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géopolitique - Page 608

  • Quand François Hollande oublie la bombe israélienne…

    "Si l’Iran accédait à l’arme nucléaire, l’Arabie Saoudite, Israël, d’autres pays voudraient également accéder à l’arme nucléaire », a déclaré le président de la République lors de son entretien télévisé du 14 juillet, ajoutant que « ce serait un risque pour la planète tout entière. " Fichtre  ! Le chef de l’Etat s’est un peu emmêlé les pinceaux dans son plaidoyer contre la prolifération nucléaire.

     

    Car Israël possède bel et bien l’arme atomique – et depuis près d’un demi-siècle. Les premières bombes y ont été assemblées au printemps 1967, juste avant la Guerre des Six Jours. Cet arsenal a, dans un premier temps, été développé en étroite coopération avec la France, l’ancien président Shimon Peres jouant un rôle important dans cette affaire. Selon les estimations du Bulletin of Atomic Scientists, un groupe indépendant américain, l’arsenal israélien serait aujourd’hui d’environ 80 têtes nucléaires, pas forcément toutes opérationnelles. L’Etat juif est le seul pays doté de l’arme atomique au Moyen-Orient.

    En droit international, Israël se trouve dans une situation assez paradoxale. Le Traité de non-prolifération nucléaire (TNP) de 1968 opère en effet une discrimination légale entre les Etats « dotés » de l’arme nucléaire (Etats-Unis, Russie, Chine, Royaume-Uni et France) et les Etats « non dotés », qui s’engagent à ne pas acquérir l’arme atomique, en échange d’une aide des premiers au développement du nucléaire civil. L’Iran, signataire du TNP, fait partie de cette seconde catégorie. [....]

    La suite sur Secrets Défense

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Quand-Francois-Hollande-oublie-la

  • L’euro-mondialisme mobilise Philippe de Belgique, Elisabeth II d’Angleterre et le Cardinal Marx

    Les monarchies européennes sont mobilisées pour voler au secours des institutions européennes de plus en plus impopulaires.

    En cette veille de fête nationale du Royaume de Belgique, son roi Philippe a prononcé un discours télévisé validé par le Premier ministre belge, discours qui fit la part belle à l’Union Européenne et au « projet européen » qui « permet un enrichissement mutuel unique des peuples et des cultures« , « grâce à une foi commune dans l’être humain et dans la plus-value qui naît de la mise en commun de nos talents« . Blablabla.

    Lors de son voyage en Allemagne le 23 juin dernier, Elisabeth II, reine d’Angleterre, avait également lancé un appel à ne pas mettre en péril le fruit de nos efforts communs en sapant notre unité européenne.

     

    Au lieu de vanter les bienfaits du patriotisme et de la souveraineté nationale, voilà deux monarques mis au service d’une Union européenne aux pouvoirs supranationaux qui donnera bientôt naissance à un gouvernement européen, comme l’a appelé de ses vœux François Hollande, prélude à l’émergence d’un gouvernement mondial.

    Même discours européiste et mondialiste de la part de la Commission des Conférences épiscopales de l’UE (COMECE) et du Jesuit European Office. Du Cardinal Reinhard Marx, président de la COMECE, au Père Patrick Daly, secrétaire général de la COMECE, les communiqués de ces dernières semaines multiplient les louanges pour les institutions européennes et appellent à les soutenir ainsi qu’à ouvrir les frontières de l’UE aux migrants. Le Cardinal Marx s’est ainsi « réjoui » que « l’Europe et la zone euro ne s’étiolent pas » à la suite de la crise grecque !

    Le Cardinal Marx reste par contre bien silencieux sur tous les tourments causés par les institutions européennes auxquelles on doit une participation très active aux offensives contre la Famille. Même silence assourdissant du Cardinal Marx à propos du mépris de ces institutions européennes pour le christianisme.

    Hélas, depuis le Concile Vatican II il ne fait plus aucun doute que la subversion a envahi l’Eglise catholique. Et il en va de même dans de nombreux palais royaux dont les têtes couronnées préfèrent les réunions du Bilderberg au souvenir de leurs ancêtres.

    Lu sur MPI

    http://www.contre-info.com/leuro-mondialisme-mobilise-philippe-de-belgique-elisabeth-ii-dangleterre-et-le-cardinal-marx#more-38802

  • Pourquoi l'Occident ne met-il pas tout en œuvre pour faire reculer l'Etat Islamique ?

