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immigration - Page 1262

  • Terrorisme : la France toujours en état d’alerte maximale… pour quel résultat ?

    La France déploie de plus en plus de policiers et militaires dans la prévention des attentats, son arsenal législatif se renforce au point de faire peser degraves menaces sur les libertés publiques… et jamais autant d’attaques terroristes islamiques ne sont succédées. Et s’il était temps de changer de paradigme ?

    Depuis l’attentat commis fin juin à Saint-Quentin-Fallavier (Isère), la vigilance a redoublé en région Rhône-Alpes. À Andrézieux-Bouthéon, l’entreprise SNF Floerger (Sévéso) et l’aéroport, considérés comme des cibles potentielles, sont sous étroite surveillance. Des cibles potentielles qui s’ajoutent aux sites déjà sous surveillance, des lieux touristiques aux gares et aéroports, en passant par les bâtiments publics… sans compter les sites religieux des communautés juives, musulmanes et accessoirement catholiques. Depuis les attentats de janvier 2015, Hollande avait décidé le déploiement de 10 500 soldats, en appui des dizaines de milliers de policiers et gendarmes déjà sur le pont pour le plan Vigipirate.
    Une mobilisation sans précédent, baptisée Sentinelle, qui s’est inscrite dans le temps. Adapté depuis janvier, le dispositif compte aujourd’hui 7 000 hommes chargés de sécuriser les sites sensibles, épuisant policiers et militaires dans d’inutiles et coûteuses gardes statiques, parfois remplacées par des patrouilles, dont l’effet est plus psychologique – rassurer les populations — que véritablement opérationnel.

    Car malgré un déploiement de force déjà non négligeable, il y a six mois, quatre otages tombaient sous les balles d’Amedy Coulibaly à la Porte de Vincennes, deux jours après la tuerie de Charlie Hebdo. Des attentats qui éclipsaient ceux de décembre 2014 : Le 20, un homme attaquait trois policiers à l’arme blanche en criant « Allahou Akbar » avant d’être tué. Au son du même cri, le lendemain, un homme jetait sa voiture sur les passants d’une place dijonnaise : le rodéo infernal dura trente minutes et causa onze blessés, dont deux graves. Un jour plus tard, c’est le marché de Noël de Nantes qui était la cible d’un fou de Dieu en camionnette. Bilan, onze blessés, dont cinq graves.
    Et en 2015, la litanie continue : après Charlie et l’hyper casher, ce sont les agressions au couteau de deux militaires à Nice en février, un projet d’attentat dans une église déjoué fortuitement à Villejuif en avril, la décapitation sauvage d’un chef d’entreprise près de Lyon en juin, un vol d’explosifs sur une base militaire début juillet – dont on ne connaît pas officiellement les mobiles —… pour ne rester que sur le territoire Français.

    Sid Ahmed Ghlam

    Sid Ahmed Ghlam

    Sur le plan législatif, la loi renforçant la lutte antiterroriste est adoptée en novembre 2014. Elle introduit l’interdiction de sortie du territoire (pour éviter les départs au djihad) et le délit d’entreprise terroriste individuelle, pour mieux traquer les loups solitaires.
    Présentée comme une réponse aux attentats de janvier, mais en réalité conçue bien avant, la loi sur le renseignement, adoptée le mois dernier, renforce et légalise les moyens des agences de renseignement (écoutes, interceptions numériques, balises GPS…). Les attentats et tentatives d’attentat récents ont servi de justification à cette loi, oubliant commodément que dans tous ces cas, ce n’est pas l’info qui faisait défaut – tous les terroristes ou présumés tels étaient déjà fichés —, mais la volonté et les moyens de s’en servir.
    Idem pour les candidats plus ou moins heureux aux vacances barbares, alias le djihad en Irak et en Syrie. 1 750 ressortissants français sont aujourd’hui impliqués dans les filières djihadistes, selon le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, soit trois fois plus qu’il y a dix-huit mois et sans doute trois fois moins qu’en réalité.

