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immigration - Page 1108

  • De Calais à Athènes, la crise migratoire s’amplifie chaque jour

    (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)

    Depuis début 2016, 130 000 « migrants » sont arrivés en Europe depuis la Méditerranée, selon le haut-commissariat aux réfugiés. Soit davantage que lors des six premiers mois de 2015.

    Après l’Autriche, la Slovénie, la Hongrie, la Croatie et la Macédoine, c’était au tour de la Belgique, il y a dix jours, de rétablir le contrôle aux frontières pour empêcher un éventuel afflux de clandestins lié au démantèlement de la « jungle » de Calais. Depuis, 619 personnes ont été refoulées.

    Où en est-on du démantèlement à Calais ?
    Après les échauffourées de ces derniers jours, il se poursuit dans la partie sud et devrait durer un mois. Mais un quart des clandestins transférés dans les centres d’accueil seraient déjà retournés dans la « jungle », rejoignant la partie nord, pas encore concernée par le démantèlement.

    À Athènes, la situation est autrement plus préoccupante
    La fermeture des frontières sur la route des Balkans aggrave l’engorgement en Grèce. Actuellement, plus de 20 000 migrants y sont coincés. Et la Commission européenne évalue à 100 000 le nombre de réfugiés qui risquent d’être bloqués en Grèce sachant qu’il en arrive entre 1 000 et 3 000 par jour.

    Dans le même temps, l’Europe entend réaffirmer le principe de libre-circulation dans l’espace Schengen, mis à mal par ces fermetures de frontières. Hier, le président du Conseil européen, Donald Tusk, a annoncé qu’un retour à Schengen « est une condition préalable à la solution européenne à la crise des migrants ».

    Après la crise financière, c’est une crise migratoire que vit la Grèce
    Un nouveau plan d’aide pour la Grèce, c’est ce qu’a annoncé hier la Commission européenne. Mais ce n’est plus pour pallier la crise économique, c’est un fonds « humanitaire » d’urgence de 300 millions d’euros.

    Le sommet UE-Turquie consacré à la crise des migrants le 7 mars va-t-il arranger la situation ?
    En novembre, Ankara s’était engagé à ralentir le flux migratoire qui traverse la mer Égée depuis ses côtes jusqu’en Grèce, en échange d’une aide de 3 milliards d’euros et d’une accélération de sa procédure de candidature à l’Union européenne. Vu le flux incessant de populations et l’impatience manifestée par Bruxelles, force est de constater que cet accord tarde à produire ses effets.

    http://fr.novopress.info/199014/calais-athenes-crise-migratoire-samplifie-chaque-jour/
  • Pour l'association Entraide solidarité, Martial Roudier s'est rendu à Calais pour rencontrer les familles des inculpés

    Il nous raconte son séjour à Calais :

    Quand vous débarquez dans une région différente de la vôtre, les « locaux » ont à cœur de vous faire découvrir les particularités locales, bâtiments historiques, bonnes tables… À Calais, la première chose qu’on vous fait visiter c’est la Jungle ! Ambiance surréaliste : des grillages recouverts de barbelés, des camions de CRS à chaque carrefour, des gyrophares bleus dans la nuit, un no man’s land de 80 mètres de large établi au bulldozer entourant les habitats de fortune des « migrants », des hordes de clandestins déferlant dans les rues de Calais où un couvre feu pèse sur les habitants…

    La première soirée est consacrée à de la veille internet et à de la surveillance des événements liés aux migrants. « Est ce que ça bouge ? » Tout le monde est prêt à se déplacer pour faire de la vidéo afin de témoigner de la réalité. Le gouvernement souhaiterait que personne ne sache ce qui se passe mais aujourd’hui la lutte passe par les réseaux sociaux. Chaque femme se soutient moralement en attendant le retour des « maris ».

    Samedi matin, Séverine reçoit une lettre de Christophe, incarcéré depuis plus de 15 jours et me la lit avec beaucoup d’émotion dans la voix. C’est la première fois que ces familles sont confrontées au monde carcéral et elles sont désemparées. Je sais que cette situation ne va pas durer, puisqu’il n’y a aucun élément dans le dossier et je tente de la rassurer. C’est une femme forte.

    Christophe lui raconte sa petite vie de « taulard ». Ça se passe bien pour lui car il n’est pas considéré comme un « vrai délinquant » par les matons. Il est seul en cellule mais a dû montrer qu’il ne se laisserait pas faire aux autres détenus qui ont tenté de lui « mettre la pression ». Heureusement pour lui, c’est un grand gaillard qui impose naturellement le respect.

