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immigration - Page 1268

  • Du bon usage du terrorisme, ou la « doctrine Fabius »

    Elevée à la dimension d’une crise planétaire depuis l’ascension fulgurante du prétendu « Etat islamique », la crise syrienne a fait l’effet d’un révélateur chimique. Des protagonistes de cette conflagration majeure, elle dissipe peu à peu les faux-semblants en projetant une lumière inaccoutumée sur leurs stratégies les plus retorses. Dernière en date des supercheries dont la politique occidentale est coutumière : la transformation supposée de la branche syrienne d’Al-Qaida en respectable organisation combattante.

    Le Front Al-Nosra, lit-on dans la presse française et internationale, se « normaliserait », il oscillerait désormais « entre terrorisme et pragmatisme ». Son affiliation revendiquée à Al-Qaida, son idéologie haineuse et sectaire, sa pratique répétée des attentats aveugles frappant civils et militaires ? Ce seraient de lointains souvenirs. Cette mutation génétique vaudrait à l’organisation jihadiste concurrente de « l’Etat islamique », en somme, un véritable brevet de respectabilité.

    Ainsi la diplomatie occidentale accomplit-elle des miracles : elle fabrique des terroristes modérés, des extrémistes démocrates, des coupeurs de tête humanistes. Nous fera-t-elle découvrir, demain, des mangeurs de foie philanthropes ? Comme par hasard, cette opération concertée de blanchiment du Front Al-Nosra, branche syrienne d’Al-Qaida, se déroule au moment même où cette organisation conforte son hégémonie politique et militaire dans le nord de la Syrie. La prédestinant à jouer un rôle majeur au lendemain de l’effondrement attendu de l’Etat syrien, ce succès lui vaut les faveurs particulières des puissances occidentales et régionales qui ont juré la perte du régime baassiste. Peu importent alors le coût humain et le prix politique de ce consentement anticipé à l’instauration en Syrie d’un pouvoir ultra-violent, sectaire et mafieux : la chute de Bachar Al-Assad est un jeu, nous dit-on, qui en vaut la chandelle.

    En dépit de déclarations hypocrites qui n’abusent personne, le terrorisme jihadiste remaquillé pour les besoins de la cause rend ainsi des services inespérés à la vaste coalition anti-Assad. Bien sûr, cette connivence des Etats occidentaux et des monarchies pétrolières avec les rejetons frelatés d’Al-Qaida a d’abord une signification politique inédite. Elle signe en effet la réinscription simultanée des deux avatars contemporains du jihadisme transnational dans l’agenda stratégique occidental. En clair, la destruction du régime baassiste, objectif numéro un de l’axe Riyad-Paris-Washington, est non seulement une fin qui justifie tous les moyens, mais la perspective d’un Etat jihadiste incluant Damas fait partie de ce plan stratégique. Il est vrai que cette alliance reconduite avec le terrorisme présente aussi un avantage inattendu qui doit son importance à la conjoncture militaire. Elle rend possible, en effet, la prise en tenailles de l’armée loyaliste syrienne par les combattants de « l’Etat islamique » à l’est et ceux du Front Al-Nosra au nord. [....]

    La suite dans Oumma

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Du-bon-usage-du-terrorisme-ou-la

  • Projet de mosquée de Mantes-la-Ville : la guerre de propagande se poursuit

    Dénoncé par le Bloc Identitaire, le passage en force de Paul Martinez pour implanter une mosquée sur le territoire de Mantes-la-Ville continue de susciter des remous. Le président de la Communauté d’Agglomération de Mantes en Yvelines a tenu à se justifier dans un communiqué diffusé à ses administrés.

    Face à l’opposition du maire de Mantes-la-Ville de voir un bâtiment de sa commune transformé en mosquée, Paul Martinez a organisé un vote au niveau de la communauté d’agglomération, dont il est président, pour vendre ladite ancienne trésorerie à l’Association des Musulmans de Mantes Sud (AMMS) pour la transformer en mosquée. Dénoncée par le Bloc Identitaire, la manœuvre fait clairement fi de la démocratie locale lorsqu’il s’agit de construction de mosquée.

    Face à la mobilisation du Bloc Identitaire contre son projet de mosquée à Mantes-la-Ville, Pascal Martinez  tente de se justifier auprès de ses administrés.

