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immigration - Page 1315

  • Des filières d'immigration pour profiter de l'Aide Médicale d'Etat

    Le ministre de la Santé Marisol Touraine l’a reconnu devant les sénateurs en début de moisdes étrangers s’organisent par réseaux et filières afin de se faire soigner gratuitement en France et de profiter du système de protection sociale. Des fraudes qui coûtent chères au contribuable. Le Parisien publie aujourd'hui une enquête sur le sujet.

    Devant une Commission du Sénat, elle a déclaré :

    «C'est incontestable, nous avons constaté en 2013 un fort dépassement par rapport à l'objectif de ces dépenses puisque nous avions prévu une dépense de 588 millions d'euros et que les dépenses constatées seront à l'arrivée de 744 millions d'euros».

    L’AME, ou Aide Médicale d’Etat, est destinée aux étrangers en situation clandestine. Marisol Touraine a indiqué sa «préoccupation» face à

    «des filières de personnes étrangères venant se faire soigner dans certains hôpitaux français (…) cela amène à la nécessité d'enclencher très rapidement un travail diplomatique de coopération internationale avec les pays d'origine».

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Identité française et islam : débat houleux entre Edwy Plenel et Alain Finkielkraut

  • La djihadiste Souad Merah touchait 2.500 euros de prestations sociales par mois

    La France est généreuse, surtout avec les djihadistes qu’elle abrite en son sein… On apprend ainsi par nos confrères de La Dépêche du Midique Souad Merah, la soeur de Mohammed Merah, elle-même djihadiste et se réjouissant des actes de son frère (l’assassinat de soldats et d’enfants en 2012), touchait mensuellement 2.500€ de prestations sociales : mère isolée, quatre enfants.

    Au printemps dernier, Souad Merah avait défrayé la chronique. En effet, on apprenait que, selon nos confrères de La Dépêche :

    Le 20 mai, une école toulousaine signale l’absence anormale et répétée d’un des enfants de Souad. Les enquêteurs se rendent au domicile de la mère, quartier du Mirail, à Toulouse. L’appartement est vide et les enfants ont disparu. Les investigations menées permettent d’établir le parcours de Souad Merah. La mère de famille,sans emploi qui touchait mensuellement 2500€ de prestations sociales (mère isolée, quatre enfants), a embarqué depuis Barcelone le 9 mai à 12 h 25 sur un vol de la Turkish Airlines pour Istanbul. Elle aurait ensuite atterri en fin d’après-midi avec ses quatre enfants, âgés de 9 mois, 3 ans, 10 ans et 14 ans. Le soir même, la famille se serait envolée pour Gaziantep, une ville proche de la frontière syrienne. A cette époque, son second mari, Abdelouahed El Baghdadi et père des deux derniers enfants de Souad, avait déjà rejoint la Syrie avec Imad Djebali et Gaël Maurize, tous les trois interpellés et transférés, depuis mercredi soir, dans les locaux de la DGSI, à Levallois-Perret.

    Et surtout ces jours deniers :

    Assiste-t-on, peu à peu, au retour des exilés du clan Merah ? Après l’arrivée, mardi, dans des conditions rocambolesques, à Marseille, du second mari de Souad Merah, Abdelouahed El Baghdadi, deux des enfants de la sœur aînée de Mohammed Merah, Souad, sont eux aussi de retour à Toulouse. Agés de 10 et 14 ans, ces deux garçons sont arrivés à l’aéroport de Toulouse-Blagnac, en provenance d’Algérie, mardi, accompagnés de leur père. Un retour qui devrait leur permettre de reprendre le fil de leur scolarité. La mère des enfants, Souad Merah, se trouverait toujours près d’Alger avec ses deux autres fils de 9 mois et 3 ans.

    Pour lire l’article dans son intégralité

    http://fr.novopress.info/175924/la-djihadiste-souad-merah-touchait-2-500-euros-de-prestations-sociales-par-mois/

  • Musulmans de France : et le Hamas l’emporta sur Hervé Gourdel dans un rapport de 30 à 0...

    La fébrilité avait gagné les rédactions : les musulmans de France allaient manifester leur colère contre la barbarie djihadiste ! « Allez, grouille-toi et trouve-moi vite un musulman qui proteste ! », hurlaient les rédacteurs-en-chef. Ainsi fouettés, les journalistes en trouvèrent quelques uns… Les chaînes d’info en continu martelaient qu’on allait voir ce qu’on allait voir. Des foules immenses, peut-être ? Des imams et des intellectuels supposément musulmans se relayaient pour dire tout le mal qu’ils pensaient des assassins d’Hervé Gourdel.

    L’envoyée spéciale de France Info avait établi son QG devant la Grande Mosquée de Paris et faisait monter la tension avec ses « ils arrivent, ils arrivent ! »

    La Grande Mosquée de Paris est, comme son nom l’indique, grande : elle peut contenir plusieurs milliers de fidèles. Et c’est précisément après la prière du vendredi que – pour garantir l’affluence - devait avoir lieu le rassemblement tant attendu. Et le rassemblement eut lieu : quelques centaines de personnes selon les journalistes pourtant très bien disposés. Quelques centaines de personnes ? Moins que les djihadistes français partis rejoindre les coupeurs de tête d’Irak et de Syrie… A peu près autant que ceux qui avaient crié lors d’un mémorable « Jour de Colère » : « Juif, la France n’est pas à toi ! »… Et tellement, tellement moins, trente fois moins peut-être que les foules qui avaient défilé dans Paris pour clamer leur soutien au Hamas et leur haine d’Israël.

