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Europe et Union européenne - Page 637

  • Le discours de la méthode

    rassemblement-national-300x169.pngLe peuple italien a gagné son premier bras de fer contre  Bruxelles: l’économiste du FMI  Carlos Cottarelli qui entendait sur ordre former un gouvernement technique a  donné sa démission à  Sergio Mattarella qui s’est finalement soumis à la vox populi. Le risque de séisme était trop fort, le président de la République  a finalement validé et accepté le 31 mai la composition du nouveau gouvernement de coalition Ligue/M5S, avec à sa tête le Premier ministre Giuseppe Conte. Une  équipe gouvernementale  qui devra impérativement, dans le régime parlementaire italien, gagner la confiance et bénéficier de l’appui des députés… Elle se compose de deux vice-présidents et de 18 ministres dont sept appartiennent  au M5S et sept à  Ligue.  Notamment son dirigeant, notre camarade Matteo Salvini (Vice-président du Conseil des ministres et Ministre de l’Intérieur), ou encore Lorenzo Fontana, ministre pour la Famille et le Handicap, très attaché à la défense de la famille traditionnelle et à une politique d’accueil de la vie.  Deux  conditions essentielles  selon lui,  pour lutter contre le grand remplacement des Italiens et des Européens…

    En octobre 2016, sur le  site du Point, le politologue spécialiste es FN, Nicolas Lebourg  pointait les convergences de vues existant entre les différentes formations nationales présentes en Europe : « rejet de l’immigration extra-européenne » et de l’islamisme, « revendication d’une démocratie plus directe face à une Union européenne post-démocratique », refus des « mesures anti-russes » et de la diabolisation de Poutine…  « Marine Le Pen a pris le leadership de l’extrême droite en Europe » notait-il et il citait à l’appui de sa démonstration  son confrère Gilles Ivaldi  : « le FN est devenu une boussole de l’extrême droite européenne. Les partis européens alliés du FN ont copié la stratégie de dédiabolisation de Marine Le Pen tout en conservant leurs spécificités locales (…)  par exemple (…) l’AfD en Allemagne, parti de la droite, s’est radicalisé pour être plus proche du FN. En Europe, c’est une tradition de se copier entre partis d’extrême droite. »

    Ce qui est surtout de tradition, c’est de coller l’étiquette d‘extrême droite aux  mouvements d’opposition nationale. Pour le reste il est dans l’ordre des choses,  du moins pour une formation ayant de hautes ambitions,   de tenter de rassembler le plus largement possible au delà de son camp. Bref sans s’aliéner son noyau dur, d’entraîner dans son sillage, d’agréger d’autres familles électorales partageant des constats communs, afin de mener idéalement  ses idées au pouvoir.  C’est au nom de cet objectif que la direction du FN avait invité les adhérents frontistes à se prononcer en faveur du nouveau  nom de Rassemblement National, ayant pour vocation de matérialiser concrètement cette volonté là.

    Les résultats des votes  ont été communiqués par Marine lors du Conseil national élargi qui s’est tenu le 1er juin à Lyon dans une ambiance chaleureuse.   Les 53% d’adhérents qui ont répondu à la question posée se sont prononcés  pour le nouveau nom de Rassemblement National à  80,81%. Le RN conserve cependant  la flamme tricolore frontiste, témoin historique des années de lutte et de sacrificesContrairement au Parti communiste français qui a gardé son nom mais a jeté aux orties en 2013  la faucille et le marteau, un  logo trop lourd à porter;   ou  à feu le RPR transformé en UMP puis devenue en un dernier avatar  le parti Les Républicains, qui a  abandonné la croix de Lorraine jugée trop passéiste ( trop en décalage avec  l’euro-atlantisme ). En gardant notre Flamme nationale, nous maintenons nous  un emblème fort identifié par tous les Français.  Un  repère,  un symbole lumineux de résistance aux forces obscures du mondialisme,  gage de changement dans la continuité…