    Espérons que ça se passe bien pour les autres gars, dispersés dans 6 maisons d’arrêt différentes.

    Dans le jardin un drapeau français flotte bravement.

    J’apprends qu’il y a eu des blessures importantes pendant l’interpellation. Christophe a 2 côtes cassées, Stéphane en a 3 plus un œil tuméfié. Son fils, Jefferson a un traumatisme important au niveau du tympan. Les jours d’ITT sont nombreux. Tous ont des blessures un peu partout suite à un tabassage en règle alors qu’ils s’étaient laissés arrêter et qu’ils étaient menottés au sol.

    J’apprends également que le Parquet a obligé les inculpés à prendre un avocat chacun au motif que leurs déclarations étaient contradictoires. C’est bien la première fois que j’entends parler de ce genre de choses !

    Dans l’après-midi je rencontre les familles des personnes incarcérées. Les femmes sont angoissées et les enfants sont maintenus dans une ignorance du sort de leur papa. Alice, 14 ans, n’est pas dupe et sait très bien que quelque chose de pas normal est en train de se passer. Nous mangeons les gâteaux que j’ai aidé à préparer le matin avec la femme de Christophe, le soi-disant « meneur ». J’ai hâte de le rencontrer, il a l’air de quelqu’un de bien. Il fait partie des « Voisins Vigilants » et est une figure de son quartier: bricoleur, serviable…

    Corinne la femme de Nino ne peut pas se joindre à nous car elle habite loin et la police a placé les véhicules de nos patriotes sous scellés. Elle ne peut pas se déplacer…

    15 jours après l’incarcération, personne n’a encore d’autorisation de parloir.

    Je transmets un chèque de 250€ à chacun de la part d’Entraide Solidarité pour que les détenus puissent cantiner le minimum nécessaire pour le premier mois.

    J’explique que la situation ne peut pas s’éterniser puisque le dossier est vide. Lorsqu’elles partent, les familles me remercient pour le geste et le soutien et semblent rassurées quant à la suite des événements.

    Bien évidement je n’ai pas résisté à la tentation de me rendre à l’intérieur de la « Jungle ». C’est réellement impressionnant. J’y ai vu des magasins, des restaurants, des centres de soins, un homme se faisant soigner une dent sur un banc. J’ai assisté à une distribution de nourriture. Je ne me sentais pas trop en insécurité car il y avait beaucoup d’européens. Ces derniers font partie des « bénévoles » des nombreuses associations qui travaillent à l’intérieur de la Jungle. Beaucoup d’anglais parmi ces derniers. C’est d’ailleurs l’anglais qui est la langue commune ici. Ce sont ces bénévoles blancs qui ramassent les déchets que les migrants laissent partout. Je ne peux m’empêcher d’imaginer l’état de la Jungle et les problèmes d’hygiène si ces bénévoles ne s’occupaient pas de la propreté des lieux. Mais ça fait un choc !

    Stéphane a pu sortir suite à un appel sur la décision de placement en détention. Entraide Solidarité lui a proposé de changer d’avocat car son « commis d’office » était favorable aux migrants, on ne sait jamais. Ce matin c’est au tour de Jefferson de quitter les murs de sa maison d’arrêt. Signe que l’affaire commence à se dégonfler, mais c’est surtout grâce au travail des avocats et à la mobilisation de tous !

    Je repars de Calais avec l’assurance que les familles restent soudées et tiennent le choc. Il faut maintenant travailler la « Justice » au corps pour qu’elle relâche les 5 autres gars, que l’ensemble des 7 soient relaxés et que nous arrivions à faire condamner les policiers auteurs du passage à tabac! Rude boulot…

    Vous pouvez aider Entraide solidarité en cliquant ici ou par chèque en précisant « soutien aux 7 de Calais » au dos à : Entraide Solidarité - BP4-7187 - 30914 Nîmes Cedex

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • RÉINFO DU 29 FÉVRIER 2016

    Bienvenue pour ce nouveau numéro de Réinfo, journal d’information bimensuel du Parti de la France, du 29 février 2016.
    Au sommaire de ce numéro :

    • Immigration. Le changement de la loi sur l’immigration, voté dans l’indifférence générale, va avoir des conséquences incalculables, aussi bien financières que juridiques ou sociétales.
    • Révélation sur l’Unedic. Les cotisations des actifs suffisent à indemniser les demandeurs d’emplois. Alors qui plombent les comptes de l’Unedic ?
    • Un Salon de l’Agriculture sous haute tension. Il n’y avait que M. Bricolage pour oser inaugurer le 53e Salon de l’Agriculture, en pleine tempête agricole, avec le très contreversé président de la FNSEA. Une occasion d’interroger l’euro-député souverainiste, Joëlle Bergeron, qui a rencontré la Coordination Rurale.
    • Biélorussie.  Un président réélu avec 83% des suffrages qui ne mâche pas ses mots et un pays qui a réussi sa mutation politique sans passer par les années d’enfer, que la mafia et un capitalisme sordide, ont imposé à la Russie voisine.

