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immigration - Page 1315

  • Des mosquées et des urnes…

    En pleine période Charlie, l’information est passée à peu près inaperçue. Pourtant, elle vaut son pesant de croissants : des politiciens ont négocié leur siège contre des mosquées. Mais si ! Et qui annonce cette énormité ? Un délateur nazillon d’ultra droite? Pas du tout ! Un sycophante anti-arabe – ou islamophobe, si vous préférez ? Pas davantage ! Un farouche opposant politique à la majorité actuelle ? Encore raté ! Alors une telle nouvelle ne peut provenir que du Front National ? Toujours pas de chance. Ou de cathos rassis ? … Vous donnez votre langue au chat ? Eh bien celui qui a vendu la mèche(1), c’est Razzy Hammadi.

    Razzy-Hammadi-MPI

    Né d’un père algérien et d’une mère tunisienne, engagé à 19 ans au parti socialiste, Razzy, ex-président des Jeunes Socialistes, grimpe les échelons pour devenir, en 2012, député PS de Seine-Saint-Denis. Donc, pas le genre à bouffer du mufti.

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  • L'aveuglement idéologique prépare, sinon la guerre civile, du moins le suicide de l'Europe

    Fabrice Hadjadj est intervenu en Italie à la Fondation de Gasperi devant les ministres italiens de l'Intérieur et des Affaires étrangères, le président de la communauté juive de Rome, le vice-président des communautés religieuses islamiques de la ville. Extrait du texte publié par le Figarovox :

    "Chers Djihadistes -c'est le titre d'une lettre ouverte publiée par Philippe Muray- un de nos plus grands polémistes français- peu après les attentats du 11 septembre 2001. Cette lettre s'achève par une série d'avertissements aux terroristes islamiques, mais ceux qu'elle vise en vérité, par ricochet et par ironie, ce sont les Occidentaux fanatiques du confort et du supermarché. Je vous cite un passage dont vous allez tout de suite capter l'heureuse et cinglante raillerie: «[Chers Djihadistes], craignez la colère du consommateur, du touriste, du vacancier descendant de son camping-car! Vous nous imaginez vautrés dans des plaisirs et des loisirs qui nous ont ramollis? Eh bien nous lutterons comme des lions pour protéger notre ramollissement. […] Nous nous battrons pour tout, pour les mots qui n'ont plus de sens et pour la vie qui va avec.» Et l'on peut ajouter aujourd'hui: nous nous battrons spécialement pour Charlie Hebdo, journal hier moribond, et qui n'avait aucun esprit critique -puisque critiquer, c'est discerner, et que Charlie mettait dans le même sac les djihadistes, les rabbins, les flics, les catholiques, les Français moyens- mais nous en ferons justement l'emblème de la confusion et du néant qui nous animent!

    Voilà à peu près l'état de l'État français.Au lieu de se laisser interpeler par les événements, il en remet une couche, il en profite pour se payer sa bonne conscience, remonter dans les sondages, se ranger du côté des victimes innocentes, de la liberté bafouée, de la moralité outragée, pourvu qu'on ne reconnaisse pas le vide humain d'une politique menée depuis plusieurs décennies, ni l'erreur d'un certain modèle européocentrique selon lequel le monde évoluerait fatalement vers la sécularisation, alors qu'on assiste presque partout ailleurs, et au moins depuis 1979, à un retour du religieux dans la sphère politique. Mais voilà:cette trop bonne conscience et cet aveuglement idéologique sont en train de préparer pour bientôt, sinon la guerre civile, du moins le suicide de l'Europe.

    La première chose qu'il faut constater, c'est que les terroristes des récents attentats de Paris sont des Français, qu'ils ont grandi en France et ne sont pas des accidents ni des monstres, mais des produits de l'intégration à la française, de vrais rejetons de la République actuelle, avec toute la révolte que cette descendance peut induire. [...]"

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • PEGIDA arrive en Grande-Bretagne

     NEWCASTLE (NOVOpress via Mirror.co.uk)
    Le  désormais célèbre  mouvement « anti-Islamisation » PEGIDA arrive en Grande-Bretagne avec une première marche susceptible d’attirer des milliers de supporters.

    PEGIDA a suscité une énorme controverse en Allemagne. Sous la bannière de «Patriotes européens contre l’islamisation de l’Occident », ce mouvement veut défendre le pays contre la propagation de l’extrémisme religieux par les immigrés musulmans.

    25 000 personnes sont chaque lundi dans les rues de Dresde pour soutenir cette cause. Mais cette mobilisation a également déclenché de nombreuses réactions, avec 100 000 manifestants protestant contre ces rassemblements.

