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Europe et Union européenne - Page 457

  • Le candidat nationaliste a dépassé les 10% à l’élection présidentielle slovaque

    Slovaquie – L’information est passée inaperçue en France mais à la mi-mars, aux élections présidentielles de Slovaquie, Marian Kotleba président du parti nationaliste L’SNS (Notre Slovaquie) a réalisé l’exploit de franchir le cap des 10%, se classant quatrième avec 10,6% des voix.

    Son parti mène en ce moment une campagne contre l’américanisation de la Slovaquie.

  • KOSOVO : L’EXEMPLE A NE PAS SUIVRE

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    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    Mercredi 20 mars dernier, il y a quelques jours, cela faisait 20 ans que les premières bombes  américaines et celles des  pays membres de l’OTAN dont, hélas, celles de la  France, tombaient sur la Serbie et sa province du Sud, le Kosovo.

    La Serbie fut notre alliée pendant la Grande guerre, il n’y a qu’à comptabiliser le nombre d’avenues Pierre Ier de Serbie qui existent dans certaines villes de France et de Navarre. Ces raids de bombardement qui durèrent pendant près de 80 jours, aboutirent à déposséder ce pays de sa province historique, le Kosovo, majoritairement peuplée d’Albanais, suite à un très fort différenciel de natalité  et à une sournoise et massive immigration. (Noter qu’Il y a aussi des Albanais en Macédoine qui constituent environ un quart de la population, ce quin’est pas sans poser des problèmes de cohabitation.) Et en plus, ce 20 mars coïncida avec la confirmation de la condamnation, par la Cour pénale internationale de La Haye, du leader des Serbes de Bosnie, Radovan Karadzic, à la détention perpétuelle.

    Comment expliquer ce « deux poids, deux mesures », si l’on compare son sort avec celui d’Hashim Thaçi, le leader des musulmans kosovars ? Que l’ex-Président de la Républika SRPSKA de Bosnie, Karadzic, ait une responsabilité dans le massacre de Srebrenica en compagnie de son chef militaire d’alors, le général Mladic, c’est plus que probable. (Au fait, que faisaient les troupiers de l’ONU, notamment Hollandais, qui étaient sur place ? Rien, rien, comme d’ailleurs ceux stationnés dans les années 1990 au Rwanda, ni comme les militaires français qui, le 5 juillet 1962 à Oran, restèrent l’arme aux pieds pendant la chasse aux Pieds noirs.) Mais ceci est une autre histoire.

    Thaçi aussi coupable que Milosevic ou Karadzic

    Il y a une Injustice dans le traitement de ces deux personnalités, à tout le moins manque de symétrie judiciaire, car le Président Hashim Thaçi du Kosovo, cet Etat bidon, Etat mafieux, est passé au travers des mailles des filets onusiens et otanien. (Kosovo, un « Etat » toutefois reconnu par une centaine de pays, - dont la France, toujours à la pointe d’une mauvaise action diplomatique, mais pas par l’Espagne, et on la comprend avec son problème catalan !). 

    Le chef de « l’Etat » kosovar est à tout le moins, le responsable présumé d’une entreprise de nature « criminelle ». Ce n’est pas moi qui le dis mais, notamment, la Suissesse Carla del Ponte, procureur général au TPIY, le tribunal pénal international sur l’ex-Yougoslavie, dans différents rapports adressés aux Nations unies. Elle y dénonça, en son temps, notamment les trafics d’organes et les prélèvements de sang effectués contre leur volonté sur des prisonniers serbes, miliciens ou civils. Le chef de l’UCK ne pouvait pas ne pas être au courant de ces actes « délictueux », pour rester correct. L’UCK d’Hashim Thaçi, était une organisation terroriste notamment soutenue par nos « bons » amis et alliés Allemands, qui luttait contre les Serbes pour arracher « leur » province à la domination de Belgrade. Les alliés pensèrent qu’il aurait été trop énorme de rattacher directement le Kosovo à l’Albanie voisine, alors ils préférèrent créer un Etat fantoche pour une période, sans doute transitoire. Les masques sont tombés et 20 ans après ce dépeçage, - le Monténégro se sépara aussi de la Serbie, faisant de ce pays une contrée sans débouché maritime -, la minorité serbe qui est restée, ne survit dans ses enclaves que grâce à la protection onusienne et à l’action désintéressée d’associations caritatives. On sait que le berceau de la nation serbe est niché ici, dans ce Kosovo, - pensons à la bataille perdue  de « Kosovo Polje » en 1389 -, majoritairement peuplé d’une population d’origine ethnique albanaise.

    Le « 9-3 », un Kosovo français ?

