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Europe et Union européenne - Page 523

  • L’arnaque des immigrés qui fuient la faim et la guerre

    6a00d83451619c69e2022ad3544abe200c-320wi.pngLa presse ne se rend pas compte de ce qu'elle publie :

    Il n'a pas l'air si mal au Mali, notre immigré clandestin naturalisé ?

    "l’arnaque sur les « Réfugiés qui fuient la faim et la guerre » de s’effondrer, arnaque qui sert de justificatif moral aux militants de l’ONG SOS Méditerranée pour justifier d’aller chercher des réfugiés au large des côtes africaines pour les amener en Europe comme encore dernière avec l’Aquarius.

    6a00d83451619c69e2022ad39a1fb8200b-320wi.pngCar Mamoudou Gassama est le symbole de cette jeunesse africaine qui ne fuit ni la guerre, ni la faim, et qui n’était nullement menacé dans son pays (sinon il ne serait pas revenu samedi accueilli comme un Prince) mais qui entend simplement «tenter l’aventure européenne » comme si chaque être humain était libre de se rendre partout dans le monde, comme si les frontières et les peuples n’existaient plus.

    « Il y a cinq ans, le jeune homme de 22 ans a quitté son Mali natal pour tenter l’aventure européenne. Une aventure démarrée en cascade avec un périlleux voyage en Libye, puis sur la Méditerranée, et une vie de galère dans les camps de migrants en Italie avant de débarquer en France en septembre 2017.»,explique Afrika News.

    A noter qu’il a fallu plusieurs jours pour que les principaux médias mainstream en France ne reprennent l’information, signe que ce retour au pays pour faire la fête doit sérieusement ennuyer ceux qui n’ont que l’argument humanitaire pour justifier l’arrivée de millions d’Africains en Europe."

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  • LA MANIPULATION MÉDIATIQUE SUR "LA CRISE DES MIGRANTS"

  • L’Aquarius : terre d’accueil en vue - Journal du Lundi 18 Juin 2018

  • ÉCONOMIE : UN SYSTÈME EN FAILLITE QUI EXCELLE À RETARDER L’INÉLUCTABLE EXPLOSION

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    Marc Rousset

    George Soros (ci-dessus) a déclaré, le mardi 29 mai, lors de la réunion annuelle à Paris du Conseil européen sur les relations étrangères, que « nous pourrions être en train de nous diriger vers une crise financière majeure ».

    Si l’alignement des planètes a été la chance de François Hollande, un dangereux désalignement est en train de s’installer pour l’an II de Macron. Des signes de ralentissement et de fin de cycle semblent apparaître en Europe, tandis que le litre de gazole a grimpé, en France, en un an, de 1,16 euros à 1,48 euros, soit une hausse de 28 %, que les taux d’intérêt remontent, que les sanctions contre la Russie et l’Iran, les débuts de guerre commerciale initiés par Trump ne peuvent que contribuer à un climat économique malsain.

    Les pays émergents affrontent des vents contraires en raison de la hausse des taux d’intérêt et du dollar américain ainsi que de la baisse du prix des matières premières. L’inflation était de 25,5 % en Argentine en avril 2018 et le FMI a été amené à prêter 50 milliards de dollars à l’Argentine pour éviter un défaut de paiement. La Turquie, avec 22 % de sa dette libellée en devises étrangères, est trop dépendante des capitaux externes ; son taux d’inflation est de 40 % et la livre turque a lourdement chuté. Au Brésil, la dette publique a atteint 87 % du PIB alors qu’elle n’était que de 62 % en 2014.

    Selon Greg Jensen, gérant d’actifs de Bridgewater, le plus grand fonds d’investissement au monde, « pour les investisseurs, le danger est déjà présent » et il avertit ses clients que 2019 s’annonce comme une année particulièrement dangereuse en raison de l’augmentation des taux d’intérêt à venir et des stimulations fiscales de Trump qui poussent la Fed américaine à réduire les liquidités disponibles.

    L’analyste Albert Edwards pense que la prochaine récession est pour bientôt en faisant entrer l’économie dans un « âge de glace » pour des décennies. Le 22 août 2018, le marché haussier du S&P 500 aura été le plus long marché haussier de toute l’histoire des États-Unis, et en juillet 2019, le cycle d’expansion économique aura été le plus long depuis la guerre de Sécession. Il est improbable que l’expansion dure plus longtemps. Le niveau d’endettement tous azimuts des consommateurs américains est encore plus élevé qu’en 2008, tandis que le taux d’épargne plonge et que le taux de défaillance de 7,9 % des cartes de crédit pour les petites banques est identique.

