Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

immigration - Page 1246

  • Ménard compte sur les députés (Présent 8353)

     

    Robert Ménard le sait : contrairement à ce que voudraient couvrir les hurlements des médias, il n’est pas seul. De nombreux élus, de très nombreux Français ne sont pas indifférents au fait que la majorité des élèves de leurs écoles sont musulmans. Ce qui veut dire que dans quelques années, le voile, le halal, les préceptes coraniques seront majoritaires dans ces quartiers-là, quand ce n’est pas déjà le cas.

    8353-P1

    8353-P1

    Le tribunal a rejeté lundi le référé déposé par la Coordination contre le racisme et l’islamophobie (CRI) qui demandait à la justice d’agir en urgence contre la mairie de Béziers. Pour la bonne raison que la police n’a trouvé aucun fichier sur les élèves musulmans et qu’il n’en existe aucun. Un peu de justice quand même.

    Un peu de courage !

    Mais Robert Ménard ne compte pas en rester là. C’est pour cela soit dit en passant que l’on a élu des maires comme lui, c’est pour que les choses bougent, pour ne pas reprendre de l’UMPS jusqu’à la mort. Le maire de Béziers a écrit aux députés, les appelant à un peu de courage à contre-courant. Pour une fois. Il leur demande de légiférer pour autoriser les statistiques ethniques. Les exhortant à « créer les conditions d’un débat » indispensable :
    « Que l’on se félicite de l’immigration ou que l’on s’en inquiète, notre république ne peut pas continuer à installer des politiques sans connaître exactement la réalité statistique auxquelles on prétend les appliquer. (…) Je ne peux imaginer que je sois le seul maire de France qui ait procédé à un tel calcul. Mais, assurément, je suis le seul à l’avoir dit. »
    Robert Ménard ne manque pas de rappeler que Valls s’était dit favorable en 2009 à une proposition de loi permettant les statistiques ethniques et que Rebsamen ministre du Travail, avait reconnu en 2010 que de telles listes existaient grâce aux commissions d’attribution de logements…
    Selon un tout récent sondage réalisé par l’Institut Odoxa, 55 % des Français sont favorables à la constitution de statistiques ethniques. Les députés vont-ils les entendre ?

    Caroline Parmentier

    http://fr.novopress.info/

  • La peine de mort, Taubira et la justice française

    Les promoteurs du vivre-ensemble, les défenseurs d’un monde bisounours aseptisé et les disciples d’une société festive vont pouvoir, une fois de plus, constater avec effroi et réprobation que la France apaisée n’est plus de mise.

    Les promoteurs du vivre ensemble, les défenseurs d’un monde Bisounours aseptisé et les disciples d’une société festive vont pouvoir, une fois de plus, constater avec effroi et réprobation que la France apaisée n’est plus de mise.

    La troisième édition de l’étude annuelle sur les fractures françaises produite par Ipsos/Sopra Steria indique que 52 % des Français se déclarent favorables à la peine de mort, soit 7 % de plus par rapport à l’an dernier. 34 ans après son abolition, cette sentence suscite toujours débats et prises de position enflammées.

    La hausse que révèle ce sondage n’est pas conjoncturelle : le nombre des partisans de la peine capitale n’aurait cessé de croître depuis 2012 – et même quelques années auparavant selon les différentes études. Sa nouveauté réside, en revanche, dans la progression observée au sein des sympathisants socialistes : 36 % d’entre eux y seraient favorables soit 15 % de plus que l’année dernière. Cette importante augmentation concerne également cadres et retraités (10 et 8 % de hausse par rapport à 2014).

    Lire la suite

  • Voyage au bout de la guerre civile

    Celine, dans son voyage, avait saisi une nuit opaque, angoissante et mortelle d'où surgit une guerre qui ne semblait poursuivre d'autres buts que ceux de broyer l'homme et l'anéantir. Au cours d'un autre voyage, à l'issue d'une autre nuit dangereuse et vraie, un parti politique a jailli de décombres électoraux pour plonger dans une guerre qui risque, elle aussi, de le broyer avant de l'anéantir. Ce n'est pas la même guerre. Ce n'est pas la même nuit Mais c'est le même voyage. Microcosmique, terrible, halluciné. Céline est allé jusqu'aux racines de la désespérance humaine en mettant à nu, avec une rage fulgurante, les derniers liens les rattachant à la logique de l'absurde. Le parti républicain est allé jusqu'aux sources de sa vocation première en mettant à plat, au milieu d'un embrasement fratricide, l'ultime filiation le soudant encore au destin de l’américanisme. Même quête haletante, mêmes questions vitales, même démarche pour l'authentique. Condition de l'espèce ou condition d'un groupe de cette espèce, quelle différence ? Aucune. La glaise est la même. On "travaille" l'homme comme on "travaille" des hommes. Des hommes censés regarder dans la même direction. Au bout de son voyage, Céline a conclu que l'homme était à la fois victime d'une lancinante fatalité et d'une guerre civile l'extérieur et l'intérieur. Au bout du même voyage, un observateur pourrait également conclure que le parti républicain est à la fois corseté par une obsédante révolution démographique (l'extérieur : le Blanc bientôt minoritaire) et par une décisive effervescence intestine (l'intérieur la recherche fiévreuse d'une âme). Céline n'a pas eu à touiller bien fort pour étayer son pessimisme. De même, on n'aura pas à gratter bien profond pour écailler le vernis du 4 novembre.