    Soudainement, en évoquant le Kosovo, je pense à notre Île de France, - allez savoir pourquoi ? -, et, notamment, à la basilique de Saint-Denis où reposent les restes de certains de nos monarques, basilique nichée au cœur d’un département, le « 9-3 », en voie d’islamisation définitive. La Serbie cogne à la porte de l’Union européenne et, un comble, à celle de l’OTAN qui tua, bon an, mal an, un grand nombre de civils innocents. Saluons tout de même au passage, une fois n’est pas coutume, la décision prise à l’époque, par Jacques Chirac, qui ne voulut pas que nos aviateurs bombardent Belgrade.

    Où en sommes-nous en cette période anniversaire ? Le Kosovo est perdu pour la Serbie, c’est clair. Mais il y a au nord la poche de Mitroviça, peuplée à 100 % de Serbes. Les présidents des deux pays se sont discrètement rencontrés pour discuter d’un éventuel partage territorial : un Kosovo amputé de Mitroviça  en échange de l’abandon de toute idée de souveraineté par la Serbie sur le Kosovo, et d’une vallée limitrophe peuplée d’une minorité musulmane. Et cet artificiel Kosovo n’ayant aucune capacité à vivre réellement en autonomie pourrait, à terme, se rattacher à l’Albanie qui, confidentiellement, ne souhaite que ça, réalisant ainsi son rêve de « Grande Albanie ». Le salaire immérité de son adhésion à l’Alliance atlantique ? D’ailleurs, les sentiments des populations, s’expriment par drapeaux interposés : les Kosovars n’arborent que très rarement l’emblème artificiel concocté par les instances mondialistes pour leur pays, mais carrément l’aigle noir à deux têtes sur fond rouge, les couleurs  de Tirana. Mais il y a un « hic » à cette solution qui serait, somme toute, de nature in fine, à pacifier un conflit territorial sans fin au cœur des Balkans : la sacrosainte Intangibilité des frontières. Pourtant, l’ex-URSS a bien éclaté en 1991, comme l’ex-Yougoslavie elle-même, sans oublier l’ancienne Tchécoslovaquie.  

    Comme d’ailleurs, en Afrique, le Soudan à qui a été arraché le  Sud chrétien et animiste, surtout pétrolier !, et l’Erythrée à l’Ethiopie. Et qui peut nous dire si demain, le Royaume-Uni ne sera pas désuni sous l’impact d’un « Brexit » dur, entrainant alors l’Ecosse dans la sécession ? Les Europhiles nous disent que le nationalisme « c’est la guerre ». La guerre, ce sont de mauvais traités qui la préparent. Est-il utile de rappeler que pour le second conflit mondial, tout partit des Sudètes, cette région peuplée à 100 % d’Allemands, qui « enveloppait » la Tchécoslovaquie, et de l’invraisemblable poche de Dantzig ? Sans oublier que le traité de Trianon amputa la Hongrie de l’ex-Empire austro-hongrois, d’au moins 50 % de son territoire ? Ceci donnant d’ailleurs l’occasion à Viktor Orban, de proposer la nationalité magyare à toutes les minorités hongroises vivant « hors de ses murs », en Slovaquie, Voïvodine et Roumanie. Même les pacifiques contrées comme l’Autriche et l’Italie vivent, parfois, une « guerre des nerfs » à propos du Sud-Tyrol pour les uns, du Haut Adige pour les autres, un même territoire germanophone. Pour ne pas déterrer la hache de guerre avec la défunte Italie fasciste, De Gaulle, si prompt plus tard à renier l’Algérie française mais à agiter les passions souverainistes au Québec, refusa d’annexer le Val d’Aoste, pourtant francophone à l’époque, pour préserver l’entente future avec Rome. Alors oui, « les mauvaises paix préparent les bonnes guerres ». Mais de nos jours, à tout le moins chez nous, dans cette partie encore « civilisée » de l’Occident européen, il ne serait pas utile de modifier la géographie politique, - oublions les querelles linguistiques de nos voisins belges et autres -, alors que des hordes étrangères, inassimilables par leur nombre, se ruent sur nos frontières, à l’exception notable désormais, de notre sœur latine, et de la Hongrie.

    Les Etats-Unis vont nous « larguer » ? Tant mieux !

    Les Etats-Unis, leader de la coalition qui détruisit l’intégrité territoriale de la Serbie, semblent changer de cap sous la houlette de Donald Trump. Ils s’éloignent et oublient apparemment, leur tropisme européen*, pour se concentrer sur leur traditionnelle « chasse gardée », l’Amérique latine. Parallèlement, ils regardent de plus en plus vers le Pacifique. Raison de plus pour les nationalistes, patriotes, identitaires et autres « lépreux » européens que nous sommes, de se concentrer sur l’essentiel, en oubliant des querelles de frontières dépassées… L’essentiel ? La sauvegarde de nos populations, la conservation de notre exceptionnel patrimoine civilisationnel, contre une envahissante immigration incontrôlée, majoritairement afro-musulmane, encouragée par une pseudo élite masochiste, trahissant sa pourtant traditionnelle  mission de conductrice de peuples.