    La « prospérité Potemkine » des États-Unis n’est qu’une illusion reposant sur une montagne de dettes provoquée par le laxisme monétaire de la Fed. Albert Edwards prédit une chute de -75 % du S&P 500, qui passerait de 2.670 à 666, donc supérieure au krach de 2008 ! Albert Edwards évoque « l’odeur nauséabonde d’une dette en décomposition » tandis que le « poisson périt toujours par la tête ». Il anticipe un effondrement déflationniste mondial qui « bouleversera le monde financier tel que nous le connaissons, détruira la richesse, les emplois et à peu près tout le reste ».

    Le drame de notre temps, c’est la fameuse pyramide renversée de l’économiste américain John Exter reposant sur la pointe trop fragile du seul actif sûr, l’or, les autres actifs financiers étant beaucoup trop élevés et risqués, la palme revenant à la mauvaise herbe des produits bancaires dérivés.

    Les analystes de la Banque mondiale prédisent, dans leur dernier rapport, « Perspectives mondiales », pour les mêmes raisons qu’évoqué ci-dessus, une nouvelle crise, mais seulement après 2019, et remarquent que les crises financières importantes surviennent régulièrement tous les dix ans environ (1975, 1982, 1991, 2009).

    C’est sans doute la raison pour laquelle la caisse de l’Assurance-vieillesse et survivants (AVS), l’un des trois piliers du régime de la Sécurité sociale en Suisse, vient de décider de convertir son or papier en métal physique.

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  • Les dirigeants de l’Europe Unie ne sont que des dictateurs

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    Bernard Plouvier

    Notre génialissime Président interpelle assez rudement le gouvernement italien pour une question de sauvetage d’immigrés en Méditerranée. Cela fait du remue-ménage sur les blogs, dans les chaines de TV et de radio. Pourtant les bonnes questions à poser n’ont rien à voir avec l’absence de réserve que devrait avoir un chef d’État vis-à-vis d’un gouvernement souverain étranger. Après tout, les Italiens ont bien d’autres soucis que les humeurs macroniennes.

    En outre, l’arrogance est-elle une bonne méthode en matière de relations internationales ? Lorsque l’on a la première armée de la planète, ou l’économie la plus performante ou encore la plus grosse réserve d’or, c’est jouable, même si cela manque singulièrement d’élégance. Mais le Président de la République française, de quelle supériorité peut-il se targuer pour jouer au gros dur, donneur de leçons ?

    Les bonnes questions à poser sont pourtant d’une criante évidence.

    1 – Pourquoi les Africains et les Moyen-Orientaux viennent-ils envahir notre continent où règne un chômage énorme ? Serait-ce qu’on les a appelés ? Dans ce cas, on aimerait connaître les coupables de ce crime contre les Nations européennes, victimes d’une invasion trop souvent violente, couplée à l’inutile importation de la seule religion qui encourage encore la « guerre sainte », soit un culte d’essence médiévale.

    2 – Pourquoi serions-nous, Européens, victimes de la pression démographique des populations d’Afrique et du Moyen-Orient, incapables d’adapter leurs naissances à leurs capacités d’emplois et de réponses aux besoins alimentaires ?

    3 – Qui est le Souverain dans les Nations d’Europe Unie ? Un coup d’œil jeté sur les premiers paragraphes de toutes les Constitutions européennes nous apprend que l’unique souverain est le corps électoral. D’où la 4et principale question :

    4 – Dans quel pays de l’Europe Unie a-t-on demandé son avis au Peuple Souverain à propos de cette immigration-invasion qui semble tant réjouir notre Président, si l’on en juge par les chiffres de naturalisations durant sa première année de fonction et par sa compassion médiatiquement affichée, au point de provoquer un couac diplomatique ?

    La réponse est simple : ni en France, ni en Allemagne, ni en Espagne, ni en Italie, ni en Belgique, ni etc. On rappelle que le referendum sur le Brexit en Grande-Bretagne s’est joué – tous les commentateurs l’ont reconnu – sur la question de l’immigration d’origine extra-européenne.

    La conclusion s’impose d’elle-même : en prenant une série de décisions capitales qui engage l’avenir des Européens, sans solliciter leur avis, les dirigeants européens – dont on sait déjà qu’ils sont de parfaits démagogues - ne se comportent pas en « démocrates », mais en dictateurs.

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  • Et si l’Europe se construisait sans la France ni l’Allemagne ?

