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immigration - Page 1099

  • Prorogation de l'état d'urgence : les politiques font payer à la nation quarante ans de démission

    L'Assemblée nationale a voté ce matin la prolongation de 6 mois de l'état d'urgence. Le Figarovox interroge le professeur Guillaume Drago, professeur de Droit public à l'Université Panthéon-Assas (Paris II) et directeur du Centre d'études constitutionnelles et politiques, qui estime que nous possédons un arsenal juridique suffisant, mais qu'il manque la volonté de l'appliquer :

    "Derrière le paradoxe de l'état d'urgence, se pose la question de la volonté politique. Les politiques font payer à la nation quarante ans de démission, à la fois éducative et sociale à l'échelle nationale. Ils font également payer à la nation une diplomatie hésitante, qui a conduit la France à des actions erratiques, notamment au Moyen-Orient, et qui a produit les effets en chaîne que nous subissons aujourd'hui. Cet ensemble d'abandons et d'égarements dépasse complètement le paradoxe de l'état d'urgence, qui n'est somme toute qu'une méthodologie primaire. La réponse concrète doit passer par une réponse pénale, qui existe déjà.[...]

    La réponse, ce n'est pas la loi, mais l'action, la détermination et la définition d'une doctrine d'action. Disons-le clairement: tout existe déjà dans le dispositif législatif, comme on l'a vu d'ailleurs avec le dispositif sur la déchéance de nationalité ou l'état d'urgence. Ceux-ci n'avaient pas besoin d'être constitutionnalisés. Mais aujourd'hui, la volonté politique est manifestement faible, elle l'est même intrinsèquement parce qu'elle n'est pas soutenue par une doctrine et qu'elle est affaiblie par un certain nombre de dogmes idéologiques."[...]

    Marie Bethanie http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Marion Maréchal-Le Pen : Pour lutter contre l’islamisme « ils mettent en place des N°verts et des clips contre le racisme »

    Très énergique contre l’islamisme, Marion Maréchal Le Pen réagit suite à la colère des Niçois contre le pouvoir, « des huées très spontanées, massives, très en colère. »  » Prétendre que ces huées auraient été fomentées par le FN c’est ce voiler la face et ne pas prendre la mesure de la terrible colère des Français. »  » Je comprends qu’Emmanuel Valls ne les ait pas apprécier, mais je les trouve légitimes. » « L’état d’urgence c’est une mesure d’appoint, y aura-t-il des mesures plus globales ? Qu’en est-il de « la politique migratoire, carcérale, pénale ? » « suspension de l’espace Schengen » « fermeture des mosquées radicales, plus d’une centaine en France ? » « La réponse en Syrie est bancale, il faudrait que l’objectif de cette opération soit bien défini. » Elle restera inefficace  » si nous ne travaillons pas avec Bachar el-Assad et avec les Russes et si on arrête de financer l’islamisme. » Cela est « à l’origine de la déstabilisation du Moyen-Orient. » « Le vol c’est grave » « Le Marocain qui a frappé dans les Hautes-Alpes aurait du être expulsé depuis longtemps. « Le risque zéro n’existe pas, mais on peut prendre des mesures préventives comme la restriction du droit d’asile. » « Folle politique migratoire d’Angela Merkel. » « Nous avons un véritable prosélytisme islamiste »

    http://www.medias-presse.info/marion-marechal-le-pen-pour-lutter-contre-lislamisme-ils-mettent-en-place-des-nverts-et-des-clips-contre-le-racisme/58271

  • Jean-Marie Le Pen 1988 : "Il a dit la vérité, il doit être exécuté".

  • Centre islamique : le Maire de Lyon veut faire taire Génération Identitaire

    Vous pouvez témoigner votre sympathie à l’égard de ces militants en faisant poliment part de votre colère par téléphone ou par mail.
    Depuis 2009, un projet de construction d’un gigantesque complexe islamique subventionné fait scandale. En juin dernier, les choses s’accélèrent avec notamment le déblocage d’une subvention d’État d’1 million d’euros et le vote de deux subventions identiques par la Mairie et la Métropole de Lyon.

