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immigration - Page 1249

  • 64,6% enfants de confession musulmane à Béziers

    Robert Ménard a osé mener l'enquête et révéler sur France 2 ce chiffre exorbitant, il doit être exécuté.

    Le procureur de la République de Béziers, Yvon Calvet, a ouvert une enquête préliminaire pour «tenue illégale de fichiers en raison de l'origine ethnique».

    La Cnil a dit «regarder de près» les déclarations de Monsieur Ménard.

    Manuel Valls, procureur politique (et accessoirement Premier ministre), a déclaré :

    «Honte au maire de Béziers. La République ne fait aucune distinction parmi ses enfants».

    Le député PS de l'Hérault Sébastien Denaja ne s'embarrasse pas :

    «Robert Ménard renoue ici avec les pires pratiques de Vichy et du pétainisme». «La loi n'autorise pas la création de tels fichiers. J'invite donc les parents à porter plainte et demande à ce qu'une enquête soit ouverte. La question de la responsabilité se pose aussi pour les fonctionnaires qui se sont prêtés à l'exercice…».

    Toutefois, la mairie a démenti l'existence d'un «fichage des enfants, musulmans ou non».

    «La mairie ne constitue pas et n'a jamais constitué de fichiers des enfants scolarisés dans les écoles publiques de la ville». «Le seul fichier existant à notre connaissance recensant les élèves des écoles publiques de la ville est celui de l'Éducation nationale».

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Pourquoi l’Afrique du Sud est-elle en proie à des émeutes xénophobes ?

    Article de Bernard Lugan publié dans le Huffington Post, le 27/04/2015

    Depuis les années 2000, en Afrique du Sud, les émeutes xénophobes constituent un phénomène récurrent[1], inscrit dans un contexte de crise économique, de chômage, d’insécurité, de crise sociale et de flux migratoires incontrôlés.

     

    Les actuelles émeutes débutèrent fin mars 2015 dans la région du Natal, encouragées par le roi des Zulu. Elles s’étendirent ensuite aux townships (zones urbaines réservées aux non-Blancs) de la région de Johannesburg, où les immigrés africains, Malawites, Mozambicains, Somaliens, Zimbabwéens, Soudanais ou encore Nigérians, furent pris pour cible, lynchés ou forcés à se réfugier dans les camps militaires, pendant que leurs maigres biens étaient pillés. Pour tenter de mettre un terme à ces violences, l’armée fut déployée dans les townships, comme dans les années 1980-1990, aux pires moments de la lutte contre le régime blanc.

    Au début du mois d’avril, ces violences "xénophobes" prirent une telle ampleur que le Malawi décida d’évacuer ses ressortissants, pendant que le Mozambique demandait fermement aux autorités sud-africaines d’assurer la protection de ses nationaux.

    Les Zulu, une des principales ethnies d’Afrique du Sud, apparaissent en pointe dans ces tragiques événements pour trois grandes raisons :

    1) C’est par le port de Durban que débarquent nombre de clandestins. Et, la région du Natal a une frontière commune avec le Mozambique, pays d’origine de nombreux immigrés et relais pour ceux venus d’autres régions d’Afrique.

    2) Nombreux dans les mines et les industries de la région de Johannesburg, les Zulu dénoncent la concurrence à l’embauche exercée par les immigrés.

    3) Dans la perspective des prochaines élections présidentielles auxquelles le président zulu, Jacob Zuma, ne pourra pas se représenter car la Constitution interdit de briguer un 3e mandat. Certains extrémistes zulu craignent des naturalisations massives qui feraient pencher le vote vers un non Zulu.

    La xénophobie n’est cependant pas l’apanage des Zulu puisque la région du Cap, où la population zulu est quasiment inexistante, est également touchée.

    L’émigration vers l’Afrique du Sud s’explique car le pays a longtemps fait figure d’eldorado. De plus, après 1994, année qui vit l’accession d’une majorité noire au pouvoir, l’idéologie de la nouvelle Afrique du Sud post-raciale fut l’ouverture et le multiculturalisme. Il est également important de rappeler qu’ayant très largement participé à la lutte contre le régime blanc, le Zimbabwe et le Mozambique estimaient qu’en retour, leurs propres ressortissants avaient, en quelque sorte, droit aux fruits de la libération.[...]

