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Europe et Union européenne - Page 877

  • L’Est européen est-il le dernier bastion du Christ ?

    Ci-dessous le drapeau de la république de Donetsk (Est-Ukraine pro-russe)  sous lequel combattent les défenseurs du Donbass.

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    Drapeau de la république de Donetsk aujourd’hui, représentant la Sainte Face.

    Ce fier étendard est symbolique de la Troisième Jérusalem; selon la tradition russe, c’est la Russie qui a relevé l’héritage chrétien de l’Empire Romain d’Orient, disparu après la prise de Constantinople par les Musulmans ottomans en 1453. La photo ci-dessous prise à Marseille en 1916, juste avant le début de la Révolution d’Octobre de 1917 manifeste éloquemment la Russie que veulent relever les responsables de Donetsk, plus étrangère encore au régime soviétique que celui du Kremlin de Vladimir Poutine qui doit ménager dans son pays les nostalgiques du communisme, même si la religion orthodoxe y est quasiment la religion officielle.

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    Soldats russes en 1916 à Marseille! Juste avant le début de la Révolution d’Octobre en 1917

    Le 30 juillet dernier, le chef de la défense du Donbass, Igor Strelkov, а interdit à ses soldats de jurer et de se masquer le visage en leur adressant le message suivant: «Nous nous disons une armée orthodoxe et nous sommes fiers de ne pas servir le veau d’or mais Notre Seigneur Jésus-Christ et notre peuple. Sur nos étendards figure le visage du Sauveur. Le recours aux jurons est un blasphème contre le Seigneur et la Mère de Dieu, que nous servons et qui nous protègent dans la bataille.»

    Ce drapeau s’oppose donc frontalement à l’image que l’Occident s’efforce de masquer, d’une Ukraine aux référents nazis. Il s’affiche comme l’héritier traditionnel de la Rous de Kiev et des tsars d’avant Pierre le Grand qui avait occidentalisé les emblèmes de la Russie.

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    Photo de l’armée ukrainienne en marche vers le Donbass, avec la croix gammée et le drapeau national

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  • Négociations internationales et transparence : la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) condamne la Commission européenne

    L’article original a été rédigé en espagnol sous le titre  «  Histórica sentencia del Tribunal de Justicia de la Unión Europea rompe el muro de secretismo en las negociaciones del Acuerdo Transatlantico de Comercio Entre EEUU y UE »

    ♦ Le 3 juillet 2014, la CJUE a rendu un arrêt important en matière de transparence relative aux négociations commerciales. Cet arrêt fait suite à un recours déposé par une eurodéputée néerlandaise libérale (ALDE) suite au refus de la Commission européenne de lui transmettre l’intégralité des documents relatifs aux négociations entre l’UE et les USA sur l’accord dit TFTP-SWIFT.Cet accord a pour objectif de mettre à la disposition du département du Trésor des États-Unis des données de messagerie financière dans le cadre de la prévention du terrorisme et du financement du terrorisme (Europaforum.public.lu).

    Les dispositions de cet arrêt peuvent largement être transposées à l’ensemble des accords commerciaux actuellement négociés par la Commission, notamment l’accord général négocié avec les Etats-Unis : le TTIP.

    Un article en ce sens a été écrit par le blog espagnol Economia Ciudadana. En voici la traduction ci-dessous.

    Article :

    Le 3 juillet, la Cour de justice de l’Union européenne (première chambre) a rendu un jugement historique, en réponse à un appel interjeté par le Conseil visant à refuser l’accès aux documents de négociations internationales pour les citoyens européens et leurs représentants au Parlement européen.

    Bien que le jugement C 350/12 P ne se réfère pas spécifiquement au Traité transatlantique, il a un impact direct sur ces négociations, en établissant l’obligation totale de permettre ou d’accéder partiellement aux documents de négociations internationales aux citoyens de l’Union européenne et leurs représentants politiques élus au Parlement européen, annulant les stratagèmes les plus couramment utilisés par la Commission pour refuser l’accès à ces informations, généralement basés sur les dommages hypothétiques ou affirmant tout simplement que des pourparlers sont déjà en cours.

    The pricipe of the transparency of the decision making process of the European Union could not be ruled out in international affaires like TTIP.

    The principe of the transparency of the decision making process of the European Union could not be ruled out in international affaires like TTIP. (Court of Justice of European Union)

    Comme il est de plus en plus habituel dans les pourparlers relatifs au TTIP, le Conseil européen et la Commission européenne bloquent systématiquement l’accès aux documents, sur la base du dommage hypothétique qui serait causé aux stratégies de négociations de l’UE, la Commission soutenant que cela donnerait un important avantage à l’autre partie.

    L’arrêt de la CJUE équilibre exactement les intérêts des institutions : il doit, d’une part, assurer l’accès à toutes les informations concernant leur gestion, comme un moyen efficace de garantir le droit à la transparence des citoyens, et, de l’autre, garantir un niveau nécessaire de discrétion requis pour les processus de négociations internationales, afin d’éviter les stratégies de négociations de base révélatrices d’autres parties aux négociations.

