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immigration - Page 1260

  • Attentat “déjoué” : diversion assurée, les terroristes encouragés !

    Tandis que la France s’enfonce dans « l’insécurité » délinquante et/ou terroriste, le gouvernement se vante de déjouer des attentats… enfumage !

    Audacieux. C’est ainsi que Hollande se qualifie et il a raison. Il en faut de l’audace pour oser une telle rhétorique fumeuse. Alors que pour le 14 juillet, on a battu des records en termes de violence, que des explosifs ont été dérobés sur un site militaire, qu’ils ont peut-être servi pour « l’acte malveillant » dont a été l’objet un site pétrochimique, voilà que l’on nous annonce en grande pompe qu’un attentat a été « déjoué » et que donc le gouvernement maîtrise la situation sécuritaire.

    Pour Ségolène Royal, le président a voulu communiquer car

    Il a estimé qu’à un moment il était important de montrer que les Français étaient protégés

    Ah, ça on se sent protégés ! Tout est parfait, pensent nos « gouvernants », du moins sur le plan de la communication politicienne. Parce que sur le plan de l’efficacité anti-terroriste, c’est zéro pointé ! Jugez plutôt :

    Quatre hommes âgés de 16 à 23 ans, dont un ancien militaire de la marine, ont donc été arrêtés lundi matin par la DGSI. « Ils projetaient de commettre une action terroriste contre des installations militaires françaises » a expliqué le ministre Bernard Cazeneuve lors d’une conférence de presse organisée à la hâte, quelques heures après une première annonce en ce sens de François Hollande.

    Je félicite nos services de renseignement pour ce nouveau coup porté au terrorisme. Rien n’empêchera les Français de vivre comme ils l’entendent, debout et libres

    Se rengorge Cazeneuve. Pas un mot direct du pensionnaire de la place Beauvau sur les motivations de nos quatre apprentis terroristes, repérés grâce à leur activité sur les réseaux sociaux.
    Ils projetaient de décapiter un militaire gradé et de filmer leur crime, selon une source proche du dossier. Mais PADAMALGAM ! Si ça se trouve, cela n’a rien à voir avec le mode opératoire habituel des sicaires de l’État Islamique (Daesh), déjà fortuitement copié par Yassin Salhi à Saint-Quentin-Fallavier. Tout juste quelques statistiques sur les filières jihadistes permettent-elles de faire le lien avec nos quatre « jeunes » qui affichaient sur Facebook leur volonté de partir en Syrie aux côtés de l’État Islamique (Daesh).

    Notons au passage que selon les sources proches du dossier, l’attentat en était au stade de la conception, ne devant intervenir qu’en décembre, mais les médias parlent bien « d’attentat déjoué » et non de « projet d’attentat ». De plus, le leader de ce groupe était repéré dès le mois d’octobre 2014 et sous le coup d’une enquête ouverte dès le 23 juin par la section antiterroriste du parquet de Paris pour « association de malfaiteurs en vue de préparer des actes de terrorisme. » Bref, on les avait sous le coude, ils ont été sortis opportunément.

    Opportunément ? Voire. les services de police et de renseignements sont en coulisse furieux que l’on se serve de leur travail pour de la communication politicienne, alors que la règle d’or en la matière est le silence.
    • Silence pour ne pas éventer les progrès d’une enquête qui se poursuit.
    • Silence pour ne pas servir la soupe aux terroristes -tous les détails donnés montrent notre vulnérabilité face à des gamins de moins de 20 ans qui veulent couper des têtes, l’effet sur la population est presque le même qu’un attentat effectivement réalisé : peur et sidération.
    • Silence pour ne pas faire de pub à de tels agissements et donner des idées à d’autres candidats djihadistes.

     

    D’un autre côté, si on grossit -bêtement, donc- le trait de ce succès un poil virtuel, les faits avérés se voient minimisés : curieusement, l’attentat dont l’usine pétrochimique de LyondellBasell, près de l’étang de Berre a été l’objet était d’abordqualifié « d’acte malveillant », puis, du bout des lèvres, Cazeneuve admettait qu’il s’agissait d’un acte criminel dont la motivation n’est pas établie.

    Interrogée sur la thèse terroriste, la ministre de l’Écologie et de l’Énergie a répondu jeudi sur BFM TV et RMC :

    Acte terroriste ? Ce n’est pas la piste qui est privilégiée aujourd’hui.