    Que s'est-il passé ce 4 novembre ? Un double choc. Sous les apparences d'une rituelle série d'élections visant à renouveler représentants, sénateurs et gouverneurs, on a vu surgir, au-delà d'une forte poussée de l'opposition, d'un côté, un bras de fer, et, de l'autre, une guerre civile. Le bras de fer est né du rejet par les urnes du président Barack Obama, devenu malgré lui la victime de fausses législatives mais d'un vrai plébiscite : le parti républicain, maître de la Chambre et du sénat, se devra d'acculer à la défensive jusqu'en janvier 2017 un pouvoir exécutif qui bataillera avec une fureur nourrie par un désaveu. La guerre civile, issue d'une vieille fracture qui serpente à l'intérieur du parti républicain, dresse les uns contre les autres gardiens tutélaires, sourcilleux, d'une doctrine se voulant intangible et, en face, veilleurs permanents, ombrageux, d'un message se voulant absolu. Une fracture large, profonde, irréductible. Elle a généré deux camps hostiles qui, au Congrès, se côtoient dans les mêmes travées, longent les mêmes couloirs, fréquentent les mêmes cafétérias. Deux partis en un : ils s'épient, se suspectent, se dénigrent Ils agissent sous la même étiquette politique mais parviennent souvent à s'affronter et parfois à se haïr. D'un côté, on trouve les modérés ; de l'autre les "durs". D'un côté, ils s'appellent les orthodoxes ; de l'autre, les rebelles. Les orthodoxes mêlent l'orgueil d'un capitalisme libéral qui triomphe des errements d'un étatisme socialisant, la fierté d'une initiative individuelle qui éclipse le bureaucratisme fossoyeur de projets et la fidélité à des mœurs ancestrales qui préfèrent l'esprit du compromis aux réflexes du harcèlement Sur cette façade centenaire, les rebelles, relégués aux infamantes extrémités idéologiques, tirent à boulets rouges au nom d'un traditionalisme frileux, d'une fiscalité injuste, d'une classe moyenne trahie, d'une immoralité envahissante, d'une nation qui se délite. Conservatisme contre populisme le parti républicain est devenu la chaudière de l’Amérique.

    AMNISTIER5 MILLIONS D'ILLÉGAUX

    Une chaudière qui resta en veilleuse du 5 au 20 novembre : il fallut bien quinze jours aux trois états-majors — celui des démocrates, des orthodoxes et des rebelles — pour compter leurs billes et tirer des plans. Mais le 20 novembre au soir, Obama se chargea de rappeler à un pays ricanant de ses déboires qu'il avait encore le droit de dormir à la Maison Blanche et accessoirement d'y prononcer des discours. Celui de ce jeudi-là — quinze minutes de mots définitifs sur un ton impérial — baignera dans les mémoires et marquera l'histoire : l'Américano-kenyan annonça aux 205 millions de Blancs (sur une population totale de 320 millions d'habitants) que la dissolution de la nation qu'ils ont imaginée, bâtie puis gérée pendant plus de deux siècles, était officiellement programmée. Car, comment ne pas voir dans cette intervention présidentielle sur l'immigration illégale la volonté, l'obstination, presque la rage, d'intégrer désormais aux structures institutionnelles américaines le moindre étranger briseur de lois, le plus humble violeur de frontières ? Obama mit l'accent sur la « compassion pour l'Autre », sur « notre peuple venu d'ailleurs », sur « l'accueil, vocation d'un continent » — trois impostures subversives — avant de lâcher son coup de cymbales : cinq millions de clandestins recevront dans les plus courts délais un permis de séjour illimité, le droit de chercher un emploi, l'accès à toutes les aides sociales. Finis les risques de chasses policières ou de déportation. On raye d'un trait de plume cinq millions de fantômes pour en taire d'abord des résidants, puis des citoyens à part entière. Un délai entre les deux statuts, histoire de ne pas effrayer les bien-pensants. On passe avec un cynisme superbe de l'illégalité la plus corrosive à la légalité la plus insolente. Au nom souverain, incontournable, de la réunion des familles. Cette même "réunion" qui est en train de tuer l'Europe et que Valéry Giscard d'Estaing, l'un des premiers, exhiba pour amorcer l'invasion de la France « toutes les misères du monde ».