    Le député du parti chrétien-démocrate des Yvelines Jean-Frédéric Poisson a rencontré le président syrien Bachar Al-Assad. Interrogé sur Sud Radio, il déclare:

    XVM28d34e12-28b2-11e5-98e7-a0ee10f69b01"La Syrie est un lieu-clé des conflits actuels au Moyen-Orient. Si on veut faire reculer Daech, il faut se battre avec tous ceux qui sont prêts à affronter Daech. Je constate que Bachar Al-Assad est prêt et se bat tous les jours contre l'Etat Islamique en Syrie. Je ne vois pas pourquoi on ne rediscuterait pas avec lui.Discuter, ça ne veut pas dire lui donner des satisfecit ou des bons points, ça veut dire mettre dans son camp toutes les possibilités, tous les moyens pour lutter contre l'Etat Islamique."

    "Quand je compare avec ce que l'Occident a mis en œuvre il y a 15 ans pour dézinguer Saddam Hussein, je me dis que tout n'est pas fait aujourd'hui pour faire reculer et pour anéantir l'Etat Islamique. Je reviens d'une tournée au Moyen-Orient, le sentiment des Chrétiens qui sont là-bas et auxquels j'ai rendu visite est exactement celui-là. Pourquoi l'Occident ne met-il pas tout en œuvre pour faire reculer et supprimer l'Etat Islamique ?"

    "Il ne s'agit pas de soutenir un dictateur, de la même manière que quand le président Hollande reçoit le président chinois en France, en visite officielle, il ne soutient pas le régime chinois, il discute avec un interlocuteur. Lorsque l'on discute avec les Saoudiens qui coupent la main des gens qui volent, on ne soutient pas le régime saoudien, on discute avec un interlocuteur. Pour Bachar Al-Assad, c'est pareil. S'il est coupable d'exactions et si le régime de Damas a fait des choses horribles pendant la guerre, il y a des tribunaux pénaux internationaux qui le jugeront. Pour l'instant, on en est à tout mettre en œuvre pour discuter avec ceux qui sont prêts comme nous à se bagarrer contre l'Etat Islamique et, pour l'instant, je constate que tout n'est pas fait."

    Michel Janva

  • Des Français partis combattre l'Etat islamique en Syrie

    De nombreux volontaires étrangers sont partis rejoindre les rangs des milices kurdes en Syrie afin de combattre les jihadistes. Parmi eux des Français :

    Michel Janva

  • Russie: les sanctions occidentales encouragent la renaissance industrielle

    Selon un expert japonais, l'industrie russe est en plein essor suite à l'adoption des sanctions occidentales contre Moscou.

    Les sanctions adoptées par l'Occident contre la Russie ont donné une impulsion au développement de l'industrie russe, a déclaré Sugahara Nobuo, journaliste et expert nippon avec 40 ans d'expérience dans le russo-japonais de produits manufacturés, dans son récent article publié par Japan Business Press.

    "Ces changements profitent à l'économie russe qui était autrefois lourdement dépendante des importations", indiqué M.Sugahara. Et d'ajouter: "M.Poutine a profité de la crise pour encourager le développement économique" du pays.

    La guerre des sanctions lancée sur fond de crise en Ukraine a incité les sociétés russes à augmenter leur production pour remplacer les produits importés, note M.Sugahara après avoir visité plusieurs usines et salons industriels commerciales en Russie.

    Le Salon international des équipements pour l'industrie métallurgique organisé en mai dernier à Moscou a notamment réuni moins de participants étrangers, mais beaucoup plus d'entreprises russes. Le nombre total des participants du Salon s'est accru de 1.036 à 1.200 et celui des visiteurs a augmenté de 30%, précise M.Sugahara. La plupart des visiteurs s'intéressaient surtout aux stands des usines russes. "Les pavillons russes du Salon étaient bondés", d'après lui.

    Des technologies étrangères sont devenues trop chères ou inaccessibles en Russie, mais "de nombreuses sociétés russes ont formé des alliances pour lancer la production de nouveaux équipements". Les Russes ont même effectué une percée dans les hautes technologies, de son avis.

    "Les sanctions occidentales ont porté un coup dur aux sociétés et distributeurs étrangers tout en donnant une impulsion au secteur russe des constructions mécaniques qui était sur le point de s'effondrer", ajouté l'expert.

