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immigration - Page 1250

  • Des trafiquants albanais empochent 9.800 euros par personne pour faire passer des immigrés clandestins de France en Angleterre

    Un réseau de « passeurs » albanais vient d’être démantelé par la brigade mobile de recherche (BMR) à Calais et à Dunkerque. Ces trafiquants organisaient les passages d’immigrés clandestins vers l’Angleterre.

    Les sommes en jeu sont énormes. Le forfait à acquitter au réseau albanais se paie entre 6500 et 7000 livres (jusqu’à 9.800 euros) par personne.

    Pour ce montant, les réseaux albanais assurent à leurs clients d’être pris en charge, jusqu’au franchissement des 35 kilomètres séparant Calais de Douvres, quel que soit le nombre de tentatives nécessaires pour y arriver.

    Les réseaux albanais fonctionnent avec des poids lourds dont les chauffeurs sont complices.

    Les intermédiaires perçoivent de 700 à 1400 euros par personne.

    Les passages se font souvent dans les cargaisons de légumes frais, de choux ou de pommes de terre, car ils dégagent une telle quantité de CO2 que les détecteurs de gaz carbonique censés repérer la respiration humaine sont inopérants.

    Les enquêteurs ont estimé que le bénéfice du trafic du réseau arrêté atteindrait un minimum d’1,4 million d’euros pour un passage de 255 immigrés clandestins depuis le mois de mars.

    Mais d’autres Albanais devraient rapidement remplacer ceux arrêtés…

    Il reste un point à éclaircir : comment ceux qui composent ces marées d’immigrés clandestins sont-ils capables de payer près de 10.000 euros pour arriver jusqu’en Europe puis presqu’encore autant pour passer de la France à l’Angleterre ?

    Beaucoup de Français, d’Européens, vivent dans la misère et sont loin d’avoir 20.000 euros d’économies.

    Alors, d’où vient l’argent ? De quoi alimenter certains propos

  • Viols et agressions sexuelles, ces autres conséquences d’une immigration hors contrôle à Calais, Sangatte,…

    Une agression sexuelle commise à Sangatte par un jeune immigré n’a retenu l’attention que de la presse locale et de quelques médias alternatifs. Du côté des journaux télévisés et de la presse nationale, on n’a d’intérêt que pour les « difficiles conditions de vie des migrants » mais on ne s’intéresse pas un seul instant à ce que subissent les habitants des villes submergées par les immigrés clandestins.

     

    « Il était environ 17 h 40 et je venais de passer l’après-midi dans mon chalet sur la plage de Calais. J’étais sur le point d’arriver sur le parking et il m’a demandé où se situaient les douches. Je lui ai répondu. Il est parti dans cette direction puis il a fait demi-tour en arrivant sur moi par-derrière. Il m’a fait une clé de bras, m’a traînée jusqu’à un chalet où il a commencé à me toucher la poitrine puis les hanches. J’ai essayé de me débattre, j’ai appelé au secours. Des gens sont passés mais ils ne m’ont pas aidée. J’ai tenté de me défendre mais j’avais encore mes sacs dans les mains et je tenais mon chien en laisse. Je lui ai demandé d’arrêter en criant, il a eu peur et il a pris la fuite ».

    Si ce récit avait été celui d’une jeune femme égyptienne durant le printemps arabe, il ferait le tour des tabloïds internationaux. Mais c’est le récit d’une jeune femme française, les faits se passent en France, à Sangatte, zone de non-droit, et l’agresseur est un immigré, ce qui rend le sujet tabou pour les médias aux ordres.

    Arrêté grâce au père de la victime, l’agresseur s’appele Nabeel Mohammed Edris, un Érythréen de 29 ans. Lundi dernier, il est passé en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel.

    C’est l’occasion d’apprendre que « d’autres femmes ont été importunées par monsieur. Il s’est promené tout l’après-midi avec un caleçon de bain en allant voir les jeunes femmes qui prenaient le soleil.»

    Le substitut du procureur trouve scandaleux « que les personnes qui étaient à proximité n’aient même pas levé le petit doigt pour venir en aide à la victime ».

