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immigration - Page 1252

  • Eric Zemmour à Montpellier : « Je ne suis pas Charlie »

    L’essayiste et journaliste Eric Zemmour était au Mas Saporta ce jeudi à Montpellier, pour un dîner-débat autour de son livreLe Suicide français, organisé par l’association Tradition et Progrès. Un dîner-débat improvisé en deux semaines puisqu’il devait se dérouler originellement à la Faculté de droit de Montpellier (*) mais l’administration de l’université, qui avait reçu l’année dernière Jean-Luc Mélenchon, a refusé de recevoir Eric Zemmour en prétextant, entre autres, qu’après « les événements du 11 janvier, il est exclu d’accueillir une conférence aussi polémique d’autant plus que monsieur Zemmour n’est plus le bienvenu sur bon nombre de médias », une interprétation particulière de « l’esprit du 11 janvier ».

    « Selon Zemmour, aujourd’hui, pour l’idéologie dominante, “ les mots veulent dire le contraire de ce qu’ils veulent dire. Quand vous entendez à la télévision qu’il faut défendre la liberté d’opinion, ça veut dire qu’il faut l’interdire.” »

    Interrogé par le public, Eric Zemmour a déclaré qu’il n’était pas Charlie : « Charlie Hebdo est le très bon exemple de la grande force des adeptes et des apôtres de l’idéologie dominante post-soixante-huitarde. Les attentats des 7 et 9 janvier sont quand même la faillite de tout le discours de ces trente dernières années. Voilà des gens qui ont été élevés en France, qui sont issus de l’immigration, du regroupement familial, de l’école, du vivre-ensemble, de l’intégration, etc., et qui tuent en plein Paris des Français. C’est un échec total pour l’idéologie dominante. Eh bien vous aurez remarqué que, par un effet fantastique de manipulation des esprits, on a commencé par manifester pour la liberté d’opinion et puis ça s’est fini par “il faut lutter contre l’islamophobie”. Les victimes de ces attentats ont servi à légitimer la lutte contre l’islamophobie, moi je dis chapeau… ».

    Pour Zemmour, « on passe désormais à une nouvelle étape qui est la construction des mosquées. Si Coulibaly et Kouachi ont fait un carnage c’est parce qu’il n’y avait pas assez de mosquées. Et tout ça en trois mois ! Aujourd’hui, vous avez un premier ministre qui dit “Je suis d’accord pour un financement public des mosquées”. (…) Ça prouve que finalement “Seule la force prime le droit”, comme le disait le chancelier Bismarck. “Je suis Charlie” a été un sas de décompression sémantique et rhétorique pour passer définitivement du monde de la liberté démocratique, même si elle est illusionnée, au monde de l’interdiction de toute liberté au nom du “vivre-ensemble”. »

    Très critique sur les questions migratoires, Eric Zemmour fait un constat amer :

    « On a un peuple français qui est en train de se fracturer, le peuple français n’existe plus et il y a deux peuples au moins sur le territoire français, qui ont des cultures différentes, des histoires différentes, ils n’adorent pas les mêmes dieux, ils n’ont pas les mêmes conceptions de l’existence des femmes, de la philosophie, etc. (…) Du moment où il n’y a plus de peuple français sur le territoire de la France (…) on a des zones en France qui petit à petit s’autonomisent ; tout le monde voit bien ce qui est en train de se passer. Des zones qui ne sont plus la France. Si Richelieu fait le siège de La Rochelle et extermine 90% des habitants, c’est parce que les protestants se sont autonomisés, se sont organisés en république protestante à l’image de la république des Pays-Bas, ils font venir des armes d’Angleterre. Pour Richelieu, ce n’est pas possible, c’est un Etat dans l’Etat, c’est un pays étranger dans la France. Aujourd’hui, nous en sommes là, nous sommes avec des La Rochelle qui se multiplient un peu partout en France. Petit à petit, des régions entières s’autogèrent, s’autoréglementent, qui s’autofinancent avec le trafic de drogue, le Qatar et l’Arabie Saoudite. Des régions qui s’organisent autour d’une nouvelle règle qui est le Coran, qui halalisent” des quartiers entiers. D’ailleurs, chose que j’ai découverte en écrivant Le Suicide français, on appelait La Rochelle, sous Richelieu, la Mecque du protestantisme. »

