Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

immigration - Page 1103

  • Réaction de Riposte laïque suite à l'attentat de Nice : nous en avons marre que les socialauds envoient les Français à l’abattoir

    Paul Le Poulpe Riposte laïque cliquez ici

    Du sang partout. Des cris. Des larmes. Des dizaines de cadavres et des centaines de blessés jonchant la rue. A Nice, un soir de 14 juillet, un énorme camion fonçait délibérément dans la foule, écrasant tous ceux qui, en famille, étaient venus, sur la promenade des Anglais, voir le feu d’artifice du 14 juillet. On parle également de blessés par balles, et d’armes retrouvés dans le camion.

    Nous étions habitués à ces images quand une voiture piégée explosait à Badgad, Kaboul ou ailleurs. Après Charlie Hebdo, Hervé Cornara, le Bataclan, Bruxelles, les deux policiers de Magnanville, c’est Nice qui est touchée, son tour, par l’islam et ses soldats.

    Naturellement, nous allons encore avoir droit aux numéros d’enfumage habituels. Le CFCM et la Grande Mosquée nous ont dit qu’ils condamnaient l’attentat, histoire de nous faire le coup du classique « l’islam ce n’est pas cela », « Pas d’amalgame » « Pas en notre nom ». Oseront-ils, cette fois encore, avoir l’indécence de se dire les premières victimes, sans que cela n’émeuve aucun politique ou aucun journaleux ?

    On va apprendre que le chauffeur était connu des services de police, et probablement classé S. Mais Cazeneuve va nous expliquer que le fait qu’il ait été en liberté était le prix à payer d’un Etat de droit, et sans doute va-t-il encore nous parler de la « République », lui qui, avec les siens, la trahit quotidiennement.

    Les autorités vont encore nous faire le coup des bougies, des bouquets de fleur, et encourager les familles de victimes à organiser une marche blanche, en leur faisant dire qu’ils n’ont pas de haine pour l’assassin.

    Lors de la cérémonie d’hommage aux deux policiers, organisée par le Siel au Trocadéro, notre fondateur, Pierre Cassen, avait tenu un discours très fort, disant, au sujet de Hollande-Valls-Cazeneuve, que nous en avions marre d’eux et de leurs discours d’impuissants, à chaque nouvel attentat islamique.

    Pas une virgule n’est à retirer de cette intervention. Le nouveau massacre de Nice nous confirme ce que Valls, cyniquement, avait osé dire aux Français au lendemain du Bataclan : nous en avons pour vingt ans d’attentats, mais ce n’est qu’un mauvais moment à passer.

    Depuis une année et demie, au lendemain des attentats de Charlie Hebdo, que se passe-t-il ? Les soldats d’Allah, qu’ils se réclament de l’Etat islamique ou pas, multiplient les menaces et passent à l’acte de plus en plus fréquemment. Nos ministres, incapables de désigner le nom de notre agresseur, l’islam, nous disent qu’on est en guerre contre le terrorisme, ou parfois contre Daech.

    Tous les jours, il suffit de lire l’excellent site Fdesouche, nos policiers arrêtent des musulmans surexcités, qui leur disent qu’ils vont les tuer, comme leur frère a tué leurs collègues de Magnanville, et faire un maximum de victimes parmi les Français infidèles.

    Intervention de Pierre Cassen début juin à Paris cliquez ici

    Et quelle est l’attitude de ce régime ?

    Dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, les assassins sont protégés. Ceux qui menacent nos vies se promènent librement. Ceux qui, comme Salah Abdeslam, ont tué des dizaines de Français, le 13 novembre, peuvent voir leur avocat déposer plainte contre un député qui a raconté les conditions ahurissantes de confort du détenu. Ceux qui annoncent qu’ils vont nous tuer, quand ils sont arrêtés, sont remis en liberté quelques semaines plus tard.

