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Marine Le Pen sur le chantage exercé par Erdogan sur l'Union européenne
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ZOOM - Ivan Rioufol :"La guerre civile arrive !"
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Jean-Yves Le Gallou : Défendre l’identité doit redevenir l’alpha et l’oméga de la politique
Source : Boulevard Voltaire
Jean-Yves Le Gallou, Ancien député européen, essayiste, Président de Polémia, vient de publier Immigration : la catastrophe. Que faire ? aux Éditions Via Romana. Non, l’immigration n’est pas une chance pour la France. Explications et solutions. Pour Jean-Yves Le Gallou, au delà de l’arrêt total de l’immigration et d’une nécessaire remigration, il faut replacer la défense de l’identité française et européenne au centre de la politique -
Crise des réfugiés : l’Europe prise à son propre piège
L’Union européenne veut déléguer à la Turquie le soin de gérer la crise des réfugiés, au moment même où Recep Tayiip Erdogan ne cache pas son mépris pour ce que nous sommes collectivement en train de devenir.
« Hier vous nous traitiez de haut. Aujourd’hui vous avez besoin de nous. Nous en profitons, c’est aussi simple que cela ». Mon interlocuteur, un responsable turc, arbore un sourire discret. En l’écoutant dans l’atmosphère feutrée d’un club parisien, un souvenir très lointain me revient à l’esprit. C’était l’été 1970. Pendant près de trois jours dans le grand bazar d’Istanbul, j’avais négocié avec un vieil antiquaire l’achat d’un Coran très ancien. Je revenais chaque jour dans son échoppe et je ne pouvais dissimuler ma fascination, toute esthétique, pour ce livre: la qualité de sa reliure, l’élégance de sa calligraphie, le mystère de sa provenance. J’en fis l’acquisition pour un prix, sans doute très proche de celui initialement demandé.
Comment négocier avec quelque chance de succès, lorsque votre interlocuteur sait pertinemment que vous n’avez pas le choix, que vous vous êtes placé de vous-même, sous sa coupe, par amour d’un objet dans mon cas, par volonté de déléguer à d’autres la responsabilité d’un problème que vous ne savez-pas, ne voulez pas et finalement sans doute ne pouvez vous plus gérer, dans le cas de l’Europe ?
Les spécialistes de la négociation diplomatique retiendront-ils le traitement par l’Union Européenne de la question des réfugiés comme l’illustration la plus parfaite de ce qu’il ne faut pas faire ? Le catalogue le plus exhaustif des mauvaises décisions, prises au mauvais moment et de la mauvaise manière ? Il y a d’abord eu le refus de « voir le problème » ou pour certains de considérer qu’il pouvait vous concerner au nom de la solidarité européenne et des valeurs qui fondent l’Union, ou de manière plus juridique même, au nom des principes que nous nous sommes engagés à respecter et appliquer. Ainsi telle république balte pouvait-elle dire il y a près d’un an par la voix de son représentant le plus éminent : « Les réfugiés ce n’est pas nôtre problème ». Autrement dit, c’est celui de l’Italie et de la Grèce. Pour le formuler plus brutalement encore : nous avons besoin de vous face à la Russie de Poutine, mais n’attendez-rien de nous sur la question des réfugiés. Hier à l’est et au centre de l’Europe, on attendait avec impatience la chute des murs qui séparaient artificiellement l’Europe en deux. Et à partir de 1989 on célébrait les retrouvailles de l’Europe avec son histoire et sa géographie. Mais « l’Europe kidnappée » d’hier, pour reprendre l’heureuse formule de Milan Kundera, est aujourd’hui à l’avant garde, de ce mouvement de repli populiste sur soi-même. Est-ce pour se retrouver émotionnellement plus proche de l’autre membre à part entière de son ex-Empire que l’Autriche semble de plus en plus calquer ses positions en matière de traitement des réfugiés, sur celles de la Hongrie et s’éloigner toujours davantage de celles de Berlin ? N’assiste-t-on pas comme à une forme de compétition entre des pays prêts à adopter des mesures toujours plus restrictives et toujours plus en violation du droit international ?
Soixante et onze ans après la fin de la deuxième guerre mondiale, la plus grave crise des réfugiés que l’Europe ait connu, est en train de constituer le pire des révélateurs et accélérateurs des faiblesses qui sont les nôtres, collectivement et individuellement.