    Aujourd'hui aux États-Unis, c'est cinq millions de clandestins qui sortiront de l'ombre. Mais demain ? A l'évidence, il faudra une autre initiative du même genre pour permettre à une autre tranche de cinq millions de clandestins — la bonne mesure anesthésiante : substantielle, mais pas trop — de pénétrer à leur tour la tête haute dans l'Eldorado. Car, où serait la justice si on laissait dans l'ombre comme des parias ceux qui réclament en silence leurs droits inaliénables ? Et après-demain ? Avec certitude, il sera nécessaire de poursuivre l’opération puisqu'on n'aura pas encore atteint le bout du tunnel, le fond des bas-quartiers de l'Amérique où grouillent plus de vingt millions de soutiers du globalisme — un réservoir alimenté par 3 000 arrivées quotidiennes d'illégaux — jetés là par les manipulateurs qui pensaient bien pouvoir s'en servir un jour sous un président plus invertébré, plus malléable, plus opportuniste que les autres. On fabriqua donc Obama, l'homme lige, l'homme précieux, l'exécutant imputrescible qui a, par sa fonction, rendu "présentable" ce tombereau de boue anti-nationale, cette scandaleuse machination. Cependant, l'audace méprisante du valet buta sur un mot que ses patrons ne voulaient pas voir cité : amnistie. Ce mot fait peur. Il contient une charge d'indignation propre à cristalliser l'écœurement et à enflammer les énergies. Mot dangereux. Il est réservé à l'opposition, qui s'en sert comme d'un slogan pour condamner le fait du prince, les calculs indignes. Avec raison : comment désigner autrement que par amnistie cette suppression arbitraire et radicale de millions de passés vécus en marge des lois ? Une amnistie imposée par décret. C'est tout le drame. Obama va décréter l'amorce de la dissolution de la nation. Obama va décréter la mise en place d'une formidable pompe aspirante branchée sur le tiers-monde. Et Obama va décréter le financement des aides sociales aux ex-illégaux par l'argent des contribuables. Un décret qui lui permettra d'éviter le Congrès où le sénat lui est acquis mais où la Chambre lui est hostile.

    COMPLICES DU GAUCHO-LIBÉRALISME

    En préférant l'épreuve au dialogue, Obama fait d'une pierre cinq coups : il se venge de l'humiliation du 4 novembre, reprend l'initiative tombée chez l'adversaire, ancre davantage les démocrates parmi les minorités raciales, rassemble les morceaux de son legs au pays et aggrave le divorce entre les Hispaniques et le parti républicain. La balle étant désormais dans le camp de l'opposition, on passa sans transition, dès le lendemain du fameux discours, des gesticulations d'un bras-de-fer à l'effervescence d'une guerre civile. Car Obama a en réalité atteint un sixième but, et non des moindres. jeter les uns contre les autres orthodoxes et rebelles, embraser les luttes intestines, déstabiliser le parti adverse en l'obligeant à afficher sur la place publique les passions exacerbées des deux camps qui l'habitent. Dans les cou loirs du Congrès résonnèrent tous les cris du dépit et de l'outrage : « Acte illégal ! », « Viol de la constitution ! », « Crise de régime ! », « Perversion de la présidence ! », « Décision anti-démocratique ! ». Obama ravalé au rang de dictateur tropical et les États-Unis à celui d'une république bananière. On vit les deux patrons du parti, John Boehner, speaker de la Chambre, et Mitchell McConnell, futur chef du sénat, s'arracher les micros afin de condamner une « attitude inacceptable et dangereuse pour les institutions ». A leurs côtés, les affidés venus amplifier l'écho du courroux — John Cornyn, sénateur du Texas, Steve King, sénateur de l'Iowa, Tom Coburn, sénateur de l’Oklahoma, Mo Brooks, représentant de l'Alabama, entre autres — s'épanchèrent ensuite dans la presse aux ordres, qui les renvoya comme des bernés devant le fait accompli. Obama avait bel et bien marqué un point Lorsque les cris retombèrent au bout de vingt-quatre heures, Boehner et McConnell durent piteusement convenir qu'il leur fallait maintenant chercher une riposte à cette "sournoiserie" dont l'impudence les mettait sur la défensive. Washington donna à ce moment-là l'étrange spectacle d'une capitale surréaliste : un président, ivre de rancoeur, martelant son diktat meurtrier vomi par 62 % des citoyens.