    La suite sur Le blog officiel de Bernard Lugan

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Pourquoi-l-Afrique-du-Sud-est-elle

  • Alain Juppé gêné sur France 2 quand on lui rappelle les positions du RPR sur l’immigration

    Le repris de justice – et candidat à la primaire UMP – est confronté aux prises de positions de la droite  parlementaire sur l’immigration au début des années 90, qui étaient assez similaires (voire plus fermes) aux positionnement du Front National d’aujourd’hui.

    Juppé tente de désamorcer le piège en parlant de « l’immigration économique » interdite par Giscard en 1972, puis admet qu’il ne peut rien répondre.

    http://www.contre-info.com/

  • L’esprit PEGIDA

    Pierre Cassen, l'un des fondateurs de Riposte laïque, est l'une des voix les plus percutantes de la résistance contre le rouleau compresseur de la conquête islamiste.

    —Travaillez-vous à l'implantation d'une branche du mouvement allemand Pegida en France ?

    — Non. Riposte laïque a son existence propre, avec quelques belles réussites à son actif, dont ses Assises et les très populaires « apéro saucisson pinard ». Faire du Riposte laïque, qui est tout de même une référence, sous l'appellation de Pegida, n'offre aucun intérêt. Toutefois, s'il y avait eu plusieurs courants de notre bord décidés à unir leurs forces pour lutter contre l'islamisme sous le label de Pegida, nous l'aurions fait. Ce n'était pas le cas. Pourquoi alors faire du neuf quand nous avons de l'ancien bien établi et en pleine croissance ?

    Le mot d'ordre de Pegida, « Non à l'islamisation, nous sommes le peuple » ne fait-il pas écho à « la France aux Français », lancé par le FN il y a quarante ans ?

    —La condamnation de l'immigration par le FN est effectivement constante depuis la création de celui-ci, en 1972. Mais Jean-Marie Le Pen a longtemps considéré que l'islam était compatible avec les valeurs de la République. Il y a là une conception propre à la génération qui s'est battue pour l'Algérie française et qui se souvient notamment des harkis, demeurés fidèles à la France. « On est français par le sang reçu ou versé. » Certes... Mais ces musulmans avaient reçu un enseignement fiançais, qui les avait en partie occidentalisés. Le colonialisme avait quelque peu rogné les serres de l'islam.

    Ce dernier, qui a aujourd'hui retrouvé toute sa vigueur conquérante et son intolérance pathologique, n'a plus grand-chose à voir avec celui que pratiquaient les peuples arabes sous administration coloniale. L'islam contemporain, c'est celui du ressentiment de la revanche, de la conquête, du fanatisme et d'une haine anti occidentale sans limite. C'est celui qu'expriment ces djihadistes nés en Europe, dont plusieurs milliers d'entre eux en France, devenus des tueurs et des bourreaux de l'Etat islamiste.

    —Marine Le Pen pas assez virulente donc, selon vous, contre l'islam ?

    Le FN m'a toujours paru beaucoup plus hostile à l'immigration, dans son ensemble, qu'à l'islam en particulier. En outre, devenu l'un des trois grands partis de France, il représente aujourd'hui une alternative sérieuse au pouvoir. Ce qui oblige ses dirigeants, et on peut très bien le comprendre, à pondérer leurs discours. Par exemple, Marine Le Pen tenait il y a quelques années, sur l'interdiction du voile dans l'espace public, des propos beaucoup plus clairs et plus fermes qu'actuellement. Un parti aspirant à gouverner a besoin, pour arriver au pouvoir, d'une stratégie électorale plus consensuelle. Mais tout de même : lorsque, dans un sondage du Monde, 74 % des Français estiment l'islam incompatible avec les valeurs de leur pays, on peut regretter que le principal parti qui incarne l'indépendance nationale se trouve sur cette question primordiale un peu en dessous de ce que ressent une grosse majorité de nos compatriotes. Et je ne parle pas des discours chevènementistes particulièrement imbéciles que tiennent certains dirigeants de second rang, mais à l'influence grandissante, selon lesquels ce n'est pas l'islam qui pose problème, mais seulement ses extrémistes. Pour ceux qui ne supportent plus l'envahissement de l'espace public, tout voile dehors, par les sectateurs de Mahomet l'exécutoire de leur exaspération et de leur colère, en dehors de leurs appartenances politiques, ce sont des mouvements comme Riposte laïque ou Pegida. 

