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immigration - Page 1110

  • Le Grand Remplacement, une arme politique de la gauche libérale-libertaire

    L’élection, sous l’étiquette travailliste, du nouveau maire de Londres, Sadiq Kahn, un musulman d’origine pakistanaise, illustre un autre aspect du Grand Remplacement des Européens : sa dimension politique.
    La gauche, c’est-à-dire l’oligarchie libérale/libertaire qui a pris le pouvoir à la fin des années 1980, a en effet misé partout sur l’immigration et les « minorités » pour assurer son emprise politique sur la société – et réduire au silence les autochtones.
    Elle a organisé le Grand Remplacement et elle compte désormais en tirer un avantage politique décisif.
    La gauche a misé partout sur l’immigration de peuplement
    Aux Etats-Unis c’est la ligne adoptée par le Parti démocrate qui a assuré l’élection de Barak Obama, alors que la majorité des électeurs d’origine WASP avait apporté ses suffrages au candidat républicain.
    La candidate démocrate probable aux futures élections présidentielles américaines, Hillary Clinton, mise de même sur le vote des « minorités » afro-américaines et hispaniques, qui deviennent d’ailleurs majoritaires dans certains états : elle ne rate donc jamais une occasion de se faire filmer bien entourée de personnes de couleur ou d’origine mexicaine.
    En Grande-Bretagne le Parti travailliste a repris des forces en misant sur le vote des personnes d’origine immigrée. A Londres, Sadiq Kahn a ainsi mobilisé 56,8% des électeurs, soit le meilleur score travailliste depuis des années.
    En France le Parti socialiste a fait de même depuis le lancement de l’opération « SOS Racisme » en 1984. Différentes analyses montrent que François Hollande lors des présidentielles de 2012 a massivement bénéficié du vote des électeurs musulmans.
    Si les partis de droite courent aussi après cet électorat, la gauche rafle partout la mise. Car une étroite symbiose s’est établie entre la gauche et le Grand Remplacement.
    Le Grand Remplacement au service de la Grande Trahison libérale/libertaire
    Par un heureux hasard, en effet, la gauche a choisi de défendre l’immigration au moment même où elle se ralliait au néo-libéralisme mondialiste.
    L’immigré a alors remplacé le prolétaire dans la symbolique doloriste et le discours de gauche. Avec cette différence notable que l’immigration est au service du capitalisme mondialisé, alors que le prolétariat devait annoncer la fin du capitalisme national.
    La promotion de Big Other, pour reprendre l’expression de Jean Raspail, a masqué la grande trahison de la gauche qui s’est opérée à la fin du XXe siècle, quand la gauche a renoncé à toute volonté de remettre en cause le système capitaliste, à la suite de l’effondrement de l’URSS et du communisme européen.
    La promotion bruyante des « droits » et des prétendus malheurs des potes/immigrés « victimes-du-racisme-et-des-discriminations » a servi à masquer la déconstruction méthodique des droits sociaux des travailleurs européens, opérée au nom d’un néo-libéralisme auquel la gauche européenne s’est ralliée, comme le montre en France la « gauche Macron ».
    Et la lutte contre le « racisme » a servi à mettre en accusation ceux que l’on trahissait : les peuples autochtones. Du grand art…
    Un changement de sens significatif
    La promotion du Grand Remplacement a servi à détourner l’attention de la Grande Trahison des élites de gauche, qui ont abandonné les peuples autochtones à la dure loi du marché mondialisé.
    De fait dans le vocabulaire de la gauche les mots « populaire » ou « social » ont changé de sens.
    Un « quartier populaire » ne désigne plus une zone de résidence où vivent des gens issus de notre peuple mais, au contraire, une zone peuplée de personnes issues de l’immigration. Et la « mixité sociale » n’a plus rien à voir avec les classes sociales : elle n’est en réalité qu’une cohabitation ethnique ou religieuse que l’on veut imposer.
    Ce changement sémantique traduit le changement de perspective politique de la nouvelle gauche libérale/libertaire.
    Un réservoir électoral convoité
    L’immigration constitue en outre un réservoir électoral d’autant plus convoité à gauche que celle-ci est sur le déclin puisqu’elle a perdu sa raison d’être révolutionnaire et populaire et qu’elle a abandonné les classes moyennes.
    C’est, en France, la stratégie préconisée par la Fondation Terra Nova : alors que les classes populaires se tournent vers le Front national, la gauche doit miser électoralement sur les « minorités », qu’elles soient immigrées, ethniques, religieuses ou sexuelles.
    Cette stratégie de niches électorales ne manque pas de cohérence ni d’efficacité compte tenu du vieillissement de la population, du déclin de la classe ouvrière du fait de la désindustrialisation, et du dynamisme démographique des électeurs issus de l’immigration et/ou de religion musulmane.
    La gauche instrumente le Grand Remplacement à des fins politiciennes
    D’où l’attitude systématiquement bienveillante de la gauche vis-à-vis du communautarisme, notamment musulman, qui serait « tout-à-fait-compatible-avec-les-valeurs-de-la-République ». D’où aussi une politique de naturalisation plus que généreuse, car la fabrique de Français de papier permettra de bourrer les urnes demain. D’où aussi la « politique de la ville » destinée à acheter à la fois la paix sociale mais aussi les futurs électeurs. D’où aussi la menace, sans cesse évoquée à gauche, d’une ouverture du droit de vote aux résidents et non pas aux seuls citoyens.
    D’où aussi enfin la volonté de diaboliser tout débat sur l’immigration ou l’islamisation, afin d’empêcher de remettre en cause ce fonds de commerce électoral de l’oligarchie libérale/libertaire – et les intérêts économiques qu’il recouvre.
    L’immigration compte aussi sur la gauche