    L’occasion pour les pays qui le veulent et le peuvent, de se grouper pour assurer une défense commune indépendante.

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  • Les leçons à tirer de l’assassinat raciste manqué de peu à Milan

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    Bernard Plouvier

    On imagine que tous les chefs de famille, que toutes les mères européennes autochtones connaissent l’information : le 20 mars, un « Italien » nommé Ousseynou Sy (en réalité un immigré sénégalais) a voulu immoler 51 enfants italiens, en mettant le feu au car scolaire dont il était le conducteur attitré.

    Prévenus, les carabiniers ont pu éteindre l’incendie, après avoir évacué les enfants avant qu’ils ne grillent, immolés au racisme de cet individu « en colère parce que des Noirs meurent lors de leur transit en Méditerranée »... un voyage que nul Européen ne leur a demandé de faire.

    La première leçon à tirer de cette tentative d’assassinat raciste, qui n’a échoué que de très peu, porte sur les emplois qu’il est dangereux, voire stupide de confier à des immigrés « bizarres » : armée, police, gardiennage de prison, mais aussi tout poste les mettant en situation de dominance sur des personnes qui ne peuvent se défendre.

    Comme un nombre non négligeable d’attentats racistes ou djihadistes ont été perpétrés par des immigrés qui ne posaient apparemment pas de problème – c’est-à-dire des individus sans manifestation psychiatrique évidente, non catalogués fanatique religieux ou proclamant haut et fort leur racisme anti-Blancs -, il est un devoir de précaution : celui d’interdire tout emploi sensible à « nos chers immigrés ».

    Et l’on rappelle que dans de très nombreuses « démocraties » (dont la France), aucun gouvernement n’a pris l’avis de la Nation souveraine à propos de l’immigration extra-européenne qui confine à l’invasion et s’avère, année après année, de plus en plus dangereuse.

    Non plus seulement par un risque de remplacement de population majoritaire – du fait d’une natalité bien supérieure à celle des Européens autochtones -, mais aussi par la multiplication des viols et des appels au meurtre de Blancs, par les attentats de mahométans et par des manifestations de racisme dirigé contre les Européens.

    On parlait autrefois d’importer des travailleurs et l’on a importé la haine raciale et le Djihâd !  

    Une autre leçon à tirer est celle de la nécessité, pour tout Européen, de se munir d’un téléphone portable lorsqu’il s’aventure en cité riche en indésirables, pour lancer en cas d’urgence un appel au secours.

    Cela s’est avéré efficace à Milan et on ne peut que féliciter les forces de l’ordre italiennes. Reste à savoir si, dans la France de MM Macron et Castaner, les policiers, surmenés à force de frapper et de mutiler du Gilet Jaune, réagiraient aussi vite et avec autant d’efficacité. Il faut l’espérer, car sinon l’on serait en droit d’imaginer que nos impôts et taxes, qui forment une charge non négligeable, sont détournés à d’autres fins que celle d’assurer la sécurité des honnêtes citoyens, raison première du Pacte social.

    Que l’on exige la fermeture des téléphones portables des élèves et des étudiants durant les cours, c’est une mesure logique. Mais que l’on interdise les téléphones portables à l’école, c’est une mesure stupide dans l’état d’insécurité des populations européennes envahies de sujets à-demi fous de haine. 

    Une fois encore, il est urgent de consulter les peuples d’Europe sur la nécessité de poursuivre l’immigration-invasion et sur l’option inverse, celle du Grand Retour à l’envoyeur.  

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/03/24/les-lecons-a-tirer-de-l-assassinat-raciste-manque-de-peu-a-m-6138459.html

  • Immigration : qui a dit que l’Occident était xénophobe  ?

    Le Pew Research Center a montré que, bien loin d’être une particularité occidentale, le désir de juguler l’immigration est commun à de nombreux pays : Ces dernières années, on a beaucoup écrit sur la peur de l’immigration en Occident. Par contre, ce qui n’a pas retenu beaucoup d’attention, c’est ce que des pays extérieurs à l’hémisphère occidental peuvent aujourd’hui penser de l’immigration. Quelle est l’opinion des Nigérians, Indiens, Turcs ou Mexicains vis-à-vis des migrants qui arrivent dans leur pays  ? On n’en entend pas souvent parler.