    Ce n’était pas non plus la piste privilégiée au début de l’enquête sur l’affaire Merah, sur les attaques à la voiture bélier dans plusieurs villes de France en décembre ni même pour la décapitation de Hervé Cornara, victime de la décapitation de Saint-Quentin Fallavier…

    C’est sûr, les enquêteurs ont raison de ne pas écarter pas l’hypothèse d’un acte de malveillance commis par un ex-salarié (muni d’explosifs…) ou celle d’un un groupuscule extrémiste écologiste (qui n’aurait pas commis “d’attentat”, mais juste une incivilité pour casser les pieds de Ségolène Royal ?).

    Laissons la police faire son travail, mais il semble pour le moins étrange que quelques jours après le vol d’explosifs et de détonateurs sur une base militaire, deux cuves, l’un remplie d’essence et l’autre de naphta, un dérivé du pétrole, sautent. Une troisième était visée, les enquêteurs ayant retrouvé une « chaîne pyrotechnique » qui a mal fonctionné… à la différence des deux premières, dont les traces ont été clairement identifiées.

    Pour les novices, une chaîne pyrotechnique, c’est un système d’allumage, un système de transfert du feu et finalement une charge explosive, selon Wikipedia. Une bombe, quoi. L’histoire ne dit pas pour le moment si ces éléments de cette chaîne sont identiques à ceux volés à Miramas, et serait-ce le cas, il est douteux que Cazeneuve vienne nous l’annoncer.

    Douteux aussi qu’il vienne se pavaner avec les derniers chiffres cumulés des destructions occasionnées lors de la fête nationale (13 et 14 juillet) : on parle tout de même de 721 véhicules brûlésdont 20 % rien que sur Paris et sa région et des 603 gardes à vue, triste bilan de ce 14 juillet, en augmentation de 23 % pour les incendies et 68 % pour les gardés à vue. Ce ne sont d’ailleurs pas que les voitures qui brûlent pour fêter la prise de la Bastille. Plusieurs bâtiments, dont une médiathèque et une « école de la deuxième chance » ont été incendiées à La Courneuve par des « jeunes », comprenez bien sûr des racailles, lesquels commettent, selon l’expression consacrée par les médias et les politiques, des « incivilités ».
    Pour rappel, une incivilité, c’est quand on oublie de dire merci ou de tenir la porte à une dame. Quand on brûle une voiture ou une école, c’est du vandalisme, un délit grave caractérisé…

    Tant que vous ne voyez pas que ça va mal, c’est que tout va bien. Quand vous voyez que ça va mal, chaussez vos lunettes roses. Les feux de voitures se transforment en « incivilités », les attentats en « actes malveillants » ou en « action d’un déséquilibré », et les sites Ceveso qui en sont victimes sont en fait « extrêmement bien protégés ». (On frémit à l’idée qu’ils ne le fussent pas…)

    D’ailleurs, notre gouvernement déjoue des attentats tous les jours. Les « Français sont protégés ». Vraiment ?

    Et si on arrêtait de se payer de mots ?

    Charles Dewotine

    http://fr.novopress.info/190624/attentat-dejoue-diversion-assuree/#more-190624

  • Le financement de l’Aïd Fitr par les fonds publics, c’est maintenant à Étampes !

    Franck Marlin, dhimmi du mois ? Qu’est-ce qui pousse le député-maire « Les Républicains » d’Étampes à tant de complaisance et de soumission envers les musulmans de sa commune ?

    Alors même que les islamistes commettent des attentats sanglants en Franceen Tunisieen Egypte ou au Koweït, sans parler des massacres de grande ampleur de l’État Islamique, Franck Marlin s’apprête à littéralement servir la soupe aux musulmans de sa commune aux frais de ses administrés.

    Nous apprenons avec stupeur qu’Étampes a débloqué 20 000 euros de crédit pour célébrer la fin du ramadan et un autre évènement musulman prévu à l’automne 2015.

    La municipalité va ainsi offrir le 18 juillet 2015, de 20 h à 23 h, un buffet gratuit à quelque 1 200 musulmans au stade du quartier sensible de la Croix de Vernailles, à l’occasion de la fête de l’Aïd Fitr, qui marque la fin du traditionnel mois de jeûne religieux, au mépris évident du principe de laïcité.
    S’agissant d’une fête à caractère religieux, les prescriptions d’abattage halal se devraient d’être respectées. Là aussi, nous osons espérer que la municipalité n’aura pas contrevenu aux règles de laïcité, d’hygiène publique et de respect des animaux en effectuant elle-même ou en cautionnant l’abattage d’animaux suivant ce rite cruel. La seule solution pour respecter la loi serait alors de présenter un buffet végétarien. La municipalité y a-t-elle seulement pensé ou est-elle tellement enferrée dans sa logique de complaisance qu’elle est prête à bafouer la loi républicaine par communautarisme servile ?

