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géopolitique - Page 619

  • L’Empire contre-attaque

    La photo du petit garçon allongé sur la plage a inondé les médias européens. Tout le monde connaît son prénom maintenant : Aylan. Journalistes, artistes et toute personne du monde de « l’entertainment » ayant accès aux médias dominants (de domination ???) dénoncèrent l’égoïsme des Européens et la frilosité de leurs dirigeants.

    Quelques jours après, François Hollande annonçait l’arrivée de 24.600 migrants en France, chaque pays européen rivalisant d’ambition pour en installer des centaines de milliers sur son sol.

    Les experts passent en boucle à la télévision. Leurs arguments, toujours favorables à leur arrivée, associent la compassion à la rationalité. Seules quelques voix isolées refusent encore de céder à ce diktat. L’émotion a fait son job. Ceux qui ont créé l’émotion ont bien fait le leur. Le matraquage est permanent, culpabilisant les honnêtes gens animés de ces vertus humanistes qui font l’honneur de la civilisation européenne. Cependant, agir ainsi ne dispense pas d’analyser ce qui se passe et de conjecturer sur les protagonistes de la cinquième colonne à l’origine de ce tapage médiatique.

    C’est l’instinct qui avait motivé mon « Journalistes ou passeurs ?» (*). Depuis, beaucoup de lignes ont été écrites et publiées. Le Monde, « le journal de référence », se sent même obligé de dénoncer imposteurs et complotistes pour arguer de son bon-droit. Il n’est pas le seul à jouer dans cette fanfare. L’arrivée de millions d’individus allogènes se superposant aux dizaines de millions déjà installés sur nos territoires depuis la fin de la deuxième guerre mondiale oblige encore une fois à nous interroger. Pourquoi ?

    La réponse est triviale. Nos ennemis, non contents de l’avoir assujettie, veulent maintenant détruire l’Europe pour éliminer un rival potentiel et s’ouvrir d’autres perspectives après avoir sécurisé leurs bases arrières. La cible ultime est la Russie. Dans l’art de la guerre, le chaos chez l’autre est toujours préférable à l’ordre.

    Certes, comme cela est de plus en plus évident, la classe dirigeante européenne est complètement soumise. Elle obéit. Mais les peuples saisissent ce qui se passe et, ne voulant pas mourir, s’expriment pacifiquement en donnant à chaque élection de plus en plus de voix aux mouvements dits populistes. Partout en Europe ceux-ci progressent. On ne peut pas comprendre la montée subite de Syriza en Grèce sans envisager que c’est le contre-feu organisé par les dominants pour éliminer Aube dorée. Ses dirigeants furent mis en prison avant l’élection décisive. En outre, de plus en plus de têtes se tournent vers la Russie comme recours à cette domination extra-européenne.

    Engagé depuis plus de cinquante années, le processus de métissage de la population européenne prend maintenant une nouvelle dimension. L’Histoire enseigne que mélanger les peuples permet à un conquérant de soumettre un territoire conquis. Ainsi, Rome ne cessa de déporter et d’installer des gens de l’Empire en dehors de leur territoire d’origine. Un des exemples les plus fameux est celui des juifs après la Grande Révolte (66-73 ap. J.-C). L’échec de cette rébellion juive marque la fin de l’Etat hébreu antique et la naissance de la diaspora. L’Empire aujourd’hui fait de même après avoir installé partout des gouverneurs pour relayer sa politique.

    Depuis 1945, les classes dirigeantes historiques ont été ostracisées, au mieux, tuées dans le pire des cas. Un processus méritocratique animé par des autochtones inféodés et des allogènes récemment installés a fourni les cadres dont nos territoires avaient besoin après ces purges. Le contrôle des médias et des personnalités publiques a conditionné le peuple-souche à l’esprit de ses nouveaux maîtres. Notre civilisation gallo-américaine en est le résultat. Il eut du pain et des jeux, aussi rien ne bouge depuis – enfin… ne bougeait pas, car du pain, il y en a moins, et les jeux sont ennuyeux.

