La presse polonaise ne dénonce pas le voile islamique mais le viol islamique de l'Europe et cela choque nos bobos, restés bien silencieux lors des viols et agressions sexuelles en Allemagne :
Europe et Union européenne - Page 745
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La presse polonaise choque les biens pensants
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Allemagne : les internautes se détournent de Facebook
Les internautes allemands sont de plus en plus nombreux à se détourner du plus grand réseau social mondial et sont à la recherche de solutions alternatives. En ces temps de surveillance et de censure à grande échelle, les moyens de communication et sources d’information décentralisés prennent de plus en plus d’importance.
Après que, sur mandat de la société Arvato, filiale à cent pour cent du groupe Bertelsmann, et de la Fondation Amadeu-Antonio, Facebook eut mis en œuvre les premières mesures de censure, de plus en plus d’utilisateurs se sont vus contraints d’échapper à Facebook, devenu une pieuvre tentaculaire avide de toutes les informations possibles.
L’alternative la plus appréciée leur est offerte par le réseau social russe VK[1] et le projet de sources ouvertes Diaspora.
Même la messagerie-App Whatsapp de Facebook est de plus en plus impopulaire et est remplacée par les Apps Threema[2] et Signal, équivalents quant à leur convivialité et leur fonctionnalité WhatsApp. Autre avantage de ces applications : leur « cryptage de bout en bout » rend impossible la lecture des contenus par le serveur. Cette caractéristique est bien sûr une épine dans le pied pour tout organe de contrôle, raison pour laquelle ont eu lieuplusieurs tentatives pour les criminaliser. Le responsable régional de l’Office de la protection de la Constitution de Thuringe a même demandé publiquement que soient insérées dans de tels programmes des portes dérobées, afin qu’en cas de besoin les communications puissent être déverrouillées, lues et évaluées[3].
Source : http://www.info-direkt.eu/die-grosse-facebook-flucht.
[1] https://vk.com et https://diasporafoundation.org (en de nombreuses langues, y compris le français).
[2] https://threema.ch/de / https://whispersystems.org/
[3] http://www.heise.de/security/meldung/Crypto-Wars-3-0-Thueringens-Verfassungsschutzchef-fordert-Hintertueren-in-Krypto-Messengern-3095311.html
http://www.medias-presse.info/allemagne-les-internautes-se-detournent-de-facebook/49512
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Révolte des agriculteurs, est ce la faute de l’Europe ?
(NOVOpress avec le bulletin de réinformation)
Alors que des manifestations importantes d’agriculteurs se sont déroulées en Bretagne, on peut se demander ce que fait Stéphane Le Foll. Il n’a pas obtenu ce qu’il demandait lors du dernier conseil européen des ministres de l’Agriculture. L’Allemagne, qui concurrence fortement l’agriculture française avec ses fermes-usines, s’est opposée aux demandes françaises. Elle veut continuer à prendre des parts de marché à la France en ayant des règles sociales moins sévères.
« #CriseAgricole : le gouvernement constate son impuissance à Bruxelles » | Mon communiqué de presse :https://t.co/WH3EAay1Qy
— Marine Le Pen (@MLP_officiel) February 16, 2016
@SebastienHuyghe Si @SLeFoll cessait d'appliquer les voeux de #Bruxelles on ne serait pas à 2 suicides d'agriculteurs/jour.#criseagricole
— Jimmy Bourlieux (@BourlieuxJimmy) February 18, 2016
#CriseAgricole : à Rennes, les agriculteurs bretons ne lâchent rien https://t.co/h5m2LYwOPn #LE20Hpic.twitter.com/9AEgaTzM03
— TF1 Le JT (@TF1LeJT) February 18, 2016
@jccambadelis Mais ce n'est pas ce que demandent les agriculteurs (fin embargo russe, prix d'achat par centrales achat etc …).