    Il semble en outre que les principes de précaution et de sécurité publique n’ont su entamer la détermination de Franck Marlin. La célébration municipale de l’Aïd Fitr est maintenue alors même que les quartiers sensibles d’Étampes ont été le terrain de violentes émeutes les 14 et 15 juillet dernier, passées sous silence dans les médias, mais relevées par des habitants de la région. Les forces de l’ordre se sont fait caillasser, elles ont dû se dégager à coups de gaz lacrymogènes et l’on déplore une voiture et plusieurs poubelles brûlées.

    Il convient de souligner que le maire d’Étampes n’en est pas à son coup d’essai, puisqu’il a récemment posé la première pierre de la seconde mosquée d’Étampes, un évènement dont lessites de réinformation se sont fait l’écho.
    Le Front National local, par la voix de son responsable de circonscription Julien Schénardi, avait posé la question du respect du principe de laïcité et du financement de cette Mosquée dans un communiqué.

    La colère monte auprès des élus de la majorité municipale qui ne comprennent plus la collaboration du maire d’Étampes envers la communauté musulmane, autrement que par l’achat de la « paix sociale » ou des suffrages communautaires sur des fonds publics.
    Les travaux de la mosquée ont commencé, et les habitants sont maintenant en droit de se poser la question du financement lié à sa construction.
    Franck Marlin cherche-t-il à obtenir la « Palme de l’élu Numéro 1 complice de la montée de l’islamisme » ? Le contraste est en tout cas saisissant avec le message qu’il a adressé aux habitants du sud-Essonne lors de la foire d’Étampes « Un territoire rural et fier de l’être ».

    Les électeurs ne s’y tromperont plus, espérons-le !

    http://fr.novopress.info/190579/le-financement-de-laid-fitr-par-les-fonds-publics-cest-maintenant-a-etampes/#more-190579

  • Nuits d’émeutes, incendie criminel de Berre-l’Étang : la République apaisée

    Depuis lundi, les émeutes se multiplient sur l’ensemble du territoire national. Le feu couve depuis plusieurs semaines. En effet, un à un, les quartiers s’embrasent, un peu partout en France. À Toulouse, par exemple, le quartier du Mirail est régulièrement la proie de nuits durant lesquelles les voitures brûlent, ou servent à des rodéos mortels entre les voyous et la police. Pareillement, Roubaix ne connaît pas un jour de repos, la ville étant constamment soumise à l’arbitraire de la violence des gangs. Cette jeunesse barbare est encouragée à commettre ses forfaits par un ministre de la Justice laxiste, prompt à excuser les délinquants, et même à présenter les coupables comme étant les victimes ontologiques de la société. Plus que jamais, nous avons la preuve qu’il existe une France hors la France. Pire : cette France hors la France n’est jamais réprimée, ou simplement rappelée à l’ordre.

    Bouches d’incendie reconverties en jeux d’eau, voitures brûlées lors de la nuit du 14 juillet, émeutes, piscines privées occupées par des « jeunes » qui maltraitent les propriétaires, spectacles annulés préventivement par peur de choquer la population : l’été est propice à toutes les dérives dans la France post-Charlie.

    Il me serait impossible de relater, ici, tous les événements des derniers jours, quelques-uns d’entre eux laissent à penser que la France est en état pré-insurrectionnel : la médiathèque Gagarine et l’école de la « Deuxième Chance » ont été incendiées à La Courneuve, la police a été canardée au mortier dans le XIXe arrondissement parisien, des habitations ont été les cibles de tirs de mortier à Meyzieu (69), cinquante véhicules ont été incendiés dans la nuit du 13 au 14 juillet dans la métropole lyonnaise, affrontements entre « jeunes » et gendarmes à Gisors (27)…

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  • Quatre terroristes, dont un ancien militaire, préparaient des attentats contre des bases militaires et la décapitation d'un gradé

    Mais tout va bien en France et notre président s'occupe de la Grèce : 

    "Dans la soirée, c’est le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve qui s’est exprimé. « Lundi 13 juillet à l’aube, quatre individus de 16 à 23 ans, dont un ancien militaire réformé de la marine, ont été interpellés aux quatre coins du territoire. Ces individus projetaient des attaques terroristes contre des installations militaires françaises ». Selon l'AFP, les mis en cause projetaient de «décapiter un militaire gradé»

    Le principal instigateur dans ce projet d’attentat avait été, selon le locataire de la Place Beauvau ,« repéré pour son activisme sur les réseaux sociaux et dans le relationnel de jihadistes français aujourd’hui incarcérés ». Il avait aussi manifesté des « velléités de départ en Syrie» ce qui lui avait valu à l'époque «un entretien administratif» avec les services français.

