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Europe et Union européenne - Page 875

  • Le Gouvernement Valls II s'est trouvé une chancelière

    Elle se nomme Angela Merkel à en croire ce titre du Figaro "Merkel veut des réformes en France" :

    "La chancelière allemande Angela Merkel a renouvelé mercredi soir son appel à de "véritables réformes structurelles en France", sans plus de commentaires sur le nouveau gouvernement français, lors d'une interview publique organisée par le magazine Cicero".

    Le Salon Beige

  • L’invasion s’accélère

    La France participera à la nouvelle opération de contrôle des frontières en Méditerranée destinée à aider l’Italie à faire face à l’afflux d’immigrants clandestins, a déclaré mercredi soir à Rome le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve. « La France participera bien entendu à cette opération que je souhaitais », a-t-il dit. « Il faudra désormais discuter avec les autres Etats membres des modalités. »

    La Commission européenne a annoncé mercredi soir le lancement de « Frontex plus« d’ici à la fin novembre, pour remplacer Mare Nostrum, un déploiement naval à grande échelle mis en place par l’Italie pour secourir les candidats à l’immigration après deux sauvetages en octobre. La France avait justement transmis à ses partenaires il y a quelques jours un « plan sur l’immigration » qui proposait de renforcer l’opération Hermès de contrôle des frontières en Méditerranée pour succéder à Mare Nostrum, a également souligné Bernard Cazeneuve.

    Pour lui, le fait que la nouvelle opération est « portée par Frontex » montre qu’elle sera « d’une autre nature » que Mare Nostrum. « Notre souhait, pour une efficacité maximale, c’est qu’elle se déroule le plus près possible des frontières Nord de la Méditerranée », a-t-il poursuivi.

    Bernard Cazeneuve se trouve à Rome au premier jour d’une tournée destinée à discuter de son « plan sur l’immigration », qui doit également le conduire à Londres, Barcelone, Berlin et Bruxelles. (…)

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • Les institutions européennes sont le champ de bataille de l’uniformisation des normes

    Membre du Front national depuis 1989, Sylvie Goddyn est désormais député européen. Elle répond à Présent :

    G"Je suis titulaire, avec mes collègues Jean-François Jalkh et Mireille d’Ornano, de la très importantecommission de l’environnement, de la santé publique et de la sécurité alimentaire. C’est celle qui légifère le plus.On a en charge tout ce qui concerne la politique du climat, la pollution de l’air et des eaux, l’alimentation, la santé et donc les médicaments. Vu l’importance économique des sujets abordés, il y a un lobbying très fort. Le premier rapport qui nous est soumis porte sur les nouveaux aliments, ce qu’ils appellent les « novel foods ». Il s’agit entre autres, et je pense que ça va choquer beaucoup de gens, des aliments issus des animaux clonés ou descendants d’animaux clonés et des nanotechnologies. Au mois de juillet, nous avons eu la première réunion de commission.

    Est-ce que vous allez « communiquer » là-dessus ? Les électeurs ne sont absolument pas au courant des décisions concernant les animaux clonés, notamment.

    Bien sûr, nos concitoyens ne sont pas informés, car les médias ne font pas leur travail et c’est un véritable scandale ; il ne peut pas y avoir de démocratie sans transparence, c’est-à-dire sans système d’information exhaustif et libre. Or les tenants du « système » se gardent bien de « communiquer », car les gens seraient encore plus hostiles à l’Union européenne.

    Pourquoi cette absence de transparence ?

    Pour comprendre la construction européenne, il faut sortir des illusions rebattues depuis des décennies sur l’Europe puissance et indépendante. La réalité est que nos institutions européennes sont le champ de bataille de l’uniformisation des normes industrielles, technologiques, médicales, juridiques, etc. Bref, tous les domaines de la vie quotidienne. L’enjeu véritable est de savoir quelle entreprise imposera sa norme à l’ensemble de ses concurrents. D’où le lobbying autour de la commission et du parlement et le soupçon permanent de corruption. En d’autres termes, l’Europe ne s’occupe plus que du particulier. L’intérêt général, qui est la raison même de l’existence des institutions politiques, est totalement oublié. En vérité, il a été abandonné aux véritables initiateurs et maîtres de l’Europe : les Etats-Unis. D’où son impuissance et sa servilité congénitales, qui se manifestent de manière exemplaire dans l’affaire ukrainienne. [...]"

    Michel Janva

  • Entretien avec Michael Stürzenberger sur le projet de centre islamique à Munich

  • Embargo UE-Russie : L’effet boomerang des sanctions

    Les analystes parlent déjà de l’effet boomerang. Les sanctions de l’Union Européenne envers la Russie, et de la Russie vers l’Union sont en train de toucher très sérieusement les économies de pays comme la France, l’Espagne, l’Italie, et même l’Allemagne. 130.000 emplois son en jeu en Europe.

    http://fortune.fdesouche.com/

  • Location d'utérus : ils y viennent à coups de décisions judiciaires

    Le tribunal administratif du canton de St-Gall en Suisse a reconnu deux hommes comme étant les parents d'un enfant né aux Etats-Unis d'une mère porteuse. Les 2 hommes vivent en partenariat enregistré en Suisse.

