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géopolitique - Page 616

  • Ukraine: une nouvelle guerre civile en gestation

    De plus en plus nombreux en Ukraine, les ultras empêchent Piotr Porochenko d'engager des négociations avec les représentants du Donbass, bien que le président ukrainien soit visiblement fatigué de la guerre, estime l'historien américain Stephen F. Cohen.

     

    Ce qui se produit à présent en Ukraine est sans doute le début d'une deuxième guerre civile, a déclaré l'universitaire américain Stephen F. Cohen dans une émission de John Batchelor.

    "Ce serait une guerre entre le gouvernement de Kiev, épaulé par Washington, et le mouvement ultranationaliste, dont les rangs ne cessent de grossir", a estimé M.Cohen.

    Selon l'expert, le groupe Pravy Sektor (Secteur droit), qui compte également des néonazis dans ses rangs, est sans doute le plus influent au sein de ce mouvement ultranationaliste.

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  • Contre Daech, Poutine tend la main à el-Assad

    Moscou lance l'initiative d'une coalition incluant le président syrien pour lutter contre l'État islamique.

    Très inquiet de la montée en puissance de l'État islamique près de ses frontières, Vladimir Poutine propose une solution alternative à celle des États-Unis.

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  • Les forces du SAS britannique déguisés en “rebelles EIIL” combattent Assad

    Le 2 Août, le journal britannique du Sunday Express titrait “Le SAS se déguise en combattants de l’EI dans la guerre secrète contre les djihadistes”:

    “Plus de 120 membres appartenant au régiment d’élite se trouvent actuellement dans le pays ravagé par la guerre, secrètement déguisés en noir et faisant flotter les drapeaux de l’EIIL”, ils sont engagés dans ce qui est appelé l’Operation Shader: attaquer des cibles syriennes sous le prétexte de combattre l’EIIL.

    Il se peut que des forces commandos américaines et des éléments de la CIA soient impliqués de la même manière. Pendant la guerre d’Obama en Libye, la Grande-Bretagne a déployé des centaines de ses membres des Special Forces Support Group (SFSG) parachutistes, tirés de ses personnels du SAS (Special Air Service) et du SBS (Special Boat Service).

    Environ 800 Royal Marines et 4000 Marine américains (NdT: “Marines” = fusiliers marins) se tenaient en renfort, prêts à intervenir le cas échéant.

    Cette dernière révélation intervient deux semaines après avoir appris que le premier ministre David Cameron avait approuvé l’an dernier que les avions britanniques rejoignent ceux des Etats-Unis pour bombarder la Syrie malgré le rejet du parlement britannique en Août 2013.

    Une partie de cette opération secrète de terrain est sous commandement américain, les unités “smash” voyageant dans des camions pick-up, capables de lancer des mini-drones pour scanner le terrain afin d’y repérer des cibles d’attaque.

    Plus de 250 spécialistes britanniques (et peut-être américains) sont impliqués à fournir un soutien de transmission et de communication, a expliqué le Sunday Express.

    Le ministre de la défense britannique Michael Fallon a dit que “nos actions et nos capacités de surveillance libèrent d’autres pays pour frapper en Syrie.”

    Les forces du SAS britannique sont en Arabie Saoudite pour entraîner des terroristes anti-Assad avec des opérateurs américains qui font la même chose également en Turquie, en Jordanie au Qatar et probablement en Israël.

    Les Etats-Unis et la GB affirment n’entraîner que les soi-disant rebelles “modérés” (NdT: ce qui n’est qu’une fiction totale et fait partie de la propagande de guerre pour maintenir l’opinion publique…), ce qui n’est qu’un écran de fumée pour cacher leur implication directe avec les terroristes de l’EIIL, entraînés, armés et financés depuis l’étranger, passés au travers des frontières en Syrie pour lutter contre Assad, maintenant avec un soutien aérien anglo-americano-canadien ainsi que les commandos de soutien au sol.

    Le Sunday Express a cité un ancien général de l’armée britannique, David Richards, disant “les chars entreront en action” dans les opérations de la GB en Syrie.

    Un article séparé discutait des frappes aériennes américaines qui défendaient les terroristes de l’EIIL servant d’infanterie pour les Américains contre Assad.

    Le Wall Street Journal a rapporté ce qui apparaît être un prélude évident à une opération Libye 2.0, affirmant faussement qu’Obama a autorisé des frappes aériennes contre les forces syriennes si elles attaquent les rebelles “modérés” (et non-existant) soutenus par les Etats-Unis.

    Indépendamment, un média turc a rapporté que le président Erdogan a dit que Poutine pourrait s’être affaibli concernant Assad et qu’il pourrait l’abandonner.

