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Europe et Union européenne - Page 876

  • La TURQUIE doit-elle absolument intégrer l’U.E ?

    Au sommet d’Helsinki (en décembre 1999) les ministres des Quinze avaient reconnu à la Turquie son statut de pays candidat, le début des négociations devant rester lié à la conformation aux « critères de Copenhague » quant aux droits de l’homme.

    Comment ces droits sont-ils respectés lorsqu’un pays (la Turquie) occupe militairement un membre de l’Union économique tel que Chypre ? L’ensemble de la communauté internationale a condamné cette invasion militaire et une résolution de l’ONU a exigé en 1974 le retrait immédiat des troupes turques.

    Depuis 40 ans ANKARA maintient son occupation militaire et spolie la population chypriote.

    Turki$tan

    Il faut se souvenir que MM. Valéry Giscard d’Estaing (ancien président de la République française) et Robert Badinter (ex-garde des Sceaux du président François Mitterrand) étaient résolument contre l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne.

    Le 18 juin 1987, le Parlement européen votait une résolution en 15 points. Celle-ci subordonnait l’admission de la Turquie dans la Communauté européenne à plusieurs conditions précises. Parmi celles-ci, la reconnaissance du génocide arménien et l’évacuation de la partie nord de Chypre, occupée militairement par les turcs depuis leur invasion en 1974.

    Ces deux faits suffisent amplement à refuser l’entrée de ce pays asiatique et peuplé à 92% de musulmans, dans l’Union européenne !

    Et 27 ans après, cette résolution du Parlement européen n’a pas été appliquée.

    Entre-temps, Chypre est devenue membre de l’UE.

    L’obligation faite à la Turquie est restée sans effet. Elle garde cependant tout son sens car le P.E avait adopté le 26/02/2004 un rapport du député Per Gahrton qui
    réitère sa position telle que la résolution l’avait énoncée le 18 juin 1987.

    A ce jour, Ankara n’a pas changé de position sur les deux points ci-dessus.

    L’on pourrait donc se demander si pour faire respecter le droit international, comme cela c’est passé en Irak, en Yougoslavie, en Lybie ou ailleurs, après avoir fait
    bombarder Bagdad, Belgrade et Tripoli, l’ONU ne devrait pas prendre la résolution de faire bombarder Istanbul ou Ankara ?

    Avant de commencer à imaginer une quelconque alliance avec les pays de l’Est, d’Asie ou du Maghreb, la Commission serait mieux inspirée de convaincre la NORVEGE, L’ISLANDE et la SUISSE de rejoindre le noyau dur des pays européens à vocation et culture identiques qui, comme mentionné dans le Traité de Maastricht, s’engageaient à défendre la préférence européenne …on perdrait moins de temps !

    Pieter KERSTENS

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/la-turquie-doit-elle-absolument-integrer-lu-e_114526.html#more-114526

  • Ebola ne menace pas l'Europe et l'Amérique du Nord

    Par La Voix de la Russie | La fièvre Ebola ne menace pas l’Amérique du Nord, affirment les scientifiques américains, dont les ouvrages sont publiés dans la revue Annals of Internal Medicine.

     Les chercheurs sont venus à cette conclusion après avoir examiné l'histoire de la maladie, ainsi qu’en traçant la propagation du virus au cours de la dernière épidémie de masse. Ils croient que le virus Ebola ne menace pas les pays ayant des systèmes de soins de santé développés, y compris parce qu'il n'y a pas de chauves-souris qui sont les vecteurs. Ainsi, l’Amérique du Nord et l’Europe sont hors de danger.

    Selon l'OMS, le nombre de victimes du virus Ebola depuis mars 2010 a atteint 1145 personnes.

    http://french.ruvr.ru/news/2014_08_19/Ebola-ne-menace-pas-lEurope-et-lAmerique-du-Nord-8486/

  • L’Europe a perdu la guerre américano- russe

    La guerre, on la fait ou on ne la fait pas. On ne fait pas semblant. Pour avoir ignoré cette simple évidence, l’Europe est dans le tourbillon, complètement déboussolée, en recherche de repères qu’elle n’a plus.