— Matoury351 (@matoury351) February 18, 2016
http://fr.novopress.info/198394/revolte-agriculteurs-ce-faute-leurope/
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Nouvelle capitulation européenne, l'accord "EU/US Privacy Shield"
Ex: http://www.europesolidaire.eu
L'accord Etats-Unis Union européenne sur la protection des données numériques dit "EU/US Privacy Shield" confirme le fait que sur ces questions très importantes pour l'indépendance européenne, la Commission européenne est plus que jamais soumise à la volonté américaine.La commissaire européenne en charge de la justice vient d'annoncer le feu vert donné par le Collège des Commissaires européens à l'accord politique sous ce nom, négocié avec les Etats-Unis afin d'encadrer les transferts de données à caractères personnel entre l'UE et les Etats-Unis.
Cet accord était attendu impatiemment par la partie américaine pour remplacer le Safe Harbor (mécanisme permettant le transfert de données vers pas moins de 4.000 entreprises y ayant adhéré aux Etats-Unis) invalidé par l'arrêt Schrems rendu par la Cour de Justice de l'Union Européenne le 6 octobre 2015.
On apprécie à cette occasion les euphémismes: safe harbour pour port de refuge et privacy shieldpour bouclier destiné à protéger les données privées. Il s'agit manifestement de tout le contraire: assurer aux autorités et aux entreprises américaines le droit unilatéral d'accéder aux données européennes, sous le couvert de garanties aléatoires dont les seules institutions américaines assureront le respect.
Les commissaires européens se félicitent d'avoir conclu un accord solide et plus protecteur des droits des citoyens européens que le Safe Harbor. Mais le projet est déjà fortement critiqué par ceux qui refusent de voir les agences de renseignement américaines pénétrer librement dans les données européennes.Les principaux dispositifs sont les suivants:
· des garanties écrites et détaillées apportées par les Etats-Unis afin d'assurer que l'accès aux données des citoyens européens par les autorités publiques à des fins de sécurité nationale sera limité et contrôlé ;
· des engagements pris par les entreprises importatrices des données de respecter des obligations rigoureuses sur le traitement des données et le respect des droits des personnes concernées, sous la surveillance du "Départment of Commerce" ;
· la définition de plusieurs voies de recours pour les citoyens européens tant en Europe qu'aux Etats-Unis avec notamment une voie d'arbitrage possible en dernier recours ;
· une clause de révision annuelle permettant de surveiller de près que ce dispositif est correctement mis en place ;
· des sanctions voire l'exclusion des entreprises importatrices de données du nouveau dispositif pourraient être appliquées à l'encontre des entreprises se trouvant en violation de leurs obligations.Un projet de "décision d'adéquation" sera rédigé dans les prochaines semaines par la commissaire européenne et le vice-président Andrus Ansip, projet qui devra ensuite être adopté par le Collège. Pendant ce temps, les Etats-Unis sont tenus de prendre les actions nécessaires pour mettre en place rapidement ce nouveau dispositif.
Comme dans le projet de traité transatlantique dit TTIP, dont Privacy Shield est une transposition presque exacte, on constate que ce sont en dernier ressort les entreprises privées américaines qui décideront des mesures qui s'imposeront à leurs homologues européens. En cas de difficultés et de plaintes, ce seront les services américains qui décideront des suites à donner.
Dans les cas sensibles, c'est-à-dire ceux où l'intrusion des services de renseignements américains sera trop voyante pour passer inaperçue des européens, les dossiers seront transmis à un « médiateur » dont les pouvoirs n'ont pas été précisés. On devine ce que sera le poids de ce médiateur, à supposer qu'il ne soit pas désigné par la seule partie américaine.
Les agence de protection des données existant dans chacun des pays européen, telles la CNIL en France, ne pourront que « transmettre à Washington les plaintes éventuellement déposées auprès d'elles.
Le projet « Privacy Shield » est soutenu par l'eurogroupe parlementaire PPE (centre-droit), dont font partie Les Républicains français. La secrétaire américaine au Commerce, Penny Pritzker, se félicite pour sa part du projet d'accord, qui « va aider à la croissance de l'économie numérique ».