    Bien que la transparence doive être une qualité intrinsèque des institutions européennes – en particulier dans le cas du «défaut démocratique» de la Commission européenne –, la CJUE a été obligée de rappeler au pouvoir exécutif une série de vérités évidentes en matière de transparence : l’accès aux documents produits ou reçus par les institutions européennes et les droits des citoyens de base, tous consacrés par l’article 6 du traité de l’Union européenne et dans la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne.

    La Cour reconnaît qu’il existe des exceptions à l’accès à tous les documents, notamment les renseignements personnels ainsi que les exceptions prévues par le règlement (CE) 1049/2001, les articles 4.1 a), troisième tiret, 4,2 secondes tableau de bord, et 6.

    Dans le même temps, celles-ci étant des exceptions, par définition, elles ne doivent être utilisées que dans des circonstances exceptionnelles. Par conséquent, quand elles sont utilisées de façon à refuser l’accès aux documents, ce doit être pour des objectifs et des motifs non hypothétiques. En aucun cas ne peut-on empêcher l’accès aux parties non exonérées de la documentation. En d’autres termes, alors que la Commission ou le Conseil peuvent censurer les aspects objectivement couverts par l’exception, ils ne peuvent pas bloquer l’accès du public au reste de la documentation.

    La première conclusion à tirer en ce qui concerne le jugement est que, contrairement à la Commission européenne, où l’exception est devenue la règle, la Cour de justice a confirmé une fois de plus le sens original du concept : veiller à ce que des exceptions ne puissent être appliquées que lorsqu’il y a des faits spécifiques fondés sur des motifs et objectifs réels, et non sur des cas hypothétiques.

    En conséquence, les négociateurs du traité doivent désormais permettre un large accès du grand public à tous les documents du TTIP, et ne censurer que les paragraphes qui pourraient affecter les stratégies de négociation importantes et qui ne sont pas déjà connues par l’autre partie aux négociations.

    Un second point intéressant concernant le jugement est que, alors que la Commission et le Conseil ont soutenu que la documentation pourrait révéler des anomalies pouvant éventuellement affaiblir la position de négociation, la Cour a conclu que la simple existence d’incohérences n’était pas en soi suffisante pour conclure à un risque de préjudice causé par l’accès à la documentation.

    Ce point, qui, dans toute démocratie semblerait aller de soi, est celui sur lequel l’Union européenne et ses institutions «démocratiques» (le Conseil et la Commission) ont dû être rappelées.

    Le troisième point à noter est que l’arrêt annule le statut extraordinaire accordé par la Commission européenne aux négociations internationales, de sorte qu’elles restent inaccessibles pour le grand public alors qu’elles sont encore en cours. Ce motif a permis au groupe de négociations de refuser les pétitions des citoyens pour l’accès aux documents.

    Dans cette ligne, la Cour de justice de l’Union européenne nous rappelle que le règlement 1049/2001 (qui réglemente également les exceptions), en son 4e considérant et son article premier, assure le plus large accès possible aux documents des institutions et établit que les exceptions doivent être interprétées et appliquées strictement.

    Ci-dessous les articles 52 et 53 de l’arrêt:

    52 «En effet, d’une part, lorsque l’institution concernée décide de refuser l’accès à un document dont la communication lui a été demandée, il lui incombe, en principe, de fournir des explications quant aux questions de savoir de quelle manière l’accès à ce document pourrait porter concrètement et effectivement atteinte à l’intérêt protégé par une exception prévue à l’article 4 du règlement n° 1049/2001 que cette institution invoque. En outre, le risque d’une telle atteinte doit être raisonnablement prévisible et non purement hypothétique.

    53 «D’autre part, lorsqu’une institution applique l’une des exceptions prévues à l’article 4, paragraphes 2 et 3, du règlement n° 1049/2001, il lui incombe de mettre en balance l’intérêt spécifique devant être protégé par la non-divulgation du document concerné et, notamment, l’intérêt général à ce que ce document soit rendu accessible, eu égard aux avantages découlant, ainsi que le relève le considérant 2 du règlement n° 1049/2001, d’une transparence accrue, à savoir une meilleure participation des citoyens au processus décisionnel ainsi qu’une plus grande légitimité, efficacité et responsabilité de l’administration à l’égard des citoyens dans un système démocratique.»

    Le quatrième point digne de considération du jugement est la référence faite au rôle de la Commission européenne dans les négociations internationales, où elle agit non seulement en sa qualité de dirigeant, mais aussi dans sa capacité législative. En conséquence, il y a un besoin intrinsèque de transparence dans les orientations fondamentales fixées par les négociateurs européens.

    En effet, l’alinéa 76 de l’arrêt démolit la prétention de la Commission que les négociations doivent être tenues secrètes jusqu’à ce que l’accord ait été signé par les parties et que le rôle du Parlement européen devrait être limité à approuver ou rejeter l’accord dans son ensemble.

