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Europe et Union européenne - Page 460

  • La patate chaude de Mario Draghi, président de la BCE

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    Marc Rousset

    Jan Hatzius, chef économiste de Goldman Sachs, dans une interview au Figaro le 19 janvier, vient de reconnaître les difficultés pour sortir de la politique monétaire de l’assouplissement quantitatif aux États-Unis car personne n’a de recul dans le monde. Pour la simple et bonne raison que la politique non conventionnelle de création monétaire mise en place par les Japonais, imitée ensuite par la Fed aux USA et la Banque centrale européenne (BCE) en Europe, est une grande première, car contraire au bon sens de nos pères, à savoir jamais d’obligations et d’actions dont la valeur est hautement spéculative à l’actif d’une banque centrale. Seules les conséquences de la politique de variation des taux d’intérêt ont pu être longuement répertoriées et analysées historiquement au fil des siècles.

    Mario Draghi a confirmé, en octobre 2018, que les taux d’intérêt négatifs de 0,40 % pour les dépôts des banques à la BCE seraient maintenus au moins jusqu’à l’été 2019, sans même envisager pour 2019, comme aux États-Unis, une politique de réduction des actifs détenus par la BCE. Draghi quittera ses fonctions le 31 octobre 2019 alors que, suite à la récession dans l’Union européenne, à la menace de banqueroute de l’Italie et de la Grèce, à la réduction de l’excédent commercial allemand de 8 % du PIB, son successeur n’aura plus le choix qu’entre l’explosion de la zone euro ou la nécessité de réimprimer de l’argent et de fuir en avant. L’économiste Charles Gave avait, il y a quinze ans, résumé ainsi la problématique de la zone euro : « Trop de maisons en Espagne, trop de fonctionnaires en France, trop d’usines en Allemagne. » Nous ajouterions à sa formule lapidaire : « Trop de déficits en Italie, trop de mensonges d’État en Grèce. »

    Il n’est pas normal que les taux d’intérêt des obligations à 2, 3, 5 et 10 ans convergent aux États-Unis. Plus l’échéance est longue, plus le taux d’intérêt doit être élevé, suite à l’augmentation du risque. En décembre 2018, l’écart entre 2 ans/10 ans n’était plus que 0,15 %, se rapprochant de l’inversion de la courbe des rendements qui a été jusqu’à présent toujours annonciatrice des cinq dernières récessions en 1974, 1980, 1990, 2001, 2008.

    Le monde doit aussi faire face à la fragilité des pays émergents endettés en dollars, à la guerre commerciale USA/Chine, aux prédictions du gouverneur Mark Carney de la Banque d’Angleterre sur le yuan comme future monnaie de réserve, à la dédollarisation qui a déjà commencé en Chine, en Iran et en Russie, à une Union européenne libre-échangiste mondialiste sans stratégie industrielle qui connaît le déclin et le chômage accéléré. En Chine, les faillites ont bondi de 60 % en 2018 ; les exportations et les importations ont baissé en même temps que la demande intérieure ; seul a progressé de 17 % l’excédent commercial avec les États-Unis, à 323 milliards de dollars.

    Quant à la France, depuis Mitterrand jusqu’à Macron, elle ne diminue pas structurellement ses dépenses publiques, se désindustrialise, ne met pas fin à la ruineuse et suicidaire invasion migratoire et se dirige tout droit, avec 17 % des jeunes Français sans emploi ni formation, vers la situation présente de l’Italie. Sa dette publique pourrait atteindre 120 % du PIB en 2025.

    La BCE vient de mettre à nouveau en garde la banque italienne Monte dei Paschi, soi-disant déjà sauvée des eaux par le gouvernement italien, pour insuffisance de fonds propres et de provisions des créances douteuses. L’Italie décroche. À prix constants, le PIB italien a diminué de 5,4 % entre 2007 et 2017. Le taux d’activité des Italiens en âge de travailler est de 58,7 %, contre 72,2 % pour l’Union européenne. La démographie catastrophique a pour conséquence que le nombre de jeunes pour 100 seniors est passé de 236, en 2007, à 99, en 2016. Le taux de chômage de 11,4 % est encore plus élevé qu’en France (9,4 %).

