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immigration - Page 1047

  • RAPPEL - Immigration de masse ET Métissage programmé (Coudenhove Kalergi ) - Nick Griffin

  • Mobilisation du GUD à Lyon pour dénoncer la collusion entre le terrorisme islamique et le Système immigrationiste

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    L'action remarquée du GUD en plein centre de Lyon

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    Le tract massivement distribué pendant la manifestation

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Non le catholicisme n'est pas comparable au terrorisme djihadiste

    Alors que l'émoi est grand parmi les catholiques depuis qu'un prêtre a été égorgé en France par des djihadistes durant sa messe, quelques médias font appel à de prétendus "spécialistes" des religions, du style Odon Vallet, pour comparer les catholiques décomplexés aux terroristes de l'Etat Islamique. Sur les réseaux sociaux, des laïcistes primaires n'hésitent pas à mettre dans le même sac les salafistes, l'Etat Islamique, la Manif pour Tous et Civitas.
    Certains journalistes sauvent heureusement l'honneur de la profession, comme Floris de Bonneville, ancien directeur des rédactions de l'Agence Gamma, qui, sur le site Boulevard Voltaire (1), avait signé le 2 juillet 2016 une tribune intitulée "Alain Escada, un salafiste ?", qui prend tout son sel aujourd'hui.
    De par la grâce de l’article 4 de la Constitution, Civitas n’est plus une association mais bien un parti politique, n’en déplaise au député RDG Olivier Falorni qui vient de lui déclarer la guerre devant l’Assemblée nationale. Ce député, on s’en souvient, avait réussi à détrôner Ségolène Royal de son fief charentais grâce aux votes d’électeurs de droite. 
    L’agrément à peine accordé à Civitas, la gauche, les lobbies LGBT, Têtu et les Femen ont demandé qu’il lui soit retiré. Déclaré par ses ennemis comme « groupuscule intégriste », Civitas a désormais un objectif révélé par son président Alain Escada : « Nous voulons partir en guerre contre les lobbies LGBT, islamistes et autres partis prônant les valeurs antichrétiennes, en devenant un mouvement politique inspiré par le droit naturel et la doctrine sociale de l’Église catholique. »
    Car Civitas ne craint pas de s’identifier comme un parti ouvertement catholique, et pas seulement chrétien comme le PCD de Jean-Frédéric Poisson. Un parti non pas intégriste, mais traditionaliste sur les traces de Mgr Lefebvre, de la Fraternité Saint-Pie-X et de Saint-Nicolas-du-Chardonnet.
    Olivier Falorni n’a pourtant pas hésité, mardi, en séance plénière de l’Assemblée nationale, à comparer Civitas à l’intégrisme islamiste, dénonçant cet agrément comme un scandale. « Le contribuable n’a pas à financer le fonctionnement d’une association qui prône la discrimination, prêche la haine, conteste la démocratie », concluant son intervention par un « Je ne peux pas accepter qu’on ait, demain, des bulletins de vote Civitas d’un parti qui dénonce l’homofolie ».
    Le matin même, lors d’un face à face au micro d’Yves Calvi sur RTL, Alain Escada accusait le député radical de gauche « de céder le pas au Grand Orient de France qui dicte, visiblement, à beaucoup d’hommes politiques ce qu’ils doivent dire et penser ». Ce à quoi M. Falorni répondit : « Les propos de M. Escada sont les mêmes que ceux que je lisais dans Je suis partout en 1943, je m’en souviens, et je n’ai pas envie de revivre ça dans mon pays. » Précisons que M. Falorni n’était pas né en 1943, mais qu’il fit une thèse sur les médias sous l’Occupation.
    En réponse au député Falorni qui le priait de retirer l’agrément à ce « parti fanatique prêcheur de haine », Bernard Cazeneuve répondit que « le principe républicain et le principe de droit doivent être les seules considérations à prendre en compte lors de la création d’une organisation politique ». Il lui a rappelé que l’article 4 de la Constitution avait été strictement appliqué. « Ce n’est pas un dispositif d’agrément, c’est un dispositif déclaratif qui conduit les partis politiques à se déclarer en préfecture. Il n’y a pas de pouvoir discrétionnaire en la matière. Je le rappelle : la démocratie a cette force, c’est qu’elle permet l’expression de ceux qui ne pensent pas comme ceux qui, dans la démocratie, défendent les valeurs. C’est la raison pour laquelle, d’ailleurs, la Constitution a retenu, non un principe d’agrément, mais un principe déclaratif. »
    Étonnante réponse faite à un dissident du PS. Mais plutôt que de s’inquiéter de la création d’un parti qui ne posera, à l’évidence, jamais de bombes, ni ne fera exploser de martyrs au milieu d’un aéroport, qui ne brisera pas non plus les vitrines sur son passage, M. Cazeneuve et M. Falorni ne feraient-ils pas mieux de demander dissolution et répression des salafistes, des antifas et autres groupuscules fascistes et casseurs ?