    Face à la mobilisation du Bloc Identitaire contre son projet de mosquée à Mantes-la-Ville, Pascal Martinez tente de se justifier auprès de ses administrés.

    Également maire de Buchelay, Paul Martinez a cru nécessaire de se justifier en diffusant vendredi dernier une lettre à ses administrés, expliquant notamment qu’il n’avait nulle intention de construire une mosquée sur le territoire de sa commune. Argument fallacieux, puisque c’est bien sur le territoire de Mantes-la-Ville que le projet doit se déployer contre la volonté de la municipalité locale, laquelle a d’ailleurs annoncé sa volonté de faire jouer le droit de préemption pour réaménager l’ancienne trésorerie en commissariat municipal. Soutenu par une partie des habitants qui commencent à se mobiliser, ce projet voulu par le maire Front National sera soumis au vote du conseil municipal aujourd’hui.

    De plus, Paul Martinez tente de minimiser la portée de son intervention en expliquant qu’il s’agit d’un simple transfert (souligné par lui) d’un lieu de culte vers un autre. Or, il n’y a pas d’équivalence entre la salle de prière qu’occupe actuellement l’AMMS dans un pavillon et le projet de vraie mosquée que promeut cette association :

    L’approche sera contemporaine avec intégration harmonieuse de symboles de décoration de l’architecture islamique.

    Explique l’AMMS sur son site, dont les illustrations ne laissent pas de doute quant aux symboles à intégrer harmonieusement : minaret, dôme surmonté d’un croissant, encadrements de portes et fenêtres à l’Orientale, etc. Souligons au passage que l’actuel lieu de culte aurait dû être évacué depuis plus d’un an pour des raisons de salubrité publique.

    À noter que le maire de Mantes-la-Ville, Cyril Nauth, n’avait jamais exprimé son opposition à la présence de tout lieu de culte musulman sur sa commune, mais simplement à ce projet précis. Des alternatives portées par d’autres associations musulmanes (El Fethe, en l’occurrence), jugées porteuses de moins de problèmes que celle soutenue par l’AMMS et le président de la communauté d’agglomération, sont aussi à l’étude à Mantes-la-Ville.

    Le projet d’El Fethe poserait moins de problèmes a priori que le projet de l’AMMS. La trésorerie sur laquelle l’AMMS a jeté son dévolu est située à côté d’un cimetière, sur un des axes de la ville et en face d’une des principales salles des spectacles : on déplace le problème. D’autres élus avaient émis des réserves, le Front national n’a fait que dire les choses de façon plus directe et plus virile. Le projet d’El Feth sera étudié, mais, dans un premier temps, mon objectif est d’empêcher la vente de la trésorerie.

    Déclarait ainsi Cyril Nauth dans un entretien au quotidien « Présent » daté du 19 mai.

    http://fr.novopress.info/

  • Dalil Boubakeur et les églises : un choc religieux autant que culturel

    Frédéric Saint Clair est mathématicien et économiste de formation. Il a été chargé de mission auprès du premier ministre pour la communication politique (2005-2007). Il est aujourd’hui Consultant Free Lance.

    ♦ FIGAROVOX/ANALYSE – Invité d’Europe 1 ce lundi, Dalil Boubakeur a proposé d’utiliser des églises vides pour y célébrer le culte musulman. Pour Frédéric Saint Clair, le recteur de la Grande Mosquée de Paris devrait commencer par s’interroger sur l’islam rigoriste.

    «Utiliser des églises vides pour servir au culte musulman». Cette proposition du recteur de la Grande Mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, également président du controversé CFCM (Conseil français du culte musulman), risque encore une fois d’alimenter la polémique et d’hystériser un peu plus une société française en tension avec l’islam.

    Pourtant l’homme est sympathique, et lorsqu’il aborde ce sujet, on perçoit un désir de ne pas brusquer, de ne pas choquer, de ne pas heurter. Il sait qu’il aborde une question délicate et sa volonté de rapprocher les deux religions, chrétienne et musulmane, est patente et très certainement sincère. Néanmoins, son approche, ainsi que l’ensemble de son propos, témoigne d’une incompréhension vis à vis des rapports entre islam et société française.

