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immigration - Page 1264

  • Immigration clandestine à Calais : pour 1,5 milliards à jeter !

    La Grande-Bretagne jette chaque année pour 1,5 milliard d’euros d’aliments et marchandises contaminés par les immigrants illégaux de Calais.

    La Grande-Bretagne est maintenant forcée se débarrasser d’une quantité inimaginable de nourriture qui a été « contaminée » par les immigrants illégaux dans des camions à Calais. Certains chauffeurs préfèrent faire des détours de 120 km en Hollande afin d’éviter les gangs de demandeurs d’asile essayant de se faufiler au Royaume-Uni à l’arrière de leurs camions. Le patron du principal groupe de transport en Grande-Bretagne a décrit devant les députés l’ampleur choquante de la crise et des gâchis engendrés.

    Les policiers français ont effectivement perdu le contrôle de la ville portuaire et cela représente un coût énorme et inacceptable pour notre économie.

    Richard Burnett, directeur général de l’Association du transport routier, précise que les clandestins défèquent et urinent à l’intérieur des camions en route vers la Grande-Bretagne ce qui signifie que toute la cargaison devient totalement irrécupérable.

    Il ajoute que c’est aux « propriétaires des biens de prendre les mesures immédiates de mise au rebut des cargaisons contaminées ou endommagées. » Avec quelque chose de l’ordre de 10 000 frets se déplaçant quotidiennement outre-Manche, même si seulement un pour cent sont trafiqués ou sales, à un coût de perte d’environ 42 000 € par remorque, cela équivaut à environ 4,2 millions € par jour, soit 1,5 milliard d’euros par an. « C’est un coût énorme et inacceptable pour notre économie et en fait ce sont de nombreux transporteurs qui absorbent une grande partie de ce coût. En plus de cela il y a d’autres coûts énormes comme ces véhicules bloqués lors d’opérations de police et les astreintes pour défaut de livraison. En outre, le stress causé aux conducteurs est incalculable. »

    Il y a 4 000 migrants en attente pour faire le voyage vers la Grande-Bretagne et des experts avaient estimé précédemment que la Grande-Bretagne devait jeter jusqu’à 13 millions d’euros par mois d’aliments.
    Depuis la situation à Calais s’est considérablement détériorée, avec des policiers français ayant presque complètement perdu le contrôle de la ville portuaire. Maintenant, des milliers de migrants errent dans les rues sans aucun contrôle et essayent de pénétrer dans les camions et passer en Grande-Bretagne, parfois en terrorisant les chauffeurs et les touristes au point de gravement perturber la chaîne d’approvisionnement alimentaire de la Grande-Bretagne.

    Malgré cette situation désastreuse il a été annoncé cette semaine que l’Union européenne a autorisé un projet énorme pour plus que doubler la taille du port. La Grande-Bretagne devrait y contribuer pour 80 millions €…
    La situation est maintenant tellement mauvaise que les supermarchés commencent à être à court d’approvisionnement, avec de nombreuses entreprises de transport routier européen projetant de se retirer du marché britannique. Les vacanciers anglais ont également vu des immigrants se cacher dans leurs véhicules à Calais.

    http://fr.novopress.info/190715/immigration-clandestine-calais-15-milliards-jeter/#more-190715

  • Union Européenne: une idéologie commune

    Royaume-Uni, Pologne, Hongrie... Partout où prétend souffler, fût-ce de façon fort fugace, une velléité d'indépendance, non d'un pays, mais d'un esprit national sur un domaine particulier que ses dirigeants pourraient, avec quelque vraisemblance, croire de sa compétence, Bruxelles gronde.

    En remportant les élections législatives, David Cameron a certes raflé une victoire électorale. Mais surtout le Premier ministre a nettoyé le paysage politique, en contraignant les chefs des autres formations à la démission - au Royaume-Uni, on démissionne encore lorsque l’on perd les élections !

    Ed Miliband abandonne donc le Labour, Nick Clegg les libéraux-démocrates. Pire : Cameron se passera d'eux pour gouverner désormais. Il a la majorité absolue.

