A propos des « migrants » :
« Voila ce que certains médias cachent, l’interview et le cri de colère d’une Calaisienne en détresse qui nous raconte la réalité de se que sa mère subit au quotidien depuis l’implantation du camp Jules Ferry ».
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A propos des « migrants » :
« Voila ce que certains médias cachent, l’interview et le cri de colère d’une Calaisienne en détresse qui nous raconte la réalité de se que sa mère subit au quotidien depuis l’implantation du camp Jules Ferry ».
Horrifiés et impuissants, nous assistons à la recrudescence en Méditerranée des naufrages de migrants. Les victimes se comptent par centaines. L’Union européenne tergiverse. Chacun y va de son indignation, qui glisse néanmoins au silence gêné dès qu’il devient question d’accueillir. Les experts en tout genre analysent et supputent.
A vrai dire, les causes sont vite cernées, encore qu’elles constituent un faisceau où s’entrecroisent raisons objectives et calculs politiques, sinon bassement financiers. Laissons d’emblée l’explication basique chère aux radicaux de tout poil: c’est la faute à l’Occident ! Une météorite viendrait par malheur frapper notre planète que ces doctrinaires tranchants sauraient aussitôt dénoncer les manigances de l’impérialisme.
Sans nier les erreurs, les interventions parfois inopportunes, l’oubli des principes au profit des intérêts bien compris, attribuer aux seuls Occidentaux la responsabilité du chaos qui affecte le Moyen-Orient et une large partie de l’Afrique relève de la mystification.
La guerre civile, l’explosion des fanatismes religieux, la décomposition politique, la ruine économique ne sont pas le résultat d’une conspiration mondialiste, mais l’aboutissement d’évolutions commencées voici des décennies et parfaitement prévues par des observateurs objectifs et lucides. Restons seulement dans le domaine français : il faudrait relire aujourd’hui René Dumont (« L’Afrique noire est mal partie » 1962) ou Jean-Christophe Rufin (« L’Empire et les nouveaux barbares » 1991), pour ne citer que ces deux-là.
Nous connaissons la problématique. La guerre, l’insécurité, le nettoyage ethnique ou confessionnel chassent sur les routes des millions de réfugiés. Des mafias mues par le seul profit ou par la volonté d’alimenter des trésors de guerre les « prennent en charge ». Une grande partie de ces malheureux se retrouve dans cet immense espace de non-droit qu’est devenue la Libye, où ils deviennent les otages de fait des milices islamistes qui se disputent le pays (dont la redoutable Daech).
A cela s’ajoute, venus à travers le désert, des centaines de milliers d’Africains dont beaucoup fuient certes aussi l’insécurité, mais également l’absence totale d’avenir, le manque de travail, la misère qui pousse les familles à espérer pouvoir vivre de l’argent envoyé par le fils exilé dans cette Europe imaginée comme un Eldorado.
Les causes du marasme africain sont multiples, mais ne faut-il pas mettre en avant l’absence d’état, la kleptocratie généralisée qui caractérise les élites dirigeantes de pays improbables aux frontières héritées des partages coloniaux et qui n’ont de réalité ni politique, ni nationale. Et, surtout, ne faut-il pas incriminer aussi une croissance démographique déraisonnable ?
Attention! Là, on touche au sacré tant les non-dits et un optimisme de commande imposent de prendre sévèrement garde à ce que l’on avance… Rares sont les démographes qui reconnaissent que la transition démographique ne s’est pas réellement produite en Afrique, essentiellement pour des raisons culturelles et religieuses.
Qu’appelle-t-on « transition démographique » ? Le passage d’un renouvellement des populations selon des modalités naturelles à la maîtrise de la démographie qui caractérise les sociétés modernes. Celle-ci s’opère en quatre phases. Lors de la première, les taux de natalité et de mortalité sont élevés, la croissance démographique quasi nulle, les pics de mortalité correspondent aux famines, disettes ou épidémies.
La vraie transition commence avec la deuxième phase : de meilleures conditions de vie font reculer la mortalité (spécialement infantile), mais le taux de natalité demeure très élevé et la croissance démographique s’accélère. Dans la troisième, la hausse du niveau de vie et d’éducation entraîne une baisse progressive de la natalité. Enfin, dans la quatrième, le niveau de population se stabilise.
La troisième phase a commencé dès le milieu du XIX° siècle, dans les pays européens qui s’industrialisaient et dont les niveaux de vie progressaient. Dans les pays pauvres, en revanche, on en est resté à la deuxième phase sous la pression du sous-développement, des pesanteurs culturelles, des structures familiales patriarcales tandis que se répandaient les progrès sanitaires. Les taux de fécondité sont demeurés très élevés alors que la mortalité reculait. La démographie a explosé.