On peut se demander si Axelle Lemaire, Secrétaire d'État auprès du ministre de l'Économie, de l'Industrie et du Numérique, chargée du Numérique, est seulement informée de ce qui se prépare. De toutes façons, comme ni le gouvernement français ni le Parlement n'auront voie au chapitre... -
En Normandie, des agriculteurs pendent une vache sur la permanence d'un député
Action choc des agriculteurs de la Coordination rurale, à Avranches, jeudi 4 février 2016. Pour inciter un député à agir, des éleveurs ont pendu une vache morte sur sa permanence.Face à l’absence de réponse et de solution, deux jours après une première action coup de poing, une trentaine d’agriculteurs se sont rassemblés dans la nuit du mercredi 3 au jeudi 4 février 2016, devant la permanence du député (Les Républicains) d’Avranches Guénaël Huet, pour y pendre une vache, morte depuis trois semaines. Une action choc, orchestrée par le président de la Coordination rurale, Yannick Bodin, pour alerter l’opinion sur le mal-êtr des agriculteurs.« Montrer la réalité des choses »Sur la page Facebook de la Coordination rurale de la Manche, des images qui choquent. Des commentaires offusqués d’internautes qui ne comprennent pas, qui s’insurgent. Mais devant ces opinions, parfois haineuses, Yannick Bodin, propriétaire de cette vache pendue, reste ferme, et déterminé à présenter la gravité de la crise agricole.« Nous avons eu deux suicides dans le secteur, et ça n’inquiète personne. Depuis des années nous sommes interrogés sur le sujet, et rien ne se fait. Aujourd’hui, cette image fait mal. Mais la vie d’un agriculteur compte-t-elle moins que la vie d’une bête ! »Face à la violence des mots, l’agriculteur rétorque en présentant la fulgurance de la crise qui s’abat sur le monde agricole. Une méthode marquante, qui a cependant eu ses effets sur les élus locaux.« Tous les politiques m’ont téléphoné. Le projet de loi de la Communauté rurale est arrivé à l’Assemblée nationale et au Sénat. La gauche comme la droite ont pris le sujet en main. »L’agriculteur désespéré a également rencontré le président du Département de la Manche, Philippe Bas. « Tout s’est déclenché aujourd’hui. »Toute action est critiquableSi l’action est contestable, Yannick Bodin a voulu poursuivre ses actes en suivant la même ligne dictée, deux jours plus tôt : ne pas faire de casse.« Je préfère ça aux actions qui coûtent une fortune. Une fortune qui aurait pu servir à sauver des agriculteurs au bord du suicide. Faut-il faire quatre millions d’euros de dégâts comme en Bretagne, s'attaquer aux CRS comme à Saint-Lô ? Toute action est critiquable, mais nous n’avons pas voulu prendre en otage les citoyens et consommateurs. »Yannick Bodin compte désormais sur l’action des élus. « Les politiques n’ont rien fait depuis 25 ans, je me bats à ma façon pour faire comprendre notre situation. »Pour le président du syndicat départemental, l’heure est désormais à la réflexion, sur le devenir de son exploitation agricole.« Je me donne encore six à huit semaines pour savoir quoi faire. Cette vache que nous avons pendue était morte depuis trois semaines. J’ai réfléchi longtemps avant d’agir. Mais elle montre aussi que nous n’avons même plus les moyens de soigner nos bêtes, comme les particuliers qui n’ont plus d’argent pour soigner leur animal de compagnie… »Une « récupération qui ne passe pas »Il reste à savoir désormais si les sensibilités de chacun resteront ancrées sur cette image violente, ou si le message des agriculteurs en détresse passera. Du côté du député Guénaël Huet, une plainte a été déposée, vendredi 5 février 2016, contre Yannick Bodin et la Coordination rurale.« J’apprécie moyennement la mise en scène macabre qui a été faite. Il y a des choses à ne pas faire. Mais ce que je désapprouve surtout, c’est la récupération d’un drame, le suicide d’un agriculteur que je connais, à des fins syndicales. »Ce dernier « n’accepte pas l’inscription accolée à la vitrine de sa permanence Député, tu as du sang sur les mains ». Rappelant son « soutien complet au monde agricole », il se dit sensible à la situation des agriculteurs en détresse, mais rejette catégoriquement « une récupération qui ne passe pas ».Chose que le représentant cantonal de la FDSEA de la Manche ne cautionne également pas. Dans un communiqué diffusé lundi 8 février 2016, Jean-Michel Debesne informe qu’il est « de notre devoir de réagir face à ces actes violents, en termes d’images et de symboles véhiculés par de syndicat minoritaire, qui salit la profession et utilise des tragédies privées pour faire passer des messages ».« Le moment choisi, les images choquantes et l’interprétation qui peuvent en être faite au-delà de notre milieu agricole, ne correspondent pas aux valeurs de la majorité des agriculteurs des citoyens. Notre syndicat ne partage pas les actes à la permanence du député. »
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La Suède veut louer un luxueux navire de croisière pour y loger 1800 clandestins
L’Ocean Gala de l’affréteur US Shipmanagers
Une petite croisière gratuite en Suède ? Vous feriez bien de vous faire passer pour un clandestin fraichement débarqué… Voici la fiche technique du prochain hôtel pour les réfugiés de Suède : ici.