    Selon Zemmour, aujourd’hui, pour l’idéologie dominante, « les mots veulent dire le contraire de ce qu’ils veulent dire. Quand vous entendez à la télévision qu’il faut défendre la liberté d’opinion, ça veut dire qu’il faut l’interdire, en tout cas pour tous ceux qui ne pensent pas comme eux. Mais on n’a même plus besoin d’avoir recours à la censure puisque depuis trente ans, on a tellement détruit les fondements de l’apprentissage culturel, intellectuel. Comme le niveau baisse tout le temps et le savoir diminue tout le temps, l’esprit critique est de moins en moins développé. C’est miraculeux qu’on ait une partie de la jeunesse qui se révolte contre cet ordre dominant. Pour une fois mon pessimisme est pris en défaut. Je suis ébahi par cette jeunesse. Au début je les prenais pour des benêts, je me disais que c’était irrécupérable, mais il y a eu une sorte d’instinct de survie de la jeunesse qui se révolte contre ces papys soixante-huitards. »

    Eric Zemmour, Extraits d’une conférence donnée à Montpellier le 9/04/2015

    Note de la rédaction :

    (*) Il est intéressant de relever que, en une période de socialisme tendance social libéral, l’Alma Mater refuse une conférence qui pourrait susciter un débat et qu’elle se soumette à la doxa médiatique. Le totalitarisme s’installe.

    Source Lengadoc-info.com (11/04/2015)

    http://www.polemia.com/eric-zemmour-a-montpellier-je-ne-suis-pas-charlie/

  • L’école, instrument du grand remplacement

     L’école n’est pas seulement l’endroit où l’on peut observer le Grand Remplacement. Elle est aussi le lieu où il se prépare. C’est le grand intérêt du livre de Claude Meunier-Berthelot, C’est l’identité française qu’on assassineque de dévoiler des réalités occultées. D’un côté, tout est fait pour couper les enfants français des racines européennes de la civilisation. De l’autre, des programmes de soutien et de discrimination sont mis en place dans les banlieues de l’immigration. Nous publions ici la préface de Jean-Yves Le Gallou au livre très documenté de Claude Meunier-Berthelot.

    « Car le Grand Remplacement n’est possible que parce qu’il est précédé par le grand effacement, le grand effacement de l’histoire française, le grand effacement de la mémoire européenne ».

    Polémia

    Nul ne peut raisonnablement nier le Grand Remplacement : la substitution d’une population de souche européenne par d’autres populations venues d’ailleurs et imposant des mœurs et des coutumes étrangères.

    Le Grand Remplacement est visible.

    Il est visible dans les maternités.

    Il est visible dans les quartiers.

    Il est visible dans les écoles : il suffit de comparer des photos de classe prises dans les années 1950, 1960, 1970 à des photos de classe actuelles. Il est visible aussi à la sortie des écoles où voiles islamiques et boubous sont de plus en plus nombreux.

    Mais l’école n’est pas seulement l’endroit où l’on peut observer le Grand Remplacement. Elle est aussi le lieu où il se prépare. C’est le grand intérêt du livre de Claude Meunier-Berthelot que de dévoiler des réalités occultées.

    identiteCar le Grand Remplacement n’est possible que parce qu’il est précédé par le grand effacement, le grand effacement de l’histoire française, le grand effacement de la mémoire européenne. Ce grand effacement est l’objet des réformes successives et méthodiques conduites depuis 45 ans dans l’Education nationale : « alléger » les programmes pour supprimer progressivement toute référence à l’histoire et à la littérature française. La prétendue « refondation de l’école » n’est que l’achèvement de ce processus consistant à substituer une école-garderie à une école des savoirs, une école-lieu de vie à une école humaniste. Un premier résultat est d’ores et déjà obtenu : de plus en plus de jeunes sortent sans repères de l’éducation nationale, ils ne savent plus ni qui ils sont ni d’où ils viennent. Ni ce qu’ils ont à défendre, ni ce à quoi ils doivent s’opposer. Rien n’empêche plus leur remplacement.

    La faillite de l’Education nationale, ce n’est pas seulement cela. C’est aussi la mise en panne de l’ascenseur social, la destruction du principe du mérite républicain. Jusqu’à la fin des années 1970 l’école sélectionnait les meilleurs. Un enfant doué, ou travailleur, quelle que soit son origine sociale, pouvait accéder aux filières d’excellence : lycées, classes préparatoires, grandes écoles. La mise en place du collège unique a brisé cette dynamique : au nom d’une égalité théorique les gouvernements successifs ont mis en place un clivage social profond.

    D’un côté, les enfants qui habitent un beau quartier et qui sont scolarisés dans de bons (ou moins mauvais) établissements ; ou bien les enfants que les parents scolarisent à leurs frais dans des établissements privés sous contrat (voire, encore mieux, hors contrat) ; ou encore les enfants qui bénéficient de cours de soutien pour pallier les carences de l’école officielle.