    Alors le « populisme » monte. Et les maîtres de l’Empire craignent une rébellion à la Arminius ou à la Vindex.

    Gaius Julius Vindex, Gaulois originaire d’Aquitaine et sénateur romain, était gouverneur de la province de Gaule lyonnaise. La révolte qu’il organisa contre Rome en 68 ap. J.-C. échoua. Arminius eut plus de succès. Issu de la région de la Weser, élevé à Rome comme un citoyen romain, il devint une personnalité parfaitement intégrée à la classe dirigeante et, à ce titre, proche conseiller du gouverneur Varus en Germanie. Mais… au début du 1er siècle ap. J.-C., l’anéantissement, à son initiative, de trois légions romaines au cours de la bataille de Teutobourg fixa définitivement les limites de l’Empire romain en Europe occidentale.

    L’Histoire pullule de faits semblables où des personnalités issues de peuples soumis se rebellèrent contre les maîtres qui les avaient faits rois. Tout ceci est transmis et enseigné aux personnes en charge du pouvoir. Charles De Gaulle fut un des derniers Gaulois à s’être rebellé contre la tutelle de l’Empire à qui il devait tout. Bilan : Mai-68 sur les bras ; une fuite en Allemagne suivie d’une élection perdue. La messe était dite. Georges Pompidou, plus sûr, le remplaça.

    Comme hier, l’Empire veut maintenant la Russie. Mais pour prendre la Russie, il doit contrôler ses arrières. Or, de la sujétion totale de l’Europe dépend le succès ou l’échec de cette entreprise. Malgré les institutions créées à cet effet – Union européenne, Otan, etc ; des dirigeants inféodés ; la maîtrise totale des personnalités publiques (artistes, politiciens, sportifs, « patrons » de grandes entreprises) ; l’infiltration de l’Ecole publique, etc. – l’Europe est encore une puissance militaire plus que respectable pour peu qu’elle veuille utiliser son arsenal. En outre, beaucoup de militaires comprennent la politique. Qui sait ce qu’un dirigeant inspiré par Arminius ou Vindex pourrait faire en s’alliant avec la Russie ? Alors, il faut miner cet espace nécessaire à la conquête de la Russie pour maximiser ses chances de succès lors de l’offensive finale. On ne peut expliquer l’arrivée de millions d’immigrés bien au-delà des nécessités économiques sans les envisager comme la garantie de la mainmise de l’Empire sur nos territoires. Les plus intégrés d’entre eux ont même l’honnêteté de l’admettre. Ainsi, s’adressant à Florian Philippot (FN), Malek Boutih (PS) affirma « Même si vous gagnez, on ne se laissera pas faire » (1). S’exprimait-il au nom du PS ou comme Immigré ?

    Mais d’autres Immigrés refusent d’être les pions sacrifiés aux intérêts de l’Empire. Alors on en fait venir de nouveaux. Comme les justifications économiques ne suffisent plus, on trouve d’autres arguments en utilisant tous les registres disponibles. La mort d’un enfant s’inscrit dans ce processus visant à annihiler toutes les volontés et toutes les défenses de ceux qu’il faut dominer. L’arrivée d’Afghans, de Machrekiens, d’Erythréens, etc., innocents politiquement, encadrés par des combattants de l’Empire, participe au renforcement de la domination. Le B.A.BA de tout pouvoir est de diviser pour régner.

    Une question se pose alors. Quel visage donner à cet Empire ? On prête à François Mitterrand les propos suivants avant sa mort : « La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. C’est une guerre inconnue, une guerre permanente, sans mort apparemment et pourtant une guerre à mort » (2).

    Délire d’un mourant ou réalisme d’un chef d’Etat averti ?

    Frédéric Villaret, 14/09/2015

    Notes :

    (*) Voy. http://www.polemia.com/journalistes-ou-passeurs/

    (1) http://www.lessonnien.fr/wp-content/uploads/Malek-Boutih-Mots-Croises-sur-France-2.png

    (2) Source : Georges-Marc Benamou, Le Dernier Mitterrand, Plon, 1997.