    Le tribunal a condamné le prévenu à trois mois de prison ferme avec maintien en détention. En outre, l’agresseur aura interdiction de se présenter dans les départements du Nord et du Pas-de-Calais pendant trois ans et le tribunal ordonne son inscription au FIJAIS (fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles).

    La vraie question que personne n’ose poser : de Calais à Sangatte, combien de femmes, de jeunes filles, ont-elles été les victimes de viols ou d’agressions sexuelles au cours des dernières semaines ? Entre les faits cachés par les autorités et ceux non déclarés par les victimes, cette conséquence d’une immigration hors contrôle est pourtant bien en augmentation inquiétante.

    Pierre-Alain Depauw

    http://www.medias-presse.info/viols-et-agressions-sexuelles-ces-autres-consequences-dune-immigration-hors-controle-a-calais-sangatte/37030?utm_source=OxiMailing&utm_medium=e-mail&utm_campaign=mpi_94

  • Le muezzin à la place de l'angélus

    Lu dans Valeurs actuelles :

    VA

    La vidéo publiée par le site musulman :

     

    Louise Tudy

  • L’exemple tchèque démontre que la crise de Calais est entretenue par le gouvernement Valls

    Depuis quelques jours, la crise de Calais s’est aggravée. Des milliers de clandestins venus d’Afrique et d’Asie tentent quotidiennement de passer illégalement au Royaume-Uni en empruntant l’Eurotunnel, en risquant parfois leur vie et en provoquant de graves perturbations. Cette situation pourrait-elle être résolue par les autorités ou bien est-elle entretenue sciemment par les autorités françaises ? L’exemple tchèque démontre que la fermeté est la seule solution à adopter et qu’un État doit se donner les moyens de faire respecter sa souveraineté et ses frontières.

    Les migrants tentent coûte que coûte de passer au Royaume-Uni parce qu’ils sont conscients que le libéralisme anglo-saxon est beaucoup plus laxiste que la France dans sa lutte contre le dumping social et qu’ils peuvent y trouver plus facilement du travail. D’autres facteurs tels que le communautarisme, qui leur permet plus facilement de résider dans un territoire sans y faire la demande d’un permis de séjour, et des considérations linguistiques, jouent un rôle certain dans cette déferlante migratoire par le tunnel.

    Dimanche dernier, ce ne sont pas moins de 1 700 clandestins qui ont tenté de pénétrer dans le tunnel. Apparemment ils ne craignent pas vraiment les forces de l’ordre puisqu’ils se permettent de jeter des pierres sur les CRS qui sont parfois blessés à la tête. Ils ne sont pas arrêtés, où alors que très brièvement car ils retentent la traversée dès qu’ils peuvent.

    L’exemple tchèque

    La République tchèque n’est pas une destination privilégiée des demandeurs d’asile, elle est avant tout un lieu de passage pour l’Allemagne, la France ou d’autres pays dont les prestations sociales attirent fortement les migrants. Lorsque les autorités tchèques arrêtent des clandestins, ils les envoient dans des centres de rétention et ne sont pas lâchés dans la nature comme c’est le cas en France ou dans d’autres pays. Une centaine de migrants, qui ont commencé à protester violemment contre leurs conditions de détention, ont trouvé face à eux la police anti-émeute tchèque qui a vite pacifié les lieux.

    Comme la plupart des peuples européens, les Tchèques sont réticents à accepter des migrants provenant d’Afrique ou d’Asie. La différence avec la France c’est que les autorités tiennent là- bas un langage de fermeté bien plus en phase avec les aspirations populaires que celui adopté par les autorités françaises. Le président tchèque Zeman s’est adressé à ces migrants sans craindre quelconque critique des tenants de l’idéologie droit-de-l’hommiste :

    « Première chose : personne ne vous a invités ici. Deuxième chose : comme vous êtes déjà ici, vous devez respecter nos règles, tout comme nous respectons les vôtres quand nous allons dans vos pays. Enfin, troisième chose : si cela ne vous plaît pas, allez-vous en ! »

    La République tchèque est également prête à envoyer 1 500 soldats à sa frontière sud pour renforcer la surveillance des frontières du territoire national.

    Que fait le gouvernement français ?