Trouvé sur Le Point : La Suède veut louer un luxueux navire de croisière et l’ancrer dans un port de la mer Baltique pour y installer près de 1.800 migrants, a-t-on appris jeudi auprès de l’Office des migrations.
Un affréteur américain, US Shipmanagers, met à disposition l’Ocean Gala (anciennement MS Scandinavia et MS Island Escape), un navire construit en 1982 par les chantiers Dubigeon en France et transformé en hôtel flottant.
« Le fournisseur doit trouver un port d’attache et le navire doit être expertisé » pour s’assurer qu’il satisfait certains impératifs de sécurité et de confort, a indiqué à l’AFP une porte-parole de Migrationsverket, Alexandra Elias.
Des négociations sont en bonne voie, selon l’office qui versera 450 couronnes suédoises (48 euros) par passager et par jour à US Shipmanagers.
La Suède manque de place pour loger les 163.000 demandeurs d’asile arrivés sur son sol en 2015. Faute de lits suffisants dans les centres d’accueil, des milliers d’entre eux sont hébergés dans des églises, des mosquées, des gymnases, des centres d’évacuation de la sécurité civile.
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Bernard Monot (FN) interpelle Mario Draghi sur l'économie de la zone euro.
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« Comme à la veille de la Première Guerre mondiale »
Initiée par le président socialiste du parlement européen, Martin Schulz validée avec bienveillance par « la justice » alors aux ordres de Christiane Taubira, la persécution judiciaire du FN, en l’espèce l’abracadabrantesque enquête ouverte sur les assistants parlementaires des députés européens frontistes, s’est poursuivie hier. Bruno Gollnisch présent sur place pour une réunion l’a constaté «avec effarement», le siège du FN à Nanterre a été perquisitionné par une vingtaine de policiers mais aussi les bureaux de Jean-Marie Le Pen et les domiciles de certains assistants ou ex assistants parlementaires. Rappelons l’objet, le prétexte du courroux de nos adversaires et de ce déploiement de force en pleine menace terroriste et état d’urgence: lesdits assistants sont «soupçonnés d’œuvrer au bénéfice exclusif du FN en France, alors qu’ils sont rémunérés par l’institution européenne».
Une manière aussi pour le pouvoir d’assimiler le FN aux affaires qui éclaboussent toujours la droite avec la nouvelle mise en examen mardi de Nicolas Sarkozy pour financement illégal de sa campagne présidentielle de 2012. Pour ne rien dire du dernier rapport accablant de la chambre régionale des comptes d’Ile-de-France, traitant de la gestion de la ville de Levallois-Perret par le très républicain couple Balkany qui fait état, dans cette commune la plus endettée de France (par habitants), d’un «oubli» de 117 millions d’euros dans les comptes entre 2007 et 2013…
Un sujet qui paraît anecdotique après le nouveau sanglant attentat, attribué immédiatement aux kurdes ou aux islamistes, qui vient d’endeuiller Ankara (Turquie), à quelques heures du sommet, de nouveau désigné comme « crucial » qui réunira aujourd’hui à Bruxelles les 28 dirigeants des pays européens et s’achèvera demain.