    Voilà ce qui s’est passé, ces dernières heures, dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve. Au soir de la finale de l’euro, incidents dans de nombreuses villes de France, avec des « Français » brandissant des drapeaux algériens. A Calais, des clandestins lancent des cocktails molotov sur la rocade portuaire. A Compiègne, un mort, suite à une fusillade à la kalachnikov. A Oyonnax, annulation des festivités du 14 juillet, suite aux incidents du dimanche précédent. A Arras, arrestation d’un homme qui se vante d’être un terroriste. Des centaines de voitures incendiées en Seine Saint-Denis, dans le Val de Marne et dans l’Oise. Des policiers blessés dans le Val d’Oise et à Sens, etc. Les racailles islamisées savent qu’elles bénéficient d’une impunité presque totale, et les policiers ne peuvent pas bouger une oreille sans se retrouver devant les juges.

    Dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, le voile islamique, le qami et la djellaba, uniformes de guerre des djihadistes, sont tolérés.

    Dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, on accueille sur notre territoire des centaines de musulmans qui sont allés apprendre à faire la guerre en Syrie (avec les armes que ce régime a livré aux islamistes) et qui reviennent, décidés à mettre en application, chez nous, ce qu’ils ont appris là-bas.

    Dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, on impose aux Français la présence de « migrants », majoritairement musulmans, hommes seuls, parmi lesquels, comme au Bataclan, se sont infiltrés des terroristes, comme Merkel elle-même – sans manifester le moindre remord – l’a admis.

    Dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, plus de frontières. On est dans la conception d’Attali, notre pays est devenu un hôtel où les étrangers entrent et sortent comme ils le veulent.

    Dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, les mosquées, casernes de l’ennemi, sont toujours ouvertes, et servent à distiller aux musulmans ce que doit faire un loyal fidèle : la guerre aux mécréants, par tous les moyens, la force quand on peut l’utiliser, la ruse quand on n’a pas le rapport de forces.

    Dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, on commémore, en soumis que sont nos dirigeants, en grande pompe le quatrième pilier de l’islam, et on impose à des maires qui tiennent à l’esprit de la loi de 1905 de prêter des locaux municipaux aux disciples de la religion d’amour.

    Dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, on fait témoigner le patron du renseignement intérieur, Patrick Calvar. Ce dernier affirme que de prochains attentats sont inévitables (RL le dit depuis 2011) et on lui fait dire que des forces du renseignement vont s’occuper de « l’ultra-droite » qui rêve de la guerre civile, plutôt que des islamistes.

    Dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, on interdit des manifestations patriotiques, mais on autorise des clandestins, souvent musulmans, soutenus par des gauchistes, à manifester dans les rues de Paris contre le « racisme institutionnel français ».

    Dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, on va multiplier des abattoirs mobiles, dans quelques semaines, pour que les disciples du prophète puissent égorger, en toute impunité, violant les règles sanitaires de notre pays, des centaines de milliers de moutons, avec le même geste que celui des assassins de Hervé Gourdel ou Hervé Cornara, tous deux décapités.

    Dans la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, on utilise des juges et des policiers pour perquisitionner chez Pierre Cassen et lui voler ordinateur et téléphone portable, on instruit des plaintes contre Christine Tasin, on traîne devant les tribunaux des patriotes coupables de dénoncer la réalité de l’islam et de l’ensauvagement de la France.

    Nos dirigeants, qui utilisent les services de l’Etat, de manière démesurée, pour se protéger (voir l’escorte donc bénéficie en permanence Hollande, Valls ou Cazeneuve) s’en foutent de la sécurité des Français.

    Hollande ne pense qu’à une chose : sa prochaine réélection. Il vide les caisses, arrose tout le monde, et rêve de conserver le vote des 93 % de musulmans qui lui ont permis de gagner en 2012.

    Valls passe sa vie à insulter les patriotes et à nous raconter que l’islam est compatible avec la République.

    Quand à Cazeneuve, quand il ne fait pas des selfies avec des musulmans radicaux, quand il ne va pas lécher les babouches dans les mosquées, quand il ne serre pas la main à des clandestins, il a du temps pour déposer quatre plaintes contre Riposte Laïque.

    Nous sommes dirigés par des incapables socialauds, alliés avec le Qatar et l’Arabie saoudite, qui financent la classe politique française, et ceux qui tuent les nôtres.