    À Calais la situation est évidemment bien plus grave qu’en République tchèque, les Calaisiens sont confrontés à des clandestins qui arpentent les rues et dont la situation précaire laisse craindre qu’ils ne commettent encore plus de violences que par le passé. Le gouvernement français ne fait pratiquement rien, ce ne sont pas les 120 policiers supplémentaires envoyés par Cazeneuve qui pourront endiguer la situation, surtout s’il n’y a aucune volonté politique pour mettre fin à ce chaos.

    Si la République tchèque, pays de dix millions d’habitants au pouvoir économique bien moindre que celui de la France, est capable de faire respecter ses lois face aux migrants illégaux, n’y a-t-il vraiment pas de solution à Calais ? Pourquoi le gouvernement français n’envoie-t-il pas l’armée pour arrêter ces illégaux qui ont constitué de véritables camps de fortune qui n’ont rien à envier aux bidonvilles indiens ?

    C’est tout simplement parce que Manuel Valls, en bon valet du projet mondialiste, refuse d’aller à l’encontre de la volonté de ses maîtres. S’il agit de façon ferme et résolue, il risque de se faire taper sur les doigts pour avoir entravé le trajet des migrants dont le passage à travers l’Europe ne pourrait se faire sans une complicité des plus hautes sphères du pouvoir. L’immigration incontrôlée permet de pratiquer le dumping social à outrance, d’occuper le peuple qui s’agace chaque jour un peu plus du parasitisme de certains migrants, et d’éviter de porter une attention trop grande sur la délinquance en col blanc.

    L’attitude de Manuel Valls n’est rien de moins qu’une soumission intégrale aux thèses de Jacques Attali pour qui la France est un hôtel. Et, comme toujours, c’est le peuple français qui est sommé de payer la note, sans même avoir profité de la chambre.

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/L-exemple-tcheque-demontre-que-la-crise-de-Calais-est-entierement-entretenue-par-le-gouvernement-34360.html

  • « La race blanche est en danger », répète Kristiina Ojuland, ex-ministre estonienne des Affaires étrangères, à propos de l’immigration massive

    C’est au début du mois de mai dernier que l’eurodéputé Kristiina Ojuland, ex-ministre estonienne des Affaires étrangères, avait affirmé sur son blog que « La race blanche est en danger ».

    Kristiina Ojuland constatait que l’immigration massive actuelle représente une « menace raciale » . Une évidence politiquement incorrecte.

    L’eurodéputé estonien faisait en l’occurrence référence à l’injonction de la Commission européenne faite aux Etats-membres de l’Union Européenne d’accueillir les flots de réfugiés africains qui arrivent en masse via la Méditerranée.

    Quelques mois ont passé mais la polémique persiste et Kristiina Ojuland continue d’être interrogée sur ce qu’elle a écrit. « Je suis estampillée raciste parce que je parle honnêtement de ce que je crains  » , a-t-elle répondu ces jours-ci aux journalistes qui revenaient sur le sujet.

    Bien consciente que de tels propos peuvent mettre sa carrière politique en péril, elle n’en a cure, et explique posément qu’elle n’a nul besoin d’apparaître tous les jours à la télévision ou dans la presse. Ce qui la pousse à continuer la politique dans ces conditions ?  « J’aime l’Estonie et j’ai l’intention de protéger l’Estonie » , répond-elle.

    Voici une race de politicien qu’on ne trouve pas en France, sous les projecteurs…

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • France : vers une guerre civile?

    Le 8 janvier, après les attentats parisiens, Ivan Rioufol écrivait cet article intitulé "une guerre civile menace la France" :

    "Car ce mercredi, la France est en guerre. En guerre civile peut-être, demain. Son ennemi est l'islam radical, l'islam politique, l'islamisme djihadiste. «Nous avons vengé le prophète», auraient crié les tueurs. L'ennemi n'est évidemment pas l'ensemble des musulmans, dont beaucoup sont bien sûr horrifiés par ce carnage contre des journalistes.

    Mais ceux-là doivent, toute affaire cessante, descendre massivement dans les rues pour se désolidariser enfin clairement de ceux qui ont la même religion qu'eux et qui appliquent ses préceptes à la lettre. En 1954, en Algérie, l'Armée de libération nationale ne comptait pas plus de 800 hommes ; ils ont réussi à faire plier la République huit ans plus tard". 

