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immigration - Page 1105

  • Pierre Cassen a apprécié "Le Grand rembarquement", le roman-choc d'Emmanuel Albach...

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    Samedi dernier, Pierre Cassen, Président de Riposte laïque, m'a téléphoné pour me faire part de son enthousiasme après avoir lu Le Grand rembarquement, le nouveau roman d'Emmanuel Albach. Ce matin, dans son éditorial de Riposte laïque, il conseille à ses lecteurs de lire ce livre. Qu'il en soit ici remercié et rappelons que ce soir, lundi 4 juillet, nous nous retrouverons aux côtés des patriotes de RL au Trocadéro pour protester contre la célébration du Ramadan à la Mairie de Paris.

    Roland Hélie

    Voici l'édito de RL (cliquez ici) :

    Nous sommes à quelques heures du rassemblement du Trocadero, où Riposte Laïque appelle tous les Parisiens à venir protester contre la scandaleuse commémoration du ramadan, à la Mairie de Paris, commise par l’ineffable maire de Paris, Anne Hidalgo. Parisiens, nous comptons sur vous pour défendre notre laïcité, contre la soumission et la trahison du maire de Paris…

    Nous vous rappelons qu’interviendront, entre autres, Karim Ouchikh, Carl Lang, René Marchand, Pierre Cassen, Jean-Yves Le Gallou et Serge Federbusch, et que le maire de Béziers, Robert Ménard, a envoyé un message de soutien qui sera lu à la tribune.

    Mais dans cet édito, je voulais vous parler d’un livre qu’il vous faut absolument acheter, pour vos vacances. Et je ne fais pas la promotion d’un ouvrage de Riposte Laïque, même si je suis certain que les éditions RL auraient adoré publier cet ouvrage.

    Je voulais vous recommander le livre « Le Grand Rembarquement », d’Emmanuel Albach, paru aux éditions Dualpha.

    L’auteur, sans vouloir dévoiler l’intrigue, répondait à quelques questions dans la revue « Synthèse nationale » (cliquez ici).

    Pour éclairer le lecteur, disons que dans ce roman, il y a un peu de "La Faute du Bobo Jocelyn" , de Christine Tasin et Pierre Cassen, de "2023, Le Mur" , de l’avocat Olivier Arnaubec, de "Opération Pédalo" de Paul Le Poulpe, de "Le Camp des Saints" , du grand Jean Raspail, de "Soumission" de Michel Houellebecq, et de "La guerre civile qui vient" , d’Ivan Rioufol.

    Et bien évidemment, un détournement de la formule de Renaud Camus "Le Grand Remplacement".

    Disons que cet ouvrage contredit totalement la thèse de tous les intervenants du dernier Bistro-Libertés, qui contestaient tous une possible guerre civile en France (que nous nous refusons à appeler ainsi, préférant le terme « Guerre de reconquête »).

    Bistro libertés cliquez ici 

    Ce livre est un roman policier qui se déroule dans les arcanes du pouvoir, de 2017 à 2019, avec en toile de fond une milice islamique qui, avec la complaisance du gouvernement, assure l’ordre républicain dans les zones islamisées, à la place de l’Etat. Avec les conséquences qu’on peut aisément deviner.

    Quand on plonge dans cette fiction, on ne peut plus relever la tête du livre, tant on pris par ce roman captivant, que les anglo-saxons appellent un thriller, de 332 pages, malgré un corps d’écriture assez petit. Il y a donc de la lecture, les amis, et du suspens !

    J’avais commis un jour un édito, qui avait été, de manière cocasse, attribué à un journaliste du Monde, intitulé : « Sans l’islam, la France serait un pays formidable » cliquez ici

    Pensez à cet édito, en lisant les dernières lignes du livre d’Emmanuel Albach "Le Grand Rembarquement".