    Nous sommes dirigés par des collabos, qui n’ont même pas l’excuse d’une défaite militaire, comme en 1940, pour pactiser avec l’ennemi.

    Ces gens là sont incapables de protéger les Français. Ce sont des traîtres. Il est temps de le virer au plus vite, et de préférence avant 2017, et d’exiger d’un gouvernement qu’il prenne des décisions à la hauteur des enjeux.

    En temps de guerre, il ne doit plus y avoir de visibilité de l’ennemi, donc de l’islam, en France.
    En temps de guerre, on se débarrasse, par tous les moyens, de la cinquième colonne musulmane qui opère en France, parmi lesquels se trouvent, forcément, les prochains assassins qui opéreront, dans quelques jours, dans quelques semaines, dans une autre ville française, laissant des cadavres et des blessés à jamais mutilés, comme le fait l’islam partout où il sévit.

    En temps de guerre, il nous faut des chefs de guerre à la tête du pays, pas des islamo-collabos, des traîtres et des lèche-babouches.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Terrorisme islamique à Nice

    Vers 23 heures jeudi soir, alors que le feu d'artifice du 14 Juillet touchait à sa fin, un camion blanc a foncé à pleine vitesse dans la foule, qui rassemblait des milliers de personnes, et roulé sur près de deux kilomètres le long de la promenade des Anglais. Le dernier bilan fait état de 84 morts et des dizaines de blessés, dont 18 en « urgence absolue ».

    Lors de l'attaque, des coups de feu auraient aussi retenti, mais la confusion règne sur ce point. Des sources proches de l'enquête affirmaient vendredi matin que le conducteur du camion aurait tiré à plusieurs reprises avec un pistolet avant d'être abattu par la police. Il était seul à bord du véhicule.

    Des papiers d'identité au nom d'un Franco-Tunisien se trouvaient à l'intérieur du camion. L'homme est âgé de 31 ans et domicilié à Nice. D'après iTÉLÉ, celui-ci était connu des services de polices pour de petits délits mais pas des renseignements. 

    François Hollande a confirmé vendredi matin le caractère «terroriste» de l'attaque.

    «C'est toute la France qui est sous la menace du terrorisme islamiste» et «nous devons tout faire pour (...) lutter contre le fléau du terrorisme». «Rien ne nous fera céder dans notre volonté de lutter contre le terrorisme et nous allons encore renforcer nos actions en Syrie comme en Irak. Nous continuerons à frapper ceux qui justement nous attaquent sur notre propre sol, dans leurs repaires. Je l'ai annoncé hier matin».

    Le choix du mode opératoire et de la date hautement symbolique évoque les consignes de groupes djihadistes comme al-Qaida ou l'État islamique. Dans un message audio diffusé en 2014, le porte-parole officiel de Daech, Abou Mohammed al-Adnani, encourageait ceux qu'il nomme «les soldats du califat» à utiliser n'importe quelle arme disponible. «Si vous ne pouvez pas faire sauter une bombe ou tirer une balle», leur disait-il, «débrouillez-vous (...) renversez-les avec votre voiture.»

    Marine Le Pen a dénoncé :

    A nouveau la France plongée dans l'horreur. Pensées pour les victimes. La lutte contre le fondamentalisme islamiste doit démarrer MLP

    François Hollande a annoncé la prolongation de trois mois de l'état d'urgence, qui devait s'achever le 26 juillet.

    Michel Janva

  • Attentat de Nice : la vidéo du moment où les policiers ont abattu le terroriste

    Sur la Promenade des Anglais, devant le Palais de la Méditerranée, les policiers assaillent Mohamed Lahouaiej Bouhlel, toujours dans la cabine du camion au volant duquel il vient de faire 84 morts, dont dix enfants et adolescents, et 202 blessés. Le terroriste islamiste avait lui-même ouvert le feu à 300 mètres de là, devant le Negresco. Le tir est nourri. Mohamed Lahouaiej Bouhlel sera abattu.

    http://fr.novopress.info/

     
  • Journée mondiale contre le voile : pourquoi personne n’en parle !