    Le 24 avril, Thierry Baudet à son tour signait dans le Figaro : "Le risque de guerre civile paneuropéenne est réel" :

    "Ce que nous devons retenir de la situation en Irak, en Syrie, en Libye et autres, c'est qu'une unité politique qui n'est pas soutenue par un peuple doté d'une identité nationale commune est intrinsèquement instable. Les différentes factions ou communautés perçoivent alors la politique comme une compétition gagnant-perdant c'est eux ou nous- et sont toujours enclines à prendre le pouvoir quand l'autre est plus faible. C'est ce que nous avons eu à surmonter en Europe lors des guerres de religions aux 16ème et 17ème siècles qui conduisirent en France à l'assassinat d'Henri IV et à la la Fronde, et en Hollande à l'assassinat de Guillaume le Taciturne et à la Guerre d'Indépendance avec l'Espagne catholique pour finalement aboutir à la formation d'une conscience nationale.

    En raison de l'immigration de masse et des aspirations politiques naturelles des musulmans devenus très nombreux, nous prenons le risque d'un retour à l'état de guerre civile paneuropéenne. C'est une raison supplémentaire pour ne pas permettre l'arrivée de ces réfugiés sur nos côtes".

    Ce 17 août, Georges Bensoussan se livre dans ce très long entretien :

    "Toute une partie de la jeunesse de notre pays se reconnaît de moins en moins dans notre culture. Elle lui devient un code culturel étranger, une langue morte et pas seulement pour des raisons sociales. Nous sommes en train d'assister en France à l'émergence de deux peuples au point que certains évoquent des germes de guerre civile.

    Dans le cadre de la préparation d'un nouvel ouvrage, j'ai été frappé en écoutant plusieurs de mes interlocuteurs de voir que l'expression «guerre civile», qui aurait fait ricaner il y a dix ans ou surpris il y a cinq ans, est aujourd'hui dans les bouches d'un grand nombre, tant d'élus de terrain, de policiers, de médecins hospitaliers (service des urgences par exemple) ou de banlieue. Le sentiment que deux peuples sont en train de se former, côte à côte, et qui se regardent souvent avec hostilité, ce sentiment-là est aujourd'hui partagé par beaucoup".

    Et la France focalise son attention sur les chats abandonnés sur les routes des vacances...

    Lahire

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L’aveuglement gouvernemental face à l’islam

    Pour masquer l’échec du Conseil français du culte musulman (CFCM), le gouvernement a décidé de créer une nouvelle structure, une « instance de dialogue » avec l’islam. 150 personnalités musulmanes débattront, à échéance régulière, avec l’État sur diverses questions sensibles, formation des imams, financement des mosquées, etc. Est-ce sérieux ?

    Une islamophobie imaginaire

    La première édition de cette rencontre, au ministère de l’Intérieur, le 15 juin 2015, a confirmé que l’État est toujours aussi aveuglé et dans le déni de la réalité. Plutôt que d’aborder en priorité les problèmes de l’opacité du financement des mosquées, de la formation des 2000 imams en majorité algériens, marocains et turcs dont les prêches sont souvent radicales, les questions inquiétantes de l’entrisme salafiste dans des mosquées de plus en plus nombreuses, du durcissement des jeunes immigrés musulmans fascinés par l’État islamique (Daech) et désireux de porter le djihad en France même, de la multiplication des attentats et assassinats terroristes commis au nom de l’islam, on n’a pas osé parler de ces sujets qui fâchent. On a préféré rabâcher la rengaine habituelle contre une « islamophobie » imaginaire.

    La première et principale table ronde a porté sur « la sécurité des lieux de culte, la lutte contre les actes antimusulmans et l’image de l’islam ». C’est bien connu : c’est l’islam qui est menacé et agressé en France, ce n’est pas lui qui attaque les autres. Le ministère de l’Intérieur a précisé, en mentant : « il y a eu autant d’actes antimusulmans enregistrés sur le territoire français en janvier 2015 que pendant toute l’année 2014 ». En fait, à la suite du traumatisme créé par les tueries islamiques de janvier (17 morts) faisant suite à celle de Bruxelles, il s’agit de tags et d’inscriptions ”islamophobes”, jamais d’agressions ni d’actes violents.