    De nouveau, dans les campagnes, et en ville aussi, comme jadis, on peut laisser sa maison et sa voiture ouvertes sans risquer le vol ou le pillage. En outre, comme les insurrections locales ont été l’occasion d’arracher et de détruire tous les radars du réseau routier, l’ombre menaçante de la tracasserie étatique a aussi disparu, détendant sérieusement l’atmosphère. Pour tout dire, les Français se retrouvent libres, et savourent pleinement cette liberté retrouvée, bien déterminés par ailleurs à ne plus jamais laisser l’Etat s’ériger en persécuteur permanent, ni en créature « bruxellisée ».

    Dans les bus et les métros, on croise des enfants revenant du foot, de la danse, des cours du soir, dans leurs plus beaux vêtements, arborant leurs marques fétiches et portant des ballons tout neufs, exhibant des smartphones, sans crainte de se les faire « tirer » par des « jeunes » en maraude. Les vieilles dames de Marseille peuvent porter chaînes et colliers d’or sans plus risquer de se les faire arracher. « Ils sont partis, répète-t-on, et bien partis ». Les femmes prennent les transports en commun, vont en tout quartier, en jupe courte et dos nus, portent bagues et bijoux, porte-monnaie en mains, non dissimulés, sacs coûteux à l’épaule. « Exactement comme à Ginza », note un journaliste japonais, et « Comme à Pékin », renchérit un de ses confrères chinois. Le premier écrit dans le Nikkei Shimbun : « Paris est devenu aussi sûr que Tokyo. Les Français sont redevenus élégants et les Parisiennes plus coquettes et sexy que jamais ».

    Dans la semaine qui suit, c’est la ruée des touristes asiatiques, et américains aussi, sur tous les sites de voyage. Les hôtels de la France toute entière se retrouvent soudain « bookés » pour un an. La catastrophe économique annoncée par les experts commence plutôt bien. Du coup, il faut embaucher sur le champ des dizaines de milliers d’employés. Pole Emploi n’ayant plus les moyens de verser la moindre allocation depuis le premier jour de la crise shabeb, tous les anciens ayant-droits se jettent sur ces jobs providentiels. Et en un clin d’oeil, la question du chômage est résolue. Pour aider les professionnels du bâtiment qui entreprennent d’achever de détruire ce qui le méritait depuis longtemps et de réparer les ravages des colonnes infernales, on fait venir, comme jadis, d’habiles ouvriers, Espagnols, Portugais ou Italiens. Mais bientôt, on commence à penser à ceux de la rive opposée de la Méditerranée, aux anciens voisins partis là-bas. On n’a pas vécu ensemble si proches sans qu’il en reste des traces. Et puis démarrent là-bas tous ces grands chantiers destinés à reloger et occuper ces populations à la fois de retour chez elles et en quelque sorte déracinées, un peu comme les Pieds-Noirs en 1962 en métropole.

    Et si l’Histoire était vraiment un éternel recommencement ?

    Ajoutons, pour conclure cet édito, que l’auteur connaît parfaitement l’islam, et la stratégie de conquête, par le mensonge, la ruse ou la force, que ses livres sacrés imposent. Et qu’il a parfaitement compris ce à quoi rêvent des millions de musulmans installés en France, et les méthodes qu’ils utiliseront…

    Sachons savourer cette fiction, que certains trouveront pleine d’optimisme, et rêvons de vivre, un jour, certaines des scènes savoureuses contenues dans le livre d’Emmanuel Albach, et notamment la solution corse…

    Le Grand rembarquement cliquez là

     
  • Le cerveau de l’attentat d’Istanbul était protégé par son statut de « réfugié » de l’UE… Parcours

    Le cerveau de l’attentat d’Istanbul, Ahmed Tchataïev, avait le statut de « réfugié » en Autriche. Les terroristes islamistes tchétchènes ont été soutenus par les pays partenaires de l’OTAN contre la Russie, toujours désignée comme l’ennemie à abattre quelles que soient les alliances que cela implique. Les Tchétchènes ont ainsi obtenu en grand nombre le statut de réfugiés en UE même lorsque Moscou demandait leur extradition, comme c’était le cas depuis dix ans, de l’auteur présumé de l’attentat d’Istanbul. La fusillade et les explosions perpétrées le 28 juin dernier à l’aéroport d’Istanbul ont fait 43 morts, dont 13 étrangers, ainsi que près de 150 blessés.