    L'Office fédéral de la justice (OFJ) a recouru contre la décision et porté l'affaire auprès du Tribunal administratif, qui vient donc de donner raison aux 2 hommes contre l'intérêt des enfants puisque cette décision légitime le recours à la location d'utarus, l'achat d'enfants et l'esclavage des femmes. Le jugement n'est pas encore définitif, puisque l'OFJ peut porter l'affaire devant le Tribunal fédéral.

    Michel Janva

  • « immigration et élections » Intervention de Philippe Gibelin

     

    www.nationalite-citoyennete-identite.com

  • Sur les Identitaires, la Tradition et la révolution globale

    Je considère que les Identitaires sont des alliés quand ils refusent la modernité, l’oligarchie globale et le capitalisme libéral mortifère pour les cultures ethniques et les traditions.

    L’ordre politique moderne est essentiellement global et est purement basé sur l’identité individuelle. C’est le pire ordre possible et il doit être totalement détruit.

    Quand les Identitaires militent pour une réaffirmation de la Tradition et des anciennes cultures des peuples européens, ils ont raison. Mais quand ils attaquent les immigrés, les musulmans ou les nationalistes des autres pays (sur la base de conflits historiques), quand ils défendent les États-Unis, l’atlantisme, le libéralisme ou la modernité, quand ils considèrent la race blanche (qui est celle qui a produit la modernité) comme la race supérieure et affirment que les autres races sont inférieures, je suis en total désaccord avec eux.

    Plus que cela, je ne peux défendre les Blancs contre les non-Blancs pour la seule raison que je suis un Blanc et un Indo-Européen moi-même. Je reconnais la différence des autres groupes ethniques comme une chose naturelle et je refuse toute hiérarchie entre les peuples parce qu’il n’existe pas, et qu’il ne peut pas exister, de mesure universelle pour comparer les sociétés ethniques et les systèmes de valeur.

    Je suis fier d’être Russe, exactement comme les Américains, les Africains, les Arabes ou les Chinois sont fiers d’être tels qu’ils sont. C’est notre droit et notre dignité d’affirmer notre identité. Non pas les uns contre les autres, mais les uns à côté des autres, sans ressentiment envers les autres ni remords envers soi-même.

    Je ne peux pas défendre la nation, parce que la nation est un concept bourgeois imaginé par la modernité afin de détruire les sociétés traditionnelles (Empire) et les religions pour les remplacer par de pseudo-communautés artificielles basées sur l’identité individuelle. Actuellement, la nation est en voie d’être détruite par les mêmes forces qui l’ont créée dans la première période de la modernité. Les nations ont remplies leur rôle de destructeur des identités organiques et spirituelles, et maintenant les capitalistes détruisent leurs propres instruments pour rendre possible la globalisation.

    Nous devons attaquer le capitalisme comme un ennemi absolu, responsable tant de la création de la nation comme simulacre de la société traditionnelle que de sa destruction actuelle. La raison de la catastrophe actuelle a ses racines dans les bases idéologiques et philosophiques du monde moderne. Et la modernité qui était blanche et nationale à son origine est devenue globale sur sa fin. C’est pourquoi les Identitaires doivent choisir leur camp réel : la Tradition (ce qui inclue leur propre Tradition indo-européenne) ou la modernité ? L’atlantisme, le libéralisme, l’individualisme sont les formes du mal absolu pour identité indo-européenne, elles sont incompatibles avec elle.

    Si les Identitaires aiment réellement leur identité, ils doivent devenir eurasistes et rejoindre les traditionalistes, les ennemis du capitalisme de tous les camps politiques, races, religions ou cultures. Être aujourd’hui anti-communiste, anti-musulman, anti-Oriental, pro-Yankees, atlantiste, signifie appartenir à l’autre camp, être du côté du Nouvel ordre mondial et de l’oligarchie financière. Mais c’est une attitude illogique parce que les conséquences du globalisme détruisent toutes les identités sauf celles qui sont individuelles et faire alliance avec ceux qui le soutiennent signifie trahir l’essence même de l’identité culturelle.

    Le problème avec la gauche est différent. Elle est positive dans son opposition à l’ordre capitaliste mais elle manque de dimension spirituelle. La gauche se présente habituellement comme une autre voie vers la mondialisation ce qui est la raison de son opposition aux valeurs organiques, aux traditions et à la religion.