En France, il y a comme une forme de divorce avec la réalité, lorsque l’on voit des jeunes et des syndicalistes défiler dans les rues des grandes villes pour défendre un statu quo intenable et contre productif, et tenir des propos de « petits – retraités » sur la défensive, au moment où, sous des abris fragiles, impuissants à protéger contre la pluie, le froid et le vent, des milliers de réfugiés sont de plus en plus laissés à eux-mêmes. Où est la compassion, où est le rêve, où est la volonté d’exister par et pour de nobles causes qui pouvait animer d’autres générations qui n’étaient pas il est vrai confrontées au problème du chômage, ou pas à ce niveau?
Et que dire de l’Etat Français, qui abrite son mélange de passivité et de cynisme, derrière la promesse « généreuse » d’accueillir 30.000 réfugiés
L’Europe se retrouve prise au piège d’une machine infernale qu’elle a créée de ses propres mains, à force d’égoïsme, de petits calculs et de peur. L’Allemagne d’Angela Merkel n’est pas bien sûr exempte de reproches. Mais la nature a horreur du vide. On ne peut à la fois s’enfermer dans une attitude faite d’attentisme et de replis tactiques et accuser Berlin d’unilatéralisme et d’irresponsabilité lorsque le pays décide de bouger.
Il n’en demeure pas moins que l’idée « d’externaliser » les responsabilités de l’Europe, est d’autant plus préoccupante, qu’elle intervient au pire moment et de la pire des manières. Puisque l’Union n’existe plus ou si peu face à la question des réfugiés, demandons à la Turquie de prendre en charge le problème. Payons-la grassement, cédons à toutes ses exigences, fermons les yeux sur tous ses manquements en matière de démocratie et de droits de l’homme. Nous maintenions fermées hier, les portes de l’Union, à une Turquie qui faisait tout pour se rapprocher de nos valeurs. Nous les entrouvrons aujourd’hui à une Turquie qui ne cache plus son mépris pour ce que nous sommes en train de devenir et qui poursuit elle aussi des objectifs de politique intérieure à court terme. Le président Recep Tayyip Erdogan peut se tourner vers les milieux d’affaires et les classes moyennes supérieures de son pays et leur dire : « Vous ne m’aimez guère, vous condamner ma brutalité et mon cynisme, la concentration de pouvoirs qui s’accélère autour de ma personne, mais regardez cela marche. Personne n’a obtenu plus de concessions unilatérales de l’Europe que moi ».Dominique Moïsi
Dominique Moïsi / Chroniqueur - Conseiller spécial à l'Ifri (Institut français des relations internationales)
Les Echos :: lien
http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuVZZuyEZVSZGGUnDl.shtml
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Le droit du sol élargi !
POLITIQUE (Présent 8564)
En pleine déferlante migratoire, une nouvelle loi sur l’immigration votée en douce dans le dos des Français le 8 mars à l’Assemblée prévoit d’élargir le droit du sol aux frères et sœurs d’individus nés en France, mais également de régulariser les clandestins malades.
Pendant qu’on nous endormissait avec la Journée de la Femme et que des députés hommes se préoccupaient de se faire prendre en photo (dans un studio professionnel) avec du rouge à lèvres, une Assemblée aux trois quarts vides – une dizaine de députés socialistes, aucun député FN et un seul député Les Républicains – votait une loi accélérant le processus d’immigration invasion.L’article 59 de ce texte ouvre la nationalité française à leur majorité, aux personnes vivant sur le territoire français « depuis l’âge de six ans et ayant suivi leur scolarité obligatoire en France […] lorsqu’elles ont un frère ou une sœur ayant acquis la nationalité française par le droit du sol ». Il s’agit d’une nouvelle forme d’acquisition de la nationalité française, un droit du sol indirect en somme, transmis par le lien de fratrie. Le droit du sol français pourra donc désormais s’appliquer à des personnes nées à l’étranger !
Cette loi permet également à un clandestin malade d’être automatiquement régularisé dans le cas où « l’offre de soins et les caractéristiques du système de santé dans le pays dont il est originaire » ne lui permettent pas d’y être soigné. C’est-à-dire également s’il n’a pas les moyens personnels d’accéder aux soins dans son pays. On mesure le vaste appel d’air. Et que doivent faire les sans-dents et les sans-yeux qui n’ont pas les moyens d’accéder aux soins en France ? Ils vont se faire poser des bridges en Gambie ?