    En contrepartie, les électeurs d’origine immigrée ont tendance à apporter leurs suffrages aux partis de gauche car ceux-ci sont à la fois les plus laxistes en matière de régulation de l’immigration et les plus redistribuants en matière de prestations sociales.
    En votant pour les partis de gauche ils votent donc en réalité pour plus d’immigration, c’est-à-dire pour peser encore plus dans la société.
    Ceux qui, à droite, pensent que les « réformes sociétales » ont compromis l’image de la gauche auprès de cet électorat s’illusionnent. Car la population d’origine immigrée reste pour l’essentiel étrangère au déclin des mœurs qu’elles induisent : elle continue de croire à l’autorité paternelle, à l’inégalité homme/femme, à se marier et faire des enfants, à la différence des bobos décadents.
    Plus prolifique et dotée de parentèles et de croyances solides, la population d’origine immigrée profite en réalité du déclin sociétal des autochtones pour imposer ses préférences.
    L’oligarchie : le parti de l’étranger
    En d’autres termes, l’alliance entre la gauche et l’immigration se situe pour le moment dans une logique gagnant/gagnant pour chacune des parties : la gauche engrange des suffrages et l’immigration prospère. Cette alliance a donc toutes les chances d’être durable à moyen terme, car la France d’en bas, seule, subit la catastrophe migratoire.
    L’oligarchie est donc bien devenue, dans tous les sens du terme, le parti de l’étranger : le parti de ceux qui misent sur les étrangers pour asseoir leur pouvoir et qui servent des intérêts de plus en plus étrangers à ceux de leur peuple.
    L’oligarchie escompte bien aussi que l’évolution démographique permettra de marginaliser la révolte identitaire et populaire qui s’annonce partout en Europe : car du fait du Grand Remplacement, le temps politique dépend désormais du temps démographique. Et celui-ci est de plus en plus compté aux Européens.
    A un an des échéances présidentielles de 2017, il serait temps d’en prendre conscience en France aussi.

    Source initiale : Polémia : http://www.polemia.com/le-grand-remplacement-est-aussi-une-arme-politique-au-service-de-la-gauche-liberalelibertaire/

    La dissidence française :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuyykkZplAyRJDhdDU.shtml

  • Déréliction occidentale versus islam conquérant

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    Dr Bernard Plouvier

    Certains commentateurs semblent percevoir de-ci de-là un frémissement d’auto-défense des Blancs dans leurs territoires envahis d’allogènes violents, frustes et fanatiques. Ni la situation des USA, ni celle de l’Europe occidentale et scandinave ne paraissent entrer dans ce schéma, qui s’avère exact en Europe danubienne et orientale.

    Ne serait-ce pas du côté de l’intolérance qu’il faudrait chercher la cause de cette différence de comportement ? Une foi - politique ou religieuse, c’est tout un – procure l’impression forte de mener le bon combat, avec son corolaire : une tolérance très faible, voire nulle, pour le déviant social ou l’ennemi idéologique.