    Et pour finir, l’actualité du parti de la France et les prochains rendez-vous du mouvement.

  • En Charente, le stratagème d’un élu pour éviter le recours aux travailleurs étrangers

    Information à diffuser auprès de tous les élus patriotes dans le pays. Cette clause dans l’appel d’offre, peut faire la différence et enfin favoriser l’emploi de ressources humaines locales. Il est néanmoins malheureux d’en d’arriver à de tels stratagèmes pour faire travailler prioritairement les Français…

    Cet adjoint à la mairie d’Angoulême a ajouté une clause dans un contrat public pour empêcher les PME locales d’employer des salariés ne parlant pas français. Une méthode qu’il juge inattaquable juridiquement.

    La problématique des travailleurs détachés, qui permet aux entreprises d’employer des salariés étrangers en payant les charges de leur pays d’origine, revient régulièrement dans le débat, certains accusant ce dispositif de favoriser une concurrence déloyale, au détriment des emplois en France. Selon les chiffres établis par le Conseil Économique Social et Environnemental dans un rapport datant d’avril 2015, le nombre de travailleurs détachés atteignait 212.641 personnes en 2013, dont 43 % dans le BTP. Certains l’estiment beaucoup plus élevé, compte tenu de la fraude, comme le président de Debout la république, Nicolas Dupont-Aignan, qui l’évalue à 500.000. La plupart de ces travailleurs viennent du Portugal, de Pologne ou de Roumanie, qui ont des charges sociales moins élevées qu’en France. De nombreux élus locaux sont confrontés à ce dilemme lors de leurs appels d’offre. Problème: il est impossible de refuser d’employer des travailleurs détachés. Cela peut s’apparenter à de la discrimination et se payer de cinq ans de prison et de 75.000 euros d’amende.

    Extrait du contrat du chantier de l'Ephad de Confolens.

    Vincent You est adjoint à la mairie d’Angoulême (LR) et directeur d’hôpital. Il a mis au point une méthode pour éviter le recours aux travailleurs détachés dans les contrats publics. Lors de la construction d’un hôpital l’an dernier, il s’est aperçu que les PME locales employaient beaucoup de travailleurs détachés. Pour les travaux de rénovation de l’Ephad dont il a la gestion à Confolens , il a donc placé dans le contrat une clause, stipulant que, pour des raisons de sécurité, les travailleurs devaient parler et comprendre le français sur le chantier. La clause est formulée ainsi: «Afin de garantir la sécurité des travailleurs et visiteurs sur le chantier, ainsi qu’une parfaite compréhension des directives de la direction technique des travaux, l’ensemble des ouvriers présents sur le chantier devra comprendre et s’exprimer en français.» Si tel n’était pas le cas, l’entreprise devrait prendre à sa charge les services d’un interprête.

    Grâce à ce système, M. You espère réduire l’effet d’aubaine qu’implique le recours aux travailleurs détachés. Sur le chantier actuellement en cours, il n’y a aucun employé étranger, les entreprises n’ayant pas voulu payer un traducteur. Une méthode inédite, et qui, selon son inventeur, est inattaquable juridiquement.

    Favoriser l’emploi local

    «Je ne peux pas interdire les travailleurs détachés, mais je peux faire en sorte qu’ils reviennent plus cher pour favoriser la main-d’œuvre locale», explique l’élu. «Le culte du libre échange nous rend aveugle à ses conséquences sociales parfois désastreuses. On fonctionne sur la base du moins disant social, déplore-t-il. On ne peut pas vouloir défendre nos territoires sans avoir le souci de l’emploi local. Il faut faire simple et efficace. Pas de travail si l’on ne peut pas parler avec ses collègues, c’est le B-A BA».

    «J’ai construit l’hôpital uniquement avec des entreprises locales, dans un cadre complètement légal. Je pense que ce système pourrait être élargi à tous les contrats publics sans difficulté, et permettrait ainsi de redynamiser l’emploi local», estime Vincent You. 

