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immigration - Page 1260

  • Comment vos élus locaux financent la construction des mosquées

    Extrait de l'interview du sénateur UDI de l’Eure, Hervé Maurey, rapporteur d'un projet sur la question des financements des lieux de culte par les collectivités locales :

    1442180326"Aujourd’hui, nous n’avons aucune information - et je dis bien aucune - sur la manière dont les lieux de culte qui se construisent sont financés, en premier lieu les mosquées. Parce qu’aucune règle de transparence n’a jamais été posée. Avec des règles, nous saurions qui finance et nous pourrions aussi comprendre pourquoi et dans quel but. Nous avons besoin de savoir si certains doutes sont fondés ou non.Des financements de lieux de culte ont déjà interpellé Tracfin, les services du ministère des Finances qui surveillent les éventuels blanchiments d’argent.

    Ces baux emphytéotiques sont une bombe à retardement. Le principe du bail emphytéotique est que le propriétaire met à disposition le terrain pour un nombre déterminé d’années. Au terme du bail, l’édifice construit appartient au propriétaire du terrain. Dans un proche avenir, les municipalités vont ainsi devenir les propriétaires d’une série d’églises catholiques construites avant guerre, comme c’est le cas pour une trentaine d’entre elles à Paris. Ce sont des bâtiments qui ont des coûts d’entretien élevés.Aujourd’hui, ce sont les églises catholiques mais demain, nous aurons les mêmes problèmes avec les mosquées. A Montreuil, la mosquée est ainsi édifiée sur un terrain municipal grâce à un bail emphytéotique.

    La jurisprudence du Conseil d’Etat a autorisé les communes à financer des équipements ou des parties d’équipements à vocation culturelle et non pas cultuelle. Mais c’est souvent dans le même bâtiment. La frontière entre le cultuel et le culturel est assez ténue. Nous suggérons qu’il y ait un décret du Conseil d’Etat qui délimite tout cela. Dans certains cas, il y a une hypocrisie dans la distinction et la partie culturelle a pu être injectée pour que la totalité de l’édifice puisse être subventionnée."

    Pour en savoir plus sur ce qui se passe près de chez vous.

    Addendum : Jean-Marie Bockel vient d'annoncer que le rapport vient d'être adopté à l'unanimité au Sénat avec notamment l'article 6 : "Aider et sécuriser les élus locaux en définissant explicitement, par décret en Conseil d'Etat, les types de dépenses municipales pouvant relever du culturel et celles pouvant relever du cultuel".

    Le financement officiel de l'islam en France, c'est maintenant !

    Philippe Carhon

  • Loïc Liber, tétraplégique, victime de Mohammed Merah et oublié de la République

    Loïc Liber appartenait au 17e régiment de génie parachutiste ; aujourd’hui, il a tenu à rompre son silence. Il y a trois ans, ce Guadeloupéen était la cible de Mohammed Merah, à Montauban. Ils étaient trois devant le distributeur de billets de la Société générale, situé à proximité de la caserne Doumerc, ce 15 mars 2012. Ils n’ont pas vu venir l’homme à moto qui, écartant une vieille dame, les a pris pour cible simplement parce qu’ils portaient un béret rouge. Loïc a été grièvement blessé, ses deux camarades de régiment – Abel Chennouf et Mohamed Legouad -, eux, sont morts sur ce trottoir, dans une petite ville française, sans comprendre.

    Le militaire rescapé est resté un temps entre la vie et la mort mais, finalement, cette dernière n’a pas voulu de lui : « Heureusement, la balle a traversé mon corps de travers », explique-t-il à Radio Outre-Mer. « Je me rappelle très bien de la scène, on était trois. Malheureusement cet homme – il refuse de nommer Mohammed Merah – est venu par derrière… C’est un geste lâche, parce qu’il n’a pas eu le cran de nous affronter face à face. Tirer dans le dos de quelqu’un, c’est se montrer lâche… Ça fait beaucoup de peine de savoir qu’on est le seul rescapé de cette tragédie », confie avec tristesse ce soldat.

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  • Nicolas Bay sur Boulevard Voltaire : “politique de peuplement” de Valls : le multiculturalisme à marche forcée ?