    (1) http://www.bvoltaire.fr/florisdebonneville/alain-escada-un-salafiste,265728#7ThRWXRLMZYSftTY.99

    http://www.civitas-institut.com/content/view/1451/1/

  • Soyons terribles pour éviter au peuple de l’être

    Il y a beaucoup de bonnes et intéressantes idées dans cette chronique publiée sur Causeur [26.07]. Certes, il nous est permis de douter, à nous et à beaucoup d'autres, que la République soit capable de la brutaliténécessaire face non seulement au terrorisme mais aussi à l'islamisation de la France. Mais il est vrai qu'aujourd'hui nous ne pouvons l'attendre cette brutalité  - et la réclamer - que de ceux qui occupent le pouvoir, sans trop l'exercer d'ailleurs, on le sait. Nous ne chipoterons pas Guillaume Bigot, sur son opinion, que nous ne partageons pas, selon laquelle De Gaulle serait parvenu à canaliser l'épuration des collabos. C'est aujourd'hui un point d'histoire. La référence finale à l'horrible Danton a-t-elle de quoi nous agacer ? Finalement, non, puisqu'en l'occurrence elle reprend une idée juste. Comme nous paraît juste et bienvenue le fond de cette chronique.  LFAR

     Le sang a à peine fini de sécher sur la Promenade des Anglais. La France a été de nouveau frappée. Bientôt, nous ne compterons plus les attentats islamistes. Que faire pour nous y préparer ?

    Avant tout comprendre la nature de la menace. Ce ne sont pas les attentats qu’il faut redouter, ce sont leurs conséquences qu’il faut anticiper. Les actes de terreur djihadistes, bien qu’épouvantables en eux-mêmes, ne sont pas aussi graves que leurs effets probables.

    Cessons d’ailleurs de poser cette question idiote : que fait la police ? Impossible de mettre un agent de renseignement derrière chaque djihadiste potentiel, on empêche beaucoup, on ne préviendra pas tout. Sortons de notre fantasme du zéro risque ou du caractère prédictif du risque djihadiste. Nous sommes dans la vraie vie, pas dans la série « 24 heures chrono ».

    Il faut ainsi préparer la population à des répliques aussi sanglantes que fréquentes. Nous l’écrivions en 2004 avec Stéphane Berthomet dans Le jour où la France tremblera. A présent que nous y sommes, nous n’allons pas nous dédire : la guerre sera d’usure et nous ferions mieux de nous y préparer.

    Nous n’avons pas de stratégie, nous subissons, pire encore nous amplifions. Lorsque nos médias diffusent des images gores, ils se transforment en service de presse du djihad, amplifiant l’effet de terreur. Cesser de diffuser et de relayer les images les plus anxiogènes et les plus spectaculaires des attentats est essentiel, afin de ne pas participer au djihad psychologique. Les médias, les acteurs de l’Internet et tous les citoyens devraient être mobilisés et appelés à la retenue par un État conséquent qui aurait la juste mesure du défi qui nous est lancé. Mais nos dirigeants peuvent-ils sortir de leur logique de com ? Il est permis d’en douter.

    Ivres de démagogie, rendus fous par la tyrannie de la transparence, la veille de l’attentat de Nice, nos gouvernants allaient jusqu’à rendre publique des projets attentats déjoués, facilitant ainsi la tâche à nos ennemis qui n’ont même plus besoin de réussir leur coup pour faire parler d’eux. N’ayant rien compris, ni rien appris du 11-Septembre et du 13-Septembre, le Premier Ministre, la veille de la réplique, se félicitait de l’absence d’attentats pendant l’Euro accréditant l’idée suivant laquelle nous étions sortis du « pot au noir » djihadiste.

    Nous avons toujours un attentat de retard et notre analyse court après l’événement, sans recul et sans capacité à en saisir la logique d’ensemble et à en cerner la réelle dangerosité.

    Les experts et les politiques constatent que, pour l’instant, tout est calme. Ce calme risque de précéder la tempête. Il est vrai que le peuple français a fait preuve d’une dignité et d’une sérénité exemplaire jusqu’à présent mais c’est sans compter sur l’effet de répétition d’actes qui s’inscrivent dans une guerre d’usure.