    Source : Boulevard Voltaire

    Le 10 juillet, c’est la Journée mondiale des femmes sans voile, laquelle est promue en France par le collectif Femmes sans voile d’Aubervilliers en ces termes, sur sa page Facebook :

    – Dire non au prosélytisme du voile et à sa banalisation, car il n’est ni un simple tissu ni une finalité spirituelle en soi mais il symbolise le statut inégal de la femme. Le voile, sacralisé par les dérives de l’idéologie islamiste, est leur étendard de par le monde : uniforme mortifère, il humilie toutes les femmes et porte atteinte à nos valeurs républicaines.

    – Dénoncer le business qui s’est engouffré dans cette mode planétaire insidieusement « baptisée » pudique.

    – Exiger la protection des filles mineures contre l’endoctrinement d’une vision hiérarchisée des sexes. Les fillettes n’ont pas à se cacher dans l’espace public dans des tenues aliénantes qui leur font porter la culpabilité d’être nées de sexe féminin.

    Excepté un bref communiqué dans L’Humanité, quel média en parle ?

    Cette cause est inaudible, les femmes musulmanes sans voile sont invisibles. Est-ce parce que leurs sœurs voilées le sont trop, justement ? Est-ce parce que leur combat est perdu d’avance ? Est-ce parce qu’elles s’y prennent mal ?

    Il faut dire que les pro-voile sont des poids lourds. On citera dans le désordre et de façon non exhaustive : le pape François, Geneviève Garrigos d’Amnesty international et le CFCM (Conseil français du culte musulman).

    Mais nous devrions être rassurés : la doctrine malékite, majoritaire en France (l’une des quatre écoles classiques de droit musulman sunnite), permet aux femmes de dévoiler leur visage, leurs mains et leurs pieds, donc exclut l’obligation (mais le permet) du voile intégral (niqab, burqa). Ouf, on respire…

    Certaines voix politiques s’élèvent contre le voile, plutôt à droite ; ceux qui s’y risquent à gauche sont immédiatement rappelés à l’ordre par François Hollande en personne.

    Parmi les religieux, on ne compte guère que Tareq Oubrou, imam de Bordeaux, pour dire que le voile n’est pas une obligation religieuse, mais il prêche dans le désert.

    Peu d’intellectuels ou de féministes pour ce combat, au rang desquels l’emblématique Élisabeth Badinter, qui a subi en rétorsion des attaques personnelles. Le voile est justifié au nom de la liberté religieuse et du droit à s’opprimer soi-même. On notera le discours des féministes qui « bugue » lorsqu’il n’est pas face au modèle culturel occidental.

    Cette capitulation est d’autant moins compréhensible et justifiable que les musulmanes progressistes des pays arabes (Yémen, Tunisie, Iran, Maroc, Liban), elles, condamnent le voile, avec des propos autrement plus cinglants que les nôtres. Le dernier livre de Hamid Zanaz, Non ! Nos voix ne sont pas une honte (2015), recense dix-sept de leurs interviews qui décapent…

    Donc, il y a de quoi être consterné et inquiet. Si l’on baisse les bras sur le port du voile, n’est-il pas probable — et cela fait froid dans le dos — que la prochaine étape sera de devoir combattre pour « la liberté de ne pas le porter » ?

    Emmanuelle Frankl

    http://fr.novopress.info/202382/journee-mondiale-contre-voile-personne-nen-parle/#more-202382

  • Délinquants étrangers : le Sächsische Zeitung veut la vérité

    Source : OJIM

    Le quotidien allemand Sächsische Zeitung va désormais publier systématiquement la nationalité des délinquants ! C’est Oliver Reinhard, le « Kultur-Redakteur » du quotidien saxon, qui l’explique dans un long éditorial, publié sur le site du journal, sous le titre « les faits contre les rumeurs ».

    Le but de cette nouvelle pratique semble double : renouer avec la confiance des lecteurs et « protéger les minorités ». Il est vrai qu’au lendemain de l’affaire des viols de Cologne, le 31 décembre dernier, les médias allemands avaient été montrés du doigt, pour avoir minimisé, quand ce n’est pas occulté totalement, les faits.