    L’angoisse existentielle pousse la plupart des humains à se croire, sinon indispensables, du moins utiles à la marche de l’Univers, à se représenter comme étant un chaînon, minuscule mais nécessaire, entre l’Alpha (l’origine de l’Univers) et l’Oméga (le glorieux finale où triomphe le Bien, ou quelque autre grand principe analogue). C’est la raison d’être de toute religion ; c’est ce qui assure la pitance et l’importance sociale des clergés.

    Mais la grande aventure politique procure exactement la même sensation, amputée de la notion d’éternité, puisque l’espérance de vie de chaque grande civilisation dépasse rarement quelques siècles. À l’échelle humaine, c’est déjà beaucoup, suffisamment pour y engager son existence. Après tout, il est assez peu de grandes causes qui procurent un sens à la vie.

    Beaucoup d’humains revendiquent une récompense surnaturelle, puisqu’il n’y a pas grand-chose à espérer de la reconnaissance de ses congénères et fort peu de la justice immanente. Les religions apportant une espérance eschatologique (un Paradis après la mort du corps) seront toujours achalandées : le triomphe actuel de l’islam, religion médiévale et à très faible valeur intellectuelle ajoutée, prouve à quel point l’obscurantisme n’effraie pas le chaland, si on lui offre en contrepartie la carotte paradisiaque.

    D’autres humains se satisfont de la notion du devoir bien accompli, la difficulté ayant toujours résidé dans l’objet de ce devoir. Le XXe siècle, qui fut celui des grandes expériences politiques, s’est achevé par la ruine des populismes impérialistes, fondés sur la lutte des races et la lutte des classes. On peut biffer ces expériences, sans refuser d’en tenter d’autres : aucun savant digne de ce nom n’a jamais renoncé à poursuivre sa quête parce qu’une hypothèse s’était avérée fausse.

    Le manichéisme des totalitarismes (religieux ou politique, on le répète : le phénomène est de même essence) enchante les esprits primaires : l’antithèse entre les « bons » et les « méchants » a toujours fait recette. C’est comme cela que les Alliés ont axé leur propagande débile durant les deux guerres mondiales du XXe siècle ; ce fut également le credo de la « guerre froide ». C’est comme cela que fonctionne l’actuelle religion de conquête, l’islam. Ce système ami-ennemi, simpliste et rudimentaire puisque faisant appel à l’archéo-cortex, sera toujours d’un excellent rapport sociologique, alimentant la cohésion du groupe et stimulant son ardeur combative.

    Toute civilisation décline quand elle baisse sa garde, tolérant la pensée d’allogènes. Tout ce qui est à la fois mal défendu et raffiné cède devant la force brutale du barbare agressif et avide. Le retour en force de la grande politique doit s’accompagner d’une vigoureuse intolérance envers l’ennemi. Sans objectif et sans ennemi, aucune collectivité n’est dynamique… on n’a pas attendu les théoriciens du XXe siècle pour s’en rendre compte.

    Depuis la plus haute Antiquité, l’alternative est inchangée, parce qu’il s’agit de l’unique vérité historique, universelle et diachronique : ou l’on accroît sa puissance ou l’on périt, la stagnation n’est que le début de la chute.  

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  • Un policier et sa femme assassinés chez eux par un jeune Maghrébin islamiste

    Un commandant de police et sa compagne ont été tués lundi soir à leur domicile à Magnanville, dans les Yvelines, devant leur enfant de 3 ans.

    L’assaillant, Larossi Abballa, connu de la justice française, a été abattu lors de l’assaut du Raid.

    Ce djihadiste était un jeune maghrébin de 25 ans. Il était connu des services de police et résidait à Mantes-La-Jolie, a précisé BFM TV.

    Larossi Abballa avait notamment été condamné en 2013 pour “association de malfaiteurs en vue de préparer des actes terroristes”. La filière jugée s’était donner pour but de favoriser le recrutement en France, la formation physique et idéologique et l’envoi au Pakistan de jeunes volontaires pour le jihad armé.

    Larossi Abballa avait alors écopé de 3 ans de prison, dont 6 mois avec sursis, et mise à l’épreuve pendant deux ans, précise BFM TV. Il avait alors été jugé avec sept autres prévenus. Dans la nuit, l’État islamique a revendiqué le double meurtre des policiers des Yvelines et affirmé que l’auteur des assassinats était un de ses combattants.