    Sur ce sujet, deux enquêtes récentes fournissent d’intéressants résultats. Le pourcentage de sondés souhaitant moins ou plus du tout d’immigrants dans leur pays était plus élevé en Afrique du Sud (65 %), Argentine (61 %), au Kenya (60 %), Nigeria (50 %), en Inde (45 %) et au Mexique. (44 %) qu’en Australie (38 %), au Royaume-Uni (37 %) ou aux États-Unis (29 %). Dans les vingt-sept pays passés en revue, moins du tiers des personnes interrogées déclaraient que leur pays devrait accueillir davantage d’immigrants. Une étude Ipsos MORI de 2017 sur les tendances « nativistes » (l’hostilité à l’égard de l’immigration) mondiales brossait un tableau similaire. Lorsqu’on leur demandait s’ils pensaient que leur pays serait « plus fort » s’il « stoppait l’immigration », davantage de Turcs (61 %) et d’Indiens (45 %) avaient acquiescé en comparaison avec les Britanniques (31 %), les Australiens (30 %), les Allemands (37 %) ou les Sud-Africains (37 %). Quant à la question « vous sentez-vous étranger dans votre propre pays ? » – un autre indicateur d’hostilité à l’égard de l’immigration –, 57 % des Turcs, 54 % des Sud-Africains, 46 % des Brésiliens et 39 % d’Indiens avaient répondu par l’affirmative. Les chiffres étaient moins importants chez les Allemands (38 %), les Britanniques (36 %) ou les Australiens (36 %). Enfin, 74 % des Turcs, 64 % des Péruviens, 62 % des Indiens et 60 % des Sud-Africains étaient d’accord pour dire que les employeurs devaient donner « la priorité » aux locaux plutôt qu’aux d’étrangers, contre 58 % des Américains, 48 % des Britanniques et 17 % des Suédois.

    Croire que le « nativisme » est réservé aux Occidentaux blancs est une idée reçue. Il s’agit en réalité d’un phénomène mondial qui est souvent plus fort dans les pays non occidentaux.

    (…) Le Point

    http://www.fdesouche.com/1180739-immigration-qui-a-dit-que-loccident-etait-xenophobe%e2%80%89

  • Samedi 6 avril, de 10 h à 18 h 30, à Paris : 6e colloque de l'Institut Iliade

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  • I-Média n°242 – Grand Remplacement : débat interdit

     

    Grand Remplacement : débat interdit

    Après l’attentat de Christchurch, les répercussions ont été énormes dans le monde médiatique français. Le Grand Remplacement ne semble pouvoir être évoqué que pour le nier.

    Zapping

    Cette semaine, Pascal Praud a organisé un débat entre Zemmour et Belattar. Plus d’une heure et dix minutes d’échanges, parfois très vifs, et une conclusion : le débat entre deux parties de la France semble impossible.

    Marche pour le climat : dérèglement médiatique

    Les médias semblent en admiration devant le mouvement des jeunes lycéens qui ont séché les cours pour lutter contre le réchauffement climatique vendredi dernier.

    Tweets

    La révolte des Gilets Jaunes n’en finit plus et cela semble faire perdre la tête à Anne Hidalgo qui souffre d’hallucinations au point de voir dans les Black Blocks d’extrême gauche des groupes d’extrême droite !

    Italie. Enfants attaqués, farniente médiatique

    En Italie, un chauffeur de bus d’origine sénégalaise a voulu tuer une cinquantaine d’enfants italiens pour venger les migrants. Le drame a été évité de peu. Les médias français ont pris leur temps pour évoquer l’attaque.

    https://www.tvlibertes.com/i-media-n242-grand-remplacement-debat-interdit

  • Règlement de comptes hypocrite à Bruxelles

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    Ainsi, donc, le Parti populaire européen et le Fidesz hongrois ont trouvé un habillage pour sanctionner le second, avec son accord, afin de ne pas trop gêner la prétendue « droite » européenne à la veille des élections.

    Ce règlement de comptes hypocrite et filandreux est à l’image de l’Union européenne. Celle-ci est une imposture dont le dernier livre de Philippe de Villiers révèle les arcanes : J’ai tiré sur le fil du mensonge et tout est venu. L’affiche montrant Juncker comme l’acteur politique au premier plan, et Soros comme l’inspirateur, en arrière-plan, complices tous deux de la submersion de l’Europe sous le flot des migrants, qui a été placardée en Hongrie n’est pas pardonnée. Entre deux libations, le grotesque président de la Commission bruxelloise a exigé l’exclusion du Fidesz hors du PPE et ne l’a pas tout à fait obtenue. Philippe de Villiers commente ainsi la rencontre du 27 avril 2017 entre Juncker et Soros : « Sur fond de drapeau étoilé, Soros tient la main de son vassal dans la sienne. Ce jour-là, il est venu parler de l’Ukraine, du Brexit, et il a aussi exigé que soit déclenchée la procédure de sanction contre le Premier ministre hongrois. Juncker a promis de s’exécuter. »

    La comparaison entre les hommes permet d’illustrer la dérive européenne par rapport aux intentions apparemment affichées à l’aube de la « construction », et trahies en fait dès l’origine. La première désillusion vient de la prétention démocratique. Au lendemain de la victoire des démocraties occidentales, on pouvait espérer que l’un des buts de la marche vers l’unité de l’Europe était d’y installer et d’y consolider les institutions de la démocratie, fondée à la fois sur la souveraineté des peuples et sur l’État de droit.
    Or, la confrontation entre Orbán et Juncker est celle d’un opposant déterminé à la dictature communiste qui a régné en Hongrie pendant 45 ans et qui est, pour la quatrième fois, Premier ministre élu par des majorités très confortables, avec l’ex-Premier ministre du confetti luxembourgeois, par ailleurs paradis fiscal, battu chez lui et recyclé à Bruxelles, qui ne détient, lui, aucun mandat populaire.

