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géopolitique - Page 606

  • Débat à l'Assemblée Nationale sur d'éventuelles frappes en Syrie : paroles de députés

  • « Chine-Russie : quelles stratégies ? » Alex

    Alexandre ORLOV* 
    Ex: http://metamag.fr

    Parler de la Russie et de la Chine, c'est parler,  non seulement du présent, mais aussi de l'avenir  de l'ordre mondial de demain.

    Nous comprenons tous que la portée des relations russo-chinoises dépasse largement le cadre bilatéral. Elles constituent un facteur puissant de formation d'un monde multipolaire.

    Oui, notre monde est en passe de devenir multipolaire. C'est un processus objectif et irréversible. On peut toujours essayer de le ralentir, mais personne n'est désormais en mesure de l'arrêter.

    De fait, dans l'ambition d'assurer leur hégémonie, de maintenir la domination unipolaire, les Etats-Unis suivent le cap de l'endiguement de nouveaux pôles d'influence – avant tout la Russie et la Chine.

    A l'égard de la Russie, cette politique d'endiguement prend une forme ouvertement agressive. On inflige à mon pays des sanctions chaque fois nouvelles – et ce, sans plus aucun lien avec la situation en Ukraine. Des bases militaires américaines et de l’OTAN poussent sur ses frontières tels des champignons, on y construit le bouclier antimissile américain. On lui livre une guerre médiatique, psychologique et économique.

    Pour la Chine, cette même politique d'endiguement revêt un caractère latent, voilé. C’était d'ailleurs pareil pour la Russie, jusqu'à ce que la crise en Ukraine ne fasse tomber les masques.

    La tactique utilisée est pourtant la même

    Pour justifier cette politique d'endiguement, on impose à l'opinion publique toutes sortes de mythes – sur la "menace" russe ou chinoise ou sur "l'antagonisme idéologique" entre l'est et l'ouest.

    Mais en réalité, ni ces menaces imaginaires, ni l'antagonisme idéologique, propres à l'époque de la guerre froide, n'existent. Il n'y a que l'ambition américaine de domination universelle. De la géopolitique à l’état pur.

    Il faut bien comprendre que, malgré toute la diversité des systèmes politiques ou des valeurs, la multipolarité moderne n'est pas de nature idéologique. Au contraire, elle résulte en grande mesure du fait que le modèle du développement capitaliste né en Europe Occidentale et aux Etats-Unis s'est enraciné dans d'autres régions du monde. Tout espoir de bloquer l'émergence d’un monde multipolaire est illusoire. Toute tentative d'empêcher ce processus porte un grave préjudice au système de  sécurité universelle et sape le développement économique global. 

    On a beau s'y accrocher, le modèle unipolaire restera immanquablement dans le passé. Il ne correspond plus au monde moderne, qui est bien trop varié et bien trop complexe. Aucun pays, aucun groupe, aussi puissant soit-il, n'est capable aujourd'hui de résoudre les problèmes universels à lui-seul.

    Les États-Unis ont échoué dans le rôle de leader universel 

    Ils se sont comportés tel un éléphant dans un magasin de porcelaine. Ils ont piétiné le droit international – en Yougoslavie, en Irak, en Libye ou au Yémen. Ils ont poussé le Moyen Orient dans le bourbier du chaos et des guerres civiles, ils ont libéré de sa bouteille l’esprit de l’islamisme radical. Ils ont trahi la confiance de leurs alliés les plus proches, car eux-mêmes ne faisaient confiance à personne, les considérant comme des Etats satellites ou des vassaux, d’où l'espionnage et l'ingérence dans les affaires intérieures, y compris par l'application extraterritoriale des décisions de justice américaine.

    Pour beaucoup d'Occidentaux l'émergence d'un nouveau monde multipolaire apparaît comme chaotique, mais c'est parce que les vielles méthodes unipolaires de prise de décisions et de règlement des conflits ne fonctionnent plus. Nos partenaires occidentaux n'ont toujours pas appris, ou ne veulent tous simplement pas apprendre à travailler d'une façon nouvelle – par le compromis. Ainsi ils associent la fin de l'ordre unipolaire à la fin de l'ordre tout court, à l'arrivée du chaos universel.

