géopolitique - Page 464
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Alexandre Del Valle : la mondialisation islamique
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Les dix conflits à surveiller en 2022

Mauro Indelicato
Source: https://it.insideover.com/guerra/i-dieci-conflitti-da-monitorare-nel-2022.html
La nouvelle année fait ressurgir de vieux conflits. Avec la nouvelle année qui commence, la politique internationale doit s'accommoder des modèles politiques et militaires hérités de 2021. Au cours des 12 prochains mois, il y aura au moins dix situations très chaudes à surveiller. Pas seulement des guerres au sens strict du terme, mais aussi des confrontations plus ou moins directes concernant la domination d'une certaine zone ou des questions de sécurité nationale. Voici les principaux conflits que le monde de 2022 devra observer.
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La Russie est-elle l’ennemi idéal ?

Message de Jacques MYARD
Membre Honoraire du Parlement
Maire de Maisons-Laffitte
Président du Cercle Nation et République
Président de l’Académie du Gaullisme
On peut le croire car de nombreux faits concourent à ce jugement émis par certains experts.
Les relations occidentales avec la Russie sont aujourd’hui sous tensions et Vladimir Poutine a même été décrit comme un « killer », un tueur, par le Président Joe Biden à la suite de la tentative d’assassinat d’Alexeï Navalny, opposant russe.
Citons également l’assassinat de l’ex-membre des services secrets russes, Sergueï Skripal, perpétré à Londres par des agents du GRU – les services de renseignement militaires russes- ; l’assassinat d’opposants tchéchènes à Berlin, deux diplomates russes ont été expulsés par l’Allemagne.
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#101 - Frédéric Farah sur la crise libanaise
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Afghanistan : non, les talibans n’ont pas changé, mais on va quand même continuer à banquer…

Semblables à nos Présidents à la veille de briguer un second mandat, les talibans qui gouvernent aujourd’hui l’Afghanistan assuraient avoir « changé ».
Revenus au pouvoir en août dernier, vingt ans après en avoir été chassés, les talibans l’avaient promis : les femmes ne seraient plus chez eux ces parias privés de la plus élémentaire des libertés. Elles auraient désormais le droit de sortir, de travailler, d’être instruites… C’était, promis juré sur le Coran, la condition sine qua non pour recevoir l’aide internationale qui sortirait le pays de la misère.
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L’interminable calvaire de la Libye.
Décidément, depuis les illusoires « Printemps arabes » de 2010, la disparition brutale du colonel Mouhammar Kadhafi et la stupide intervention militaire de la France et de quelques acolytes occidentaux (à l’instigation de Nicolas Sarkozy…) en 2011, la situation n’a jamais cessé de se détériorer en Libye. De la même façon que ce que nous décrivons régulièrement chez son voisin de l’ouest, la Tunisie ! (https://conseildansesperanceduroi.wordpress.com/2021/12/18/la-tunisie-senfonce-dans-la-crise-economique-et-donc-le-malheur-mais-elle-ny-va-pas-seule/)
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Laurent Leylekian : « L’Arménie est une préfiguration de ce qui peut arriver en France »
Voilà pourquoi la droite s’empare de ces questions identitaires, selon Laurent Leylekian, analyste politique, spécialisé sur l’Asie Mineure, tandis que la gauche a complètement abandonné ce combat qu’elle menait au nom des droits de l’homme, à la faveur de la défense des minorités de confession musulmane.
Vous êtes français d’origine arménienne, le sujet de l’Arménie est revenu au cœur de l’actualité. Éric Zemmour s’y est rendu, puis ce sera Valérie Pécresse. Comment cet intérêt des candidats à la présidentielle pour l’Arménie est-il vu localement ?
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Nikola Mirkovic : Le risque avec Biden est clairement le retour à la guerre froide voire la guerre chaude et totale

Questions à Nikola Mirkovic à propos de son nouveau livre, L’Amérique empire. L’Amérique est un empire qui ne dit pas son nom. De leur conquête sur les Indiens aux offensives militaires à travers le monde, les Américains ont constamment été en guerre, non pour créer des colonies comme un empire classique, mais pour étendre leur puissance politique et diffuser l’American Way of Life.
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Ukraine : attaque possible de la Russie

Les occidentaux s’inquiètent. Malgré les démentis réguliers de Moscou, Paris et Washington redoutent une invasion de l’Ukraine par la Russie et mettent en place une stratégie de dissuasion : rencontre virtuelle entre Biden et Poutine, réunion du G7, appel téléphonique de Macron à Poutine etc.
Il y a aussi les menaces verbales, comme celles du chef de la diplomatie française qui a évoqué “des conséquences stratégiques massives.” Le renforcement des troupes russes aux frontières semble évident, mais il est à constater également que celui des troupes de l’Otan ne l’est pas moins.
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Ukraine/Russie : un réel risque de guerre

La principale erreur qu’on puisse commettre en géopolitique est de prêter à l’adversaire son propre mode de fonctionnement.
C’est sans doute celle que commettent nombre d’analystes en estimant que Vladimir Poutine n’oserait jamais envahir l’Ukraine. La dernière fois que certains ont cru que le président russe bluffait, il a annexé la Crimée.

