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immigration - Page 1252

  • Calais, migrants, Eurotunnel, désinformation maximum !

    On n’en entend pas parler, et pour cause car cela irait trop à l’encontre de l’idéologie de nos chers dirigeants, mais la bonne ville de Calais et ses environs sont régulièrement le théâtre d’affrontements violents entre « migrants », c’est ainsi qu’ils s’appellent désormais, et forces de l’ordre françaises mises à rude contribution !

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    CALAIS – 2 août 2015 – Près de 400 tentatives d’intrusion sur le site d’Eurotunnel ont été dénombrées dans la nuit de samedi à dimanche dernier. Contrairement aux autres soirées où ils privilégiaient les passages en très petits groupes, les migrants sont arrivés cette fois-ci en bande.

     

    FOLKESTONE – 1 août 2015 – du côté anglais du tunnel, les avis étaient partagés ce samedi. Deux manifestations ont eu lieu. Des partisans d’un groupe dit d’extrême-droite, Union Jack et croix de Saint-Georges en étendard, ont fait face à d’autres Britanniques souhaitant exprimer leur soutien aux clandestins.

     

    CALAIS – juin/juillet 2015 – Des centaines de migrants, sur les 3 000 massés à Calais, tentent chaque jour de rallier l’Angleterre en se cachant dans des camions. Le gouvernement britannique a annoncé la mise en place d’une zone de sécurité de 4 km où les chauffeurs ne seraient plus la cible des migrants.

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    C’est en fait chaque jour que des incidents graves ont lieu dans les environs proches de Eurotunnel qui provoquent des perturbations du trafic voire son blocage complet durant plusieurs heures, en vérité les forces de l’ordre sur place sont totalement débordées face à l’afflux des migrants, d’après le syndicat de police la situation est intenable mais les médias officiels se gardent bien de trop commenter des évènements qui démontreraient les aberrations de la politique des frontières de l’Union européenne et l’absurdité des dogmes pro-immigration de nos dirigeants :

    http://www.20minutes.fr/societe/1663375-20150806-calais-situation-intenable-policiers-apres-syndicat

    http://www.agoravox.tv/actualites/politique/article/calais-migrants-eurotunnel-50623

  • Valérie Pécresse ou l’art de promettre la lune aux musulmans

    Mme Pécresse entend-elle que les musulmans subissent le « parcours républicain » que l’on imposa aux catholiques dans ce pays qui pourtant avait été façonné par le christianisme ? Un parcours fait de confiscation, d’expulsion et finalement de séparation.

    Valérie Pécresse, contrairement à ce qu’a écrit Le Canard enchaîné le 29 juillet dernier, n’a pas dit lors d’une réunion publique au Blanc-Mesnil le 8 juillet que l’« on doit pouvoir donner aux musulmans ce qu’on donne aux Français et aux Juifs » et l’on s’en réjouit. C’est ce qu’affirme clairement dans un communiqué du 6 août, publié sur son site de campagne « #jaichoisiValérie », la tête de liste des Républicains. Ce communiqué cite entre guillemets les propos que l’ancienne ministre aurait réellement tenus. Les voici : « c’est évident, ce que l’on a demandé aux catholiques et aux juifs par le passé, on doit pouvoir le demander aux musulmans de France. Mais ce qu’on a donné aux catholiques et aux juifs par le passé, on doit aussi pouvoir le donner aux musulmans de France, dès lors qu’ils s’intègrent dans les principes de la République. Tout ça, c’est des sujets dont il faut que nous parlions. Tout ça, c’est des sujets de discussion. »

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  • 910 Français ont rejoint l'Etat islamique en Syrie

    Lu dans Le Monde :

    E"Depuis le début du conflit, 910 Français ont été séduits par ce discours apocalyptique et ont rejoint la Syrie. Selon le dernier bilan du ministère de l’intérieur, fin juillet, 494 sont toujours sur place et 126 y ont perdu la vie : un djihadiste français sur sept est mort en Syrie.