    La Cour indique : «L’intérêt public relatif à la transparence du processus décisionnel serait vidé de son contenu si sa prise en compte était, comme le propose la Commission, limitée au cas où la procédure décisionnelle est mise à son terme

    Cette conclusion de la Cour annule la posture antidémocratique visant à cacher le contenu du TTIP afin d’éviter un débat public et de montrer les divergences qui existent à l’égard de l’accord.

    L’arrêt de la CJUE fournit les arguments nécessaires pour une pétition formelle pour l’accès aux documents de négociations, sur la base de:

    1. Les documents consolidés sont déjà connus des deux parties. Par conséquent, il ne peut être considéré que de donner leur accès nuirait aux lignes de négociations stratégiques.

    2. Le fait que les pourparlers de TTIP sont actuellement en cours n’est pas une raison suffisante pour refuser l’accès aux documents.

    3. Selon le jugement, les citoyens ont accès non seulement aux documents produits par les négociateurs de l’UE mais aussi à ceux produits par les Etats-Unis qui sont maintenant entre les mains des négociateurs de la Commission du commerce.

    4. Bien que la Cour reconnaisse certaines exceptions à la transparence dans des sections où aucun accord n’a encore été conclu, elle reconnaît également que ces exceptions ne peuvent pas être facilement appliquées pour refuser l’accès à d’autres parties non exemptées des documents.

    5. La Cour de justice rappelle à la Commission que lorsque les pourparlers ont un impact sur la législation, les exigences de transparence sont plus importantes encore.

    6. Les exceptions appliquées pour bloquer partiellement l’accès aux documents doivent être objectivement justifiées, non hypothétiques et non contraires au traité de l’Union européenne et à la Charte des droits fondamentaux.

    Economia Ciudadana
    23/07/2014

    Version espagnole : Histórica sentencia del Tribunal de Justicia de la Unión Europea rompe el muro de secretismo en las negociaciones del Acuerdo Transatlantico de Comercio Entre EEUU y UE »

    Version française : http://www.contrelacour.fr/negociations-transparence-cjue-condamne-commission/

    http://www.polemia.com/negociations-internationales-et-transparence-la-cour-de-justice-de-lunion-europeenne-cjue-condamne-la-commission-europeenne/

  • Grèce : La privatisation du littoral est en marche

    La Grèce n’est pas encore sortie de la crise : après les cures d’austérité violentes, le gouvernement grec est toujours à la recherche de ressources pour éponger la dette. Et son littoral risque d’en pâtir.

    La privatisation de la côte grecque, l’une des rares de Méditerranée jusqu’alors relativement préservée du bétonnage, est en effet bien en marche.

    http://fortune.fdesouche.com/

  • De la France enchaînée vers la France libérée

    Barack Obama a déclaré hier que  l’aviation américaine larguerait des vivres aux membres de la communauté religieuse yézidi,«apostats» réfugiés dans les montagnes irakiennes pour échapper aux couteaux des  fous d’allah, mais aussi pilonnerait les colonnes de djihadistes de l’Etat Islamique (EI) en route vers Erbil pour y chasser Kurdes et Chrétiens. Une manière pour le président américain d’avouer qu’il est dépassé par la sauvagerie sanglante du Frankenstein islamiste que Washington ne contrôle plus ( ?), que l’Oncle Sam a activement contribué à modeler en Irak par sa politique…Etats-Unis auxquels Paris et Bruxelles restent soumis, aux dépends de leurs intérêts. Si l’on voulait avoir de nouvelles preuves de l’état d’affaissement de notre pays sous la conduite de l’UMPS, deux événements très dissemblables ces derniers jours en sont d’ailleurs la triste illustration.

     Les mesures de rétorsions prises par l’UE et les Etats-Unis (pour une durée de trois mois) vis-à-vis de la Russie pour lui faire payer sa gestion de la crise ukrainienne  se sont soldées assez logiquement par un embargo en retour décrété par Moscou sur les produits européens et américains. En cette période de crise,  les agriculteurs français notamment  paieront aux prix fort cette volonté de complaire au maitre américain, a fortiori  si lesdites mesures sont étendues dans le temps.

     L’Europe de Bruxelles, création largement  américaine ou de ses agents d’influence  pour justement empêcher les Européens de défendre  leurs intérêts propres, montre une nouvelle fois sa pusillanimité atlantiste et sa nocivité.

     A travers la Russie, la France est aussi attaquée indirectement par Washington  puisque les Américains (comme Berlin)  pressent aussi  Paris de ne pas livrer le second bateau de guerre commandé par les Russes à nos arsenaux, alors même que Moscou est un client déjà très important. Mais il est vrai que le complexe militaro-industriel yankee rêve de voir la France  en finir avec sa performante industrie d’armement qui lui taille (encore) des croupières sur le marché  mondial.