    Face à l'immigration, une seule solution ; la remigration ? 

    — Même si nous fermions aujourd'hui le robinet de l'immigration, ce qui n'est pas à l'ordre du jour, par le seul fait du dynamisme démographique évoqué ci-dessus, le cauchemar annoncé par Zemmour, Onfray, Houellebecq et beaucoup d'autres arriverait de façon inéluctable, mais un peu plus tardivement : dans cent ans au lieu de cinquante... Ce qui s'est produit depuis plusieurs décennies, la déferlante d'une immigration massive, sauvage, incontrôlée, sans intégration et majoritairement islamisée, apparaît comme un accident de l'histoire sur lequel les Français non jamais eu à se prononcer. Notamment parce que leurs dirigeants leur ont menti en trichant délibérément sur les statistiques. Et en imposant une sorte d'embargo sur ce sujet. Pour éviter que les musulmans ne deviennent majoritaires chez nous, à court terme ou à moyen terme, oui, la remigration s'impose.

    —Par quels processus ?

    —A périodes exceptionnelles, mesures exceptionnelles. Mêmes si celles-ci peuvent être conflictuelles. Il existe plusieurs parallèles historiques, par exemple la population germanophone des Sudètes ou celle des pieds-noirs d'Algérie... Nous disposons de trains, d'avions et de bateaux. Expulsons vers leurs pays d'origine, sans violence mais fermement, tous ceux qui se comportent mal dans nos hôpitaux et nos écoles, tous les délinquants, tous les propagandistes du djihad, tous ceux qui multiplient les revendications communautaires... Il y a dans le monde 57 pays musulmans où ces gens-là pourront vivre en toute conformité avec leurs idéaux. Faisons donc leur bonheur, malgré eux s'il le faut...

    Propos recueillis par Jean Cochet PRESENT Hors-série Avril-mai 2015

     

    jean-cochet@present.fr

  • Le djihadisme ne se combat avec des coloriages

    Jacques Bompard écrit sur Le Rouge et Le Noir :

    "Les élites dirigeantes françaises sont responsables de l’énorme phénomène djihadiste apparu dans notre pays. En laissant se développer le grand remplacement, en détruisant la transmission du roman national, en inculquant la haine de soi à plusieurs générations, les gouvernements successifs ont alimenté un terreau islamiste dont ils se refusaient à voir les méfaits.

    Aujourd’hui les islamistes maîtrisent certains quartiers : c’est là le véritable apartheid. Aujourd’hui les islamistes ont organisé des systèmes de représentation et d’expression médiatique sollicités par des représentants politiques avides de communautés électorales. Aujourd’hui les islamistes français ont pleinement intégré la mondialisation et s’exportent au Proche Orient, en Afrique, et ailleurs peut- être.

    Notre territoire n’est pas épargné. Hier un islamiste voulait s’attaquer à des paroisses, d’autres saccagent sans vergogne des cimetières catholiques, quelques semaines à peine après l’attaque sanglante en plein Paris qui a profondément marqué notre société. Face à cela, les Français étaient en droit d’attendre ordre et fermeté des pouvoirs publics. Las, la gauche se refuse encore à prendre la mesure des dangers qui menacent notre pays.

    A Beyrouth, Jean-Yves Le Drian a rappelé que la France avait pour meilleur partenaire au Proche Orient le royaume rétrograde d’Arabie Saoudite. François Hollande y souleva, bien étrangement, un sabre en fin d’année dernière. C’est un comportement international au moins oublieux de l’idéologie islamiste promue et propagée par certains dignitaires saoudiens. 

    Mais sur notre territoire même, nous entendons un gouvernement favorable au doublement du nombre de mosquées et qui voudrait maintenant traiter le phénomène des djihadistes par l’accueil en centre de réadaptation sur la base du volontariat. Est-on au niveau de la légitime angoisse des Français devant l’inertie politique face aux djihadistes ?