    Un péril qui, selon le rapport remis dernièrement par le député Malek Boutih (PS) au Premier ministre, pénètre « tous les milieux ­sociaux ». Et pourrait « basculer dans un phénomène de masse ». Tiens, un peu de lucidité ? On y reviendra…

    http://fr.novopress.info/190442/terrorisme-france-toujours-en-etat-dalerte-maximale-quel-resultat/#more-190442

  • Catastrophe annoncée. Par Vincent Revel

    Parallèlement au train à grande vitesse (TGV), qui nous a propulsés dans le monde moderne des nouvelles technologies, nous avons eu aussi, en France, le GMC (Giscard-Mitterrand-Chirac) qui nous a plongés dans la névrose et l’immobilisme.

    L’historien Jacques Marseille avait déclaré au début du quinquennat de Sarkozy que « ce qui avait plombé Jacques Chirac était précisément de n’avoir rien fait. » Il avait aussi ajouté, avec un espoir mal placé, « que Nicolas Sarkozy, soit en recul dans les sondages devrait l’inciter, compte tenu de son tempérament, non pas à faire du Jacques Chirac, ce qui serait dramatique pour le pays mais à opérer la grande rupture en matière d’éducation, d’emploi et de dépenses publiques. »

    Aujourd’hui, en 2015, nous savons tous, sauf les inconditionnels de Sarkozy, que ces souhaits n’ont pas été entendus. Nos hommes politiques, à l’image de François Hollande, manquent de plus en plus de charisme, de volonté. Ils n’ont plus la réalité du quotidien. Leurs connaissances en Histoire et en géopolitique sont faibles pour ne pas dire nulles. Je ne cesse de répéter qu’ils ne possèdent plus l’attachement charnel à leur patrie. Ils appartiennent à une oligarchie, déconnectée des intérêts des peuples et de la vraie vie. Ils ne souhaitent plus se prétendre les héritiers d’une tradition.

    Bien au contraire, en bons petits soldats du politiquement correct, ils espèrent mêmes être les premiers de la classe dans la déconstruction des nations. C’est sans doute l’une des raisons qui les empêche de se confronter à la dure réalité du choc des civilisations et du problème majeur de l’immigration de masse qui enracine durablement l’islamisme dans nos vies. Aujourd’hui, nous construisons l’avenir de nos enfants sans se soucier de notre héritage et des intérêts de notre nation. Cela équivaut à donner de la vitesse à notre ancien GMC pour le lancer droit dans le mur !

    L’ignoble acte de barbarie commis à Saint-Quentin-Fallavier, en beau pays dauphinois, par le djihadiste Yassine Salhi nous renvoie une fois de plus aux manquements et aux trahisons de nos dirigeants.

    Comme à notre habitude, cette tragédie s’est clos avec une marche blanche où derrière une banderole, sur laquelle était inscrit « Plus jamais ça ! », certains de nos concitoyens ont manifesté docilement pour exprimer leurs chagrins, leurs dégoûts, leurs incompréhensions, leurs craintes, leurs colères refoulées.

    Mais il faut vraiment prendre conscience que tout ça ne sert à rien car qu’il y aura des autres fois ! Nous savons tous que l’horreur et la haine sont confortablement installées chez nous avec la complicité de nos élus. Beaucoup ne veulent pas encore voir la dure vérité et espèrent encore au slogan du bien vivre-ensemble.

    Aymeric Chauprade, en géopoliticien avisé, nous expliquent qu’il n’y aura pas d’échappatoire possible. Un jour nous devrons faire face à l’islam politique et nous devrons y apporter une réponse ferme. Comme lui, je sais qu’aujourd’hui les forces de l’islam salafiste présentes sur notre territoire sont plus importantes que ce que laissent entendre les autorités de notre pays car pour quelques milliers d’actifs islamistes repérés et mal surveillés vous avez derrière des centaines de milliers de sympathisants ! Ce constat, volontairement alarmiste, n’est pas une chimère employée juste pour faire peur ou attiser les haines au sein de notre société. Grace à l’action et à l’incompétence de nos dirigeants, ce constat est aujourd’hui notre réalité. De ce fait, au vu que nos élus soient encore englués dans l’esprit de repentance qui interdit toutes critiques objectives sans risquer l’amalgame ou la stigmatisation et à l’heure où nos Bobos se préoccupent plus de l’avenir des Guignols de Canal Plus que du risque d’islamisation de leur société, je crains que la mode des marches blanches aient encore un bel avenir en France.