    La piste Tchétchène dans la mouvance islamiste

    « Les médias turcs affirment que l’attaque terroriste contre l’aéroport Atatürk d’Istanbul a été orchestrée par Ahmed Tchataïev, originaire de la Tchétchénie (Caucase russe). Selon le journal Yeni Safak, un des kamikazes qui s’est fait exploser à l’aéroport s’appelait Osman Vadinov et provenait également de Tchétchénie ou du Daghestan. Les deux hommes sont considérés comme étant liés à l’Etat islamique, tandis que le Comité national antiterroriste russe (NAK) qualifie Ahmed Tchataïev de principal recruteur et instructeur des terroristes envoyés par l’Etat islamique en Europe. » (Source)

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  • Grandes manœuvres pour grande mosquée

    Depuis la fin de l’année 2015, si riche en assassinats perpétrés, sur le sol français, par des musulmans à l’encontre de citoyens français, le gouvernement algérien, par son ministre des Affaires religieuses, réclame la pleine souveraineté sur la grande mosquée de Paris qu’il subventionne puissamment.
    À ce titre, on peut imaginer que les Saoudiens, Qataris, turcs et autres évergètes exotiques, vont prochainement réclamer leur « livre de chair », en l’occurrence la souveraineté sur les mosquées dont ils financent l’érection et le fonctionnement. Ce qui fait un plaisant contraste avec la propriété des églises et cathédrales françaises, que l’État français a nationalisées par la Loi de juillet-décembre 1905, faisant du même coup de la France un pays « neutre » au plan des religions et des cultes.
    Il est peu probable que nos dévoués politiciens, encore maîtres de l’État durant quelques mois, fassent voter une loi sur un sujet aussi explosif, avant d’importantes échéances électorales, même si le parti qui a (encore) les apparences du Pouvoir semble très désireux de recevoir des dons d’émirs et de roitelets généreux en pétrodollars… encore qu’avec ces gens-là, il ne faille pas toujours se fier au simple bon sens.
    Il peut donc paraître utile de rappeler au Peuple souverain l’article 53 du Titre VI de la Constitution de la Ve République, en date du 4 octobre 1958, un article ni révoqué ni amendé depuis lors. Le Titre VI est intitulé : Des traités et accords internationaux. L’art. 53 stipule : « Les accords relatifs à l’organisation internationale… qui comportent cession… de territoire ne peuvent être ratifiés ou approuvés qu’en vertu d’une loi… Nulle cession n’est valable sans le consentement des populations intéressées ».
    En clair, le gouvernement est obligé de demander 1 : l’avis du Parlement, pour l’établissement d’une loi 2 : le consentement de la population… et l’on se moque absolument de celui des musulmans en tant que tels, étant donné que l’État est NEUTRE en matière de culte. C’est donc l’avis du PEUPLE SOUVERAIN en sa totalité que nos brillants maîtres doivent solliciter et seul le peuple souverain peut accorder ou refuser cette cession d’une partie du territoire national.
    En outre, quel est l’individu assez niais pour ne pas comprendre qu’une fois devenues aussi inviolables qu’une ambassade, les mosquées de souveraineté algérienne, tunisienne, marocaine, saoudienne, qatari, turque etc… deviendront non seulement des asiles pour terroristes et criminels de la Oumma, mais aussi des centres d’endoctrinement et de formation à la guerre civile… déjà, des mosquées corses servent de salles de sports de combat.
    Une grave question se pose : jusqu’où allons-nous descendre dans l’abjection et le reniement de nos valeurs et de notre histoire ?

    Docteur Bernard Plouvier Synthese Nationale :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuyZVFpkylzDPrsdrZ.shtml

  • Lundi 4 juillet, contre la célébration du Ramadan à la Mairie de Paris : RASSEMBLEMENT A 19 H AU TROCADERO

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Coût du logement social : et si on parlait de l’immigration ?