    D'ailleurs, nombre de sociétés occidentales continuent de coopérer avec leurs partenaires russes, privilégiant leurs intérêts économiques sur les intérêts politiques. L'expert nippon a notamment déclaré avoir remarqué le logo de Siemens sur un lot de pièces importées lors d'une récente visite à une nouvelle usine russe. Cela lui a fait penser que la Russie et l'Allemagne ont toujours des relations spéciales. Les Etats-Unis continuent aussi d'exporter leurs produits hautement technologiques vers la Russie, a noté M.Sugahara avant de déplorer le manque d'intérêt des autorités japonaises pour la coopération économique avec la Russie, qui profite aux sociétés taïwanaises et sud-coréennes.

    Al manar :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuFZFFklykuAiMTNDk.shtml

  • La Russie refuse la primauté des verdicts des Cours internationales: l’oligarchie Khodorkovski n’empochera pas les milliards promis …

    Une  centaine de députés russes avaient saisi la Cour constitutionnelle afin qu’elle examine si la Russie, qui a signé la Convention européenne des droits de l’Homme en 1996, était obligée d’appliquer toute décision de la CEDH, même en cas de contradiction avec la Constitution russe. La Cour Constitutionnelle de Russie vient de répondre à cette interrogation en affirmant la primauté des décisions de justice ou de lois russes, sur les décisions de justice ou les lois internationales, ce qui en fait élargi le champ d’application au-delà de la seule CEDH:

    « La Cour de Strasbourg a le droit d’indiquer aux pays les erreurs constatées dans leurs lois, mais si les décisions de la CEDH vont à l’encontre de la Constitution de la Russie, cette dernière doit agir compte tenu de ses intérêts nationaux », avait estimé le président de la Cour constitutionnelle Valeri Zorkine dans un article paru en octobre 2010 dans le quotidien Rossiïskaïa Gazeta.

    « La CEDH n’est pas une instance supérieure aux juridictions nationales. Un arrêt de la CEDH ne peut donc pas annuler une décision judiciaire rendue sur le territoire d’un Etat signataire de la Convention européenne des droits de l’Homme », a indiqué Dmitri Viatkine, représentant de la Douma (chambre basse du parlement russe) à la Cour constitutionnelle.

    “Les organes judiciaires suprêmes de pays européens comme l’Allemagne, l’Italie, l’Autriche ou la Grande-Bretagne respectent également le principe de la primauté de leurs lois fondamentales dans l’application des décisions de la CEDH”, a affirmé la Cour.

    “En effet, tous les pays ne reconnaissent pas la juridiction des institutions internationales des droits de l’Homme”, a déclaré Sergueï Pachine membre du Conseil pour les droits de l’Homme auprès du Kremlin.

    “La Russie paye régulièrement de petites compensations de quelques milliers d’euros”, auxquelles elle est souvent condamnée par la CEDH suite à des plaintes de particuliers, rappelle M. Pachine.

    “Mais quand il s’agit de sommes importantes comme dans le cas de Ioukos”, le nouveau principe  [de la primauté russe] “peut être appliqué”, explique-t-il.

    Le ministère russe de la Justice a déjà déclaré mardi qu’il agirait “conformément à la décision de la Cour constitutionnelle de Russie” dans le règlement de l’affaire des ex-actionnaires de Ioukos.

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  • Éléments de réflexion sur la « multipolarité », ou le capitalisme à plusieurs visages

    Que dire des BRICS ?

    Les commentateurs politiques de la dissidence et de la sphère « patriote » ont une grande marotte : les BRICS. Au nom de la « multipolarité », certains nous présentent les BRICS comme LA solution face au « système américain». Certains vont même jusqu'à se réjouir du rapprochement entre la Grèce et les BRICS ou du renforcement du Yuan...

    Pourtant les BRICS n'ont rien à envier aux Etats-Unis sur le plan du cauchemar libéral.