    On parle de 1500 à 3000 Français de papiers ou étrangers résidents en France qui seraient partis tuer au nom d’Allah au Levant.Nos ressortissants étrangers deviennent la cible d’une surveillance accrue dans ces pays, qui étaient pourtant nos alliés historiques. Mais qui leur fera le reproche de douter des mesures de notre gouvernement quand on entend Manuel Valls déclarer à l’AFP : « Par un accompagnement individualisé, une prise en charge psychologique et un encadrement renforcé, ces jeunes devraient retrouver toute leur place dans notre société. » 

    J’ai proposé de multiples initiatives : législatives en supprimant la nationalité aux djihadistes ou encore en ouvrant une commission d’enquête parlementaire sur le soutien de la France aux rebelles syriens, sociétales en luttant contre le Grand Remplacement, pratiques en mettant en place la suppression des aides sociales à des individus partis commettre des atrocités au Proche Orient. Mais les socialistes leur préfèrent la politique de l’autruche.

    L’islam combattant pose un problème civilisationnel et spirituel à notre pays et à l’Europe. On ne le réglera pas avec des coloriages pour anciens participants aux massacres des minorités et des communautés musulmanes chiites au Proche Orient."

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Caroline Fourest Vs Aymeric Caron : face à l’islamisation, la gauche se déchire


    04/05/2015 – SOCIÉTÉ (NOVOpress)

    Le clash entre Caroline Fourest et Aymeric Caron sur le plateau d’ONPC est révélateur. Face à la montée de l’islam en France, deux courants idéologiques s’opposent à gauche : les collabos et les laïcards. Malheureusement, aucun n’arrive à saisir les enjeux du problème.

    Samedi soir a eu lieu une passe d’armes entre Caroline Fourest et Aymeric Caron sur le plateau de l’émission On n’est pas couché animé par Laurent Ruquier. Venue présenter son nouveau livre Éloge du blasphème, la journaliste militante LGBT d’extrême-gauche s’en est prise vertement à Caron : « Ca me fait chier de parler avec quelqu’un d’aussi con que vous ! ». Ce « clash » qui ne manquera pas de buzzer révèle surtout une ligne de fracture idéologique à gauche de plus en plus marquée : de quelle manière doit-on appréhender la question de l’islam en France ?

    Caroline Fourest ne s’y trompe pas : il y a effectivement deux tendances.
    La première que l’on pourrait qualifier de « collabo » assumée avec en tête de gondole Edwy Plenel, qui avait notamment appelé quelques jours après la tuerie de Charlie Hebdo à « comprendre » les frères Kouachi. On y retrouve également Rokhaya Diallo, spécialisée dans la dénonciation (souvent imaginaire) de l’islamophobie et pour qui le racisme anti-blanc n’existe évidemment pas. La seconde, en apparence plus dure, la sienne, qui fait de la défense inconditionnelle de la laïcité l’étendard de la lutte contre les extrémismes religieux, ce dernier concept creux mélangeant tout autant les familles cathos ayant manifesté contre le mariage homosexuel que les salafistes fans de l’État Islamique.

     

    Gauche collabo contre gauche laïcarde : double aveuglement

    Une certaine gauche, parce qu’elle refuse de voir les problèmes culturels posés par une islamisation grandissante du fait de son logiciel antiraciste, se réfugie dans une posture jusqu’au-boutiste de défense des (pseudo)—opprimés. Pour elle, la question identitaire est le tabou ultime. Elle fera le choix du soutien à l’islamisation quoi qu’il en coûte, dans une négation totale du réel et une fuite en avant idéologique sur fond d’ethnomasochisme et de racisme anti-blanc larvé.

    Clement-Martin-Generation-Identitaire

    Cément Martin, conseiller fédéral de Génération identitaire et membre de Nissa Rebela

    Une autre gauche, plus cohérente avec ses propres idées, constate que la laïcité, sa valeur phare, est sans cesse attaquée par des groupes musulmans. Elle a donc fait le choix de défendre le droit de Charlie Hebdoà caricaturer le prophète Mahomet, mais tout en restant antiraciste et pro-immigration. Schizophrénie. Donc à être favorable à ce qu’un nombre toujours plus important de gens dont les valeurs sont aux antipodes de celles portées par le journal satirique s’installent chez nous. Contradiction insoluble qui s’est d’ailleurs révélée avec fracas un certain 7 janvier.