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    Par Julien Dir, contributeur pour Breizh-Info 

    Les élections législatives en Slovénie ont débouché, ce dimanche 3 juin, sur la victoire de la droite « conservatrice » mais surtout anti-immigration. Après l’Italie – qui dispose désormais de Matteo Salvini de la Lega comme ministre de l’intérieur, lequel a promis aux migrants qu’ils allaient bientôt devoir faire leurs valises et partir – après la Hongrie –  qui a vu le triomphe d’Orban – c’est un nouveau pays dont le peuple décide de confier le pouvoir à celui qui entend faire de la lutte pour la préservation de l’identité et contre l’immigration son cheval de bataille principal.

    Et si, finalement, l’Europe des peuples se construisait sans la France et l’Allemagne ? Car ces deux moteurs initiaux de la construction de l’Union Européenne sont aujourd’hui deux nations aux représentants enfermés dans une conception multiculturelle de notre continent, conception que rejettent des masses de plus en plus importantes, d’Ouest en Est.

    Car contrairement à ce que voudrait nous faire croire la pensée médiatique ambiante, ce n’est pas l’euro, l’Union Européenne, ou l’économie qui provoquent ce mouvement de contestation vis à vis de l’oligarchie mondiale. Ou à la marge. Mais bien le refus de l’immigration, et donc de la dissolution d’une civilisation dans un espace au sein duquel l’identité Européenne, blanche et chrétienne serait une identité en danger.

    Ce n’est donc pas l’Europe qui est en danger avec ces nouveaux gouvernements, en Italie, en Pologne, en Slovaquie, en République Tchèque, en Slovénie, en Hongrie. Mais c’est la conception institutionnelle de l’Union Européenne qui a conduit aux crises que nous connaissons aujourd’hui (migratoire, économique, culturelle). Et ce sursaut des peuples, dans toute l’Europe, est aujourd’hui un formidable espoir pour la construction d’un continent fort, puissant, et qui affirme son identité pleinement.

    A Bruxelles, comme en Allemagne et en France, c’est la panique générale. Et le début du chantage à l’argent : ainsi les pays de Visegrad ont été menacés de sanctions économiques par Macron et Merkel pour ne pas « respecter les valeurs de l’Europe » dans une inversion accusatoire dont seule la France arrogante et l’Allemagne ont le secret. En 2021-2027, La Commission européenne, institution non élue, envisage de réduire ses dotations adressées notamment à la Pologne et la Hongrie. En effet, elle considère ces deux pays  « mauvais élève » en matière de démocratie, sans que la presse traditionnelle en France ne s’interroge.

    N’est-ce pas un paradoxe qu’une institution non élue, minoritaire, distribue les bons et les mauvais points de démocratie à des gouvernements élus, suite à de fortes mobilisations électorales. Celles-ci sont largement plus importantes qu’en France où, faut-il le rappeler, l’Assemblée a été élue par une minorité d’électeurs ?

    Du côté des anti-immigration en France, le Rassemblement national, anciennement Front national, semble être comme un boulet pour l’émergence de l’équivalent d’un Fidesz ou d’une Lega. Un boulet, car bien qu’anti-immigration, il s’agit d’un parti qui, dans chaque déclaration de sa présidente, Marine Le Pen, accepte le caractère multiculturel récent du pays, comme si cela constituait une fatalité.

    Ainsi, Marine Le Pen défend Mayotte en tant que Département français, alors qu’il s’agit d’une des portes d’entrée  de l’immigration en Europe. Ce faisant, elle va bien entendu dans le sens opposé à celui d’Orban érigeant un mur pour protéger toute l’Europe des migrants. De même, Marine Le Pen accepte que l’on octroie la nationalité française à Mamoudou Gassama. Elle va ainsi à l’encontre de la vision de bon nombre d’Européens qui estiment qu’il n’y a aucun rapport automatique entre un exploit (surmédiatisé) et l’intégration d’un individu (puis de ses enfants) dans une communauté.

    En Allemagne, à la différence du parti de Marine Le Pen, la contestation et la montée en puissance de l’AFD semblent d’une autre nature. Par contre, ce parti semble encore largement marginal dans toute une partie de l’Allemagne, la reductio ad hitlerum fonctionnant encore dans le pays d’Angela Merkel, pourtant en proie non pas à des colonnes de Waffen SS renaissants de leurs cendres, mais à une immigration incontrôlée et changeant petit à petit le visage de l’Allemagne.