    Complètement soumis à ses interlocuteurs musulmans et se plaçant dans une position capitularde, le ministère de l’Intérieur n’ose pas évoquer l’explosion des attaques antisémites et antichrétiennes, elles, pour le coup, ultraviolentes et dont les auteurs sont tous de jeunes musulmans fanatisés. Sans parler des agressions contre les juifs, qui poussent ces derniers à émigrer, à quitter les zones à forte proportion musulmane, à retirer leurs enfants des écoles publiques, les hauts fonctionnaires du ministère de l’Intérieur se gardent bien de communiquer sur la hausse impressionnante des profanations et dégradations commises contre des églises et cimetières catholiques, dont les auteurs sont pourtant parfaitement identifiés. Avec, en prime, le projet déjoué au dernier moment, d’un massacre dans une église en mai 2015 par un tueur algérien lié au djihad international. 

    Pas un mot, dans cette ” instance de dialogue” avec l’islam, sur la mollesse et la rareté des réactions des autorités musulmanes ni sur l’inquiétante approbation, tacite ou exprimée, des attentats djihadistes par une fraction croissante des jeunes immigrés musulmans. Comme toujours l’agresseur est présenté comme une victime. 

    Alors que le très coûteux plan Vigipirate doit protéger les sièges des médias, de nombreux sites touristiques ou administratifs les églises, les synagogues, les magasins casher – tiens, c’est bizarre, pourquoi ? – il a été décidé une subvention publique, jusqu’à 80% du coût, pour la protection des mosquées, notamment en surveillance vidéo. Mais, qui, diable, les menace ? C’est au nom de l’islam qu’on attaque mais c’est lui qu’il faut protéger.

    Innocenter l’islam

    Les autorités musulmanes, avec une certaine impudence, ont formulé des plaintes au gouvernement français parce que « l’image de l’islam » s’est dégradée dans l’opinion suite aux actes terroristes commis en France et aux exactions de Daech au Moyen-Orient et en Lybie et de leurs émules en Afrique. Elles se lamentent hypocritement de la « stigmatisation » (nouveau mot fétiche de la langue de bois) dont l’islam serait victime et de l’ « amalgame » (autre mot fétiche) entre le terrorisme commis au nom de l’islam et les musulmans. Comme c’est curieux ! Imaginons que des chrétiens, des juifs, des bouddhistes commettent des attentats sanglants contre des musulmans ou d’autres ”au nom” de leur religion. On ne serait pas en droit de se poser certaines questions ?

    Cette situation ressemble à celle du communisme : les crimes commis en son nom (Staline, Mao, Pol-Pot, Fidel Castro, etc.) ont été découplés par l’intelligentsia occidentale du marxisme communiste, dont l’essence était supposée pure et sympathique. De même aujourd’hui, on découple les crimes commis au nom de l’islam de l’islam lui-même. C’est un peu facile. A-t-on découplé les crimes du nazisme hitlérien d’une idéologie nationale-socialiste supposée innocente ? Hitler et l’hitlérisme étaient coupables, mais pas les nazis, pas le national-socialisme ? Staline et les staliniens étaient coupables mais pas le communisme marxiste ? Ce genre de sophisme, utilisé aujourd’hui pour innocenter l’islam, ne passe plus auprès du bon sens populaire. 

    Naïvetés républicaines

    Manuel Valls a déclaré, à l’occasion de cette première réunion de l’ ” instance de dialogue ” avec l’islam : « c’est un grand défi des années qui viennent : démontrer que l’islam est totalement compatible avec la démocratie, la République, l’égalité des hommes et des femmes ». Il a dû oublier de lire le Coran, comme Juppé. C’est la méthode Coué, le déni total du réel. On pourrait dire aussi que le marxisme communiste est totalement compatible avec la libre entreprise, que le christianisme est totalement compatible avec l’athéisme, que le judaïsme est totalement compatible avec l’antisémitisme, que le nazisme est totalement compatible avec le judaïsme et que les chats sont totalement compatibles avec les souris.