    Reste Nigel Farage, qui a, lui aussi, annoncé sa démission de la tête de l'UKIP. Mais, trois jours plus tard, les responsables de la formation pour l’indépendance nationale l’ont supplié de bien vouloir se remettre à leur tête...

    David Cameron a donc admirablement joué. Il a fait admettre à une opinion publique de plus en plus eurosceptique qu'il était déterminé à poser la question lors du référendum promis pour 2017. Et annoncé son intention de s'y tenir sitôt connu le résultat des élections.

    Le double jeu de Cameron

    Le propos a fait sortir de ses gonds François Hollande - qui a ainsi perdu une nouvelle occasion de se taire. Le président français s'est permis de rappeler au Premier ministre britannique que l'Union européenne avaient des règles, et qu'il serait bien inspiré de les respecter.

    La remarque a fait sursauter les autres responsables européens. D'abord, parce qu'on ne voit pas trop de quelle autorité se pare Hollande pour faire la leçon à Cameron.

    Ensuite, parce que, en ce qui concerne le respect de la réglementation européenne, François Hollande est plutôt mal placé pour dire quoi que ce soit.

    Enfin, parce que, à Bruxelles, où l’on préfère discuter avec le vainqueur, on a compris que David Cameron était un européen convaincu, et qu'il pourrait bien, dans les deux années à venir, travailler à vider un tel référendum de sa substance.

    Quoi qu'il en soit, David Cameron se moque de ce que peut dire François Hollande. C'est à Bruxelles et à Berlin (!) qu'il envoie George Osborne négocier...

    L'exemple hongrois

    Depuis l'arrivée de Viktor Orban au pouvoir en avril 2010, les relations entre Budapest et Bruxelles ne cessent, là aussi, d'être tendues. Derniers exemples en date : la peine de mort, et les quotas de migrants.

    La peine de mort, c'est une réflexion du gouvernement hongrois, qui souhaite la réintroduire non seulement dans son pays, mais veut en outre demander, en opposition avec les lois de l'Union européenne, qu'elle redevienne de la compétence des Etats. « Nous voulons influencer l'opinion publique européenne pour que la question d'une réintroduction de la peine de mort redevienne une compétence nationale », affirme Viktor Orban. Et le premier ministre de préciser : « Je crois que tous les Etats-membres devraient pouvoir décider par eux-mêmes. »

    Plus que la question hongroise, c'est sans doute cette réflexion sur la compétence nationale qui exacerbe les réactions des caciques de Bruxelles.

    On a donc eu le droit aux habituels propos sur la peine de mort qui n'aurait aucun impact sur le crime ; une affirmation sans fondement, à commencer, n'est-ce pas, pour ceux qui la subisse...

    La Hongrie avant l'Europe

    Le président de la Commission européenne a été plus loin, en se retranchant derrière la légalité. Jean-Claude Juncker l'affirme haut et fort : on ne peut appartenir à l'Union européenne en disposant de la peine capitale dans son arsenal législatif. Son prédécesseur, José Manuel Barroso, fait chorus : « Le rétablissement de la peine de mort est tout simplement impossible pour un membre de l'Union européenne. Le débat a été clos il y a longtemps. C’est une affaire réglée pour tous les membres. »

    Mais Viktor Orban n'est pas sensible à la menace. Il entend défendre ses concitoyens contre le crime, contre le meurtre qui, en Hongrie, frappe aussi. « Si nous pouvons protéger les citoyens sans rétablir la peine de mort, faisons-le. Mais si cela ne marche pas, il faudra alors la rétablir », argumente le premier ministre.

    Bruxelles en frémit d'autant plus que, dans la réflexion de Viktor Orban, s'ajoute son rejet des quotas d'immigration, que Jean-Claude Juncker vient d'annoncer, et dans lesquels le premier ministre hongrois voit une idée « folle ». Tellement folle qu'il affirme que « l'immigration économique n'apporte que des troubles et des menaces en Europe », et que, pour cette raison, il a lancé, début mai, une « consultation nationale sur l'immigration et le terrorisme. » Bruxelles s'en est étranglée !