    Merci à Gaël : Le Figaro
    http://www.contre-info.com/en-charente-le-stratageme-dun-elu-pour-eviter-le-recours-aux-travailleurs-etrangers#more-41166
  • Depuis 2000, deux millions de personnes sont devenues françaises...

    Lu dans Minute :

    "La fable, on la connaît – pour écrire comme Hollande parle. Elle consiste à dire et à répéter, statistiques à l’appui, que les chiffres de l’immigration sont stables. Dans son ouvrage monumental ImmigrationLa Castastrophe, Que faire ? (éd. Via Romana), dont nous rendrons bientôt compte, Jean-Yves Le Galloupulvérise cette thèse.

    La transformation d’étrangers en français, par naturalisation, est un des moyens, et un moyen simple, de modifier la substance de la population française pendant que les statistiques permettent de clamer qu’il ne se passe rien. Par définition, un étranger qui devient français sort de la catégorie des étrangers. Or le rythme des naturalisations est effréné. L’acquisition de la nationalité française se fait principalement de trois manières : par naturalisation, par mariage et par déclaration anticipée (des jeunes qui, sans attendre d’avoir la majorité, font la démarche de devenir français).

    Au total, les différents modes d’acquisition de la nationalité française font plus de 100 000 néo-Français chaque année (il y en eut même près de 170 000  en 2004 !). Depuis le début du siècle, soit depuis l’an 2000, ce sont environ 2 millions de personnes – oui, deux millions ! – qui sont devenues françaises ! En seize ans..."

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • A Calais… C’EST LA GUERRE (vidéo) ! : routiers et automobilistes caillassés, riverains poursuivis avec des couteaux, policiers blessés !

    Suite au démantèlement d’une infime partie de la jungle les clandestins se sont livrés à des violences extrêmes. De nombreux véhicules ont été endommagés, des crs blessés, des citoyens menacés. Telle fut la journée du 29 Février a Calais. Nous nous sommes fait gazer et caillasser pour vous apportez la Vérité.
     

  • « Viol islamique de l’Europe » : la couverture politiquement incorrecte d’un magazine polonais

    pologne.jpg

    Source : OJIM

    La couverture de l’hebdomadaire polonais wSieci paru le 15 février dernier en a fait bondir plus d’un : une femme blanche et blonde vêtue d’un drapeau européen en guise de robe, avec des mains basanées, probablement nord-africaines ou moyen-orientales, l’attrapant par les cheveux, les poignets, les hanches et le décolleté.

    En titre : « Viol islamique de l’Europe » avec, en sous-titre, « Notre rapport : ce que les médias et les élites bruxelloises cachent aux citoyens de l’Union ». Cette couverture renvoie à deux articles : « L’enfer de l’Europe », d’Aleksandra Rybińska, et « L’Europe veut-elle se suicider ? », de Bronisław Wildstein. Il s’agit de deux journalistes conservateurs, aux vues plutôt proches du parti Droit et Justice (PiS) de Kaczyński, actuellement au pouvoir, qui publient régulièrement dans cette revue conservatrice et globalement plutôt favorable au PiS. wSieci (un nom qui signifie « Dans le réseau », écrit en un seul mot) est un hebdomadaire jeune, qui a fait son apparition en 2012. En décembre 2015, il s’est vendu en moyenne à plus de 84 000 exemplaires, ce qui en fait le quatrième hebdomadaire d’actualité en Pologne (le numéro 1 des hebdomadaires d’actualité s’est vendu le même mois à 142000 exemplaires en moyenne). Il a été créé par un groupe de journalistes conservateurs qui ont aussi développé un des plus grands sites d’information de droite en Pologne : wPolityce.pl. Cet hebdomadaire est un habitué des couvertures « chocs » ou « polémiques ».
    La couverture du numéro paru le 15 février a suscité comme on pouvait s’y attendre des réactions négatives dans plusieurs médias internationaux. De manière récurrente, les auteurs des articles traitant ce sujet ont parlé d’un hebdomadaire « ultra-conservateur », « d’extrême droite », « xénophobe » ou « raciste », et ils ont cité les comparaisons avec la propagande fasciste ou nazie d’avant-guerre qui circulaient sur les réseaux sociaux. Cela a été le cas par exemple du site de blogs Big Browser du journal Le Monde, du site Au Féminin, de RT en français, du Huffington Post UK, du journal italien Corriere della Sera et du média public allemand Deutsche Welle. Ce dernier média a toutefois rappelé l’existence d’autres couvertures récentes dans le même style, comme celle du magazine Focus en Allemagne. Le site Breitbart s’est quant à lui fait qualifier d’extrême droite par le Washington Post pour avoir parlé de cette couverture de manière simplement descriptive. Une description de Breitbart reprise par le Daily Mail chez nos voisins britanniques. Côté critiques, les auteurs contestent le message véhiculé en couverture de wSieci qui ferait, d’après eux, référence aux multiples agressions de la Saint-Sylvestre à Cologne. Ils en profitent pour véhiculer l’information fausse lancée par des médias belges sur le fait qu’il n’y aurait que 3 réfugiés parmi les inculpés de Cologne. Ce mensonge, qui avait été rapidement démenti par le procureur de Cologne, est donc utilisé pour discréditer les allégations supposées de l’hebdomadaire polonais. Cette stratégie a été adoptée, entre autres, par Direct Matin, le Washington Post, le journal espagnol El Mundo…