    Je tiens à souligner que la Russie, aussi bien que la Chine, j'en suis certain, sont sincèrement intéressés à développer avec les Etats-Unis, qui étaient et restent une grande puissance mondiale, des relations étroites et mutuellement avantageuses. Pourtant, le vrai partenariat ne serait possible que lorsque Washington et les milieux atlantistes d'Europe abandonneront l'idée de leur exclusivité et leur droit à la domination globale.

    Le monde multipolaire – c'est une lourde responsabilité

    Il peut devenir un monde de confrontation de blocs, de lutte pour les sphères d'influence, d’hostilité. Mais il peut aussi bien être un monde de coopération et d’intégration. Telle est la philosophie des nouveaux formats universels initiés par la Russie et la Chine. Je parle des BRICS et de l'OCS (Organisation de coopération de Shanghai). L'égalité des membres, la culture du compromis, toute décision comme dénominateur commun des intérêts nationaux de chacun, voici ce qui distingue ces forums du fonctionnement d'alliances économiques ou politico-militaires traditionnels avec leur subordination et leur discipline de bloc.

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  • Ces femmes kurdes qui préfèrent le combat à l’exil

    Arin, Helly, Khazal, Rusen, elles, sont restées là-bas, pour le défendre, leur pays.

    Les journalistes l’on cherché partout, hier ! Qui ? Mais le Président, pardi ! Où avait-il disparu pour qu’il ne les ait même pas prévenus ?

    À Cergy-Pontoise, dans un centre d’hébergement, à tailler la bavette avec une dizaine de demandeurs d’asile – sur la centaine présents dans ce centre, venus de Syrie via l’Allemagne – et pour s’enquérir de « leur parcours depuis qu’ils ont fui leurs pays […] ». Mais, surtout, pour leur promettre que « tout allait être mis en œuvre pour que leur demande fasse l’objet d’une réponse sous quinze jours […] ». Français dans la misère, passez votre chemin.

    Et il n’était pas tout seul, François Hollande. Une sortie en catimini, mais en grande pompe tout de même, puisque l’accompagnaient Bernard Cazeneuve et l’OFPRA. L’Office français pour les réfugiés et apatrides, parlons-en ! Organisme d’État dont les fonctionnaires vont racoler en Allemagne pour inciter Syriens et autres migrants à demander l’asile chez nous : c’est le reportage diffusé par France 2, il y a quelques jours. C’est Macha Méril qui doit être contente ! « Vous avez vu comme ils sont beaux, tous ces jeunes gens, ces Syriens, ces Irakiens […] ; il n’y a rien de tel pour raviver la France ». Passons sur Macha…

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  • Le père du petit Aylan était-il le passeur ?

    AbbasLa photo du petit Aylan, retrouvé mort noyé sur une plage turque, a ému le monde entier. Le témoignage de son père est remis en cause par l'autre famille qui était à bord de l'embarcation. [NB : j'ai remplacé l'article initial par un autre, plus complet.]

    "Le père du petit Aylan, retrouvé mort échoué sur une plage de Bodrum, dans le sud-ouest de la Turquie, et dont l'image a ému le monde entier, est-il responsable de la mort de son fils ? C'est ce qu'affirme une survivante du drame. Selon elle, Abdallah Kurdi était en fait un passeur.

    Zainab Abbas, originaire d'Irak, a raconté à la chaîne de télévision australienne SkyNews qu'Abdallah Kurdi a manoeuvré le bateau tout au long du voyage pour arriver en Turquie. Elle précise qu'Abdallah Kurdi lui avait d'ailleurs été présenté comme étant le capitaine du bateau et c'est à lui qu'elle a versé l'argent pour la traversée.

    Zainab Abbas raconte également qu'il conduisait trop vite et que tout le monde sur le bateau n'avait pas de gilets de sauvetage. « Il est devenu fou », se souvient-elle dans The Sydney Morning Herald, et son mari aurait d'ailleurs demandé à Abdallah Kurdi de ralentir.

    La survivante rapporte même que ce dernier, au moment du naufrage et alors que tout le monde s'était retrouvé à l'eau, l'aurait implorée de ne pas le dénoncer : « J'ai déjà perdu ma femme et mes enfants, s'il vous plaît, ne dites rien à la police », aurait-il demandé.

    Zainab Abbas a perdu deux enfants dans cette traversée périlleuse. [...]