     
  • L’Etat Islamique revendique l’attaque d’Orlando

    Alors que le bilan de la tuerie de la boîte de nuit sodomite d’Orlando est porté à 50 morts, l’agence de communication « Amaq » revendique l’attentat.

    Revendication ENG

     
  • DES MAINTENANT : RETENEZ CETTE DATE

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    On en reparle...

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  • Ivan Rioufol : À Nice, la charia ne passera pas

    Dans ce billet d'humeur qu'on ne peut qu'approuver [Figarovox, 8.06] Ivan Rioufol réagit au récent incident survenu à Nice : une serveuse a été frappée par deux hommes pour avoir servi de l'alcool pendant le ramadan.

    Les féministes, les démocrates, les républicains, la gauche, la droite ... ont-ils si peu à dire devant les intimidations de l'islam radical qui veut imposer la charia ? Cette fois, c'est une serveuse d'un bar du centre de Nice qui a été violemment agressée par deux hommes, lundi au premier jour du ramadan, parce qu'elle servait de l'alcool. L'un d'eux, en arabe : « Tu devrais avoir honte de servir de l'alcool en période de ramadan (…) Si j'étais Dieu, je t'aurais pendue ». Elle (musulmane, pratiquant aussi le ramadan) : « Tu n'es pas Dieu pour me juger ». Les deux hommes feignent de partir, puis l'un revient et gifle à toute volée la jeune femme qui s'effondre. Elle explique à l'Obs : « Ce n'est pas parce que je sers de l'alcool que je n'accomplis pas mon devoir. Si je le fais c'est parce que je suis serveuse. En Tunisie, j'exerçais le même métier et je n'ai jamais eu le moindre problème. Je ne pensais pas qu'en France, pays de libertés, je puisse être agressée pour ça ». Les indignés ne se bousculaient pas, ce mercredi, pour dénoncer cette violence machiste et obscurantiste, dont l'un des auteurs serait de surcroit un étranger en situation irrégulière. Il est vrai que cette terreur intégriste est déjà le quotidien des cités françaises gagnées par le salafisme et par l'emprise des Frères musulmans. Cela fait des années que la République, désarmée et conciliante avec les minorités, recule devant ce totalitarisme islamiste qui a pour objectif revendiqué de dominer l'Occident droit de l'hommiste, y compris sur son propre sol. Les féministes de salon, qui le 15 mai annonçaient face au sexisme : « Nous ne nous tairons plus », sont de ces innombrables tartuffes qui rampent devant l'islam politique, qui se comporte de plus en plus comme en terrain conquis. Qu'attendent-elles pour déclarer, à la barbe des illuminés : « La charia ne passera pas ! ».

    Ce renoncement à résister au nazislamisme, soutenu par une extrême gauche qui voit dans le musulman le nouveau damné de la terre, est évidemment la pire des solutions pour éviter l'affrontement civilisationnel. A ce compte, en effet, la France millénaire est vouée à disparaître à terme sous un multiculturalisme laissé à la loi du plus fort, du plus brutal. Ce sont ces risques que je décris, dans La guerre civile qui vient (Editions Pierre-Guillaume de Roux, mars 2016). Si les médias audiovisuels maintiennent l'omerta sur mon essai, je constate que Gérald Darmanin, maire LR de Tourcoing (nord), partage pour sa part l'analyse. Il déclare (l'Opinion, lundi) : « Non seulement la guerre civile couve mais, si elle advient, est sera la pire de toute : elle sera religieuse ». Il serait loisible de discuter ce point : je crois cette guerre davantage politique que religieuse, dans la mesure où elle défend un projet de société cohérent défendu par un islamo-gauchisme qui consolide ses alliances. Mais Darmanin à raison, quand il met en garde contre la montée en puissance des exigences communautaires, qui se multiplient dans l'indifférence des politiques. C'est ainsi que vient d'être lancée, sous les encouragements d'Edwy Plenel (Médiapart), Téléramadan, « la revue des musulmans qui en ont marre de s'excuser d'exister ». Ses promoteurs (dont Mouloud Achour, ex-animateur sur Canal +) écrivent : « Nous sommes le Grand Remplacement. Sûrement pas celui que les fous peuvent fantasmer. Nous sommes un grand remplacement naturel (…). Nous sommes le Grand Remplacement d'un système archaïque (…) ». Renaud Camus ne dit pas autre chose. Au fait, Téléramadan prendra-t-elle la défense de la jeune femme humiliée par ces brutes?   