    Ce changement de nom a affirmé Marine vendredi, « ferme un chapitre de l’histoire de notre Mouvement national ouvert il y a un peu plus de 45 ans.  Mais c’est pour mieux en ouvrir un autre qui, je le crois, ne sera pas moins glorieux »,  au moment ou un   peu partout sur notre continent  les « peuples européens  se réveillent. » Ce n’est pas un secret,  Bruno Gollnisch n’était pas convaincu par la nécessité d’abandonner la marque FN :   « tactiquement, ce serait une erreur de changer de nom », « je crois que ce n’est pas un hasard si les marques Dior, Louis Vuitton, L’Oréal sont tellement attachées à leur marque et la défendent bec et ongles (…). Une marque peut focaliser les hostilités, mais elle focalise aussi la fidélité (…).  Le changement de nom du FN ne me parait pas une priorité, bien moins en tout cas que la nécessité pour notre Mouvement d’approfondir nos réflexions, notre programme face aux grands défis et questions du monde contemporain. »

    Cela étant nuançait-il,  « je ne suis pas nominaliste.  Le Front National est un instrument au service de la France. Si le FN devait s’appeler autrement demain, je ne m’attacherais pas l’étiquette mais à la substance. En revanche, si le Front National devait abandonner ses convictions, il cesserait de m’intéresser comme tel même s’il conservait le nom et la flamme. » Il précisait aussi  que  « si dans l’avenir, il y a une novation importante dans la vie politique de notre pays, si nous devons donner le signe fort de quelque chose d’autre, on (pourrait envisager ce changement de nom). Après tout, quand j’ai été élu député en 1986, un certain nombre de mes collègues élus et moi, à l’initiative de Jean-Marie Le Pen, l’ont été dans un cadre qui n’était pas explicitement celui du Front National puisque c’était celui du Rassemblement national… ».

    Rassemblement National qui,  joignant le geste  à la parole,  a tendu la main à Nicolas Dupont-Aignan dès la veille de son baptême officiel   par le biais d’une lettre ouverte écrite par Marine. La présidente du RN lui propose leur présence  aux   deux dernières places d’une liste  commune aux élections européennes de 2019. Liste fédérant toutes les bonnes volontés pour peser plus fortement dans la balance, contrer plus efficacement les euromondialistes.  Alliance   qui a été gage de succès en Autriche, en Italie, en Hongrie :  « Partout l’esprit de rassemblement, la volonté de dépasser les divergences mineures ont prévalu pour rendre possible ce qui était martelé comme étant impossible.» « Je te propose en conséquence de nous rencontrer dans les plus brefs délais afin de travailler à une charte commune qui établira les priorités et les mesures essentielles pour transformer l’Union européenne en une Europe des Nations, des coopérations et des libertés. »

    Invité hier  de l’émission Dimanche en politique sur France 3, le président de DLF a accueilli assez tièdement  cette  proposition d’alliance: « Je prends mes responsabilités et je ne vais pas me dérober. Je dis à Marine Le Pen très clairement que sa proposition, même si ça part peut-être d’une bonne intention, n’est pas du tout à la hauteur de l’enjeu historique qui est devant nous (…). C’est une question de cuisine politicienne qui ne m’intéresse pas (…). Elle m’a écrit une lettre que j’ai lue dans la presse (…).  Une lettre alors que son bureau est quasiment juste en face du mien à l’Assemblée nationale. J’aurais aimé qu’elle vienne m’en parler, mais qu’importe la forme. » « J’ai entamé une action, il y a un an, les Amoureux de la France. Nous, on veut une démarche sérieuse, on part du projet. Une fois que ce projet sérieux sera élaboré (avant l’automne)  je l’enverrai à tous les responsables politiques qui disent combattre M. Macron et l’abandon de la France: Marine Le Pen, Laurent Wauquiez. » «Mme Le Pen, à ce moment-là, j’espère qu’elle aura travaillé de son côté, qu’elle aura clarifié sa position, parce que je ne la connais pas, sur l’euro notamment. J’espère que M. Wauquiez aura clarifié sa position et je leur dirai unissons-nous tous ensemble. »

    Et peut-être pour   que sa réticence ne soit pas perçue comme de la pusillanimité ou de la frilosité, M. Dupont-Aignan a ajouté: «Personne ne fera passer, et notamment aux yeux des électeurs du Front National, que je puisse être un diviseur, parce que, s’il y a un type qui a été courageux, qui a franchi le pas, c’est moi. En revanche, ce n’est pas parce que j’ai franchi le pas, que j’ai été d’une loyauté parfaite, que j’accepterai de partir aux européennes sur un programme bancal, pas clair. »

    On peut juger le verre à moitié plein ou à moitié vide mais notons pour notre part que Nicolas Dupont-Aignan qui en toute logique, entend marquer son territoire et peser dans la recomposition à venir,  a laissé clairement  la porte ouverte à un accord, à une  alliance avec les nationaux. Rassemblement  qu’il entend comme nous élargir à tous les électeurs, élus , cadres souverainistes, eurosceptiques et antibruxellois attachés à l’identité française, notamment ceux   qui  gravitent encore dans l’orbite de LR.