    Vincent Revel

    http://fr.novopress.info/190383/catastrophe-annoncee-vincent-revel/#more-190383

  • Il n’y a pas d’islam modéré

    Les religions, comme les hommes, sont marquées par leur enfance, de manière indélébile. Jésus est mort sur la croix ; Mahomet portait l'épée. On ne peut pas sortir de là.

    Un milliard de musulmans ne sont ni meilleurs ni pires qu’un milliard de chrétiens. Aucune religion, ni d’ailleurs aucune croyance ou philosophie, n’incline une société tout entière vers le bien. Mais ce n’est pas la même chose de prendre Mahomet, qui a tué, comme prétexte pour tuer, que de prendre Jésus qui, lui, a été tué. Il n’y a pas de christianisme fanatique, il n’y a que des chrétiens fanatiques (toujours trop nombreux). Il y a des musulmans modérés (la majorité). Il n’y a pas d’islam modéré.

    Les religions, comme les hommes, sont marquées par leur enfance, de manière indélébile. Jésus est mort sur la croix ; Mahomet portait l’épée. On ne peut pas sortir de là. La laïcité pèche contre la logique d’Aristote lorsqu’elle traite également la cathédrale et la mosquée, les clous et les armes, le martyre et la conquête, celui qui a dit « Que celui qui n’a jamais péché lui jette la première pierre » et celui qui a accepté la lapidation des femmes adultères, la monogamie et la polygamie, « Rendez à César ce qui est à César » et le califat.

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  • Paris : nouvelle évacuation du camp de clandestins dans le 18e

    Sans doute de peur d’une pétition d’artistes, c’est en demandant bien poliment que l’on a évacué une nouvelle fois le camp de clandestins de la halle Pajol. Enfin ceux qui voulaient bien…

    Pas de CRS, leur présence énerve les clandestins et les bobos, mais des représentants de la ville de Paris accompagnés du directeur de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra). Voilà le nouveau dispositif pour évacuer les camps d’immigrés dans Paris. Ces braves gens ont donc invité les immigrés à monter dans les neuf bus spécialement affrétés pour rejoindre les huit centres d’hébergement mobilisés en banlieue parisienne qui contiennent 100 à 150 places disponibles. Certains n’aiment pas le bus, ou la banlieue, et ont refusé d’obtempérer. A la mi-journée, une vingtaine d’immigrés ayant refusé la solution d’hébergement se trouvait encore dans le camp.

    A noter que pendant ce temps, des Français en règle, ayant cotisé et payé leurs impôts se voient refuser des aides… 

    http://fr.novopress.info/

  • Églises et mosquées : faux débat et vraie invasion

    Transformer les églises en mosquées ? Ce n’est pas le danger le plus immédiat. L’abandon de nos lieux de culte et de notre identité charnelle l’est bien d’avantage, un péril que laisse soigneusement de côté le manifeste crypto-sarkozyste contre la proposition de Dalil Boubakeur. Par Flavien Blanchon.

    Que cherchait exactement Dalil Boubakeur en évoquant par avance, le mois dernier, la phase suivante de l’islamisation de la France – les églises transformées en mosquées ? Il a permis, en tout cas, aux fauteurs et collaborateurs de l’islamisation de se donner à bon compte des allures de résistants. Politiciens qui subventionnent la construction des mosquées, journaleux chantres du vivre-Ensemble, évêques qui souhaitent un bon ramadan, ont été nombreux à expliquer que, bien sûr, il fallait encore plus de lieux de culte pour les musulmans, mais que la transformation des églises n’était pas la bonne solution. Et le bon peuple droitard d’applaudir à tant d’héroïsme.