     Dans un autre domaine, à Epinay-sur-Seine (Seine Saint-Denis),  une  famille africaine, sans moyen de locomotion n’a pas pu trouver dimanche un taxi pour emmener leur fils Zacharie à l’hôpital, car les chauffeurs de taxi refusent de se déplacer dans leur quartier dit  « sensible » où les racailles font la loi. Emmené finalement aux urgences tardivement, le garçonnet de dix ans est décédé. Peu importe que  les médecins auraient détecté lors de l’autopsie une grave maladie cardiaque à l’enfant et estimé qu’il n’aurait pas pu être sauvé. C’est un nombre sans cesse croissant d’habitants des quartiers pluriels qui sont aujourd’hui prisonniers de la loi des bandes, victimes aussi de la lâcheté de l’Etat qui recule, détourne les yeux, et consent sans le dire à l’extension sur notre sol  des zones de non droit.

     Une tiers-mondiation, une ghettoïsation qui est le fruit du laxisme  et d’une immigration massive défendue par la gauche et la droite au pouvoir qui  génère mécaniquement l’échec de l’assimilation et  son corollaire : une haine de beaucoup de « jeunes » vis-à-vis des symboles de l’Etat français.  Haine  qui n’est pas réductible comme veulent  s’en persuader les hypocrites ou les sots  à un urbanisme déshumanisé et au chômage. Comme le constate Xavier Raufer,  le  taux de pauvreté monétaire, c’est-à-dire de gens qui n’ont pas d’argent est de 19,5% dans la Creuse et de 18% en Seine-Saint-Denis ; les deux tiers des immeubles dégradés en France se trouvent dans la Creuse. Dégradations qui elles, ne sont pas le fait des saccages commis par leurs habitants.

     « Les pauvres sont-ils en Seine-Saint-Denis ? Non. La vraie misère est dans le Cantal et dans la Creuse !». Mais dans la Creuse et le Cantal,  les policiers, les pompiers, le samu, les taxis, les agents de l’EDF ne sont pas caillassés, victimes d’embuscade et traités de « sales Français »…

     Dans ces conditions est-il vraiment étonnant que les regards de nos compatriotes se tournent vers le Front National ? Il existe un moyen assez simple constate Bruno Gollnisch, de jauger de la progression des sympathies des Français vis-à-vis du programme défendu par l’opposition nationale. Il suffit d’écouter la multiplication des mâles déclarations des dirigeants de l’UMP…qu’ils ne mettent jamais en pratique lorsqu’ils sont au pouvoir.

     Un habitué du genre, le député filloniste et président du Conseil général des Alpes-Maritimes,  Eric Ciotti,  déclarait ces derniers jours sur RTL qu’«il faut aujourd’hui limiter les capacités d’attractivité de notre pays, notamment au plan social. Cela passe peut-être par des réformes constitutionnelles, il n’est pas logique que des étrangers aient les mêmes prestations sociales que les nationaux.».

    Autre cas d’espèce, le député UMP de la Drôme, Hervé Mariton, l’homme qui confessait il ya peu sa gêne de défiler contre le mariage homosexuel dans le même cortège que Bruno Gollnisch, Marion Maréchal-Le Pen et d’autres élus du FN. Mardi, M. Mariton est monté lui aussi au créneau sur ce thème en déclarant sur France Inter que « tout nouvel entrant en France, qu’il soit en situation régulière ou irrégulière, ne doit pas avoir accès aux aides sociales contributives avant un délai de plusieurs années ».

     Ce problème ne semble pas l’avoir effleuré quand il était membre de la majorité, mais ça c’était avant…que le FN devienne le premier parti de France aux élections européennes,avant le sondage Ifop publié le 31 juillet par Marianne  sur la présidentielle de 2017.

     Dans tous les cas de figure étudiés par l’Ifop , candidature de François Hollande (17%), d’Arnaud Montebourg (11%) ou de Manuel Valls(17%), la gauche serait éliminée au premier tour, et ce sont Marine Le Pen et Nicolas Sarkozy  qui seraient qualifiés pour le second tour. La présidente du Front National arriverait première avec de 26 à 27% des voix , Nicolas Sarkozy, deuxième  récolterait 25 ou 26% des suffrages. Seuls Jean-Luc Mélenchon(11%) et François Bayrou (16%) dépasseraient la barre des 10%.

     Même à  trente-trois mois du premier tour de la présidentielle, cette enquête est prise au sérieux par les écuries euromondialistes, elle confirme le socle encourageant de soutien  dont dispose Marine et les idées nationales dans l’opinion. Rappelons encore qu’un sondage BVA pour Itélé et Le Parisien-Aujourd’hui en France paru début juillet relevait que65% des Français ne souhaitent pas que Nicolas Sarkozy se présente à l’élection présidentielle de 2017.