    Le premier des deux articles auxquels la couverture de wSieci renvoie, « L’enfer de l’Europe » (intitulé « Viol islamique » dans le sommaire du numéro), est une liste non exhaustive des nombreux viols et agressions perpétrés depuis la mi-2015 par des demandeurs d’asile ou immigrés de fraîche date contre d’autres « migrants » dans les centres d’accueil et aussi contre des autochtones en Allemagne, au Danemark, en Suède et en Norvège, avec également un rappel des agressions contre les automobilistes, les chauffeurs routiers et les habitants à Calais. En introduction, la journaliste Aleksandra Rybińska affirme que l’on assiste au choc de deux civilisations qui se sont combattues pendant quatorze siècles, et que les musulmans qui viennent en Europe portent dans leur conscience collective le conflit avec le monde européen. Le deuxième article, « L’Europe veut-elle se suicider ? » (« Le suicide de l’Europe » dans le sommaire du numéro), est de la plume de Bronisław Widlstein, un grand nom du journalisme en Pologne et aussi de l’opposition étudiante au régime communiste à la fin des années 70, exilé en France dans les années 80 et revenu en Pologne en 1989. Wildstein rappelle qu’en invitant les immigrés en situation irrégulière à venir en Allemagne, Angela Merkel a violé les traités européens avec le soutien de Bruxelles. Wildstein pose la question de la survie de l’Europe et reproche aux élites européennes de refuser toute discussion sur les implications sociales d’un tel afflux d’immigrants de culture étrangère à la nôtre. Selon les auteurs des deux articles, le principal problème c’est le nihilisme européen et le relativisme des habitants du continent par rapport à leurs propres normes et valeurs traditionnelles, ce qui les rend incapables d’imposer leurs modes de conduite aux nouveaux arrivants : « Les arrivants comprennent que l’Europe contemporaine est un lieu où les croyances et normes anciennes sont mortes. Dans cette situation, ils se réfèrent à la civilisation qu’ils connaissent, c’est-à-dire la leur. ».

    La couverture de l’hebdomadaire porte donc un double sens. Il ne s’agit pas que des viols d’européennes par des immigrants, mais du viol d’une Europe quasi-consentante par le monde islamique. Rien à voir en tout cas avec la propagande fasciste ou nazie d’avant-guerre. La couverture de wSieci reflète la liberté de ton et la diversité d’opinions de rigueur dans les médias polonais. Des médias où la « pensée unique européenne », la « bien-pensance » et le « politiquement correct » ne représentent qu’un courant parmi d’autres.

    http://fr.novopress.info/198868/viol-islamique-leurope-couverture-politiquement-incorrecte-dun-magazine-polonais/

     

  • Les CRS parlent , la guerre civile est imminente

    VEUILLEZ LIRE, NE SERAIT-CE QUE POUR ETRE INFORMES DE CE QUE LES MEDIAS VOUS CACHENT…

    Voici le reportage « Journal d’un CRS » que vous ne trouverez nulle part ailleurs car totalement interdit !