    Quant à l’homme de l’ombre, financier et spéculateur, à la fois américain et hongrois, il joue un rôle occulte dans les coulisses de la politique grâce à l’ONG qu’il préside, l’Open Society Foundation, et sa myriade d’associations annexes. Il n’a aucun mandat électif, mais son poids politique international est considérable, à la mesure d’une fabuleuse richesse à l’origine trouble. C’est, toujours selon Philippe de Villiers, le « fils spirituel » de Jean Monnet.

    Cette filiation met en lumière la seconde faille originelle de l’Europe. Elle est issue d’un renversement de la hiérarchie nécessaire entre la politique et l’économie. Même si le monde de la production, des échanges et de la consommation devait être entièrement laissé aux initiatives de la société civile, au jeu des intérêts privés et au dynamisme de la concurrence, il faudrait qu’il y ait un État qui garantisse la sécurité, assure la justice et protège le bien commun face aux appétits individuels. Le « père de l’Europe » panthéonisé » par Mitterrand n’était qu’un « petit financier à la solde de l’Angleterre », selon de Gaulle.

    Enfin, c’est au nom des valeurs que la « suspension » du Fidesz a été décidée. La Hongrie a inscrit les valeurs chrétiennes dans sa Constitution. On a fait croire qu’avec Adenauer, De Gasperi et Schuman, la construction européenne était avant tout un projet démocrate-chrétien. On sait, maintenant, qu’elle est la mise en œuvre d’une destruction systématique des États, de la souveraineté des peuples, de l’identité des cultures au profit d’un mondialisme où l’homme devient une marchandise, elle aussi exportable. Que cette trahison se fasse au nom de prétendues valeurs « humanistes » est le comble du mensonge européen !

    Christian Vanneste

    http://www.bvoltaire.fr/reglement-de-comptes-hypocrite-a-bruxelles/

  • Equinoxe de printemps… la roue tourne !

    caspar-david-friedrich-bis1.pngOn a évité le pire hier en Italie près de Milan avec la libération in extremis par la police d’une cinquantaine de collégiens, aspergés d’essence et ligotés dans leur bus scolaire par leur chauffeur. L’auteur de cette agression sauvage  est un sénégalais de 47 ans, Ousseynou Sy, naturalisé italien en 2004 malgré des antécédents d’agression sexuelle et de conduite en état d’ivresse. Il entendait protester contre le sort réservé aux migrants. Une autre prise d’otage vient également de s’achever, politique celle-là, celle des députés du Fidesz, parti du Premier ministre hongrois Viktor Orban. Les élus hongrois en question viennent d’être suspendus du Parti populaire européen (PPE), groupe quantitativement le plus important du parlement, auxquels appartiennent notamment les partis allemands démocrates-chrétiens et démocrates-sociaux de la CSU et de la CDU, les conservateurs autrichiens de l’ÖVP, les députés LR ou encore de Forza Italia.

    «Selon le président du PPE, le Français Joseph Daul, rapportait RT  hier, cette suspension signifie que le Fidesz n’aura, jusqu’à nouvel ordre plus le droit de participer aux réunions du PPE, sera privé de ses droits de vote et ne pourra pas présenter de candidats à des postes.» La décision a été prise par l’Assemblée politique du PPE, réunissant notamment Joseph Daul, les dix vice-présidents, la direction du groupe au Parlement européen et un représentant de chaque parti membre. Dans un entretien le 20 mars à la radio allemande Deutschlandfunk, le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, avait réclamé une fois de plus une exclusion de Viktor Orban du PPE, affirmant que «depuis des années», le Fidesz «s’éloign[ait] des valeurs démocrates-chrétiennes». «Sa place est hors du PPE», a tranché Jean-Claude Juncker, membre de celui-ci, mais qui n’a pas participé pas à cette réunion.

    Le gouvernement hongrois avait averti qu’en cas de suspension, le Fidesz «quitterait immédiatement le PPE ».«Il y a une chose qui est plus importante que la discipline de parti, c’est la défense des valeurs chrétiennes européennes et l’arrêt de l’immigration. Nous ne pouvons pas céder sur cela», avait tweeté le porte-parole du gouvernement hongrois, Zoltan Kovacs, au cours du mois de mars.