Il y sera traité bien évidemment de la manière de stopper les velléités d’indépendances des uns et des autres sous la pression des opinions publiques de plus en plus anti-bruxelloises. Plus spécifiquement et officiellement, de la manière d’éviter le départ du Royaume-Uni de l’UE (Brexit) par la satisfaction éventuelle des exigences britanniques (restriction des prestations sociales aux ressortissants européens travaillant en Grande-Bretagne, meilleur contrôle sur la gouvernance économique bruxelloise pour les Etats qui ne sont pas dans la zone euro…) avant le référendum prévu outre-manche cet été…
Présidant ce sommet en tant que président du Conseil européen, l’ex Premier ministre polonais Donald Tusk a (sur)joué la carte de la dramatisation : «Nous avons des divergences sur certains points politiques et je suis parfaitement conscient qu’il sera difficile de les surmonter(…). Après mes consultations ces dernières heures, je dois l’avouer franchement: il n’y a toujours pas de garantie que nous parviendrons à un accord.»
C’est en fait la possibilité offerte au peuple de donner son avis qui fait craindre le pire au très atlantiste M. Tusk : le Brexit selon lui « remet aussi en question l’avenir de l’Europe. Je crains que ce référendum ne devienne un modèle très attrayant pour certaines personnalités politiques qui souhaitent atteindre des objectifs personnels et internes. En réalité, j’en connais déjà certains qui copient ce modèle pour souligner leur indépendance vis-à-vis de Bruxelles.»
Autre question essentielle qui sera débattue lors de ce sommet, et elle l’est particulièrement pour les peuples européens qui se détournent de cette Union européenne là, celle des flux migratoires, «exode» de migrants en direction de l’Europe qui pourrait durer «des années» pronostiquait Donald Tusk.
Face à des opinons publiques vent débout et qui constatent le cauchemar que vit actuellement l’Allemagne et les Allemands, les gouvernements européens ne se sont pour l’instant répartis que 500 réfugiés sur le total de 160 000 qu’ils avaient promis de se «distribuer» l’été dernier. C’est aussi l’avantage pour nos compatriotes d’avoir un FN premier parti politique de France, les socialistes au pouvoir ont reculé et n’ont pas osé adopter le principe défendu par Angela Merkel d’un « mécanisme permanent de répartition » des immigrés, en coopération avec laTurquie!
C’est pourtant encore et toujours l’agitation des peurs, la carte du chantage sur le thème « c’est nous ou le chaos » qui est brandie par les européistes qui martèlent qu’hors cette UE bruxelloise mortifère il n’y a point de salut.
Dans ce domaine, M Tusk est passé maître. Discourant devant les responsables locaux du Comité des régions à Bruxelles le 10 février il affirmait ainsi : «Je suis tout à fait conscient que la crise de la migration et le débat sur le Brexit reviennent à se demander comment survivre dans notre tradition de démocratie libérale. Comment survivre au radicalisme et à l’extrémisme», « Je ne veux pas faire dans le sensationnalisme, mais vous voyez ce que je veux dire. « Nous sommes comme à la veille de la Première Guerre mondiale. C’est vraiment une analogie parfaite, selon moi ».
Peut-être (quand bien même la menace n’est pas celle d’un affrontement entre Européens) mais la faute à qui ? Certainement pas de ceux qui ont avert,i depuis des décennies, sous les quolibets et les ricanements, de l’aveuglement de nos élites devant les des dangers d’un radicalisme,instrumentalisé par les adversaires de notre continent, de notre civilisation , dirigé contre les nations européennes et porté par une vague migratoire, démographique sans précédent
« C’est facile de rejeter la faute sur l’UE dans cette crise» disait encore le président du Conseil européen. « Je crains que ce soit l’instrument le plus utile pour les eurosceptiques, qui veulent prouver à quel point l’UE est vulnérable aujourd’hui ».
Monsieur Tusk se trompe. Ce n’est pas faire preuve de facilité mais de lucidité que de dénoncer les travers d’une construction bruxelloise dont le FN a été le premier a percevoir les failles, les dangers, les travers et le totalitarisme latent s’exerçant envers les défenseurs des patries et des peuples libres. Députés nationaux, patriotes, souverainistes contre lesquels Martin Schulz affirmait en 2007 qu’il fallait dresser « un cordon sanitaire».