Cette loi frénétiquement immigrationniste dont plusieurs articles affaiblissent également le dispositif de lutte contre l’immigration irrégulière, accélère encore le processus du remplacement. Elle est passée dans le silence le plus total des médias et des politiques, lesquels du Front national aux Républicains disent vouloir revenir sur le droit du sol et l’acquisition automatique de la nationalité française.
L’hémicycle était vide.Caroline Parmentier
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I-Média S03E06 I-télé Europe 1, bobard calculette sur les migrants.
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Les idées endroit n°8 : Communautés et communautarisme
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Ma classe verte dans la jungle de Calais
FRANCE (Présent 8563)
Une idée de scénario pour le clan des Bordesoule : une adolescente de 16 ans que je connais bien part en voyage scolaire en Angleterre avec 50 élèves de classe de première. Son, car démarre d’un lycée des Yvelines vers minuit et longe la jungle de Calais dans la nuit, au bord de la rocade d’accès au port. Là, il est rattrapé à la course par des dizaines de migrants qui tentent de monter dedans.
Effroi des lycéens et du chauffeur, policiers partout, bus fouillé de fond en comble (immobilisé obligatoirement pendant neuf heures à Douvres). Et interdiction formelle pour les élèves de prendre des photos comme dans toute dictature qui se respecte ! Quand on connaît la propension actuelle des jeunes à photographier tout et n’importe quoi avec leurs téléphones ou leurs tablettes on imagine la pression des profs qu’il a fallu déployer pour obtenir ce black-out.On a vu plusieurs fois des images (autorisées) de la jungle de Calais à la télévision, on sait que les migrants tentent de prendre d’assaut les camions, mais quel média a parlé du risque et du préjudice pour les voyages scolaires des enfants français ? Que se passera-t-il si le car roule sur un migrant ? Ou pire (pardon de graduer mes catastrophes) si le car scolaire a un accident pour les éviter et que des élèves sont tués ou blessés ? Qui sera responsable selon vous, à part nos dirigeants européens et français qui ont installé cet état de fait ?
Preuve que la situation est devenue dangereuse en effet, on évacue la jungle de Calais malgré toutes les pressions bien-pensantes. Mais les migrants s’éparpillent ailleurs. Et on entend de plus en plus ici ou là : maintenant qu’ils sont là, il va bien falloir les garder, bien obligé, que va-t-on en faire sinon ?
On nous a déjà fait le coup avec l’immigration massive légale. Et on les a tous gardés. Il s’agit de clandestins, entrés illégalement, de force, il y en a des millions annoncés pour le printemps. Il s’agit d’une invasion. Qu’on arrête de les loger, qu’on arrête l’aide médicale d’État qui coûte un milliard d’euros par an et qu’on suspende immédiatement Schengen, comme d’ailleurs les traités le prévoient lorsqu’il existe un danger important ! À votre avis ils sont combien de candidats à tenir très précisément ce discours ?
Moi en tout cas j’ai fait mes primaires.Caroline Parmentier
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DEBOUT ! (par Luc Sommeyre)
Après de laborieuses mises au point, consultations et préparatifs, je suis en mesure aujourd’hui de fixer le départ de mon tour de France dans le cadre de l’Opération Rémora aux alentours de la fin de la semaine prochaine.
Nombre de nos lecteurs, pour la plupart anciens cadres des CVR [1], ont été informés depuis plusieurs semaines de ces microcontacts amicaux que j’entends tenir partout en France dès avant la Fête de Jeanne d’Arc, le 1er mai. Je rencontrerai volontiers toute personne désireuse d’approfondir ce qui suit mais je ne suis pas « une institution ». Raclant les fonds de tiroir, je ne suis financé par personne et sollicite simplement de pouvoir être hébergé à chaque halte. Mes moyens personnels ne me permettent pas, seuls, de subvenir à une telle entreprise. Vous pouvez aisément me contacter pour tout renseignement complémentaire à mon adresse figurant en bas d’article.