    Rappelons au passage qu’en septembre dernier, lorsque des sanctions avaient été décidées par les européistes, via l’adoption du rapport Sargentini, contre le gouvernement hongrois, le parti LR, tiraillé entre des tendances totalement contradictoires, avait étalé ses incohérences, pour ne pas dire son double-langage. Sur les 16 députés républicains affiliés au PPE, deux étaient (opportunément?) absents, 5 avaient voté pour le rapport Sargentini, trois seulement avaient voté contre et six s’étaient réfugiés dans l’abstention…

    Autant dire que cette supension-exclusion du Fidesz n’est pas pour étonner spécialement Bruno Gollnisch. En février dernier il notait que M. Orban refuse « la poltique migratoire que veut lui imposer l’Union européenne. Il dit que son pays n’est pas entré dans l’UE pour cela et du coup la Hongrie est très mal vue.» Or, M. Juncker n’accepte pas cette critique et a donc souhaité que le Fidesz soit exclu du PPE. Bruno Gollnisch notait aussi que si les députés du Fidesz étaient (encore) maintenus au sein du PPE c’était par crainte « de les voir aller vers Marine Le Pen, vers et nos amis italiens de la Ligue. Il est certain que si on veut les jeter dans les bras de notre ami Matteo Salvini, ce que j’espère vivement pour ma part (les caciques du PPE) n’ont qu’a continué comme cela! »

    Au-delà même de sa critique de l’immigration massive, il est aussi reproché à M. Orban « une politique familiale qui ne repose pas sur l’avortement massif, la promotion LGBTI, mais au contraire une politique familiale extrêmement audacieuse. Il a ainsi annoncé que les Hongroises qui auraient quatre enfants seraient exonérées à vie d’impôts, toute une série de prêts pour les familles qui s’agrandissent, des prêts bonifiés pour les jeunes ménages pour l’acquisition d’un bien immobilier. Bref, toute une série de mesures que je crois très utile et dont on ferait bien de s’inspirer. M. Orban a dit très clairement dans les pays de l’Europe de l’Ouest le seul remède qu’ils (les gouvernements, NDLR) voient à la dénatalité c’est le recours à l’immigration massive, nous nous avons besoin d’enfants Hongrois (…). Une politique volontariste comme je voudrais en voir en France.» Et  si M. Orban est accusé de tenir un discours de haine, cela est dû à ce volontarisme là, à son refus tout simplement de la «doxa immigrationniste»

    Nous le rapportions également, cette crainte d’un réveil des nations libres est perceptible dans le discours d’Emmanuel Macron qui il y a un an, en janvier 2018,  avait qualifié de « propagande » toute contestation de la doxa dominante, propagande a-t-il ajouté, « parfois même financée par certaines démocraties illibérales. »

    Cette notion de démocraties illibérales n’est bien sûr pas neutre et renvoi à l’alternative à cette construction européiste… foncièrement antireuropéenne dans son essence. Sur son blogue, Alain de Benoist indiquait alors que cette « notion d’ illibéralisme », «qui n’est pas antérieure à la fin des années 1990», «est extrêmement intéressante». «(Le président hongrois) Viktor Orbán s’y est référé en 2014 pour défendre l’idée que l’idéologie ne doit pas être l’élément central des jugements que l’on porte sur l’organisation de l’État. Les médias en ont conclu que le Premier ministre hongrois voulait justifier la dérive autoritaire de son régime (…) Je pense pour ma part qu’on devrait plutôt se référer au populisme : une démocratie illibérale est une démocratie qui prend la souveraineté du peuple au sérieux.»

    «Depuis des décennies, on cherche à nous faire croire que libéralisme et démocratie sont une seule et même chose. La démocratie libérale serait donc la seule forme possible de démocratie. Mais en réalité, c’est exactement le contraire (…). Lorsque le peuple comprend que ceux qui prétendent les représenter ne représentent plus rien, et que la représentation équivaut à une captation de la souveraineté populaire par la souveraineté parlementaire, il cherche à décider par lui-même de ce qui le concerne. Sonne alors l’heure de la démocratie illibérale. » La roue tourne!

    https://gollnisch.com/2019/03/21/equinoxe-de-printemps-la-roue-tourne/

  • Jean-Yves Le Gallou : « Si le réchauffement climatique est dû à l’homme, alors il faut lutter contre le libre-échange et l’immigration ! »

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    Le réchauffement climatique est-il une réalité ? Et si oui, l’Homme est-il en cause ? Alors que le climato-fanatisme semble balayer tout débat sur la question (Marche pour le climat, succès mondial de Greta Thunberg, etc.).
    Découvrez cet entretien avec Jean-Yves Le Gallou sur ces questions… brûlantes !

    Un phénomène observable incontestable

    Polémia : Tout d’abord, est-ce que le réchauffement climatique est une réalité ?