    PAROLES DE POLICIER :  (Prenez le temps de lire jusqu’au bout)

    Ce journal de bord relate le quotidien des missions dont sont chargées nos CRS. Il ne s’agit nullement d’un texte d’anticipation mais de la narration sur le vif du début de la guerre civile qui a commencé sur notre sol. Pour le moment, cette guerre civile est contenue dans le périmètre de

    «La Jungle» à Calais. Comme nous le prévoyons, attendez-vous à ce qu’elle se propage dès que sera donné le signal de l’assaut général. Un assaut minutieusement préparé contre la France. Contre notre civilisation. Contre vous…

    Ce CRS raconte  :

    « Au rassemblement, on nous demande une fois de plus de ne pas dire ce qui se passe ici aux gens que l’on connaît. IL FAUT CACHER LA VÉRITÉ comme l’argent qui leur est donné chaque jour, les 3 repas par jour offerts, la nourriture distribuée directement au camp, les vêtements souvent neufs, le fait qu’ils aient tous, je dis bien TOUS, des smartphones dernière génération (ceux que l’on ne peut pas se payer en travaillant), les soins gratuits à outrance − d’ailleurs je plains les pompiers du coin − le fait qu’ils détruisent une partie de la nourriture qui leur est offerte car ils n’ont pas ce qu’ils ont commandé… »

    Une honte de les garder sur notre sol !

    « La matinée a été longue. Très longue. Le manque de repos sur cette mission commence à se faire sentir. Enchaînement incessant des services à différents horaires… De jour comme de nuit. Qu’il vente, qu’il pleuve, qu’il neige… Enfin… Nous ressentons du dégoût à ne pouvoir faire du travail de police, grandir, ici et là, dans des conditions dangereuses. Nous sommes là et las.

    En surveillance sur une bande d’arrêt d’urgence pendant six heures (endroit où l’on dit que la durée de vie est calculée statistiquement à moins de quinze minutes) constatant, impuissants, que les routiers de tous les pays empruntant cette voie, se moquent de nous, policiers présents… Ils débouchent sur ces voies rapides sans prendre gare aux véhicules déjà sur cet axe, à toute allure, nous rasent sans ralentir, s’engagent devant nos yeux sans respecter les règles de sécurité, les règles de priorité ni le code de la route… Nous sommes frôlés par ces semi-remorques lancés à plus de 90 km/h, ce qui rajoute au mauvais temps, une dimension surréaliste. En d’autres endroits, nous jouons les «cônes de Lübeck», ces fameux cônes en plastique orange aux bandes blanches réfléchissantes, qui servent à matérialiser un accident, un danger ou des travaux, posés devant des trous dans le grillage qui coûte une fortune. À chaque trou bouché ou pas, un ou deux policiers restent là, sous les caprices des éléments et du temps, à attendre une potentielle attaque !

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  • La réalité derrière l’arc-en-ciel de l’Afrique du Sud

    Lorsque le 5 décembre 2013, le gouvernement sud-africain annonce officiellement la mort de « Madiba Nelson Mandela », c’est un hommage quasi-unanime que rend la communauté internationale à celui qui avait contribué par son combat quotidien,  à la chute du système de ségrégation raciale (apartheid), mis en place en 1948. Mais derrière ce manichéisme, dont la presse nous abreuve depuis des décennies, la réalité est moins multicolore qu’elle n’y paraît sous l’arc-en-ciel sud-africain. Décryptage d’un pays qui s’enfonce lentement vers l’explosion.

    Le 27 avril 1994, les premières élections législatives multiraciales portent au pouvoir l’African National Congress (ANC) de Nelson Mandela qui remporte 63% des suffrages loin devant les 20% du très blanc National Party de Frederik de Klerk et  du zoulou Inkhata Freedom Party avec 11% des voix. Après avoir passé 18 ans sur l’île-prison de Robben Island où il était enfermé depuis le procès de Rivonia en 1964, 6 ans dans une prison près de Paarl et ses 2 dernières années en résidence surveillée,  Nelson Mandela prête enfin serment comme le premier Président noir de l’Afrique du Sud. C’est le dernier pays de l’Afrique, dirigé par des blancs (afrikaners), a enfin avoir accordé à sa majorité noire le droit de vote après le Zimbabwe en 1980 et la Namibie en 1990. Avec son arrivée au pouvoir, le pays peut désormais oublier ses 3 ans de guerre civile (1991-1994) qui ont précipité les ethnies les unes contre les autres, les noirs contre les afrikaners ou divisé tous les partis politiques sur les alliances à adopter. L’ANC avait alors basé le programme de sa campagne sur une Afrique du Sud non raciale, sociale et égalitaire.