    La tragédie qui se prépare…

    Imaginez qu’armé d’une simple fourchette, un forcené vous pique le bras jusqu’au sang. Une fois, deux fois, dix fois. A la onzième blessure infligée, même si vous êtes l’être le plus placide du monde, vous allez à la fois vous en prendre à ceux qui sont censés vous protéger et à ceux dont vous estimez, à tort  ou à raison, qu’ils sont responsables de votre souffrance. Voilà ce qui nous menace. Et ce n’est sûrement pas l’eau tiède du « vivre-ensemble » et du « pas d’amalgame » qui préservera notre concorde.

    Si rien ne change, des Français exaspérés finiront par se faire justice eux-mêmes. Et alors, ce jour là, peu importe qu’ils frappent des musulmans pacifiques, des salafistes antipathiques ou de vrais djihadistes, c’est le monopole de la violence légitime qui sera alors contesté.

    Si cela arrive (et nous sommes bien partis pour), la situation deviendra incontrôlable. Nous serons rentrés dans la spirale du sang. Voilà ce qu’il faut éviter et non faire croire à l’opinion que les attentats pourront être évités, ce qu’il est vain d’espérer.

    Nos dirigeants ignorent l’ampleur de la tragédie qui se prépare car ils ne croient pas à l’esprit gaulois. On va hurler au racisme. À tort. Il suffit de relire la Guerre des Gaule pour découvrir que même si nous avons peu de rapport ethnique avec les tribus celtes décrites par César, le peuple français d’aujourd’hui partage bien des traits psychologiques et culturels avec eux. Les beurs et les blacks des cités sont d’ailleurs bien plus gaulois qu’ils ne l’imaginent.

    Or, l’un des traits de la psychologie française, c’est d’être aussi prompts à se diviser qu’à s’unir face à un ennemi commun. Une autre de leur caractéristique, c’est de se montrer très ouvert aux apports extérieurs mais également très intolérants voire très violents à l’égard de ceux qui entendent imposer leur loi chez eux et d’être capables d’accès de fureur incontrôlé. L’histoire de France est jonchée de cadavres de ceux qui ont essayé de briser l’unité et qui ont pactisé avec l’étranger. La haine des Bourguignons, la répression des huguenots, le  massacre des Vendéens et des émigrés, l’épuration des collabos (que De Gaulle parvint à canaliser).

    Ce qui est à redouter par dessus tout, c’est donc que la minorité prosalafiste en France finisse ainsi réprimée dans le sang ou rejetée à la Méditerranée. La valise ou le cercueil, le sinistre programme du FLN risque un jour d’être imposé à ceux qui, Français de souche ou de fraîche date, voudront vivre suivant la charia en France.

    Pour neutraliser ce risque, la République doit se montrer symboliquement brutale à l’égard de cette minorité dans la minorité musulmane et exigeante à l’égard de l’islam. Ce n’est pas le programme de 1901 qu’il faut appliquer à l’islam mais celui de Bonaparte à l’égard du judaïsme.

    Créer des tribunaux d’exception et expulser les étrangers et les doubles nationaux fichés « S ». Expulser en masse et de manière spectaculaire tous les prêcheurs de haine, condamner pour intelligence avec l’ennemi les militants français de la cause. Créer un moratoire sur le regroupement familial. Plutôt la violence symbolique que physique. Obliger toutes les mosquées en France à condamner sans équivoque les actes de leurs coreligionnaires. Imposer aux imams de prévenir eux-mêmes l’amalgame, en se dissociant sans équivoque avec les djihadistes, mieux vaut heurter la susceptibilité des musulmans pratiquants de France que de les voir un jour brutalisés.

    Il faut aussi expliquer qu’espérer vivre suivant des lois et des mœurs étrangères à la France sur son territoire risque de se transformer en cauchemar. Interdire catégoriquement tout prosélytisme islamiste et protéger préventivement les mosquées.

    Danton a parfaitement anticipé ce programme de salut public : soyons terribles, disait-il, pour éviter au peuple de l’être !  

