Essayons de prendre du recul par rapport à la boucherie en cours. Au-delà du massacre jusqu’au dernier Ukrainien, il convient de se rappeler que ce conflit est avant tout lié à des questions politiques.
Les dieux punissent les mortels en exauçant leurs vœux, la vieille malédiction grecque a finalement la vie dure.
Les dirigeants occidentaux, alignés sur le quarteron de néoconservateurs au pouvoir à Washington voulaient piller la Russie. Seul souci, cet immonde individu nommé Vladimir Poutine avait redonné une colonne vertébrale au pays et sa faiblesse des années 1990 s’estompait chaque jour davantage. Face à cette situation deux stratégies étaient possibles :
– Faire le dos, rond, attendre les conflits de succession au retrait de V.Poutine et jeter de l’huile sur le feu. Il fallait attendre et cette stratégie fut donc rejetée.