    Ce serait donc une bonne chose que de voir apparaître des « Identitaires de gauche » qui d’un côté défendraient la justice sociale en attaquant le capitalisme, et d’un autre défendraient les traditions spirituelles en attaquant la modernité.

    L’ennemi est unique, c’est l’ordre global libéral capitalisme de l’hegemon nord-américain (qui est dirigé aussi contre la véritable identité américaine).

    Nous ne vaincrons que si nous unifions nos efforts.

    Alexandre Douguine

    http://www.voxnr.com/cc/dh_autres/EuplllAFkuJzqCyKYI.shtml

  • État islamique en Allemagne et en Suisse aussi ?

    "Et si Al-Qaïda recrutait au marché ?", s’interroge-t-on fort opportunément sur les bords du lac Léman.   

    Des djihadistes en armes de l’État islamique distribuent des exemplaires du Coran, dans les rues des villes irakiennes et syriennes dont ils ont pris le contrôle. La kalachnikov en moins, leurs partisans les imitent, sous nos latitudes européennes, voulant « propager la parole d’Allah dans tous les ménages », comme l’a annoncé pour l’Allemagne l’un de leurs prédicateurs salafistes berlinois. Chez nos voisins d’outre-Rhin, les activistes musulmans ont lancé en 2011 une campagne sans précédent de promotion du Coran.

    L’ambition affichée par la fondation salafiste qui finance cette opération est que dans chaque foyer d’outre-Rhin (25 millions) parvienne à terme un exemplaire gratuit en allemand du « Livre saint ». L’affaire est en bonne voie. 

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  • Le couple franco-allemand doit-il faire chambre à part ?

    Les résultats des Européennes ont montré un véritable euroscepticisme dans certains pays. Bien que nous soyons heureux de ce (modeste) sursaut des Européens contre la technocratie capitaliste euro-atlantiste, il pose tout de même la question de l’avenir de notre continent. Soyons clairs, nous sommes initialement des défenseurs de l’Europe carolingienne, celle dont rêvait aussi Bonaparte, et qui fut à l’origine de l’Europe des Six. Le « repli national » n’est donc pas pour nous la solution optimale. C’est à la limite un truc d’Anglais de se replier sur son île et d’œuvrer à saborder toute puissance continentale européenne. Le rôle de la France, c’est d’être le cœur politique de l’Europe, comme c’est le cas depuis de nombreux siècles. La France se doit donc de « penser l’Europe ».

    Du rêve à la réalité, il y a un pas, donc soyons pragmatiques. Aujourd’hui il paraît évident qu’il n’existe aucun couple franco-allemand, on aura beau le fantasmer, dessiner des cartes de la Grande Europe sur Paint ou Photoshop, la réalité est évidente, comme c’est malheureusement le cas depuis maintenant cent cinquante ans, la France et l’Allemagne ne parviennent pas à agir de concert, à ne pas se vampiriser. Le couple franco-allemand ne vit que dans le spectacle médiatique fait des sourires hypocrites de leurs chefs d’États respectifs. Par ailleurs, combien de Français parlent l’allemand et combien d’Allemands parlent français ? Il faut donc envisager la constitution de l’Europe sur des bases neuves, ou pas.

    La France doit retrouver sa place, celle d’une grande nation d’Europe. La France a plusieurs forces. Tout d’abord elle dispose de la deuxième Z.E.E. du monde (espace maritime), ce qui est essentiel vis-à-vis des États-Unis et de la Chine. De plus, elle est aussi un carrefour, un passage obligé entre l’Europe du Nord et celle du Sud et l’isthme de tous les trajets partant de l’Est vers l’Ouest. Enfin, elle est une puissance agricole (la première d’Europe). La France est aussi, intrinsèquement, une « mini-Europe ». Il suffit par exemple de voir la diversité du bâti, entre les maisons en briques du Nord, qui rappellent la Belgique voisine ou l’Angleterre, les grandes maisons en pierre du Pays basque ou les maisons au crépis chaud du Sud méditerranéen qui rappellent l’Espagne ou l’Italie. La France ne peut donc pas aller contre l’Europe, au risque de renier une partie d’elle-même. C’est en s’appuyant sur ses forces (il y en a d’autres) qu’elle pourra se permettre de revenir ensuite vers l’Allemagne. La France se positionne aujourd’hui comme le seul pays capable de construire une autre Europe.

    Dans l’état actuel des choses, il faut réfléchir sur quelles bases constituer l’Europe. Une idée, qui n’est pas neuve mais pourrait être pertinente me traverse l’esprit régulièrement : diviser l’Europe actuelle en deux grandes familles et organiser des rapports bilatéraux entre la France et l’Allemagne. D’un côté une « union/confédération latine », de l’autre une « union/confédération germanique ».

