrait sans peine, je pense, trouver 100 personnes pour constituer la liste. Sauf que… la campagne électorale coûterait, paraît-il, la modique somme de 2 millions d’euros, soit 20 000 euros par personne sur la liste. Alors, sauf à trouver un Mécène… C’est dans le lac a priori. Sans parler de problèmes d’éthique, puisque nous savons tous que ces listes ne serviront qu’à prendre des voix aux listes patriotes ( Marine, NDA, et Philippot).

    Mais les autres listes en discussion ne semblent pas rencontrer ce genre de problèmes…

    Et voici que nos confrères de Breizh-info émettent une hypothèse qui tient la route :

    […]

    Sans attendre, la LREM a commandé une enquête à l’institut Ipsos sur le score possible d’une liste des Gilets jaunes aux élections européennes. Le résultat va au-delà des espérances des macronistes. Une liste En marche ! MoDem recueillerait 21% , le Rassemblement national 14%, EELV 13%, les Gilets jaunes 12%, les Républicains 11% et les Insoumis 9%. Conclusion : la présence d’une liste des Gilets jaunes pourrait siphonner les voix de Le Pen et de Mélenchon. Déjà, deux listes « jaunes » seraient en cours de constitution (Le Canard enchaîné, 12 décembre 2018).

    Pour le financement de la campagne, Chalençon et compagnie n’auront pas de soucis à se faire. Grâce aux fonds « spéciaux », l’Élysée et Matignon y pourvoiront.Lorsqu’il était président de la République, Jacques Chirac avait monté une opération semblable avec « Chasse-pêche-nature-tradition ».

    Aux élections régionales de mars 1998, la CNPT avait décroché un élu dans les Côtes-d’Armor et deux en Loire-Atlantique. Au conseil régional de Bretagne, Josselin de Rohan avait même eu besoin de l’élu CPNT – un certain Gabriel Lopez , directeur de la fédération de chasse des Côtes-d’Armor – pour se constituer une majorité et devenir, de ce fait, président. Lopez fut récompensé de sa compréhension : il fut élu vice-président chargé de l’environnement, bien que ne représentant que lui-même.

    La technique utilisée par le pouvoir en 1998 pour affaiblir le Front national pourrait très bien réapparaître en 2019. L’objectif étant cette fois d’empêcher le RN-FN de terminer en tête… et de sortir gagnant de ces élections européennes. Selon le dernier sondage Ipsos publié par L’Opinion , c’est la liste du RN qui arriverait en tête avec 24% contre 18% pour la liste macroniste. De quoi faire réfléchir.

    C’est peut-être de ce côté-là qu’il faut chercher la raison de l’actuelle « modération » de Jacline Mouraud. Bien placée sur une liste Gilets jaunes, elle pourrait être élue député européen… 

    […]

    https://www.breizh-info.com/2018/12/16/107923/jacline-mouraud-gilets-jaunes-europeennes

    Une seule conclusion : Gilets Jaunes, faites gaffe, ne vous laissez pas manipuler, ne vous laissez pas instrumentaliser et priver d’avoir de vrais patriotes élus pour vous défendre sur les vrais sujets qui vous pourrissent la vie. Et demandez à vos camarades de combat qui se voient bien sur une liste GJ d’où vient l’argent…

    http://resistancerepublicaine.eu/2018/12/16/des-listes-gj-aux-europeennes-financees-par-macron-pour-faire-plonger-marine-et-nda/?fbclid=IwAR1IR0nrDx6gHsUZwTtv5WM-FChxJ3XI6X9xVqNCA02ldjHRpyCyNjSXwGs

  • La propagande immigrationniste du pacte de Marrakech

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    Le pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières a été adopté par la France sans débat alors que, dans d’autres pays, ce pacte a provoqué des débats parlementaires intenses. Le principal argument des défenseurs de ce pacte est qu’il n’est pas contraignant. Il est, effectivement, précisé dans le texte qu’il est juridiquement non contraignant. Mais des gouvernements xénophiles peuvent se faire un devoir d’appliquer le pacte. Dans ce cas, il devient contraignant dans les pays concernés. C’est, bien évidement, le cas de la France.

    La doxa immigrationniste constitue la base idéologique du pacte. Il est écrit : « Les migrations ont toujours fait partie de l’expérience humaine depuis les débuts de l’Histoire, et nous reconnaissons qu’à l’heure de la mondialisation, elles sont facteurs de prospérité, d’innovation et de développement durable et qu’une meilleure gouvernance peut permettre d’optimiser ces effets positifs. » Toutefois, les peuples européens concernés par les vagues migratoires ont du mal à discerner les « effets positifs ». Les viols commis en Allemagne par des immigrés récemment arrivés sont-ils des effets positifs ?