    Abdallah Kurdi s'est défendu dans les colonnes du Wall Street Journal, en maintenant sa version des faits selon laquelle il aurait pris les commandes du bateau après la fuite du capitaine pris de panique."

    L'AFP a consacré une dépêche à l'enterrement des enfants Abbas, sans mentionner les accusations de leur mère contre M. Kurdi.

    Louise Tudy

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La Russie prépare le terrain pour frapper l'Etat islamique en Syrie

    Lu ici :

    "Officiellement, il s'agit de 80 tonnes d'aide humanitaire. Mais les deux gros-porteurs russes qui se sont posés samedi à Lattaquié succèdent à au moins cinq autres qui ont atterri cette semaine, sans compter l'arrivée de deux bateaux sur la base navale russe de Tartous, plus au sud, chargés jusqu'au pont supérieur de matériel et de fret. [...] Confirmant les observations du ministre israélien de la Défense, [Pierre Razoux, enseignant à Sciences-Po] estime que les tonnes d'équipement visent à édifier une base aérienne à proximité de l'aéroport international de Lattaquié afin d'y accueillir, en cas de besoin, des avions de chasse et des bombardiers russes ainsi que des hélicoptères de transport et d'attaque. 

    Le tout devant être naturellement sécurisé par des batteries sol-air et des effectifs de protection fournis par des troupes russes d'infanterie de marine. Selon des blogueurs militaires américains et russes, des chars et des blindés légers feraient partie des cargaisons, destinés eux aussi à protéger les extensions de périmètre russe autour de Lattaquié et Tartous.[...]

    "Il est encore un peu tôt pour parler de bombardements russes sur Daech", nuance Frédéric Pichon, spécialiste de la Syrie à l'université de Tours, mais il s'agit de la part de la Russie d'un prépositionnement en prévision des grandes manœuvres diplomatiques à venir visant à élargir la coalition internationale contre l'État islamique.""

    Louise Tudy

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le père d’Aylan aurait été le passeur du bateau…

    Il faut être insensible pour refuser de se laisser toucher par ces drames. Il faut l’être tout autant pour refuser de comprendre que les Européens s’inquiètent aussi pour leurs propres enfants.

    Il y a quelques jours, le site FdeSouche relayait un entretien accordé à la télévision australienne par Zainab Abbas, une Irakienne qui affirme avoir tenté la traversée sur le même bateau que le petit Aylan Kurdi.

    Dans cet entretien, la jeune femme parle du père de cet enfant internationalement connu en ces termes : « c’était un passeur, oui, et c’était lui qui conduisait le bateau » depuis le début. La jeune femme insiste, il n’y avait pas de passeur turc. Elle précise même qu’Abdallah Kurdi, le père de l’enfant, lui aurait demandé de « ne pas le balancer » une fois qu’ils étaient tombés à l’eau.

    Déchaînement pour les starlettes de l’indignation, la « fachosphère » ne peut avoir que tort.

    Sauf que depuis vendredi, de grands médias étrangers se font l’écho de l’information, et le Nouvel Obs s’y est même risqué. Le journal relaie l’entretien, avec une précaution qu’on aurait aimé constater sur le reste.

    Le papier parle de déclarations « à prendre avec prudence », et précise que « dans les faits, la plupart du temps, aucune personne liée aux passeurs n’est présente à bord durant la traversée ».

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  • 11/09 : Plus de 2300 ingénieurs et architectes remettent en cause la version officielle

    Pour les lecteurs de Contre-Info qui souhaitent commencer à se renseigner sur le sujet, voici un reportage à voir ici et ce site à consulter : ReOpen911.info
    L’organisation « AE911Truth » publie un livre remettant en cause la version officielle des attentats du 11 septembre 2001 à New York. Encore une nouvelle théorie du complot? Certes, sauf qu’elle rassemble cette fois plus de 2.351 architectes et ingénieurs.