    D’autant qu’à écouter  celui dont Marine entendait faire son Premier ministre en cas de victoire à la présidentielle, les points d’accord, y compris dans la méthode, nous l’avons vu, sont évidents. Invitée du  Grand Jury sur RTL et LCI,  Marine Le Pen  a précisé la clarté et la cohérence de sa démarche. Point de mauvaise cuisine:  « les manœuvres politiciennes, ça aurait été si nous étions allés tous les deux dans mon bureau à l’Assemblée, ou dans le sien, pour discuter des places de ceci, de cela. » Et de  rappeler qu’elle avait   « entendu (M. Dupont-Aignan)  dire qu’il fallait tous nous mettre autour d’une table pour parler du fond. Et compte tenu du peu de temps qu’il nous reste, c’est le moment de le faire. C’est ce que je lui ai proposé de faire par l’établissement d’une charte.» « (J’ attend)  avec grand intérêt de voir le projet Nicolas Dupont-Aignan », sachant que  «l’euro faisait partie des sujets communs de la présidentielle. »

    L’enjeu est trop décisif, il en va du devenir de la  France française qui va se jouer définitivement dans les deux décennies à venir, pour que nous puissions imaginer que cette nécessaire recomposition politique autour d’un projet national, alternatif,  puise achopper sur des querelles d’égos, des considérations boutiquières, la paresse intellectuelle, la soumission aux ligues de vertu. Les Français les plus lucides, nos amis Européens, tous ceux qui par le monde attendent encore de grandes choses de notre pays,  ne nous le pardonneraient pas.  A chacun des prendre ses responsabilités, en toute conscience, ici et maintenant, l’Histoire ne repasse pas les plats. 

    https://gollnisch.com/2018/06/04/le-discours-de-la-methode/

  • Les ONG, ces négriers des temps modernes

    La fondation Gefira a enregistré pendant 2 mois les déplacements des bateaux des différentes ONG récupérant des immigrés. Ces ONG vont chercher les migrants au plus près des côtes libyennes. Aucune intervention n'a lieu en pleine mer...

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L'Italie, problème ou solution de l'Europe ?

     L'Italie ferme ses ports à l'Aquarius, le bateau qui porte secours aux migrants

    Par Eric Zemmour

    Le Figaro magazine dans sa dernière livraison [8.06] a publié cette chronique d'Eric Zemmour qui pose les vraies questions et y apporte de justes réponses. A preuve cette interrogation : « Un pays peut s'inquiéter de la révolution « populiste » italienne : c'est l'Espagne. Qui va remplacer Lampedusa ? Cadix ? Malaga ? ». Au soir où nous écrivons, il semble que ce devrait être Valence... Alors, une révolution populiste, bientôt, en Espagne aussi ?  LFAR

    La situation en Italie est révélatrice de tous les atermoiements de l'Union.

    « Le bon temps pour les clandestins est fini ; préparez-vous à faire les valises.» Le patron de la Ligue, Matteo Salvini, a le sens de la formule qui fait mouche. Ce n'est pas un hasard s'il a choisi le poste de ministre de l'Intérieur, laissant à ses alliés du mouvement M5S les ministères sociaux. À ce poste, on peut encore montrer qu'un État déterminé a les moyens d'agir. Encore faut-il qu'il le soit.

    C'est toute la question posée par l'affaire italienne. Celle de la légitimité démocratique est derrière nous. Elle s'est réglée par un compromis à l'italienne: les vainqueurs des élections ont renoncé à « leur » ministre des Finances europhobe ; le président de la République italienne et les milieux européens de Bruxelles qui le soutenaient ont renoncé à empêcher une majorité «populiste» de gouverner. 