    Le pacte définit les moyens à mettre en œuvre pour favoriser les migrations. Il est précisé : « Définir des objectifs politiques nationaux à court, moyen et long terme en vue de l’intégration des migrants dans la société, notamment en ce qui concerne le marché du travail, le regroupement familial, l’éducation, la non-discrimination et la santé. » L’ONU veut ainsi imposer aux nations une politique migratoire laxiste. Par exemple, les États n’auront plus le droit de refuser le regroupement familial ni de s’opposer aux migrations répétées. L’ONU s’immisce, en plus, dans la politique éducative et la santé publique. Un gouvernement mondial de bureaucrates non élus se met ainsi en place contre les peuples souverains.

    Les propagandistes favorables au pacte cachent le contenu du texte. Il est mentionné ce que doivent faire les gouvernants : « Inviter les migrants, les responsables politiques, religieux et locaux, ainsi que le personnel enseignant et les prestataires de service, à constater et prévenir les actes d’intolérance, de racisme, de xénophobie et de toute autre forme de discrimination contre les migrants et les diasporas, et appuyer les activités menées à l’échelon local pour promouvoir le respect mutuel, notamment lors des campagnes électorales. » L’ONU incite les gouvernements à pratiquer une répression à l’encontre des opposants à sa politique migratoire laxiste. L’ONU se permet même de définir les orientations des campagnes électorales à venir. Le texte du pacte précise que cette politique est mise en œuvre « dans le plein respect de la liberté de la presse ».

    On atteint le summum de l’absurde et du mensonge. Cette politique ne peut pas être respectueuse de la liberté de la presse. Elle conforte, au contraire, la propagande institutionnalisée des médias cosmopolites et les actions liberticides contre la liberté d’expression sur Internet. Avec ce pacte signé à Marrakech, les Français peuvent constater que Big Brother ne se trouve pas à l’Élysée mais au siège de l’ONU. Il est, toutefois, évident que le locataire de l’Élysée va obtempérer aux injonctions de l’ONU contre la volonté d’une majorité de Français !

    Jean-Luc Tari

    http://www.bvoltaire.fr/la-propagande-immigrationniste-du-pacte-de-marrakech/

  • Bruxelles : les manifestants contre le pacte de Marrakech s’en prennent à la Commission européenne

    Bruxelles : les manifestants contre le pacte de Marrakech s’en prennent à la Commission européenne

    Une manifestation contre le pacte de Marrakech avait lieu aujourd’hui à Bruxelles, en Belgique où le gouvernement a explosé en raison de ce pacte.

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  • Manifestants nationalistes à l’assaut de la Commission européenne à Bruxelles

    Belgique – En marge de la marche contre le Pacte de Marrakech, de nombreux manifestants nationalistes ont pris pour cibles les bâtiments des institutions européennes et notamment ceux de la Commission.

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  • «Marche contre le pacte de Marrakech» à Bruxelles, dans une ambiance tendue

  • Les trois fléaux qui accablent les Français et les Européens

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    Ligne Droite cliquez ici

    La France va mal. Elle est victime de trois fléaux issus directement de l’idéologie politiquement correcte qui s’impose à elle depuis quelques décennies. Une idéologie qui provoque le chômage de masse, la destruction de nos valeurs et une immigration de peuplement massive et incontrôlée. Aussi les dirigeants du Système qui, malgré ces résultats calamiteux, continuent de mettre en œuvre cette idéologie, sont-ils directement responsables de la situation dans laquelle elle place notre pays. Une situation désastreuse mais qui ne relève pas de la fatalité puisqu’elle a été créée par des chefs politiques déloyaux que l’on pourrait chasser.

    Le fléau de l’ultralibéralisme international

    Les difficultés auxquelles est confrontée notre nation sont en effet directement liées à cette idéologie politiquement correcte qui domine la vie nationale. Sa composante ultralibérale soumet notre économie à la concurrence sauvage des pays émergents. Or, ne respectant aucune de nos règles sociales, fiscales ou écologiques, ceux-ci peuvent organiser un transfert de substance économique à leur profit qui se traduit pour la France par la désindustrialisation et le chômage de masse. Malgré la tentative de nos dirigeants d’atténuer les conséquences catastrophiques de ce phénomène par le recours massif à l’emprunt, cet ultralibéralisme conduit à un appauvrissement du pays qui ira croissant.