    L’identité au centre de tous les débats

    Caroline Fourest, sous ses apparences de réalisme et de discours ferme, fait en réalité également dans l’angélisme : « Je ne pense pas que les Frères Musulmans représentent l’ensemble des musulmans en France [...] Je pense que les musulmans laïques le sont. Je pense que la majorité des musulmans en France sont attachés à la laïcité ». Un tel constat démontre à l’évidence qu’elle prend surtout ses rêves pour des réalités. Au mois de février dernier, le Berlin Social Science Center avait réalisé une étude dont la conclusion était sans appel : parmi les musulmans français, ils étaient 73 % à considérer que les « règles religieuses » étaient « plus importantes que la loi ». En 2008, ils s’étaient prononcés à 54 % pour l’application, partielle ou intégrale, de la charia en France (sondage CSA pour le Monde des Religions). Majoritairement laïques, vraiment ?

    La leçon à tirer de ce débat entre Aymeric Caron et Caroline Fourest est que le clivage sur les thématiques identitaires structure l’intégralité du débat politique français. Partout, à gauche comme à droite, c’est sur cette unique question que se font les oppositions. À droite, le fond des différences entre un Sarkozy et un Juppé, entre une NKM et un Wauquiez, ou encore même entre l’UDI et l’UMP porte sur la manière de répondre aux problèmes posés par la société multiculturelle. À gauche, Caroline Fourest ou Michel Onfray n’ont pas de mots assez durs pour reprocher à leur camp sa soumission à l’islam conquérant. Aujourd’hui centre du débat, la question de l’identité s’imposera bientôt comme étant la seule solution pour répondre aux défis lancés à l’Europe par l’immigration massive et au mondialisme.
    Seul un retour à nos racines couplé à une réaliste projection dans le futur nous permettra d’éviter le naufrage. Et il y a urgence : pendant que ces journalistes bien-pensants s’invectivaient sur France 2 hier soir, des centaines de clandestins rentraient en Europe. Le temps presse.

    Clément Martin,
    Conseiller fédéral de Génération identitaire et membre de Nissa Rebela

    http://fr.novopress.info/186873/caroline-fourest-vs-aymeric-caron-face-lislamisation-gauche-se-dechire/#more-186873

  • Pour une contre-révolution européenne

    L'immigration massive a, au moins, eu cette vertu qu'elle nous mit devant notre propre vide existentiel. Si ces populations allogènes ne s'intégreront jamais à notre civilisation, elles nous obligèrent à nous regarder.

    La philosophe Simone Weil, morte en 1943, en rappelant l’impérieux besoin d’enracinement, combattu de toutes leurs armes par tous les pouvoirs qui se sont succédé depuis l’avènement de ce que les historiens appellent la « période contemporaine », considérait comme nécessaire la suppression des partis, perçus comme des factions, des parasites prospérant sur un grand corps vivant. Les organisations politiciennes sont, en effet, des prismes par lesquels la réalité est déviée, déformée, trafiquée, pour servir à des causes qui n’ont rien à voir avec l’intérêt de la communauté. C’est là le résultat néfaste d’une « table rase » révolutionnaire, qui a arraché le peuple à ses racines millénaires, pour le faire entrer, volens nolens, dans la modernité individualiste, utilitariste, et amnésique. Encore au milieu du XIXe siècle, la plupart des Français parlaient encore leur langue régionale, avant d’user du français. Depuis, l’École républicaine, la presse, puis la télévision, enfin le « nomadisme », ont éradiqué les restes d’identités liées aux patries charnelles.

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  • Les Grandes Gueules sur RMC : Raquel Garrido veut lutter contre le djihadisme bleu marine

    L’avocate, cofondatrice du Front de gauche, a un cv de militante d’extrême-gauche bien rempli : jeune dirigeante étudiante à l’UNEF-ID, vice-présidente de SOS-Racisme à 22 ans, c’est surtout dans les relations internationales qu’elle a ensuite exercé, notamment au sein d’une grande confédération syndicale. Elle fut, toutefois,l’avocate de Jean-Luc Mélenchon notamment dans un procès contre Marine Le Pen.