    L’Irlande du Nord vient de connaître une ruée vers l’or dans les officines de Dublin par peur du Brexit et de la chute de la livre, une pâle idée de ce qui attend les Français en cas de krach ou d’explosion de la zone euro.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/01/22/la-patate-chaude-de-mario-draghi-president-de-la-bce-6122989.html

  • Les élections au Parlement européen en mai 2019 seront décisives

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     EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Selon Viktor Orban, les élections européennes à venir au mois de mai seront l’occasion pour les États membres d’évoquer leurs points de vues sur le problème de l’immigration.

    Le Premier ministre hongrois, lors d’une conférence de presse la semaine dernière, a dit que « jusqu’à présent le seul pays qui a eu la chance d’exprimer ses opinions sur le problème de l’immigration était la Hongrie. Les élections au Parlement européen en mai seront une grande occasion pour les européens d’exprimer leurs opinions ».

    Orban a dit que la Hongrie visait à former une coalition de forces anti-immigration dans les institutions européennes, d’abord au Parlement, puis à la Commission européenne et enfin au Conseil de l’Europe.

    Le Premier ministre hongrois a insisté sur le fait que la Hongrie était le premier pays à démontrer que les migrations peuvent être arrêtées pour une longue période. Il a salué au passage les efforts du ministre de l’Intérieur italien Matteo Salvini notamment les liens étroits qu’il a tissés avec le parti polonais au gouvernement récemment.

    L’immigration a profondément changé l’avenir de l’Europe. Les pays avec une forte immigration n’ont pas d’autre choix que de discuter du seul problème de coexistence.

    https://fr.novopress.info/213317/les-elections-au-parlement-europeen-en-mai-2019-seront-decisives/

  • Gilets Jaunes et grand débat : le cautère sur une jambe de bois – Journal du lundi 21 janvier 2019

     

    Gilets Jaunes et grand débat : le cautère sur une jambe de bois

    Le grand débat n’y fait rien, les mobilisations de Gilets Jaunes se sont maintenues samedi un peu partout en France. Un nouveau désaveu pour l’exécutif qui peine à se sortir de l’ornière sociale.

    Chômage : le mal “français”

    Alors que le pouvoir d’achat et le chômage sont au coeur des préoccupations, l’OCDE révèle que près de 3 millions de jeunes sont à l’écart de toute activité productive. Un mal très français.

    Le Rassemblement National mise sur la France périphérique

    C’est parti pour la campagne des élections européennes. Le Rassemblement National organisait samedi son premier meeting de campagne au Thor, un village médiéval du Vaucluse. Un rendez-vous enraciné pour réorienter le mouvement sur la droite.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/gilets-jaunes-et-grand-debat-le-cautere-sur-une-jambe-de-bois-journal-du-lundi-21-janvier-2019

  • Les gilets jaunes manifestent à Namur et chassent l’équipe de RTL TVI

    En Belgique, quelques centaines de gilets jaunes ont manifesté à Namur ce samedi 19 janvier.

    Là-aussi, les médias du système ne sont pas les bienvenus et une équipe de télévision de RTL TVI a été chassée du défilé.

  • Traité d'Aix la Chapelle : c'est la France que Macron assassine.