    Dans tous les cas, l’Allemagne et la France, qui ont accepté depuis des décennies d’accueillir, comme la Belgique ou les Pays-Bas, un nombre important d’immigrés, et qui l’acceptent encore aujourd’hui, sont en train de tomber sur un os. Il est constitué par une majorité des pays qui ont adhéré à l’Union Européenne, croyant dans un idéal civilisationnel (notamment après avoir vécu les ravages du communisme destructeur), dans un espace protégé. Mais surtout pas dans un « continent des valeurs universelles » dont la nouvelle Bible serait la déclaration des droits de l’homme et du citoyen et l’idée que n’importe quel être humain sur terre aurait « le droit » de venir s’installer en Europe.

    Finalement, les élections Européennes de 2019 pourraient constituer – si la mobilisation était au rendez-vous – un moment exceptionnel dans l’histoire de notre continent : celui de la consécration de peuples qui veulent vivre en harmonie tous ensemble sur le même continent, mais qui refusent que des dirigeants à la solde d’une petite oligarchie mondiale tentent de les dissoudre définitivement, puis de les remplacer.

    Après tout, si les peuples qui composent la France et l’Allemagne ne sont pas capables, plus capables, de se réveiller, de changer de logiciels et d’élites, d’autres peuples, à côté d’eux, semblent ne plus avoir envie de les laisser mener le bateau vers un remake glaçant du Titanic. Et si l’avenir de la Grande Europe ne passait finalement plus ni en France, ni en Allemagne ?

    Julien Dir  10/06/2018

    Source : Breizh-Info

    https://www.polemia.com/et-si-leurope-se-construisait-sans-la-france-ni-lallemagne/

  • La guerre de l’Italie aux ONG en Méditerranée

    “Ignace – Message de l’Italie aux bateaux de clandestins” est verrouillé Ignace – Message de l’Italie aux bateaux de clandestins

    Le ministre de l’Intérieur italien, Matteo Salvini, lance la guerre contre les ONG humanitaristes et mondialistes :

    « A partir d’aujourd’hui, qu’elles se cherchent d’autres ports. »

    Salvini, sur sa page Facebook, a avisé les ONG Lifeline et Seefuchs qui sont au large de la Libye :

    « Tandis que le bateau Aquarius navigue vers l’Espagne deux autres navires battant pavillon hollandais, écrit le chef de La Ligue, sont arrivées au large des côtes libyennes, dans l’attente de leur chargement d’êtres humains abandonnés par les passeurs. Que ces messieurs sachent que l’Italie ne veut pas être complice du business de l’immigration clandestine. Donc ils devront se trouver d’autres ports qui ne soient pas italiens où se diriger. Comme ministre et comme père de famille, je fais cela pour le bien de tous. »

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/la-guerre-de-litalie-aux-ong-en-mediterranee/93325/

  • De la Baltique à la Sicile : le retour des nations contre l'immigration

    6a00d83451619c69e2022ad39924ac200b-800wi.jpgPascal Décaillet, journaliste de la Tribune de Genève écrit sur son blog :

    "Il y a un homme, dont je parle ici depuis des années, c'est Horst Seehofer, le nouveau ministre fédéral de l'Intérieur, en Allemagne [photo]. J'en parlais lorsque, Ministre-Président de Bavière et chef de la CSU, comme l'avait été le rugissant Franz Josef Strauss, il s'opposait avec virulence à la politique migratoire inconsidérée de Mme Merkel, dont les conséquences sont dévastatrices pour la cohésion sociale allemande.

    Aujourd'hui, Seehofer est aux affaires sur le plan fédéral. Et il n'a aucune intention de faire de la figuration. Sur le plan migratoire, il a ses idées, qui ne sont pas celles de la Chancelière. Et il a des alliés : Sebastian Kurz, le nouveau Chancelier autrichien, 31 ans, et le nouveau gouvernement italien !

    Voilà donc, de la Baltique à la Sicile, un axe Nord-Sud pour pratiquer un contrôle beaucoup plus important des flux migratoires. Et ne pas s'en laisser conter par les directives de Bruxelles. Encore moins, par les leçons de morale totalement déplacées de M. Macron, cet internationaliste arrogant et autocratique, à la pensée abstraite, déracinée.

    De la Baltique à la Sicile, de Flensburg à Palerme, voilà donc un front du refus qui va déterminer la politique migratoire européenne ces prochaines années. M. Orban, en Hongrie, n'est plus seul. Le visage de l'Europe va changer. Les nations reviennent, avec leurs alliances ; le diaphane concept de supranationalité continentale s'évapore. Il était né de la géométrie des esprits, au mépris des réalités.