    Raquel Garrido participait à l’émission des Grandes Gueules sur RMC le 29 avril.

    C’est sur cette antenne, qu’elle s’est livrée à un effet de manche sémantique hors-norme puisqu’elle est partie des massacres perpétrés par l’État islamique en le qualifiant de fascislamisme pour les assimiler ensuite à la politique de Marine Le Pen via un détour par la doctrine politique fasciste des Italiens pendant les années vingt.

    Le FN et l’Etat islamique seraient donc pareils.

    Il lui fallait sortir une formule concoctée aux petits oignons qu’elle a répétée plusieurs fois jusqu’à obtenir un écho de ses pairs à l’antenne : « le djihadisme bleu marine ». Visiblement, l’ensemble de sa rhétorique tournait autour cet abus de langage avec lequel elle tentait de faire réagir.

    « Pour moi, Le djihadisme bleu marine, c’est un fondamentalisme qui génère de la violence

    « Quand vous avez un problème de vivre ensemble entre Français, quand les Français, eux-mêmes, s’entre-détestent » a t-elle reconnu, « dans notre patrie républicaine, nous devons nous aimer et être dans l’égalité ».

    http://fr.novopress.info/

     
  • Plus de 100 morts au djihad étaient partis de France


    A noter que les deux gamins que l’on voit dans cette vidéo sont morts

    Trouvé sur Le Figaro : Les tout derniers morts sont deux adolescents de 12 et 14 ans, partis il y a deux ans avec leur mère. 1.600 personnes environ sont impliquées dans les filières djihadistes françaises.

    Le djihad est un voyage sans retour. La barre des 100 morts parmi les islamistes partis de France pour mener le djihad en Syrie et en Irak a été franchie, selon un décompte des services antiterroristes français. Parmi les derniers décès sur les 104 désormais identifiés figure celui de deux adolescents de 12 et 14 ans qui étaient partis il y a deux ans avec leur mère, une femme radicalisée originaire de la région de Toulouse, a précisé la source sans plus de détails sur leur identité.

    Le taux de mortalité parmi les djihadistes français est particulièrement élevé, relève cette source, qui la met en rapport avec les plus de 800 personnes qui sont allées en Syrie et en Irak, dont quelque 450 y sont encore et environ 260 ont quitté la zone. En ajoutant ceux qui ont émis le souhait de se rendre sur place ou ceux qui sont en route, 1.600 personnes environ sont impliquées dans les filières cjihadistes.

    http://www.contre-info.com/

  • Le conseil français du culte musulman ne paye plus son loyer

    Cette instance est tellement peu représentative des musulmans de France, que le CFCM ne peut pas payer les loyers de leurs locaux… Pourtant le CFCM avait pour objectif de faire émerger une sorte « d’islam de France » et de représenter les musulmans dans les arcanes de notre bonne démocratie. Concernant l’ardeur à la tâche des dirigeants su CFCM, il y a de quoi s’interroger. Nous sommes le 1er mai et leur dernier communiqué de presse remonte au 4 mars (voir ici). La République a tout de même su trouver une place au chaud pour ces parasites.

    En effet SaphirNews nous apprend que « le Conseil français du culte musulman (CFCM) est aussi ravi que soulagé. Après des années d’attente, le Conseil de Paris a adopté une délibération, mardi 14 avril, visant à annuler la dette locative de l’instance et à fixer un loyer symbolique pour l’occupation de ses locaux de 100 m² situé à l’angle des rues Lecourbe et de la Croix-Nivert, dans le 15e arrondissement parisien.

    Le coup de pouce de la municipalité au CFCM est énorme : le siège de l’instance musulmane va désormais être loué à hauteur de 100 €… par an au lieu des 2 550 € mensuels (hors charges), ce qui représentera chaque année une économie de 30 600 €. Outre la quasi-gratuité de ses bureaux, sa dette – les arriérés de loyers impayés cumulés en 2013 et en 2014 –, qui s’élève à 49 216 € est également effacée des registres. »

    http://www.contre-info.com/