    Les rebelles, troisième acteur de ce drame national, s'offrirent le luxe de déployer contre Obama un large éventail de leur arsenal — processus de destitution, procès pour trahison, lynchage médiatique — à l'occasion du dernier en date de ses forfaits. Ils le font depuis six ans pour le moindre de ses faits et gestes. Mais ils ont voulu, cette fois-ci plus que les autres, ajouter à cet objectif nécessaire une cible privilégiée : les orthodoxes. Les rebelles les accusent d'abord d'être complices du gaucho-libéralisme pour mettre en place au sein des institutions américaines les relais nécessaires au Nouvel ordre mondial. Ils les accusent ensuite de maintenir le peuple américain dans une sorte de léthargie prolongeant un système politique profitable aux élus mais inadapté aux défis lancés au pays. Ils les accusent enfin de dissimuler sous un verbiage électoraliste le choix qui est le leur depuis le début de cette affaire d'immigration illégale l'amnistie pour tous les clandestins. En un mot, les rebelles accusent l'état-major, les caciques et les ténors du parti républicain de dénaturer leur mission, pervertir leurs campagnes, gangrener le principe même d'une opposition au pouvoir en place. Un triptyque de charges fondamentales sans cesse déployé, complété, réactualisé. La semaine dernière, cette réactualisation prit les allures d'une bombe à retardement Une fuite en haut lieu fit, en effet, courir le bruit qu'un accord secret avait été conclu entre Obama, Boehner et McConnell. Selon les termes de cet accord, Obama prenait l'initiative d'annoncer son décret sur la légalisation des cinq millions de clandestins avant le 20 janvier prochain et, en échange, voyait abandonner contre lui toute menace d'une procédure de destitution (impeachment)) qu'une opposition digne de ce nom serait en droit d'envisager. Une destitution d'autant plus vraisemblable, d'autant plus menaçante, que les républicains disposent d'une belle majorité chez les représentants (chambre d'accusation) et chez les sénateurs (assemblée du jury). Mais pourquoi le 20 janvier 2015 ? Ce jour-là, le 114e Congrès entrera en fonction avec ses nouveaux élus et comme principales vedettes Boehner et McConnell. Les deux compères ne voulaient pas avoir à gérer un décret qui leur brûle déjà les doigts. Ils ont sans doute trouvé plus astucieux de le laisser entre les mains de l'actuel 113e Congrès, qui va se charger de la sale besogne — et n'a plus que six semaines à vivre.

    LE LÉVIATHAN, MONSTRE VISQUEUX

    Six semaines ! C'est précisément le temps que les esprits forts accordaient en 2007, très généreusement, aux rebelles pour s'ébattre et disparaître sans laisser de traces. Huit ans après, non seulement ces francs-tireurs, ces trublions dont on se moque parce qu'on les craint, ne sont pas morts, mais ils occupent certains postes-clé, imprègnent les débats au Congrès et taraudent l'état-major d'un parti qui a fait élire Lincoln, Nixon et Reagan. Pourquoi cette présence, cette longévité ? Parce qu'elle vient de loin. D'un malaise profond. Révolte viscérale, massive, presque écrasante parce qu'elle va à l'essentiel. Au début, des foules ont jailli — 20 000, 50 000, jusqu'à 100 000 personnes — dans les rues pour s'exprimer. Ni barricades, ni affrontements, ni jacqueries. Des foules indignées. Les dépenses de l'État les consternent. Le déficit budgétaire les affole. L'assurance santé les trouble. Elles voient l'Amérique glisser sur la pente du socialisme vers le gouffre de l'assistanat Les nerfs se tendent, les réflexes s'aiguisent, les esprits s'échauffent. Les bilans officiels puent la manipulation et le mensonge : c'est bien quinze millions de chômeurs, cinquante millions de pauvres et douze zéros après le chiffre de la dette publique. Insupportable ! Pour ces cris sortis des entrailles, il n'existe ni gauche ni droite. vieux clivage usé qui masque la cible, ce Léviathan, monstre visqueux enfanté par les requins d'une classe politique égoïste et cynique. Rejet d'un ordre qui n'est pas celui de l'Amérique. Ce rejet ne date pas d'Obama. Il remonte à plus loin. Avant Bush, avant Clinton et Reagan, à des décennies en arrière : lent travail de maturation et puis, un jour, l'étincelle. La classe moyenne blanche sent qu'on lui vole son pays. Le voile se déchire : Dante sur les rives du Mississippi. Vision d'épouvante : un establishment crispé sur ses privilèges, un étatisme mangeur de richesses, une fiscalité broyeuse d'épargne, un libre-échangisme destructeur d'emplois, une économie soumise aux apatrides, une éducation livrée au multiculturalisme et des frontières offertes aux envahisseurs. Les foules passèrent de la rue à Internet et du même coup, la rébellion se dota d'un visage, d'un outil et d'un nom.