Elus frontistes qui continueront à clamer haut et fort leur refus des évolutions européistes, de l’inféodation de nos souverainetés et indépendances nationales à Big brother. Ce que le think tank d’obédience socialiste Europanova avouait avec plus de franchise que les dirigeants des partis bruxellois : « Malgré une dynamique chaotique, l’Europe demeure le seul laboratoire concret d’une future gouvernance mondiale… ».
http://gollnisch.com/2016/02/18/comme-a-la-veille-de-la-premiere-guerre-mondiale/
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Brexit : cinq raisons pour lesquelles les Britanniques veulent nous quitter
Reprendre le contrôle des frontières pour contrôler l’immigration et restaurer leur souveraineté nationale arrivent en tête des motivations des europhobes pour prendre le large.De notre correspondant à Londres,
Nigel Farage, leader du parti souverainiste Ukip. Crédits photo : VINCENT KESSLER/REUTERS
Depuis des années, les eurosceptiques font campagne pour obtenir un référendum sur l’appartenance du Royaume-Uni à l’Union européenne. Leur argument : depuis l’adhésion du pays en 1973, ratifiée (à 67%) par la population en 1975, l’Europe a complètement changé de nature. Les Britanniques avaient rejoint un grand marché économique et se retrouvent, sans avoir eu leur mot à dire, dans une union politique en marche vers une intégration croissante. Alors qu’a lieu jeudi un sommet européen crucial pour l’avenir du Royaume-Uni dans l’Union européenne, voici leur heure venue pour justifier leurs motivations pour un Brexit.
1 - Contrôler l’immigration
Si l’Europe n’apparaît pas en tête des préoccupations des électeurs, c’est en revanche le cas de l’immigration. Depuis plusieurs années se répand un sentiment de « trop plein » en Grande-Bretagne, entretenu par le parti souverainiste Ukip (United Kingdom Independence Party) et, dans son sillage, les partis de gouvernement. Plus de la moitié de l’immigration nette en Grande-Bretagne provient de l’Union européenne, en particulier des pays de l’Est (Pologne, Roumanie, pays baltes…). La liberté de circulation au sein de l’UE empêche Londres d’agir sur ces flux. Pour contrebalancer, le gouvernement a durci les critères d’entrée pour les pays du reste du monde. Les eurosceptiques estiment qu’en dehors de l’UE, le Royaume-Uni pourrait enfin reprendre le contrôle de ses frontières et de sa politique migratoire. [....]
La suite sur Le Figaro.fr
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Brexit-cinq-raisons-pour
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Europe centrale : durcissement des mesures contre l’immigration
(NOVOpress avec le bulletin de réinformation)
Alors que la Commission européenne prévoit l’arrivée d’au moins 3 millions d’immigrés supplémentaires dans l’Union européenne, d’ici 2017, les pays d’Europe centrale se montrent de plus en plus réticents à l’idée d’en accueillir chez eux.
Dernièrement, l’Autriche s’est ajoutée à la liste…
Hier, le ministre de l’Intérieur autrichien conservateur, Johanna Mikl-Leitner, a, en effet, annoncé le rétablissement des contrôles aux frontières avec la Slovénie, la Hongrie et l’Italie ainsi que l’instauration de diverses mesures. Parmi ces dernières, la mise en place de grillages dans le but d’endiguer l’arrivée de clandestins. Toutefois, pour le moment, il est difficile de dire si ces annonces relèvent d’un coup de communication ou d’une volonté politique de mettre fin à l’immigration.Les pays du groupe de Visegrád se montrent quant à eux de plus en plus offensifs…
Ils envisagent, en effet, de fermer leurs frontières dans les Balkans. Le groupe de Visegrád regroupe 4 pays, la Hongrie, la Pologne, la République tchèque et la Slovaquie. Lundi, ses dirigeants se sont réunis, à Prague, pour notamment examiner la crise migratoire. La Bulgarie et la Macédoine étaient également invitées pour la première fois à cette rencontre. La réunion avait pour but d’appuyer une fermeture des frontières dans les Balkans pour afin de bloquer l’arrivée de clandestins venant de Grèce en direction vers l’Allemagne ou la Suède. Viktor Orbán a annoncé que la Hongrie était prête « à fournir des gardes-frontières et d’autres ressources humaines et matérielles aux pays qui seraient prêts à bâtir une deuxième ligne de défense au sud de la Hongrie ».