    Dans leur livre, ils disent n’apporter que des preuves scientifiques vérifiées par plus de 2.000 experts (architectes et ingénieurs).Richard Gage, le fondateur de l’association « AE911Truth », y dénonce les failles de l’enquête menée par le National Institute of Standards and Technology (NIST). Il exige une nouvelle enquête indépendante sur les causes de l’effondrement des tours du World Trade Center le 11 septembre 2001.Le mystère WTC 7
    Les architectes et ingénieurs veulent surtout savoir pourquoi le WTC 7, le « petit frère » des Twin Towers situé à 100 mètres au nord du lieu du drame, s’est aussi effondré. Il s’est écroulé vers 17.20 (heures locales), soit sept heures après. L’US Secret Service, Department of Defense et la CIA louaient quelques bureaux dans ce bâtiment.Jane Standley, la célèbre journaliste de la BBC, présente à New York le 11 septembre 2001, avait informé les téléspectateurs que le WTC 7 venait de s’effondrer, plus de 20 minutes avant les faits. Lors de son reportage, le bâtiment était encore visible en arrière-plan (voir la vidéo sous l’article).

     

    Des explosifs contrôlés?
    La manière dont le WTC 7 a chuté intrigue les experts. C’est un vrai mystère pour Richard Gage et les 2.351 architectes et ingénieurs. Il s’est effondré tout droit, comme si des explosifs avaient été contrôlés pendant la chute du bâtiment. Mais une telle explosion exige des mois de préparation et une extrême méticulosité.

    D’après le rapport officiel, les incendies aux différents étages ont eu pour conséquence que les poutres en acier ont commencé à lâcher. Cela a provoqué une réaction en chaîne.

    Des questions sans réponses
    Mais selon Richard Gage, cette théorie est impossible. Un incendie de bureau ne peut pas faire autant de dégâts. Leslie Robertson, l’entrepreneur en chef du complexe du WTC, partage le même avis.

    Qui a contrôlé ces explosifs à distance? Pourquoi? Richard Gage ne connaît pas les réponses à ces questions. Mais il est persuadé d’une chose: la version officielle sur les causes de l’effondrement des tours du World Trade Center n’est pas correcte.

    Source : 7sur7

    http://www.contre-info.com/1109-plus-de-2300-ingenieurs-et-architectes-remettent-en-cause-la-version-officielle#more-39222

  • Anniversaire du 11 septembre : la menace d’Al Qaeda plane toujours sur les USA

    Les Américains célèbrent le 14e anniversaire des attentats du 11 septembre, avec un pincement de peur au cœur. Si les responsables de la sécurité affirment ne pas avoir identifié de menace précise, Al Qaeda a tout de même diffusé une liste de cibles à abattre.

    Le monde a été sidéré par les attentats du 11 septembre 2001. Pour les Américains, l’attentat le plus meurtrier sur leur sol est toujours un traumatisme et c’est avec appréhension que bon nombre d’entre eux voient approcher cette date. Les terroristes d’Al Qaeda étant friands de symboles, un nouvel attentat à cette date est une hypothèse logique qui ressurgit chaque année outre Atlantique.

    Pourtant, le directeur du FBI James Comey et le chef de l’Agence de sécurité nationale (NSA), l’amiral Michael Rogers, qui intervenaient à une conférence sur le renseignement se sont voulus rassurants. Le premier a déclaré qu’« il n’y a pas de menace spécifique et crédible liée » à cet anniversaire. Il n’a pas été contredit par son collègue de la NSA, qui a simplement souligné combien le 11— Septembre « est clairement une date qui résonne pour beaucoup de gens ».

    Pourtant, Al Qaeda dans la péninsule arabique (AQPA) commémore la date à sa façon, en publiant une « kill list » à la veille du 14e anniversaire des attentats les plus célèbres du monde.
    L’objectif des islamistes est de déstabiliser l’économie américaine en visant ses locomotives. Aqpa appelle à tuer les milliardaires Américains qui font l’économie du pays, tel que le fondateur de Microsoft Bill Gates, l’investisseur Warren Buffet, l’ex-maire de New York Michael Bloomberg, ou encore l’ex-président de la Réserve fédérale des États-Unis, Ben Bernanke. L’organisation terroriste leur promet la vie sauve s’ils fuient les USA avec leurs capitaux.

