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immigration - Page 1255

  • La Cour des comptes épingle la réforme Valls‑Cazeneuve de l’asile

    « Le projet de loi sur la réforme de l’asile ne répond pas à la question centrale de la gestion des déboutés qui provoquent une embolie ». « Tant que la question de l’organisation systématique et rapide de leur retour ne sera pas réglée, le système ne pourra fonctionner correctement » ; « La politique d’asile est devenue la principale source d’arrivée d’immigrants clandestins en France. »… Voici les phrases choc du rapport de la Cour des comptes sur l’accueil et l’hébergement des demandeurs d’asile auquel Le Figaro a eu accès. Ce mercredi la réforme Valls‑Cazeneuve arrive en commission des lois au Sénat.

    On y découvre qu’entre 2009 et 2014 le coût de l’asile s’élève à plus de 2 milliards d’euros par an pour l’état. Ce coût a augmenté de 60 % en cinq ans. Avec 66 251 dossiers déposés, les demandes sont concentrées en Ile‑de‑France. Seuls 1 % des déboutés sont effectivement éloignés, les autres restent donc en situation irrégulière.

    http://fr.novopress.info/

  • 1550 Français islamistes au Proche-Orient

    Le nombre de Français ou résidents français recensés pour leur engagement dans les filières terroristes en Irak et en Syrie s'élève désormais à 1550, selon les derniers chiffres donnés par Manuel Valls.

    «La présence de 800 d'entre eux a été attestée sur zone. 434 y sont actuellement et 96 y ont été tués».

    Et sept Français ou résidents français sont morts en Irak et en Syrie en commettant des attentats suicides.

    Selon le commissaire européenne à la Justice, 5000 à 6000 Européens sont présents en Syrie, et ce nombre pourrait s'élever à 10000 individus d'ici à la fin de l'année.

    Michel Janvhttp://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Droit d’asile : une politique délirante aux frais du contribuable !

    Les Français (ceux qui sont imposables) dépensent chaque année deux milliards d’euros pour une politique totalement aberrante.

    Monsieur Valls le dit et le répète, Netanyahou en visite officielle lui fait écho, la presse les relaie : les Français – à tout le moins les 25 à 30 % qui votent pour le Front national – sont, paraît-il, racistes, antisémites, fascistes, xénophobes et même « sexistes et homophobes », si l’on en croit le Premier ministre. Au point où nous en sommes, et vu qu’il n’y a pas de limites à l’injure, on pourrait aussi ajouter qu’ils puent de la gueule et qu’ils ont les pieds plats… Pourtant, si l’on en croit les chiffres étalés dans le rapport de la Cour des comptes sur le droit d’asile et dont Le Figaro a publié les données, les Français (ceux qui sont imposables) dépensent chaque année deux milliards d’euros pour une politique totalement aberrante.

    La fameuse réforme Valls-Cazeneuve arrive, demain mercredi, en commission des lois au Sénat. Ce projet de loi sur le nouveau droit d’asile est une ineptie, disent les sages. Pourquoi ? Parce qu’il refuse de prendre en compte ce qui est en passe de devenir un drame national : la gestion des déboutés. Disons plutôt l’absence de gestion des déboutés.

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  • André Gerin (PCF) : « Islamistes et mafieux se retrouvent de manière objective pour contrôler les territoires »

    André Gerin a été le maire (PCF) de Vénissieux, la ville tristement célèbre pour son quartier des Minguettes à la délinquance fertile.

    L’ancien élu de cette banlieue lyonnaise a accordé une interview au journal Le Progrès où il dénonce la collusion entre islamistes et mafieux pour contrôler les territoires.

    Il faut s’attaquer aux trafiquants de drogue, aux mafias qui se retrouvent de manière objective avec les intégristes pour contrôler les territoires, accuse l’ancien député communiste, aujourd’hui âgé de 69 ans. Selon lui, les trafics dans les quartiers, sans les nommer ou le situer dans les colonnes du quotidien régional, donnent aux trafiquants et aux fondamentalistes des ressources financières.

    « On utilise la vie de nos gamins, on pourrit la vie de nos quartiers. Il faut s’attaquer à cette gangrène qui allie mafieux et islamistes en s’appuyant sur le terreau de la misère », alerte l’ancien maire de Vénissieux.

    Les Minguettes est un quartier connu pour les violentes émeutes des années 80, « la marche de Beurs » qui s’en est suivie. Mais, c’est aussi pour y avoir abrité des islamistes radicaux. Une douzaine de salles de prière, dont certaines proches des salafistes, y est implantée.

    L’essor d’un islam radical et de la criminalité mafieuse joints, évoqué par l’ancien élu communiste, a-t-il vraiment pour cause la précarité ?