    Source : Boulevard Voltaire – ” [Politique de peuplement] de Valls : le multiculturalisme à marche forcée ?”
    Que cela soit dans ses attaques contre le Front national ou contre les intellectuels (hier Éric Zemmour, avant-hier Michel Houellebecq, et désormais Michel Onfray), le Premier ministre a de plus en plus de mal à garder son calme et à cacher ses pulsions totalitaires. Pour Manuel Valls, l’excommunication tient lieu de débat : après tout, n’a-t-il pas lancé hier à Marion Maréchal-Le Pen qu’elle n’était “ni la République, ni la France” ? Un jugement s’adressant, sans doute aussi, aux millions de Français votant pour le FN. Si ces propos outranciers ne sont guère rassurants, l’attitude physique témoignée par Manuel Valls lors de cette virulente diatribe ne l’est pas davantage.

    Lorsqu’il avait dénoncé le 20 janvier dernier, à quelques jours seulement des terribles attaques islamistes, l’existence d’un “apartheid territorial, social, ethnique”, le Premier ministre cédait à deux tentations mortifères de la gauche, et même plus largement du camp mondialiste. Tout d’abord l’explication serait sociale, forcément sociale, et puis – le raisonnement est lié – tout serait un peu de notre faute (de l’État, des Français), forcément de notre faute. Un raisonnement facile permettant d’évacuer tant de questions… Au même moment, je m’interrogeais pour ma part sur l’immigration, le droit du sol et l’attribution automatique de la nationalité française.

    À cet “apartheid”, Manuel Valls entend opposer une “politique de peuplement” dont il vient d’annoncer les premières inquiétantes propositions. La principale mesure éducative consisterait à redéfinir la carte scolaire pour les collèges afin de favoriser la “mixité sociale”. La même “mixité sociale” que l’on entend aussi imposer en forçant la construction de logements sociaux dans les communes réticentes, notamment en passant directement par les intercommunalités, voire même en faisant délivrer des permis de construire directement par les préfets. Ou comment priver les maires d’un de leurs principaux pouvoirs.

    Au lendemain de cette présentation, le ministre de la Ville Patrick Kanner considérait même que “refuser les logements sociaux, c’est antirépublicain”. Rien que ça. Une réflexion piquante de la part de celui qui se déclarait récemment favorable à la discrimination positive.

    Osons poser la question : de quoi le logement social est-il le nom aujourd’hui ? Malheureusement, à défaut de priorité nationale, à travers des procédures d’attribution souvent opaques (cachant mal un certain clientélisme contre lequel les élus locaux du FN mènent bataille), et des critères pernicieux, le logement social rime le plus souvent avec immigration. Une immigration que cette “politique de peuplement” entend désormais disperser sur tout le territoire, l’idée étant notamment de la diluer et donc de minimiser la perception de ses conséquences par nos compatriotes. La “mixité sociale” n’est que le cache-sexe d’un multiculturalisme à marche forcée, quitte à ce que les préfets s’en chargent !De la crise du logement à l’insécurité, on ne résoudra rien tant qu’on ne commencera pas par stopper l’immigration (ce qui signifie aussi en inverser les flux, notamment par l’expulsion systématique des clandestins et des criminels étrangers ou le non-renouvellement automatique des titres de séjour), rétablir l’assimilation républicaine comme règle, et réaffirmer avec force et fierté notre identité.

    Nicolas Bay

    http://fr.novopress.info/183946/politique-de-peuplement/

  • En 2010, le coût du crime et de la délinquance a été estimé à 150 milliards d’euros, soit 7,5% du PIB

    Le crime et la délinquance en France ont coûté 150 milliards d’euros.
    Cette estimation de l’Institut pour la justice prend notamment en compte les “conséquences de la criminalité”, les coûts “visant à l’anticiper” et le coût pour la collectivité de la lutte contre la délinquance.

    Le coût annuel du crime et de la délinquance est estimé sur 2010-2011 à 150 milliards d’euros, soit 7,5% du PIB, selon une étude publiée lundi par une association de défense des victimes. Avec cette étude, diffusée sur le site du Figaro, l’Institut pour la justice (IPJ) dit vouloir alerter les candidats à la présidentielle sur la nécessaire augmentation des dépenses publiques liées à la lutte contre la criminalité.