    Jean-Yves Le Gallou : C’est assurément une réalité en Europe. C’est une réalité depuis la sortie du petit âge glaciaire, c’est-à-dire depuis un peu plus de deux siècles. On voit par exemple que les glaciers reculent en Europe et dans d’autres parties du monde.
    Il y a donc incontestablement un phénomène réel et qu’on peut d’ailleurs observer à vue humaine quand on se rend dans les Alpes. A Chamonix, par exemple, les phénomènes glaciaires amplifient l’impression que l’on peut avoir du réchauffement. On voit incontestablement que les glaciers fondent et que des éboulements ont lieu suite au dégel du permafrost.
    Donc, oui, à vue humaine, il y a réchauffement climatique.

    Polémia : Est-ce que ce réchauffement climatique est global et touche l’ensemble de la planète ?

    Jean-Yves Le Gallou : C’est aussi assez probable. Mais c’est plus difficile à établir de manière certaine.
    Il y a un certain nombre d’études qui tendent à montrer que le température moyenne du globe augmente mais un certain nombre de scientifiques posent la question de savoir quelle est la pertinence du sens de « moyenne climatique mondiale ». Comment l’établit-on ? Sur quelle durée ? Comment on agrège les données partielles dans le temps ? C’est une vraie question épistémologique.

    La température a toujours varié !

    Polémia : Si l’on part du principe que la température augmente, est-ce inévitablement un drame total ou bien existe-t-il quelques bénéfices ?

    Jean-Yves Le Gallou : Il y a deux choses à prendre en compte. D’abord, dans le temps, la température – en tout cas là on l’on peut avoir des éléments permettant de l’apprécier – a toujours varié !

    L’exemple des Alpes est particulièrement parlant. Les glaciers reculent depuis 1830, voire même 1780. Ils ont ré avancé de 1945 à 1975 et reculent à nouveau depuis.
    Mais, aujourd’hui, il y a des cols qui sont encore en glace et où pourtant les troupeaux passaient à sec au Moyen-Âge ou à l’époque romaine ! Il y a toujours eu des alternances de périodes de chaud et de froid.

    Polemia : Alors, est-ce que le réchauffement est catastrophique ?

    Jean-Yves Le Gallou : Pas nécessairement ! La révolution néolithique était une conséquence du réchauffement et l’émergence vers la civilisation que nous connaissons est postérieure à la fin de l’âge glaciaire !

    On peut même voir des effets positifs au réchauffement. On peut rester en terrasse plus longtemps car il fait chaud plus longtemps. En général, on a tendance à préférer les climats méditerranéens aux climats océaniques car ils sont plus chaleureux et souvent jugés plus agréables à vivre.

    Sur le plan des conséquences, il peut y avoir des conséquences négatives et positives.

    Par exemple, un pays comme la Russie voit plutôt d’un bon œil le réchauffement climatique qui augmenterait la production de blé et libérerait des routes maritimes.

    Ce qui est inquiétant, c’est qu’un homme de médias comme Verdier, qui était le Monsieur Météo du service public, ait tout simplement été viré car il avait évoqué certains aspects positifs du réchauffement climatique.

    C’est dramatique ! Quand on vire un présentateur météo lorsque ses convictions climatiques ne conviennent pas, on se pose la question de savoir dans quel pays on est…

    Le réchauffement climatique, un argument politique bien pratique

    Polémia : Est-ce qu’il y a des effets négatifs ?

    Jean-Yves Le Gallou : Certainement. Mais on parle sans savoir. C’est beaucoup utilisé comme argument pour faire passer des politiques publiques.
    Si on vous parle d’un problème mondial, on va légitimer une « gouvernance » mondiale plus forte. Et si on vous parle d’un problème majeur cela va permettre d’imposer de nouvelles taxes. Et puis le catastrophisme climatique c’est aussi un moyen de contrôle des populations. Certains sujets sont interdits, d’autres deviennent obsessionnels.

    On va aussi vous dire qu’on est obligé d’accepter l’immigration car il y a des problèmes climatiques.

    Je pense qu’il y a derrière tout cela une malhonnêteté foncière. Aujourd’hui, le réchauffement climatique est dans l’épaisseur du trait. Par rapport aux extrêmes climatiques (tempêtes, canicules, grands froids, etc.) le léger réchauffement qu’on a pu constater ne change pas grand-chose.

    D’ailleurs, il y a eu, il y a quelques années, une étude officielle de plusieurs ministères (Agriculture, Environnement, Intérieur) sur l’impact du réchauffement climatique sur les feux de forêt en France.

    Un impact a été trouvé,susceptible d’entraîner une extension des feux de forêt vers la façade atlantique mais pas pour maintenant, seulement à horizon 2035 ou 2050. Pourquoi une telle distance dans le temps ? Parce qu’il y a une énorme inertie !

    Donc, quand on nous parle aujourd’hui de migrations climatiques, c’est un mensonge total !

    Peut-être qu’il pourrait y avoir des déplacements de population liés au changement climatique. Peut-être. Mais dans 20 ou dans 30 ans minimum ! Quand on dit que cela se passe aujourd’hui, on ment, on fait de la propagande !

