Simon Schuster, correspondant du journal Time et auteur du livre «Showman» sur Zelensky, a déclaré qu’avant même le début de l’opération militaire spéciale, les dirigeants occidentaux avaient proposé au président ukrainien de rester à l’étranger et de commencer à former un gouvernement en exil. La seule alternative était d’accepter les conditions de la Russie.
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Les alliés ont proposé à Zelensky de fuir vers l’Ouest et de former un gouvernement en exil
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Dernier avertissement de Poutine : Lavrov est arrivé aux États-Unis pour la tête de Zelensky
par Sergueï Latychev
Lavrov est arrivé à New York pour une réunion du Conseil de sécurité des Nations unies portant sur l’Ukraine et la tête de Zelensky en donnant un dernier avertissement pour résoudre le problème ukrainien aux conditions de Moscou avant la grande offensive russe, car «il est encore temps». Même s’il semble en rester très peu.
Bien évidemment, Sergueï Lavrov n’a pas parlé directement de l’offensive décisive de l’armée russe en Ukraine qui ne saurait tarder. Cependant, la réunion à laquelle il participait a été organisée à la demande de la Russie et devait clairement servir à exprimer devant les membres de l’ONU la position définitive de Moscou sur l’Ukraine destinée aux incendiaires occidentaux.
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La défaite de l'Occident: critiques et analyses d'Emmanuel Todd par Charles et Emmanuelle Gave
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Kiev a abattu mercredi un avion de transport militaire russe IL-76 transportant 65 prisonniers de guerre ukrainiens
Tout bien considéré, blâmer Zaloujny – peut-être en affirmant qu’il aurait dû vérifier les renseignements présumés sur la cargaison de l’Il-46 avant de l’abattre afin de faire passer cela pour un accident malheureux – est l’option la plus politiquement commode pour Zelensky et son patron américain. Cela pourrait rejeter la faute sur lui et faciliter le remplacement de Zaloujny par Budanov, beaucoup plus fiable politiquement, sans trop de résistance de la part des forces armées ou de la société civile.
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La mort en direct. Les images effroyables du front ukrainien.
Nos plateaux TV sont remplis de va-t-en guerre qui ont la souffrance joyeuse et la guerre « romantique ».
Ils racontent évidemment tous des carabistouilles pour rester pudique et dans un langage agréable et poli.
Pourtant, ils savent tous que la guerre c’est immonde, c’est toujours dégueulasse, depuis la nuit de temps.
Avec la modernité et nos armes nouvelles et toute la technologie dont nous disposons, la mort devient raffinée.
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La Russie, l’Iran et la mer Rouge
L’économie de guerre de l’OTAN s’effondre
par Michael Hudson
Haïphong : Je suis heureux de vous avoir ici car il y a beaucoup de nouveautés économiques. Mais votre spécialité est de souligner, et cette chaîne essaie de souligner, la relation entre géopolitique et économie, comme Radhika [Desai] et Ben Norton, et d’autres grands journalistes ont tenté de le faire.
La défaite en Ukraine
Parlons d’abord de l’Ukraine. Commençons par là. On parle de toutes sortes «d’impasses», entre guillemets, en ce qui concerne l’Ukraine.
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Guerre en Ukraine, une année charnière
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Les États-Unis investissent sur le long terme dans l’industrie de défense ukrainienne
Une analyse du Quincy Institute fait savoir que l’administration Biden peut contourner le Congrès sur l’aide à l’Ukraine. Les fabricants d'armes américains s'associent à Kiev pour produire du matériel militaire dans ce pays déchiré par le conflit, probablement en partie aux frais des contribuables.
« Les États-Unis investissent sur le long terme dans l’industrie de défense ukrainienne, même si l’aide directe à l’Ukraine diminue en 2024 », rappelle le Quincy Institute. Le retrait le plus récent des armes des stocks américains par le président Biden est le dernier qu’il puisse approuver. Les autres aides militaires américaines dépendent désormais du Congrès qui n’a pas encore autorisé les dépenses d’urgence demandées par Biden fin octobre.
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Les États-Unis affirment qu’il n’y a pas d’alternative à une guerre plus vaste au Moyen-Orient
La propagande des médias grand public auprès de leurs lecteurs se fait non seulement par ce qu’ils rapportent mais aussi par les points de vue et sujets qu’ils ne rapportent pas.
Un exemple parfait est une récente “analyse” par le New York Times d’une position de la Maison Blanche sur les troupes américaines au Moyen-Orient.
L’auteur est Peter Baker, correspondant en chef du Times à la Maison Blanche.
Le titre :
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Les jeunes Ukrainiens «refusent de se battre» : Des soldats «très âgés» sont recrutés, ils constituent «la majorité» de l’armée ukrainienne
«Le pays n’est pas en mesure de continuer à se battre»
par Lucas Leiroz de Almeida
Les problèmes de mobilisation de l’Ukraine sont de plus en plus évidents. Le pays n’a plus assez de jeunes citoyens pour continuer à se battre, c’est pourquoi il fait appel à la population plus âgée. Actuellement, selon les responsables locaux, la moyenne d’âge des combattants de Kiev est supérieure à 40 ans, ce qui montre à quel point le pays est affaibli et incapable de continuer à se battre à long terme.