    « On croit toujours en France que l'immigration est un phénomène qu'on ne peut maîtriser, une sorte de fatalité qu'on doit subir. C'est faux »  Éric Zemmour

    Désormais, c'est à Salvini de jouer. D'abord parce que l'immigration fut le thème qui l'a porté au pouvoir. Ensuite parce qu'il doit montrer qu'il peut expulser massivement les clandestins (il a promis 500.000 renvois) et arrêter la déferlante migratoire sur les côtes italiennes. Salvini s'en est déjà pris aux ONG qui, sous couvert d'humanisme, sont les complices des passeurs. Il devra utiliser la marine italienne non pour sauver les migrants mais pour les arrêter, voire détruire leurs barques. Il devra enfin tenir tête aux juges européens qui ne manqueront pas de dénoncer des pratiques contraires aux « droits de l'homme ». Osera-t-il ? Il devra aussi faire pression sur les pays de l'autre côté de la Méditerranée - Tunisie, Maroc et, au-delà, les autres pays d'Afrique pour qu'ils reprennent leurs ressortissants. Au temps de Ben Ali en Tunisie et de Kadhafi en Libye, ces pays bloquaient les migrants pour qu'ils ne se déversent pas sur l'Europe - preuve que c'est possible. L'Algérie n'hésite pas à renvoyer brutalement les migrants qui essayent de s'installer chez elle.

    On croit toujours en France que l'immigration est un phénomène qu'on ne peut maîtriser, une sorte de fatalité qu'on doit subir. C'est faux. Les mouvements démographiques sont une guerre qu'on veut gagner ou qu'on accepte de perdre. Comme le note l'historien Pierre Vermeren, le milliard de Chinois pauvres n'a jamais débarqué dans le Japon riche parce que l'État japonais s'est organisé pour qu'il en soit ainsi. Aux États-Unis, depuis l'arrivée de Trump, l'immigration venue du Mexique s'est beaucoup réduite.

    Emmanuel Macron et les dirigeants de l'Europe répètent que chaque nation ne peut rien faire seule et que la question migratoire ne pourra être résolue qu'ensemble. C'est exactement l'inverse. Ensemble, les Européens ont prouvé qu'ils ne font rien. Les États qui l'ont décidé ont bloqué toutes les routes migratoires - la Hongrie en est le meilleur exemple. Et la Pologne montre qu'il est possible d'accueillir une immigration choisie: ils ont accepté des Ukrainiens et refusé les musulmans. Un pays peut s'inquiéter de la révolution « populiste » italienne : c'est l'Espagne. Qui va remplacer Lampedusa ? Cadix ? Malaga ? 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/index-1.html

  • LONDRES : MOBILISATION POPULAIRE POUR LA LIBÉRATION DE TOMMY ROBINSON

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    Tommy Robinson, journaliste et fondateur de la Ligue de défense anglaise, est incarcéré depuis plus d'une semaine pour avoir diffusé sur son site le compte-rendu du procès d'une bande de violeurs pakistanais. En Grande-Bretagne comme ailleurs, là où les mondialistes sont encore aux affaires tout est bon pour museler les résistances patriotiques.

    Hier après-midi, tout le centre de Londres était en effervescence car les Britanniques se sont rassemblés en masse pour soutenir leur héros. Les forces de répressions ont agressé des manifestants mais cela n'a pas empêché la réussite de ce rassemblement populaire. Pour les patriotes anglais, une seule priorité : la libération immédiate de Tommy Robinson et la levée des sanctions qui pèsent sur lui.

    Chacun sait qu'à Synthèse nationale nous sommes modérément anglophiles. Cependant, nous exprimons notre totale solidarité avec ce combattant qui défend son identité et qui subit la répression des mondialistes au pouvoir.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • ISLAMISME : L’AUTRICHE AGIT ET LA FRANCE ACCUEILLE !

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    Pendant que la République laïque accueillait 300 imams étrangers pour combler le manque saisonnier de prêcheurs de tolérance concomitant aux ripailles d’un mois de ramadan victime de son succès grandissant, en Autriche, sept mosquées financées par la Turquie ont été fermées et l’expulsion de soixante imams est envisagée.

    « Les sociétés parallèles et les tendances à la radicalisation de l’islam politique n’ont pas leur place dans notre pays », a déclaré Sebastian Kurz. « Ce n’est que le début », renchérit le vice-chancelier et leader du FPÖ, Heinz-Christian Strache. Ça laisse rêveur… Que le jeune chancelier ait ajouté que l’idéologie islamique est, par essence, politique et c’eût été parfait.