  • Poutine est le seul chef d’État à avoir une vision claire du Moyen-Orient

    D'Yves de Kerdrel :

    Unknown-8"Notre salut passe par Poutine. Le président de la Russie est le seul Chef d’État au monde à avoir une vision claire de ce qui se passe au Moyen-Orient. Il l’a exposée dans un discours qu’il a fait hier au Tajikistan. Selon ses informations, non seulement Dae’ch contrôle une grande partie de l’Irak et de la Syrie. Mais l’organisation terroriste a déjà planifié des attentats à La Mecque, Médine et Jérusalem. De la même manière, elle vise à s’étendre en Europe, en Russie et en Asie du Sud-Est. C’est ce qui amène Vladimir Poutine à appeler la communauté internationale à unir ses forces contre cet ennemi prêt à déstabiliser toute cette région. C’est ce qui l’a conduit aussi, selon nos informations, à expédier auprès des côtes syriennes son plus gros sous-marin nucléaire doté de 200 missiles balistiques."

    Michel Janva

  • Syrie, crise des migrants, Angela Merkel, "Art" contemporain…

  • "Migrants" : Les enjeux géopolitiques que cache le torrent de propagande "humanitaire"

  • Débat à l'Assemblée Nationale sur d'éventuelles frappes en Syrie : paroles de députés

  • « Chine-Russie : quelles stratégies ? » Alex

    Alexandre ORLOV* 
    Ex: http://metamag.fr

    Parler de la Russie et de la Chine, c'est parler,  non seulement du présent, mais aussi de l'avenir  de l'ordre mondial de demain.

    Nous comprenons tous que la portée des relations russo-chinoises dépasse largement le cadre bilatéral. Elles constituent un facteur puissant de formation d'un monde multipolaire.

    Oui, notre monde est en passe de devenir multipolaire. C'est un processus objectif et irréversible. On peut toujours essayer de le ralentir, mais personne n'est désormais en mesure de l'arrêter.

    De fait, dans l'ambition d'assurer leur hégémonie, de maintenir la domination unipolaire, les Etats-Unis suivent le cap de l'endiguement de nouveaux pôles d'influence – avant tout la Russie et la Chine.

    A l'égard de la Russie, cette politique d'endiguement prend une forme ouvertement agressive. On inflige à mon pays des sanctions chaque fois nouvelles – et ce, sans plus aucun lien avec la situation en Ukraine. Des bases militaires américaines et de l’OTAN poussent sur ses frontières tels des champignons, on y construit le bouclier antimissile américain. On lui livre une guerre médiatique, psychologique et économique.

    Pour la Chine, cette même politique d'endiguement revêt un caractère latent, voilé. C’était d'ailleurs pareil pour la Russie, jusqu'à ce que la crise en Ukraine ne fasse tomber les masques.

    La tactique utilisée est pourtant la même

    Pour justifier cette politique d'endiguement, on impose à l'opinion publique toutes sortes de mythes – sur la "menace" russe ou chinoise ou sur "l'antagonisme idéologique" entre l'est et l'ouest.

    Mais en réalité, ni ces menaces imaginaires, ni l'antagonisme idéologique, propres à l'époque de la guerre froide, n'existent. Il n'y a que l'ambition américaine de domination universelle. De la géopolitique à l’état pur.

    Il faut bien comprendre que, malgré toute la diversité des systèmes politiques ou des valeurs, la multipolarité moderne n'est pas de nature idéologique. Au contraire, elle résulte en grande mesure du fait que le modèle du développement capitaliste né en Europe Occidentale et aux Etats-Unis s'est enraciné dans d'autres régions du monde. Tout espoir de bloquer l'émergence d’un monde multipolaire est illusoire. Toute tentative d'empêcher ce processus porte un grave préjudice au système de  sécurité universelle et sape le développement économique global. 