    Guillaume Bigot
    Membre du Comité Orwell, essayiste

    En 2013 il publie La Trahison des chefs chez Fayard.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • I-MEDIA S03E24 : Une semaine d’attentat en Europe, une semaine de bobards dans les médias

  • Le terrorisme est une des « valeurs » du Quatorze juillet

    Le terrorisme a encore frappé et, cette fois, en un jour hautement symbolique : le jour de la fête nationale de la république. Si, après cet horrible massacre de Nice, les hommes politiques de ce régime, de droite comme de gauche, n'ont pas compris qu'il ne sert à rien de rappeler sans cesse les "valeurs" républicaines   pour   intimider les  djihadistes, nous aurons la preuve de leur incompétence et de leur aveuglement. Foin des dissertations sur les Droits de l'Homme et la Laïcité : les nouveaux barbares ne comprennent que l'implacable répression. Et si ces discours n'ont pour but que de consoler les rescapés du terrorisme en les rendant fiers d'être du pays ayant inventé ces concepts faussement philosophiques, que nos bavards médiatiques cessent enfin d'ajouter au deuil des familles éprouvées le pire des mensonges !

    D'abord, loin de toute fausse éloquence, les quatre-vingt-quatre victimes de la Promenade des Anglais ont besoin des prières de la communauté nationale. Qui donc y a songé ? Dire que ces hommes, ces femmes, ces enfants, sont morts en "héros", leur rendre hommage à longueur de lamentations, organiser des marches blanches, n'est pour leur âme d'aucune utilité : les média nous enivrent depuis le soir de 14 juillet de larmes de crocodiles, alors qu'il serait plus utile pour ces morts et même pour les survivants d'observer de grands moments de recueillement et de se demander s'il n'est pas imprudent de jeter le peuple en masse dans la rue, le soir d'un jour historique marqué par le souvenir de tant de scènes de cannibalisme, pouvant donner des idées à des assassins en puissance...

    Le terrorisme a commencé en 1789

    Nous savons ce que fut en 1789 le premier Quatorze Juillet où Paris se trouva livré à des agitateurs sans foi ni loi, sans attaches et sans mémoire. Chaque année à la mi-Juillet la république nous fait commémorer le souvenir des assassins de nombreux Invalides et de nombreux Suisses, qui se saisirent du marquis de Launay, gouverneur de la Bastille, le blessèrent, le massacrèrent et le jetèrent au ruisseau, tandis que le "patriote" garçon boucher Desnos, qui « s'y connaissait en viandes », dit Rivarol, lui coupa la tête. Jacques de Flesselles, prévôt des marchands, s'étant porté à la rencontre de ces sauvages ivres de meurtre, connut le même sort.

    Ces barbares mirent les têtes sanglantes et les viscères de ces malheureux au bout des piques que l'on escorta jusqu'au Palais Royal : ce fut le premier défilé du Quatorze Juillet ! Et là on mit le feu, le soir, à toutes ces chairs, et on farandola autour : ce fut le premier bal du Quatorze Juillet !

    Les jours suivants on continua d'égorger à tour de bras. Bertier de Sauvigny, intendant de Paris, soupçonné de vouloir affamer la capitale, fut massacré, place de l'Hôtel de Ville, devant un grand concours de peuple. Même sort pour son beau-père Foulon de Doué, intendant avisé et vieillard de soixante-quatorze ans, arrêté à Viry-Châtillon et ramené à Paris, pieds nus et un collier de chardons au cou, puis pendu à un réverbère place de Grève ; la corde ayant cassé, on le décapita, puis un soldat arracha le cœur du cadavre et le présenta sur un coussin d'œillets à Bailly, maire de Paris, et au marquis de La Fayette...

    La « grande peur »

    Ces scènes d'orgie meurtrière ne tardèrent pas à gagner la province où s'installa la Terreur, bien avant 1793. La hiérarchie ne disposant ni de l'indépendance ni de la faculté de protéger, et l'autorité, à quelque échelon que ce fût, n'étant plus exercée par des cadres légitimes, la Grande Peur régnait partout. La Révolution ne fut pas terroriste par suite d'un dérapage en 1792-1793 ; elle portait le terrorisme en elle dès ses débuts car elle voulait forcer la nature, violer l'ordre naturel, anéantir les communautés naturelles... On ne peut s'étonner que les jeunes terroristes d'aujourd'hui essaient de s'inscrire dans cette continuité en massacrant même, et peut-être surtout, le jour de la fête nationale de la république qu'elle engendra.

    Il est aujourd'hui de bon ton de dire que le 14 juillet commémore non la prise de la Bastille, mais la Fête de la Fédération du 14 juillet 1790. Mais celle-ci ne renia aucune des exactions commises l'année précédente : au cours d'une cérémonie ridicule où le roi Louis XVI semblait bien être le seul à croire à ce qu'il faisait, on continua d'exalter la Liberté telle que l'avaient gagnée les "vainqueurs" de la Bastille et sur laquelle on voulait aligner toute la population française, au mépris de son histoire et des données naturelles de l'épanouissement des provinces.