    Le gouvernement autrichien réagissait ainsi au scandale suscité par la reconstitution de la bataille des Dardanelles, emblématique dans l’histoire de l’Empire ottoman, au sein d’une des principales mosquées de Vienne, la mosquée des Loups Gris, directement liée à la Direction turque des Affaires religieuses et du nom du groupuscule ultranationaliste prônant le panturquisme. Dans cette bergerie, la reconstitution était interprétée par de jeunes garçons habillés en soldats ; camouflage, saluts militaires, drapeaux turcs et, pour la touche réaliste, des enfants enroulés dans le drapeau rouge et croissant dans le rôle des combattants morts au combat égayaient l’innocent décor.

    Côté Turquie, les cris d’orfraie pathognomoniques du musulman stigmatisé ne se firent pas attendre : « vague populiste, islamophobie, racisme et discrimination »et ceteri et cetera, piaillait le porte-parole du président Erdoğan pour qui, rappelons-le, « les mosquées sont nos casernes, les coupoles nos casques, les croyants nos soldats, cette armée divine garde ma religion »… Et de dénoncer un ciblage de la communauté musulmane, éternelle victime jamais contente, et une décision constituant une « violation des principes légaux universels, des droits des minorités et de la coexistence éthique ». Grandiose : avec des arguments de ce genre, en les poussant à l’extrême, c’est à croire qu’un musulman envoyé seul sur Mars, se sentira opprimé. À ce stade de mauvaise foi « ès taqya« , ce n’est plus l’hôpital qui se fout de la charité, mais carrément la mosquée qui se fout du djihad armé. Hélas, Erdoğan, pour qui l’« assimilation est un crime contre l’humanité », aboie, mais à Vienne, les imams valsent.

    D’Istanbul, en chantre des droits des minorités, celui-ci menaçait encore : « Ces mesures prises par le Premier ministre autrichien sont, je le crains, en train de mener le monde vers une guerre entre les croisés et le croissant. »

    Et pendant ce temps, dans la Ville Lumière, après avoir été une salle de spectacle, puis un lieu de massacre commis par les coreligionnaires de M. Erdoğan au nom de leur idéologie commune, voilà que le Bataclan se transforme en mosquée, une mosquée spectacle, où un prosélytisme en rimes sera éructé par une chance pour la France portant le doux sobriquet du deuxième lieu saint de l’islam (Médine), berceau de l’époque la plus sanglante du parcours pacifiste du prophète de la religion d’amour et de paix. Et c’est ainsi que l’Histoire, petit à petit, risque bien, comme le prophétise M. Erdoğan, de se répéter.

    http://www.bvoltaire.fr/islamisme-lautriche-agit-france-accueille/

  • Islamisme en prison: le témoignage alarmant d’un gardien après l’attentat de Liège

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    L’auteur de la tuerie de Liège était un délinquant belge converti à l’islam en prison. Un gardien témoigne de la bombe à retardement qu’on nous prépare…

    Voir la video

     
  • Italie : Conte premier ministre, Salvini à l’intérieur, Di Maio au développement économique

    Italy's Prime Minister-designate Giuseppe Conte talks with the Italian President Sergio Mattarella at the Quirinal Palace in Rome, Italy, May 31, 2018. Italian Presidential Press Office/Handout via REUTERS ATTENTION EDITORS - THIS IMAGE HAS BEEN SUPPLIED BY A THIRD PARTY.

    Le juriste de 53 ans dirigera un gouvernement d’union après l’accord conclu jeudi entre les chefs de file du Mouvement 5 Etoiles (antisystème) et de la Ligue (extrême droite), Luigi Di Maio et Matteo Salvini.

    Vers une sortie de crise en Italie ? Le pays s’est doté, jeudi 31 mai dans la soirée, d’un nouveau gouvernement avec à sa tête un juriste de 53 ans, Giuseppe Conte. Cette fois, le président Sergio Mattarella a validé la liste des membres de l’équipe gouvernementale, qui prêtera serment vendredi à 16 heures.

    L’annonce a été faite après le nouvel accord conclu jeudi après-midi par les chefs de file du Mouvement 5 Etoiles (M5S, antisystème), Luigi Di Maio, et de la Ligue (extrême droite), Matteo Salvini. Lesquels font d’ailleurs partie de ce nouveau gouvernement en tant que vice-premiers ministres. Comme prévu, M. Salvini hérite également du ministère de l’intérieur. De son côté, M. Di Maio est nommé ministre du développement économique.