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    Jean-François Touzé
    Secrétaire national du Parti de la France
    Ce mardi 22 janvier à Aix la Chapelle, sans qu'aucun débat national n'ait été engagé en France, Emmanuel Macron et Angela Merkel signeront un nouveau traité de « coopération et d'intégration » France/Allemagne visant à renforcer les liens entre les deux pays et accélérer les convergences en matière de sécurité, de Défense, de fiscalité, d'industrie, de commerce, d’éducation, de recherches, d'environnement, de climat, de santé et questions sanitaires, et de relations internationales. Un renforcement basé sur le socle du traité fondateur de l’Élysée conclu en 1963 par le général De Gaulle et le chancelier Adenauer.
    En 1963, le traité était signé à Paris, capitale d'une France ambitieuse et à la manœuvre qui concevait l'Europe comme un moyen de sa grandeur. Quelles que soient, par ailleurs, les fautes commises par Charles De Gaulle, fautes que nous n’oublions pas, il savait que la question allemande devait toujours être abordée par notre pays en se souvenant de cette affirmation nationale établie depuis Philippe Auguste, affirmation structurante d'une politique que les siècles ne peuvent abolir : « Le roi de France est empereur en son royaume ».
    En 2019, le nouveau traité sera signé sur le sol allemand. On aurait tort de n'y voir qu'un symbole.
    Là où le Traité de l’Élysée créait les conditions d'une étroite coopération entre deux Nations et deux États distincts aux destinées désormais communes, celui d'Aix la Chapelle imprimera dans le marbre un processus de fusion progressive voulu comme inéluctable. Un processus qui, par la force des choses, la faiblesse de nos dirigeants et la complaisance complice de nos « élites », ferait à terme de la France un Land annexé et de l'Allemagne la puissance dominante d'une Europe de la finance, de l'immigrationnisme et de la soumission au mondialisme (cf. le préambule du Traité : France et Allemagne, fermement attachées à un ordre international fondé sur des règles et sur le multilatéralisme dont les Nations Unies constituent l’élément central).
    La partie consacrée à l'Alsace-Lorraine est, à bien des égards, édifiante. Si le Traité ne conduit pas à la « vente » de nos deux provinces comme tend à le faire croire une interprétation simpliste (peut être volontairement simpliste, au demeurant, tant il est vrai que les officines du pouvoir savent user des fausses nouvelles et de l'outrance savamment orientée pour mieux discréditer une opposition), il met, en revanche, en place les conditions d'une germanisation linguistique et juridique menant, sous couvert de faciliter la vie des transfrontaliers, à une appropriation culturelle et économique allemande. Barrès et le Daudet de La dernière classe doivent se retourner dans leurs tombes.
    Outre la formalisation d'une pratique infâme instituée par Sarkozy d'ouvrir à intervalles réguliers les Conseils des ministres à un ministre de l'autre État, plusieurs éléments particulièrement inquiétants figurent dans le traité comme la création d'un comité permanent de Défense Franco/Allemand, source de paralysie future (faudra-il l'accord du Bundestag pour engager nos troupes sur un théâtre extérieur, ou pour procéder à des exportations d’armes ?) et dont on peut penser qu'il est destiné, à moyen terme, à ressortir la vieille idée de mise en commun de l'arme nucléaire française ; ou la mise en place d’équipes mixtes bi nationales au sein de nos représentations à l'ONU qui préfigurent le partage du siège français permanent au Conseil de sécurité et la codécision en matière de véto. (Article 8 : "Les deux États coopéreront étroitement au sein de tous les organes de l'organisation des Nations Unies (...) Ils mettront tout en œuvre pour aboutir à une position unifiée dans le cadre des organisations appropriées des Nations Unies". Et, toujours dans cet article 8 riche en enseignements, une affirmation en forme d'aveux qui en dit long sur ce qui se trame entre Paris et Berlin : L’admission à un siège permanent au sein du Conseil de sécurité de l'ONU est un objectif majeur de la diplomatie franco-allemande).
    On le voit, la philosophie de ce Traité est simple : ce qui est allemand reste allemand et s'impose à la zone euro ; ce qui est à la France sera, à terme transféré à l'Allemagne.
    Dès lors que le Traité sera signé, s'engagera un lent mais strict processus qui mènera inévitablement à la mise en œuvre des fins ultimes.
    Un Traité peut toujours être déchiré. Et la droite nationale ne s'en privera pas si elle parvient au pouvoir. Mais il est urgent en attendant que soient freinés les effets de ce « partage » consenti par Macron, partage étant en l'occurrence l'autre nom de la trahison. L'enjeu des élections européennes est aussi là.
  • Ceuta (Espagne): Le nombre de migrants mineurs a explosé de 446% en 2018