    Bernard Cazeneuve a aussi précisé qu’« aucun lien ne peut etre établi à ce stade avec les faits qui se sont déroulés récemment dans les Bouches du Rhône. »

    Mais bien sûr...

    Lahire

  • Explosions de Berre-L'Etang : il s'agit bien d'un attentat

    Un dispositif de mise à feu de type électrique a été retrouvé et le grillageentourant le site classé Seveso avait été cisaillé à plusieurs endroits. Il faut se pincer pour croire aux dires d'une source proche de l’enquête :

    "Cela peut être une vengeance liée à un conflit social, un licenciement. Des individus d’une boîte concurrente voulant déstabiliser LyondellBasell.Un voisin lassé par l’odeur et les nuisances du site. Un ou plusieurs activistes voulant prouver que les sites Seveso sont mal protégés. C’est très très ouvert et, pour l’instant, nous avons peu d’éléments exploitables puisque tout est carbonisé."

    Selon Libération, l’hypothèse d’une action jihadiste n’est, pour l’heure, pas privilégiée.

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Dhimmi-taliens : Caritas veut organiser la colonisation des clandestins

    Face à l’opposition croissante que suscite le flot ininterrompu de clandestins en Italie, Caritas souhaite les répartir sur tout le territoire.

    La Caritas (le Secours catholique italien) est depuis des années le fer de lance du lobby immigrationniste. Elle a par exemple coorganisé la campagne « L’Italia Sono Anch’Io » pour le vote des immigrés et l’adoption du droit du sol. Elle travaille de toutes ses forces à culpabiliser les Italiens de souche en leur faisant une obligation d’accueillir sans limites tous les clandestins.
    Face à l’opposition croissante que suscite le flot ininterrompu des débarquements de clandestins, les branches de la Caritas dans tous les diocèses de Lombardie (Milan, Bergame, Brescia, Côme, Crema, Crémone, Lodi, Mantoue, Pavie et Vigevano) viennent donc de publier un long communiqué, « Le phénomène migratoire et les communautés chrétiennes de Lombardie ». Le texte, « rédigé en collaboration avec Mgr Erminio De Scalzi, évêque délégué de la Conférence épiscopale lombarde », est repris sur les sites officiels des diocèses. La presse locale en donne les principaux extraits.

    Les Caritas diocésaines et l’évêque De Scalzi affirment « ne pouvoir se taire devant les campagnes médiatiques trompeuses qui soufflent sur le feu de la peur et qui ôtent sa lucidité à l’opinion publique » – non, ce n’est pas de la propagande immigrationniste que parlent ces prélats.

    Nous dénonçons l’immoralité d’une certaine rhétorique politique qui, en redoutant des “invasions” et en définissant tous les réfugiés comme “des clandestins”, finit par autoriser le citoyen à ne plus se sentir coresponsable de l’accueil

    Car « le citoyen », bien sûr, est « coresponsable de l’accueil » !
    La solution contre ces méchantes gens qui osent redouter une invasion ? « Les Caritas de Lombardie, soutenues par leurs évêques respectifs, lancent un appel pour que les paroisses mettent à disposition des espaces adéquats pour un accueil réparti sur tout le territoire. La présence d’unités [de clandestins] peu nombreuses dans nos communautés paroissiales favorise une approche plus sereine de la part de la population, un vivre-Ensemble mieux accepté et soutenu par le volontariat ». Bref, il faut organiser la colonisation.

    Matteo Salvini, secrétaire de la Ligue du Nord, a commenté ironiquement sur twitter : « Les Caritas lombardes invitent les paroisses à accueillir des immigrés : peut-être parce que les clandestins rapportent plus que les pauvres chômeurs italiens ? »
    L’explication financière est effectivement la première qui vienne à l’esprit. En mai 2011, alors que le déferlement migratoire consécutif au « printemps arabe » ne faisait que commencer, l’hebdomadaire Panorama Economy avait déjà souligné que « le business de l’accueil aux immigrés ne connaît pas la crise ». Plus tard, en 2013, La Repubblica avait publié deux grandes enquêtes : « Le grand business des centres d’accueil : leur gestion devient une mine d’or » (octobre 2013) et « Ce business de deux millions par jour sur le dos des migrants : plus il en arrive, plus ils gagnent » (décembre 2013).
    Le gouvernement italien verse de trente à quarante-cinq euros par immigré et par jour (soixante-dix pour les mineurs) aux différents centres d’accueil – il en existe toute une gamme –, dont la gestion est attribuée après appel d’offres. La Caritas et la nébuleuse des associations catholiques se taillent la part du lion.