    30/06/2016 – FRANCE (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation deRadio Courtoisie) : Dans une étude récente de la fondation Ifrap consacrée au logement social à la française et intitulée Stopper la création de logements sociaux, le think tank libéral dénonce une politique trop coûteuse et peu efficace au détriment du secteur privé locatif, mais sans parler de l’immigration. « Les locataires les plus pauvres (premier décile de revenus) sont majoritairement logés dans le parc privé », s’indigne l’Ifrap, qui constate que si les logements sociaux sont de plus en plus nombreux en France (« Entre 1985 et 2011, on observe une augmentation de 53% du parc social »), ils ne permettent pas de subvenir à une demande qui a augmenté de 80 % en 13 ans. Cherchez l’erreur, et vous aurez une chance de la trouver dans les flux migratoires, non ?

    IFRAP-Logements-sociaux-248x350.jpgCombien coûtent les logements sociaux en France ? 40 milliards d’euros par an sont dépensés chaque année pour le logement social en France, soit 2,3 % du PIB, deux fois plus que dans les autres pays européens. Les logements sociaux représentent 17 % du parc de logements, soit deux fois plus que la moyenne européenne qui s’élève à 8,6 %. Ils représentent exactement 5,3 % en Italie et 4,6 % en Allemagne.

    Pourquoi se trouve‑t‑on dans une telle galère ? Selon l’Ifrap, cette situation est due en partie à l’article 55 de la loi SRU qui impose la création de 20 % puis de 25 % de logements sociaux dans les communes de plus de 3 500 habitants. « Se donner des objectifs de construction généraux sur tout le territoire n’a plus de sens », peut‑on lire dans l’étude qui dévoile un taux de vacance des habitations à loyer modéré alarmant. S’il s’élève en moyenne à 1,6 %, ce taux peut quasiment atteindre les 10 % dans certaines villes.

    Comment pourrait‑on régler le problème aujourd’hui ? Selon l’Ifrap, il faudrait favoriser l’accession à la propriété, par exemple en facilitant la vente des logements à leur occupant. Ce serait en effet d’excellente politique mais une autre mesure s’impose : réduire la demande de logements sociaux en réduisant… l’immigration.

    En Suisse, quand l’UDC calcule le coût de l’immigration, elle y intègre le coût de construction des logements, des écoles, des hôpitaux ou des routes pour subvenir aux besoins de cette population nouvelle. En France, jamais. Cherchez (encore) l’erreur.

    http://fr.novopress.info/

  • Au Québec, une animatrice virée car « trop caucasienne »

    FRANCE (NOVOpress avec OJIM)

    Après trois ans à la tête de l’émission « Montréalité » sur la chaîne MAtv, l’animatrice Katerine-Lune Rollet vient de perdre son poste au profit de quelqu’un issu d’une « minorité visible », rapporte le journal Présent.

    Selon ses propres dires, l’animatrice a été écartée car « trop caucasienne » et remplacée par une personne de couleur. Comme l’a confirmé Isabelle Larin, directrice de programmation de MAtv, dans le journal La Presse, c’est bien pour une question de couleur de peau que la décision a été prise. En effet, pour elle, l’émission « Montréalité » a vocation à être « la locomotive parfaite permettant d’illustrer la diversité montréalaise ».

    Ainsi, il faut « une nouvelle représentativité à la barre de l’émission ». Une mise à l’écart paradoxale pour Katerine-Lune Rollet, qui avait elle-même déclaré il y a peu : « Je suis tout à fait d’accord que notre télévision est beaucoup trop blanche et qu’il faut bouger. » Aujourd’hui, elle fait les frais de sa propre idéologie.

    Par le passé, la chaîne d’État Radio-Canada avait également ouvert des postes spécifiques pour les « non-Caucasiens ». Cette décision avait suscité un tollé, obligeant la chaîne à faire machine arrière. À l’époque, il s’agissait d’une approche de discrimination positive à l’embauche. Aujourd’hui, comme on vient de le voir avec MAtv, on remplace carrément des animatrices blanches par d’autres de couleur.