    Si l’organisation a perdu beaucoup de sa superbe depuis la guerre menée contre elle en Afghanistan et la montée en puissance de l’État Islamique (Daesh), ses menaces ne sont toutefois pas à prendre à la légère.

    http://fr.novopress.info/

  • L’Autriche et l’Espagne prônent un rapprochement avec Bachar al-Assad

    L’Autriche et l’Espagne se sont démarquées des autres pays de l’Union européenne dans l’attitude à prendre à l’encontre du président syrien Bachar al-Assad

    Par la voix de leur ministre des Affaires étrangères respectifs, en visite séparément dans la capitale iranienne, ils ont prôné plus de rapprochement avec le président syrien que quatre années de guerre soutenue par les puissances occidentales et les monarchies arabes ne sont pas parvenues à faire renverser.

    La priorité de combattre Daesh

    Selon l’Autrichien Sebastian Kurz, l’Occident devrait joindre le président syrien, la Russie et l’Iran à la lutte contre la milice wahhabite takfiriste Daesh (Etat islamique).

    « A mon avis, la priorité revient au combat contre le terrorisme. Ceci ne pourra être possible sans des puissances comme l’Iran et la Russie », a-t-il dit lors d’un point de presse avec les journalistes, en marge d’une visite officielle en Iran du président autrichien, la première depuis dix années d'un président européen.

    Et de conclure, selon l'agence Reuters : « Nous avons besoin d’une action commune qui puisse garantir la participation d’Assad pour faire face au terrorisme de l’organisation de Daesh».

    La paix se fait avec les ennemis

    Selon le ministre espagnol des Affaires étrangères, José Manuel Garcia-Margallo, il faut "négocier" avec le président syrien Bachar al-Assad "un cessez-le-feu", faisant valoir que "la paix se fait toujours avec les ennemis".

    En visite officielle en Iran jusqu'à mardi, il a jugé qu'il fallait "négocier" avec le président syrien "un cessez-le-feu partiel, commençant par Alep (nord-ouest de la Syrie), pour arriver à un cessez-le-feu global", dans une interview accordée à la radio Cadena Ser, rapportée par l'AFP.

    "Une des parties (impliquées), c'est le gouvernement de Bachar al-Assad qui personnellement ne me plaît absolument pas (...) mais la paix se fait toujours avec les ennemis, il faudra négocier et arriver à un cessez-le-feu sinon nous allons arriver à une situation humanitaire désespérée".

    Le ministre espagnol a défendu l'option militaire contre l'organisation Etat islamique (EI), ajoutant attendre "désespérément" une décision de la communauté internationale en la matière.

    "Avec Daesh (acronyme arabe de l'EI), il n'est possible ni de négocier ni de dialoguer, une solution militaire est nécessaire, mais dans un cadre de la légalité internationale", a-t-il dit.

    L'intervention doit être légitimée, par exemple via "une résolution du Conseil de sécurité des Nations unies", a déclaré M. Margallo, dont le pays est actuellement membre non permanent du Conseil.

    Mais "si cela n'était pas possible - et il semble que cela ne sera pas car la Russie soutient le gouvernement de Bachar al-Assad (...) -, il nous suffirait d'une décision de l'OTAN, d'une décision de l'Union européenne", a dit José Manuel Garcia-Margallo.

    source : Al manar :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuuElVZuZFlaxlpPZg.shtml

  • Syrie : le djihadiste qui imposait le statut de dhimmi aux chrétiens a été tué

    Capture

    Il y a quelques jours, l’État Islamique sortait une vidéo ou un djihadiste faisait signer un document à des chrétiens. Il s’agit du « pacte de la dhimma » édicté par le calife Omar ibn al Khattab, compagnon du prophète,  qui régna de 634 à 644. En signant ce pacte les non-musulmans reconnaissent leur statut de dhimmi. Les chrétiens ont alors l’obligation de payer la Jizya (impôt obligatoire pour les mécréants), l’interdiction de faire tout prosélytisme (une construction d’une église ou d’un monastère, affichage de signes religieux, les cloches d΄une église, procession etc..)

    Le djihadiste de la vidéo se nommait Hazem Abu Rumman ( alias « Abu Qaqaa ») agé de 30 ans et de nationalité jordanienne. Il a été neutralisé dans un bombardement des forces aériennes syriennes. L’EI confirme la mort de son Emir. Justice divine ?

     

    Abu al Qaqaa

    http://www.contre-info.com/syrie-le-djihadiste-qui-imposait-le-statut-de-dhimmi-aux-chretiens-a-ete-tue#more-39189