    Le fléau de la déconstruction des valeurs

    Parallèlement, les Français sont victimes du volet déconstructiviste de l’idéologie officielle qui s’en prend délibérément à nos valeurs fondatrices. Mise en œuvre au nom d’un prétendu état de droit qui pénalise les discriminations et professe un relativisme généralisé, elle cherche à supprimer les inégalités et surtout à gommer les différences. Ce faisant, elle s’en prend à tout ce qui structure notre société, comme la famille, la nation, le mariage ou encore le mérite, la préférence, l’autorité. Se met ainsi en place une société indifférenciée où ce sont les minorités qui dominent et où les repères traditionnels sont oubliés ou dénigrés, plongeant ainsi les Français dans un univers de moins en moins protecteur.

    Le fléau du mondialisme migratoire

    À cela s’ajoute le mondialisme, la composante la plus néfaste de l’idéologie officielle, celle qui provoque un phénomène d’immigration massive très semblable à une invasion suivie d’une colonisation à rebours. Car les immigrés qui s’installent en France le font la plupart du temps sans notre accord et ne cherchent nullement à se fondre dans notre peuple mais s’efforcent au contraire d’y promouvoir leurs mœurs et leurs traditions. Avec leur religion, ils ont même engagé un processus d’islamisation de notre pays qui vient bafouer des valeurs essentielles de notre civilisation. Atteignant des seuils critiques dans certaines portions du territoire, ce processus d’implantation étrangère qui dure depuis plusieurs décennies s’amplifie d’année en année, porté par les règles implacables de la démographie. Demain, si rien ne vient inverser le phénomène, les Français de souche ne seront plus majoritaires chez eux et notre civilisation aura cédé la place à une autre.

    Le Système, porteur de l’idéologie ultralibérale, mondialiste et déconstructiviste

    Une perspective d’autant plus préoccupante que l’idéologie responsable de tous ces fléaux est portée et mise en œuvre par l’oligarchie qui dirige notre pays. Composée des grands patrons, des hauts fonctionnaires, des politiques, des journalistes et des eurocrates, elle s’est érigée en un Système qui verrouille la vie nationale, imposant à tous cette idéologie ultralibérale, mondialiste et déconstructiviste qui s’affirme comme une pensée unique.

    Désireux d’aller vers un marché sans frontières où les grandes entreprises transnationales pourraient commercer en toute liberté sous la houlette d’un gouvernement mondial, ce Système ne jure que par le libre-échangisme dont il persiste à vanter les mérites. Mais il est favorable aussi à l’immigration massive et à la déconstruction des valeurs car l’une et l’autre détruisent la nation considérée comme le principal obstacle à l’avènement du monde globalisé qu’il appelle de ses vœux. Dans le même esprit, il s’appuie sur l’organisation bruxelloise qui a fait de l’Union européenne un instrument de dissolution et d’assujettissement des nations fonctionnant comme si Bruxelles n’était qu’une étape sur le chemin de la globalisation.

    Les dirigeants de la France, responsables des fléaux qui la détruisent

    Les fléaux qui accablent les Français ne sont donc pas le fruit d’une fatalité, ils sont voulus par les hommes du Système qui gouvernent notre pays à Paris comme à Bruxelles. Plus grave encore, les épreuves que rencontre notre nation constituent pour eux autant d’évolutions favorables à leur dessein. Aussi n’est-il pas étonnant que la France comme l’Europe restent paralysées face aux dangers qui les menacent : leurs dirigeants ne cherchent pas à les combattre.

    Devant cette situation aussi paradoxale que scandaleuse, Ligne droite estime qu’il n’y a cependant pas de raison de désespérer car la situation ne relève pas de la fatalité. Notre pays n’est pas frappé par une épidémie contre laquelle aucun remède ne serait efficace. Il est victime d’un projet conçu par des êtres humains et, ce que des hommes veulent et s’efforcent de réaliser, d’autres hommes peuvent s’y opposer et le défaire.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/12/15/les-trois-fleaux-qui-accablent-les-francais-et-les-europeens-6113199.html

  • La possibilité de changer l’UE de l’intérieur

    La possibilité de changer l’UE de l’intérieur

    D’Olivier Bault dans Présent :

    […] Lors d’un séminaire organisé le 28 novembre par le Club Grande Europe pour les médias européens, et en particulier ceux d’Europe centrale, sous le thème de « la fracture européenne Est-Ouest », Marine Le Pen a expliqué, selon ce qui a été rapporté par plusieurs médias polonais, que beaucoup de choses avaient changé depuis 2017, quand elle prônait un référendum sur le Frexit. Aujourd’hui se dessine en effet la possibilité de changer l’UE de l’intérieur grâce aux victoires électorales en Hongrie, en Pologne, en Italie et en Suède de partis souhaitant, comme le RN, une Europe des nations.