    « Beaucoup de gens, regrette Oliver Reinhard, doutent que les journalistes recherchent vraiment la réalité des faits. Au contraire, ils croient que les journalistes manipulent », constatant qu’ «on a beaucoup parlé de la baisse de confiance dans les médias depuis la crise des réfugiés ». « Il n’est un secret pour personne, continue-t-il, qu’un certain nombre d’Allemands pensent que les médias dissimulent l’origine des criminels étrangers dans leur couverture des faits ».

    Actuellement, le code de la presse, établi par le Conseil de la presse allemande, interdit de préciser la nationalité ou la religion des délinquants, parce que « cette mention pourrait alimenter les préjugés à l’égard des minorités ».

    Faux, répond Oliver Reinhard ! « De nombreux collaborateur du SZ (Sächsische Zeitung, ndlr) sont, au contraire, convaincus que de ne pas spécifier la nationalité des délinquants et des suspects peut créer un espace pour les rumeurs, qui nuisent, précisément, à ceux que nous voudrions protéger ». Pire, selon lui, « cette surestimation des crimes commis par des étrangers est à l’échelle nationale, un problème grave, car elle peut favoriser les préjugés racistes ».

    Bref, en publiant la nationalité des délinquants et criminels, le SZ entend donc « protéger les minorités ». « Nous allons continuer à indiquer l’origine des délinquants ou des suspects dans chaque cas, qu’ils soient allemands ou étrangers ». Et de conclure : « ce que nous voulons est la vérité » ! Espérons que le même journaliste fasse le bilan dans quelques mois.

    Source : Sächsische Zeitung

    http://fr.novopress.info/202379/delinquants-etrangers-sachsische-zeitung-veut-verite/#more-202379

  • Au moins 233 actes de christianophobie en 5 mois en France

    L'Observatoire de la christianophobie a réalisé sa synthèse mensuelle, pour le mois de mai 2016, des actes de christianophobies commis en France.

    32 actes ont été enregistrés dans 21 lieux différents de culte ou de dévotion, écoles, locaux et cimetières chrétiens, au cours du mois de mai.

    Le document présente également ces actes de christianophobie par type et par département (22 départements touchés en mai).

    Nous avons également compilés les chiffres pour les cinq premiers mois de l’année (janvier à mai) : au cours de cette période ont été enregistrés 233 actes de christianophobie en France.

    Vous pouvez la recevoir gratuitement (au format PDF) en la demandant ici (en précisant bien synthèse mai 2017) avant mardi 12 juillet à midi.

    Michel Janva

  • Abattage rituel : l’aveu d’impuissance de Stéphane Le Foll

    À quoi bon nous bassiner les oreilles à longueur de discours sur les valeurs de la République ?

    Stephane Le Foll, le ministre de l’Agriculture — dont l’intrépidité et le flegme en tant que porte-parole du gouvernement n’ont d’égal que ceux du chef d’orchestre de feu Hé oh le Titanic — était l’invité, sur la radio publique (Inter, pour les intimes), du « 7/9 » de Patrick Cohen, pigiste dont l’impartialité notoire est au journalisme – et toujours dans le registre orchestré – ce qu’est le pétomane à la 9e symphonie.

    En total respect de la mission spécifique de décryptage de l’information (sic !), les sujets chauds de l’actualité ont été abordés ; les quotas de lait et ceux des suicides des agriculteurs soumis à la libéralisation des marchés, le discours du libéral Emmanuel Macron, les vacances prolongées de l’écolo M. Hulot, puis, sans transition, de pestes et de pesticides, de violences policières et/ou de maltraitances animales dans certaines manifestations et/ou abattoirs (ou vice versa).

    Lire la suite

  • Mort d’une maman française abandonnée par la CAF

    Une maman française est morte. Morte après que la CAF l’a abandonnée. Le 3 juillet, à cinq jours de son 32e anniversaire, Emilie a mis fin à ses jours. Elle sera inhumée demain à Armentières, dans le Nord, sa ville natale. Le mois dernier, sur un réseau social, elle avait posté ce message : « Je veux juste être tranquille ». Emile avait deux enfants en bas âge, dont une petite fille de six ans, atteinte de trisomie.