Attention ! Pour user du langage populaire, je n’ai pas « la grosse tête ». J’ai conscience bien au contraire d’avoir tout autant à apprendre de vous que réciproquement, voire davantage. Pour autant, une certaine expérience de terrain et les conseils d’amis plus qualifiés que moi dans les techniques de la guerre contrerévolutionnaire, font que nos rencontres et nos séances de travaux pratiques en commun pourront être l’un des éléments déclenchants de la Résistance Française.
Résistance à quoi ? – Si vous vous posez cette question, il est inutile que nous nous rencontrions. Je vous ferais perdre votre temps qui est sans doute précieux. Là n’est pas mon objectif.
À l’endroit « des autres »… À l’endroit de celles et de ceux qui passeront l’épreuve du miroir, à l’endroit de celles et de ceux qui oseront se jurer fidélité dans le silence de leur âme, poussés par cette vibration incoercible qui les appelle, sans haine, à la mission sacrée de la défense notre Patrie, de notre Race et de notre Civilisation (sans oublier l’avenir de nos enfants) j’éprouverai un immense plaisir à partager quelques moments où nous nous apprendrons mutuellement ce que veut dire « être une Femme » ou « un Homme ». Avoir essayé de faire quelque chose sera mon salaire. J’ai conscience de mes limites et me retirerai du devant de la scène dès que des Hommes plus habiles et qualifiés que moi ranimeront la flamme de la Résistance.
LE MONDE
« La situation », au plan national comme dans le concert des Nations du Monde, glisse aujourd’hui sur l’asymptote du drame shakespearo-wagnérien que nous allons vivre tous ensemble à notre corps défendant. Cette fois, nous n’en serons pas les spectateurs mais les acteurs. Toutes et tous. Jeunes, âgés, de quelque condition que nous soyons. Du Général le plus puissant à l’Employé le plus modeste. De l’Avocat le plus écouté à la Petite-main d’un atelier de couture. Du Médecin le plus éminent au Manœuvre le plus obscur dont notre société ne sait pas qu’il a un cœur. Du noble Paysan au bord du suicide à l’Ouvrier métallurgiste écrasé par les soucis de chaque jour… Nous sommes tous sur un pied d’égalité.
Si Donald Trump emportait les Présidentielles aux États-Unis, nul doute qu’il s’entendrait à merveille avec Vladimir Poutine, rééquilibrant avec bonheur toute la géostratégie mondiale dans le sens du Bien, chacun préservant les intérêts des Peuples qu’il dirige. Fassent les Dieux que Monsieur Trump ne soit pas assassiné au mois d’août. Ni après…
L’AFRIQUE DU NORD
« La situation » s’envenime chaque jour. L’État Islamique a métastasé en Libye. Les barbares se sont quasiment emparés du sud de la Tunisie, jadis l’un des pays arabes les plus modernes et tolérants. En Algérie, la SM [2], organisation pourtant puissante et bien constituée, pousse des cris d’alarme. L’armée algérienne ne pourra tenir bien longtemps devant l’invasion massive des barbares et le réveil des cellules dormantes disséminées dans les villes, cachés jusqu’au fond des douars et des replis des djebels.
Cliquez sur l’image ci-dessus pour visionner la vidéo (04:20)
Vous avez aimé les feuilletons tournés sur l’Adriatique ? – Vous allez adorer le scénario qu’on prépare en Méditerranée.
LA FRANCE
Le sud de l’Italie va être touché en premier. Bientôt, sur les rivages de Provence et du Languedoc, vont s’échouer des bateaux entiers, débarquer des dizaines de milliers de « réfugiés » ou prétendus tels, dont la masse cachera de nombreux commandos, bien entraînés par l’État Islamique. Comme dans Le Camp des Saints, la pusillanimité du gouvernement cachera la panique de nos édiles en fuite. Pour limiter la casse au nom de je ne sais quelle utopie mortifère, les Forces de l’Ordre recevront consigne d’écraser les mouvements de la Résistance. Mais dites-moi… les Forces de l’Ordre ne sont-elles pas constituées d’hommes et de femmes comme vous et moi ? Sans doute, des commissaires politiques adroitement placés aux postes-clés s’efforceront-ils de les exhorter à obéir aveuglément aux « ordres reçus ». – Oui. Jusqu’au point de rupture où la visière du casque ne pourra plus masquer à l’homme qui le porte la vision de son Devoir d’Homme. Et je ne parle pas de l’Armée Française où l’on évoque à voix de moins en moins feutrée la théorie des Baïonnettes Intelligentes… En son article 122-4 § 2, le Code Pénal ne prévoit-il pas que « N’est pas pénalement responsable la personne qui accomplit un acte commandé par l’autorité légitime, sauf si cet acte est manifestement illégal » ? OÙ SE SITUE LA LIMITE DE LA LÉGALITÉ ?