    Mais le Front national, vis-à-vis de l’islam, montre une semblable naïveté. La députée Marion Maréchal – Le Pen a affirmé : « les imams voulant prêcher en France devraient signer un charte sur la liberté d’expression, l’égalité hommes-femmes, les pratiques démocratiques, la supériorité de la loi française sur la loi islamique, la liberté de religion. » Elle s’imagine qu’une telle charte est possible ? Elle ignore la nature de l’islam ? L’égalité entre les sexes et la liberté de religion sont complètement contraires à la charia, la loi islamique. Et cette dernière s’affirme, théologiquement, supérieure à toutes les lois profanes qu’elle entend à terme abroger et remplacer.

    Commentant les résultats de la première réunion de cette ” instance de dialogue avec le culte musulman ”, Jean-Marie Guénois (Le Figaro, 15/06/2015) suggère qu’il s’agit d’un « moulin à vent » qui cacherait une « approche électoraliste » des musulmans de France. Il écrit : « pourquoi en effet, aucun d’entre eux (les participants) n’a voulu ni osé poser la question […] de la montée d’un radicalisme salafiste chez certains jeunes musulmans français ? ”Hors sujet ,dit-on. Mais n’est-ce pas ce drame (les attentats de janvier 2015) qui a suscité cette instance ? ”Pour ne pas stigmatiser l’islam”, ajoute-t-on. […] Comment le pays des droits de l’homme peut-il ainsi se taire à propos d’une idée religieuse extrémiste qui programme chaque jour des jeunes Français pour tuer ? » La réponse est : par un mélange de calcul électoral, de lâcheté et de déni idéologique de la réalité.

    Prolifération de mosquées

    En attendant, les mosquées s’implantent sur le territoire français à grande vitesse, en proportion de l’inflation démographique des musulmans. On dénombre 2.500 mosquées et salles de prière en France, dont 1.000 ont été édifiées depuis quinze ans. En 1985, il y avait 500 mosquées. C’est la progression la plus spectaculaire dans tout l’Occident, un record pour un pays qui se veut le champion mondial de la ”laïcité”. La communauté musulmane de France exige de parvenir à terme à 5.000 mosquées – chiffre que Dalil Boubakeur a relayé. 300 moquées sont actuellement en construction. La réticence des maires et des populations est de plus en plus forte, signe que ce dossier va devenir explosif.

    Bernard Cazeneuve, le ministre de l’Intérieur, faux laïc mais vrai soutien de l’islamisation de la France, a menacé, au cours de la réunion précitée : « je n’accepterai pas que des projets de constructions de mosquées soient bloqués par des élus par des prétextes à finalité politique ». La République ”laïque” impose donc aux Français une accélération de l’implantation de l’islam, tout en facilitant l’immigration de masse en majorité musulmane. De son côté, le faux modéré, spécialiste en double discours, Dalil Boubakeur, recteur de la mosquée de Paris et président sortant du CFCM, a suggéré sur Europe 1 le 15 juin que les églises vides puissent être transformées en mosquées…Avant de se rétracter. Mais le plus incroyable sont ces propos de Mgr Michel Dubost, évêque d’Évry : « sur le principe, je préfère que les églises deviennent des mosquées plutôt que des restaurants ». Les chrétiens d’Orient, persécutés par l’islam, dont les églises sont dynamitées ou transformées en mosquées, apprécieront ces propos en provenance d’un Église de France aux prélats décérébrés. Autant que les dirigeants ”républicains”.

    http://www.gfaye.com/laveuglement-gouvernemental-face-a-lislam/

  • Lire ou relire « Le Camp des Saints » : essai sur la schizophrénie de l’opinion

    Il faut lire et relire le livre de Jean Raspail, Le Camp des Saints, l’histoire d’un afflux massif d’un million d’immigrants : ce n’est pas seulement un livre prophétique, c’est la plus pertinente analyse de la situation des quarante dernières années. La fiction romanesque apporte le meilleur éclairage d’une réalité politique fondée sur la tyrannie médiatique et le déni de réalité ethnique.
    Explications :

    Lorsque j’ai appris la réédition du Camp des Saints, j’ai cherché le livre dans ma bibliothèque pour le relire. L’ouvrage avait disparu : sans doute l’avais-je prêté ou donné comme tout un chacun l’a fait pour ce livre qui, comme un samizdat, est passé de mains en mains. J’ai donc racheté Le Camp des Saints et je l’ai relu avec un bonheur (ou un malheur) renouvelé.