    “C’est tout particulièrement le cas du budget de la justice pénale, qui représente 5 milliards d’euros seulement alors que le coût économique et social du noyau dur de la criminalité (violences, crime organisé, vols, vandalisme et escroqueries) s’élève à 78,3 milliards”, estime l’association dans un communiqué. Cette étude a été réalisée par un économiste, Jacques Bichot, professeur émérite à l’Université de Lyon III et porte sur la période octobre 2010-septembre 2011.

    Elle prend en compte les conséquences de la criminalité (préjudice matériel, physique et psychologique des victimes), les coûts “visant à l’anticiper” (assurances, frais de protection privés) et le coût pour la collectivité de la lutte contre la délinquance (police, gendarmerie, justice), précise l’Institut.

    Selon lui, la méthodologie est la même que celle adoptée par les gouvernements britannique et canadien, qui ont publié des rapports sur ces questions et parviennent à des résultats comparables. L’IPJ avait déjà publié en mai 2010 une estimation du coût annuel du crime et de la délinquance, qui s’élevait alors à 115 milliards en 2008. Selon l’IPJ, la méthodologie a été affinée depuis et prend en compte notamment les infractions routières, écartées de la précédente étude.

    http://fr.novopress.info/184014/crime-et-delinquance/

  • Nicolas Bay sur Boulevard Voltaire : “politique de peuplement” de Valls : le multiculturalisme à marche forcée ?

    Source : Boulevard Voltaire – ” [Politique de peuplement] de Valls : le multiculturalisme à marche forcée ?”
    Que cela soit dans ses attaques contre le Front national ou contre les intellectuels (hier Éric Zemmour, avant-hier Michel Houellebecq, et désormais Michel Onfray), le Premier ministre a de plus en plus de mal à garder son calme et à cacher ses pulsions totalitaires. Pour Manuel Valls, l’excommunication tient lieu de débat : après tout, n’a-t-il pas lancé hier à Marion Maréchal-Le Pen qu’elle n’était “ni la République, ni la France” ? Un jugement s’adressant, sans doute aussi, aux millions de Français votant pour le FN. Si ces propos outranciers ne sont guère rassurants, l’attitude physique témoignée par Manuel Valls lors de cette virulente diatribe ne l’est pas davantage.

    Lorsqu’il avait dénoncé le 20 janvier dernier, à quelques jours seulement des terribles attaques islamistes, l’existence d’un “apartheid territorial, social, ethnique”, le Premier ministre cédait à deux tentations mortifères de la gauche, et même plus largement du camp mondialiste. Tout d’abord l’explication serait sociale, forcément sociale, et puis – le raisonnement est lié – tout serait un peu de notre faute (de l’État, des Français), forcément de notre faute. Un raisonnement facile permettant d’évacuer tant de questions… Au même moment, je m’interrogeais pour ma part sur l’immigration, le droit du sol et l’attribution automatique de la nationalité française.

    À cet “apartheid”, Manuel Valls entend opposer une “politique de peuplement” dont il vient d’annoncer les premières inquiétantes propositions. La principale mesure éducative consisterait à redéfinir la carte scolaire pour les collèges afin de favoriser la “mixité sociale”. La même “mixité sociale” que l’on entend aussi imposer en forçant la construction de logements sociaux dans les communes réticentes, notamment en passant directement par les intercommunalités, voire même en faisant délivrer des permis de construire directement par les préfets. Ou comment priver les maires d’un de leurs principaux pouvoirs.

    Au lendemain de cette présentation, le ministre de la Ville Patrick Kanner considérait même que “refuser les logements sociaux, c’est antirépublicain”. Rien que ça. Une réflexion piquante de la part de celui qui se déclarait récemment favorable à la discrimination positive.

    Osons poser la question : de quoi le logement social est-il le nom aujourd’hui ? Malheureusement, à défaut de priorité nationale, à travers des procédures d’attribution souvent opaques (cachant mal un certain clientélisme contre lequel les élus locaux du FN mènent bataille), et des critères pernicieux, le logement social rime le plus souvent avec immigration. Une immigration que cette “politique de peuplement” entend désormais disperser sur tout le territoire, l’idée étant notamment de la diluer et donc de minimiser la perception de ses conséquences par nos compatriotes. La “mixité sociale” n’est que le cache-sexe d’un multiculturalisme à marche forcée, quitte à ce que les préfets s’en chargent !De la crise du logement à l’insécurité, on ne résoudra rien tant qu’on ne commencera pas par stopper l’immigration (ce qui signifie aussi en inverser les flux, notamment par l’expulsion systématique des clandestins et des criminels étrangers ou le non-renouvellement automatique des titres de séjour), rétablir l’assimilation républicaine comme règle, et réaffirmer avec force et fierté notre identité.