    La société française est largement déchristianisée, et pourtant, l’idée que des musulmans puissent occuper des églises chrétiennes choque, voire agresse celle-ci. Non pas certaines communautés religieuses catholiques, lesquelles seraient probablement prêtes à ce dialogue interreligieux d’un genre nouveau, mais la population dans son ensemble, celle qui ne se rend qu’occasionnellement à l’église mais qui demeure attachée à ce patrimoine qu’elle veut continuer de considérer comme exclusivement chrétien. Il serait trop long de détailler ici les réticences de la société française à voir une partie de son patrimoine culturel «cédé» au culte musulman, car ces raisons sont multiples et parfois complexes, mais l’évidence de cette réticence est telle que l’on se demande pourquoi le représentant de l’islam de France – si l’on peut s’exprimer ainsi – a commis un tel impair. Pourquoi, parmi toutes les solutions qui s’offrent à lui, choisit-il de mentionner celle-ci en particulier, dont on sait qu’elle sera polémique?

    La réponse à cette question est contenue dans les propos réguliers que tient Dalil Boubakeur ainsi que nombre d’intellectuels et membres de l’élite politico-médiatique, propos que l’on a pu entendre ou lire à de nombreuses reprises depuis quelques mois. Le discours officiel, lorsqu’il considère la communauté musulmane, a opéré la catégorisation arbitraire suivante: d’un côté, les partisans d’un islam radical, fanatique et potentiellement terroriste; de l’autre, les partisans d’un islam modéré, tolérant et désireux de vivre en accord avec les lois de la République.

    On voit immédiatement où se situe le problème: cette grille de lecture manichéenne ne correspond pas à la réalité de la communauté musulmane de France; elle est donc incapable d’interpréter correctement les problématiques qui opposent islam et société française. Il manque un élément entre islam radical et islam modéré, un élément incontournable, visible médiatiquement, très présent sur les réseaux sociaux notamment, et qui est la clé qui permet de comprendre le malaise qui perdure au sein de la société. Un élément que l’on pourrait appeler «orthodoxie islamique». Le vrai problème qui clive la société française et la met sous tension est là, dans la nature de cette orthodoxie, et dans l’incapacité de l’élite à la reconnaître et même à la nommer.

    Prenons un exemple: dans le discours officiel sur la place de la femme au sein de l’islam, on entend parler de l’amour du prophète pour les femmes, du lien qui a pu être noué au sein de la mystique islamique entre le divin et le féminin, de la place des femmes dans le Coran, du caractère stigmatisant du voile pour les femmes, etc. Mais au quotidien, les français constatent depuis de nombreuses années une multiplication démesurée de nombre de femmes voilées. Un accroissement de la taille des voiles et même la présence dans les centres villes de nikab, ce voile intégral interdit par la loi, portés le plus souvent impunément. À ceci s’ajoutent des revendications pour que le port de ce voile soit encore plus présent, au sein des crèches, dans les écoles, dans les administrations, allant ainsi à l’encontre non seulement du principe de laïcité, mais de toute l’histoire culturelle d’un pays et de la sensibilité d’une nation. L’éclosion des partis politiques musulmans s’inscrit dans cette même volonté de positionner la culture islamique à un niveau politique, c’est à dire de lui faire une place légitime sur le territoire français, reconnue et légale. Cent fois ces questions ont été mentionnées: horaires séparés dans les piscines; menus hallal dans les cantines; médecins de sexe féminin pour ausculter les femmes musulmanes dans les hôpitaux, etc. Ces revendications communautaristes traduisent le constat que les français font de l’expansion de l’islam en France, et ne sauraient en aucun cas entrer sous le vocable d’«islam modéré». Elles entrent sous celui d’«islam orthodoxe».

    Le discours de Dalil Boubakeur, en prenant pour base un islam modéré, spirituel et tolérant, sans précaution oratoire supplémentaire, comme s’il représentait la totalité de la communauté musulmane de France à l’exception d’une poignée d’intégristes radicalisés, ouvre en réalité la porte aux revendications de cet islam orthodoxe et rigoriste. Et si l’islam modéré a toute sa place au sein de la République française, l’islam orthodoxe ne l’a pas. La question se pose donc: comment les autorités françaises et le CFCM pourront-ils pacifier la société civile vis à vis de la question de l’islam, maintenir une laïcité intelligente et respectueuse des cultes et faire une place à un islam réellement modéré s’ils demeurent aveugles – volontairement ou non – à l’existence de cette orthodoxie, à ses proportions et à ses revendications?