    Pour l’essentiel, ces « martyrs » sont des hommes. Sur les 158 Françaises actuellement sur place, une seule aurait succombé des suites d’une maladie. Ce sont paradoxalement les mineurs qui payent le plus lourd tribu. Cinq des seize adolescents français partis combattre sont morts, soit près du tiers. On estime par ailleurs que plusieurs dizaines d’enfants français en bas âge, pour lesquels n’existe aucun chiffre officiel, ont été emmenés par leurs parents pour peupler le « Califat »."

    Et les Français qui ne sont pas morts en Syrie vont-ils pouvoir rentrer en France ?

    Michel Janva

  • Immigration ou invasion ? La question se posait déjà en 1991

    Devant les marées humaines qui déferlent ces semaines-ci sur les côtes européennes, quel mot faut-il utiliser pour décrire ce à quoi nous assistons ?

    En 1991, déjà, Valéry Giscard d’Estaing parlait d’invasion. Non, sans faire naître une polémique. Près de 25 ans ont passé, 25 longues années d’aveuglement de politiciens de tous bords…


    1991 : Giscard et l’invasion migratoire par powellenoch

    http://www.medias-presse.info/immigration-ou-invasion-la-question-se-posait-deja-en-1991/36670

  • Immigration dossier européen

    Chose assez stupéfiante : on sera, pour une fois, presque d'accord avec le Premier ministre gauchiste grec M. Alexis Tsipras. Mais avant d'en arriver à la description des circonstances de cette convergence inattendue, et certainement éphémère, il semble utile de faire le point sur les épisodes précédents.

    Le premier homme politique qui, en Europe, s'identifia au lancement de l'alerte sur les conséquences prévisibles d'une immigration incontrôlée s'appelait Enoch Powell. Le 20 avril 1968, devant une réunion régionale du parti conservateur il prononce un discours célèbre pour fustiger la législation que mettent alors en place les travaillistes au pouvoir. Ce discours de Birmingham est resté dans les mémoires en référence à la citation : "Si je regarde vers l'avenir, je suis empli de sombres présages ; tel le poète romain, il me semble voir le Tibre écumer d'un sang abondant."

    La gauche dénonça bien entendu ce qu'elle appela le "discours des fleuves de sang". Et le parti travailliste mit en place sa législation, catastrophique pour le Royaume Uni, qui, à l'époque, n'appartenait même pas au marché commun. (1)⇓

    Dès lors, ce ne fut pas seulement la gauche, ce fut toute la classe politique et médiatique de Londres qui rejeta l'imprécateur Powell et ses mises en garde, recrachées comme le caillou dans l'omelette.

    Alors qu'un sondage Gallup réalisé fin avril 1968 montrait que 74 % de la population britannique était d'accord avec lui, Enoch Powell dut en effet démissionner des instances de son propre parti, et notamment du cabinet fantôme.

    Dans son livre "Une révolution sous nos yeux" (2)⇓, Christopher Caldwell souligne pourtant que les prédictions chiffrées de Powell se sont pratiquement presque toutes réalisées.

    La mise à l'écart d'Enoch Powell, qui se reconvertit en tant que chantre de l'unionisme anglo-irlandais, ouvrit alors la porte, pour quelques années à l'essor du National Front. Ce mouvement beaucoup plus extrémiste connut son apogée entre 1973 et 1976. À partir de 1979, le gouvernement Thatcher, sans pour autant résoudre vraiment la question migratoire, mit au moins un terme à certains excès, tel le libre accès illimité accordé aux ressortissants du Commonwealth. (3)⇓

    L'apparente rémission du problème en Angleterre, assortie des concessions incroyables faites aux islamistes à l'époque de ce qu'on appelait le "Londonistan" (4)⇓, contemporaine du redressement économique du pays, ont entraîné, depuis 30 ans, l'illusion que la prospérité constituait une réponse aux dangers d'invasion : on serait tenté de dire, au contraire, que les candidats à l'invasion du Bengladesh demeurent peu nombreux.