     

    Olivier Figueras monde&vie 20 mai 2015

  • Mariage forcé : la désinformation et la réalité

    Alors que l’association Voix de femmes lance une campagne de lutte contre le mariage forcé mettant en scène des Français de souche, un fait-divers australien nous rappelle la réalité du terrain.

    L’intention est louable, le résultat dérape dans le politiquement correct et la PADAMALGAM. L’association Voix de femmes lance une campagne estivale contre le mariage forcé, alors que les grandes vacances sont souvent le prétexte pour envoyer les jeunes filles dans leur pays d’origine se faire épouser contre leur gré. « Souvent, les mariages forcés sont déguisés en vacances », prévient Sarah Jamaa, directrice de Voix de femmes.
    S’agissant d’un phénomène très communautaire, et disons-le essentiellement musulman, pourquoi avoir mis en scène une famille de Français de souche, ne présentant de plus pas de signe de conversion récente ?

    L’article que Libération consacre au sujet ne laisse pourtant planer guère de doute quant aux victimes de cette pratique.

    Asma (1), une jeune Algérienne de bientôt 20 ans, a été envoyée au pays à la mi-juin, promise à un cousin qu’elle ne souhaite pas épouser. […]Prétextant des vacances en Algérie, sa mère l’y envoie, sans lui laisser le temps de passer les épreuves de rattrapage du bac. Depuis, donc, la voilà « séquestrée ».
    […]À 13 ans, Mariam (1) a, elle, été promise à un homme d’une cinquantaine ou une soixantaine d’années, elle ne saurait dire précisément. Elle vit au Sénégal, lui en France. Mariam doit devenir sa quatrième épouse.
    […]Samira (1), 21 ans aujourd’hui, a pour la première fois entendu parler de mariage à 14 ans, lorsqu’elle vivait en Algérie. À 18 ans, cette Franco-Algérienne finit par accepter de rencontrer son prétendant, le frère du mari de sa sœur. « Je suis tombée amoureuse de lui, c’était un grand parleur. » Lui n’a d’intérêt que pour ses papiers français. Elle finit par s’en rendre compte et décide de mettre un terme à cette relation.

    Et puisque le sujet est sur la table, rien ne vaut un exemple concret. Celui-ci nous vient d’Australie : condamné à 8 ans de prison pour avoir livré à un tiers sa fille de 12 ans à des fins de relations sexuelles, ce père de famille ne voit pas le problème. Il affirme avoir décidé de marier sa fille au moment de la puberté pour lui éviter le péché de relations sexuelles hors mariage, la fillette étant promise à un ressortissant libanais de 26 ans, entré en Australie avec un visa d’étudiant.

    Un cheik, peut-être étranger, a célébré le mariage musulman avant que le couple ne se rende à l’hôtel avec le consentement du père, a relevé le juge. D’autres relations sexuelles ont ensuite eu lieu également au domicile de l’accusé. L’adolescente est tombée enceinte et a fait une fausse couche. Il est apparu à l’audience qu’on lui avait conseillé de ne pas utiliser de moyens de contraception.
    Selon la chaîne de télévision australienne 9 News, l’homme serait un récent converti à l’islam

    http://fr.novopress.info/

  • Islamisme : vers le terrorisme Uber-POP ?

    Le gouvernement a de quoi pavoiser : un nouveau complot terroriste aurait été déjoué dans les Pyrénées-Orientales. Soit quatre jeunes djihadistes français, dont le moins âgé (17 ans) aurait été l’instigateur. But de la manœuvre ? Décapiter un officier de la Marine nationale du cap Béar, près de Collioure, pour ensuite diffuser la vidéo sur les réseaux sociaux.