    Frédéric Saint Clair, 15/06/2015

    Source : FIGARO VOX Vox Société

    http://www.polemia.com/dalil-boubakeur-et-les-eglises-un-choc-religieux-autant-que-culturel/

  • Sauver les Français de la décapitation

    autoc-Revnatio.jpgUn communiqué du RF où tout est dit :

    « Pour la première fois en France, un homme – victime de l’invasion – a été décapité par des islamistes. On peut redouter qu’il soit le premier d’une longue série, à défaut d’un conséquent sursaut national.

    En effet, la France se trouve dans un état de conflit latent et il n’est pas absurde de penser que notre situation soit, dans quelques temps, celle de la Syrie ou de l’Irak.

    Etant donnés la situation française et l’échec inéluctable du multiculturalisme, la seule solution pour éviter le chaos et les horreurs que connaissent d’autres pays est une inversion massive des flux migratoires. C’est un impératif sécuritaire, autant qu’identitaire.

    Cela ne pourra se faire qu’en reprenant le pouvoir aux politiciens mondialistes et leurs maîtres – responsables de l’état de notre pays – et en rompant avec la mentalité individualiste et décadente qui règne aujourd’hui :

    c’est bien une révolution nationaliste qu’il faut en France, et vite !

    Le Conseil politique du RF »

    http://www.contre-info.com/

  • Délit de faciès, arme politique de l’anti-France ? – Par Fabrice Robert

    Nombreuses sont les associations antiracistes qui exultent depuis quelques jours. L’État a été condamné pour “faute lourde” pour cinq cas de “contrôles au faciès” par la cour d’appel de Paris. Pour expliquer les faits, les médias n’hésitent pas à parler de 13 hommes “noirs ou d’origine arabe” ayant décidé de dénoncer des contrôles d’identité qu’ils estimaient discriminatoires. Le choix des mots est assez surprenant. D’habitude, les journalistes préfèrent parler de “jeunes” tandis que les responsables politiques veulent nous faire croire que les races n’existent pas. D’ailleurs, pour appuyer sa décision, la cour d’appel de Paris précise que les contrôles litigieux auraient été réalisés “en tenant compte de l’apparence physique et de l’appartenance, vraie ou supposée à une ethnie ou une race”.

    Le Collectif Stop le Contrôle au Faciès, qui fédère un certain nombre d’associations antiracistes en lutte contre les “violences policières”, parle d’une victoire inespérée. Dans son communiqué, le message est très revendicatif. “Du terrain au tribunaux, une victoire historique : les associations se battront jusqu’à la victoire politique !“. Pour rappel, le Collectif Stop le Contrôle au Faciès avait lancé, en octobre 2014, un guide d’action à destination du grand public. Ce document était, tout de même, présenté comme la première étape d’une semaine de sensibilisation destinée à rendre hommage à Zyed Benna et Bouna Traoré, morts en 2005 après être entrés dans un site EDF à Clichy-sous-Bois pour avoir fuit un contrôle de police.

    Pour certains militants associatifs de la “diversité”, l’uniforme, c’est l’ennemi. Les policiers sont des hommes à abattre, mais pas seulement : les pompiers se font régulièrement caillasser au coeur des cités. Dans une société où les violences explosent, tout semble bon pour désarmer un peu plus l’État. “Je suis noir donc tu ne me contrôles pas. Sinon, je porte plainte pour racisme !“. “J’ai une barbe et je porte la djellaba donc pas de contrôle d’identité. Sinon, je porte plainte pour islamophobie !“. Voici la France de l’assimilation qui n’assimile plus grand chose à part les germes de la haine entre les différentes communautés présentes sur notre sol. Les contrôles de femmes en niqab provoquent déjà régulièrement des émeutes. Les policiers peuvent-ils alors être poursuivis pour contrôle au faciès alors que ces femmes voilées refusent – il faut le rappeler – de se soumettre à la loi ?

     

    Face aux initiatives développées par certaines associations antiracistes, il serait judicieux de traiter aussi des contrôles au faciès dont sont victimes les Blancs dans les quartiers où ils sont devenus minoritaires. Le racisme antiblanc est une réalité. Les “faces de craies” ou “babtous” sont régulièrement la cible de bandes de racailles qui pensent que la France est devenue une colonie africaine.