    On a beau s'y accrocher, le modèle unipolaire restera immanquablement dans le passé. Il ne correspond plus au monde moderne, qui est bien trop varié et bien trop complexe. Aucun pays, aucun groupe, aussi puissant soit-il, n'est capable aujourd'hui de résoudre les problèmes universels à lui-seul.

    Les États-Unis ont échoué dans le rôle de leader universel 

    Ils se sont comportés tel un éléphant dans un magasin de porcelaine. Ils ont piétiné le droit international – en Yougoslavie, en Irak, en Libye ou au Yémen. Ils ont poussé le Moyen Orient dans le bourbier du chaos et des guerres civiles, ils ont libéré de sa bouteille l’esprit de l’islamisme radical. Ils ont trahi la confiance de leurs alliés les plus proches, car eux-mêmes ne faisaient confiance à personne, les considérant comme des Etats satellites ou des vassaux, d’où l'espionnage et l'ingérence dans les affaires intérieures, y compris par l'application extraterritoriale des décisions de justice américaine.

    Pour beaucoup d'Occidentaux l'émergence d'un nouveau monde multipolaire apparaît comme chaotique, mais c'est parce que les vielles méthodes unipolaires de prise de décisions et de règlement des conflits ne fonctionnent plus. Nos partenaires occidentaux n'ont toujours pas appris, ou ne veulent tous simplement pas apprendre à travailler d'une façon nouvelle – par le compromis. Ainsi ils associent la fin de l'ordre unipolaire à la fin de l'ordre tout court, à l'arrivée du chaos universel.

    Je tiens à souligner que la Russie, aussi bien que la Chine, j'en suis certain, sont sincèrement intéressés à développer avec les Etats-Unis, qui étaient et restent une grande puissance mondiale, des relations étroites et mutuellement avantageuses. Pourtant, le vrai partenariat ne serait possible que lorsque Washington et les milieux atlantistes d'Europe abandonneront l'idée de leur exclusivité et leur droit à la domination globale.

    Le monde multipolaire – c'est une lourde responsabilité

    Il peut devenir un monde de confrontation de blocs, de lutte pour les sphères d'influence, d’hostilité. Mais il peut aussi bien être un monde de coopération et d’intégration. Telle est la philosophie des nouveaux formats universels initiés par la Russie et la Chine. Je parle des BRICS et de l'OCS (Organisation de coopération de Shanghai). L'égalité des membres, la culture du compromis, toute décision comme dénominateur commun des intérêts nationaux de chacun, voici ce qui distingue ces forums du fonctionnement d'alliances économiques ou politico-militaires traditionnels avec leur subordination et leur discipline de bloc.

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  • Ces femmes kurdes qui préfèrent le combat à l’exil

    Arin, Helly, Khazal, Rusen, elles, sont restées là-bas, pour le défendre, leur pays.

    Les journalistes l’on cherché partout, hier ! Qui ? Mais le Président, pardi ! Où avait-il disparu pour qu’il ne les ait même pas prévenus ?

    À Cergy-Pontoise, dans un centre d’hébergement, à tailler la bavette avec une dizaine de demandeurs d’asile – sur la centaine présents dans ce centre, venus de Syrie via l’Allemagne – et pour s’enquérir de « leur parcours depuis qu’ils ont fui leurs pays […] ». Mais, surtout, pour leur promettre que « tout allait être mis en œuvre pour que leur demande fasse l’objet d’une réponse sous quinze jours […] ». Français dans la misère, passez votre chemin.

    Et il n’était pas tout seul, François Hollande. Une sortie en catimini, mais en grande pompe tout de même, puisque l’accompagnaient Bernard Cazeneuve et l’OFPRA. L’Office français pour les réfugiés et apatrides, parlons-en ! Organisme d’État dont les fonctionnaires vont racoler en Allemagne pour inciter Syriens et autres migrants à demander l’asile chez nous : c’est le reportage diffusé par France 2, il y a quelques jours. C’est Macha Méril qui doit être contente ! « Vous avez vu comme ils sont beaux, tous ces jeunes gens, ces Syriens, ces Irakiens […] ; il n’y a rien de tel pour raviver la France ». Passons sur Macha…

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  • Le père du petit Aylan était-il le passeur ?