    Parallèlement, et avec plus ou moins de retard sur Enoch Powell, des réactions analogues se sont développées à peu près sur le même modèle, dans toute l'Europe, avec les mêmes phases : affirmation autour d'un homme, osant dire tout haut ce que les 3/4 de ses compatriotes pensent tout bas, rejet par la classe politique, toujours au départ sur la pression de la gauche, tétanisation et division de la droite, apparition de réactions extrêmes, parfois même odieuses dans certains pays, par ex. en Norvège, mobilisation des prétendues forces morales et, finalement, capitulation idéologique de la société.

    À l'arrivée ce renoncement à tout droit prioritaire du régnicole est devenu une sorte de règle politiquement correcte. Le Conseil constitutionnel en France, sous la présidence du chiraquien Jean-Louis Debré, ou Mme Merkel en Allemagne, d'étiquette démocrate-chrétienne mais qui proclame que l'islam fait partie de l'identité allemande, ne cessent de le rappeler.

    Dominante dans les grands pays d'Europe de l'ouest cette forme d'autoflagellation s'est instituée sans trop de résistance règle morale au sein des instances communautaires qui parlent du destin du continent avec à peu près autant de pertinence que M. Hollande s'exprime au nom de son pays.

    Les raisons de cette attitude, qui va jusqu'à la persécution de quiconque la critique, ne sauraient être exclusivement portées au débit du ramollissement cérébral.

    Le dogme de la retraite dite par répartition, par exemple, amène les dirigeants du système à affirmer, contre toute évidence, que les immigrés sauveront les pensions de vieillesse, pour lesquelles on impose aux travailleurs salariés du privé ou indépendants, des prélèvements énormes sans aucune garantie pour l'avenir.

    C'est donc devenu désormais une sorte de diktat mondial : l'Europe doit, et elle seule subit cette contrainte, présentée pour un impératif moral, accueillir la misère du monde. Pourquoi les pays musulmans n'accueillent-ils pas leurs "frères" ? Pourquoi la richissime Arabie Saoudite, au lieu de faire la guerre au Yémen, ne fait-elle rien pour les autres Arabes ? etc.

    L'affaire de Calais le démontre à nouveau : séparément, l'Angleterre et la France ne résoudront pas le problème.

    Alors, oui, on peut donner raison à M. Tsipras qui vient de déclarer que cette question "dépasse" (5)⇓ la Grèce seule, comme elle est en train de submerger tous les pays exposés au flanc sud et à l'est du continent.

    Nous nous trouvons tous pris au piège de la convention de 1951 sur les réfugiés et des accords de Schengen négociés en 1985, dans des contextes complètement différents : il faut prendre acte du changement complet de la situation internationale. Il est devenu impératif de revoir ces documents en conséquence, donc de fond en comble.

    Il est certes, aujourd'hui, de bon ton de condamner la Hongrie qui construit un mur à sa frontière. Au moins ce pays entreprend-il de répondre, avec les moyens dont il dispose, à un défi dont dépend la survie même de la civilisation européenne.

    JG Malliarakis

    150704

    Apostilles

    1.  Rappelons que cette adhésion ne fut acceptée que par Georges Pompidou, alors que le général De Gaulle s'y était toujours opposé.
    2.  Titre de la traduction française publiée aux Éditions du Toucan en 2011.
    3.  Jusqu'à la clarification du British Nationality Act de 1981, la question juridique était extrêmement complexe. En France, au contraire, une décision de 1982 a facilité la naturalisation des ressortissants des anciennes possessions d'outre-mer.
    4.  Ces concessions ne se sont progressivement réduites, depuis la révélation en 2014, de divers scandales, que sous le gouvernement Cameron lire à ce sujet la Chronique du site Est-et-Ouest du 7 août. 
    5.  Une violente polémique s'est développée à Athènes entre les partis d'opposition et la ministre, manifestement incompétente, chargée du dossier. Nous renvoyons simplement nos lecteurs au petit article de l'agence officieuse Ana : "Le dossier immigration/réfugiés dépasse la Grèce".

    http://www.insolent.fr/

  • Romans : un homme a la gorge tranchée à la terrasse d’un café

    Dans la « France d’après », on assiste à des scènes inimaginables pour les Français d’il y a quelques décennies :