    L’union latine est déjà un projet évoqué par Charles Maurras, qui lui- même mentionne que cette idée a été défendue par des « révolutionnaires » : Mazzini ou Victor Hugo. C’est d’ailleurs un projet qui a eu une actualité dans la deuxième moitié du XIXe siècle à la suite de l’unité italienne et des relations établies avec le Second Empire.

    La France pourrait coopérer avec l’Italie, l’Espagne, le Portugal et la Wallonie et disposerait de son importante Z.E.E. La France serait ainsi le moteur de cette union latine, ouverte directement sur deux mers et un océan et pouvant compter sur les territoires ultra-marins. Cette union latine disposerait d’une monnaie en rapport avec ses atouts économiques comme l’agriculture et le tourisme et pourrait aussi développer des technologies maritimes et s’engager sur la voie de la protection des océans. Elle serait un passage obligé pour le commerce international, en raison de son contrôle sur Gibraltar et le rail d’Ouessant et dispose de plusieurs villes portuaires comme Gênes, Marseille-Fos, Barcelone, Bilbao ou le Havre. Elle pourrait donc lourdement taxer les produits d’Asie de l’Est et du sous-continent indien, favorisant ainsi le développement d’un tissus de P.M.E. et engageant une forme de démondialisation. Elle aurait aussi en charge la lutte contre l’immigration et la coopération avec le Maghreb. Elle pourrait aussi être un partenaire de certains pays d’Amérique latine hostiles à la doctrine Monroe.

    La « confédération germanique » quant à elle rappellera la situation avant l’unité allemande, à l’époque où celle-ci était dominée principalement par l’Autriche. Les Prussiens ayant affaibli la position de l’Autriche, il reviendrait très naturellement à l’Allemagne rhénane de mener cette confédération. D’autant que la réunification n’est pas encore totalement réussie.

    L’Allemagne est la maîtresse de la Mitteleuropa, son espace géostratégique et économique comprend la Baltique, une partie du Danube et les pays de l’Europe orientale. Ainsi l’Allemagne pourrait structurer un espace de coopération avec l’Autriche, la Flandre, les Pays-Bas, la République tchèque et le Danemark. Je préfère ne pas trop élargir pour définir une union resserrée. Elle serait en tête dans l’industrie de qualité, la recherche ou les énergies « vertes ». Cet espace aurait le contrôle sur le Rhin, le Danube et bénéficiait des grands ports comme Rotterdam ou Anvers.

    L’établissement de ces deux grandes unions ou confédérations pourrait ensuite permettre la mise en place de rapports d’égal à égal entre la France et l’Allemagne, entre les Latins et les Germains, entre une Europe ouverte sur les mers et une Europe continentale, entre une Europe agraire et une Europe plus industrielle (ce qui n’exclue pas l’existence d’agriculture du côté de l’union allemande et d’industrie dans l’union latine). Bien sur tout cela relève de la fiction et il faudrait passer au-dessus de certaines blessures historiques, comme celle entre la France et l’Espagne ou celle entre l’Allemagne et la République tchèque qui serait le seul État « slave » de cette confédération, à moins que la Pologne s’y joigne. Pourtant ce serait dans l’immédiat la meilleur façon de sortir de la crise que traverse l’Europe en repositionnant les deux grands pays sur leur espace géopolitique naturel et en coupant l’Europe en deux grandes zones économiques structurellement différentes.

    Ces deux unions œuvreraient ensuite pour une politique internationale commune, ou du moins, non divergente. Ce qui pose par exemple la question d‘un partenariat avec la Russie, beaucoup plus simple à réaliser pour l’Allemagne que pour la France mais qui garantit le fameux axe « Paris-Berlin-Moscou » sur des bases équitables. L’Angleterre quant à elle serait repliée sur son île et chercherait à favoriser le libre-échange avec les États-Unis, comme elle l’a toujours fait. L’union latine serait sa principale concurrente sur les mers.

    À travers ce modeste article, qui relève de la prospective fictionnelle, j’ai cherché à proposer une sortie de crise possible pour résoudre les problèmes que nous traversons : difficultés monétaires, austérité en Europe du Sud (particulièrement en Italie), immigration, asphyxie économique, absence de protectionnisme, absence de politique étrangère, relations avec la Russie, résistance à l’impérialisme anglo-américain, riposte économique et géostratégique à la Chine et à l’Inde. Peut-être que certaines personnes bien placées seront à même de soulever cette idée, pas neuve, mais qui pourrait retrouver une actualité.

    Jean Non Conforme

    N.B. : ces considérations n’entrent pas en conflit avec des volontés localistes, auto-gestionnaires ou décroissantes qui peuvent aussi nous préoccuper. Ces dernières sont essentiellement le produit d’une politique intérieure alors que cet article concerne simplement la politique extérieure.

    • D’abord mis en ligne sur Cercle non conforme, le 4 août 2014.

    http://www.europemaxima.com/?p=3891