    Pas de pot, c’est grâce ou à cause de ces mêmes réseaux sociaux que les quatre apprentis terroristes se sont fait poisser par les argousins. Comme il se doit, ils étaient en contact avec des combattants de Daech. Mais cela constitue-t-il un réseau pour autant ? Et quid de ce vocable de « terroriste » chaque jour de plus en plus galvaudé ?

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  • Terrorisme : Muhammad Youssef Abdulazeez attaque une base militaire américaine

    Quatre personnes ont trouvé la mort jeudi lors de fusillades dans deux installations militaires à Chattanooga au Tennessee, ainsi que le tireur, ont indiqué les autorités locales lors d’une conférence de presse.

    Le procureur Bill Killian a précisé que ces incidents étaient considérés comme « un acte de terrorisme intérieur ».

    Un policier a également été blessé mais, selon les médias locaux, ses jours ne sont pas en danger.

    Selon la presse, le tireur a été tué par les forces de l’ordre.

    http://www.contre-info.com/

  • L'hôpital ne se fout pas de la charité (avec nos impôts)

    120 millions d'euros : c'est le montant de la dette accumulée par les pays étrangers, à la fin 2014, à l'égard de l'Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP). Ce chiffre, qui ne concerne pas les patients étrangers résidant en France, équivaut à plus du double du déficit du compte principal (activités de soins) de l'AP-HP, soit 49 millions d'euros en 2014.

    Parmi les pays les plus redevables :

    • l'Algérie avec 31,6 millions d'euros,
    • le Maroc (11 millions),
    • les États-Unis (5,7 millions),
    • la Belgique (4,9 millions),
    • la Tunisie (4,7 millions) 
    • l'Italie (4,1 millions).

    De 2010 à 2014, le nombre de séjours liés à l'accueil de patients domiciliés à l'étranger a crû de 9,8%, avec, en 2014, des séjours plus nombreux pour l'Algérie, le Maroc, l'Italie et le Koweït.

    Michel Janva

  • Quand les jihadistes rejoignent l'armée française pour se former

    Suite à la présence d'un ancien militaire français parmi les 4 jihadistes qui voulaient égorger et décapiter un chef de corps de l'armée française, certains spécialistes ne cachent plus leur inquiétude sur les failles du recrutement dans les armées françaises :

    "L’appartenance à l’armée française de ce suspect stupéfie les autorités. « Ce n’est pas le premier militaire français à partir combattre au nom de Daesh, et c’est extrêmement inquiétant », estimait jeudi matin sur BFMTV Pierre Martinet, ancien agent de la DGSE (...)

    Jeudi, sur BFMTV, le général Dominique Trinquand, expert des questions de sécurité militaire, a tenu à nuancer lui aussi la situation. « Nous savons que l’un des suspects est un ancien militaire, mais cela veut à la fois tout et rien dire. A-t-il passé six mois, un an, deux ans dans l’armée? Quel poste tenait-il? Etait-il conducteur, secrétaire, membre d’un commando?  (...) Quant au général Trinquand, s’il estime qu’un « certain nombre de jihadistes pourraient avoir un intérêt à rejoindre l’armée française pour se former », il rappelle l’existence d’un service, le DPSD, « chargé de scruter et de détecter les soldats » susceptibles de basculer. Quand la Direction de la Protection et de la Sécurité de la Défense a des soupçons, elle avertit le renseignement.

    Le récent rapport du Haut comité d'évaluation de la condition militaire (HCECM) est particulièrement alarmant sur l'évolution du moral des armées qui est en chute libre. Il montre aussi que le taux de sélection pour s'engager était en 2013 de 1 place pour....2,4 candidats :

    "La baisse d'un tiers du nombre de candidats à l'engagement comme militaire du rang en cinq ans. En 2009, 30 833 jeunes Français avaient poussé la porte d'un centre de recrutement en vue de s'engager. Selon des chiffres encore provisoires, leur nombre est passé en dessous de barre des 20 000 en 2014, avec environ 19 500 candidats"

    Les décisions prises d'augmenter les effectifs de certaines unités pourraient désormais faire passer ce taux de sélection de 1 place pour 1 candidat en 2015...Autant dire qu'ils prennent tout le monde !