    Début mai, elle avait contacté La Voix du Nord qui lui avait consacré un article : « Privée de RSA parce qu’elle touche une allocation belge pour sa fille handicapée. » A la naissance de sa fille, Emilie avait dû arrêter de travailler et avait pu percevoir le RSA. « Je suis disponible entre 9 h et 16 h, pas plus. Elle est scolarisée en Belgique. Elle va bien mais il faut constamment la booster. C’est difficile avec la prise en charge qu’elle demande d’avoir une activité. »

    Un jour, la CAF, la Caisse d’allocation familiale, l’a contactée. Pour lui dire que c’est la Belgique qui devait lui verser l’allocation d’enfant handicapé. Ça a été fait. Mais ce que la CAF ne lui avait pas dit, c’est que le versement de cette prestation entraînerait l’arrêt de toutes les aides versées par la France. Début mai, elle a raconté à La Voix du Nord ce qui lui est arrivé : « On m’a coupé le RSA. Je suis passée de 1 125 euros d’allocations à 690. Je ne m’en sors plus du tout. En plus, ils me demandent de rembourser ce que j’ai perçu au RSA depuis deux ans. C’est dingue. »

    « On examine ce qui peut lui être proposé », avait juste indiqué la CAF au quotidien régional, s’appuyant sur la législation et ajoutant, dans la mesure où Emilie était séparée du père de ses enfants et que celui-ci était installé en Belgique : « Nous lui avons conseillé de faire valoir ses droits à une pension alimentaire. »

    En juin, les revenus d’Emilie avaient encore baissé. A La Voix du Nord, qui l’avait rappelée, elle avait confiée, très lasse : « À part me dire que je dois demander une pension alimentaire au papa de mes enfants, je n’ai rien de plus. La CAF m’a même supprimé mon APL. » Elle n’avait plus vivre et élever ses deux enfants que le montant de l’allocation belge, soit 398 euros par mois…

    Après la mort d’Emilie, La Voix du Nord a rappelé la CAF : « Nous avons contacté ce matin le service communication de la CAF pour les avertir du décès d’Émilie, dont ils n’avaient pas connaissance, et leur proposer de réagir dans cette affaire délicate.Nous aurions souhaité connaître les actions qui avaient été menées par leurs services, au-delà de l’arrêt des allocations, pour l’aider. Étant bien entendu qu’un acte désespéré résulte rarement d’un seul problème. Nous n’avons pas eu de retour. »

    La CAF n’a plus qu’à chercher dans la législation : il doit bien exister une prestation orphelins. 

    La CAF, qui aide le monde entier, est incapable d'aider une mère et son enfant trisomique. Elle s'est suicidé. http://m.lavoixdunord.fr/region/emilie-maman-privee-d-allocations-et-desemparee-a-ia11b49726n3619290#.V37qXc0QR-0.twitter 

    Photo published for Émilie, maman privée d’allocations et désemparée, a mis fin à ses jours

    Émilie, maman privée d’allocations et désemparée, a mis fin à ses jours

    Début mai, Émilie Loridan avait sollicité «La Voix du Nord» d’Armentières pour parler de ses problèmes financiers. - Armentières (59280, Nord) - La Voix du Nord

    m.lavoixdunord.fr

    http://fr.novopress.info/

     
  • I-MEDIA S03E23 « Diversité » maître mot pour la rentrée de France Tv

  • Paris et plusieurs villes de France à l'heure du Grand rembarquement ?

    graff1.jpg

    Vu dans le XVe arrondissement

    Depuis quelques jours, des équipes d'Amis de Synthèse nationale contribuent activement à la promotion du nouveau livre d'Emmanuel Albach "Le Grand rembarquement"cliquez ici. Ainsi, à Paris et dans une dizaine de grandes villes françaises apparaissent sur les murs des affiches annonçant la parution de ce roman-choc qui redonnera, nous n'en doutons pas, l'espérance à ses lecteurs....

    graff 4.jpeg

    Avant de se rendre au boulot en métro, le Parisien peut lire nos affiches

    graff 2.jpeg

    Emmanuel Albach et Roland Hélie près du Trocadéro lundi dernier...

    2709419064.jpg