    « une scène d’une rare violence s’est produite mardi en fin de matinée en plein centre de Romans. Un groupe d’habitués buvait un verre à la terrasse d’un café sur la place centrale. C’est alors qu’un autre consommateur, qui était attablé tranquillement un peu plus loin, s’est levé et s’est dirigé avec un couteau sur l’un des membres du groupe. Sans que le moindre mot ait été échangé , il a tranché la gorge d ‘un des jeunes hommes assis là, âgé d’une trentaine d’années. Par chance , la lame a épargné la carotide mais il s’en est fallu d’un rien. Le jeune homme a pu être sauvé grâce à l’intervention rapide des secours. L’agresseur, vêtu d’un short et d’un maillot de couleur vive, a pu prendre la fuite, profitant de l’effet de surprise et de la confusion générale. » (source)

    Les médias taisent généralement l’identité et l’origine des auteurs de crimes sur des Français, quand ils sont étrangers.
    Mais quand il s’agit d’égorgement, on est sûr d’office que ce n’est pas un Français qui est l’auteur, tant cette pratique est étrangère à notre pays et typique d’autres…

    http://www.contre-info.com/

  • Il joue le déséquilibré : "Non, moi, je ne décapite personne"

    Un homme de 34 ans a été condamné par le tribunal correctionnel de Versailles, à une peine de 2 ans de prison dont 6 mois avec sursis. La justice lui reproche d’avoir menacé de mort deux éducateurs d’une association et un agent de l’aide sociale à l’enfance du conseil départemental.

    Lors d’une visite avec sa fille de 18 mois, placée depuis sa naissance dans une famille d’accueil, le papa les a menacés de les égorger et les décapiter avec son sabre alors qu’une éducatrice venait de prendre l’enfant dans ses bras. Cet homme d’origine portugaise, converti à l’islam, a également traité une fonctionnaire de police de « sale chrétienne » avant de lui conseiller d’avoir peur des musulmans.

    Dans le box des prévenus, il joue le malade mental et se veut rassurant :

    « Oui, j’ai dit tout cela mais sans jamais avoir eu l’intention de le faire. Non, moi, je ne décapite personne. Vous pouvez demander à mon boulanger ».

    L'individu a déjà été condamné 16 fois.

    Michel Janva

  • Envahisseurs en Italie : « Nous voulons des sous, le wi-fi et la bouffe n’est pas bonne ».


    Ces jeunes hommes – « migrants » et soi-disant « réfugiés » – se plaignent de devoir se déplacer à pied pour trouver un endroit avec wi-fi, que la nourriture est mauvaise et qu’il n’est pas admissible de dormir à 5 dans une pièce.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • Immigration : la police s'alarme de l'arrivée massive de clandestins

    Une réunion de crise s'est tenue à Nice à la suite d'une note confidentielle de la Police aux frontières alertant sur l'entrée en France, via la frontière italienne, d'un grand nombre d'illégaux érythréens.

    La pression de l'immigration clandestine devient intenable à la frontière entre la France et l'Italie. C'est ce que révèle un document confidentiel dont Le Figaro a eu connaissance. Il émane de la direction zonale sud de la Police aux frontières (PAF). Il s'agit du «compte rendu» d'une «réunion exceptionnelle» qui s'est tenue, le 9 juillet dernier, à la préfecture des Alpes-Maritimes, «provoquée», est-il précisé, par le «phénomène migratoire érythréen». Le préfet des Alpes-Maritimes en personne, Adolphe Colrat, a présidé cette réunion. Elle rassemblait une trentaine d'agents de haut rang, dont des chefs de service de Menton, Nice, Marseille, Toulon, Avignon, et jusqu'aux Alpes-de-Haute-Provence. Des responsables locaux de la gendarmerie, des douanes et de la SNCF étaient également conviés.