    UNE FORCE JAILLIE DE LA BASE

    Le visage celui du Blanc écœuré. L'outil : les média sociaux. Le nom : Tea Parties. L'ensemble constitue la droite nationale américaine où s'entrelacent une bonne dose de populisme, de christianisme, de constitutionnalisme et de libertarianisrne. Qu'importent les nuances : tous veulent sauver l'Amérique qu'ils ont dans leur cœur, pas celle qu'on leur impose. Mais d'abord, pourquoi Tea Parties ? En décembre 1773, deux cents patriotes, ulcérés par les taxes frappant les produits du colonisateur, jettent dans le port de Boston les cargaisons de thé de trois navires venus d'Angleterre. L'acte de défi passa à la postérité sous le nom de Tea Party. Et les annales du pays ne tardèrent pas à assimiler ce geste provocateur au coup d'envoi de la guerre d'indépendance. Geste d'insurgés dont on retrouve la charge symbolique 241 ans plus tard — Washington remplaçant Londres. Qu'est-ce qu'une Tea Party ? Une force. Une force qui jaillit de la base, sans calculs politiciens ni tactiques partisanes. Une force qui se manifeste n'importe où, à n'importe quel moment et pour n'importe quelle raison. Une force qui jouit d'une grande autonomie et ne supporte ni programmes établis, ni mots d'ordre, ni consignes nationales. Combien sont-elles, ces Tea Parties ? Des milliers : chaque État a les siennes mais deux émergent : Tea Party Nation et Tea Party Patriote. Toutes ensemble, ce sont des millions d'Américains reliés par Internet et tous d'accord sur trois points : secouer l'inertie sclérosante des responsables du parti républicain ; dénoncer la frénésie des dépenses du gouvernement de Washington ; stimuler un retour à l'esprit d'un strict fédéralisme américain. De ces trois points, le premier paraît à tous les militants le plus important : balayer un régimisme douceâtre planifiant des batailles ambiguës, des discours interchangeables, des votes timorés, des alliances contre-nature et des fiefs inexpugnables. D'où de "sanglantes" primaires en 2010 et l'entrée en fanfare au Congrès quelques semaines plus tard de 87 élus des Tea Parties. D'où la victoire de l'un des espoirs des Tea Parties, David Brat, lors des primaires de juin dernier en Virginie, où le numéro deux du parti républicain à la Chambre, Eric Cantor, dépensa six millions de dollars pour rien. A 50 ans, Brat est bien placé pour rêver de la Maison Blanche. D'autres y pensent aussi. Ce sont surtout trois sénateurs : Rand Paul, du Kentucky ; Marco Rubio, de Floride ; et Ted Cruz, du Texas. Tous trois furent élus en 2010 et 2012 avec les voix et les fonds des Tea Parties. Tous trois s'efforcent de plomber les modérés dès qu'ils se montrent — la guerre civile jusqu'au vote de novembre 2016. Avec ce paradoxe : le candidat officiel du parti républicain pourrait être un rebelle.

     

    Paul SIGAUD.Rivarol 27 novembre 2015

  • Une autre politique est possible : la preuve par Ménard

    Depuis qu’il a conquis la mairie de Béziers, Ménard nous administre une triple preuve qu’une autre politique, au niveau local, est possible.

     

    La socialie unanime est tombée sur Ménard à bras raccourcis pour répandre les boules puantes du soupçon sur la base de supputations. Zemmour avait fait l’objet d’un lynchage médiatique identique, lancé par Mélenchon, sur des propos qu’il n’avait pas tenus.

    En France, nous ne sommes pas égaux devant la présomption d’innocence, avec un effet comique évident, quand telle crapule qui viole ou qui tue, et reconnaît les faits, n’en reste que le présumé auteur, tandis que des autodafés sans procès ni jugement sont érigés pour brûler les Ménard, Zemmour, Camus ou Le Pen.

    Pourquoi une telle réaction, jusqu’au sommet de l’État, si disproportionnée par rapport a l’événement ? Une affaire qui n’en est pas une. Un délit qui n’existe pas. Juste un constat de la part d’un élu au plus près du terrain.

    Lire la suite 

  • Je suis Français d’abord

    Laurent Morin, premier adjoint FN chargé des finances auprès du maire de Mantes-la-Jolie (Yvelines) Cyril Nauth, aurait commis voila quelques heures un tweet antirépublicain.  Son crime de lèse république ? L’élu FN a eu l’audace de publier deux photos prises à vingt-cinq ans d’intervalle, des membres du club de foot de Mantes-la-Ville. Les Gaulois  ultra majoritaires à l’époque, ont aujourd’hui été éradiqués et plus un seul n’apparait désormais à l’image… Les esprits mal intentionnés ne manqueront pas d’y voir la confirmation de la théorie du grand remplacement.  A l’instar de ces photos de classes circulant sur internet montrant pareillement les conséquences démographiques des politiques migratoires de MM. Mitterrand, Chirac, Sarkozy et Hollande  dans de nombreux établissements de nos villes et quartiers, en l’espace d’une génération…Laurent Morin a reçu de nombreux soutiens, notamment celui de notre camarade Julien Sanchez, maire de Beaucaire (Gard),  face aux attaques dont il est l’objet de la part des bien-pensants; Cyril Nauth a également souligné pour sa part sur France 3 que « les dirigeants du club (de Mantes, NDLR) pratiqueraient une forme particulière de discrimination positive, ils se servent de ce club pour mettre en valeur les jeunes issus de l’immigration »…

    De  « République » universelle et multiculturelle  il était encore question  avant-hier dans la bouche de François Hollande célébrant le métissage et le vivre-ensemble à l’occasion de la commémoration de l’abolition de l’esclavage. République encore et toujours dont le nom est scandé par le catastrophique ministre de l’Education Najat Vallaud-Belkacem. Cette dernière lance ce mardi la « réserve citoyenne d’appui aux écoles», au nombre des « réponses républicaines » mises en œuvre pour réagir aux attentats islamistes de janvier. Des «volontaires»,  au  nombre officiellement, de 4600,  pourraient être sollicités pour inculquer plus avant  «les valeurs de la République». Une action venant s’ajouter à celle des officines de propagande  antiracistes comme la Licra, Sos racisme, le Mrap, la LDH, etc., intervenant déjà en renfort dans les établissements. Les volontaires en questions aborderaient des thématiques comme « citoyenneté et valeurs de la République », «actualité et médias», « arts et culture », « Histoire et mémoire »…ça promet !  