    Ces dernières semaines, les militants de Génération identitaire ont donc mené campagne pour informer les Lyonnais de ce que les socialistes lyonnais comptaient faire avec leurs impôts grâce à la diffusion d’un tract dans toute la ville et en menant des happenings vidéos.

    Le 4 juillet dernier, ils interpellent directement Gérard Collomb à la sortie du conseil municipal, après que celui-ci ait fait voter une subvention d’1 million d’euros.

    Une semaine plus tard, les jeunes militants récidivent en interrompant bruyamment le conseil de la Métropole du Grand Lyon avec une banderole déployée dans le public et en jetant des tracts dans l’hémicycle. Mais ils n’ont pas pu empêcher le vote de la deuxième subvention, d’un même montant.

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  • Le massacre des innocents.

    C’était le 14 juillet au soir, et, comme de nombreux curieux, je contemplais à la télévision les beaux éclats du feu d’artifice de la Tour Eiffel. Et puis, il y a ce bandeau jaune « alerte info » qui défile soudain et qui annonce ce qui n’est encore qu’un « incident », un camion qui a renversé des passants à Nice lors des festivités de la tombée de la nuit. Quelques minutes plus tard et durant toutes les heures qui suivent, ce sont les images de panique d’une foule en course pour éviter le pire, celles d’un camion blanc qui s’engage sur la promenade des Anglais et ce bilan « évolutif » passé de quelques victimes à 74 à deux heures du matin, puis 84 à l’aube : encore, encore le terrorisme, les morts, les larmes !

    Depuis janvier 2015, le même scénario se répète à intervalles de quelques mois, et les mêmes discours et les mêmes coups de menton, les mêmes cérémonies funèbres, les « Je suis… » qui se suivent et, malheureusement, se ressemblent malgré la variété des noms accolés à ce début de phrase. Et, chaque fois un peu plus, les poings qui se serrent…

    Ce 15 juillet au matin, la télévision montrait, sur la route du malheur provoqué par celui dont je ne prononcerai pas le nom pour ne pas lui accorder la moindre célébrité, l’image d’une poupée sur le bitume, seule, abandonnée, couchée… Quelques minutes après, sur les réseaux sociaux, je retrouvais la même poupée, mais en des circonstances bien différentes : elle était bien là, à même le sol, comme renversée, mais, à côté d’elle, à la toucher, sous la lumière « bleu cruel » des gyrophares, il y avait une couverture dont dépassait une sorte de bonnet ou de casquette, une couverture qui couvrait une forme, un corps, un visage… Un enfant, dont la poupée semblait veiller le corps désormais sans vie.

    Cette fois-ci, mon café du matin avait un goût de cendres, une amertume violente : la mort d’enfants nous choquent plus encore que d’autres, il faut bien l’avouer ! Les innocents, pense-t-on, comme si les autres victimes l’étaient moins parce qu’elles avaient vécu plus longtemps : bien sûr, ce sentiment n’est pas forcément « juste » mais il est commun, croit-on, à toute l’humanité. Qu’y a-t-il de plus cruel, de plus injuste que la mort, quelle qu’en soit la forme, d’un enfant ? Dans une famille, c’est « l’absence » la plus douloureuse… 

    Mais les islamistes et leurs alliés s’en moquent, et leur « cause » semble justifier tous les moyens, tous les crimes. Les paroles glaçantes du terroriste Carlos, ce fameux « Il n’y a pas de victimes innocentes », doivent nous permettre de comprendre, non pour excuser mais pour combattre, l’esprit de la Terreuraujourd’hui incarné par les troupes formelles et informelles de L’Etat Islamique. Avons-nous oublié le « massacre des innocents » provoqué, selon le Nouveau Testament, par Hérode ; les enfants de Vendée « écrasés sous les pieds de nos chevaux », selon le général Westermann, au nom de la République en 1793 ; ceux d’Oradour-sur-Glane brûlés comme les adultes dans l’église du village et ceux exterminés pour être nés juifs durant la guerre mondiale de 1939-45 ; les enfants de Beslan, retenus en otage et exécutés en septembre 2004 par des rebelles tchétchènes ; les trois enfants assassinés froidement devant et dans leur école à Toulouse par l’islamiste M. en mars 2012, simplement parce qu’ils étaient juifs ?