    Une politique d’épuration qui ne sera sans doute pas sans déplaire à Delphine Ernotte, présidente de France Télévisions, qui avait elle aussi, lors de sa prise de fonction, estimé que la télévision publique française comportait trop d’hommes blancs de plus de 50 ans et qu’il fallait que « ça change »…

    http://fr.novopress.info/

  • Immigration : 10 principes de bon sens – par Guillaume Faye

    FRANCE (NOVOpress avec Guillaume Faye)

    Le débat sur l’islam, la laïcité, l’intégration, l’assimilation, le ”communautarisme”, la ”déradicalisation” anti islamiste, etc. est déconnecté du réel et du bon sens, intellectualisé, donc hors sol, donc inutile. C’est une salade de postulats idéologiques et de vœux pieux. Alors que le cœur du problème est pratique, matériel, quantitatif : démographique mais aussi ethnique. Voici dix principes qui devraient être des évidences.

    1) Ne pas combattre seulement les effets de l’immigration, mais surtout les causes

    Vouloir interdire les voiles dans les lieux publics, contrôler le financement et la hauteur du minaret des mosquées–champignons, refuser à l’école, à l’hôpital –et partout– les pratiques islamiques conquérantes, etc. – et tout cela par des lois et des règlements– c’est tout à fait nécessaire. Mais on a perdu d’avance si l’on ne comprend pas que c’est aussi tout à fait insuffisant. Ils combattent (mollement) les effets et jamais les causes. Ils échoueront s’ils ne traitent pas la source du problème. Cette dernière est à la fois purement quantitative et démographique, mais aussi ethnique : l’immigration extra–européenne à majorité musulmane en progression exponentielle et la fécondité nettement supérieure des immigrés. C’est à cette double cause qu’il faut s’en prendre.

    2) Penser au long terme avant le court terme

    Mathématiquement, si rien n’est fait pour bloquer le déversement de l’immigration, si aucune ”remigration” (retour au pays) n’est accomplie, dans la seconde moitié du XXIe siècle la France ne sera plus un pays ethniquement ”européen” et l’islam y sera nettement majoritaire. La France sera un pays afro–arabe musulman (ainsi que plusieurs de ses voisins) en proie à des violences ethno-religieuses incessantes et à la paupérisation, avec exode massif des derniers Européens de souche. Guerre civile ethnique endémique probable. C’est la loi d’airain de la démographie (immigration et natalité). Dans ce cas, la France disparaîtrait purement et simplement, et même peut-être son nom. Mais cette perspective de moyen et de long terme est totalement ignorée par les oligarchies (les dirigeants actuels seront morts ou nonagénaires quand l’effondrement final surviendra) qui ne pensent et n’agissent qu’à très court terme. C’est le reflet d’une société de l’immédiateté, qui ne se projette pas dans l’avenir, qui oublie son passé et qui prend du Prozac ou fume des joints pour ne pas penser au présent.

    3) Comprendre que des forces qui cherchent la destruction ethnique de l’Europe sont à l’œuvre.

    Elles infiltrent et noyautent l’État français et les autres, la technocratie européenne, les oligarchies médiatiques, partitocratiques (y compris au FN) et syndicales. Elles imposent l’idéologie immigrationniste et collaborent à l’islamisation. Fondamentalement antidémocratiques (”anti populistes” dans le jargon), animées par un sentiment nihiliste de haine de la culture, de l’histoire et de l’enracinement des nations européennes, alliées objectives de l’islam invasif, elles poussent les autorités politiques, de gauche ou de droite, à un ethnocide des Européens (voir autre article de ce blog). Tout est fait pour laisser entrer la marée migratoire et pour détruire les racines culturelles des identités européennes, notamment dans l’éducation publique et les médias.

    4) L’ethnopluralisme, comme le moteur à eau, n’a jamais fonctionné nulle part et ne marchera jamais.