    La guerre que mènent les Etats-Unis contre la Russie est une guerre à mort. L’Europe, à la fois enjeu et actrice, ne veut pas de cette issue mais, victime de ses alliances protectrices et de son statut historique mais devenu artificiel, est obligée et même sommée de prendre parti par son Grand Protecteur. Cette guerre n’est pas la sienne, mais elle est obligée de la faire. Alors elle fait semblant, alors que les deux protagonistes savent, eux, que l’issue ne peut être que la défaite totale de l’un ou de l’autre, se traduisant soit par la soumission complète et entière de la Russie, soit par la perte de toute capacité d’hégémonie des Etats-Unis.

    Dans ce combat de titans, un combattant non décidé, comme l’est l’Europe, est vite submergé. C’est ce qu’on constate dès la première contre-offensive russe. Pays par pays, l’Union Européenne manifeste progressivement son hostilité à une guerre qu’elle n’a pas voulue contre la Russie. Des voix s’élèvent pour rechercher une certaine forme d’armistice. Ils ne sont, pour l’instant, que 7 à 8 pays à s’être officiellement exprimés dans ce sens, mais leur nombre grossit de jour en jour. D’autres pays ne s’expriment pas, mais n’en pensent pas moins. Et tous ces pays réfractaires représentent certainement la majorité dans l’UE.

    On assiste à quelque chose de curieux au sein de l’UE, similaire à ce que l’on constate dans tous les pays européens : la majorité compte pour du beurre. Seule une petite élite dirige l’ensemble, décide et agit pour tous.

    Mais malgré tout, après la mise en place des contre-sanctions de Moscou, et après le baroud d’honneur humiliant et infructueux auprès des partenaires russes, les européens s’acheminent vers une recherche d’armistice. Pour ce coup-là, un constat s’impose : le Grand Protecteur est aux abonnés absents. Qu’eût-il pu faire, d’ailleurs ? Absorber tous les invendus européens ? Subventionner ? Impossible, surtout à l’heure où, par différents traités dont le TAFTA, il cherche à spolier encore plus ses « amis ». Les européens auraient pourtant pu présenter la note à l’Oncle Sam, car après tout, c’est pour lui qu’ils ont fait tout ce qui les a menés dans cette situation. Mais ils n’ont pas osé et ont préféré chercher à intimider ou amadouer des plus petits qu’eux. Il a dû y avoir des situations cocasses. Imaginez, par exemple la France, toute honte bue, demandant à Evo Morales d’oublier l’incident de son détournement d’avion et d’accepter de donner un coup de main à une Europe qui l’a traité comme un moins que rien. A mourir de rire.

    En cas d’armistice, les pertes resteront tout de même conséquentes, et certaines irréversibles. Car cette fois, contrairement à tous les traités de Versailles ou d’ailleurs, où les partages se font après les hostilités, la redistribution a déjà été effectuée, et sans eux. Si la Russie reprenait l’importation des produits qu’elle avait bannis, les européens seront obligés de se mettre dans la file d’attente de tous ceux qui sont nouvellement arrivés sur le marché russe avec des accords en béton, accords que les russes ne remettront jamais en cause.

    D’une manière ou d’une autre, l’Europe payera pour avoir vendu son âme au diable il y a 70 ans et peut-être même avant. On peut, toutefois, lui reconnaitre des circonstances atténuantes. Le diable a profité d’une situation de faiblesse extrême pour la lui acheter à vil prix.