    Big Brother, Big Mother et Big Other

    D’emblée Jean Raspail campe la situation dans sa nouvelle préface. L’Europe, la France vivent sous le joug d’une idéologie unique : Big Other. Une admiration sans bornes de l’autre, doublée de la haine de soi, de sa culture, de sa civilisation. Une idéologie unique qui nous assujettit grâce aux méthodes de Big Brother : la société de surveillance que nous connaissons où la police de la pensée est omniprésente. Une idéologie unique qui s’impose d’autant plus facilement aux individus qu’ils sont affaiblis par la tutelle de Big Mother : le principe de précaution qui doit s’appliquer du berceau à la tombe. Sauf dans un domaine, semble-t-il, celui des… politiques migratoires.

    La tyrannie médiatique

    Passons la préface, entrons dans le roman : on y rencontre des autorités politiques impuissantes et des médias qui manipulent l’opinion. Cela ne vous rappelle rien ? Allumez la télévision, ouvrez le poste de radio et vous croirez entendre les grandes consciences bavardes qui peuplent le roman de Raspail : les Dio, les Durfort, les Vilsberg, les Rosemonde Real. Ils sont toujours là pour plaindre le sort des clandestins de Lampedusa et soutenir les « mal logés ». Et l’omniprésent Réseau éducation sans frontières (RESF) utilise les mêmes méthodes que le comité de soutien aux « enfants du Gange ».

    La schizophrénie de l’opinion

    Il y a plus intéressant encore dans le roman de Raspail : la description parabolique de la schizophrénie de l’opinion. Dans Le Camp des Saints, les grands médias dominants prônent l’accueil des « enfants du Gange » ; et Josiane et Marcel, dans leur HLM, se laissent prendre comme les autres par la magie du « verbe dissolvant » ; à Paris, les manifestations de solidarité se multiplient. Mais dans les départements du sud, la population fuit à l’approche du million d’immigrants pouilleux qui s’apprêtent à débarquer des bateaux. Là encore cela ne vous rappelle rien ?

    Depuis trente ans, avec leurs mains, les électeurs ont voté pour des partis peu ou pro-immigrationnistes. Et le douloureux souvenir du 21 avril 2002 où Jean-Marie Le Pen accéda au deuxième tour de l’élection présidentielle hante encore les « bonnes consciences ». Mais les mêmes ont aussi voté avec leurs pieds : beaucoup de Français de souche ont quitté les quartiers de l’immigration. L’immense majorité des fonctionnaires, quel que soit le métier qu’ils exercent et leur syndicat d’appartenance, font tout pour ne pas être affectés en Seine-Saint-Denis. Situées aux frontières des quartiers de l’immigration, l’école Sainte-Geneviève à Asnières vient de refuser 800 demandes d’inscription pour la rentrée de septembre 2011 et l’école Sainte-Jeanne-d’Arc, à Colombes, 700 ! Quel plébiscite !

    Bien sûr, les membres de l’oligarchie sont les premiers à échapper à ce qu’ils préconisent : depuis trente ans le Conseil d’Etat a imposé à la France, par sa jurisprudence et son interprétation idéologique des textes internationaux, la législation la plus laxiste d’Europe. Par une décision du 21 mars 2011, le Conseil d’Etat vient même de rendre impossible l’expulsion des clandestins. Mais 95% de ces éminents juristes, auto-érigés en législateurs, habitent les beaux quartiers et pas un de leurs enfants n’a fréquenté d’école à forte présence de l’immigration. D’un côté les beaux et bons sentiments, de l’autre l’égoïsme salvateur !

    Trancher le Nœud gordien !

    Dans son œuvre, Jean Raspail prête au président de la République (un Pompidou romancé) la formule suivante : « Eh bien, messieurs, il vous faudra attendre (…) pour résoudre l’unique problème du monde contemporain : est-ce que les droits de l’homme auxquels nous tenons tant peuvent être préservés au détriment du droit des autres hommes ? » Quarante ans plus tard, le problème reste crucial : le droit actuel de l’immigration reconnaît tout au droit des individus à immigrer, rien au droit des Etats à contrôler l’immigration qu’ils subissent. Seul le point de vue individuel est pris en compte, jamais le point de vue du collectif et du national.