    L’appât du gain n’est pourtant pas le seul : il y a celui de la chair fraîche. Voici un an, le directeur de la Caritas diocésaine de Trapani, en Sicile, Mgr Sergio Librizzi, grande autorité immigrationniste, membre très influent de la commission préfectoralechargée d’attribuer le statut de réfugié politique, était arrêté, pour avoir contraint des clandestins à des rapports homosexuels, en échange d’un permis de séjour ou du statut de réfugié politique. L’instruction, toujours en cours, continue à produire son lot de révélations.

    L’ancien évêque de Trapani, Mgr Francesco Micciché, a ainsi été convaincu d’avoir sciemment couvert Librizzi, son complice dans une gigantesque affaire de détournement de fonds qui tournait autour de la Caritas diocésaine. Le mois dernier, les enquêteurs ont découvert sur l’ordinateur de l’évêque une impressionnante collection de photos pédopornographiques.

    À peu près au même moment éclatait le scandale de l’abbé Gregorio Vitali, recteur du sanctuaire de la Madonna della Bozzola de Garlasco, « un des prêtres les plus en vue du diocèse de Vigevano » – un des diocèses lombards où la Caritas appelle à disséminer les frères migrants : deux Roms le faisaient chanter après l’avoir filmé dans des orgies gay. Un réseau de prostitution masculine était organisé autour du sanctuaire. Le Recteur avait déjà payé 150.000 euros aux maîtres-chanteurs, qui lui en réclamaient 250.000 de plus.

    Il serait certes absurde de généraliser, mais on peut quand même se demander si tous ces immigrés africains, une fois installés dans chaque presbytère de Lombardie, seraient vraiment perdus pour tout le monde…

    Flavien Blanchon

    http://fr.novopress.info/190540/dhimmi-taliens-caritas-veut-organiser-colonisation-clandestins/#more-190540

  • Prisons : une "minorité" qui fait la loi

    Lu dans Minute :

    "Ce pourrait être une histoire belge mais ce ne serait pas la plus drôle. Plusieurs médias ont rapporté l’affaire se déroulant à Nivelles, dans le Brabant wallon, et le témoignage d’une quinquagénaire, Liliane. Depuis quelques mois, cette femme rend visite chaque semaine à son fils, incarcéré dans la prison de la commune. Dans les différents articles, celle-ci précise: « Je fais toujours attention à ce que je mets. C’est une prison d’hommes, avec une salle de visite remplie d’hommes. Je ne veux pas attiser les regards. Si j’y vais, je suis en pantalon et sans décolleté ».

    Voici dix jours, la canicule sévissant aussi chez nos voisins, la mère de famille a eu l’impudence, et manifestement l’imprudence, de se présenter avec une robe « longue, vraiment très longue », précise-t-elle, « sans décolleté, mais avec des bretelles. Mes épaules étaient donc découvertes ». A l’issue de cette visite, quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’une gardienne lui expliqua qu’elle ne devait plus se présenter ainsi. « Elle s’est justifiée en me disant que d’autres femmes de détenus ne voulaient pas voir une femme aux bras dénudés dans la salle de visite, a fortiori en période de ramadan », raconte Liliane qui poursuit : «La gardienne a ajouté qu’il vaudrait mieux que je le fasse, parce que mon fils pourrait en subir les représailles. »

    Face aux demandes d’explication de la femme qui en a pleuré – «Je me sentais violée dans mon intimité, traitée comme une fille de rue » – puis des médias, un porte-parole des établissements pénitentiaires a affirmé qu’il n’y avait aucune mesure particulière liée à la période de ramadan ou aux réclamations de certains détenus. Mais Liliane ne décolère pas : « J’en veux à ceux qui dirigent et qui imposent ce genre de règlement. Je ne comprends qu’on fasse une règle absolue applicable à tout le monde pour ne pas choquer une minorité ». Une minorité, en prison, vous êtes sûre Liliane ?"

    Michel Janva

  • 20 présumés terroristes arrêtés au Mali dont deux Français

    Ces présumés terroristes ont été arrêtés à Zegoua au sud du Mali en provenance de la Côte d’Ivoire. Ils sont pour la plupart des Mauritaniens, mais on compte aussi des Maliens et deux Français.

    Ces 20 djihadistes ont été arrêtés en lien avec deux membres du groupe Ansar Eddine, capturés par l’armée malienne la semaine dernière et seraient impliqués dans la planification d’attentats.