    La manœuvre a si bien marché que Valeurs Actuelles, le magazine de la récupération sarkozyste, vient de la relancer en publiant à grand fracas un appel à la défense des églises, signé des premiers par Sarkozy en personne, le même Sarkozy qui avait fait rentrer chez nous plus de musulmans que jamais et dont on sait la responsabilité criminelle dans l’actuel déferlement migratoire. Rien de plus plat et de plus terne, du reste, que ce manifeste dû à je ne sais quel écrivaillon chiraquien : quelle différence, de pensée, de sentiment, de style, avec l’appel jadis lancé pour les mêmes églises de France par Maurice Barrès ! Dans La grande Pitié des églises de France, Barrès, il y a juste un siècle, était allé avec sûreté aux vrais enjeux. Il avait su – alors que l’Église de France était certes autre chose que ce qu’elle est devenue – placer le débat sur son vrai terrain, non confessionnel, mais identitaire.

    Il défendait, à travers les églises, « la figure physique et morale de la terre française ». Le manifeste crypto-sarkozyste ne reconnaît à la France que « quinze siècles d’histoire et de géographie ». Barrès allait jusqu’à nos racines les plus profondes : appelant à « achever la réconciliation des dieux vaincus et des saints », à « allier le sentiment religieux catholique avec l’esprit de la terre », il lançait ce cri magnifique : « Tout le divin, à la rescousse ! » En notre temps même, le philosophe anglais Roger Scruton, dans des livres comme England : An Elegy ou Our Church, a su montrer comment l’anglicanisme traditionnel, comme religion nationale, était « l’enchantement de la terre anglaise ». Mais les sarkozystes ne savent pas ce que sont des racines : ils parlent, avec des métaphores dignes de Monsieur Prudhomme, d’« un enracinement mental dont nous avons tous besoin pour étayer notre citoyenneté » ; « cet héritage, selon eux, nous oblige, de quelque souche que nous provenions ». Comment leur demander d’avoir le sens ample, généreux, charnel, de la terre et des morts ?

    Je n’examine pas si Dalil Boubakeur avait entièrement tort de considérer que le culte musulman et celui qui est aujourd’hui célébré, hélas, dans les églises de France, sont des « rites voisins ». D’un point de vue strictement théologique, en raisonnant dans l’abstrait, on pourrait soutenir que la transformation d’églises en mosquées serait moins abominable que ne l’est, depuis plus de quarante ans, la célébration de ce que feu le P. Guérard des Lauriers – dont on peut penser ce qu’on veut, mais qui savait la théologie –, n’hésitait pas à qualifier de « pornographie théologale ; une dégradation, une chose immonde, une chose que l’on ne devrait pas nommer » – la nouvelle messe. Je n’entre pas dans ces discussions. Je laisse la théologie de côté. D’un point de vue identitaire, on ne peut évidemment que s’écrier, comme le faisait Barrès quand il était question de transformer l’église du village en salle de conférences pour « les sociétés philanthropiques » : « J’aimerais mieux qu’elle s’écroulât ». Oui, plutôt nos églises en ruines qu’aux mains des immigrés musulmans !

    Cette transformation en mosquées, qui est, logiquement, la prochaine étape, qui est dans l’ordre des choses si celles-ci continuent à aller du même train, n’est pourtant pas le danger le plus immédiat pour nos églises. Ce qui les menace d’abord, c’est l’abandon, le non-entretien délibéré, des années durant, pour pouvoir les démolir comme dangereuses ou trop coûteuses à réparer, les ravages aussi des bandes de pillards, de vandales et de sacrilèges, que les maîtres du pays laissent agir sciemment, dans une impunité calculée, parce que l’on n’est pas fâché, au fond, que l’on est même secrètement bien aise, de voir s’abolir les traces de l’ancien peuple français et de la religion indigène. Dans sa leçon inaugurale au Collège de France, le grand historien d’art Jacques Thuillier soulignait que « la Révolution française a brûlé en autodafé moins de tableaux qu’on ne le croirait de prime abord : il lui a suffi de laisser s’écailler, dans les églises désaffectées ou les dépôts hâtifs des œuvres qui, lorsqu’elles étaient antérieures au XVIIe siècle, arrivaient au moment où elles exigeaient pour survivre des soins délicats ». Le procédé est toujours le même.