    Le vrai problème est que, derrière une observation qu’on peut considérer comme probable, on ne sait pas si l’origine est anthropique, volcanique ou astronomique…

    Peut-être dit vrai ce qui peut-être librement contesté !

    Polémia : Pour le GIEC et ceux qui s’en réclament, le rôle de l’homme est quand même prépondérant.

    Jean-Yves Le Gallou : Ça, c’est la doxa politico-médiatique ! Je pense que c’est très difficile de parler de consensus scientifique pour une raison très simple : tous ceux qui ont une opinion différente n’ont accès ni aux médias ni aux crédits de recherche !

    Il y a un certain nombre de scientifiques qui défendent la thèse du réchauffement d’origine anthropique mais il y a aussi d’autres scientifiques qui mettent en avant deux facteurs naturels majeurs : le volcanisme et le rôle de l’astre solaire. Deux facteurs qui ne dépendent pas de l’homme.

    La thèse officielle est celle d’une origine anthropique. Cependant, je crois que, dans la pensée européenne, peut-être dit vrai ce qui peut-être librement contesté !

    Je ne dis pas que la thèse du réchauffement anthropique est fausse. Mais il est difficile de la dire vraie puisque il existe un interdit qui pèse sur la thèse contraire.

    Il faudrait équilibrer les crédits de recherche pour arriver à une situation honnête. Sachant qu’une bonne partie de ce qu’on présente comme les résultats scientifiques du GIEC sont quand même des modèles mathématiques qu’on fait tourner.

    Un climatologue aujourd’hui, c’est quelqu’un qui est derrière son ordinateur et qui fait tourner des modèles.
    Or, un modèle repose sur les données qu’on a choisi d’y intégrer.Avoir un culte fétichiste de ce genre de recherches est parfaitement dangereux. On trouve… ce qu’on veut trouver.

    Polémia : Faut-il parler de réchauffement climatique ou de dérèglement climatique ?

    Jean-Yves Le Gallou : Parler de réchauffement climatique, c’est relativement objectif. Le dérèglement climatique c’est de la propagande : on joint dans le même mot un phénomène – le réchauffement qui s’inscrit dans un cycle climatique de plus ou moins longue durée – et des extrêmes catastrophiques qui ont toujours existé. Le tout dans un grand confusionnisme ! Ainsi sous l’oreille béate des médias François Hollande avait rangé les tsunamis parmi les conséquences du « dérèglement climatique » (sic). Rappelons qu’un tsunami a pour origine un tremblement de terre,c’est-à-dire la tectonique des plaques. Rien à voir avec le temps qu’il fait. On voit bien à travers cet exemple à quel point le conformisme étouffe l’esprit critique.

    Lutter contre le mondialisme et l’immigration

    Polémia : Est-ce que, malgré tout, l’extraction massive des matières comme le pétrole ou le gaz – très longtemps prisonnières du sol – ne joue pas un rôle dans le réchauffement climatique ?

    Jean-Yves Le Gallou : Ce qui est vrai, c’est que des éléments carbonés prisonniers du sol depuis des millénaires voire des millions d’années, sont extraits et vont être extraits.
    Cette extraction joue-t-elle un rôle dans le réchauffement climatique ? C’est une autre question.

    Ce qui est certain quant à l’impact de l’homme sur la nature, c’est la disparition d’un certain nombre d’espèces animales. Mais cela n’a rien à voir avec le réchauffement climatique !

    Polémia : Généralement, les populations conscientisées sur le réchauffement climatique sont les populations européennes et notamment les élites. Est-ce que certaines autres populations (chinoises, indiennes, etc.) ne polluent pas aujourd’hui plus que les Européens ?

    Jean-Yves Le Gallou : Bien sûr, tout est centré sur la culpabilisation des Européens, y compris pour faire accepter l’immigration…

    Or, si l’on accepte que le carbone est mauvais, le problème, c’est le rejet de carbone, c’est l’empreinte carbone.
    A ce moment-là, il faut évidemment lutter contre deux choses. Il faut d’abord s’opposer au mondialisme qui entraîne la multiplication des échanges commerciaux mondiaux mais il faut aussi lutter contre l’immigration !

    En effet, l’empreinte carbone d’un Africain en Afrique est évidemment bien inférieure à celle d’un Africain en Europe !

    Donc, si on voulait prendre des mesures efficaces pour limiter l’empreinte carbone moyenne de l’humanité, il faudrait notamment empêcher l’immigration et même organiser la remigration. Et limiter le libre-échange.

    Tribune reprise du site Polémia

    https://fr.novopress.info/213991/jean-yves-le-gallou-si-le-rechauffement-climatique-est-du-a-lhomme-alors-il-faut-lutter-contre-le-libre-echange-et-limmigration/

  • L’inébranlable Castaner – Journal du mercredi 20 mars 2019

     

    L’inébranlable Castaner

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    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/linebranlable-castaner-journal-du-mercredi-20-mars-2019