    L'ivresse de meurtre marqua aussi la seconde "journée" révolutionnaire, celle du 6 octobre 1789, quand le roi Louis XVI et la reine Marie-Antoinette, et leurs deux enfants Marie-Thérèse - Madame Royale -, dix ans, et le dauphin Louis-Charles, quatre ans, furent ramenés de Versailles à Paris. Pierre Gaxotte donne une idée de l'horreur de ce cortège : « D'abord en guise de trophées, les têtes sanglantes des gardes ; puis une cohue de femmes, de brigands, de soldats ivres, débraillés, hurlant, tenant les propos les plus obscènes et faisant les gestes les plus immondes... ; encore des soldats en désordre qui déchargent leurs armes au hasard ». À la suite de quoi, le roi et sa famille furent pris en otage à Paris au Palais des Tuileries, par la Commune de Paris, c'est-à-dire par ce qu'il y avait derrière : les clubs, la franc-maçonnerie, les semeurs patentés de haine...

    Tout cela n'était qu'un début : d'autres massacres allaient avoir lieu dans les années 1792-1793. Citons pour mémoire : les noyades de Nantes en juin 1794 où périrent en masses des prêtres et des familles entières, le massacre des Lucs-sur-Boulogne en mars 1794 où les républicains des Colonnes infernales mirent le feu à l'église, faisant mourir des centaines d'hommes, de femmes et d'enfants qui s'y étaient réfugiés, l'extermination de la ville de Lyon en octobre 1793 où plus de mille cinq cents personnes furent tuées. Comment un pays qui ne cesse de s'honorer des « grands ancêtres » ayant commis ou toléré de si horribles carnages peut-il encore prétendre faire la morale aux jeunes tentés par le terrorisme ?

    L’occident sans réponse

    Permettez, chers lecteurs, que je vous ramène sur la Promenade des Anglais, endeuillée aujourd'hui, mais où je me souviens d'avoir assisté, les 13 et 14 décembre 1990, dans les salons de l'hôtel Westminster, à un colloque sur les religions et la guerre. Tous les participants, catholiques, juifs et musulmans, s'entendaient sur le fait que les religions du Livre sont porteuses de paix puisque la paix est un attribut de Dieu et que la sanctification des hommes est le seul moyen d'édifier un monde juste et pacifique. Mais de quelle paix parlaient-ils ? Les musulmans avaient du mal à cacher à ce sujet que le Coran contient des contradictions et qu'une doctrine de limitation de la guerre, remplaçant la force par la confrontation pacifique entre morales différentes, n'était pas encore généralement reçue dans le monde musulman. Certains affirmaient que le dji-had a pour origine le droit de Dieu « et doit aboutir à la soumission de l'humanité entière ». Le terrorisme peut donc avoir une connotation religieuse : « la logique du martyre ne conduit-elle pas à concevoir l'acte terroriste dans le cadre islamiste comme un rapport avec Dieu, l'accomplissement d'un acte de foi ? C'est la reformulation dramatique de la lutte universelle entre le bien et le mal », concluait l'un des orateurs. Quant au phénomène islamiste, j'avais compris qu'il était "complexe" mais que c'était « la revendication du croyant agressé dans son être comme dans son identité collective par l’occidentalisation de ses gouvernants et de la société ».

    Je m'étais demandé, en entendant cela, quelle figure montre l'Occident face à l'émergence religieuse dans les pays islamiques et parmi les immigrés chez nous. Nos sociétés marchandes, laïcisées, apostates, avachies moralement et intellectuellement ont-elles une réponse à cette soif d'idéal ? L'islam profite du vide créé par le laïcisme ambiant car ses "certitudes" rassurent. Rien n'est plus étrange aux yeux d'un musulman pratiquant que la laïcité. Il respecte ceux qui ont une autre foi que la sienne et qui y croient fermement mais il méprise ceux qui mettent toutes les religions sur le même plan ou qui n'en ont aucune - ce qui revient au même. Et quand, en plus, il voit passer dans les rues de nos grandes villes une bacchanale comme la Gay Pride, on peut deviner qu'il n'a guère envie de s'assimiler à une société aussi fière d'exhiber son nihilisme.