    Ivan Rioufol 

    Ivan Rioufol est éditorialiste au Figaro. Retrouvez ses chroniques sur son blog.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Il veut faire cesser des insultes anti-françaises, il est poignardé !

    Le racisme décomplexé d’aujourd’hui se conjugue avec la haine de la France.

    Si les faits sont importants, l’analyse des données apporte souvent plus de matière.

    C’est ce qui transparaît dans un article du Parisien du 8 juin : « Mardi 17 mai, vers midi, alors qu’il voyageait dans une rame de la ligne 4 du métro, un usager a tenté de faire cesser les agressions verbales d’un individu virulent qui tenait des propos anti-français envers un passager. »

    L’intérêt de cette phrase est triple. Elle démontre que le racisme décomplexé d’aujourd’hui se conjugue avec la haine de la France. Il faut être L’Obs ou Libé pour récuser ce phénomène. Le passager qui a subi ces insultes a préféré se taire et ne pas répondre aux attaques verbales. On le sent, dans le métro comme ailleurs : la peur règne sur la ville et nombreuses sont les personnes qui préfèrent rester silencieuses plutôt que d’être traitées de racistes ou de prendre un mauvais coup. A contrario, on peut encore être optimiste : il s’est trouvé un irréductible « Gaulois » pour refuser l’invective en faisant fi des risques.

    Le gouvernement a souvent donné des Légions d’honneur pour moins que cela !

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  • Ne dites plus « grand remplacement » mais « dynamique de peuplement » !

    Le « grand remplacement » ? Quel « grand remplacement » ? Scandalisée par la récente couverture du Figaro Magazine sur Saint-Denis, qualifiée de « Molenbeek-sur-Seine », deux militantes politiques déguisées en journalistes, Sihame Assbague et Widad Ketfi, viennent de livrer à Acrimed une prétendue « contre-enquête » sur la préfecture de Seine-Saint-Denis, présentée comme un modèle de «  travail de journalisme de terrain ». La bonne blague !

    Parmi les très nombreuses critiques que Sihame Assbague et Widad Ketfi portent sur le reportage du Fig Mag figure celle d’avoir écrit qu’il devient difficile de trouver de la viande qui ne soit pas halal à Saint-Denis. Faux ! s’exclament-elles, car « en se renseignant, auprès des Dionysiens ou de Google » (sic), on trouve une charcuterie tout près de la mosquée et… « au moins deux autres boucheries vendant de la “viande non halal“, un peu plus loin dans la ville » ! « Un peu plus loin » comment ? Au bout de la ligne de bus ? Deux boucheries traditionnelles donc – on n’ose écrire « normales »… – dans une ville de plus de 100 000 habitants et il faudrait se réjouir ?

    Fières de leur trouvailles sur Google, Sihame Assbague et Widad Ketfi écrivent alors :

    « Ce qui se “cache“ derrière le marché du halal, ce n’est pas la main invisible du “grand remplacement islamique“ mais celle de… l’offre et de la demande mue par des dynamiques de peuplement s’expliquant, elles-mêmes, par des facteurs historiques, sociaux et politiques. »

    Mais dites, Mesdames, cette « dynamique de peuplement », n’est-ce pas justement ce qui entraîne le « grand remplacement » ? Vous avez quatre heures.

  • Ramadan : une élue FN porte plainte pour menaces de mort sur les réseaux sociaux

    Dimanche 5 juin, Isabelle Surply, conseillère régionale et responsable du canton de Rive-de-Gier au FN Loire a relayé sur Twitter « un message d’un internaute mécontent des hommes politiques qui souhaitent un bon ramadan aux musulmans, où il parlait d’eux en les traitant de collabos ».

    Depuis, explique l’élue, « j’ai reçu un nombre de réactions incroyables, des menaces de me tuer, me défigurer, me violer. Même des menaces sur mon fils ». Devant cette déferlante, Isabelle Surply a déposé plainte ce vendredi 10 juin au commissariat du 2e arrondissement de Lyon.

    Le Progrès


    Marianne : Souhaiter un « bon ramadan » aux musulmans ? Un acte de « collabo », relaie cette élue FN

    http://www.fdesouche.com/739441-ramadan-une-elue-fn-porte-plainte-pour-menaces-de-mort-sur-les-reseaux-sociaux