    Mais quand «les grands mots sont traînés», les concepts, les symboles brandis et répétés jusqu’à la nausée par un personnel politique démonétisé, décrédibilisé, ils finissent par  être frappés par l’opprobre entourant ceux qui les prononcent.  Sur le site Atlantico, vient d’être  publié  les résultats du sondage de l’Ifop autour des termes de  « République » et de  « valeurs républicaines » qui est à cet égard très éclairant.

    Jérôme Fourquet, directeur du département opinion de cet institut,  a jugé utile d’interroger les Français sur ces notions, à l’heure ou l’UMP se transforme en Les Républicains,  pour constater si nos compatriotes «étaient toujours sensibles à cette terminologie-là, ou si, au contraire, elle était un peu éculée et galvaudée (…). Or, force est de constater que pour deux tiers des Français (65%) ces termes ne parlent plus vraiment car ils ont été trop utilisés et ont perdu de leur force et de leur signification. Il n’y a qu’un tiers des Français (…), qui se déclare encore sensibles à ces termes quand les politique les emploient, et qui possède une fibre républicaine très développée ».

    «Dans les deux grandes familles politiques aujourd’hui (UMP et PS, NDLR) précise M. Fourquet, il y a environ une personne sur deux qui est assez peu sensible à l’usage de ces termes par les politique, et inversement une autre moitié qui garde toujours la fibre républicaine bien chevillée au corps. C’est intéressant parce que l’UMP comme le PS emploient ces termes, or chacun dans leur camp ne touche que la moitié des sympathisants ».

    Significativement à la question posée dans cette enquête« quel terme vous touche d’avantage quand il est employé par les politiques ? », 38% des personnes interrogées répondent  l’identité nationale,  devant la République  (33%) . « Mais, élément non-négligeable, 29% ne se reconnaît ni dans l’un ni dans l’autre, ce qui fait du monde, et qui va à l’encontre de cette opposition binaire. Donc cela illustre également la crise du politique, certaines personnes en ont ras-le-bol que la République soit mise à toutes les sauces, et se tournent vers l’identité nationale, et au-delà de ça, d’autres ne sont même plus raccrochées par l’évocation d’un des deux concepts ».

    « (…)  Plus on va vers la droite, plus on a tendance à privilégier l’identité nationale. On culmine à 64% au Front National, et à 47% à l’UMP. Cependant, là aussi, un bon quart de l’électorat de gauche se dit plus sensible à l’identité nationale qu’à la République, ce qui n’est pas rien. Si on se concentre uniquement sur l’UMP, désormais appelée  Les Républicains , on voit pourtant que ce qui fait le plus recette est l’identité nationale, avec 47% contre 37%. Il y a ici quelque chose d’intéressant, c’est que Nicolas Sarkozy est sans doute conscient de cette forte attente identitaire qu’il a ressentie dans son électorat, mais que pour pouvoir parle d’identité nationale il doit se distinguer de Marine Le Pen, pour ne pas lui être associé, et doit pouvoir parler d’identité au nom de la République. D’où le choix du nom du parti (…) . Il parle de la République, mais pour, in fine, aller sur le terrain de l’identité nationale, et cela correspond à une attente qui est majoritaire dans son électorat (…) ».

    Sur le site des  Inrocks le 8 mai à l’occasion de la sortie  du livre co-écrit avec  Alain Mergier  « Janvier 2015, le catalyseur », Jérôme Fourquet  rappelle que cette étude  traite des Français  des « classes populaires » « et des régions subissant davantage les chocs de la mondialisation »,  qui n’ont pas défilé derrière les pancartes Je suis Charlie. Sur le site du magazine, il  rappelait les  « trois niveaux d’insécurisation » ressentis par un frange croissante de la population. Ce sont eux  qui fondent le vote FN explique-t-il: «l’insécurisation physique (peur de l’agression), l’insécurisation économique (peur de pas boucler ses fins de mois), et l’insécurisation culturelle (peur de ne plus se sentir chez soi, d’être remis en cause dans ses habitudes, ses valeurs, son histoire) ».