    Le 10 juin 2015, les députés ont approuvé une proposition de loi visant à instaurer une action de groupe contre les discriminations afin d’encourager les victimes à porter plainte. Celles-ci peuvent alors s’adresser à un syndicat ou une association de lutte contre les discriminations qui a au moins cinq ans d’existence. Le Collectif Stop le Contrôle au Faciès veut s’appuyer sur cette mesure pour faire avancer sa cause.

    Face au phénomène du Grand remplacement, il serait temps de s’organiser pour mettre en place des actions de groupe afin de défendre les intérêts de citoyens blancs, victimes de discrimination sur la terre de leurs ancêtres.

    http://fr.novopress.info/189872/delit-facies-arme-politique-lanti-france-fabrice-robert/#more-189872

  • Le grand mufti Manuel Valls va nous enseigner le bon islam

    Ce n'est pas un sketch des Inconnus mais ça pourrait l'être. Manuel Valls a déclaré au JDD :

    "Nous ne sommes pas en guerre contre l’Islam". "La bataille se situe au sein même de l’Islam avec, d’un côté, un Islam pratiqué par l’immense majorité de nos compatriotes de confession musulmane qui revendiquent des valeurs humanistes universelles et, de l’autre, un islamisme obscurantiste et totalitaire".

    Quand est-ce que cet éminent islamologue, mufti à ses heures perdues, prendra en compte le besoin de sécurité des Français ?

    Michel Janva

  • La charité réelle consiste à s'opposer au Grand Remplacement

    Extrait d'un communiqué de Jacques Bompard à propos de son opposition à l'immigration :

    "(...) La charité imposerait d’accepter silencieusement cette invasion en la maquillant de bons sentiments. Disons-le tout net : les anathèmes visant ceux qui cherchent à protéger une Civilisation, un équilibre national et une identité sont abjects.

    La politique n’est pas une science de la morale, qui concerne la libre conversion et le consentement prudent au don de chacun, mais bien une praxis inscrite dans la réalité. La politique n’est pas un assemblage d’images chocs cherchant à instrumentaliser l’émotion légitime devant les être fracassés par notre monde. La politique consiste en une reconsidération totale de la réaction à apporter à ces enjeux mondiaux.

    On ne peut remettre en cause la marchandisation du monde sensible dans les attentats faits contre la Vie (GPA, avortement de masse, euthanasie) et utiliser la « moraline » des destructeurs de l’ordre naturel pour encourager directement ou indirectement le déracinement populations entières.J’adhère parfaitement au discours du pape François à Lampedusa :l’Europe et le monde doivent voir avec consternation et pitié les embarcations d’immigrés sombrant en MéditerranéeJe ne remets certainement pas en cause ceux qui font preuve de bonté à Calais, je ne veux cependant pas oublier celles qui sont violentées dans le même temps. Mais cette honte n’a de sens que si elle permet de reconsidérer les racines profondes de ce mal : guerres impérialistes en Syrie, en Libye, en Irak ou en Afrique, dictature du cosmopolitisme financier sur les Nations et sur les institutions internationales, orchestration du déracinement des peuples au profit d’un immonde village global.

    L’avancée vers une société multiculturelle n’apporte en vérité que la diversification des racismes et des conflits : explosion des viols et des violences dans les zones d’attente, abandon de la France périphérique, délaissement des plus de cinq millions de chômeurs nationaux, coûts abyssaux des politiques de sécurité, de logement, d’aides sociales, d’éducation à apporter, subventions aux associations antifrançaises.

    Aussi, la charité réelle ne peut-elle plus que s’incarner dans une politique de totale fermeté contre le Grand Remplacement. Il y a en France plus de 5 millions d’immigrés, plus de 6 millions de descendants d’immigrés et une islamisation indéniable de bien des portions de notre territoire. Cette situation ne peut que mener à terme à l’explosion sociale et civile. La France se perdrait alors, à avoir trop voulu sauver ceux qu’elle aurait repoussé (...)"

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Attentat islamique en Isère

    Attentat islamique dans la société de gaz et produits chimiques Air Products à Saint-Quentin-Fallavier en Isère. Forte explosion, plusieurs blessés, un homme décapité par les terroristes.