    De l’autre côté, tous les enfants qui doivent se contenter d’une école dégradée sans ordre, sans discipline, sans structuration, sans ambition ; ceux-là sont condamnés à la médiocrité.

    Il y a donc une coupure profonde et croissante entre les enfants des classes aisées – oligarchie dirigeante et classes moyennes supérieures – qui pourront accéder aux bonnes filières et les autres condamnés à perdre leur temps dans des études minables du collège à l’université.

    Les bonnes âmes politiquement conformes ont malgré tout pris conscience de cette situation. Elles ont donc décidé de mettre en place des institutions correctives : équipes de réussite éducative, écoles de la deuxième chance, internats d’excellence pour le secondaire ; filières parallèles d’accès aux établissements nobles de l’enseignement supérieur (Sciences-Po, ESSEC, écoles de journalisme, etc.). Il n’y a qu’un hic : ces moyens d’exception sont réservés à une minorité, celle qui vient des zones d’éducation prioritaire (ZEP), c’est-à-dire des quartiers de l’immigration. Il est d’ailleurs singulier de constater que le référentiel sur la « refondation de l’éducation prioritaire » n’a rigoureusement rien à voir avec les dispositions générales de la « refondation de l’école ». C’est même précisément l’inverse, comme le décrit méthodiquement Claude Meunier-Berthelot.

    Alors que la « refondation de l’école » pour tous insiste sur son côté lieu de vie, il en va tout autrement pour la « refondation de l’éducation prioritaire » dont les textes fondateurs insistent sur les nécessités d’un « enseignement structuré », d’un « travail soutenu », de « savoirs enseignés explicitement ». On voit ainsi se mettre en place, au moins dans les intentions, un enseignement fondé sur la transmission des savoirs et la recherche de l’excellence à destination exclusive des habitants des banlieues de l’immigration.

    L’objectif est d’ailleurs assez clair, notamment s’agissant des internats d’excellence et des filières d’accès privilégié aux grandes écoles : permettre à un nombre grandissant de représentants des minorités visibles d’accéder à des postes de responsabilité dans les médias, les administrations, les entreprises, en bénéficiant de voies d’accès privilégiées, voire de ce qu’on appelait jadis le « piston »Cela revient en quelque sorte à préparer le Grand Remplacement des élites, en tout cas à favoriser l’accès aux classes dirigeantes par des moyens éducatifs privilégiés aux seuls enfants des classes populaires issus des quartiers de l’immigration… au détriment du reste, c’est-à-dire des Français de souche relégués dans les périphéries.

    On retrouve ici le mécanisme décrit par le géographe Christophe Guilluy : l’alliance de fer entre l’oligarchie mondialisée des centres villes et les banlieues de l’immigration au détriment de la France périphérique des villes moyennes, des campagnes rurbanisées et des provinces.

    C’est le grand mérite de Claude Meunier-Berthelot d’apporter une description très argumentée de cette politique à travers la discrimination positive à l’école : une discrimination positive pour les uns dont il ne faut pas oublier qu’elle est aussi négative pour les autres, c’est-à-dire pour les nôtres…

    Jean-Yves Le Gallou, 16/04/2015

    Voir : C’est l’identité française qu’on assassinede Claude Meunier-Berthelot

    http://www.polemia.com/lecole-instrument-du-grand-remplacement/

  • Villejuif : la photo de l’algérien qui voulait massacrer des chrétiens

    sid ahmed Ghlam
    A noter que ce projet terroriste tombe à pic pour les socialistes qui veulent légaliser la surveillance de masse dans notre pays. Plutôt que d’espionner tout le monde, tout le temps, exigeons l’inversion des flux migratoires !

    http://www.contre-info.com/

  • Torrent migratoire – Débat entre Aymeric Chauprade (FN) et Fanélie Carrey-Conte (PS)

    Devant l’afflux gigantesque de nouveaux immigrés vers les côtes européennes, quelles sont les solutions proposées par nos responsables politiques ? La Chaîne Parlementaire organisait ce mardi 21 avril un débat à ce sujet entre l’eurodéputé FN Aymeric Chauprade et le député PS Fanélie Carrey-Conte.

    Pour le PS, la solution réside dans l’ouverture plus grande encore des portes de l’Europe. Jusqu’à la submersion ?

    ———

    http://www.medias-presse.info/torrent-migratoire-debat-entre-aymeric-chauprade-fn-et-fanelie-carrey-conte-ps/29920

  • Migrants : les conseils de l'Australie à l'UE

    Tony Abbott, premier ministre d'Australie, estime que si les pays de l'Union européenne suivaient le modèle australien, beaucoup de vies seraient sauvées.