    Si l’Armistice survenait aujourd’hui, l’Europe s’en tirerait à bon compte et aborderait peut-être une nouvelle ère de prospérité grâce à une nouvelle dynamique mondiale. Dans le cas contraire, une analogie vient à l’esprit : l’Ukraine. L’Ukraine avait tous ses intérêts à l’Est et presque aucun à l’Ouest. Mais l’Occident a obligé l’Ukraine à saborder ses intérêts pour le rallier à son bloc, créant la sécession de la partie sud-est du pays. Si l’esprit de guerre persiste en Europe, il y a fort à parier que certains pays ne suivront plus et pourraient faire sécession, ce qui pourrait conduire à une guerre « intérieure » du même type que celle qui se déroule au Donbass. Il faut garder à l’esprit que, comme pour l’Ukraine, aucune dissidence ne sera tolérée par les Etats-Unis. La seule chance qu’a l’Europe de se sortir de ce guêpier est de faire bloc au nom des intérêts de ses citoyens et contre les avis des agents Barroso et consorts.

    Avic – Réseau International via al manar :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/di_antiamerique/EupluppFpuSXDngCkB.shtml

  • Réformer la France : L’indispensable libération du carcan européen

    Exclusivité du Salon Beige: la diffusion des différents articles du dossier dePolitique Magazine consacré à l'indispensable réforme nationale. Aujourd'hui, Gilles Varange.

    Les insuffisances manifestes de la diplomatie française en Syrie n’ont fait que confirmer l’ampleur du déclin de notre présence dans le monde. La cause profonde ne se trouve pourtant pas d’abord chez les diplomates et ceux qui les dirigent. La première exigence est la restauration préalable d'un véritable État souverain.

    Au pays de Louis XI et de Richelieu, de Vergennes et de Talleyrand, s’il est une idée ancrée dans les esprits, c’est bien celle attribuant un rôle essentiel à la diplomatie dans la prospérité et la grandeur d’une nation. Ainsi, si le général de Gaulle continue d’être reconnu comme la personnalité politique la plus marquante de notre histoire récente, c’est moins en tant que fondateur d’une Ve République désormais agonisante, moins en tant que redresseur de Finances publiques retombées en déshérence que comme l’initiateur d’un nouveau cours de la politique étrangère française dont il ne reste pourtant, là non plus, à peu près rien. Mais si l’abandon des principes qui guidèrent avec succès l’action extérieure du général-président crève les yeux, la cause en est presque toujours recherchée dans la « trahison » ou le manque de courage de ses successeurs. Évident refus d’admettre la réalité, à savoir que la dilution de notre influence diplomatique n’est que l’une des conséquences les plus manifestes du dramatique affaissement de la puissance française depuis un demi-siècle.

    Pas d’influence durable sans puissance. Telle est en effet la loi d’airain de la diplomatie. Si celle-ci peut donner l’impression, aux yeux d’observateurs superficiels, de céder à de périodiques engouements idéologiques, le poids des réalités ne tarde pas à remettre les
    choses en place. Rappelons-nous le prestige du maréchal Tito et l’attrait de ses principes de non-alignement auprès d’une intelligentsia française extatique !

    Souvenons-nous de même des succès d’un Boumediene ayant réussi à faire d’Alger le capitale internationale de l’idéologie tiers-mondiste. Autant en emporte le vent : le titisme est mort en même temps que Tito et la Yougoslavie elle-même n’y a pas survécu. Et les belles théories d’Houari Boumediene n’ont pas préservé l’Algérie de la clochardisation.

    LES CONDITIONS DU REDRESSEMENT 
    Autant d’exemples destinés à nous débarrasser de l’illusion que la prospérité et la grandeur  d’une nation sont d’abord tributaires d’une politique étrangère réussie. C’est tout le contraire qui est vrai : la diplomatie ne peut être, dans le meilleur des cas, que la  fidèle servante d’une politique intérieure pertinente, créatrice de richesses et génératrice de puissance.

     

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    Paula Corbulon

  • Réformer la France : L’indispensable libération du carcan européen

    Exclusivité du Salon Beige: la diffusion des différents articles du dossier dePolitique Magazine consacré à l'indispensable réforme nationale. Aujourd'hui, Gilles Varange.