    La chancelière Allemande Angela Merkel l’a qualifié de raciste, et PEGIDA était censée être en situation de crise face à une « hostilité massive, des menaces et des ennuis professionnels» causant la démission de cinq de ses dirigeants après que son fondateur ait été photographié mimant Adolf Hitler dans un salon de coiffure.

    Pourtant le mouvement annonce sa première manifestation en Angleterre à Newcastle-sur-Tyne, le 28 février, avec une campagne Facebook qui devrait attirer des « milliers de supporters ». C’est la première d’une série de marches prévues dans tout  le Royaume-Uni, qui auront lieu à Manchester, Birmingham et Londres.

     

    Le porte-parole en Grande Bretagne de PEGIDA a déclaré au journal le Mirror: “nous ne voulons pas attirer des extrémistes à cette marche.”
    “Nous sommes contre l’Islam radical et les prédicateurs de haine et nous estimons que les musulmans doivent s’adapter à notre mode de vie occidental au lieu  du contraire.”
    “Nous ne voulons pas faire quelque chose d’illégal, et nous serons en liaison avec la police au cours de cette manifestation et aucun problème s’il faut retarder la marche d’une semaine ou deux.”
    “Nous espérer rassembler entre 500 et 3 000 personnes pour notre première marche et nous pourrons ensuite aller à Londres, Manchester et Birmingham.”
    “Nous avons choisi Newcastle comme terrain neutre. Il s’agit d’un mouvement nouveau et paisible, et nous ne voulons pas nous faire récupérer par un quelconque mouvement d’extrême droite.”
    “C’est contre l’extrémisme. Si nous pouvons renvoyer 300 terroristes hors du Royaume-Uni, alors pour ce qui nous concerne c’est un pas dans la bonne direction.”

    PEGIDA veut lutter contre le terrorisme et  l’enseignement islamique fondamentaliste. Il appelle à ce que toute  personne liée à des activités  terroriste soit renvoyée hors de Grande-Bretagne. Mais cette démarche a été sapée par la controverse en Allemagne et a suscité de nombreuses critiques la qualifiant de raciste.

    La police de Northumbrie a déclaré qu’elle n’avait pas été contactée par les organisateurs de l’événement du 28 février, qui doit démarrer dans la banlieue de Newcastle, avant de passer dans le centre de la ville.

    Le mouvement PEGIDA a également effectué sa première marche en Autriche, où il attira quelques centaines de partisans.

    http://fr.novopress.info/182298/pegida-arrive-en-grande-bretagne/#more-182298

  • Le président des jeunes UMP : un Africain… clandestin !

    Non, ce n’est pas une plaisanterie…

    Stéphane Tiki, 27 ans, nommé président des « Jeunes populaires » (la branche jeune d’une UMP qui voulait souligner ses intentions « remplacistes ») en décembre dernier, serait en situation irrégulière.

    Selon Le Canard enchaîné, « le jeune homme de nationalité camerounaise ne serait pas français [c’est-à-dire même pas Français de papier] et ne détiendrait pas de titre de séjour. »

    Après ces révélations, il a annoncé qu’il se mettait en congé de ses responsabilités.

    L’hebdomadaire rappelle l’appartenance de Stéphane Tiki à la « Droite forte », un courant animé par Guillaume Peltier et soi-disant en pointe contre l’immigration clandestine.

    http://www.contre-info.com/

  • [Communiqué du Bloc Identitaire Lyon] Lyon est devenue une terre de djihad

    Le Bloc Identitaire Lyon a depuis longtemps sonné l’alarme face au danger des djihadistes présents dans le Rhône et aux risques réels d’attentat qu’ils représentent. Une information parue cette semaine dans la presse lyonnaise est venue malheureusement nous donner raison.

    A la suite de l’arrestation d’un habitant de Meyzieu soupçonné d’encourager la lutte armée au nom de l’islam, la préfecture a livré un chiffre effarant : environ 70 jeunes habitants du Rhône sont surveillés par les services de police en raison de leurs velléités de départ en Syrie ou de leur attachement au djihadisme ! A l’image des frères Kouachi et d’Amedy Coulibaly, les auteurs de la vague meurtrière de janvier dernier qui a fait plus d’une quinzaine de victimes, on est en droit de se demander combien ne sont pas surveillés !

    La question cruciale désormais n’est pas de savoir qui souhaite partir faire le djihad ou combien sont revenus, mais le nombre de terroristes souhaitant passer à l’acte en Europe.

    Car la folle équipée de Khaled Kelkal dans les années 1990, les arrestations multiples de terroristes dans les banlieues lyonnaises et les incidents graves qui se multiplient devant les synagogues, montrent une chose : Lyon est devenue une terre de djihad.