    Cette évolution du Rassemblement national français, semblable à celle de la Ligue en Italie, ne passe pas inaperçue dans les pays du Groupe de Visegrád. Lundi matin à la radio, le Polonais Zdzislaw Krasnodebski, député au Parlement européen et membre influent du PiS, exprimait, à l’instar de ce qui se dit dans les rangs de la Ligue et du RN, l’espoir que les élections européennes de mai prochain permettraient de changer le rapport de force à Bruxelles en faveur des partis hostiles à la vision de Macron et Merkel de l’Europe.

    Nicolas Bay, coprésident du groupe Europe des Nations et des Libertés, était à Varsovie vendredi dernier à l’invitation du Conseil national de la magistrature (KRS), pour une conférence organisée en commémoration du centenaire d’une justice polonaise indépendante. Il arrivait de Hongrie, où il avait eu des discussions confidentielles avec des membres importants du Fidesz. Devant un auditoire qui l’a chaudement applaudi, le député RN au Parlement européen a parlé de la politisation de la justice et de la judiciarisation de la politique en France et en Europe, dénonçant le « deux poids, deux mesures » de Bruxelles vis-à-vis de la Pologne. « Le chantage à l’Etat de droit n’est qu’un prétexte, puisqu’à bien des égards ledit Etat de droit est plus menacé dans certains pays d’Europe de l’Ouest comme la France qu’il ne l’est en Pologne », a conclu le coprésident du groupe ENF.

    Dans le même esprit, la présidente du RN avait estimé en octobre sur LCI que « la Hongrie de Viktor Orban est beaucoup plus démocratique que la France d’Emmanuel Macron », et c’est en effet le même totalitarisme progressiste, libéral-libertaire et européiste que dénoncent les partis dits populistes de droite en Europe occidentale et les dirigeants élus d’Europe centrale.

    Signe fort des alliances qui se dessinent, les pays du Groupe de Visegrad et plusieurs autres pays d’Europe centrale brillaient par leur absence lundi à Marrakech lors de la ratification du Pacte pour les migrations de l’ONU. Or à l’ouest du continent, ce sont justement les droites populistes qui, au contraire des partis élitistes traditionnels, dénoncent ce texte immigrationniste.

  • Des députés tchèques veulent interdire complètement l’islam qui prône «la haine et la violence»

    Islam-Czech-Republic-702x459.jpgLes dirigeants politiques de la République tchèque ont déjà condamné l’islam avec force. À présent, les politiciens du Parlement tchèque discutent de l’interdiction complète de la religion.

    Si quelqu’un réclame l’assassinat d’infidèles et de juifs, il ne s’agit pas d’une religion de paix, a déclaré le député Jiri Kobza.

    Lui et son parti, Freedom and Direct Democracy, qui est l’un des plus importants au parlement, estiment que l’islam n’est pas seulement une religion, mais aussi une idéologie violente qui devrait être interdite.

    Nous avons suggéré d’interdire toutes les idéologies qui promeuvent la haine et la violence. Une de ces idéologies est l’islam. Et puis nous avons le fascisme et le nazisme, dit-il.

    Il souligne que les musulmans ne veulent ni ne s’intégreront dans des sociétés non musulmanes. Ce n’est pas une migration, c’est une colonisation.

    Une forte méfiance à l’égard de l’islam existe dans l’ensemble du spectre politique en République tchèque, où seulement 0,5% de la population est musulmane.

    Nous ne voulons pas plus de musulmans en République tchèque, a déclaré le social-démocrate puis Premier ministre Bohuslav Sobotka lors d’un entretien l’année dernière.

    Même le président tchèque Milos Zeman, également social-démocrate, a fermement condamné la religion du Moyen-Orient.

    Il a notamment déclaré que l’islam n’appartenait tout simplement pas à l’Europe.

    En ce qui concerne le chaos de l’asile en 2015, Zeman a noté lors d’une critique de l’islam que les migrants musulmans qui ont ensuite pénétré en Europe étaient issus d’ une «culture de meurtriers et de haine religieuse».

    Sources : – Voice of Europe

    – Kristeligt dagblad