    « Tous les signaux étaient ces dernières semaines au rouge pour qu’un attentat de cette nature se produise sur le territoire national », selon une source des services de sécurité intérieure.
    Ce matin, vers 10 h, une forte explosion retentit dans l’usine de gaz et produits chimiques Air Products, qui s’embrase. Le fort déploiement de pompiers et de gendarmes permet de circonscrire rapidement l’incendie, qui a néanmoins blessé plusieurs employés de la société, et de lever rapidement les doutes quant aux causes de la catastrophe.
    Les premiers témoignages recueillis font en effet état de deux personnes impliquées : la première aurait pénétré dans l’entreprise et ouvert plusieurs bonbonnes de gaz, revendiquant d’être de Daesh, des drapeaux islamistes en main.
    On évoque aussi une voiture qui aurait fait irruption dans la société peu avant 10 heures, effectuant du rodéo dans la cour afin de percuter des bonbonnes de gaz présentes sur le site.
    Rapidement, la tête d’in homme décapité a été retrouvée accrochée au grillage de la société, couverte d’inscriptions en arabe. Il ne s’agirait pas d’un employé de la société Air Products.
    Aussitôt, un important dispositif policier a été déployé pour quadriller la région et renforcer la sécurité.

    Peu avant 11 h 30, un homme connu de la DGSI et des services antiterroristes a été interpellé, nous ignorons à l’heure qu’il est s’il s’agit d’un des auteurs de l’attentat. Selon des informations du Dauphiné Libéré, un homme serait toujours activement recherché circulant à bord d’un véhicule ce matin avant l’attentat qui aurait fait des allées et venues devant la société ciblée. Depuis, l’un des suspects a été identifié et arrêté, selon Bernard Cazeneuve :

    Une personne a été assassinée, décapitée et le parquet antiterroriste de Paris a été saisi de cette enquête. L’identité du criminel est en cours de précision. Il s’appelle Yassin Salhi. Il a fait l’objet d’une fiche S en 2006 pour radicalisation, non renouvelée en 2008. Aucun casier judiciaire. La victime est en cours d’identification.
    Le sang froid d’un pompier a permis l’arrestation du criminel.

    Tandis que François Hollande est attendu cet après-midi à un Conseil de défense qui se réunit en urgence ce vendredi à 15 heures à l’Élysée, certains ont aussitôt sais l’occasion pour récupérer l’événement au profit de la loi Renseignement, à l’instar de Jean-Jack Queyranne, président de la région Rhône-Alpes :

    J’éprouve un sentiment d’horreur face à la barbarie qui vient de se produire en Isère ce matin au cœur de notre région. Je veux avant tout exprimer ma solidarité aux victimes, leur famille et leurs proches. La loi sur le Renseignement a toute sa justification : il faut cesser toute forme d’angélisme en la matière devant les menaces. Il faut aussi éviter que la peur ne s’installe. Comme en janvier, toutes les composantes de la Nation doivent s’unir pour faire face au danger. C’est la Nation qui doit combattre la terreur.

    Sans surprise, Jean-Christophe Cambadélis a aussitôt sorti le PADAMALGAM magique. Nous voilà rassurés, il n’y a aucun lien entre cet attentat islamique commis par un certain Yassin Salhi d’une part, l’islam et les musulmans d’autre part.

    http://fr.novopress.info/189818/attentat-islamique-en-isere/#more-189818

  • Attentat musulman en Isère : un homme égorgé et décapité [Add]

    Une personne est morte et plusieurs ont été blessées dans un attentat commis ce matin vers 10 heures contre une usine de gaz industriels à Saint-Quentin-Fallavier, dans le nord de l'Isère.

    Le corps décapité d'une personne a été retrouvé à proximité de l'usine. La tête de la victime a été retrouvée accrochée au grillage de l'enceinte de la société le long de la RD311.

    Un drapeau avec des inscriptions en arabe retrouvé sur place.

    Le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, se rend immédiatement sur place.

    Un suspect d'une trentaine d'années connu des services la DGSI a été interpellé.

    Addendum 13h36 :

    • une seconde personne a été interpellée. Il s'agit du conducteur aperçu ce matin en train de faire les allers retours devant la société à bord d'une Ford Fusion peu avant l'attentat.
    • Yacine Sali faisait "l'objet d'une fiche S éditée en 2006 non renouvelée" auprès des services secrets" mais "n'était pas fiché comme ayant voyagé en Syrie ou en Iraq". Il "résiderait  à Saint-Priest et n'a pas de casier judiciaire" selon le ministre de l'Intérieur et est "en relation avec la mouvance salafiste".

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    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html