    Nicolas Bay

    http://fr.novopress.info/183946/politique-de-peuplement/

  • Reportage : Deir Ezzor, le point de chute des djihadistes de France

    Reportage de France 2 au cœur des combats entre l’armée arabe syrienne et les « français » de l’Etat Islamique dans la ville de Deir Ezzor.

     

    http://www.contre-info.com/

  • Le PS torsionne un peu plus la laïcité en voulant développer les écoles musulmanes privées

    5 semaines après avoir participé à un groupe de travail sur la “cohésion républicaine”, certains signataires du parti socialiste s’en désolidarisent. La cause est la dernière phrase du rapport qui en est ressorti : “Il faut développer les établissements scolaires privés sous contrat”. En l’occurrence musulmanes, pour que les choses soient claires.

    Cette réflexion de groupe qui était venue en réaction des attentats islamistes de janvier à Paris est pour le moins troublante par cette phrase de conclusion. Des participants (Emmanuel Maurel, Sandrine Mazetier, François Kalfon) prétendent cependant ne pas en avoir eu connaissance. Soit ! Après la loi Macron passée au 49.3, une nouvelle fronde apparait contre ce gouvernement qui a de moins en moins la côte y compris auprès de sa propre majorité.

    Bernard Cazeneuve, lui, ne s’en départit pas puisqu’il a repris lors du conseil des ministres du 25 février des propositions du texte, notamment sur les écoles privées :

    “Le gouvernement veillera à ce que l’enseignement privé confessionnel musulman puisse se développer dans le respect des principes républicains. Des instructions seront adressées aux préfets et aux recteurs afin qu’ils fassent pleinement usage de leurs prérogatives de contrôle”.

    Ces forcenés laïcards, voire ces forçats de la laïcité ont subitement décidé d’abandonner leur combat principal : la laïcité.
    À l’approche des cantonales, le sujet se fait discret et ne sera clarifié qu’après, aveu de son impopularité prévisible.

    “En renonçant à défendre l’école publique le parti socialiste trahit la République.” C’est en ces termes forts que le Parti radical de gauche (PRG) de Jean-Michel Baylet a combattu les propositions du PS sur la laïcité.
    “Ces propositions sont indignes de la tradition socialiste d’émancipation vis-à-vis des religions et sont une insulte à la mémoire d’Alain Savary qui a combattu avec force pour unifier l’enseignement secondaire”, dénoncent-ils encore, dans un communiqué publié lundi 11 mars 2015. Les radicaux de gauche demandent à Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, de “rapidement clarifier la position du PS en matière de laïcité”.
    “Quand nous avons lu le document, nous avons pensé que c’était une contribution d’un courant socialiste. Nous avons été estomaqués de lire que le PS encourageait les écoles confessionnelles et les lieux de culte”, a expliqué Pascal-Eric Lalmy, secrétaire national à la laïcité au PRG.

    http://fr.novopress.info/

  • La Grande Mosquée d'Angers : "une chance" pour le maire UMP

    Avec un minaret de 21 mètres, tout de même.

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L'enfant tueur de l'Etat islamique vient de Toulouse

    Lu ici :

    "C'est vraisemblablement en début de semaine que des enfants ont visionné sur internet la vidéo montrant l'exécution mise en ligne par le groupe terroriste Daesh. A leur grande surprise, ils ont reconnu l'enfant qui tenait l'arme. C'était l'un de leurs camarades qu'ils avaient fréquenté il y a plusieurs mois dans leur classe ou dans leur école. Certains ont partagé leur surprise avec leurs parents qui ont immédiatement averti les enseignants.

    L'Inspecteur d'Académie de la Haute-Garonne a mis en place dès jeudi une cellule psychologique. L'objectif : aider les parents désemparés à répondre aux questions de leurs enfants qui ont fait une si terrible découverte; Selon l'Inspecteur d'Académie qui a participé à l'une de ces réunions, certains parents étaient en larme."

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html