    C’est une idée à enterrer dans le cimetière des utopies, comme le communisme. Il existe une incompatibilité de vie en commun (cohabitation territoriale) dans une même unité politique entre les populations ethniquement différentes ; surtout si certaines sont arabo-musulmanes ou africaines. Les exceptions ne concernent que des bulles artificielles composées d’élites. Même si cette évidence de l’impossibilité de l’ethnopluralisme (relevée par Aristote) est un tabou, un interdit idéologique, elle reste précisemment une évidence pour qui vit dans une zone de mixité ethnique. Elle n’est pas ressentie par les élites immigrationnistes et antiracistes tout simplement parce que ces gens–là, à l’inverse des ”petits Blancs”, ne vivent et ne sont jamais en contact avec leurs chers immigrés arabo-musulmans ou africains, qui restent pour eux des abstractions. C’est pourquoi ils déploient pour les autres – pas pour eux– le concept de ”vivre–ensemble”.

    5) Combattre le ”communautarisme” ? Trop tard.

    Le combat contre le ”communautarisme” (ce mot piégé qui sert à masquer le terme de ”colonisation ethnique”) ne sert à rien, pas plus que le combat contre l’islamisation et la radicalisation. C’est trop tard. Il était encore possible, au début des années 80 d’intégrer et d’assimiler dans la ”république” et la culture franco-européenne des immigrés extra-européens. C’est rigoureusement impossible dès lors qu’ils atteignent des pourcentages considérables, majoritaires dans certaines zones urbaines. Il est inutile d’essayer d’améliorer les choses, il faut renverser la table. C’est-à-dire bloquer les flux migratoires et les inverser.

    6) Ne pas s’acharner à vouloir qu’ils soient ”nos compatriotes” puisqu’il ne le veulent pas.

    Il est rigoureusement impossible de faire une Nation unie avec une proportion croissante de populations arabo-musulmanes et africaines, même francophones. La candeur des intégrationnistes et assimilationnistes, du FN au PS, à vouloir que ces millions d’immigrés ou d’enfants d’immigrés soient ”nos compatriotes” n’a d’égal que le refus hostile d’un nombre toujours plus grand d’entre eux –surtout chez les jeunes– de se considérer comme Français – ou Belges, Allemands, etc. –, même s’il en ont la nationalité. Ils ne veulent pas s’intégrer ou s’assimiler. Comme dit le proverbe : « on ne fait pas boire un âne qui n’a pas soif ». De plus en plus de jeunes d’origine arabo-musulmane, africaine ou turque, partout en Europe, même avec des nationalités européennes de papier, se considèrent comme citoyens de leur pays d’origine et l’Europe –détestée– comme une terre de conquête. Ils ont un réflexe raciste. C’est leur problème.

    7) Vouloir créer un ”islam de France” est une ridicule utopie.

    L’islam n’est pas seulement incompatible avec la ”république”, il l’est avec tout ce qui n’est pas lui–même, religion ou culture. C’est un enracinement psychique profond, ethnique. De Gaulle l’avait vu, d’où son refus de l’Algérie française comme appendice de la France. L’idée d’un ”islam des Lumières” modéré et réformé est une impasse. Les musulmans franco–compatibles ou républicano–compatibles sont soit des minorités utopistes, soit des enjôleurs insincères. L’islam est intrinsèquement hostile à tout ce que représente la civilisation européenne. Les deux seules idéologies qui ont flirté avec l’islam sont totalitaires : jadis le nazisme et aujourd’hui le marxisme, avec l’ ”islamo–gauchisme”. Ce n’est pas un hasard.

    8) Contre le terrorisme islamique : désislamiser la France.

    Ce n’est pas seulement en espionnant et en essayant de démanteler les réseaux islamistes qu’on empêchera les attentats, ni en menant dans des prisons (écoles du crimes) de ridicules et inopérantes (voire contre–productives) opérations de ”déradicalisation”. C’est surtout en interdisant l’entrée dans le territoire (immigration zéro) de tout nouvel immigré musulman et en inversant les flux migratoires par des départs massifs. C’est malheureux à dire, mais le risque d’attentats terroristes dans un pays occidental est proportionnel à l’importance numérique de sa population musulmane.