    Ils tentent le passage à la sortie de l’école, la plupart à partir de Tétouan ou de Tanger, où ils se glissent parmi les journaliers qui franchissement légalement la frontière de Tarajal. Selon l’agence de presse espagnole Europa Press, Sebta enregistré 3 344 entrées de mineurs étrangers non accompagnés (MENA) en 2018. Une augmentation de 446 % par rapport à l’année précédente. Tous, ou presque, sont marocains et sont des garçons. Les jeunes filles représentent seulement 1,2 % des arrivées. 

    Rien que la semaine dernière, le centre pour mineurs La Esperanza a recueilli 295 adolescents marocains…

    […]

    TelQuel

    http://www.fdesouche.com/1144769-ceuta-espagne-le-nombre-de-migrants-mineurs-a-explose-de-446-en-2018

  • L’avortement s’invite dans la constitution de la liste LR aux européennes

    L’avortement s’invite dans la constitution de la liste LR aux européennes

    François-Xavier Bellamy été interrogé hier dans JDD, notamment sur son opposition à l’avortement.

    “Cette question de l’IVG est une conviction personnelle que j’assume. Mais je comprends qu’elle ne soit pas partagée, et vous ne trouverez de ma part aucune parole offensante ni aucun jugement”

    Alors que son nom est avancé depuis quelques jours pour mener la liste des Républicains aux prochaines élections européennes, cette petite phrase a aussitôt été utilisée par la police de la pensée comme Marlène Schiappa :

    « Alors même que la France vient de lancer une campagne européenne pour la ratification de la convention d’Istanbul, voilà que les Républicains veulent envoyer au Parlement européen : un anti-IVG ».

    Aurore Bergé, porte-parole du groupe LREM à l’Assemblée nationale, a également appuyé :

    « ‘Jeune et brillant… et hostile à l’IVG’. S’il est choisi pour être l’incarnation de la droite aux européennes, c’est aussi à un choix de société et de civilisation que les Français auront à répondre. Aux législatives, déjà les électeurs lui avaient dit non ! ».

    Le philosophe sera-t-il défendu par LR ?… En attendant, il se défend en publiant un extrait vidéo datant de janvier 2018, dans lequel il exposait, sur France 5, son raisonnement sur le sujet.

    « Pourquoi est-ce qu’on ne pourrait pas se mettre tous d’accord pour se dire que ce devrait être un objectif public de santé publique de faire baisser le nombre d’avortements en France, et que notre système de prévention, aujourd’hui, n’y parvient pas »

    Vidéo intégrée
    Fx Bellamy
    @fxbellamy

    Le JDD cherche opportunément à m'enfermer dans une caricature. Voici simplement ce que j'ai répondu à une question sur l'IVG il y a quelques mois. Si se préoccuper sincèrement de ce qui touche tant de femmes suffit à se faire insulter, alors comment parler ensemble sereinement ? 

    1 590 personnes parlent à ce sujet 

    Et il interroge aujourd’hui :

    « Le JDD cherche opportunément à m’enfermer dans une caricature. Voici simplement ce que j’ai répondu à une question sur l’IVG il y a quelques mois. Si se préoccuper sincèrement de ce qui touche tant de femmes suffit à se faire insulter, alors comment parler ensemble sereinement ? »

    En attendant que les habituels frileux de LR le défendent ou hurlent avec les loups, cette polémique relance la question du droit à la liberté d’expression sur l’avortement :


  • Un traité franco-allemand passé entre deux chefs d’Etat en déficit de légitimité : les mariages forcés se terminent en général mal

    Un traité franco-allemand passé entre deux chefs d’Etat en déficit de légitimité :  les mariages forcés se terminent en général mal

    Communiqué de Mouvance France :

    Le traité franco-allemand que Macron et Merkel s’apprêtent à signer à Aix-la-Chapelle, peut-être d’ores et déjà tenu pour illégitime et sans doute mort-né.