    Or rien ne sera possible sans affirmation préalable du droit des peuples à sauvegarder leur identité. Après avoir laissé voter la liberticide loi Pleven, Georges Pompidou avait quitté le monde en laissant derrière lui un curieux ouvrage posthume : Le Nœud gordien. Il y posait brillamment les problèmes qu’il n’avait ni pu, ni su, ni voulu résoudre. Qui demain tranchera le Nœud gordien ?

    Jean-Yves Le Gallou, 23/03/2011

    http://www.polemia.com/lire-ou-relire-le-camp-des-saints-essai-sur-la-schizophrenie-de-lopinion/

  • Par idéologie, l’Insee a menti sur ses chiffres de l’immigration en France !

    L’Insee publiait vendredi son enquête chiffrée de l’immigration en France. Les résultats sont sans appel : entre 2004 et 2012, 200.000 immigrés sont arrivés chaque année en moyenne, soit environ l’équivalent de la population de la ville de Rennes. Au total, entre 2004 et 2012, c’est donc 1,6 million d’immigrés qui sont arrivés en France soit deux fois l’équivalent de la population de la ville de Marseille, deuxième ville la plus peuplée de France !

    46 % du reste de l’immigration est intra‑européenne. L’Afrique représente 30 % des flux migratoires qui arrivent en France.

    Cependant, l’enquête de l’Insee ne prend pas en compte les estimations de l’immigration illégale, ni les personnes qui résident en France pendant moins de douze mois. Une enquête, donc, qui ne traduit pas toutes les réalités de l’immigration. En France aujourd’hui, on estime que les chiffres de l’immigration illégale sont quasiment identiques à ceux de l’immigration légale soit en tout 400 000 immigrés nouveaux par an, et 3,6 millions en 10 ans. Bien entendu sur ces 3,6 millions nombre d’entre eux ont donné naissance à des enfants, qui eux-mêmes ne sont pas comptés dans les chiffres de l’INSEE.

    Les Français passifs hier concernant l’immigration sont aujourd’hui abasourdis par les chiffres réels et se plaignent au quotidien de l’envahissement du pays. La hausse significative du taux de criminalité et de la délinquance accrue, des actes d’incivilités des immigrés et l’hygiène déplorable constaté partout en France, mais aussi les trafics en tout genre dont la drogue en est devenu le fléau, du vandalisme, des voitures brûlées, sans parler du racisme anti chrétiens, anti Juifs et anti blanc, les prières de rue, le nombre croissant de constructions de mosquées financés par l’Etat au mépris de la loi sur la laïcité et des échoppes de kebab et magasins halal qui poussent plus vite que des champignons !!!

    Quand on parle de « Grand Remplacement », ce n’est pas une lubie de notre part, ou une vision complotiste mais bien une réalité politique.

    source : lagauchematuer :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dep_interieur/EuFAZEVEkucFiSmzVb.shtml

  • La France aime les djihadistes : elle les garde !

    Frustrés de ne pouvoir rejoindre les théâtres d'opération en Syrie ou en Irak, ces individus présenteront un risque fort de passage à l'acte en France.

     

    Face à l’effroyable progression de l’État islamique et à l’indéniable séduction qu’il opère auprès de certains jeunes Français, le gouvernement a eu une idée.

    Non pas une réponse ferme et lucide, telle que la fermeture des mosquées salafistes ou le démantèlement de l’économie souterraine qui permet à de nombreux quartiers de vivre en dehors des lois de la République et de financer des activités terroristes. Pas davantage une réponse diplomatique qui verrait la France s’affranchir enfin de son hostilité à Bachar el-Assad et suggérer la formation d’une coalition régionale pour « buter les terroristes de Daech jusque dans les chiottes ».

    Non, en France, nous n’avons pas Poutine ; nous avons Cazeneuve. Cazeneuve qui, bien qu’étant l’un des rares ministres compétents de l’actuel gouvernement, n’est pas homme à renverser la table. Plus un adepte tatillon de mesurettes administratives qu’un combattant que requerrait pourtant la situation présente.

    Lire la suite