    9) Admettre que l’emprise musulmane et arabo–africaine touche l’ensemble du territoire national.

    La cause de tous les problèmes est démographique et mathématique. Constat de Patrice Ribeiro, secrétaire général du syndicat de police Synergie–officiers : « Aucun endroit n’est épargné, le phénomène de communautarisation et d’insularité de tout un tas de quartiers s’observe partout avec l’infiltration et l’invasion dans le tissu scolaire, associatif et sportif, c’est une lame de fond de société ». Il mentionne « le déni d’un certain nombre d’élus » qui « relève en réalité de l’acquiescement et de la connivence intellectuelle ». Il pense que « cet angélisme ou clientélisme cynique nous conduit à la catastrophe ». Rien à rajouter. Le problème est strictement démographique, rien de plus. Pour des raisons de correction idéologique et sémantique, on parle de « communautarisme », effroyable néologisme, alors qu’il s’agit tout simplement d’une invasion, de l’extérieur (immigration) et de l’intérieur (natalité).

    De son côté, l’écrivain algérien Boualem Sansal analyse : « l’ordre islamique tente de s’installer en France, c’est un fait patent ; en maints endroits, il est déjà installé ». (FigaroVox, entretien, 17/06/2016).

    10) Intégration et assimilation : mission impossible.

    L’intégration (c’est-à-dire l’adoption partielle des mœurs du pays d’accueil, dont la langue, mais en conservant une partie de ses us et coutumes d’origine) est possible si les immigrés ne dépassent pas 5% de la population d’accueil. Pour l’assimilation (c–à–d l’adoption totale de la culture d’accueil et l’abandon de la sienne) le pourcentage est encore plus bas. En dépit de tous les discours (du FN, de la droite et du centre), ni l’intégration ni l’assimilation ne sont plus possibles pour une raison mathématique : la proportion d’allochtones est trop forte.

    Les masses d’enfants africains ou arabes d’origine ne pourront jamais, sauf exceptions évidemment, être assimilés ou réellement ”francisés” par l’école. La France universelle, supraculturelle, supraethnique est une impossibilité, le fruit d’une utopie intellectuelle abstraite construite aux temps où l’immigration massive n’existait pas.

    Conclusion : résoudre le problème global supposera un énorme choc

    Les problèmes de communautarisme croissants, de ”ghettoïsation”, de frictions et d’affrontements incessants avec les mœurs musulmanes en expansion qui dégradent la vie quotidienne des autochtones européens, de criminalité multiforme en hausse constante, d’effondrement du niveau d’une école publique multiethnique, (1) de terrorisme évidemment, ces équations ne seront jamais résolus par des mesures politiques intérieures d’aménagement, aussi dures soient-elles.

    Le référendum britannique en faveur du Brexit a été en réalité un vote de protestation – un peu désespéré– des classes populaires anglaises contre l’immigration. (2) Mais une Grande-Bretagne détachée de l’UE – si le référendum est respecté – limiterait-elle l’immigration ? Pas sûr…

    La solution générale viendra d’abord d’un rétablissement des frontières nationales et d’un arrêt total de toute immigration extra-européenne, y compris légale, de travail et de regroupement familial ; deuxièmement, elle proviendra d’une politique résolue d’expulsion de tous les clandestins et immigrés en situation irrégulière (3) et de ”remigration” pour ceux qui sont en situation régulière. Quant à ceux qui sont ”Français de papier” (ou de toute autre nationalité européenne) du fait du droit du sol – qui devra être impérativement supprimé– leur situation sera la plus difficile à résoudre mais elle devra l’être.

    Certes, ces solutions supposent un immense courage. Elles provoqueraient des chocs, des drames, des conflits qu’il faudrait affronter. Mais continuer à ne rien faire aboutirait à une situation pire encore. Car l’équation est simple : à partir du moment où une immigration-déversoir est autorisée (encouragée) par l’État depuis 40 ans, avec une reproduction deux à trois fois supérieure des populations immigrées à 90% musulmanes, et une fuite des jeunes élites, la France est morte dans 20 ans.