    Le groupe Ansar Eddine a revendiqué une série d’attaques perpétrées dans des villes et des villages situés au sud et à l’ouest du Mali, dont la capitale Bamako. Après l’arrestation la semaine dernière d’un djihadiste soupçonné d’être le cerveau de la fusillade du 7 mars à Bamako qui a coûté la vie à un Français, un Belge et trois Maliens dans un restaurant de Bamako, les enquêtes laissent entrevoir de nouvelles stratégies des groupes islamistes pour occuper le territoire malien.

    Au moins quatre groupes jihadistes, ainsi que des plus petites formations, se seraient alliés pour ouvrir un nouveau front au sud du Mali. Le groupe Ansar Edine, mené par Iyad ag Ghali se trouverait au centre de cette coalition. Au total, ce groupe d’une centaine de personnes a pour objectif de faire de la région de Sikasso, qui partage une frontière avec la Côte d’Ivoire, la base de ce front sud.

    http://www.medias-presse.info/20-presumes-terroristes-arretes-au-mali-dont-deux-francais/35314

  • Hervé Juvin : «Le malheur identitaire est plus grave que le malheur économique»

    Contre l'uniformisation progressive du monde par le droit et le marché, Hervé Juvin défend une «écologie des civilisations». Pour lui, la diversité des identités est seule garante de la paix. 
    Hervé Juvin est un écrivain et essayiste français. Il poursuit un travail de réflexion sur la transformation violente de notre condition humaine qui, selon lui, caractérise ce début de XXIè siècle. Il est par ailleurs associé d'Eurogroup Consulting. Son dernier livre La grande séparation, pour une écologie des civilisations a été publié aux éditions Gallimard (Le Débat, 2014).
    Figarovox : Vous défendez une «écologie des civilisations». Il faudrait donc protéger la diversité des peuples comme on assure la protection des espèces menacées ? N'est-ce pas artificiel ? 
    De plus en plus de voix s'élèvent pour défendre la biodiversité végétale et animale au nom d'un principe essentiel: quand on supprime des espèces, pour ne plus cultiver que la variété qui vous semble la plus performante, on s'expose au risque de la voire disparaitre. C'est la diversité qui fait la survie. Si on réduit cette diversité, on s'expose au risque de la disparition de l'espèce. Je ne vois pas pourquoi on n'aurait pas la même réflexion au sujet de la diversité des espèces humaines.
    Peut-être parce que les humains ne sont pas des plantes, et que distinguer entre différentes espèces humaines conduit au biologisme le plus douteux… 
    Je ne suis pas essentialiste ni racialiste. Je crois que les tribus, les sociétés, les civilisations, peuvent évoluer. Et elles évoluent, même celles que l'on disait «primitives» ; mais elles mettent le temps. Elles ont aussi parfaitement le droit de conserver leurs modes de vies. Mais ce qui est propre à notre époque, c'est qu'on oblige l'évolution de force, par le haut, au nom de l'irréductible marche en avant du «Progrès», et non pas par une évolution spontanée. J'ai eu la chance de pouvoir fréquenter des sociétés qui, tout en restant en marge de l'économie monétaire telle que nous la connaissons, vivent dans un parfait équilibre et une harmonie avec leur environnement. Au nom de quoi les ferait-on basculer brutalement dans un modèle qui ruine leurs structures sociales, leur insuffler des rêves de 4x4, d'air conditionné et de grands écrans ? 
    La culture met du temps. Est-ce un drame si tous les Français parlent anglais dans un siècle ? Je ne sais pas. Ce qui est un drame en revanche, c'est d'obliger des salariés français à Paris aujourd'hui dans les grandes entreprises à parler anglais. C'est accepter la colonisation anglo-américaine. Ce qui est grave, c'est le rapport du conseiller d'Etat Tuot qui demande aux Français de s'adapter aux nouveaux venus. Partout dans le monde c'est à celui qui rentre dans une maison de s'adapter aux mœurs de cette maison! Je suis personnellement opposé au port du voile dans l'espace public français, mais pas une minute je n'imaginerais exiger d'une femme qu'elle circule non voilée en Iran ! De la même manière je dénie tout droit à l'Arabie saoudite et à l'Iran de se mêler de la manière dont on s'habille en France ! 
    Le multiculturalisme est-il forcément une illusion dangereuse qui conduit à la violence ? 
    Pierre-André Taguieff a montré récemment que le multiculturalisme, présenté comme le modèle obligatoire de toute société - de manière assez agressive par les Américains - peut aussi engendrer la violence. Regardez les taux de criminalité au Brésil, société multiculturelle par excellence. Idem pour l'Afrique, première zone au monde pour l'immigration intérieure : 100 à 180 millions d'Africains vivent hors de leur pays natal, expulsés par la guerre, la misère, la nécessité de trouver un travail. Résultat : l'Afrique est un des continents les plus violents au monde. Regardez ce qui se passe au Liban ! Les sociétés multiculturelles sont les plus violentes au monde.
    A l'occasion du Mondial de foot, on a pu assister en France à des manifestations d'appartenance de la part d'Algériens français, ce qui a été très mal vécu par les «indigènes»…Que vous inspire cette situation française ? 
    Que des gens défilent avec le drapeau algérien par fierté de la victoire, c'est parfaitement compréhensible, mais la casse et la délinquance sont inexcusables.Il y a eu des bâtiments publics où des drapeaux français ont été remplacés par des drapeaux algériens.
    La solution n'est pas de supprimer la double nationalité, question complexe dont toute solution brutale créerait des drames familiaux et des déchirements personnels terribles - et serait inapplicable. N'oublions pas que l'Algérie, c'était quatre départements français ! Le problème est ailleurs ; comment rendre plus attractive «l'identité de la France», sinon en reparlant de puissance et d'indépendance ? Depuis des décennies, aucun parti de gouvernement n'ose parler de l'identité de la France, des frontières de l'Europe, du fait que s'il y a des gens qui peuvent légitimement aspirer à devenir français ou européens, il y a aussi des gens qui n'ont pas leur place en Europe. Pour le général de Gaulle, Léon Blum et Jaurès, le mot «français» avait un sens. Aussi bien la gauche que la droite ont fait l'impasse sur ce sujet.