    Philippe Carhon

  • Pour Ségolène Royal, deux explosions criminelles ne constituent pas un attentat terroriste

    A propos des explosions sur le site pétrochimique de Berre-l'Etang, en réponse à la question "Est-ce que la thèse d'un attentat terroriste est totalement exclue ?", Ségolène Royal répond ce matin sur BFMTV :

    "Ce n'est pas la piste qui est privilégiée aujourd'hui"

    Bernard Cazeneuve, ministre de l'intérieur, a pourtant déclaré hier devant l'Assemblée nationale :

    "Les premiers éléments qui sont communiqués montrent qu'il s'agit effectivement d'un acte criminel dont la motivation n'est pas établie"

    Allô, Manuel Valls ! On cherche un premier ministre pour coordonner les déclarations des ministres...

    Philippe Carhon

  • Attentat “déjoué” : diversion assurée, les terroristes encouragés !

    Tandis que la France s’enfonce dans « l’insécurité » délinquante et/ou terroriste, le gouvernement se vante de déjouer des attentats… enfumage !

    Audacieux. C’est ainsi que Hollande se qualifie et il a raison. Il en faut de l’audace pour oser une telle rhétorique fumeuse. Alors que pour le 14 juillet, on a battu des records en termes de violence, que des explosifs ont été dérobés sur un site militaire, qu’ils ont peut-être servi pour « l’acte malveillant » dont a été l’objet un site pétrochimique, voilà que l’on nous annonce en grande pompe qu’un attentat a été « déjoué » et que donc le gouvernement maîtrise la situation sécuritaire.

    Pour Ségolène Royal, le président a voulu communiquer car

    Il a estimé qu’à un moment il était important de montrer que les Français étaient protégés

    Ah, ça on se sent protégés ! Tout est parfait, pensent nos « gouvernants », du moins sur le plan de la communication politicienne. Parce que sur le plan de l’efficacité anti-terroriste, c’est zéro pointé ! Jugez plutôt :

    Quatre hommes âgés de 16 à 23 ans, dont un ancien militaire de la marine, ont donc été arrêtés lundi matin par la DGSI. « Ils projetaient de commettre une action terroriste contre des installations militaires françaises » a expliqué le ministre Bernard Cazeneuve lors d’une conférence de presse organisée à la hâte, quelques heures après une première annonce en ce sens de François Hollande.

    Je félicite nos services de renseignement pour ce nouveau coup porté au terrorisme. Rien n’empêchera les Français de vivre comme ils l’entendent, debout et libres

    Se rengorge Cazeneuve. Pas un mot direct du pensionnaire de la place Beauvau sur les motivations de nos quatre apprentis terroristes, repérés grâce à leur activité sur les réseaux sociaux.
    Ils projetaient de décapiter un militaire gradé et de filmer leur crime, selon une source proche du dossier. Mais PADAMALGAM ! Si ça se trouve, cela n’a rien à voir avec le mode opératoire habituel des sicaires de l’État Islamique (Daesh), déjà fortuitement copié par Yassin Salhi à Saint-Quentin-Fallavier. Tout juste quelques statistiques sur les filières jihadistes permettent-elles de faire le lien avec nos quatre « jeunes » qui affichaient sur Facebook leur volonté de partir en Syrie aux côtés de l’État Islamique (Daesh).

    Notons au passage que selon les sources proches du dossier, l’attentat en était au stade de la conception, ne devant intervenir qu’en décembre, mais les médias parlent bien « d’attentat déjoué » et non de « projet d’attentat ». De plus, le leader de ce groupe était repéré dès le mois d’octobre 2014 et sous le coup d’une enquête ouverte dès le 23 juin par la section antiterroriste du parquet de Paris pour « association de malfaiteurs en vue de préparer des actes de terrorisme. » Bref, on les avait sous le coude, ils ont été sortis opportunément.