    Leur constat se veut clinique. Tout part d'un «état statistique des migrants par voie maritime en Italie»: «Entre le 1er janvier et le 30 juin 2014, 61.591 migrants irréguliers ont débarqué en Italie, ils n'étaient que 7913 pour la même période en 2013, et seulement 4301 pour les six premiers mois de l'année 2012. Les Érythréens représentent 31 % de ces migrants (18.282). Les Syriens arrivent en seconde position, avec 10.371 (17 %).»

    La suite? «Ce sont les répercussions en France, et nous les vivons maintenant», explique un agent de la Police aux frontière de la zone sud. Le rapport du 9 juillet indique ainsi que «les migrants en provenance de la Corne de l'Afrique et du Soudan sont au nombre de 5757 au 30 juin 2014. Il s'agit principalement d'Érythréens (ou de personnes se déclarant érythréens), pour 5235 (d'entre eux), soit 91 % des personnes interpellées».

    Un flux jamais vu depuis le printemps arabe

    Le compte rendu, remonté jusqu'au cabinet du ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, précise que «la pression migratoire sur la frontière avec l'Italie s'est accentuée à partir du début du mois d'avril 2014. 694 Érythréens étaient interpellés contre seulement 68 interpellations entre janvier et mars 2014. Les interpellations progressaient de + 165 % au mois de mai (1845) et encore de 43 % au mois de juin (2628). Au total, pour le premier semestre, 2014, la PAF procédait à 5235 interpellations.» Du jamais-vu depuis les vagues du printemps arabe de 2010. Il y a bien une explosion de passages d'illégaux en France. Selon un agent en poste dans la région niçoise, «les clandestins arrivent principalement par TGV, avec des billets en règle, par dizaines désormais dans certaines rames de train». Cette source confie que «pour le seul site de la gare de Menton, 3462 interpellations» ont été effectuées par la PAF «depuis le début de l'année». «Les forces de l'ordre constatent depuis plusieurs jours la présence plus marquée de femmes et enfants érythréens», ajoute un officier de police de cette direction spécialisée. Et les forces de l'ordre ne voient pas tout…

    Beaucoup de migrants tenteraient de rejoindre l'Allemagne. Mais pas seulement. C'est, en tout cas, en France que l'essentiel des interpellés est relâché dans la nature. Car le document issu de la réunion de crise à la préfecture des Alpes-Maritimes révèle l'incroyable dénuement de l'administration face à ce phénomène d'ampleur inédite. Certes, les brigades mobiles de la PAF ont pu arrêter 26 passeurs localement, dont deux dans les Bouches-du-Rhône. Mais du point de vue des mesures administratives et judiciaires, les moyens d'action demeurent limités.

    «Depuis le 1er janvier 2014, 3411 remises immédiates en Italie ont été réalisées, 882 Érythréens ont été laissés libres après procédure», indique le préfet de Nice. Par ailleurs, 881 d'entre-eux ont fait l'objet d'un OQTF (obligation de quitter le territoire) «libre». En clair: il est demandé à ces ressortissants étrangers de quitter le pays par eux-mêmes…

    Sur les 5235 interpellés, 57 ont également été «réadmis» en Italie (au titre d'une procédure spéciale) et seulement 4 placés en centre de rétention administrative, ces structures censées faciliter le retour au pays. «Au final, ceux qui restent s'ajoutent à ceux qui souvent reviennent», résume un fonctionnaire de la PAF. Car les procédures Schengen sont à ce point complexes que l'Italie et la France semblent en partie désarmées.

    Le rapport du 9 juillet décrit, en termes choisis, le mécanisme de cette relative impuissance: «La procédure subséquente aux interpellations à proximité de la frontière italienne permet une remise immédiate aux autorités italiennes. Hors ce périmètre, les contraintes liées aux difficultés de l'interprétariat et de traitement avec plusieurs étrangers demandent un diagnostic précis de la situation administrative.»