    Brésil : agriculture productiviste et intensive aux mains des pires multinationales de l'agro-alimentaire (dont Monsanto) avec utilisation massive d'OGM et d'hormones pour le bétail. Déforestation occasionnant des déplacement de population de leurs territoires ancestraux. Problème des paysans sans-terre, recours au meurtre des écologistes, syndicalistes, chefs indiens, leaders paysans, empoisonnement de masses …), criminalité, bidonvilles (favelas)... (coefficient de Gini: 0.519)

    Russie : producteur de gaz et de pétrole mais également d'uranium, de nickel, etc... pollution, équipements vétustes, corruption, criminalité (mafias). (coefficient de Gini: 0.420)
    Inde: Agriculture productiviste et intensive extrêmement polluante depuis la mal nommée « révolution verte », industrie textile à bas coût, activités portuaires hautement polluantes, bidonvilles gigantesques.  conditions de travail cauchemardesques, absence totale de couverture sociale, de contractualisation, de protection de l’enfant au travail …, cataclysme écologique, extinction de masse des espèces, déforestation galopante …(coefficient de Gini : 0.368)

    Chine : manufacture du monde abreuvant nos pays de gadgets inutiles, plus gros pollueur au charbon. Producteur de minerais rares utiles dans l'électronique et l'informatique. Activité portuaire hautement polluante (7 des 10 plus grands ports mondiaux sont chinois). Cataclysme écologique, modifications climatiques, extinction des espèces... Conditions de travail déplorables.  (coefficient de Gini: 0.610)

    Afrique du sud : Pays gouverné par un clan ethnique, corruption généralisée, exploitation de matières premières par des multinationales, taux de criminalité parmi les plus élevés au monde, espérance de vie faible, racisme anti-blanc.

    Et encore on pourrait également s’attarder sur les "non-alignés" (passé ou présent) du genre Algérie, Libye, Irak, Venezuela ... tous producteurs de matières premières polluantes pratiquant le népotisme et la corruption.

    Voila de quoi remettre en perspective la "multipolarité" et le "non-alignement". En réalité, les BRICS constituent une face du cauchemar libéral mondialisé et ils n'ont que faire de nos intérêts vitaux d'européens et même de ceux de leurs propres peuples et encore moins de l'environnement. Par ailleurs, les BRICS n'existent qu'en raison de l'occidentalisation du monde. Le Brésil ne serait pas la « ferme du monde », la Chine ne serait pas la « manufacture du monde » et la Russie n'abreuverait pas un grand nombre de pays en gaz et en pétrole si l'Occident ne reposait pas sur la société de consommation.

    De l'intox à la réalité, un passage par la géographie économique européenne et russe

    63% des échanges de l'UE se font entre pays de l'UE, les principaux partenaires des pays européens sont donc d'autres pays européens. La Grèce est un des rares pays à avoir moins de 50% de ses échanges avec ses partenaires de l'UE (48%).
    La géographie est ici une donnée essentielle, la proximité géographique est pour beaucoup dans les échanges. D'après un document Eurostat du 27 mars 2015, la France par exemple exporte beaucoup en Allemagne (17%), en Belgique (7%) et en Italie (7%) et importe beaucoup d'Allemagne (19%), de Belgique (11%) et... d'Italie (8%). La Grèce qui est aux portes de l'Asie exporte beaucoup en Turquie, de même qu'elle importe beaucoup de Russie ou d'Irak. Toutefois, l'Allemagne est également un partenaire important (3eme dans les exportations et 2eme dans les importations). D'après un document de la direction générale du Trésor français, la Russie ne comptait en 2013 que pour 2% des échanges avec la France, ce qui relativise singulièrement la soit disant impérieuse nécessité de constituer un axe franco-russe. Et cela concerne essentiellement les hydrocarbures (gaz et pétrole), l'agriculture productiviste ou l'armement... Bref que des secteurs dont il va falloir interroger la pertinence dans un avenir proche. Par comparaison, les Etats-Unis sont 5eme et la Chine 6eme autour de 6,5%. La Chine est par ailleurs le premier partenaire économique pour la Russie et le deuxième pour l'UE (derrière les Etats-Unis).
    Les russes ont opté pour une politique économique eurasiatique en direction du Moyen-orient et de l'Asie de l'Est depuis quelques années, renforcée par le conflit en Ukraine (Organisation de coopération de Shanghai depuis 2001, Union économique eurasiatique effective depuis janvier 2015). De la Turquie au Japon en passant par l'Arabie saoudite, les partenariats chinois ou la Corée du sud, les contrats se multiplient ses derniers temps. Si on prend les 10 premiers partenaires économiques de la Russie en 2014, donc avant les contrats récents, six sont des pays frontaliers de la Russie (Dans l'ordre : Chine, Ukraine, Belarus, Japon, Etats-Unis, Corée du sud, auquel on pourrait ajouter la Turquie qui n'a pas de frontière terrestre mais partage un espace maritime). Les autres sont: Les Pays-Bas, l'Allemagne et l'Italie. Point de France. D'après Le Courrier de Russie, « près d’un tiers des investissements russes sont réalisés vers des paradis fiscaux ». La géographie économique est donc assez révélatrice des sphères d'influence réelles des différents états et de leurs stratégies en matière économique. (cf. Document annexe).
    Le niveau de relation entre la France et l'Allemagne est très bon mais leurs autres partenaires peuvent sensiblement différer. Au final le couple franco-allemand a une véritable pertinence sur le plan géographique et économique, bien plus que de chimériques axes « Paris-Moscou ».