    Dès le début de sa présidence, Mandela va subir les pressions, non seulement de la part des cadres de l’ANC mais aussi des tenants de l’ancien régime. Les premiers reprochent au héros de la lutte contre l’apartheid et prix  Nobel de la paix d’avoir une attitude trop conciliante vis-à-vis des afrikaners quand ces derniers lui reprochent à leur tour de tenter de supprimer la culture boer. Au sein du gouvernement multiracial qui a consacré la nomination de 2 vice-présidents (Thabo Mbeki pour l’ANC et De Klerk pour le NP), c’est la crispation. Il éclate en juin 1996 après la proclamation de la nouvelle constitution. Aucune des demandes du NP n’a été satisfaite, de l’enseignement libre en afrikaans au droit des patrons de fermer leurs usines en cas de grève. Marginalisé, le NP va se dissoudre en 2004 et laisser ses membres les plus conservateurs, rejoindre le Freedom Front. Ce parti d’extrême-droite de l’afrikanerdom qui avait accepté de rejoindre in extrémis les élections contre la vaine promesse d’un référendum sur la création d’un volkstaat (état)  blanc.

    La mise en place de l’Affirmative action, qui impose un certain quota de blancs, noirs, indiens dans les entreprises, va jeter dans les rues des milliers de petits blancs que l’ancien système protégeait à outrance. Si le gouvernement accélère la construction de centaines de milliers de logements avec accès à l’eau potable, la réforme agraire de redistribution des terres tarde à venir et le programme social est rapidement abandonné au profit d’un choix économique plus libéral. La corruption entre de plein fouet dans le gouvernement avec ce scandale qui va forcer Winnie Madikezla-Mandela à démissionner de son poste de vice-ministre de la Culture, seulement quelques mois après sa prise de fonction. L’épouse de Nelson Mandela est sulfureuse, suspectée d’avoir organisé le meurtre d’un opposant au sein de l’ANC et tient régulièrement un discours très radical qui plaît aux noirs issus des townships mais qui déplaît fortement à l’ANC. La politique étrangère du pays sera un échec palpable qui écornera l’image de Mandela. Lors de son départ du pouvoir (1999), sa présidence est jugée internationalement plus que mitigée. On est loin de l’image édulcorée voulue par le film « Invictus », produit par l’acteur Clint Eastwood, montrant copieusement un Nelson Mandela réussissant à rassembler pacifiquement les ennemis d’hier sous son aile. Les tensions raciales demeurent présentes comme les inégalités sociales qui ont renforcé le pouvoir des principaux syndicats de gauche comme la COSATU.

    L’après-Mandela a vu se succéder le falot Thabo Mbeki (1999-2008)  dont la présidence rejeta  systématiquement en bloc la thèse selon laquelle le syndrome d’immunodéficience ne serait pas lié au VIH, accusant les groupes pharmaceutiques de se faire de l’argent sur le dos de l’Afrique et refusant tous traitements anti-rétroviraux (l’Afrique du Sud a été toutefois  le premier pays d’Afrique à légaliser l’homosexualité).  Puis le fantasque et controversé Jacob Zuma  qui incarne aujourd’hui  « l’appétit insatiable d’enrichissement et de pouvoir qui règne parmi les cadres de l’ANC ». Avec 42% de jeunes de moins de 30 ans, la hausse constante des prix, une croissance en berne,  le népotisme qui frappe le gouvernement,  cette mosaïque d’ethnies et de clans qu’est l’Afrique du Sud menace aujourd’hui d’éclater dangereusement.

    De nouvelles velléités indépendantistes ont refait surface avec des rois traditionnels qui ne cachent plus leur volonté de recouvrir ces indépendances acquises du temps de l’apartheid et qui les avaient érigés en bantoustans autonomes. Une partie de l’électorat noir s’est de nouveau radicalisé (notamment parmi les étudiants qui n’hésitent pas à s’attaquer aux statues représentant des figures du panthéon afrikaner) et a rejoint les rangs du populiste de gauche Julius Malema, dont le mouvement est devenu le second parti d’opposition noir lors des élections de 2014. Expulsé de l’ANC, cet ambitieux politicien, toujours coiffé d’un béret rouge révolutionnaire, ne cache pas son admiration pour Robert Mugabe, président du Zimbabwe (qui a ruiné économiquement son pays), ni sa haine des afrikaners à qui il a promis à chacun une balle. Sa verbe fait mouche auprès des déçus de l’ANC qui peine à réduire ces fameuses inégalités et les townships qui restent encore une mauvaise vitrine de l’Afrique du Sud post-apartheid. Pourtant le pays reste encore très attractif pour ses voisins avec un revers de médaille. L’immigration en masse, notamment dans les régions minières, a provoqué de fortes tensions l’année dernière avec des émeutes anti –migrants ou des grèves qui se sont terminées dans le sang comme avec la répression de Marikana en 2014 (34 morts, 78 blessés).