    Opportunément ? Voire. les services de police et de renseignements sont en coulisse furieux que l’on se serve de leur travail pour de la communication politicienne, alors que la règle d’or en la matière est le silence.
    • Silence pour ne pas éventer les progrès d’une enquête qui se poursuit.
    • Silence pour ne pas servir la soupe aux terroristes -tous les détails donnés montrent notre vulnérabilité face à des gamins de moins de 20 ans qui veulent couper des têtes, l’effet sur la population est presque le même qu’un attentat effectivement réalisé : peur et sidération.
    • Silence pour ne pas faire de pub à de tels agissements et donner des idées à d’autres candidats djihadistes.

     

    D’un autre côté, si on grossit -bêtement, donc- le trait de ce succès un poil virtuel, les faits avérés se voient minimisés : curieusement, l’attentat dont l’usine pétrochimique de LyondellBasell, près de l’étang de Berre a été l’objet était d’abordqualifié « d’acte malveillant », puis, du bout des lèvres, Cazeneuve admettait qu’il s’agissait d’un acte criminel dont la motivation n’est pas établie.

    Interrogée sur la thèse terroriste, la ministre de l’Écologie et de l’Énergie a répondu jeudi sur BFM TV et RMC :

    Acte terroriste ? Ce n’est pas la piste qui est privilégiée aujourd’hui.

    Ce n’était pas non plus la piste privilégiée au début de l’enquête sur l’affaire Merah, sur les attaques à la voiture bélier dans plusieurs villes de France en décembre ni même pour la décapitation de Hervé Cornara, victime de la décapitation de Saint-Quentin Fallavier…

    C’est sûr, les enquêteurs ont raison de ne pas écarter pas l’hypothèse d’un acte de malveillance commis par un ex-salarié (muni d’explosifs…) ou celle d’un un groupuscule extrémiste écologiste (qui n’aurait pas commis “d’attentat”, mais juste une incivilité pour casser les pieds de Ségolène Royal ?).

    Laissons la police faire son travail, mais il semble pour le moins étrange que quelques jours après le vol d’explosifs et de détonateurs sur une base militaire, deux cuves, l’un remplie d’essence et l’autre de naphta, un dérivé du pétrole, sautent. Une troisième était visée, les enquêteurs ayant retrouvé une « chaîne pyrotechnique » qui a mal fonctionné… à la différence des deux premières, dont les traces ont été clairement identifiées.

    Pour les novices, une chaîne pyrotechnique, c’est un système d’allumage, un système de transfert du feu et finalement une charge explosive, selon Wikipedia. Une bombe, quoi. L’histoire ne dit pas pour le moment si ces éléments de cette chaîne sont identiques à ceux volés à Miramas, et serait-ce le cas, il est douteux que Cazeneuve vienne nous l’annoncer.

    Douteux aussi qu’il vienne se pavaner avec les derniers chiffres cumulés des destructions occasionnées lors de la fête nationale (13 et 14 juillet) : on parle tout de même de 721 véhicules brûlésdont 20 % rien que sur Paris et sa région et des 603 gardes à vue, triste bilan de ce 14 juillet, en augmentation de 23 % pour les incendies et 68 % pour les gardés à vue. Ce ne sont d’ailleurs pas que les voitures qui brûlent pour fêter la prise de la Bastille. Plusieurs bâtiments, dont une médiathèque et une « école de la deuxième chance » ont été incendiées à La Courneuve par des « jeunes », comprenez bien sûr des racailles, lesquels commettent, selon l’expression consacrée par les médias et les politiques, des « incivilités ».
    Pour rappel, une incivilité, c’est quand on oublie de dire merci ou de tenir la porte à une dame. Quand on brûle une voiture ou une école, c’est du vandalisme, un délit grave caractérisé…

    Tant que vous ne voyez pas que ça va mal, c’est que tout va bien. Quand vous voyez que ça va mal, chaussez vos lunettes roses. Les feux de voitures se transforment en « incivilités », les attentats en « actes malveillants » ou en « action d’un déséquilibré », et les sites Ceveso qui en sont victimes sont en fait « extrêmement bien protégés ». (On frémit à l’idée qu’ils ne le fussent pas…)

    D’ailleurs, notre gouvernement déjoue des attentats tous les jours. Les « Français sont protégés ». Vraiment ?