    Obama a dit qu’il était “encouragé par le fait que Mr Poutine l’avait appelé fin Juin et avait pris l’initiative de cet appel au sujet de la Syrie.”

    Je pense qu’ils ont l’impression que le régime d’Assad est en train de perdre le contrôle de toujours plus de terrain en Syrie et que la perspective d’une prise en main djihadiste ou une déroute du régime syrien ne sont pas imminentes mais deviennent une plus grande menace de jour en jour. Ceci nous offre une opportunité d’avoir une conversation sérieuse avec eux.

    Le porte-parole de Vladimir Poutine, Dimitri Peskov, a dit que les deux leaders ont discuté du combat contre le terrorisme, spécifiquement contre l’État Islamique.

    “La position russe est bien connue”, a t-il expliqué. “Elle a été réitérée par Poutine pendant sa conversation avec Obama. Elle n’a pas changé.”

    Poutine est opposé à toute interférence extérieure de quelques nations que ce soient dans les affaires intérieures des autres. Il soutient le droit souverain des Syriens et des autres peuples de choisir leurs propres leaders et législateurs.

    Le conseiller de Poutine Youri Oushakov a dit que “le leadership actuel de la Syrie est une des véritables forces luttant effectivement et confrontant réellement l’EI.”

    Absolument rien n’indique un amoindrissement du soutien russe pour le président Assad.

    Stephen Lendman

    notes :  Global Research , traduit par Resistance 71.

    source : Al manar ::lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuFlZAuklZhQselBhq.shtml

  • SOS Chrétien d’Orient : "La tache est immense, les besoins innombrables"

    Cet été, l’association SOS Chrétiens d’Orient poursuit son travail humanitaire auprès des populations sinistrées, notamment chrétiennes, en Orient. Hélène Bertrand, déléguée générale de l’association, a bien voulu répondre aux questions du R&n afin de faire un point sur les différentes missions estivales.

     

    R & N : Quels sont les différentes missions de SOS Chrétiens d’Orient cet été ?

    SOS Chrétiens d’Orient : Cet été, plus de quatre-vingt-dix volontaires s’engagent dans différentes missions en Irak, en Syrie « Ensemble avec les enfants de Syrie », et au Liban « Ensemble avec les enfants du Liban ». Cinquante d’entre eux se relaieront pendant les mois de juillet et août, au Kurdistan irakien en rejoignant la mission permanente « Mission Irak 2015 ». Rappelons que SOS Chrétiens d’Orient est présent en Irak de manière continue depuis le 8 août 2014. La grande nouveauté réside dans l’envoi de vingt volontaires en Syrie, dans différentes villes. C’est en effet la première fois que SOS Chrétiens d’Orient envoie autant de volontaires sur une longue période dans un pays en proie à une guerre civile largement subventionnée par les Etats voisins ou occidentaux. Notre antenne libanaise (Massihiyyoun Maan), reçoit vingt volontaires, envoyés dans six missions à travers le pays, au service des diverses Églises du pays du Cèdre.

    Quelles que soient les missions sur lesquelles l’association intervient, la tâche est immense, les besoins innombrables. L’objectif reste le même : retisser les liens entre les chrétiens d’Orient et ceux de France à travers l’échange, la connaissance mutuelle mais aussi dans l’encadrement de patronages et la participation à divers travaux.

    R&N : Citez-nous des exemples concrets d’action menées cet été par vos volontaires ?SOS Chrétiens d’Orient  : Evaluer les besoins des réfugiés, apporter de la nourriture et des médicaments, bâtir et agrandir des écoles,fournir des cabines médicalisées, reconstruire les bâtiments détruits par la guerre, organiser des activités pour les enfants : telles sont les missions de nos volontaires.

    En Irak, les activités continuent : jeux avec les enfants, visites de familles isolées pour évaluer les besoins, distributions de nourriture et de médicaments. Douze volontaires s’occuperont en août d’un patronage à Mangesh, petit village chrétien des montagnes kurdes qui a accueilli des milliers de réfugiés suite à la prise de la plaine de Ninive par les barbares de l’Etat islamique.