    Les réseaux russes : une offensive du capitalisme national

    C'est un projet purement idéologique qui est poursuivi par la « droite souverainiste ». La germanophobie des souverainistes français, couplée de leur poutinophilie leur fait totalement perdre de vue les réalités géographiques et économiques. Nous pourrions même émettre l'hypothèse que c'est le lobbying de Total, de la FNSEA et du complexe militaro-industriel auprès des droites françaises qui est une des clefs de compréhension des positions des Républicains ou du FN à l'égard de la Russie. Un article de la Croix nous informe à ce sujet :

    Lors d'une coterie franco-russe « Étaient là, notamment, Nicolas Dupont-Aignan (député Debout la République, Essonne), Yves Pozzo di Borgo (sénateur UDI, Paris), Jean-Pierre Chevènement (sénateur MRC, Territoire-de-Belfort), Aymeric Chauprade (député européen FN), Joëlle Garriaud-Maylam (sénatrice UMP des Français de l’étranger), Jean-Yves Leconte (sénateur PS des Français de l’étranger), Jean-Claude Mignon (député UMP, Seine-et-Marne), Jérôme Lambert (député Radicaux de gauche, Charentes) et Jacques Myard (député UMP, Yvelines). » Puis plus loin nous lisons : « L’organisateur de la rencontre était Thierry Mariani (député UMP des Français de l’étranger) qui est également président de l’association du dialogue franco-russe. Autour de la table se trouvaient aussi des dirigeants de grandes entreprises françaises, dont le PDG de Total Christophe de Margerie, le numéro 2 de GDF Suez Jean-François Cirelli, ou Serge Dassault (qui est également sénateur) [et également PDG dans l'aéronautique et marchand d'armes NDLR]. ». Quant à la FNSEA, cliquez ici pour avoir un aperçu. Au final, des profils parfaitement désintéressés, tout à fait hors système... On navigue entre la quenelle anti-sioniste, les défilés nationaux-bolcheviques, les cellules révolutionnaires clandestines et les zadistes, n'est-ce pas ? Je me permets un commentaire acerbe : Le bal tragi-comique de la dissidence va-t-il s'arrêter un jour ?

    Les BRICS ne peuvent pas apparaître comme des solutions. Sur le plan social, économique, politique et écologique, leur modèle de développement est l'antithèse de ce à quoi nous aspirons. Certains répondrons, au nom du pragmatisme, que ce n'est pas notre problème. Mais c'est une vision à courte vue que tôt ou tard nous paierons. L'anti-américanisme repose sur des arguments souvent anti-capitalistes, alors pourquoi se jeter dans la gueule béante d'un capitalisme qui n'a même pas développé les mécanisme sociaux de compensation ?

    L'Europe enracinée que nous voulons, n'aura besoin ni du soja OGM brésilien, ni des gadgets inutiles chinois ni du pétrole russe, ni du textile bas de gamme indien.

    Jean / C.N.C.

    Note du C.N.C.: Toute reproduction éventuelle de ce contenu doit mentionner la source.

    Document annexe :

    Planisphère représentant les principaux pays investisseurs pour chaque pays.

    Source: VoxEurope.eu

    investissement.jpg

    Faites clic droit puis cliquez sur "afficher l'image" pour la voir en entier.

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  • Terrorisme : Muhammad Youssef Abdulazeez attaque une base militaire américaine

    Quatre personnes ont trouvé la mort jeudi lors de fusillades dans deux installations militaires à Chattanooga au Tennessee, ainsi que le tireur, ont indiqué les autorités locales lors d’une conférence de presse.

    Le procureur Bill Killian a précisé que ces incidents étaient considérés comme « un acte de terrorisme intérieur ».

    Un policier a également été blessé mais, selon les médias locaux, ses jours ne sont pas en danger.

    Selon la presse, le tireur a été tué par les forces de l’ordre.

    http://www.contre-info.com/