J’enjoints ardemment à toutes et à tous de se conformer à la légalité républicaine la plus stricte. Je recommande à toutes et à tous de ne pas se laisser aller à des propos publics imprudents qui marquent leur effroi devant la situation dramatique : « il vaut mieux passer pour un con que pour une cible ». Tel est le slogan majeur de l’Opération Rémora. Une cible, en effet, peut être touchée. Et une cible touchée n’est plus opérationnelle.
Relisez quand même le document RÉSISTANCE, sommaire incomplet de la conduite à tenir dès aujourd’hui.
J’invite les plus conscients et les plus déterminés d’entre nous à étudier deux ouvrages essentiels du Colonel Pierre Château-Jobert : La Confrontation Révolution-Contrerévolution et Doctrine d’action contrerévolutionnaire, ouvrages de base denses et pragmatiques. Dans la bouche de Conan, la « révolution » représente ce Système diabolique que nous subissons au goutte-à-goutte sans nous en apercevoir : la “Bienpensance” et le “Politiquement Correct” si vous préférez. La « Contrerévolution », elle, est ce qui nous anime tous : le rétablissement de l’Ordre Naturel, Ordre Chrétien pour Château-Jobert qui était un Croyant fervent, pratiquant et honnête à l’endroit de lui-même. Pour autant, les Païens de Tradition comme Votre Serviteur s’y reconnaîtront sans peine.
Vous n’avez qu’un tort : celui d’être Français. Celui de vouloir conserver et faire prospérer notre héritage culturel. Je pense d’abord aux Français de souche bien sûr, mais aussi tout autant à ces Français d’adoption de toutes races et de toutes confessions, qui respectent la Terre où ils vivent et se conforment à nos Lois et Coutumes qu’ils ont fait leurs en bonne intelligence.
Des Héros vont surgir de nos rangs et monteront aux murs de nos villes. L’air des remparts est plus pur que celui des caves pestilentielles où depuis longtemps déjà, se sont entassés les traîtres et les lâches.
Ceci n’engage que moi bien sûr : « je ferai Camerone ».
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Gaël Rougemont était en situation de légitime défense
Défendu gratuitement par Gilbert Collard, Gaël Rougemont ne sera pas poursuivi par la justice alors que la classe médiatique l'avait déjà condamné :
"Un mois et demi après les faits, le procureur de la République de Boulogne-sur-Mer Jean-Pierre Valensi indique à metronews que finalementGaël Rougemont ne sera pas poursuivi.
Le samedi 23 janvier, en marge d'une manifestation organisée dans la ville du Pas-de-Calais, une violente dispute avait éclaté entre ce jeune Calaisien, son père David, et des migrants et leurs soutiens (...) Excédé par la situation, le jeune homme, âgé de 21 ans (...) était alors retourné à l'intérieur de la maison et en était ressorti avec un fusil avec lequel il avait menacé la foule. Placé en garde à vue, Gaël Rougemont avait indiqué aux enquêteurs que l'arme était un fusil Airsoft qui n'était pas chargé (...)
"Il n'y aura aucune poursuite à l'encontre de Gaël Rougemont. Tout d'abord, parce que le jeune homme a été agressé. Ensuite, parce que le fusil qu'il a brandi n'était pas chargé. L'affaire est classée sans suite pour légitime défense", précise Jean-Pierre Valensi" à metronews.
Joint par metronews, Gilbert Collard, qui avait accepté de défendre gratuitement Gaël Rougemont, n'a pas hésité à ironiser sur cette décision. "Une fois de plus, il y a eu beaucoup d'insultes pour rien. Je pense à de nombreux médias, notamment du Nord, qui n'avaient pas hésité à traiter mes clients de fascistes. Vous imaginez le nombre de procès en diffamation que je vais devoir faire !, déclare l'avocat (...)"
A part Gilbert Collard (RBM), peu de personnalités politiques avaient pris le risque de soutenir Gaël Rougemont à l'exception du parti de la France de Carl Lang très présent à Calais...
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