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A la une de cette édition, Donald Trump écarte l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN alors que la diplomatie britannique tente de récupérer des miettes d’influence à Washington.
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A la une de cette édition, Donald Trump écarte l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN alors que la diplomatie britannique tente de récupérer des miettes d’influence à Washington.
Une phrase ironique de Donald résume en forme de clin d’œil le voyage de Manu en Amérique : « Comment va votre magnifique femme ? Vous auriez dû l’amener.» (Pour que Brichel rencontre Candace Owens dans les couloirs de la Maison Blanche ? )
Les courtisans du despote de l’Élysée y ont vu une preuve de sollicitude et d’amitié de Trump. Tandis que nos mainstream serviles claironnaient qu’une entente parfaite régnait entre les deux présidents.


par Thierry Meyssan
Ce n’est pas Donald Trump qui s’est retourné contre le régime de Kiev, ainsi que l’on veut nous le faire croire, mais Volodymyr Zelensky qui a fait bombarder des intérêts états-uniens, causant de lourds dégâts à Chevron et à ExxonMobil.
Il est donc parfaitement vain de croire qu’une visite à Washington suffira à Keir Starmer et à Emmanuel Macron pour renverser la situation.

Poutine a suscité quelques froncements de sourcils parmi les commentateurs russes pour sa soudaine offre de « travailler avec les États-Unis » pour exploiter les terres rares et les ressources minérales russes en Russie et dans le Donbass. Il a été accusé d’avoir vendu la Russie en échange d’une dissimulation de la guerre.

Une vidéo a fait surface montrant l’embuscade et le massacre de ce qui semble clairement être des soldats américains – probablement de jeunes mercenaires – par des troupes «russes» à l’intérieur de l’Ukraine.
Les mots que l’on peut entendre de la bouche d’un homme portant une caméra corporelle sont «C’est un piège, baisse-toi» alors qu’il se fait tirer dessus et tombe au sol, toujours vivant.

Le vote inédit des Nations unies ce 24 février, à l'orée d'une quatrième année de guerre en Ukraine me semble un événement plus significatif que l'exercice de reptation européenne et de glorification personnelle auquel s'est livré à Washington le clown de l'Elysée.


Il s’agit simplement d’un rapport d’étape, car il est encore trop tôt pour dire quelle sera la conclusion finale de l’opération militaire spéciale (OMS) russe dans l’ancienne Ukraine et, surtout, où la Russie choisira de tracer la ligne entre le monde russe qu’elle tient pour sacré et le champ sauvage à l’ouest de celui-ci, qu’elle décidera de ne pas considérer comme intéressant. Mais il n’est pas trop tôt pour dire que l’opération semble être un succès.
L’objectif principal de l’OMS était de protéger les Russes sur l’ancien territoire ukrainien, qui ne souhaitaient pas accepter l’idéologie néonazie de la junte banderiste.