    Le manifeste crypto-sarkozyste n’a pas un mot de cela. Il soutient au contraire, avec une extraordinaire impudence, que « les maires de nos communes rurales entretiennent tous leur église avec une sollicitude filiale ». Dormez tranquilles, catholiques de France, tant que votre église ne sera pas transformée en mosquée, vous n’avez rien à craindre.

    Les mêmes maires qui n’ont pas d’argent pour entretenir leurs églises en trouvent toujours pour subventionner des centres « culturels » islamiques, brader des terrains municipaux, organiser des nuits du ramadan. Paris donne l’exemple. On ne transforme pas l’église en mosquée : on laisse l’église se délabrer pendant que l’on construit une mosquée toute neuve. À en juger par certaines réactions à la provocation de Dalil Boubakeur, beaucoup de musulmans préfèrent cette formule. Et c’est ainsi que s’opère doucement, dans « la concorde civile » célébrée par les sarkozystes de Valeurs Actuelles, le Grand Remplacement.

    La vérité que l’on dissimule et que l’on obscurcit à dessein par ces diversions et ces faux débats, c’est que les mosquées sont par essence étrangères à la terre de France, qu’elles en altèrent, qu’elles en dénaturent ce que Barrès appelait « la physionomie architecturale ». Nous ne voulons pas de mosquées chez nous. Ni à la place des églises, ni à côté d’elles.

    Flavien Blanchon

    http://fr.novopress.info/190407/eglises-mosquees-faux-debat-vraie-invasion/#more-190407

  • Djihad en France : et si c’était une islamisation de la révolte radicale ?

    Source : reflets.info

    L’interview d’Alain Bertho, anthropologue (spécialisé dans les soulèvements populaires, les émeutes — en lien avec la mondialisation des échanges) publiée sur regards.fr en mai 2015, est à lire. L’anthropologue y développe une analyse très intéressante à propos du « djihadisme français », analyse qui rejoint celle d’un Serge Portelli, invité le 3 juillet de Radio Reflets, ou d’un Marc Trevidic sur France Inter le même jour. Ces analyses vont à l’opposé de celles les plus relayées — soit par le gouvernement, ou une majorité de grands médias — qui voudraient que les djihadistes français soient des « esprits faibles » qui s’auto-radicalisent sur Internet (sic) — ou bien encore se font manipuler par des salafistes — pour n’être au final que de « simples fous de dieu » transformés en terroristes très dangereux.

    La guerre de civilisation(s), le principe d’une République devant lutter contre un ennemi intérieur et manipulé de l’extérieur, des soldats de Dieu appelés à agir sur le territoire par un groupe terroriste — Daesh en l’occurence — sont des concepts très pratiques pour simplifier le problème du « terrorisme djihadiste » en France, et exonérer ainsi de toute responsabilité politiques ceux qui devraient normalement en avoir. La situation n’est pourtant pas si simple.

    Et si nous assistions — en réalité — à une révolte radicale, similaire à celles pratiquées par les mouvements anarcho-révolutionnaires des années 70, mais sous une nouvelle forme, animée par d’autres motivations en surface, mais constituée des mêmes maux… en profondeur ?
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    http://fr.novopress.info/

  • La France est en danger d'islamisation

    Aymeric Chauprade ne pourra pas se rendre à l'université d'été de Renaissance catholique :

    "Chers amis,

    Je devais être parmi vous ces jours d'Université d'été de Renaissance catholique au Carrousel de Baronville, mais un voyage lointain m'a éloigné une fois de plus de notre belle terre de France !

    Je veux vous dire combien je soutiens votre combat, qui est le mien depuis toujours, le combat pour une France qui renoue avec ce qu'elle est, la fille aînée de l'Église, une grande nation de civilisation catholique et romaine, une nation libre et fière, rebelle face aux impérialismes d'où qu'ils viennent !

    Je le crois, je l'ai dit, je l'ai écrit, la France est en danger d'islamisation. Ce danger est la conséquence directe d'au moins trois facteurs qui se combinent :

    • premièrement l'immigration massive extra-européenne ;
    • deuxièmement l'effondrement démographique du peuple français qui ne fait pas assez d'enfants et tue en partie ceux qu'il fait ;
    • troisièmement de la déchristianisation de la société française, et dans cette déchristianisation, j'inclus la maladie de la repentance et de l'angélisme qui touche nombre de chrétiens eux-mêmes.