    Nous assistons à l’émergence d’une nouvelle espèce de terroristes, ne souhaitant plus combattre à l’étranger mais voulant imposer par les armes dans notre pays et dans notre ville, leurs préceptes islamistes.

    Nous exagérons ? Dans la même semaine, le conseil régional du culte musulman Rhône-Alpes s’est inquiété et a porté plainte face à la radicalisation des esprits dans plusieurs mosquées lyonnaises (à Oullins et à la Duchère) où des « imams auto-proclamés » tentent de prendre le pouvoir.

    Face à cette menace terroriste grave, personne ne pourra prétendre lutter contre le djihadisme sans remettre en cause l’immigration massive et l’islamisation de notre pays. Pour cela, ce n’est pas d’union nationale derrière ces dirigeants qui ont failli mille fois dont nous avons besoin, mais d’un sursaut national les chassant du pouvoir !

    Bloc Identitaire Lyon
    https://www.facebook.com/blocidentitaire.lyon
    https://twitter.com/BI_Lyon

    http://fr.novopress.info/

  • Scènes de guerre entre gangs à Marseille

    La police a été visée par des tirs de kalachnikov, lundi à la Castellane. La visite sur place de Manuel Valls a été gâchée par ce subit accès de violence.

     

    Le crime décidément n’a que faire du calendrier gouvernemental. Alors que Marseille accueillait, ce lundi, le premier ministre, Manuel Valls, et son ministre de l’Intérieur notamment, pour féliciter les forces de l’ordre locales de leurs résultats encourageants dans la lutte contre la délinquance, une vague de violence a déferlé sur la cité de la Castellane, dans le nord de la ville. Le patron de la sécurité publique, Pierre-Marie Bourniquel, a même été pris sous le feu des kalachnikovs, alors qu’il se rendait sur place. Du jamais-vu.

    Tout a commencé vers 9 h 30, par « des parents inquiets qui voyaient des jeunes encagoulés et armés s’installer un peu partout dans la cité, y compris des snipers sur les toits », raconte Samia Ghali, sénatrice socialiste des quartiers nord. « D’ordinaire, les dealers ne sont pas si matinaux », ironise un témoin.

    Un père de famille, qui a vu les voyous armés, a assuré à La Provence avoir foncé prévenir une école toute proche. « Mais une maîtresse était déjà tombée nez à nez avec deux jeunes en armes », s’aperçoit-il. L’inspecteur général Bourniquel est alerté instantanément. Il adopte des mesures d’urgence. Les maîtresses de tous les établissements scolaires environnants sont invitées à garder les enfants à l’intérieur des bâtiments scolaires et à supprimer les récréations.

    « Pression permanente »

    C’est là que tonnent les premiers coups de feu, « une rafale, en fait. On l’a sentie hyper près, ça venait du pied de la colline », raconte un témoin. Pendant ce temps, les effectifs de police convergent vers le lieu des tirs. Le patron de la police marseillaise se rend sur place avec sa propre voiture. Accompagné d’un commandant de police, il tente de rejoindre un point haut du quartier pour diriger les opérations d’intervention. Souhaitant protéger la population et espérant faire cesser la fusillade, il demande à son chauffeur de mettre la sirène à deux tons, alors qu’il approche. Mais les malfaiteurs, loin d’être impressionnés, tirent dans sa direction. Le commandant qui l’accompagne stoppe le véhicule et doit se coucher au sol. La voiture n’est pas atteinte, mais des impacts de balles ont été relevés à 2 ou 3 mètres, dans un talus. « On s’est fait rafaler d’entrée de jeu », déclare, stupéfait, le patron de la police de Marseille. [....]

    La suite sur Le Figaro.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Scenes-de-guerre-entre-gangs-a

  • Profanation de 5 églises en trois jours près de Lyon

    Et pas un mot dans la presse. Imaginons qu’une synagogue est été vandalisée… Trois jours de pleurnicherie, de dénonciation du nouvel antisémitisme, 50 ressources des forces de l’ordre mobilisées H24 pour retrouver les auteurs etc.. Pour les églises, rien ! Alors qu’il y avait déjà eu 4 autres profanations dans le même département (l’Ain) en novembre 2014 ! (voir ici)

    • Vendredi 6 février 2015, les paroissiens de Neuville-les-Dames, dans le groupement paroissial de Châtillon-sur-Chalaronne, ont découvert que le tabernacle de l’église Saint-Maurice avait été fracturé, et que le ciboire (coupe qui contient les hosties) qu’il contenait avait été dérobé.
    • Le même soir, les paroissiens d’Ambronay ont remarqué eux aussi le vol d’un ciboire à l’église Notre-Dame.
    • Samedi 7 février, à Vonnas a été constaté le vol de deux ciboires de l’église Saint-Martin.
    • le samedi 7 février, le curé de Montluel a découvert que le ciboire et les hosties de la collégiale Notre-Dame-des-Marais avaient été volés.
    • Dimanche 8 février, à Jujurieux (groupement paroissial de Pont-d’Ain), Les fidèles ont découvert qu’un autre ciboire avait été dérobé dans l’église Saint-Etienne.