    Les insuffisances manifestes de la diplomatie française en Syrie n’ont fait que confirmer l’ampleur du déclin de notre présence dans le monde. La cause profonde ne se trouve pourtant pas d’abord chez les diplomates et ceux qui les dirigent. La première exigence est la restauration préalable d'un véritable État souverain.

    Au pays de Louis XI et de Richelieu, de Vergennes et de Talleyrand, s’il est une idée ancrée dans les esprits, c’est bien celle attribuant un rôle essentiel à la diplomatie dans la prospérité et la grandeur d’une nation. Ainsi, si le général de Gaulle continue d’être reconnu comme la personnalité politique la plus marquante de notre histoire récente, c’est moins en tant que fondateur d’une Ve République désormais agonisante, moins en tant que redresseur de Finances publiques retombées en déshérence que comme l’initiateur d’un nouveau cours de la politique étrangère française dont il ne reste pourtant, là non plus, à peu près rien. Mais si l’abandon des principes qui guidèrent avec succès l’action extérieure du général-président crève les yeux, la cause en est presque toujours recherchée dans la « trahison » ou le manque de courage de ses successeurs. Évident refus d’admettre la réalité, à savoir que la dilution de notre influence diplomatique n’est que l’une des conséquences les plus manifestes du dramatique affaissement de la puissance française depuis un demi-siècle.

    Pas d’influence durable sans puissance. Telle est en effet la loi d’airain de la diplomatie. Si celle-ci peut donner l’impression, aux yeux d’observateurs superficiels, de céder à de périodiques engouements idéologiques, le poids des réalités ne tarde pas à remettre les
    choses en place. Rappelons-nous le prestige du maréchal Tito et l’attrait de ses principes de non-alignement auprès d’une intelligentsia française extatique !

    Souvenons-nous de même des succès d’un Boumediene ayant réussi à faire d’Alger le capitale internationale de l’idéologie tiers-mondiste. Autant en emporte le vent : le titisme est mort en même temps que Tito et la Yougoslavie elle-même n’y a pas survécu. Et les belles théories d’Houari Boumediene n’ont pas préservé l’Algérie de la clochardisation.

    LES CONDITIONS DU REDRESSEMENT 
    Autant d’exemples destinés à nous débarrasser de l’illusion que la prospérité et la grandeur  d’une nation sont d’abord tributaires d’une politique étrangère réussie. C’est tout le contraire qui est vrai : la diplomatie ne peut être, dans le meilleur des cas, que la  fidèle servante d’une politique intérieure pertinente, créatrice de richesses et génératrice de puissance.

     

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    Paula Corbulon

  • [Entretien Exclusif ] Philippe Arino revient sur les Veilleurs de Londres.

    Alors, Philippe, vous allez exporter la bonne parole auprès de Gog et Magog ? Quel accueil vous ont réservé les londoniens ? 

    Un excellent accueil. Il faut savoir que dans la capitale anglaise, les Français représentent la communauté étrangère la plus représentée en nombre (bien avant les Polonais, les Indiens, les Pakistanais, etc.). En dix ans, la population française résidant à Londres a explosé. Donc l’arrivée d’un Français avait des chances de susciter un écho positif ! Et les événements de l’année dernière en France concernant le « mariage pour tous » ont beaucoup marqué les Anglais et surtout les Français expatriés : d’une part parce que certains ont participé ponctuellement à l’une ou l’autre de nos grandes manifs, ou tout du moins les ont regardées avec beaucoup d’envie et de frustration ; d’autre part parce qu’une loi identique au « mariage pour tous » a été votée exactement au même moment en Angleterre, dans l’impuissance et l’indifférence générales. En plus, ce coup de Trafalgar est venu des conservateurs ! C’est un peu comme si Sarkozy avait fait passer la loi Taubira… Ce traumatisme a besoin d’être exprimé, évacué, verbalisé : certaines familles françaises catholiques m’ont avoué que pendant que « ça » se déroulait, elles n’avaient pas d’autre solution que de se réfugier dans leurs églises pour prier. Il y a bien eu une manifestation d’opposition de 1000-2000 personnes à Trafalgar Square le 24 mars 2013, mais elle reste anecdotique. Les Anglais n’ont pas fait leur deuil et n’ont pas eu leurs révolutions, leurs manifestations, leur débat, leurs veillées, pour se consoler de l’aberration qui s’est passée.