    Ah, un détail, j'allais oublier : au milieu de l'axe Nord-Sud de ce Saint-Empire, entre l'Allemagne et l'Italie, il y a un petit pays, démocratique, pluriel, attachant : pourriez-vous me rappeler son nom ?"

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  • Le Samedi Politique - L'Italie : nouveau cauchemar de Bruxelles ? avec Jacques Sapir

  • Macron, le filleul de Jacques Attali, n’est en fait qu’un Renzi français en sursis avec Merkel

    Marc Rousset

    Suite au tract polémique de LR, « Pour que la France reste la France », Laurent Wauquiez a fait valoir qu’on a des « politiques complètement déconnectés de la réalité ». Il aurait pu citer Macron, cet énarque technocrate issu du Système, droits-de-l’hommiste, immigrationniste, libre-échangiste mondialiste, atlantiste, libertaire, irréaliste, qui mène la France tout droit dans le mur !

    En matière migratoire, l’adepte du « en même temps » trahit les Français en leur faisant croire qu’il freine l’immigration avec des améliorations techniques « bidon » telles que la durée maximale de rétention administrative, portée de 45 à 90 jours, alors qu’elle est de 180 jours en Allemagne et aux Pays-Bas. De plus, son application dépendra du bon vouloir des juges.

    Mais rien n’est sérieusement fait pour l’expulsion des clandestins, tandis que les entrées légales annuelles d’étrangers (412.000 en 2017 !) explosent. Le prix ahurissant à payer pour le coup d’État juridico-politico-médiatique et le salaire de Penelope ? 262.000 titres de séjour, 100.000 demandeurs d’asile, 50.000 « mineurs isolés ». Si l’on ajoute 50.000 entrées supplémentaires correspondant au chiffre net entre les entrées de clandestins et les ridicules expulsions de l’ordre de 10.000, cela correspond à une entrée annuelle inacceptable de 462.000 étrangers, extra-européens à 90 %, avec à la clef un taux de fécondité de 3,4 enfants par femme, soit pratiquement le double de celui des femmes en France.

    Le scandale, c’est la création par Macron, avec sa loi Asile Immigration, d’une nouvelle filière d’immigration : la filière des 50.000 « mineurs étrangers » non accompagnés en 2018, qui vont s’ajouter aux 50.000 déjà présents, fin 2017, dont le coût unitaire de prise en charge par l’aide sociale à l’enfance des départements est d’au minimum 50.000 euros, soit au total un coût supplémentaire, pour 2018, de 2,5 milliards d’euros ! Voilà où passent nos impôts avec Macron. Et le bouquet, c’est qu’il n’y aura pas d’examen radiologique osseux, que ces mineurs pourront bénéficier de la réunification familiale : parents, frères et sœurs… Face à cette politique, un seul modèle s’impose pour la droite nationale : celui de l’Australie et de l’immigration zéro.

    En matière sécuritaire, pas question, avec Macron, d’expulser les fichés S étrangers ou de les placer dans des camps de rétention. Nicole Belloubet va libérer 50 terroristes et 450 radicalisés dans les prochains mois.

    En ce qui concerne l’Europe, Macron rêve d’un Grand Soir, d’élargissement de l’Union européenne (Balkans) et de Schengen (Roumanie et Bulgarie), au lieu de s’attaquer à la mère des batailles : la baisse de la dépense publique en France. Le gouvernement s’était pourtant engagé à réaliser des économies, mais la volonté fait défaut. Les dépenses publiques représenteront toujours 54 % du PIB en 2022. L’Allemagne ne veut pas, à juste titre, d’une Union irresponsable des dettes. Seul un Fonds monétaire européen, avec veto allemand, sera sans doute mis en place.

    Dans le domaine sociétal, sur le sujet de la PMA, Macron semble naviguer à vue. Peut-être même à contre-courant, comme l’ont montré les interventions majoritairement opposées à la PMA, lors des États généraux de la bioéthique.

    Quant à la jeune pousse marketing des gadgets élyséens « Présidence de la République », pour financer la rénovation de l’Élysée, c’est tout un symbole. Peut-on imaginer le général De Gaulle vendant des Mickey à Disneyland pour redresser la France ?

    Macron, le filleul de Jacques Attali, n’est en fait qu’un Renzi français en sursis avec Merkel. Insensible au Grand Remplacement et à l’invasion migratoire, il ne veut pas pas voir ce que les peuples européens voient. Seule une union de la droite FN-DLF-LR pourra nous débarrasser d’« En Marche ! » Son premier défi sera de mettre en place l’immigration zéro et une confédération carolingienne avec une volonté de puissance se rapprochant de la Russie.

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