     La rentrée s’annonce particulièrement tendue, les mois qui viennent très difficiles,  tous les voyants économiques et sociaux sont au rouge,    le Système ne nous fera pas de cadeaux, la bataille pour la France sera  fort  rude et compliquée.  Bruno Gollnisch y prendra toute sa part.

    http://gollnisch.com/2014/08/08/france-enchainee-vers-france-liberee/

  • Sicile : Les policiers fuient en masse par peur des immigrés contagieux

    PALERME (NOVOpress) – 90% d’absentéisme lors du dernier débarquement de clandestins à Palerme : c’est le chiffre donné dans un communiqué par la Consap, le syndicat autonome de la police. Le 7 août, alors que la marine nationale venait débarquer 530 clandestins, 90% des agents théoriquement en service se sont fait porter malades. La raison ? La peur d’être « contaminés par les virus dont les réfugiés [sic]seraient porteurs. Tuberculose, gale, Ebola, telles sont les maladies craintes par les hommes des forces de l’ordre ». Beaucoup de policiers employés dans le cadre de l’opération « Mare Nostrum » auraient déjà contracté la tuberculose.

    La Consap a annoncé qu’elle allait déposer une action de groupe (l’italien garde le terme anglais de class action) contre le Ministère de l’Intérieur, pour défaut de protection des agents. « Il semble, a déclaré le secrétaire de la Consap Giorgio Innocenti, que l’attention accordée aux forces de l’ordre employées dans le cadre de l’opération « Mare Nostrum » soit inversement proportionnelle à l’attention donnée aux migrants : toujours plus d’attention pour ceux qui arrivent en Italie, et toujours moins pour ceux qui défendent l’Italie et qui en garantissent la sécurité. Voilà la raison pour laquelle le nombre de policiers engagés dans les opérations d’accueil aux réfugiés et qui ont été contaminés par la tuberculose ou décelés positifs au test de Mantoux, augmente de manière inquiétante ».

    Comme de bien entendu, la préfecture de Palerme a démenti ces affirmations dans un communiqué de pur style administratif« L’indisponibilité temporaire [de certains policiers] n’a nullement affecté l’efficacité ou compromis les conditions de sécurité des activités d’accueil qui, après s’être déroulées dans le plus grand respect des protocoles sanitaires en vigueur et en utilisant correctement les dispositifs de protection individuels, se sont même terminées en avance par rapport à l’horaire prévu ». Voilà qui est rassurant.

    http://fr.novopress.info/173380/sicile-les-policiers-fuient-en-masse-peur-immigres-contagieux/#more-173380

  • Donetsk, "un nouveau Stalingrad"?

    Les séparatistes prorusses se sont alarmés samedi des risques de catastrophe humanitaire à Donetsk, leur bastion encerclé par l'armée ukrainienne, les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et l'Allemagne jugeant "illégale" toute éventuelle mission humanitaire russe dans l'est de l'Ukraine.

    Le "Premier ministre" séparatiste Alexandre Zakhartchenko a reconnu samedi que Donetsk était "encerclé" et en passe de devenir un nouveau "Stalingrad".

    "Des civils sont tués dans des tirs d'artillerie (...) les médicaments ne sont plus livrés, les produits alimentaires s'épuisent", a-t-il souligné se disant prêt à un cessez-le-feu si Kiev arrêtait son offensive.

    "En pressentant leur fin, les terroristes versent des larmes de sang et demandent l'aide à leurs commanditaires russes. Ils n'ont qu'une solution: se rendre", a réagit l'armée ukrainienne dans un communiqué en annonçant avoir resserré samedi l'étau autour de Donetsk.

    Dans un entretien téléphonique avec son homologue américain John Kerry, le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov a souligné la nécessité de "mesures d'urgence" pour l'est de l'Ukraine et a demandé son soutien pour un projet russe de mission humanitaire "en coordination avec les structures internationales compétentes".

    M. Kerry lui a répondu qu'il n'était pas question que la Russie intervienne en Ukraine "par le biais de convois humanitaires ou tout autre prétexte de 'maintien de la paix' ".

    Peu après, le président américain Barack Obama, le Premier ministre britannique David Cameron et la chancelière allemande Angela Merkel ont tous estimé, au cours de conversations téléphoniques séparées avec la Maison Blanche, que toute incursion russe en Ukraine, même sous des prétextes humanitaires serait "injustifiée, illégale et inacceptable".

    "Les deux dirigeants sont absolument clairs sur le fait qu'une telle prétendue mission humanitaire serait injustifiée et illégale", a précisé un communiqué du bureau de David Cameron.

    Selon la Maison Blanche, une telle intervention "violerait la loi internationale et conduirait à des conséquences supplémentaires", en référence aux nombreuses sanctions économiques déjà en vigueur contre Moscou. Mme Merkel et M. Obama ont souligné que toute intervention russe serait "inacceptable sans l'autorisation expresse et formelle du gouvernement de l'Ukraine", selon la même source.

    - Invasion probable -

    A l'issue d'une semaine marquée par une nouvelle escalade des tensions internationales, Kiev a multiplié les signaux d'alarme concernant une éventuelle entrée des troupes russes sur son territoire.

    "A Kiev on évalue à 80% la probabilité d'une invasion de Poutine", écrit samedi l'influent hebdomadaire Dzerkalo Tyjnia en citant de hauts responsables ukrainiens anonymes.