    Culte de l’homme et culte d’allah

    Tel est, hélas, l'état de la société française après plus de deux siècles de règne des principes de la Révolution de 1789. Non seulement elle est incapable d'intégrer, mais elle diffuse par son école « laïque, gratuite et obligatoire » des verges pour se faire fouetter. J'ai écrit, il y a quelques mois, dans un raccourci quelque peu audacieux que les terroristes d'aujourd'hui étaient « les enfants de Marat et de Robespierre » ; j'aurais pu ajouter de Rousseau, car le "philosophe", dit-on, éprouvait un certaine fascination pour l'islam. Sa théorie de l'Homme libéré de tout ce qui le caractérise, n'étant sur terre que pour y chercher un moyen de survie de son égoïsme, jouissant de droits purement subjectifs puisque non reliés à des devoirs et ne puisant pas leur source dans leur conformité avec l'ordre naturel, a donné naissance à la Déclaration des Droits de l'Homme du 26 août 1789, laquelle a voulu organiser la société de façon que le citoyen, n'ayant plus d'intérêt particulier, familial, paroissial, provincial ou professionnel, à considérer, pût être "vertueux" et fondre sa volonté dans la volonté générale. On préparait ainsi le règne de "purs", de ceux qui seraient le plus déconnectés des forces vives où ils puisaient leur sève, de ceux qui se seraient le plus dépouillés des traditions pour devenir des hommes nouveaux.

    En l'absence de toute référence transcendante pour juger de la vertu, donc de la pureté de tel individu, cela pouvait déboucher sur une espèce d'eugénisme, voire sur le culte du surhomme. Cette idéologie arme aujourd'hui les djihadistes, les plus purs entre les purs du terrorisme moderne, dont la philosophie se calque presque exactement sur les principes qui engendrèrent la Terreur de 1793-1794 : si chacun peut refaire le monde d'après soi, quelle chance pour les ratés, pour les envieux, pour les aigris, pour les névrosés, pour ceux qui ne surmontent pas l'épreuve d'être privés de ce à quoi ils croyaient avoir "droit", pour tous ces gens que fabrique à longueur d'année l'école sans Dieu ! Sous couvert de religion, ils peuvent alors prendre leur revanche et imposer leur loi par la violence à tous leurs contemporains ! On assiste alors à la rencontre explosive de deux principes totalitaires : celui du culte de l'Homme et celui du culte d'Allah, les deux étant sans amour, sans clergé, sans médiateur entre la créature et son créateur, sans Sauveur, et écrasant l'homme de leur toute-puissance faussement divine.

    Le pire terrorisme

    Il résulte de tout cela que la république dite française est bien mal armée pour lutter contre le terrorisme. Il lui faudrait tout repenser de ses prétendues "valeurs" et renouer avec sa tradition chrétienne hautement civilisatrice. Alors, la France oserait se faire respecter dans le monde, car elle aurait cessé de donner aux nations l'exemple quotidien de l'acte le plus sauvagement terroriste qui soit : l'avortement, qui massacre chaque jour, au nom de la Liberté absolue fêtée chaque Quatorze Juillet, les plus petits, les plus innocents, les plus démunis, d'entre les hommes. Ces enfants-là méritent bien autant de pitié et de larmes que ceux de Nice !

    Michel Fromentoux. rivarol du 21 juillet 2016

  • Et pendant ce temps, l'islam s'installe en France

    Après les mosquées et les écoles, l’Union des organisations islamiques de France s’attaque à un gros chantier : le Centre An-Nour en Alsace, un lieu cultuel, culturel et commercial de plusieurs milliers de mètres carrés à Mulhouse :

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    La démographie est une science prospective qui permet de constater que le remplacement de population en France est un fait : si le suicide démographique des Français et l'immigration massive ne sont pas enrayés, il est indéniable que les chrétiens de France connaîtront le sort des chrétiens d'Orient.

    Michel Janva

  • LE PINGOUIN, LE CATALAN, LE CROQUEMORT ET LA FRISONNE

    Le Bloc-notes de Jean-Claude Rolinat 

    Mon premier est Président d’une République en complète déconfiture, surnommé ainsi dans une chanson par l’épouse de son prédécesseur. Mon second, naturalisé en 1982, quatre ans avant d’être élu conseiller socialiste à la Région d’Ile de France, est célèbre pour ses coups de menton « à la Mussolini »… Mon troisième, « s »inistre de l’Intérieur des deux premiers, a toujours une mine de chien battu, sans doute a-t-il été formaté par les cours du soir donnés aux PFG ! Quant à ma quatrième, elle est la plantureuse Chancelière d’une Germanie volontairement colonisée par des hordes venues d’Asie mineure. Mon tout est une superbe bande de « bras cassés » européens ou un trio de Pieds nickelés à qui il manquerait leur « Tartine Mariole » pour faire un quatuor tragi-comique….