    Très clairement je comprends des affirmations identitaires choquantes comme celles des algériens français ou de l'islam : si on a un islam conquérant en France, que des jeunes français et de jeunes françaises se convertissent à l'islam radical, que des jeunes des cités sortent dans la rue avec des drapeaux algériens,c'est parce que ce sont les seuls vecteurs d'affirmation collective face à la faiblesse identitaire des affirmations chrétiennes et françaises. Je rapporte dans mon livre cette anecdote : une jeune fille de 12 ans, interpellée par les conversions de ses camarades d'école qui choisissent le voile, demande à sa mère «Et nous, nous sommes quoi ?» La mère, cadre supérieure d'une entreprise bancaire lui répond, spontanément : «Nous, nous ne sommes rien», voulant dire par là qu'elles étaient laïques, ne dépendant d'aucune religion, libres. Mais ce rien est significatif. La nature a horreur du vide. Et l'Islam est une réponse forte à cette souffrance identitaire qui nous hante.
    Un nombre significatif de français se sentent «exilés de l'intérieur», ont le sentiment que leur identité même est en jeu. Or le malheur identitaire est plus grave que le malheur économique. Beaucoup de peuples vivent dans une relative pauvreté, mais à partir du moment où il existe une forte fierté nationale et une forte identité collective, ces peuples vivent bien.
    Par exemple ? 
    La Russie. On peut dire ce qu'on veut du président Poutine, reste qu'il a des taux de popularité à faire pâlir d'envie la plupart des dirigeants occidentaux : si il y avait une élection aujourd'hui il serait élu par 80 % des Russes! Il a su restaurer la fierté patriotique et les Russes lui en sont très reconnaissants ! L'homme le plus détesté de Russie, c'est Gorbatchev, qui a bradé l'empire, et la personne la plus respectée, c'est Staline… De quoi réfléchir sur la permanence de l'aspiration à la puissance et la liberté des peuples !
    Certes, mais Poutine a surtout sorti la Russie de 10 années de désastre économique et su renouer avec la croissance… Ne sous-estimez-vous pas le facteur économique, et notamment l'impact de la crise économique en Europe ? 
    Je ne sous-estime pas le facteur économique, je crois au contraire que l'ultra-libéralisme économique est un facteur décisif de destruction des structures sociales. Depuis les années 90, on va vers une paupérisation de la classe moyenne, et le marché du travail internationalisé est en train de casser les situations protégées, la concurrence internationale se traduisant par une baisse des rémunérations. Nous ne sommes qu'au début de ce nivellement par le bas. Jusqu'où ira-t-il ? Pas jusqu'à l'alignement des salaires de l'ouvrier français sur l'ouvrier indien: les peuples ne se laisseront pas faire. Nous sommes en train de vivre un retour de l'esclavage pensé et organisé par le grand capital (expression qui peut paraitre désuète mais qui est toujours appropriée). Le capitalisme financier aspire à faire des hommes des marchandises comme les autres, sans revenu minimum ni protection sociale.
    L'immigration de masse servirait donc les intérêts du capitalisme… 
    L'ultra-libéralisme a besoin de l'immigration. Le capitalisme mondialisé est favorable à la libre circulation des capitaux, des biens et services et aussi des hommes, qui sont une marchandise comme une autre. L'Europe est la région du monde la plus ouverte, aux mouvements des capitaux, des biens et aussi des hommes: il est plus dur d'avoir un visa pour les Etats-Unis que de pénétrer l'espace Schengen ! Parce qu'elle est incapable de définir son identité, l'Europe a renoncé à définir ses frontières.
    Outre le marché, vous dénoncez l'emprise hégémonique du droit dans nos sociétés, devenu l'unique moyen de la reconnaissance. En quoi le droit accompagne-t-il ce projet de grande séparation ? 
    Aujourd'hui l'individu se définit d'abord comme un détenteur de droits. C'est une évolution assez récente. C'est dans les années 70-80 qu'on a commencé à vouloir traduire en droit positif les droits de l'homme. Jusque-là, la déclaration des droits de l'homme et du citoyen était de nature purement symbolique, personne ne se souciait de leur donner une application concrète. La rupture, en France date de la décision du conseil constitutionnel du 16 juillet 1971, qui fait du juge constitutionnel le garant des libertés fondamentales qui acquiert ainsi la capacité de se poser en censeur de loi votée par le parlement français. La représentation populaire peut vouloir une loi, la décider, que le Conseil constitutionnel peut censurer au nom des «droits de l'homme». C'est un recul de souveraineté et de démocratie considérable. 
    Mais n'a-t-on pas besoin des droits de l'homme pour se garantir de la«tyrannie de la majorité» ? 
    Je suis tout à fait d'accord pour ne pas donner à une majorité le droit de persécuter les minorités. Il faut qu'il y ait des garde-fous. Mais de garde-fous en garde-fous, on est allé trop loin, jusqu'à accorder des droits à l'individu contre la société et contre toute communauté. On a déifié l'individu et affaibli l'Etat. Or, les droits de l'individu ne peuvent être respectés que si il existe une société politique pour les protéger. Il n'y a pas d'individus s'il n'y a pas de Léviathan pour garantir leurs droits. Si on détruit la société, l'Etat, il n'y aura plus de droits de l'homme parce qu'il n'y aura plus d'autorité pour les honorer. C'est le retour à la jungle, qui est le lot d'une partie du monde économique actuel. On a vu des ouvriers envoyer des messages d'appel à l'aide sur des étiquettes de jeans qu'ils fabriquent à des prix scandaleux. Le trafic d'organes, les mères porteuses, les millions de réfugiés prêts à travailler pour des salaires de misère: tout cela traduit un retour effectif de l'esclavage dans nos sociétés, où au nom des droits illimités de l'individu, l'Etat disparait au profit de la loi du plus fort. L'individualisme absolu aboutit à son contraire : un recul en arrière des libertés concrètes et un retour de l'esclavage. Je n'en doute pas, refaire la Nation, refaire le régalien, fait partie des tâches politiques les plus urgentes pour éviter la détresse identitaire et sociale, qui conduit toujours à la violence.