    De ces trois points tragiques résulte à la fois le remplacement des Français de souche par des Français de papier venus de cultures étrangères, et un remplacement culturel, du christianisme par l'islam, encouragé par les serviteurs d'un laïcisme anti-chrétien depuis sa fondation.

    Chers amis, je ne me suis pas engagé en politique pour la soupe et des galons de courtisan. Je me suis engagé pour que vive notre civilisation, pour que vive notre France, pour que nos enfants puissent continuer à être élevés dans l'amour du Christ et de la Vierge Marie, dans l'amour de leur patrie charnelle, dans le respect des faibles et des Anciens, dans le respect de la Terre et des Morts.

    La France attend que ceux qui la dirigent aient enfin le courage de la ramener vers ce qu'elle est, vers sa civilisation chrétienne et européenne. La France attend qu'ils aient le courage de la débarrasser du socialisme et de la culture de mort. La France attend le redressement, pas seulement matériel, mais aussi moral et spirituel. Telle est la ligne droite dont je ne dévierai pas, quoiqu'il advienne. Je suis faillible, je peux commettre des erreurs, mais aucun de mes engagements, aucune de mes paroles, aucun de mes textes, ne s'est écarté d'un objectif constant : rendre à la France sa civilisation, et par là-même, arracher les Français à l'aliénation de l'atome-consommateur dont rêve le mondialisme pour les rendre à la famille et à la nation.

    Je souhaite plein succès à Renaissance catholique et à son Université d'été. Mon cœur et mon esprit sont avec vous."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Forsane Alizza : neuf ans de prison pour Mohammed Achamlane

    Neuf ans de prison, dont deux de sûreté et cinq ans de déchéance des droits civiques. Mohammed Achamlane, « émir » du groupuscule Forsane Alizza, a été reconnu coupable de préparer des attentats terroristes.

    Le tribunal correctionnel de Paris a suivi les réquisitions du parquet. Mohammed Achamlane, 39 ans, écope de neuf ans de prison, dont deux de sûreté et cinq ans de déchéance des droits civiques. Treize de ses complices de Forsane Alizza, reconnus coupables d’association de malfaiteurs en vue d’une entreprise terroriste, se voient condamnés, suivant leur implication, à des peines allant d’un an de prison avec sursis à six ans de prison ferme.

    Celui qui se présentait comme le tenant d’un « islam décomplexé », se présentant comme « l’émir d’un groupe qui est considéré comme islamiste », mais qui voulait simplement « canaliser l’énergie » de jeunes musulmans pouvant être tentés par la violence en luttant contre l’islamophobie n’a donc pas convaincu le jury. Mohammed Achamlane a plaidé l’amateurisme et la provocation pour dédouaner son groupuscule islamiste, ne réussissant qu’à agacer le tribunal par ses pitreries et ses interventions intempestives.

    Le procureur a décrit lors du délibéré que Forsane Alizza était « un groupuscule organisé pour la mise en place d’actions », qui a choisi « de cacher la vérité ». A charge, plusieurs documents compromettants, dont un fichier nommé « cibles » et contenant une liste de magasins juifs et Hypercachers de la région parisienne. Forsane Alizza s’était aussi procuré les coordonnées d’un certain nombre de personnalités, notamment dans la mouvance identitaire. Parmi ses cibles, Pierre Sautarel, animateur du site Fdesouche et Fabrice Robert, dirigeant du Bloc Identitaire, qui était d’ailleurs partie civile au procès.

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  • Les douanes complices des passeurs : elles lancent un patrouilleur spécial clandestins !

    Devant l’afflux de clandestins en Méditerranée, les douanes lancent un patrouilleur capable d’en recueillir encore plus ! les passeurs se frottent les mains !

    L’enfer est pavé de bonnes intentions. Selon l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), quelque 1.770 clandestins sont morts ou ont disparu en Méditerranée depuis le début de l’année. Alors que le seul moyen d’arrêter ce drame humanitaire serait de rendre vain l’effort de traversée en reconduisant systématiquement les clandestins sur la rive sud de la Méditerranée, à l’instar du « No Way » australien, nos gouvernements font exactement l’inverse.