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    "Pour Tony Abbott, seul le refoulement systématique des bateaux chargés de migrants est efficace. "Des centaines, peut-être des milliers de personnes se sont noyées en essayant d'atteindre l'Europe depuis l'Afrique. Le seul moyen d'empêcher ces tragédies est de mettre fin (à l'arrivée) des bateaux", a-t-il déclaré mardi à des journalistes.

    "Il est urgent que les Européens adoptent une politique très ferme qui puisse mettre fin au trafic d'êtres humains en Méditerranée", a-t-il ajouté."[...]

    Marie Bethanie

  • L’Europe est impuissante face aux flux migratoires venus du Sud

    Les Européens n’ont pas à être culpabilisés, ils n’y sont pour rien et n’ont pas vocation à être envahis un peu plus.

    Depuis la guerre en Libye, nous devons tous les jours commenter un nouveau drame en Méditerranée. Dimanche dernier, par exemple, 800 personnes sont mortes des suites du naufrage d’un chalutier au large de l’Italie. La semaine dernière, 450 migrants trouvaient la mort dans des conditions similaires. Et ainsi de suite. C’est assez.

    Pour l’eurocrate Michel Barnier, une solution existe pour endiguer le phénomène. Ainsi qu’il l’a déclaré au « Club de la presse » d’Europe 1, « il faudra accueillir plus de réfugiés en France » car « ces naufrages, ces drames interpellent l’honneur et l’humanité des Européens ». Il a pour partie raison ; en effet, cette situation ne doit pas, et ne peut pas, nous laisser indifférents. Il est temps de se mobiliser, mais bien plutôt pour dire stop à l’immigration clandestine. Contrairement aux leçons de morale des indignés professionnels, telle est l’issue la plus humaniste. L’Europe, et particulièrement la France, ne sont plus en capacité de recevoir des réfugiés toujours plus nombreux et qui, demain, le seront bien plus encore.

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  • Migrants : Malte demande une intervention contre les passeurs criminels

    Lu dans Présent :

    P"Alors que la plupart des pays européens n’en finissent plus de pleurer sur une situation dramatique qu’ils ont contribué à créer par leur incurie en matière d’immigration, du côté de La Valette, on ne s’embarrasse pas avec le politiquement correct. Jugeant « insuffisante » la proposition de blocus de son homologue italien Matteo Renzi, le Premier ministre maltais Joseph Muscat et son ministre des Affaires étrangères George Vella ont en effet demandé lundi à ce que l’on intervienne militairement contre les passeurs, en allant notamment les traquer jusque dans les eaux libyennes.

    Selon le Times of Malta, George Vella a ainsi déclaré que la création d’une coalition chargée de combattre les trafiquants d’êtres humains, avec un mandat des Nations Unies lui permettant de les attaquer militairement, est aujourd’hui « du devoir de la communauté internationale ». Une déclaration à laquelle Joseph Muscat devait ajouter : « le temps est venu d’agir en Libye ». En effet, poursuivait-il, « à moins que des mesures ne soient prises autour de la Libye, ces scènes seront amenées à se reproduire ». [...]"

    Michel Janva

  • RSA : l’échec sanglant de la société « post raciale »

    En Afrique du Sud, les dernières violences « xénophobes » ont pris une telle ampleur que le Malawi a décidé d’évacuer ses ressortissants et que le Mozambique a demandé fermement aux autorités sud-africaines d’assurer la protection de ses nationaux. Quant au président Zuma, il vient d’annuler une visite officielle à l’étranger afin de suivre l’évolution de la situation.

    « Un peu plus d’un an après la mort de Nelson Mandela, le culte planétaire quasi religieux rendu à sa personne apparaît donc en total décalage avec les événements. »

    Un peu partout dans le pays, notamment au Natal et dans la région de Johannesburg, les immigrés africains, qu’ils soient Malawites, Mozambicains, Somaliens, Zimbabwéens, Soudanais ou encore Nigérians, sont en effet pris pour cibles, lynchés ou forcés à se réfugier dans les camps militaires cependant que leurs biens sont systématiquement pillés. Au Natal, les pogroms ont été encouragés par le roi des Zulu et ailleurs dans le pays par le propre fils du président Zuma… Dans la « nation arc-en-ciel », au pays de Nelson Mandela, des Noirs massacrent donc d’autres Noirs, et qui plus est, des Noirs immigrés… Voilà de quoi déstabiliser les bonnes âmes qui pensaient, la main sur le cœur et abreuvées de certitudes morales, qu’une fois le régime blanc d’apartheid balayé, les fontaines sud-africaines allaient laisser couler le lait et le miel de la société post-raciale…

    Un peu plus d’un an après la mort de Nelson Mandela, le culte planétaire quasi religieux rendu à sa personne apparaît donc en total décalage avec les événements. Le réel est en effet de retour – une fois de plus et comme toujours –, balayant au passage le mythe-guimauve de la « nation arc-en-ciel » fraternelle et ouverte au monde.