    L’excuse sociale n’est-elle pas une œillère que se mettent certains yeux qui ne veulent pas encore tout à fait voir ?

    http://fr.novopress.info/

  • La remigration, c’est possible : les exemples d’Israël et de l’Algérie

    En juin 2012, les autorités de l’Etat hébreu prenaient la mesure des problèmes liés à l’immigration extra-hébraïque en Israël et de l’inquiétude qu’elle génère dans la population juive de souche. Le mois précédent,  une manifestation contre l’immigration sub-saharienne, plus violente que les autres, avait dégénéré dans le sud de Tel-Aviv. Le gouvernement de Jérusalem mettait alors sur pied une vaste opération de reconduite des migrants sur leurs terres d’origine, opération intitulée « Retour à la maison ».

    Mises à part quelques réticences, bien vite endiguées, du côté des associations de droits de l’homme, cette politique a reçu l’approbation d’une très large majorité de l’opinion publique juive. Pour Benyamin Netanyahu, c’est carrément le « rêve sioniste » que la présence de ces populations exogènes risque de faire disparaître. Et le Premier ministre d’appeler « à protéger le caractère juif et démocratique d’Israël ».

    Le ministre israélien de l’Intérieur de l’époque, Elie Yishaï, par ailleurs dirigeant du parti identitaire juif Shass, déclarait sur les chaînes de télévision de l’Etat hébreu « Il s’agit d’une étape importante pour le rapatriement des clandestins et le retour d’un sentiment de sécurité pour les habitants de localités israéliennes ». On notera un réel souci d’humanité de la part des autorités dans le déroulement des opérations. Le ministre précisait en effet que tout  clandestin volontaire pour le rapatriement de sa famille se verrait allouer l’équivalent de 500 dollars par adulte et 100 dollars par enfant. Ainsi, les familles avaient l’assurance, pourvu qu’elles collaborent, que les petits ne seraient pas séparés de leurs parents.

    Ensuite l’Etat hébreu se lançait dans l’édification d’un mur le long de la frontière égyptienne, afin de contenir les infiltrations d’immigrés passant par le Sinaï. L’ouvrage fut mené à bien en un temps record : 250 km en quelque six mois. Depuis, les conditions des immigrés, clandestins ou non, se sont largement durcies. Ces derniers, massivement internés dans des centres de rétention situés dans le désert du Néguev, doivent dorénavant choisir entre deux options : la prison ou l’expulsion vers un pays africain.

     

    Le souci de l’identité juive a été au cœur de la dernière campagne pour les élections législatives, qui a vu la victoire du Likoud, le parti du Premier ministre Netanyahu. Ce dernier a clairement proposé aux Israéliens deux conceptions antagonistes de l’Etat hébreu : « État démocratique juif » contre « État-nation du peuple juif ». C’est cette dernière définition, profondément identitaire, qui a été plébiscitée par les électeurs, qui ont donné la majorité au Likoud associé aux partis ultra-orthodoxes : Foyer juif, Shass, Israel Beytenou et Yahadut Hatorah.

    Une fois de plus, Israël nous montre la voie. Il est vrai que les autorités de l’Etat hébreu ont davantage les coudées franches que leurs homologues françaises : en Terre Promise, aucun association talmudique ou assimilé ne s’amuserait à contester le bienfondé de l’action gouvernementale en matière de respect de l’identité juive, alors que l’identité française semble être le cadet des soucis du Crif, de Sos-Racisme et autre Ldh. Rappelons par exemple qu’un Arno Klarsfeld, immigrationniste à fond sur le sol français, a fait son service militaire en Israël en tant que… garde-frontière. Mais il faut également prêter attention à ce qui se passe au sud de la Méditerranée en matière de pressions migratoires.

    Si un bon nombre de migrants subsahariens ont pour objectif final Londres via Lampedusa et Calais, il n’en demeure pas moins qu’ils transitent et parfois s’installent au Maroc, en Algérie ou encore en Libye, provoquant de fortes tensions avec les populations locales. C’est ainsi que l’Algérie, à l’instar d’Israël, a récemment mis en place une véritable politique de remigration pour gérer le problème des clandestins d’Afrique noire, réagissant semble-t-il dans l’urgence à l’afflux important et récent de clandestins subsahariens auquel elle a dû faire face l’année dernière. En partenariat avec les pays d’origine de ces migrants, principalement le Niger, le gouvernement algérien organise le rapatriement de ces clandestins, qu’il soit volontaire ou s’appuie comme en Israël sur des arrestations policières.