    La présidence ukrainienne avait affirmé avoir fait échouer par la voie diplomatique une tentative de la Russie de faire entrer unilatéralement sur son territoire un convoi humanitaire "soi-disant en accord avec le Comité international de la Croix Rouge". Le Kremlin a démenti.

    "Nous avons du mal à comprendre ce à quoi l'Ukraine fait référence. Il n'y a eu aucune tentative des forces russes de pénétrer" sur le territoire ukrainien, a déclaré le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov.

    Le CICR a confirmé avoir reçu une proposition de la part de la diplomatie russe afin d'organiser des convois humanitaires vers l'Ukraine, mais a assuré ne pas y avoir répondu.

    Le président ukrainien Petro Porenchenko, après des discussions avec des dirigeants du CICR s'est dit prêt à accepter une mission humanitaire à Lougansk, bastion séparatiste dans l'Est, à condition qu'elle soit internationale, non armée et passe par des postes-frontières contrôlés par Kiev, selon un communiqué de la présidence à Kiev.

    A Lougansk, les autorités locales ont jugé la situation "critique" alors que cet autre fief séparatiste n'a plus d'électricité, d'eau courante ou de réseau téléphonique depuis une semaine, et que l'essence et les réserves de nourriture s'épuisent rapidement.

    L'Otan estime que le nombre de soldats russes postés près de la frontière ukrainienne est passé en trois semaines de 12.000 à 20.000 hommes. Le secrétaire général de l'Alliance atlantique, Anders Fogh Rasmussen, a sommé la Russie de retirer ses soldats de la frontière.

    Donetsk, la plus grande ville du bassin minier du Donbass (un million d'habitants avant les hostilités) est depuis plusieurs jours le théâtre d'intenses combats entre les insurgés prorusses et les forces ukrainiennes qui ont tué plusieurs civils ces derniers jours, notamment après la chute d'un obus sur un hôpital.

    Des journalistes de l'AFP ont entendu des tirs de mortier et des explosions retentissant à intervalle régulier dans la journée de samedi.

    Signe de l'intensification de l'offensive, les bilans quotidiens publiés par l'armée s'alourdissent, 13 soldats tués ces dernières 24h, après 15 vendredi.

    L'offensive se concentre également sur d'autres places fortes rebelles comme Lougansk ou Gorlivka et la situation se complique chaque jour pour les civils après quatre mois d'un conflit qui a causé selon l'ONU plus de 1.300 morts et le départ de 300.000 habitants, réfugiés en Russie ou déplacés dans les autres régions de l'Ukraine.

    souce : http://www.lalibre.be/actu/international/donetsk-un-nouveau-stalingrad-53e6833d3570667a6391d8f2