    Les enfants sont des cibles doublement symboliques parce qu’elles sont à la fois la suite des générations précédentes et leur avenir, et que les frapper, c’est chercher à trancher ce fil de la transmission, ces racines qui permettent à une  nation, démographiquement comme spirituellement, de s’épanouir encore et toujours. Ils ne sont pas visés par hasard, contrairement à ce que l’on pourrait croire. Et puis, l’assassinat d’enfants, s’il horrifie les populations, les terrifie aussi, ce qui est un moyen pour ces terroristes d’espérer désarmer ou, du moins, de paralyser, par « sidération », les sociétés visées, surtout dans des démocraties parfois plus sensibles à l’émotion qu’à la raison. 

    Il y a aussi le risque de voir (ou de laisser) fracturer l’unité d’un pays, non celle qui peut s’exprimer à travers les jeux parlementaires ou politiques pour le bien commun du pays, mais celle, plus profonde, qui lie les communautés, les particularités et les personnalités entre elles, non dans ce « vivre l’un à côté de l’autre » (formule de l’individualisme, qu’il soit personnel ou communautaire) mais « vivre l’un avec l’autre », non dans la confusion mais dans la reconnaissance de traits communs issus de l’histoire (et, parfois, de ses confrontations), de ces héritages dont, certes, nous pouvons vouloir nous détacher ou que nous pouvons contester (« la vraie tradition est critique », disait avec grande raison Charles Maurras), mais qui sont aussi le terreau de la nation vivante.

    Ne donnons aucune joie ni aucune paix aux terroristes du moment : l’unité de la France ne doit pas être une argutie politicienne et ne peut être confondue avec les manœuvres d’un gouvernement aux abois ou d’une opposition exaspérée, elle doit être une réalité vécue, forte, puissante. Ce n’est pas l’uniformité ou l’indivisibilité mais la reconnaissance d’une « particularité française », historique, politique comme géopolitique, et, sans doute, civilisationnelle ; c’est la reconnaissance d’une « diversité ordonnée », de cette « nation plurielle» qui est la France et qui n’est pareille à aucune autre.

    L’unité de la France, c’est un « équilibre » au sens fort du terme, équilibre parfois mis à mal par l’histoire et par le Pouvoir lui-même quand il oublie ses fonctions régaliennes et ses devoirs de Bien commun, mais équilibre qu’il faut conserver si l’on veut que perdure ce que « nous » sommes, et que nous puissions vivre, tout simplement et librement, notre destin de Français, nés ici ou adoptés, au sens le plus fort et noble du terme…

    Pour que les enfants de France vivent, mais aussi tous les enfants, en France, d’ici ou de passage…

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1328:le-massacre-des-innocents&catid=50:2016&Itemid=61

  • Le gouvernement a-t-il passé sous silence des actes de torture au Bataclan ?

    C'est le Daily Mail qui ouvre le bal, s'appuyant sur les rapports de la commission d'enquête de l'Assemblée nationale présidée par Georges Fenech sur les actes de terrorisme en France depuis le 7 janvier 2015 (Charlie Hebdo). Les rapports se suivent et ne se ressemblent pas tout-à-fait : alors que le Procureur de la République François Mollins le nie totalement et parle de "rumeurs" (lire ici),des fonctionnaires de la BAC de nuit du Val-de-Marne parlent d'actes de torture à l'étage du Bataclan : décapitations, égorgements, énucléations, émasculations, éviscérations et tortures en tout genre ont été décrits, au point de faire vomir les policiers qui ont découvert la scène (lire ici).