    En Syrie, les volontaires sont présents notamment à Kafroun -petit village chrétien situé à Mashta Elou entre Homs et Tartus- et Maaloula -village chrétien où l’araméen est encore parlé, au nord de Damas. Ils s’occupent de patronages avec les enfants, de les divertir par des activités ludiques –concours sportifs, ateliers de dessins- et pédagogiques - cours de musique, de chants, de couture, cours de français et d’anglais. A Kafroun, les enfants viennent de toute la Syrie, notamment d’Alep. En finançant leur voyage, SOS Chrétiens d’Orient a permis à certains d’entre eux de quitter, pour quelques jours, les horreurs de la guerre pour la première fois depuis plus de quatre ans. Ils participent également à l’initiative du patriarcat grec-melkite catholique nommée « Une pièce pour une famille ». L’objectif est de permettre à chaque famille réfugiée de recommencer à habiter au moins une pièce de son ancien foyer dans les plus brefs délais. Certains réfugiés ont pu retrouver leur maison après la reconquête des villes et des villages opérée par l’armée arabe syrienne, mais il y a tout à refaire : murs détruits, impacts de balles ou d’obus, destruction des systèmes d’électricité ou d’approvisionnement d’eau.

    Au Liban, des volontaires infirmiers renforcent l’équipe du centre médical de la paroisse d’Al Qa, qui prend en charge quatre mille réfugiés syriens. D’autres aident à la restauration de maisons appartenant à des familles pauvres du Liban, à Zahlé. Plusieurs patronages sont également organisés dans la région de Saïda, de Jabboulé et du Mont-Liban. Les volontaires y font du soutien scolaire aux enfants et mettent en place des animations (activités culturelles, religieuses, scolaires, sportives et récréatives). Dans la Vallée Sainte (Wadi Qadisha), quatre volontaires accompagnent frère Yves, un amoureux du lieu, pour recenser les lieux d’ermitage et l’aider dans la réalisation d’un guide de ce berceau de la chrétienté libanaise. [....]

    La suite sur le Rouge & le Noir

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?SOS-Chretien-d-Orient-La-tache-est

  • Quand les États-Unis espionnent en France… en toute légalité

    D’après le député PS, Jean-Jacques Urvoas, les États-Unis utilisent le droit comme une arme pour espionner de grands groupes français et étrangers. C’est ainsi qu’après BNP Paris, c’est au tour du Crédit agricole d’être visé par la justice américaine.

    Dans son rapport publié en décembre 2014, Jean-Jacques Urvoas écrit :

    La législation américaine, notamment en raison de son caractère extraterritorial, apporte une illustration particulièrement éloquente de cette ambivalence par le biais de la procédure de discovery ainsi que l’existence du deal of justice.

    En vertu de ce cadre législatif, les États-Unis s’arrogent ainsi le droit d’enquêter sur des agissements à l’étranger lorsque une entreprise est cotée sur une place boursière américaine.

     

    Pour prouver sa bonne foi, et là réside le principal problème, l’entreprise doit accepter la mise en place d’un moniteur en son sein, moniteur qu’elle choisit mais dont la désignation définitive est soumise à l’approbation des États-Unis.

    http://fr.novopress.info/

  • La soumission à la politique américaine

    Renaud Girard est grand reporter international au Figaro. Il déclare :

    "La France a tellement peur des Etats-Unis que nous avons accepté que la BNP paie une amende de 9 milliards de dollars au Trésor américain, alors que la BNP n'avait violé aucune loi française, mais financé l'exportation de produits - ni trafic d'êtres humains, armes ou drogue - en provenance du Soudan, de Cuba ou d'Iran. La justice américaine a pris prétexte que ces transactions étaient libellées en dollars pour étendre l'application de la loi américaine et de ses sanctions commerciales aux relations entre une entreprise française et ces pays. En 1965, De Gaulle dénonçait «le privilège exorbitant du dollar». Aujourd'hui on assiste au privilège exorbitant de la justice américaine qui prétend appliquer sa loi au monde entier. Renault et Peugeot ont été victimes de pressions américaines, nous les avons hélas acceptées. Aujourd'hui, les entreprises françaises craignent d'agir par peur de s'attirer les foudres de la justice américaine. Elles regrettent que l'UE et ses Etats membres aient été incapables de les protéger le moins du monde. Après la scandaleuse amende imposée à la BNP, on aurait pu imaginer que l'Europe infligeât une amende de 15 milliards de dollars à Goldman Sachs pour avoir aidé le gouvernement grec à truquer ses comptes publics afin d'entrer dans la zone euro."

    Michel Janva

  • Déroute de l’Etat islamique au Sinaï et désinformation des médias internationaux

    Nouvelles de France a obtenu l’aimable autorisation d’Eric Denécé, directeur du site du Centre français de recherche sur le renseignement (CF2R) de reproduire l’excellente tribune du géopolitologue Chérif Amir sur la répression efficace du Président Égyptien Abdel Fattah al-Sissi contre le terrorisme islamiste.