    Ses rédacteurs ajoutent: «L'absence de document d'identité ou d'éléments objectifs justifiant la provenance d'Italie rendent la sollicitation auprès de ce pays d'une réadmission effective impossible. Dans le cas d'espèce, une obligation à quitter le territoire est notifiée à l'étranger.» Autrement dit, comme expliqué plus haut, une invitation à partir dont la suite dépend du bon vouloir du clandestin…

    Comme un certain nombre d'illégaux réclament, par ailleurs, le statut de réfugié. Et «une demande d'asile est alors instruite» avec logement «en centre d'accueil pour demandeur d'asile (Cada).» Dans ce contexte, on s'interroge sur les gains espérés de la future réforme Cazeneuve, censée «sauver» la procédure de l'asile en France, notoirement sur le point d'imploser.

    Ce n'est pas tout. La loi socialiste de 2012, qui interdit notamment de poursuivre ceux qui aident les clandestins de façon ponctuelle, achève de ruiner l'efficacité policière. Le compte rendu du 9 juillet dernier l'exprime poliment: «La modification de l'incrimination de l'aide à la circulation et l'absence de déclarations mettant en cause les accompagnateurs et les trafiquants rendent difficiles les poursuites pénales à l'encontre des passeurs.»

    Tout est dit. La Police aux frontières du Grand Sud réclame dans cette note d'alerte des renforts, qui commencent à arriver. Mais pour quels résultats sans moyens légaux adaptés?

    La PAF conclut, un brin dépitée, «pour l'instant, un système organisé de trafic n'est pas encore établi.» «Le rapprochement avec les policiers italiens sur cette thématique permettra un meilleur ciblage», se prend-elle à espérer. Été laborieux en perspective pour Bernard Cazeneuve.

    Les réseaux de passeurs sous haute surveillance

    Dès le 15 avril dernier, le préfet des Alpes-Maritimes a arrêté un plan d'action pour canaliser le flux des clandestins érythréens notamment. Des effectifs de la Police aux frontières zonale ont été dépêchés sur les réseaux routier et ferré.

    Le poste de Menton, point d'entrée majeur, a été renforcé, en plus des unités chargées de l'investigation sur les réseaux de passeurs, qui intègrent désormais les effectifs des Brigades mobiles de recherches de la PAF des départements 06, 83, 13 et 84.

    Le suivi des interpellations est assuré par 9 fonctionnaires supplémentaires qui assurent une permanence judiciaire de 6 heures à minuit, 7 jours sur 7.Le 10 juillet, s'est tenue une réunion entre la PAF, le centre frontière de Vintimille et les autorités italiennes, afin de coordonner leurs actions. Des patrouilles mixtes devraient être engagées de part et d'autre de la frontière. Le préfet de Nice propose qu'un bilan d'activité hebdomadaire soit établi chaque mardi.

    source : Le Figaro :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuFApAyykFKypJHTGX.shtml

  • Immigration, le référendum slovaque dont les médias ne vous parleront pas – « La Slovaquie n’est pas l’Afrique », clame le peuple

    Slovaquie n'est pas l'Afrique

    L’immigration semble partout s’imposer comme le sujet du moment.

    Un accord de coopération en matière d’asile signé le 21 juillet 2015 entre la Slovaquie et l’Autriche prévoit que 500 « réfugiés » qui séjournent au centre d’accueil de Traiskirchen en Autriche seront transférés en Slovaquie où ils seront hébergés dans un bâtiment désaffecté au sein de l’Université technique slovaque située à  Gabcikovo.

    Gabcikovo se trouve en Slovaquie. à la frontière Sud-Ouest du pays, proche de l’Autriche, dans une région de langue hongroise.

    Mais le maire de  Gabcikovo ne l’entend pas de cette oreille.  Le dimanche 2 août 2015, il a donc organisé un référendum dont les médias du système se garderont bien de vous parler.

    La question était simple et demandait si la population de cette municipalité de 5.100 habitants était d’accord d’accueillir 500 immigrés.

    La réponse a été aussi claire que la question. Les 50 % de participation des habitants nécessaires à la validité du référendum ont été largement atteints et les habitants ont dit « Non » à 97 %.  

    http://www.medias-presse.info/immigration-le-referendum-slovaque-dont-les-medias-ne-vous-parleront-pas-la-slovaquie-nest-pas-lafrique-clame-le-peuple/36597