    On trouvera une traduction de l'article du Daily Mail, ainsi qu'une synthèse des divers témoignages de la Commission d'enquête dans cet article de Fdesouche.

    Ces divergences dans les témoignages ne peuvent que nous alerter : pourquoi vouloir cacher ces actes de torture commis par des islamistes ? Le président Georges Fenech dit qu'il a eu connaissance de vidéos qui auraient été postées au profit de la propagande de Daech. Il n'a pas l'air de mettre en doute les déclarations des policiers de la BAC, qui témoignaient sous serment. Et pourtant, le Préfet de Police de Paris, le directeur de la Police judiciaire à Paris et le Procureur de la République disent qu'ils n'ont pas eu connaissance de tels actes de torture. Si ces actes étaient connus du grand public, ne peut-on imaginer que le scénario soigneusement élaboré par les gouvernements successifs d'un "islam de France" respectueux des "valeurs républicaines" volerait en éclat ?

    Marie Bethanie

  • Paris, Bruxelles, Magnanville, Nice : des multirécidivistes fichés d’origine étrangère tolérés par l’idéologie droit-de-l’hommiste

    Connus pour faits de délinquance ou liens évidents avec l’islamisme radical, ils n’ont pas été expulsés et/ou déchu de la nationalité française (lorsqu’ils l’ont acquise par le droit du sol ou une naturalisation). La fin de l’automaticité de la « double peine » décidée en 2003 par Nicolas Sarkozy alors à l’Intérieur, fait que nombre de délinquants étrangers restent en France malgré une condamnation pénale. La Cour européenne des droits de l’homme  (CEDH) interdit l’expulsion des terroristes dans leurs pays d’origine car ils y risquent des mauvais traitements, notamment au Maroc, Algérie et Turquie. Ce laxisme conduit à des attentats à répétition.

    Voici les profils des terroristes ayant frappé la France et la Belgique depuis le début 2015 :