    En témoigne le lancement en grande pompe du « Jean-François-Deniau », un patrouilleur des douanes de 50 m de long et 10 m de large, conçu spécifiquement pour être en mesure de recueillir à bord des personnes en détresse indiquent les douanes. Avec « un espace protégé dédié à l’accueil de naufragés », d’une capacité d’une quarantaine de personnes, plus une plate-forme extérieure capable également d’accueillir des réfugiés.

    Le navire sera déployé dans le cadre de l’opération Frontex dans la zone sensible entre l’Italie et la Libye, bref, il va assurer le transport des clandestins à bon port. Ceux-ci pourront-ils choisir auprès de leur passeur quel navire sera chargé de les secourir, comme ils l’ont déjà fait, dédaignant les gardes-côte maltais ? Y aura-t-il un supplément pour être pris en charge par le « Jean-François-Deniau » ?

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  • Chouchoutons nos djihadistes ! (Présent 8393)

    « Réinsertion au cas par cas », « suivi individualisé »… Remis mercredi au Premier ministre par son auteur, le rapport sur la « déradicalisation » rédigé par le député socialiste des Hauts-de-Seine Sébastien Pietrasanta est l’exemple-type d’une réponse totalement inadaptée et particulièrement coûteuse au « djihadisme français »

    Des « nounous » pour les égorgeurs ! 
    8393-P1
    Commandé par Valls au lendemain des attentats de janvier, ce rapport de 90 pages intitulé La déradicalisation, outil de lutte contre le terrorisme était censé apporter une réponse percutante au problème des djihadistes français. Mais, comme l’on pouvait s’y attendre, la trentaine de propositions formulées par Pietrasanta montrent que le gouvernement socialiste n’a pas pleinement réalisé que notre pays était en guerre.
    L’idée même d’une possible réinsertion de ces individus fanatisés au point d’avoir perdu toute notion de la valeur de la vie humaine, ayant pratiqué la décapitation à tour de bras et prêts à se faire exploser à la première occasion, montrait à quel point nos élus sont à côté de la plaque. Mais avec Pietrasanta, l’affaire tourne à la farce.
    Partant en effet du principe que les djihadistes français présentent des profils divers et que « la question religieuse est en réalité peu présente dans la radicalisation », le député socialiste préconise alors des réponses « au cas par cas » et un « suivi individualisé » des personnes concernées.

    Concrètement, Pietrasanta propose de « mettre en place un système de mentor à la danoise pour l’accompagnement des radicalisés ». Certains étant traités en milieu ouvert par des équipes de psys, éducateurs et autres assistantes sociales. D’autres dans un centre de déradicalisation tourné vers la réinsertion, avec une réponse pluridisciplinaire pour répondre à des parcours de vie où les individus sont « en rupture avec leur famille, la société, et (…) en quête de reconnaissance ». Les plus dangereux, enfin, allant en prison, dans de nouveaux quartiers dédiés où serait proposé « un programme de déradicalisation spécifique pour chaque détenu », supposant une meilleure formation du personnel pénitentiaire et des aumôniers musulmans.

    Il faut surtout empêcher leur retour

    Enfin, le rapporteur de la loi antiterroriste précise qu’« un contre-discours (…) doit être porté par des associations ou des acteurs publics reconnus et sur lequel la jeunesse peut s’identifier ». Un « contre-discours » totalement improbable dans un pays qui se refuse obstinément à désigner l’ennemi et ne cesse de crier à l’amalgame…
    Bref, des propositions qui, non contentes d’être totalement irréalistes, seraient aussi, si elles étaient mises en œuvre, très coûteuses pour les Français qui ne souhaitent pas voir revenir chez eux des gens qui n’ont rien à y faire. Lutter contre ces ennemis de notre pays, c’est en effet d’abord les déchoir de leur nationalité française, leur interdire de poser le pied sur le sol national, et par conséquent rétablir nos frontières.

    Franck Delétraz

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