C’est ce qu’on constate en Afrique, où les perspectives économiques, souvent importantes mais grevées par la mauvaise gouvernance, ne laissent à la masse grandissante de jeunes arrivant sur la marché du travail aucune perspective d’avenir.
Prenons l’exemple du Nigeria, gros pourvoyeur de candidats à l’exode, et qui passe non sans raison pour l’un des plus importants détenteurs de richesses naturelles du continent. Ce grand état d’Afrique de l’Ouest affichait en 1960 45 millions d’habitants. Il en avait 115 millions en 1998.
Si le taux de 5,7 enfants par femme se maintient, la division « population »de l’ONU projette, pour 2050, une population de 440 millions… et 914 millions en 2100. Malgré ses potentialités, (le Nigéria est un gros producteur de pétrole et de gaz, il dispose de ressources agricoles, cacao, arachide), le niveau de vie décroît, 92% des Nigérians vivent avec moins de 2 dollars par jour, l’espérance de vie ne dépasse pas 45 ans.
L’environnement est dévasté : en vingt ans, 55% de la forêt a été détruite, pour récupérer de la terre cultivable ou fournir du bois de chauffage. Les vols de pétrole sur les oléoducs entraînent la pollution permanente du delta du Niger.
Face à un gouvernement dépassé et corrompu, la violence et les rébellions s’étendent, attisées par les antagonismes ethniques ou religieux entre chrétiens et musulmans. Boko Haram terrorise le Nord. Dans ces conditions, l’émigration, à n’importe quel prix, est une fuite. Et s’il n’y avait que le Nigeria…
Que faire ? Aider, investir, éduquer ? Mettre en œuvre les Nations-Unies ? Mais où sont sur place les relais politiques ? Qui va faire bouger les mentalités, reculer les fanatismes et l’obscurantisme ? Qui peut gérer une situation devenue incontrôlable et que la conjonction prévisible d’une démographie déraisonnable et de la péjoration climatique va rendre encore plus explosive ?
Les politologues qui nous disent que les problèmes sont devant nous sont à coup sûr les plus lucides. Combien de malheureux désespérés la Méditerranée va-t-elle encore engloutir ? Combien faudra-t-il de temps pour que l’opinion en Europe passe de la compassion au rejet ?
http://fortune.fdesouche.com/388295-que-faire-face-aux-migrants
Julien Sanchez, maire Front national de Beaucaire (Gard), a été cité à comparaître mercredi par des commerçants musulmans qui s’estiment discriminés par deux arrêtés municipaux. Juridiquement, un arrêté municipal est une décision administrative unilatérale prise par le maire. Le maire a notamment des compétences de police municipale. Les deux arrêtés visés, dans le recours pour excès de pouvoir des commerçants susmentionnés, concernent spécifiquement ce domaine.
Abdallah Zekri, président de l’Observatoire national contre l’islamophobie, au sein du Conseil français du culte musulman, a déclaré que « les mesures prises par ce maire visent à asphyxier l’activité économique de ces commerçants, en raison de leur appartenance à la religion musulmane ». De quelles mesures parle-t-on ici ? Rien que de très classiques restrictions à l’exercice du commerce, la nuit en centre-ville. Le premier arrêté interdit l’ouverture des épiceries, primeurs et commerces de distribution, entre 23 h 00 et 8 h 00 dans une partie du centre-ville. Le second arrêté interdit à tous les commerces de travailler entre 2 h 00 et 5 h 00 dans deux rues spécifiques. Ces mesures sont d’une banalité confondante, et nombreux sont les maires à prendre de tels arrêtés de police municipale dans leur commune.
L’opinion publique britannique souhaite fortement que le Royaume-Uni envoie des troupes au nord de la France pour arrêter les migrants qui veulent entrer dans le tunnel sous la Manche. C’est ce que laisse apparaître un nouveau sondage qui fait grand bruit.
L’enquête réalisée par YouGov constate qu’une écrasante majorité de 67 % de Britanniques sont favorables au déploiement de l’armée à Calais.
Les résultats de ce sondage ont été publiés après que le Premier ministre David Cameron ait décrit l’afflux d’immigrés comme un «essaim» s’abattant sur le Royaume-Uni, tandis que le secrétaire d’Etat aux Affaires étrangères Philip Hammond a publiquement considéré que les migrants « en maraude » menacent le niveau de vie des Britanniques.
Pour l’instant, le Royaume-Uni a décidé d’envoyer des chiens renifleurs supplémentaires et des agents de sécurité privés à Calais pour aider les autorités françaises, vient d’annoncer le gouvernement.
Des affrontements entre clandestins et policiers ont eu lieu mardi dans la station balnéaire catalane de Salou suite à la mort d’un ressortissant sénégalais, qui a sauté d’un immeuble lors d’une opération de police contre les vendeurs de produits contrefaits.