    • Mohamed Lahouaiej Bouhlel : Tunisien de 31 ans ayant bénéficié d’un titre de séjour de 10 ans en 2009, époque où le gouvernement Sarkozy décida de porter à 80 000 le nombre de visas annuels pour les tunisiens. Condamné pour vol, puis agression d’un automobiliste avec une planche cloutée en janvier 2016 (6 mois avec sursis), il a pu rester sur le territoire à cause de la fin de l’automaticité de la « double peine » décidée par Sarkozy en 2003, permettant aux délinquants étrangers condamnés de rester en France.
    • Larossi Abballa, 25 ans, célibataire et né à Meulan (Yvelines), était connu pour de nombreux faits de droit commun (vol, recel, violences). Surtout, il avait déjà été condamné à trois ans de prison, dont six mois avec sursis en 2013 pour « association de malfaiteurs en vue de préparer des actes terroristes ». Mis en examen en 2011 par les juges d’instruction antiterroristes Marc Trévidic et Nathalie Poux aux côtés de sept autres personnes originaires de la banlieue parisienne, Larossi Abballa était accusé d’avoir recruté des candidats, de les avoir endoctrinés et de s’être préparé physiquement avec eux pour aller mener le djihad dans la zone tribale entre le Pakistan et l’Afghanistan. Entre le 5 décembre 2010 et le 26 février 2011, les huit hommes s’étaient retrouvés régulièrement en fin de semaine pour s’entraîner physiquement dans les parcs de La Courneuve (Seine-Saint-Denis) et d’Argenteuil (Val-d’Oise).
    • Les frères El Bakraoui : En octobre 2010, Ibrahim avait été condamné par le tribunal correctionnel de Bruxelles pour avoir tiré sur des policiers à la kalachnikov. Avec un complice, Ibrahim commet alors un braquage chez un agent de change. Ibrahim reste dans la voiture et fait le guet. Une fois le braquage commis, les auteurs s’en vont, à trois, dans la voiture. La police tente de les intercepter mais Ibrahim El Bakraoui fait feu à plusieurs reprises sur les agents et blesse l’un d’entre eux de trois projectiles. Ibrahim avait été reconnu coupable et condamné à une peine de 9 ans de prison. En février 2011 cette fois, c’est Khalid El Bakraoui qui s’est retrouvé devant la justice. Il a été condamné à 5 ans de prison sans sursis pour des car-jackings. Lors de son arrestation à l’époque, il détenait des kalachnikovs avec ses complices. Pourquoi les deux frères sont libres en mars 2016 pour commettre leur massacre ?
    • Samy Amimour Le Figaro du 23 novembre dernier notait à son endroit : « c’est le symbole de l’inertie judiciaire et administrative qui confine à la cécité ». Ce tueur du Bataclan a été inculpé en 2012 pour un projet de départ au  Yémen, base arrière bien connue d’Al Qaida. Son passeport et sa carte d’identité lui sont retirés. Mais il a suffit à un de ses complices de  déclarer la perte de ses papiers à sa place, et on lui a réédité des originaux. Aussi, Amimour « devait » pointer au commissariat chaque semaine, chose qu’il ne faisait plus depuis septembre dernier. Ce qui n’a pas interpellé la « vigilance » des policiers chargés de le suivre.
    • Omar Ismael Mostefai : Il fait partie des terroristes du Bataclan. Condamné 8 fois pour des délits de droit commun entre 2004 et 2010, sans jamais être incarcéré! Fiché S pour radicalisation depuis 2010, sa fiche fut renouvelée un mois avant les attentats de Paris ! C’est la Turquie qui a prévenu la France en septembre 2013, qu’il serait en Syrie probablement. La police savait qu’il avait coupé les ponts avec son entourage, qu’il priait dans les mosquées tablighi de Lucé et Chartres. Mais laissé sans surveillance…
    • Abdelhamid Abaoud: Dès 2014 , ce belgo-marocain est repéré dans un vol Cologne-Istanbul, les policiers le soupçonnent d’aller faire le djihad. En janvier 2015, il échappe au démantèlement de la cellule terroriste de Verviers, la police belge est certaine qu’il en fait partie. Il a traversé les frontières européennes depuis la Syrie, en passant par Athènes où son portable est géolocalisé, pour revenir tranquillement dans sa ville natale de Molenbeek. A cause du refus idéologique de contrôler les frontières par les gouvernements eurofédéralistes, il peut aller à Paris et en revenir après avoir tué des dizaines de parisiens, victime du sans-frontiérisme.
    • Mohammad Al Mahmod et Ahmad Al-Mohammad: Le premier a  été contrôlé en Grèce le 3 octobre 2015 sur l’ile de Léros. Autorisé à entrer en Europe comme des centaines de milliers d’hommes seuls en provenance de Syrie, d’Afghanistan, du Soudan et d’Erythrée. Alors que l’Etat Islamique se vante d’infiltrer les migrants, il est entré dans l’espace Schengen de manière formelle tout comme son comparse Ahmad Al-Mohammad, lui aussi Syrien.
    • Jawad Bendaoud: Condamné en 2008 à huit ans de prison pour avoir tué au hachoir un adolescent de 16 ans, il sort déjà en septembre 2013 pour reprendre son activité de caïd.
    • Fabien Clain Condamné en 2009 pour être le chef d’un groupe de djihadistes voulant se rendre en Irak, il est condamné à 5 ans de prison mais ressort déjà en 2012. Il s’envole aussitôt pour la Syrie où il dirige la communication francophone de l’Etat islamique.

    http://islamisation.fr/2016/07/18/paris-bruxelles-magnanville-nice-des-multirecidivistes-fiches-dorigine-etrangere-toleres-par-lideologie-droit-de-lhommiste/

  • André Bercoff : « On est en guerre, on est en guerre, on est en guerre! Et on fait comme si… »

    Le journaliste et écrivain André Bercoff réagit au micro de Boulevard Voltaire après l’attentat islamiste de Nice.

    http://www.bvoltaire.fr/andrebercoff/on-est-en-guerre-on-est-en-guerre-on-est-en-guerre-et-on-fait-comme-si,271767