    TROP, C’EST TROP !

    En Germania comme en Francia, les frappes de Dae’ch se suivent et ne se ressemblent pas. En une semaine, la RFA a subi trois attaques islamistes, sans compter la tuerie d’un « déséquilibré » d’origine iranienne commise au super centre commercial de Munich. Ce fut d’abord l’attaque à la hache des passagers d’un train par un Afghan agissant au nom de « l’Emirat islamique » et au cri « d’Allah Akbar », puis le dimanche 24 juillet le meurtre par un « réfugié » syrien de 21 ans, à Reutlingen en Forêt noire, d’une jeune femme à coups de machette. Le soir du même jour, à Ansbach, c’était un « kamikaze » - encore un « réfugié » syrien – qui se faisait exploser dans un restaurant situé à proximité d’un festival de musique, attentat entrainant des blessures sur douze personnes, dont trois très grièvement atteintes. Les Franconiens comme les Bavarois sont des gens réputés calmes. Pas sûr qu’aux prochaines élections « la Frisonne » en tire un bénéfice, car ça commence à «  ruer dans les brancards » du côté de la CSU, partenaire gouvernemental bavarois de la chancelière. Du grain à moudre pour PEGIDA et l’AFD ? C’est tout le mal que nous leur souhaitons….

    LA FRANCE FRAPPEE DEUX FOIS DANS SA CHAIR EN MOINS DE DEUX SEMAINES

    Crime de masse avant-hier à Nice, ville symboliquement touchée le 14 juillet - le jour même où la France, 4èmepuissance nucléaire mondiale étalait sa force de colosse aux pieds d’argiles – aujourd’hui Saint-Etienne de Rouvray où un prêtre de 86 ans (!) est égorgée sous les yeux de quelques paroissiens par un duo de jeunes islamistes. Et qui demain, quoi, où ? Tragique interrogation face à l’incapacité de nos gouvernants à prendre les mesures efficaces qui permettraient d’éradiquer un mal sournois qui ronge la nation. Dans ces deux derniers cas, si la loi avait été appliquée, sans entorse aucune à « l’Etat de droit » si cher à toutes ces belles consciences de «  gôôôôôôche », les massacres auraient été évités. Le Tunisien « niçois » aurait été expulsé dès sa condamnation et l’apprenti-djihadiste au bracelet aurait été enfermé au lieu de bénéficier de la clémence absurde d’un magistrat anonyme. Tous ces crimes sont commis par des fanatiques se réclamant explicitement de la religion du Prophète. Qu’attendent les musulmans de France pour, massivement, s’en désolidariser ? Le recteur de la Grande mosquée de Paris, Dali Boubaker, a bien exprimé le mercredi 27 juillet, avec des paroles fortes, son indignation et sa compassion devant ce crime horrible symboliquement commis dans une église de France, pour frapper la religion des « mécréants » comme ils disent. Cela suffira-t-il à désarmer les esprits fêlés nourris des lectures coraniques les plus extrémistes, jusqu’à plus soif ? Il y a bien eu un rassemblement de quelques milliers de Mahométans après l’assassinat des deux policiers dans les Yvelines, c’est vrai. Des gens venus « en voisins », très visiblement pour exprimer leur horreur face à un crime perpétré  à leur porte par l’un des leurs. C’était un premier pas dans le bon sens. Mais depuis… Les citoyens français après la tuerie de « Charlie Hebdo », sont-ils descendus eux aussi en masse dans les rues de nos villes après les massacres du Bataclan et de Nice ? Que nenni. C’est incompréhensible… Le pouvoir en place n’a mobilisé semble-t-il, que pour « les siens », une équipe de journalistes et de dessinateurs anarcho-gauchistes. La peau d’un « Franchouillard » de base vaudrait-elle moins cher que celle d’un artiste à la plume sulfureuse et provocatrice ? Tout change et rien ne change. Hollande, jugulaire, jugulaire, genre « chef de guerre », annonce l’envoi de canons en Irak pour appuyer l’armée de ce pays dans sa campagne de reconquête de Mossoul. Fort bien. Ne vaudrait-il pas mieux parallèlement, assigner à l’opération « Sentinelle » des objectifs plus dynamiques que de monter une garde statique devant les ambassades, mosquées, synagogues et autres lieux de culte ? Par exemple l’investissement de cités à problèmes en passant au peigne fin les cages d’escaliers, les caves et les paliers ? En 1956, un gouvernement de gauche donna à l’armée les pleins pouvoirs pour stopper une vague d’attentats à Alger. En quelques mois l’affaire était pliée ! Il faut ratisser systématiquement les banlieues de nos villes abandonnées aux trafics et aux prêches inconsidérés d’imams étrangers, fermer les mosquées salafistes, incarcérer tous les djihadistes potentiels, ces fameux « fichés S », et rétablir la peine de mort pour les terroristes assassins puisque nous sommes en guerre, parait-il, et que le code militaire prévoit cette disposition. L’Etat d’urgence, c’est un cataplasme sur une jambe de bois ! Il est temps d’embrayer la vitesse supérieure et cela s’appelle l’Etat de siège. Tout le reste n’est que polémique stérile et littérature. Combien de temps les Français seront-ils passifs et patients ? Les élections de 2017 risquent d’être… « explosives » !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Le FLNC du 22 octobre lance un avertissement à l’État islamique