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EupZyVZpAAMrjFMOup.shtml

  • La mémoire comme un gruyère ! par Pieter KERSTENS

    Toutes les composantes de l’euro-mondialisme se sont coalisées pour attribuer la présidence du Parlement Européen à Martin Schultz (socialiste) en échange de la présidence de la Commission Européenne décernée à Jean-Claude Junker (conservateur libéral).
    La collusion est limpide et parfaitement nauséabonde lorsqu’on a entendu et lu les déclarations ou les commentaires des pourriticards de la mafia socialo-libéro-écolo-capitaliste durant ces six derniers mois.  Rien n’a été épargné aux opposants de l’Euroland, dirigé par les laquais des USA.
    Tous les chantages, les injures, les pressions et surtout la propagandastaffel et la désinformation des médias aux ordres du Système ont été utilisés pour disqualifier les « eurosceptiques » ou les « populistes».
    Alors, remettons les pendules à l’heure :
    Comprenez-moi bien, ce ne sont pas les étrangers en tant qu’individu que je critique, mais bien les hommes politiques (ou les femmes) et les hauts fonctionnaires ainsi que les journalistes subventionnés par les États qui ont permis le déplacement d’allogènes de pays du tiers-monde, pour leur donner des travaux à bas salaires dans nos industries ou notre agriculture durant la décennie 1965-1975.
    ET TOUTE LA CLASSE POLITIQUE AVAIT DECLARE QUE DEPUIS 1974 L’IMMIGRATION ECONOMIQUE ETAIT STOPPEE !
    Il est clair que ce sont les partis traditionnels qui sont les véritables responsables de l’invasion étrangère dans tous les secteurs : textile, finance, automobiles, alimentaire, industriel, social, culturel ou médias.
    Ils ont favorisé les faillites de nos entreprises ou le rachat de celles-ci par des concurrents étrangers, en grande partie parce que les conditions de la concurrence étaient faussées : à force de charger le baudet, celui-ci n’avance plus !
    Avant de jeter l’opprobre sur autrui, avant de critiquer les autres, ces donneurs de leçons seraient bien inspirés de balayer devant leur porte. Parce que le Parti Socialiste appartient à une Internationale, complice de l’élimination de dizaines de millions de victimes au nom de la lutte « finale » !
    Chez eux, au parti, dans les maisons du Peuple durant les fêtes entre camarades, personne n’a jamais été ému par les 6 millions de victimes de la Grande Famine de 1932/33 en Ukraine, Holodomor organisé par le pouvoir soviétique, comparse du Parti Socialiste.
    Peuvent-ils encore ignorer aujourd’hui, les 4 millions de déportés (les zeks) disparus entre 1937 et 1951 dans les sinistres « goulags » de l’Union des Républiques Socialistes et Soviétiques ?  Je ne me souviens pas de leurs condamnations ni de celles de leurs amis, quand les chars du Pacte de Varsovie ont écrasé les soulèvements populaires à Berlin en juin 1953, à Poznan en juin 1956, à Budapest en octobre 1956, à Prague  en août 1968 ou à Gdansk en décembre 1970, par exemple.
    Ni le Parti Socialiste, ni la FGTB (CGT) ou leurs multiples associations proches ne se sont manifestées pour condamner les camps de travail et les Laogaïs de la République Démocratique Populaire de Chine où des dizaines de millions de citoyens ont disparu entre 1949 et aujourd’hui. Et en 2008, les Jeux Olympiques ont eu lieu à Pékin !
    Honte à tous ceux qui y étaient : que le sang des victimes innocentes rejaillissent sur leurs têtes ! ! !
    Je n’ai jamais entendu un mot de repentance de la part des socialistes, pour leur complicité dans le génocide de 2 millions de cambodgiens entre 1975 et 1979, méticuleusement organisé par l’Angkar et les « frères » Saloth-Sar (Pol Pot), Ieng Sary, Khieu Samphan , Hou Youn ou encore le fameux Son Sen, qui ont tous été applaudis avec frénésie par les partis progressistes du monde entier, lors de la chute de Phnom-Penh le 17 avril 1975, au premier rang desquels le Parti Socialiste Français et son petit frère belge.
    Aucune critique envers Cuba et son régime de plomb.  Pas un murmure au sujet du génocide de l’armée nigériane envers les 800.000 biafrais exécutés en 1968.
    Mais ce qui est le plus écœurant quand on parcourt leur propagande au fil des années, c’est qu’ils ne reconnaissent jamais leurs erreurs et que toutes les tueries et les massacres commis par leurs camarades tyrans africains sont passés sous silence !
    Les socialistes ont aidé et soutenu financièrement et politiquement SEKOU TOURE en Guinée, JULIUS NYERERE en Tanzanie, ROBERT MUGABE au Zimbabwe, MENGISTU HAILE MARIAM en Éthiopie, SAMORA MACHEL au Mozambique, JOMO KENYATTA au Kenya, IDI AMIN DADA en Ouganda MACIAS NGUEMA en Guinée Équatoriale et bien entendu le duo des bouchers d’Alger en 1954/1962 BEN BELLA et BOUMEDIENNE.
    Dans leurs prochaines déclarations, il serait donc judicieux qu’ils ne s’érigent pas trop en censeurs ou moralisateurs et adoptent une certaine retenue dans leurs revendications « progressistes et démocratiques » en songeant par exemple à ceux qui se sont fait découper en rondelles, à coup de faucille dans une rizière au nord de Siem Réap par une belle journée de juillet 1977 alors que leur exécuteur, lui aussi, chantait l’Internationale, tout comme eux le 1er mai dernier ! Coïncidence quand tu nous tiens …¢
    PS : Malgré une stratégie politique imparable et la chance d’avoir géré la majorité des 19 communes bruxelloises, le Parti Socialiste n’a pas pu (su ou voulu) réduire le nombre d’analphabètes qui s’élève à 110.000 individus à Bruxelles -capitale de l’Europe- soit 10% de la population et ce depuis plus de 40 ans !
    En 2013, 66% de la population bruxelloise était d’origine étrangère, dont 40% étaient musulmans.