    Paolo Savona aux affaires européennes

    Paolo Savona, économiste qui considère l’euro comme « une prison allemande », est nommé aux affaires européennes. Le président Mattarella avait mis son veto, dimanche, au premier gouvernement proposé par la Ligue et par le M5S, car M. Savona était prévu pour le ministère de l’économie et des finances.

    Ce poste revient à Giuseppe Tria, un professeur d’économie politique favorable au maintien de l’Italie dans l’euro. Il est notamment proche des idées de la Ligue, en particulier sur la baisse radicale et la simplification des impôts. C’est également un farouche partisan de l’Union européenne, Enzo Moavero Milanesi, qui a été nommé aux affaires étrangères.

    Après la prestation de serment, M. Conte demandera la confiance au Parlement, où la Ligue et le M5S ont la majorité des deux chambres. « Engagement, cohérence, écoute, travail, patience, bon sens, tête et cœur pour le bien des Italiens. Peut-être qu’on y est enfin, après tant d’obstacles, d’attaques, de menaces et de mensonges », s’est réjoui M. Salvini sur Facebook à l’annonce du nouvel accord avec le M5S.

    L’idée d’un gouvernement d’union M5S-Ligue avait été abandonnée dimanche soir à la suite de ce veto spectaculaire du président Mattarella. Le chef de l’Etat avait alors chargé lundi Carlo Cottarelli, un économiste, de former un gouvernement d’experts en attendant de nouvelles élections.

    Mais après l’annonce de la Ligue et de M5S, M. Cottarelli a fait savoir jeudi soir qu’il renonçait à former un gouvernement. « Un gouvernement politique est de loin la meilleure solution pour le pays », a-t-il déclaré. Les deux partis ont alors de nouveau proposé Giuseppe Conte, un professeur de droit peu connu jusqu’ici, pour prendre la tête du gouvernement d’union.

  • Marine Le Pen propose à Nicolas Dupont-Aignan une liste unique aux Européennes

    6a00d83451619c69e20224df372211200b-250wi.jpgDans une lettre ouverte :

    "Il y a un an, au second tour de l’élection présidentielle, tu faisais un geste que tu qualifiais si justement « d’historique » en ralliant ma candidature sur un projet de gouvernement dont tu avais accepté de prendre la tête. Pour la première fois depuis longtemps, le camp des patriotes se retrouvait, se rassemblait et unissait ses forces dans l’intérêt supérieur de la Nation et du peuple français. En prenant nos responsabilités à un moment crucial de la vie politique française, nous avons au-delà de nos sensibilités respectives répondu à l’attente de millions de Français et bouleversé le paysage politique.

    Nous sommes ainsi devenus des acteurs incontournables d’une recomposition autour du véritable clivage mondialistes/nationaux. Ce paysage nouveau s’articule désormais entre deux visions clairement distinctes : un horizon post-national, fédéraliste, incarné par Emmanuel Macron qui réunit ceux adhérant sans réserve au mondialisme, et un avenir français, indéfectiblement ancré dans ce qui a fait l’histoire et la force de notre pays, la défense de sa grandeur, de sa souveraineté, de sa liberté.

    Ce clivage, et tu le sais, est désormais celui qui traverse nombre de pays européens : En Autriche, en Italie, en Hongrie, les partis nationaux pour les uns déjà au pouvoir et pour les autres se trouvant à ses portes, ont amplifié ce bouleversement historique. Partout l’esprit de rassemblement, la volonté de dépasser les divergences mineures ont prévalu pour rendre possible ce qui était martelé comme étant impossible.

    Dans un an, les Français se rendront de nouveau aux urnes pour élire les députés nationaux au Parlement européen. Emmanuel Macron ne s’en est pas caché, il a déjà clairement annoncé ses intentions d’amplifier la submersion migratoire, la fédéralisation de l’Union européenne, d’assujettir la France un peu plus à la Commission de Bruxelles, à ses technocrates non élus et ses directives supranationales qui font tant souffrir nos compatriotes.

    Face à ce projet de démantèlement de notre cher et vieux pays, nous avons une responsabilité historique, une responsabilité commune, celle d’être le socle d’un large rassemblement de celles et ceux de toutes sensibilités politiques qui croient en la France, à sa liberté, à son droit inaliénable de choisir son avenir.

    Je t’ai suggéré notre présence symbolique aux deux dernières places de cette liste avec un double objectif : pousser la liste vers les sommets en démontrant notre totale implication dans ces élections européennes et nous mettre, nous deux, présidentiables, chefs de partis et députés nationaux, au seul service de l’intérêt supérieur de notre pays au-delà de toute ambition personnelle.