  • Laïcards, néo-païens, in-nocents, cathos zombies : « Chassez le christianisme et vous aurez l’islam ! »

    L’islam progresse aussi par la faute de ceux qui pensent le combattre, ou qui ignorent les causes dont ils déplorent les effets.

    L’appel de Tillinac « Touche pas à mon église », saugrenu par sa formulation et par ses signataires, et en traitant en potache un sujet grave, a eu le mérite de relancer un débat sur lequel Gabrielle CluzelRenaud CamusPierre Cassen ou Nicolas Gauthier se sont exprimés.

    Face au simplisme de ceux qui expliquent tout par les discriminations, les inégalités et l’islamophobie, la droite des valeurs ne parle pas d’une même voix. L’islam progresse aussi par la faute de ceux qui pensent le combattre, ou qui ignorent les causes dont ils déplorent les effets.

    Le problème n’est pas tant de remplir nos églises (Gabrielle Cluzel) ou de s’interroger sur leur valeur patrimoniale (Renaud Camus et Denis Tillinac) ou de fournir l’explication par une lecture littérale du Coran (Pierre Cassen) ou de préférer que les musulmans les occupent plutôt que Starbucks ou McDonald’s (Nicolas Gauthier).

    Leurs mosquées sont pleines à craquer quand nos églises ne se rempliront plus jamais. Ils recrutent en vue du djihad et de la conquête musulmane quand nous avons à cœur d’expurger tous les restes de notre culture chrétienne.

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