    Et si on arrêtait de se payer de mots ?

    Charles Dewotine

    http://fr.novopress.info/190624/attentat-dejoue-diversion-assuree/#more-190624

  • Le financement de l’Aïd Fitr par les fonds publics, c’est maintenant à Étampes !

    Franck Marlin, dhimmi du mois ? Qu’est-ce qui pousse le député-maire « Les Républicains » d’Étampes à tant de complaisance et de soumission envers les musulmans de sa commune ?

    Alors même que les islamistes commettent des attentats sanglants en Franceen Tunisieen Egypte ou au Koweït, sans parler des massacres de grande ampleur de l’État Islamique, Franck Marlin s’apprête à littéralement servir la soupe aux musulmans de sa commune aux frais de ses administrés.

    Nous apprenons avec stupeur qu’Étampes a débloqué 20 000 euros de crédit pour célébrer la fin du ramadan et un autre évènement musulman prévu à l’automne 2015.

    La municipalité va ainsi offrir le 18 juillet 2015, de 20 h à 23 h, un buffet gratuit à quelque 1 200 musulmans au stade du quartier sensible de la Croix de Vernailles, à l’occasion de la fête de l’Aïd Fitr, qui marque la fin du traditionnel mois de jeûne religieux, au mépris évident du principe de laïcité.
    S’agissant d’une fête à caractère religieux, les prescriptions d’abattage halal se devraient d’être respectées. Là aussi, nous osons espérer que la municipalité n’aura pas contrevenu aux règles de laïcité, d’hygiène publique et de respect des animaux en effectuant elle-même ou en cautionnant l’abattage d’animaux suivant ce rite cruel. La seule solution pour respecter la loi serait alors de présenter un buffet végétarien. La municipalité y a-t-elle seulement pensé ou est-elle tellement enferrée dans sa logique de complaisance qu’elle est prête à bafouer la loi républicaine par communautarisme servile ?

    Il semble en outre que les principes de précaution et de sécurité publique n’ont su entamer la détermination de Franck Marlin. La célébration municipale de l’Aïd Fitr est maintenue alors même que les quartiers sensibles d’Étampes ont été le terrain de violentes émeutes les 14 et 15 juillet dernier, passées sous silence dans les médias, mais relevées par des habitants de la région. Les forces de l’ordre se sont fait caillasser, elles ont dû se dégager à coups de gaz lacrymogènes et l’on déplore une voiture et plusieurs poubelles brûlées.

    Il convient de souligner que le maire d’Étampes n’en est pas à son coup d’essai, puisqu’il a récemment posé la première pierre de la seconde mosquée d’Étampes, un évènement dont lessites de réinformation se sont fait l’écho.
    Le Front National local, par la voix de son responsable de circonscription Julien Schénardi, avait posé la question du respect du principe de laïcité et du financement de cette Mosquée dans un communiqué.

    La colère monte auprès des élus de la majorité municipale qui ne comprennent plus la collaboration du maire d’Étampes envers la communauté musulmane, autrement que par l’achat de la « paix sociale » ou des suffrages communautaires sur des fonds publics.
    Les travaux de la mosquée ont commencé, et les habitants sont maintenant en droit de se poser la question du financement lié à sa construction.
    Franck Marlin cherche-t-il à obtenir la « Palme de l’élu Numéro 1 complice de la montée de l’islamisme » ? Le contraste est en tout cas saisissant avec le message qu’il a adressé aux habitants du sud-Essonne lors de la foire d’Étampes « Un territoire rural et fier de l’être ».

    Les électeurs ne s’y tromperont plus, espérons-le !

    http://fr.novopress.info/190579/le-financement-de-laid-fitr-par-les-fonds-publics-cest-maintenant-a-etampes/#more-190579