    Dans quatre cas (sauf à Montluel donc), les hosties consacrées n’ont pas été dérobées, mais abandonnées sur place.

    Source : FDS

    http://www.contre-info.com/

  • Le minaret, oui. La Vierge Marie, non.

    Deux nouvelles pratiquement passées inaperçues de la grande presse, et bien entendu des moyens radio-télévisés, m'ont particulièrement choqué, cette semaine.

    Deux nouvelles pratiquement passées inaperçues de la grande presse, et bien entendu des moyens radio-télévisés, m’ont particulièrement choqué, cette semaine.

    
La première. Nous sommes en Haute-Savoie, dans le bourg de Publier. Il y a cinq ans, la municipalité avait choisi de décorer un parc public d’une élégante statue de la Vierge pour un coût assez élevé de 35.000 euros. Eh bien, à la demande d’adeptes forcenés de la laïcité, le tribunal administratif de Grenoble vient d’exiger du maire qu’il enlève cette belle statue pour la déplacer dans un lieu privé ! La vue de la Vierge devait choquer les enfants qui jouaient à ses pieds. Et je ne parle pas du choc que cette statue a dû produire auprès des adeptes d’une autre religion, même si, pour eux, Marie est reconnue comme Myriam, mère du prophète Jésus.

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  • La chute de l'Empire romain, un signe pour notre temps

    Michel De Jaeghere est interrogé dans Présent sur son ouvrage Les Derniers Jours, concernant la chute de l'Empire romain. Extrait :

    "L’histoire de la fin de l’Empire romain d’Occident est celle de la dislocation d’un empire multinational sous le double effet de l’immigration et des invasions, non pas parce que cet Empire aurait eu à faire face à des foules innombrables (les nouveaux venus n’ont sans doute pas été plus de deux millions, qu’il s’agisse d’immigrés ou d’envahisseurs, dans un empire qui comptait environ 50 millions d’habitants au Ve siècle), mais parce qu’il fut conduit à renoncer, dans l’urgence, au processus de romanisation qui lui avait permis, jusqu’alors, de faire vivre ensemble des peuples d’origines très diverses (il comptait des Calédoniens et des Syriens, des Ibères, des Belges et des Egyptiens !) en leur imposant le moule de la vie civique (par la constitution de cités, dotées de leur territoire, d’une capitale construite à l’imitation de Rome, d’institutions au sein desquelles leurs élites étaient appelées à renoncer à la loi du plus fort pour rechercher le bien commun par la discussion rationnelle), en diffusant ses mœurs, ses beaux-arts, son architecture parmi leurs élites, et en favorisant par un réseau d’écoles municipales l’apprentissage de la langue latine et l’étude de la littérature classique. Il eut la faiblesse de laisser les immigrants s’installer sur son sol en préservant leurs structures et leurs solidarités tribales, et finit même par leur confier la défense de ses frontières contre d’éventuels nouveaux arrivants. Il ne fut pas vaincu par une civilisation concurrente, par des ennemis venus sur son sol avec l’intention de le détruire, mais par des nomades dont il avait renoncé à faire la conquête (parce que celle-ci eût été trop coûteuse et trop difficile, qu’elle aurait demandé trop d’efforts sans rapporter suffisamment de butin), aimantés par le désir de jouir, par le pillage de ses productions, et admis à constituer, sur son sol, des enclaves étrangères qui se muèrent peu à peu en royaumes indépendants.

    Son histoire est celle d’un empire qui avait renoncé à la colonisation pour profiter pleinement des fruits de la paix, en s’imaginant pouvoir laisser à sa périphérie, dans la misère et l’anarchie, des peuples auxquels il avait fait miroiter les fruits de la civilisation sans songer qu’ils seraient irrésistiblement conduits à franchir ses frontières pour s’emparer des biens dont on leur avait donné le désir sans leur imposer les disciplines qui avaient permis de les produire. Sa chute se traduisit par sa ruine, comme par celle des pays d’origine des immigrants, qui cessèrent de profiter des échanges dont ils bénéficiaient, avant son effondrement, de la part du monde romain. Il me semble qu’il y a là, pour nos contemporains, de quoi nourrir la méditation."

    Michel Janva