    Ces exemples algérien et israélien nous montrent que la remigration (ré-émigration diront certains…) est possible dès lors qu’il existe une ferme volonté politique au sommet de l’Etat. Le problème migratoire, qui se monte à quelques dizaines de milliers d’unités en Algérie et Israël, se compte en millions par an pour ce qui est de l’Europe. Face à cette situation, il est urgent que l’Europe, et singulièrement la France, prennent modèle sur ces deux pays.

    http://fr.novopress.info/185613/remigration-cest-possible-les-exemples-disrael-lalgerie/

  • « Allah akhbar, on veut du fric pour nos frères musulmans »

    Lu sur L'Est Besançon ce fait divers qui s'est déroulé hier à Besançon :

    "Il est alors 8 h 50 hier matin lorsque les trois braqueurs arrivent à la jardinerie qui ouvre ses portes à la clientèle à 9 heures. Ils vont s’introduire dans les locaux par effraction d’une baie latérale. Le patron du magasin raconte : « Je m’étais levé à 4 heures du matin pour faire la route depuis la Saône-et-Loire. J’étais dans la serre pour ranger des plantes. J’ai d’abord entendu un coup de feu puis un autre et encore un autre. Maintenant, je le sais, la première balle a ricoché sur la baie en double vitrage, la deuxième l’a fissurée, la troisième l’a fait exploser. Là, je rangeais des plantes et je me suis retrouvé nez à nez avec eux. L’un a braqué son arme à 50 cm de mon ventre. Ils ont crié “Allah Akhbar, on va vous buter, on veut du fric pour nos frères musulmans partis au djihad”, ils ont aussi parlé de Charlie. Quand ils ont parlé de fric et de la caisse qu’ils voulaient, je me suis dit vulgairement que j’allais sauver ma peau parce que j’avais repensé aux événements de janvier. Je me suis obligé à rester froid et je suis entré en discussion avec eux. Je les ai pris au mot et je suis allé retrouver le directeur du magasin, on est allé dans le bureau où est le coffre, un autre salarié était là aussi. L’un s’excitait, un autre braquait l’arme, j’ai demandé au directeur d’ouvrir le coffre ».

    Au final, les trois braqueurs sont repartis, arme braquée sur les victimes, après avoir raflé la caisse contenant argent en espèces et chèques, et se trouvant dans le coffre-fort ; soit quelque 12000 à 15 000 € représentant une recette de trois jours que le directeur du magasin avait emportée la veille et rapportée ce samedi matin pour la mettre à l’abri dans le coffre avant un dépôt à la banque."

    Michel Janva

  • Sept Français sur dix estiment qu’il y a trop d’immigrés en France

    Dans un rapport annuel, la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH) dresse un bilan sur la relation qu’ont les Français avec le racisme, la xénophobie et l’antisémitisme.

    L’étude s’effectue à partir d’entretiens en face à face et au domicile des sondés, ce qui crée une défiance et n’aide pas forcément à l’émanation de la vérité.

    C’est un questionnement qui a pour but de comparer, année après année, l’évolution d’indicateurs clés, tels que la relation aux immigrés, aux religions, ou encore à certaines minorités.

    En 2009, les Français avaient été au summum des critères de « tolérance » admis. Cinq ans plus tard, l’opinion a bien changé. En effet, 7 personnes sur 10 estiment qu’il y a trop d’immigrés.

    Le journal libération a analysé, avec sa propre grille de lecture, les données de cette étude pendant un entretien radiophonique, que l’on peut écouter sur leur site.

    http://fr.novopress.info/

  • La France condamnée pour ne pas avoir relogé gratuitement une famille camerounaise

    Et ce n’est que le début… Il y a 59 000 autres dossiers en attente…

    La France a été condamnée jeudi par la Cour européenne des droits de l’Homme. L’instance européenne lui reproche de ne pas avoir relogé une famille. Et ce alors qu’une décision de justice lui permettait d’obtenir un logement, dans le cadre de la loi au logement opposable.

    La requérante, Elisabeth Tchokontio Happi, est une quadragénaire camerounaise vivant avec sa fille et son frère. Elle avait obtenu en 2010 un jugement enjoignant l’Etat de la reloger, mais elle ne l’avait toujours pas été plus de trois ans et demi après. Elle avait pourtant franchi toutes les étapes permettant de bénéficier du droit au logement opposable (Dalo). Un dispositif qui oblige l’Etat à trouver une solution de logement pour les plus démunis.

    Plus de 59 000 ménages en attente d’un relogement en France

     

    Faute de l’avoir fait, l’Etat a dû verser plus de 8000 euros à un fonds spécial, mais cela n’a pas réglé le problème de l’intéressée. « C’est pour cela que l’on s’est tourné vers la CEDH » en 2012, a expliqué à l’AFP son avocat, Maître François Ormillien. Pour autant, l’arrêt de jeudi n’est pas encore définitif. Les parties disposent de trois mois pour demander un réexamen de l’affaire par la Grande chambre de la Cour.

    C’est « un espoir pour tous ceux et celles qui, vivant dans des taudis, en instance d’expulsion sans relogement, ou étant sans logis, attendent depuis des années d’être relogés », s’est réjoui de son côté l’association Droit au Logement (DAL).

    Source : lexpress

    http://www.contre-info.com/la-france-condamnee-pour-ne-pas-avoir-reloge-gratuitement-une-famille-camerounaise#more-37485