    Dans ce contexte, Jean-Yves Le Gallou  constate, dans un entretien  à Monde & Vie et mis en ligne sur son blogue Polemia , que «là où le Front National est le mieux à même de gagner, c’est là où il est opposé à un candidat de gauche. Cela représente les 9/10e des cantons gagnés aux dernières élections. Marine Le Pen, en 2017, ne peut avoir une chance de l’emporter que si elle est opposée à un candidat de gauche. L’arithmétique électorale du FN aujourd’hui est simple : une voix prise à l’UMP vaut deux voix prises à la gauche. Evidemment une voix est une voix, qu’elle vienne du PS ou de l’UMP, mais, comme le FN ne peut gagner que face au PS, il faut prioritairement affaiblir l’UMP pour que le PS passe devant au premier tour. Il s’agit donc de passer l’UMP à la centrifugeuse, en dissociant ses élites centristes de son électorat droitier ».

    Alors que  Jean-Marie Le Pen  vient d’annoncer le lancement d’une formation qui  n’aurait pas vocation a concurrencer le FN sur le terrain électoral, M.  Le Gallou notait également que «contrairement à ce que pense l’immense majorité des commentateurs, la diabolisation est moins la conséquence d’erreurs, d’imprudences ou de maladresses que la volonté systématique du Système. Quiconque veut lutter contre l’immigration est qualifié d’extrême droite et diabolisé partout en Europe. D’ailleurs le premier homme politique qui ait subi ce traitement médiatique et politique n’est pas Jean-Marie Le Pen. C’est un Anglais, Enoch Powell, ancien d’Oxford, helléniste, qui n’a jamais commis le moindre dérapage, mais qui a dénoncé dès 1968, dans un discours à Birmingham, les dangers de l’immigration. De sa part, ce n’était pas une erreur, encore moins une faute. C’était un acte de courage qui lui a coûté sa réputation et sa carrière politique. La question de l’immigration est bien le nœud de la diabolisation ».

    Quant à  cet autre pilier historique du corpus frontiste, à savoir  la défense des valeurs traditionnelles, elles ne sont   pas tant le prétexte à une  «diabolisation » qu’à   une  « ringardisation »,  par les faiseurs d’opinions, des  hommes et des femmes qui y sont  attachées. Mais Jean-Yves Le Gallou   le souligne avec pertinence:   «  comme si les foules immenses qui ont défilé lors de la Manifestation pour tous, ou les jeunes qui se sont mobilisés autour du Printemps français étaient ringards !  En fait ce que j’appelle la Génération 2013 a vocation à remplacer la génération 1968. Le vieux monde, ce n’est pas celui du renouveau de la Tradition ou du renouveau identitaire, c’est celui des antivaleurs portées par les médias, qui continuent de peser sur les partis politiques ».

    Or,  « le risque est évidemment ce que j’appellerais le concessionisme, qui consiste, de concession en concession, à céder petit à petit sur l’essentiel. Il ne faut pas accepter la diabolisation. Pas non plus la ringardisation. La pire faute à éviter, en matière de dédiabolisation, c’est de croire que l’on se dédiabolise en ringardisant son plus proche. En agissant ainsi on renforce la diabolisation et on renforce sa propre diabolisation par contagion ».

    Un point de vue largement partagé par Bruno Gollnisch qui affirme que si la politique est l’art du possible, si le  compromis est souvent indispensable, nécessaire dans l’expression de nos propositions, il ne saurait se transformer en compromission. C’est en affirmant haut et fort nos valeurs, notre idéal, la doctrine qui forme la colonne vertébrale de l’opposition nationale, que nous sauront convaincre le plus grand nombre de Français qui constatent la faillite des politiques et de la « vision du monde »  de nos adversaires.

    http://gollnisch.com/2015/05/12/je-suis-francais-dabord/

  • (Esclavage aujourd’hui) Grande-Bretagne : 1 400 mineures blanches violées par des criminels pakistanais protégés par les autorités

    « Personne ne connaît l’ampleur de l’exploitation sexuelle qu’ont subi des enfants à Rothertham à travers les années » a précisé Alexis Jay, auteur d’un rapport sur la mise en esclavage de plusieurs centaines d’enfants blancs par des gangs criminels pakistanais durant plus de quinze ans à Rotherham. Les menaces des familles des criminels, comme la peur et la honte des Blancs agressés et les mensonges des autorités ont empêché de dresser un bilan exhaustif des crimes racistes commis contre les Blancs par les occupants de la Grande-Bretagne. L’enquêtrice a reconnu que, les plaintes de nombreuses victimes ayant été ignorées par la police, il a été impossible de retrouver la trace de nombreuses blanches violées.

    Selon les chiffres obtenus, 1.400 enfants mineurs ont été victimes de viols entre 1997 et 2013 à Rotherham, dans le nord de l’Angleterre. Les Pakistanais ont commis contre ces Européens d’innombrables crimes parmi les plus odieux ; certaines ont été contraintes à se prostituer, ont été « prêtées » à des réseaux de criminels étrangers opérants dans d’autres villes.

    « Des enfants ont été aspergés d’essence puis menacés d’être enflammés, ont été menacés avec des armes, ou encore ont été forcés d’être témoins de viols très violents ».