A 2’10 cela tourne même aux agressions contre les Blancs.
Bernard Lugan
L'Afrique réelle
En 2017, la Libye et l'Algérie sont passées sous le contrôle de Daeshqui en a fait le Califat du Ponant. Profitant du désarmement moral des Européens, les islamistes décident de l'envoi, par vagues successives, de 4 millions de migrants vers l’Europe et plus spécifiquement vers la France, nouveau dâr al-harb[1]. A bord de certaines embarcations, ont pris place des kamikazes chargés de couler les navires portant secours aux forceurs de frontières et cela, afin de déstabiliser encore davantage l'ennemi. L'opération est baptisée Prophète des mers.
Face à cette guerre navale asymétrique, les rares frégates ultra-sophistiquées de la marine française, taillées pour la lutte de haute mer, sont débordées. A l’inverse les navires garde-côtes qui auraient dû être construits depuis longtemps afin de sécuriser les frontières maritimes, manquent cruellement. Faute de prise en compte par les autorités politiques des enjeux stratégiques vitaux que constitue la frontière maritime méditerranéenne, la marine française est impuissante.
Au sud, harcelé le long d'un front ouvert depuis la Mauritanie à l'ouest jusqu'au Soudan à l'est, le dispositif Barkhane s'est replié sur le Burkina Faso afin de protéger la Côte d'Ivoire. Quant aux dernières réserves opérationnelles françaises disponibles après des années de déflation des effectifs, elles ont été positionnées autour de N'Djamena afin de couvrir le Cameroun. Boko Haram, un moment affaibli, a en effet refait ses forces grâce à des cadres venus de Libye, d'Algérie mais aussi de Syrie.
En France même, alors que se déroule la campagne présidentielle, plusieurs banlieues se sont soulevées à la suite de contrôles d'identité ayant dégénéré. En raison de la dissolution de plusieurs escadrons de gendarmes mobiles opérée sous la présidence de Nicolas Sarkozy, les forces de l'ordre qui n'ont pas les effectifs suffisants pour intervenir doivent se contenter de boucler les périmètres insurgés. Les associations d'aide aux migrants dénoncent l' "amalgame" et leurs mots d'ordre sont abondamment relayés par les médias. Vingt cinq mille réservistes de la gendarmerie sont rappelés cependant qu’ un peu partout, face à la passivité de l'Etat, se constituent clandestinement des groupes de résistants prêts à passer à l'action. La France est au bord de la guerre civile.
Avant, les vendeurs à la sauvette détalaient devant un uniforme (d’où leur nom) ; maintenant, ces délinquants (probablement clandestins) frappent les policiers.
La scène a été filmée au Jardin des Tuileries (quartier chic de Paris). On peut y voir plusieurs policiers de la DOPC tenter d’interpeller des vendeurs à la sauvette.
Mais ces derniers ont décidé de ne pas se laisser faire.
Un viol toutes les quatre minutes est commis en France !
Le Figaro nous apprend que le nombre de viols dénoncés aux autorités a progressé de 18 % en cinq ans, en France, et de plus de 20 % pour les mineures. Et le quotidien d’annoncer que cela représenterait 33 viols par jour, soit une agression sexuelle toutes les quarante minutes. Certains pourraient dire qu’on est bien loin des 300 viols quotidiens, annoncés dans ces colonnes par Laurent Obertone. Sauf que l’enquête reconnaît également qu’à peine 10 % d’entre eux font l’objet d’une plainte. C’est donc une confirmation des chiffres donnés par l’auteur de La France Orange Mécanique, et signifie donc que c’est un viol toutes les quatre minutes qui est commis en France !
Naturellement, les statistiques ethniques étant interdites dans notre pays, l’enquête ne précise pas l’origine des agresseurs, et pas davantage celle des agressées. Il suffit pourtant de se pencher sur quelques exemples, venus d’autres pays, pour se faire une petite idée. En Grande-Bretagne, à Rotherham, de 1997 à 2013, 1.400 adolescentes d’origine britannique ont été abusées sexuellement par des prédateurs majoritairement pakistanais, avec le silence complice des autorités et des travailleurs sociaux.
Cher(e)s ami(e)s,
Le Mouvement pour la Remigration accélère son organisation. Nous avons pour objectif d’avoir des groupes organisés dans les trente plus grandes villes de France à la fin de l’année. Nous y aiderez-vous ?
Ne restez plus passif car ce qui se joue dans les mois et années à venir c'est la mort de notre peuple, la fin de nos droits sur nos terres et l’effacement de notre civilisation.
Ils comptent sur votre passivité, je compte sur votre sursaut. Il n’y a que les combats que nous ne livrons pas qui sont perdus d’avance.
A bientôt !
Laurent OZON
Président du Mouvement pour la Remigration
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