     

    Le 1 er juillet 2015, au nord du Sinaï, les forces armées égyptiennes ont littéralement écrasé les terroristes de l’organisation « Etat islamique », soutenus par le Hamas, tuant 241 islamistes qui rêvaient de répéter le scénario de l’humiliation des armées irakienne et syrienne sur la terre des pharaons. Ils ont cru pouvoir créer une enclave islamique à Al-Arish et dans tout le nord du Sinaï, en attaquant simultanément quinze check points militaires à 06h55. Les terroristes, montés sur plusieurs dizaines de des de pick-up et de motos, étaient lourdement armés (mortiers, RPG, canons anti-aériens, etc.)

    Mais leur rêve s’est transformé en cauchemar grâce à la férocité de la seule armée encore debout au Proche-Orient, dont les pertes à l’occasion de cet affrontement se sont élevées à vingt-quatre hommes seulement. Ils ont pour l’essentiel trouvé la mort en arrêtant l’avancée des véhicules 4×4 piégés qui devaient ouvrir la route aux terroristes et infliger de nombreuses pertes à l’armée égyptienne.

    Pourtant, les médias internationaux – Al-Jazeera, AFP, BBC, Euronews – ont donné une version totalement faussée de ces événements, qu’il s’agisse de mensonges ou d’approximations dans la relation des faits, parlant de plus de 70 tués parmi les militaires et de la chute de nombreuses villes du Sinaï aux mains de l’organisation « Etat islamique ».

    La situation a été en effet bien différente. Les nombreuses vidéos réalisées montrent les terroristes tentant – en vain – de fuir le champ de bataille face à l’infernale puissance de feu de l’armée égyptienne ; on y voit au moins trois pick-up remplis des cadavres de membres de l’Etat islamique.

    L’armée égyptienne a également intercepté les SOS lancés par les terroristes sur les ondes : « Sauvez nous ! Sauvez nous ! Nous sommes blessés ! ». Ces appels, en dialecte palestinien et dans d’autres dialectes arabes, décrivaient la puissance de feu de l’armée égyptienne comme l’enfer, frappant sans arrêt, sur tous les points de l’attaque. [....]

    La suite sur Nouvelles de France

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Deroute-de-l-Etat-islamique-au

  • Le Département d’Etat américain empêche les chrétiens d’Orient de témoigner des persécutions musulmanes, dont ils sont les victimes

    Source : résistance républicaine
    Alors que les persécutions des chrétiens d’Orient par les musulmans atteignent un niveau de brutalité sans précédent, le Département d’État américain a dévoilé sa politique de double standard à l’encontre des minorités chrétiennes persécutées.

    Soeur Diana, une influente Responsable chrétienne irakienne, qui devait se rendre aux USA en mai dernier, afin de plaider la cause des chrétiens persécutés au Moyen-Orient, se vit refuser son visa par le Département d’État américain, malgré le fait qu’elle ait visité les USA précédemment, notamment en 2012.
    Elle devait faire partie d’une délégation de leaders religieux d’Irak, en compagnie, entre autres, de sunnites, de chiites, et de yézidis, invités à Washington D.C. pour parler de la situation de leur communauté respective.
    Chaque responsable religieux reçut un visa, à l’exception de la seule représentante chrétienne du groupe : Sœur Diana.
    Lorsque ce refus fut de notoriété publique, de nombreux Américains protestèrent et certains écrivirent à leurs. députés.
    Ainsi, l’ancien président de la Chambre, Newt Gingrich, se référant au refus d’octroyer un visa à Sœur Diana, déclara :

    Cette administration ne semble jamais trouver une bonne raison pour aider les chrétiens, mais trouve toujours une excuse pour disculper les terroristes… Comme ce refus injustifié attire l’attention, j’espère que le Secrétaire Kerry inversera la situation. Dans le cas contraire, le Congrès devra mener une enquête et virer la personne, responsable de cette décision.

    Le Département d’État accorda finalement le visa à Sœur Diana.

    Ce n’est pas la première fois que le Département d’État américain refuse d’octroyer un visa à un Leader chrétien, en provenance d’une région musulmane. L’année dernière, alors que l’Institut américain pour la Paix invita tous les gouverneurs des Etats du Nord du Nigéria, à majorité musulmane, à une conférence aux USA, le Département d’État bloqua le visa du seul gouverneur chrétien de la région : Jonah David Jang.
    Selon un avocat nigérian, défenseur des Droits de l’Homme, basé à Washington D.C., le problème de visa du gouverneur chrétien, était tout simplement dû à la politique discriminatoire antichrétienne du gouvernement américain.
    Les USA insistent sur le fait que les musulmans sont les premières victimes de Boko Haram ! Ils affirment également que ce sont les chrétiens, qui discriminent les musulmans de l’État du Plateau, l’un des rares États du Nord à majorité chrétienne.

    http://fr.novopress.info/