    D’autres ont été « victimes de viols collectifs, d’échanges avec d’autres villes du nord de l’Angleterre, enlevés, battus et intimidés ». Les plus jeunes filles identifiées avaient onze ans.

    Ces crimes ont été commis avec la complicité des autorités. La police a reçu de nombreuses plaintes sans jamais enquêter ; les faits ont fait l’objet de trois rapports officiels, que les services de Rotherham ont ignoré ou censuré.

     

    Les victimes blanches ont subi le véritable racisme antiblanc du système. Le professeur Alexis Jay note que la police a « considéré un grand nombre de ces victimes avec mépris ». Certains fonctionnaires complices des racistes antiblancs ont « fait part de leur nervosité à identifier les origines ethniques asiatiques des auteurs présumés, de peur de passer pour raciste ».

    À ce jour, seuls cinq criminels pakistanais ont été condamnés à de légères peines de prison ; aucun des fonctionnaires ni des élus de Rotherham – ces derniers s’étant contentés de présenter leurs « excuses à ceux qui ont été abandonnés alors qu’ils avaient besoin d’aide » n’ont été poursuivis. Aucun n’a fait l’objet de salutaires mesures de justice populaire.

    La mairie de Rotherham était dirigée par des travaillistes, la version britannique de la gauche marxiste ; le maire Roger Stone a annoncé sa démission après la parution de ce quatrième rapport. Outre les criminels marxistes, les esclavagistes bénéficiaient de l’appui de certains des leurs au sein de la municipalité, comme celui de Jahangir Akhtar, qui a sciemment caché les faits, sachant que ses coreligionnaires ciblaient des enfants blancs.

    Il est à noter que la totalité des médiats francophones qui ont évoqué l’affaire ont masqué le caractère raciste antiblanc des criminels Pakistanais, présenté en France comme des « Asiatiques », alors que ces faits sont très clairement présentés ainsi par les médiats du système britannique comme The Guardian.

    Source : JN

    http://www.contre-info.com/grande-bretagne-1-400-mineures-blanches-violees-par-des-criminels-pakistanais-proteges-par-les-autorites#more-34221

  • Droit d’asile : quand l’enfer est pavé de bonnes intentions

    Le président-dictateur général de Bruxelles, qui fait la pluie et le beau temps en Europe, propose d’imposer des quotas d’accueil aux pays européens.

    À première vue, la tribune de Bernard Cazeneuve parue dans Le Figaro d’hier sous le titre « La réforme du droit d’asile ne peut plus attendre » pourrait passer pour un retour au réel. La lecture de son texte montre qu’il n’en est rien, alors que, de son côté, Jean-Claude Juncker propose des quotas obligatoires d’accueil aux pays d’Europe.

    Cazeneuve constate le drame humain qui se joue en Méditerranée, et le relie assez lucidement au chaos libyen. Il poursuit en ces termes : « Ni l’Europe ni la France ne peuvent rester aveugles à cette réalité. C’est pourquoi il est plus que jamais urgent de moderniser notre système de l’asile, afin de nous donner les moyens d’accueillir sereinement ceux qui relèvent de notre protection. » Et c’est là que les choses se gâtent.

    Car le ministre se garde de définir ceux qui ont besoin de notre protection… Évoquant ensuite la saturation des centres d’accueil, de même que l’allongement du délai de traitement des procédures administratives, il ne propose évidemment pas une politique de fermeté, mais une « solution » typiquement socialiste : le gouvernement « a créé 4.000 places supplémentaires en CADA en deux ans et se fixe l’objectif d’en ouvrir 5.000 de plus d’ici à 2017, afin que ce type d’hébergement soit enfin la norme pour les demandeurs d’asile accueillis en France. » En clair, face à la déferlante migratoire (que, sans crainte de la contradiction, le ministre réfute par ailleurs), ouvrons plus grand les guichets d’accueil.

    Lire la suite

  • L'UE veut imposer des quotas de migrants

    L'Union Européenne montre au quotidien sa volonté de ne respecter ni la volonté des peuples ni la souveraineté des nations qui la composent : 

    "L'équipe Juncker veut mettre en place un «mécanisme de distribution» pour les seuls réfugiés qui «ont clairement besoin d'une protection internationale», d'après le document de travail consulté par Le Figaro. Pour chacun des pays de l'UE, la clé de répartition tiendrait compte du PIB, de la population, du taux de chômage et du nombre de demandeurs d'asile déjà volontairement pris en charge.

    Ce serait un système temporaire, face à l'urgence, en application de l'article 78.3 du traité de Lisbonne. Mais l'ambition est affichée de pousser plus loin, dès la fin de l'année: un système «permanent», «automatique» et «obligatoire» de transfert à travers toute l'Europe des échoués de la Méditerranée et autres demandeurs méritant l'asile, selon les textes en préparation. Ces quotas, quel que soit leur nom, sont de la dynamite politique."

    Philippe Carhon