    La mort de Nelson Mandela a brisé tous les remparts de tolérance que cette figure tutélaire imposait naturellement à l’Afrique du Sud. Si les tensions raciales n’ont pas encore mené le pays vers une guerre civile, les disparités demeurent. Aucune des communautés ne se mélange encore. Pis les afrikaners se sont réfugiés dans des quartiers résidentiels ultra –sécurisés avec la nouvelle classe émergente de de la bourgeoisie noire (Blacks diamonds) ou dans des villes-forteresse, refusant le moindre contact avec des africains (Orania). Avec 45 meurtres par jour en moyenne, le pays reste l’un des états de l’Afrique australe les plus dangereux.  2000 à 4000 fermiers blancs ont été tués depuis 1994. Démobilisés avec la fin de l’apartheid, les anciens guérilleros de l’aile militaire de l’ANC (Umkonto We Sizwe ou fer de lance de la nation) ou du PanAfrican Congress se sont reconvertis en meurtriers. Pour protester contre ce qu’ils considèrent comme « un génocide », les leaders afrikaners ou des chanteurs connus ont lancé conjointement une campagne appelée « Octobre rouge » (2013). Drapeaux de l’ancienne Afrique du Sud, protection des monuments liés à l’histoire boer, les afrikaners (8% de la population) réclame toujours l’établissement d’un Volkstaat.  Le violent assassinat en 2010 du trublion leader du mouvement de résistance afrikaner (AWB), Eugène Terreblanche, a laissé une extrême-droite orpheline mais néanmoins toujours présente dans la vie politique du pays.  Fracturée en divers groupes, elle a essayé d’organiser depuis 1994 des tentatives de déstabilisation, sans grands succès. Son vote est tout aussi divisé  lors des élections et se reporte majoritairement vers le Democratic Party, qui bien que multiracial et premier parti d’opposition, a placé une afrikaner (Helen Zille) à la tête de la province du Cap depuis 2009.

    Leur situation en Afrique du Sud reste pourtant toujours dominante. 80 % des entreprises sont toujours dirigées par des afrikaners, « le chômage touche plus de 25 % de la population noire, contre environ 5 % chez les Blancs », ils ont accès à un meilleur enseignement  et gagne toujours 6 fois plus qu’une famille noire tout comme la communauté indienne d’Afrique du Sud qui dirige les activités commerciales du pays. Mais pour les plus conservateurs d’entre eux qui restent actifs au Freedom Front ou au National Front, les afrikaners sont victimes « d’un apartheid à l’envers » et craignent que le pays ne devienne un nouveau Zimbabwe.  

    En 2016, le pays va donc devoir faire face à d’importants défis. Acteur majeur des BRICS (organisation composée du Brésil, la Russie, l’Inde et de la Chine), l’Afrique du sud connaît déjà de fortes tensions sociales et raciales (en février des émeutes entre noirs et afrikaners ont éclaté sur le campus de l’université de Pretoria), une monnaie (Rand) qui a chuté  et perdu ¼ de sa valeur face au dollar, un président accusé de corruption et contesté au sein même de l’ANC, déjà victime d’une scission de son parti en 2008. Si le pays reste encore un des géants du continent africain, les espoirs des 1994 se sont définitivement envolés. L’Afrique du Sud est désormais au bord de la guerre civile et les élections municipales prévues en août 2016 vont être déterminantes pour l’avenir du pays.  

    La nation arc-en-ciel a définitivement enterré Nelson Mandela ! Elle écrit un nouveau chapitre de son histoire déjà bien tumultueuse.

    Frédéric de Natal

    http://www.vexilla-galliae.fr/actualites/europe-international/1834-la-realite-derriere-l-arc-en-ciel-de-l-afrique-du-sud

  • La vie d’immigré payée par le contribuable français

    Une famille de neuf réfugiés roumains vit depuis plus de cinq ans dans une résidence hôtelière : 5 300 euros par mois payés par le Samu social, donc le contribuable. Au plus grand bénéfice du propriétaire, qui touche avec toutes les familles « relogées » dans sa résidence plus de deux millions d’euros par an. Extrait d’Envoyé spécial du 25 février 2016. Un document à ne pas montrer aux agriculteurs…


    Envoyé spécial. Logés à l'hôtel depuis plus de 5 an pour 5 300 euros par mois.
    Envoyé spécial. Logés à l’hôtel depuis plus de 5 an pour 5 300 euros par mois.

    http://www.medias-presse.info/la-vie-dimmigre-payee-par-le-contribuable-francais/50037