    Il aura le contraire de effets escomptés car il aigrira les relations entre les deux peuples.

    Ce traité a été préparé en catimini, sans débat ; son contenu a été dévoilé par surprise quelques jours seulement avant sa signature.

    Il sera passé entre  deux chefs d’Etat  et de gouvernement en grave déficit de légitimité : Emmanuel Macron, empêtré dans la crise des Gilets jaunes dont la cote est au plus bas, Angela Merkel en fin de course,  gérant les affaires courantes. Triste caricature du traité franco-allemand, dit de l’Elysée, signé le 22 janvier 1963 entre Charles de Gaulle et Konrad Adenauer,  tous deux assis sur une forte  légitimité, mettant fin à un siècle d’hostilité entre les deux pays.

    Le partenariat franco-allemand, dans l’esprit du général  de Gaulle ne pouvait être qu’être équilibré ; or les Français ont aujourd’hui le sentiment qu’il est de plus en plus  déséquilibré. L’euro tel qu’il a été  géré  en est la principale cause : il  stimule fortement  l’industrie allemande et  entraine la mort lente  de l ‘industrie française. Les échanges , même agricoles, sont de plus en plus excédentaires pour l’Allemagne, déficitaires pour la France, sans  issue en vue.

    Comme s’il y avait un plan concerté d’affaiblir la puissance française, le contrôle de nos fleurons industriels dans les secteurs stratégiques, produits du génie national : Alstom, Nexter,  bientôt peut-être Naval-Group et d’autres est transféré outre-Rhin – ou ailleurs – sous prétexte de coopération. Airbus, issu de l’effort de  générations d’ingénieurs français,  échappe aujourd’hui à tout contrôle français.

    Le traité franco-allemand laisse voir le projet d’effectuer à terme la fusion des deux nations en un seul Etat : un Parlement, un budget, une armée. Il comporte un appui français à la revendication allemande d’un siège permanent au conseil de sécurité qui , même si celle-ci  n’a aucune chance d’aboutir,  apparaitra au monde entier comme un signe d’allégeance.  Macron espère, en s’appuyant  sur Merkel, entrainer les autres pays dans un ultime sursaut vers l’intégration supranationale. C’est le contraire qui va se produire : ce traité, qui n’est au demeurant pas conforme au traité de Lisbonne soumettant les coopération renforcées à l’aval des autres Etats-membres (article 21), ne pourra qu’exciter le ressentiment envers nos deux pays.

    Tout laisse penser que l’intégration projetée ne correspond ni de près ni de loin à la volonté de nos deux peuples. Il va d’ailleurs à rebours du sens de l’histoire qui voit partout le retour de nations soucieuses de maintenir leur souveraineté et de défendre leurs intérêts : Etats-Unis, Royaume-Uni, Italie, Europe de l’Est, Russie, Chine etc.

    Le peuples, comme les individus n’aiment pas la promiscuité. Les Allemands qui ont toujours refusé la notion de couple franco-allemand, trop familière à leur gré (ce dont les médias français qui répètent à tout va cette expression ne se sont jamais aperçus), le savent bien. Deux voisins qui s’entendent bien se détesteront vite si  les cloisons qui les séparent sont abattues. La réconciliation franco-allemande semblait une chose acquise. En nous obligeant à partager le même lit, Macron et Merkel la remettent en cause : les mariages forcés se terminent en général mal. 