    Dans un pays où le chômage touche environ 40% des actifs et où le revenu de la tranche la plus démunie de la population noire est inférieur de près de 50% à celui qu’il était sous le régime blanc d’avant 1994, dans un pays où 18 millions de Noirs, sur une population de 53 millions d’habitants, ne survivent que grâce aux aides sociales, le Social Grant, quoi d’étonnant à ce qu’éclatent des violences xénophobes, les étrangers étant accusés de prendre le travail des plus pauvres ?

    L’échec économique sud-africain est en effet total ; je développe ce point dans le chapitre IV de mon dernier livre Osons dire la vérité à l’Afrique. Selon le Rapport économique sur l’Afrique pour l’année 2013, rédigé par la Commission économique de l’Afrique (ONU) et l’Union africaine (en ligne), l’Afrique du Sud s’est en effet classée parmi les 5 pays « les moins performants » du continent sur la base de la croissance moyenne annuelle, devançant à peine les Comores, Madagascar, le Soudan et le Swaziland.

    Pris dans la nasse de ses propres mensonges, de ses prévarications, de ses insuffisances, le parti gouvernemental, l’ANC – le parti de Nelson Mandela –, ne pourra pas éternellement mettre en accusation le « régime d’apartheid » afin de tenter de dégager ses responsabilités dans la faillite de ce qui fut un pays prospère.

    D’autant plus qu’en Afrique du Sud, une presse libre existe. Et elle ne se prive pas d’écrire qu’en deux décennies, l’ANC a dilapidé le colossal héritage laissé par le régime blanc et a transformé le pays en un Etat du « tiers-monde » dérivant dans un océan de pénuries, de corruption, de misère sociale et de violences, réalité encore en partie masquée par quelques secteurs ultraperformants, mais de plus en plus réduits.

    En France, faire un tel constat est considéré comme une insulte à la Nation arc-en-ciel et à la mémoire de Nelson Mandela.

    Bernard Lugan, 18/04/2015

    Source : L’afrique réelle – Bernard Lugan

    http://www.polemia.com/rsa-lechec-sanglant-de-la-societe-post-raciale-4/

  • Immigration clandestine : Michel Barnier veut accueillir plus de réfugiés en France. L’Australie préconise la fermeté !

    Michel Barnier était face à Michèle Cotta, Arlette Chabot et Serge July dans “Le Club de la Presse” lundi soir sur Europe 1.

    Réagissant aux derniers naufrages d’immigrés clandestins en Méditerranée, Michel Barnier considère que pour – régler le problème -, il suffirait d’ouvrir encore plus nos frontières :

    Il faudra accueillir plus de réfugiés en France

    De son côté, l’ONU semble sur la même longueur d’onde en suggérant d’accepter l’invasion migratoire et le Grand Remplacement aux Européens. En effet, le Haut-Commissaire de l’ONU aux droits de l’Homme, Zeid Ra’ad Al Hussein, a lourdement critiqué lundi les politiques migratoires “cyniques” de l’Union européenne :”L’Europe tourne le dos à certains des migrants les plus vulnérables dans le monde, et risque de transformer la Méditerranée en un vaste cimetière“.

    Pour sa part, le Premier ministre australien Tony Abbott a conseillé mardi à l’UE de suivre l’exemple de son pays et de refouler tous les migrants arrivés par la mer.

    Tony Abbott a exhorté l’UE a faire preuve de fermeté :

    Des centaines, peut-être des milliers de personnes se sont noyées en essayant d’atteindre l’Europe depuis l’Afrique. Le seul moyen d’empêcher ces tragédies est de mettre fin (à l’arrivée) des bateaux (…) Il est urgent que les Européens adoptent une politique très ferme qui puisse mettre fin au trafic d’êtres humains en Méditerranée.


    Michel Barnier Sur dans "Le club de la presse… par Europe1fr

    http://fr.novopress.info/186117/immigres-clandestins-michel-barnier-veut-accueillir-refugies-en-france-laustralie-preconise-fermete/