    AbbasLa photo du petit Aylan, retrouvé mort noyé sur une plage turque, a ému le monde entier. Le témoignage de son père est remis en cause par l'autre famille qui était à bord de l'embarcation. [NB : j'ai remplacé l'article initial par un autre, plus complet.]

    "Le père du petit Aylan, retrouvé mort échoué sur une plage de Bodrum, dans le sud-ouest de la Turquie, et dont l'image a ému le monde entier, est-il responsable de la mort de son fils ? C'est ce qu'affirme une survivante du drame. Selon elle, Abdallah Kurdi était en fait un passeur.

    Zainab Abbas, originaire d'Irak, a raconté à la chaîne de télévision australienne SkyNews qu'Abdallah Kurdi a manoeuvré le bateau tout au long du voyage pour arriver en Turquie. Elle précise qu'Abdallah Kurdi lui avait d'ailleurs été présenté comme étant le capitaine du bateau et c'est à lui qu'elle a versé l'argent pour la traversée.

    Zainab Abbas raconte également qu'il conduisait trop vite et que tout le monde sur le bateau n'avait pas de gilets de sauvetage. « Il est devenu fou », se souvient-elle dans The Sydney Morning Herald, et son mari aurait d'ailleurs demandé à Abdallah Kurdi de ralentir.

    La survivante rapporte même que ce dernier, au moment du naufrage et alors que tout le monde s'était retrouvé à l'eau, l'aurait implorée de ne pas le dénoncer : « J'ai déjà perdu ma femme et mes enfants, s'il vous plaît, ne dites rien à la police », aurait-il demandé.

    Zainab Abbas a perdu deux enfants dans cette traversée périlleuse. [...]

    Abdallah Kurdi s'est défendu dans les colonnes du Wall Street Journal, en maintenant sa version des faits selon laquelle il aurait pris les commandes du bateau après la fuite du capitaine pris de panique."

    L'AFP a consacré une dépêche à l'enterrement des enfants Abbas, sans mentionner les accusations de leur mère contre M. Kurdi.

    Louise Tudy

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La Russie prépare le terrain pour frapper l'Etat islamique en Syrie

    Lu ici :

    "Officiellement, il s'agit de 80 tonnes d'aide humanitaire. Mais les deux gros-porteurs russes qui se sont posés samedi à Lattaquié succèdent à au moins cinq autres qui ont atterri cette semaine, sans compter l'arrivée de deux bateaux sur la base navale russe de Tartous, plus au sud, chargés jusqu'au pont supérieur de matériel et de fret. [...] Confirmant les observations du ministre israélien de la Défense, [Pierre Razoux, enseignant à Sciences-Po] estime que les tonnes d'équipement visent à édifier une base aérienne à proximité de l'aéroport international de Lattaquié afin d'y accueillir, en cas de besoin, des avions de chasse et des bombardiers russes ainsi que des hélicoptères de transport et d'attaque. 

    Le tout devant être naturellement sécurisé par des batteries sol-air et des effectifs de protection fournis par des troupes russes d'infanterie de marine. Selon des blogueurs militaires américains et russes, des chars et des blindés légers feraient partie des cargaisons, destinés eux aussi à protéger les extensions de périmètre russe autour de Lattaquié et Tartous.[...]

    "Il est encore un peu tôt pour parler de bombardements russes sur Daech", nuance Frédéric Pichon, spécialiste de la Syrie à l'université de Tours, mais il s'agit de la part de la Russie d'un prépositionnement en prévision des grandes manœuvres diplomatiques à venir visant à élargir la coalition internationale contre l'État islamique.""

    Louise Tudy

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html