    Je te propose en conséquence de nous rencontrer dans les plus brefs délais afin de travailler à une charte commune qui établira les priorités et les mesures essentielles pour transformer l’Union européenne en une Europe des Nations, des coopérations et des libertés. Je sais que tu partages mon enthousiasme de voir demain une majorité soucieuse des peuples et des nations se constituer au Parlement européen. Il nous appartient aujourd’hui de ne pas décevoir l’espérance des millions de compatriotes qui nous font confiance."

    Une enquête d'opinion menée par Elabe pour BFMTV donne un aperçu de l'état de l'opinion à un an des élections européennes :

    • 24% des Français voteraient pour LREM,
    • 19,5% pour le FN
    • 15% pour LR.
    • La France insoumise 10% des voix.

    Seule l'union permettra de passer devant l'européisme de LREM. Sachant qu'on ignore encore sur quelle ligne sera LR, divisée entre une critique de l'UE et un européisme béat... Sans parler des petites formations, comme l'UPR, qui espèrent mettre leur grain de sel dans la campagne.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Attaque au couteau dans une gare : 1 mort, 2 blessés. La police agressée abat le coupable. Alors, terrorisme ou pas?

    Ca s'est passé, hier, 30 mai en Allemagne.

    Toute ressemblance avec d'autres attaques récentes ne sont pas fortuites. Mais les autorités allemandes ne communiquent pas. La presse française ne relaye pas (voir Fdesouche ici). Pourquoi?

    Lahire

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Européennes: Les souveraino-identitaires seraient en tête devant LaREM, LR et la France insoumise de Mélenchon

    Le FN 19,5% + Debout la France 5,5%  = 25% des intentions de vote. L’ancienne coalition des souveraino-identitaires de la Présidentielle 2017 serait donc en tête des intentions de vote pour les Européennes l’année prochaine, juste devant La République en Marche de Macron qui n’obtient que 24%, loin devant Les Républicains qui n’auraient que 15% et encore beaucoup plus loin devant Mélenchon avec 10% des intentions. Selon une enquête d’opinion menée par Elabe pour BFMTV.

    Le tapage pour faire croire que Mélenchon serait le principal opposant à Macron est donc bel et bien un montage médiatique. On comprend dans ces conditions l’empressement des médias à la botte de Macron de faire une publicité tous azimut en faveur de Marion Méréchal [quels que soient ses mérites par ailleurs] ou encore de Philippot, et de taire le bon score de La France debout de Dupont-Aignan, tout en présentant Marine Le Pen comme dépassée. Il s’agit de diviser le Front national qui reste aujourd’hui le principal parti anti-système de France, selon le vieil adage: diviser pour régner.

    Autres partis sondés: Europe-Ecologie Les Verts (8%). Parti socialiste 6%. Les Patriotes de Philippot ne sont même pas mentionnés.

    Ce premier sondage est un bon présage pour l’élection des députés européens, les souverainistes-identitaires de tous les pays membres devraient arriver en masse au Parlement européen [AFD allemand, La Ligue et M5S italien, FPÖ autrichien, Grecs, Hongrois, Polonais, Tchèque, slovaques, etc.], ce qui pourrait être le seul moyen de mettre réellement en danger le gouvernement de la Haute Banque qui dirige l’Union à travers la Commission de Bruxelles composée de Commissaires, non pas élus mais investis par les gouvernements sous la pression de la BCE, elle-même assujettie aux grandes Banques internationales et dirigée par Mario Draghi, ancien dirigeant de Goldmann Sachs. Pour rappel Emmanuel Macron vient de la Banque Rothschild.

    Au Parlement européen les souveraino-identitaires pourraient constituer soit une majorité ou plus probablement, une forte opposition capable de peser très lourd dans l’avenir des institutions européennes en faveur d’une Europe des nations. A condition toutefois que ces partis eurosceptiques et souveraino-identitaires ne se tirent pas dans les pattes, ce que le Système, fort de ses importants moyens de propagande et de ses lois liberticides, présentes et à venir, va s’employer à susciter.

    http://www.medias-presse.info/europeennes-les-souveraino-identitaires-seraient-en-tete-devant-larem-lr-et-la-france-insoumise-de-melenchon/92619/