  • La mémoire comme un gruyère ! par Pieter KERSTENS

    Toutes les composantes de l’euro-mondialisme se sont coalisées pour attribuer la présidence du Parlement Européen à Martin Schultz (socialiste) en échange de la présidence de la Commission Européenne décernée à Jean-Claude Junker (conservateur libéral).
    La collusion est limpide et parfaitement nauséabonde lorsqu’on a entendu et lu les déclarations ou les commentaires des pourriticards de la mafia socialo-libéro-écolo-capitaliste durant ces six derniers mois.  Rien n’a été épargné aux opposants de l’Euroland, dirigé par les laquais des USA.
    Tous les chantages, les injures, les pressions et surtout la propagandastaffel et la désinformation des médias aux ordres du Système ont été utilisés pour disqualifier les « eurosceptiques » ou les « populistes».
    Alors, remettons les pendules à l’heure :
    Comprenez-moi bien, ce ne sont pas les étrangers en tant qu’individu que je critique, mais bien les hommes politiques (ou les femmes) et les hauts fonctionnaires ainsi que les journalistes subventionnés par les États qui ont permis le déplacement d’allogènes de pays du tiers-monde, pour leur donner des travaux à bas salaires dans nos industries ou notre agriculture durant la décennie 1965-1975.
    ET TOUTE LA CLASSE POLITIQUE AVAIT DECLARE QUE DEPUIS 1974 L’IMMIGRATION ECONOMIQUE ETAIT STOPPEE !
    Il est clair que ce sont les partis traditionnels qui sont les véritables responsables de l’invasion étrangère dans tous les secteurs : textile, finance, automobiles, alimentaire, industriel, social, culturel ou médias.
    Ils ont favorisé les faillites de nos entreprises ou le rachat de celles-ci par des concurrents étrangers, en grande partie parce que les conditions de la concurrence étaient faussées : à force de charger le baudet, celui-ci n’avance plus !
    Avant de jeter l’opprobre sur autrui, avant de critiquer les autres, ces donneurs de leçons seraient bien inspirés de balayer devant leur porte. Parce que le Parti Socialiste appartient à une Internationale, complice de l’élimination de dizaines de millions de victimes au nom de la lutte « finale » !
    Chez eux, au parti, dans les maisons du Peuple durant les fêtes entre camarades, personne n’a jamais été ému par les 6 millions de victimes de la Grande Famine de 1932/33 en Ukraine, Holodomor organisé par le pouvoir soviétique, comparse du Parti Socialiste.
    Peuvent-ils encore ignorer aujourd’hui, les 4 millions de déportés (les zeks) disparus entre 1937 et 1951 dans les sinistres « goulags » de l’Union des Républiques Socialistes et Soviétiques ?  Je ne me souviens pas de leurs condamnations ni de celles de leurs amis, quand les chars du Pacte de Varsovie ont écrasé les soulèvements populaires à Berlin en juin 1953, à Poznan en juin 1956, à Budapest en octobre 1956, à Prague  en août 1968 ou à Gdansk en décembre 1970, par exemple.
    Ni le Parti Socialiste, ni la FGTB (CGT) ou leurs multiples associations proches ne se sont manifestées pour condamner les camps de travail et les Laogaïs de la République Démocratique Populaire de Chine où des dizaines de millions de citoyens ont disparu entre 1949 et aujourd’hui. Et en 2008, les Jeux Olympiques ont eu lieu à Pékin !
    Honte à tous ceux qui y étaient : que le sang des victimes innocentes rejaillissent sur leurs têtes ! ! !
    Je n’ai jamais entendu un mot de repentance de la part des socialistes, pour leur complicité dans le génocide de 2 millions de cambodgiens entre 1975 et 1979, méticuleusement organisé par l’Angkar et les « frères » Saloth-Sar (Pol Pot), Ieng Sary, Khieu Samphan , Hou Youn ou encore le fameux Son Sen, qui ont tous été applaudis avec frénésie par les partis progressistes du monde entier, lors de la chute de Phnom-Penh le 17 avril 1975, au premier rang desquels le Parti Socialiste Français et son petit frère belge.
    Aucune critique envers Cuba et son régime de plomb.  Pas un murmure au sujet du génocide de l’armée nigériane envers les 800.000 biafrais exécutés en 1968.
    Mais ce qui est le plus écœurant quand on parcourt leur propagande au fil des années, c’est qu’ils ne reconnaissent jamais leurs erreurs et que toutes les tueries et les massacres commis par leurs camarades tyrans africains sont passés sous silence !
    Les socialistes ont aidé et soutenu financièrement et politiquement SEKOU TOURE en Guinée, JULIUS NYERERE en Tanzanie, ROBERT MUGABE au Zimbabwe, MENGISTU HAILE MARIAM en Éthiopie, SAMORA MACHEL au Mozambique, JOMO KENYATTA au Kenya, IDI AMIN DADA en Ouganda MACIAS NGUEMA en Guinée Équatoriale et bien entendu le duo des bouchers d’Alger en 1954/1962 BEN BELLA et BOUMEDIENNE.
    Dans leurs prochaines déclarations, il serait donc judicieux qu’ils ne s’érigent pas trop en censeurs ou moralisateurs et adoptent une certaine retenue dans leurs revendications « progressistes et démocratiques » en songeant par exemple à ceux qui se sont fait découper en rondelles, à coup de faucille dans une rizière au nord de Siem Réap par une belle journée de juillet 1977 alors que leur exécuteur, lui aussi, chantait l’Internationale, tout comme eux le 1er mai dernier ! Coïncidence quand tu nous tiens …¢
    PS : Malgré une stratégie politique imparable et la chance d’avoir géré la majorité des 19 communes bruxelloises, le Parti Socialiste n’a pas pu (su ou voulu) réduire le nombre d’analphabètes qui s’élève à 110.000 individus à Bruxelles -capitale de l’Europe- soit 10% de la population et ce depuis plus de 40 ans !
    En 2013, 66% de la population bruxelloise était d’origine étrangère, dont 40% étaient musulmans.

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