    Retrouvez-vous le même esprit chez les Veilleurs de Londres que chez les Veilleurs français et plus largement la même volonté de se mobiliser ?

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  • La zone euro à l’arrêt, comme la France

    La zone euro a fait du sur-place au second trimestre, avec une croissance nulle. La faute en premier lieu à son moteur, l’économie allemande, qui a calé. Le Produit intérieur brut (PIB) de l’Allemagne a reculé de 0,2 %. Commerce et investissements n’ont en effet pas été à la hauteur.

    http://fortune.fdesouche.com/

  • La Ligue du nord et la droite européenne contre les sanctions antirusses

    Matteo Salvini, député italien au Parlement européen et secrétaire fédéral de la Ligue du nord a fulminé ce jeudi sur son compte Twitter contre la politique de sanctions de l’Union européenne à l’égard de la Russie. « Seuls des sots de Bruxelles et de Rome pouvaient adopter des sanctions économiques contre la Russie. », pouvait-on lire. Un milliard d’euros de produits agro-alimentaires exportés en Russie ayant été retournés en Italie en vertu de la spirale des sanctions, le cadre de la Ligue du nord s’est insurgé en ces termes : « Qui remboursera nos producteurs? Matteo Renzi ? Angela Merkel? Il est indispensable de lever immédiatement les sanctions imposées contre la Russie. »

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  • L’Est européen est-il le dernier bastion du Christ ?

    Ci-dessous le drapeau de la république de Donetsk (Est-Ukraine pro-russe)  sous lequel combattent les défenseurs du Donbass.

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    Drapeau de la république de Donetsk aujourd’hui, représentant la Sainte Face.

    Ce fier étendard est symbolique de la Troisième Jérusalem; selon la tradition russe, c’est la Russie qui a relevé l’héritage chrétien de l’Empire Romain d’Orient, disparu après la prise de Constantinople par les Musulmans ottomans en 1453. La photo ci-dessous prise à Marseille en 1916, juste avant le début de la Révolution d’Octobre de 1917 manifeste éloquemment la Russie que veulent relever les responsables de Donetsk, plus étrangère encore au régime soviétique que celui du Kremlin de Vladimir Poutine qui doit ménager dans son pays les nostalgiques du communisme, même si la religion orthodoxe y est quasiment la religion officielle.

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    Soldats russes en 1916 à Marseille! Juste avant le début de la Révolution d’Octobre en 1917

    Le 30 juillet dernier, le chef de la défense du Donbass, Igor Strelkov, а interdit à ses soldats de jurer et de se masquer le visage en leur adressant le message suivant: «Nous nous disons une armée orthodoxe et nous sommes fiers de ne pas servir le veau d’or mais Notre Seigneur Jésus-Christ et notre peuple. Sur nos étendards figure le visage du Sauveur. Le recours aux jurons est un blasphème contre le Seigneur et la Mère de Dieu, que nous servons et qui nous protègent dans la bataille.»

    Ce drapeau s’oppose donc frontalement à l’image que l’Occident s’efforce de masquer, d’une Ukraine aux référents nazis. Il s’affiche comme l’héritier traditionnel de la Rous de Kiev et des tsars d’avant Pierre le Grand qui avait occidentalisé les emblèmes de la Russie.

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    Photo de l’armée ukrainienne en marche vers le Donbass, avec la croix gammée et le drapeau national

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