    (1) Bien qu’officiellement, à gauche comme à droite ont nie farouchement (le politiquement correct) que cette multiethnicité soit une cause majeure de l’effondrement du niveau…. Ce qui n’empêche pas de mentionner la seconde cause, le ”pédagogisme” et le nivellement par le bas de l’égalitarisme de gauche.

    (2) Le prochain article, à paraître bientôt, concernera précisément le ”Brexit”, qui n’aura d’ailleurs pas forcément lieu, malgré un référendum qui, comme d’autres, risque de ne pas être respecté par l’oligarchie.

    (3) L’arrêt de toute allocation, aide médicale, scolarisation etc. pour tous les étrangers non communautaires (UE) suffirait déjà à décourager les arrivées et provoquerait de très nombreux départs. Bloquer la pompe aspirante, enclencher la pompe expirante.

    http://fr.novopress.info/202242/immigration-10-principes-de-sens-guillaume-faye/#more-202242

  • Immigration, la catastrophe. Que faire ? (1/3) Le choc des faits

  • Rama Yade : cachons ces « Français de souche » que nous ne saurions voir

    N’en déplaise à Rama Yade, et peut-être à son époux, les Français dits de souche existent.

    Rama Yade, candidate surprise à la présidence de la République, est représentée par un superbe dessin en couverture du dernier numéro du magazine Charles, sous-titré Racisme et Politique. En exergue, une citation de l’ancien secrétaire d’État des Affaires étrangères et des Droits de l’homme du deuxième gouvernement de François Fillon :« Les Français de souche n’existent pas. »
     
    Certes, Rama Yade est coutumière des approximations, des déclarations à l’emporte-pièce et des anachronismes. Mais il fallait tout de même oser affirmer pareille sottise. Un peu comme s’il me prenait subitement l’envie de déclarer que la France n’était qu’un énième « hoax de l’extrême droite », que Charles de Gaulle avait été inventé par l’imagination fertile de ces esprits paranoïaques qui propagent des théories complotistes ou que Rama Yade provenait d’une souche enracinée en Aveyron depuis le XIe siècle après Jésus-Christ. J’aurais tort, et on me le ferait remarquer.
     
    Pour justifier son assertion, Rama Yade brode une argumentation assez perverse jouant sur deux tableaux : le registre victimaire habituel et un républicanisme abstrait aussi insipide que bourré de clichés. Elle affirme notamment qu’il « n’y a pas de droit du sang » en France, ce qui est parfaitement inexact.

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  • Logements sociaux trop nombreux et mal utilisés : une politique inefficace !

    Quarante milliards d’euros annuels sont dépensés, soit 2,3 % du PIB, c’est-à-dire deux fois plus que chez nos voisins européens.
    La fondation iFRAP s’est lancée dans un audit de ce que l’on pourrait appeler, selon l’angle choisi, le tonneau des Danaïdes, le rocher de Sisyphe, les écuries d’Augias : les logements sociaux !

    Le résultat, bien que poliment énoncé, est sans ambiguïté : la politique dans le domaine est trop coûteuse, inefficace et nuisible pour le secteur privé locatif.

    Quarante milliards d’euros annuels sont dépensés, soit 2,3 % du PIB, c’est-à-dire deux fois plus que chez nos voisins européens. Les logements sociaux représentent 17 % du parc total, contre 5,3 % en Italie et 4,6 % en Allemagne.

    Et entre blocage des loyers, réquisition des logements vacants, préemption d’immeubles et injonction faite aux communes d’en augmenter le nombre, la tendance n’est pas franchement à la baisse… le dernier chantier emblématique étant, bien sûr, la « cession » à un bailleur social – annoncée il y a quinze jours par Manuel Valls et Anne Hidalgo – de 14.000 m2 dans l’îlot Saint-Germain, ancien siège de l’armée de terre, afin d’y créer 400 logements au cœur d’un arrondissement (le VIIe) jusque-là récalcitrant.

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