    Le mouvement nationaliste corse du FLNC du 22 octobre vient de mettre en garde l’État islamique.

    Dans un communiqué transmis au journal Corse-Matin, jeudi 28 juillet, le FLNC du 22 octobre prévient les islamistes que toute attaque de leur part déclencherait « une réponse déterminée, sans aucun état d’âme ».

    La volonté des salafistes est clairement de mettre en place chez nous la politique de Daesh et nous nous y sommes préparés. Votre philosophie moyenâgeuse ne nous effraie pas. L’amalgame n’existe que dans l’esprit des faibles et le peuple corse est fort (…) de choix politiques difficiles qui ne nous ont jamais fait basculer comme vous dans la barbarie.

    FLNC islamistes

     

    http://fr.novopress.info/

  • Amine El Khatmi, élu PS : « Que les musulmans fassent le ménage »

    Amine El Khatmi est adjoint au maire (PS) d’Avignon, et l’un des initiateurs, avec l’universitaire Laurent Bouvet, du Manifeste pour un Printemps républicain. Il a accordé un entretien à La Provence dont nous extrayons ce passage.

    Ne paie-t-on pas aujourd’hui le « politiquement correct » et l’achat de la paix sociale dans certains quartiers ?
    A.E.K. : 
    Bien sûr. Il y a des élus qui ont assuré leur élection et leur réélection en achetant la paix sociale, en se fourvoyant et en s’asseyant sur leurs valeurs pour quelques paquets de voix. Il y a des gens qui expliquaient en tribune qu’ils étaient des républicains et des laïcs et qui, sitôt descendus, allaient s’enfermer dans des caves avec des imams salafistes. Oui, ça existe, et il ne faut pas avoir peur de le dénoncer. Désormais, dès que vous dites un mot sur l’islam, on vous traite d’islamophobe. L’islamophobie, c’est un concept politique créé pour étouffer toute critique de la religion. Moi, dans le pays de la liberté d’expression, j’ai le droit de critiquer la religion, la mienne et celle des autres. Et ceux qui ne croient pas ont le droit de critiquer le fait que, moi, je crois en quelque chose. Aujourd’hui, il y a cette espèce d’épée de Damoclès dès que vous dites un mot sur l’islam. […]

    Le Conseil français du culte musulman est-il un interlocuteur crédible ? 
    A.E.K. : Non. Dès sa création, il était traversé par des tensions entre Marocains, Tunisiens et Algériens. Et puis, je ne suis pas sûr qu’un ministre de l’Intérieur, Nicolas Sarkozy en l’occurrence à l’époque, ait vocation à créer une structure religieuse. Il fallait que cela émane des musulmans de France spontanément. Autrement, ça ne pouvait pas marcher.

    Faut-il voir naître un « islam européen », comme le souhaite le vice-président de la Conférence des imams de France, Houcine Drouiche ?
    A.E.K. : 
    Il ne faut pas que les musulmans attendent de la sphère politique qu’elle vienne s’ingérer dans leurs affaires. Il faut qu’ils se prennent en main et qu’ils fassent d’abord le ménage chez eux. Qu’ils commencent par ça. Parce qu’il y a trop de complaisances, de choses qu’on laisse passer…

    Peut-on encore tolérer prêches en arabe et financements étrangers ?
    A.E.K. : 
    Non, ce n’est pas acceptable. Et là aussi, la situation récente le rend encore plus nécessaire. Mais je crois aussi, et c’est un point de désaccord avec Manuel Valls, qu’on ne peut pas poursuivre des relations diplomatiques avec l’Arabie Saoudite et le Qatar, qui sont des pays dont on sait qu’ils ont financé des mouvements djihadistes.

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