    Le traité n’accorde qu’une place secondaire  à la  question de la langue : les Allemands savent de moins en moins le français et les  Français de moins en moins l’allemand. Macron lui-même qui se targue de parler bien l’anglais  n’a jamais fait l’effort d’apprendre un peu d’allemand. Il en résulte une ignorance réciproque grandissante  dont témoigne une oligarchie française  germanomane qui veut imiter tout ce qui vient de l’autre côté de Rhin mais ignore ce qui s’y passe.

    Que nos amis Allemands ne s’y  trompent pas : cette apparente germanophilie des prétendues élites françaises est moins le signe d’un  intérêt  pour l’Allemagne réelle que de leur mépris pathologique pour le peuple français.  Les Français avec lesquels leur gouvernement négocie dans le secret ne sont pas le peuple français. Ils ne l’ engagent pas. Qu’ ils prennent garde de ne pas subir le contrecoup du discrédit et de la haine qu’inspirent aujourd’hui à une majorité de  Français les dirigeants auxquels ils ont affaire. Loin  de rapprocher les deux peuples ce traité risque de les brouiller gravement.

    Ce traité constitue enfin un bras d’honneur aux revendications populaires :  il implique un renforcement de l’euro,  qui constitue la principale source de déséquilibre entre les deux pays et de la baisse du pouvoir d’achat dont se plaignent les Gilet jaunes, nullement xénophobes ou germanophobes jusqu’ici mais qui, devant tant de mépris, pourraient le devenir.

    https://www.lesalonbeige.fr/un-traite-franco-allemand-passe-entre-deux-chefs-detat-en-deficit-de-legitimite-les-mariages-forces-se-terminent-en-general-mal/

  • Bautzen (All.) : des inconnus ont planté des croix portant les noms de victimes tuées par des migrants

    Allemagne – Des croix ont été érigées ce week-end dans la vieille ville de Bautzen. Elles portaient des noms de victimes tuées par des migrants.

    Le Protschenberg à Bautzen est une destination populaire pour les randonneurs. De la colline de la Spree, vous avez une vue magnifique sur la vieille ville. Le week-end dernier, les Bautzener ont été confrontés à une action macabre.

    Des inconnus avaient érigé de grandes croix en bois sur un terrain. Selon la police, ils contenaient les noms de personnes tuées par des étrangers.

    La police a saisi un total de 23 croix en deux jours.

    Pour le maire de Bautzen, Alexander Ahrens (SPD), il ne s’agit pas seulement d’un délit administratif, qui a été commis lors de l’érection des croix. À son avis, l’incitation à la haine raciale est une infraction criminelle. M. Ahrens a déclaré qu’il n’était pas illégal de critiquer la politique d’immigration du gouvernement. Mais il est tout à fait illégal de dénoncer un groupe entier – les migrants – et dire qu’ils sont venus ici pour tuer des gens. « C’est une généralisation qui n’est pas permise et que je trouve absolument répugnante ».

    (…) mdr.de

    http://www.fdesouche.com/1144609-bautzen-all-des-inconnus-ont-plante-des-croix-portant-les-noms-de-victimes-tuees-par-des-migrants

  • Le parti AFD en Allemagne sous surveillance

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    EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    L’Office fédéral de protection de la Constitution (BfV) a annoncé mardi 15 janvier l’ouverture d’une enquête sur l’Alternativ für Deutschland (AfD, devenu en 2017 la principale force d’opposition au parlement avec 92 députés (sur 730).

    Selon le BFV, l’AFD menacerait, « l’ordre constitutionnel libéral et démocratique », c’est-à-dire qu’il porte atteinte selon ses détracteurs aux principes de l’État de droit. Si la décision est saluée à droite comme à gauche de l’échiquier politique allemand, la réaction des intéressés ne s’est pas faite attendre : les responsables du parti ont tenu une conférence de presse juste après l’annonce, annonçant leur intention de saisir la justice.

    Ils dénoncent une décision prise « sous pression politique », à l’orée d’une année électorale importante.