    Alors on stigmatise ? Non. On a juste envie de pleurer. Les musulmans ne sont, bien sûr, pas obligés de manifester dès que l’injonction leur en est faite. Mais là, il y avait quand même un appel du recteur de la Grande Mosquée de Paris, Dalil Boubakeur ! Des unes des journaux ! Un appel d’intellectuels qui barrait en gros la première page de Libération. « Nous sommes tous des sales Français ! », en référence au communiqué des assassins d’Hervé Gourdel. Tout ça pour ça. Tout ça pour rien…

    Mais quelle explication à ce désastre ? Il y a en France une multitude de collectifs, d’associations, de groupes de banlieue dont la raison d’être est de lutter contre l’ « islamophobie » et pour la Palestine. En revanche, il n’y a aucun comité de ce type pour combattre le djihadisme, le fanatisme, l’islamisme et la terreur fondamentaliste. Mais à quel titre, objectera-t-on, les musulmans de France seraient-ils appelés à s’engager ainsi ? Simplement au titre qu’ils sont également français… [....]

    Benoît Rayski

    La suite sur Atlantico

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Musulmans-de-France-et-le-Hamas-l

  • La CAF et Pôle emploi déploient des vigiles pour protéger leurs salariés

    Lu sur breizh-info.com : Les usagers en attente d’emploi ou d’allocations sont de plus en plus agressifs. Ce qui pousse Pôle emploi et les CAF à déployer des vigiles : systématiquement pour le premier, aléatoirement pour les autres.

    En 2013, la direction de Pôle emploi a recensé 8 442 agressions, soit 68% de plus que devant les guichets des banques, où il y en a un peu plus de 5 700 par an. La grande majorité de ces agressions – dont le nombre a augmenté de 13% sur un an – sont verbales, seules 250 sont physiques.

    Même si ces agressions ne représentent qu’une part minime de l’ensemble des contacts entre les travailleurs sociaux et les chômeurs, les premiers sont inquiets. La direction de Pôle emploi déploie systématiquement des vigiles, surtout au moment des changements de règles légales, quand les chômeurs peuvent se retrouver privés d’une partie de leur indemnité sans que l’organisme les ait prévenu, puisque envoyer des lettres coûte cher (qui fait grincer des dents la CGT Lorraine ) et a investi dans la formation et la protection de ses salariés.

    A la CAF, le problème est lui aussi global, et transparaît au rythme des fermetures de caisses, les agents faisant généralement valoir leur droit de retrait après l’agression de l’un des leurs. Lyon, Bordeaux, Marseille, Paris, Lille… et jusqu’aux petites villes, tout le territoire est concerné. Les agents crient leur malaise, coincés qu’ils sont entre objectifs statistiques intenables, augmentation de la misère, usagers agressifs et angoissés, cadences lourdes, montagnes de dossiers en retard…

    Par endroits, des vigiles ont été mis en place. Nous avons interrogé l’un d’entre eux, qui officie dans une grande ville et refuse de dévoiler son identité. « Nous avons fort à faire. C’est quelque chose. Les usagers ont des couteaux, parfois des flingues, de la beu, de la coke. Des poings américains etc. Bien entendu, on leur rend tout à la sortie. On n’a pas le droit de saisir, et puis ça ferait des histoires. On fait office de vestiaire quoi. Moyennant quoi, je gardais une boîte avant, et je trouve des trucs que je n’avais jamais vu là-bas. »http://www.contre-info.com/

  • Islam, l’éternelle question

    « Assassinat d’Hervé Gourdel : Estimez-vous suffisante la condamnation des musulmans de France ? » Cette question posée sur le site du Figaro le 25 septembre au matin, s’inscrivant  dans le cadre des sondages réalisés  chaque jour auprès de  ses lecteurs par  le site du quotidien, a fait polémique et a été très rapidement retirée. Elle a été jugée particulièrement grossière dans la période que nous traversons. Par ses errements et ses fautes lourdes,  » la classe politique est responsable des amalgames dont sont responsables nos compatriotes musulmans » notait Marine Le Pen sur i télé vendredi. Nous pouvons comprendre la réaction de nombreux musulmans qui se disent lassés d’être obligés de se justifier de leur « humanité » en protestant contre la barbarie des fous d’Allah,avec lesquels ils ne se reconnaissent pas d’affinités, ni de près, ni de loin. Musulmans français qui peuvent donc juger très ambigue la campagne des « muslims » anglophones baptisée not in my name lancée depuis l’Angleterre…Pour autant, l’actualité politique nationale et internationale particulièrement anxiogène, la montée bien réelle d’un communautarisme souvent agressif, la transformation aussi de la physionomie de nombreux quartiers sous le poids de l’immigration massive de populations musulmanes, rendent aussi compréhensibles, si ce n’est légitime, les craintes de nos compatriotes.

    Très médiatisées, de  (maigrelettes) manifestations pour dénoncer l’égorgement d’HervéGourdel, la sauvagerie de l‘Etat Islamique ont été  organisées vendredi par des autorités religieuses et des organisations communautaristes mahométanes. Selon leurs initiateurs,  elles visaient à rassembler   les « musulmans de France » (formulation maladroite qui  écarte les musulmans français?) et leurs  » amis « mais suffiront-elles à rassurer l’opinion?

    « Tout se tient dans l’univers islamique, et le problème des problèmes c’est le destin de l’islam » écrivait le général De Gaulle en décembre 1957 à l’universitaire (gaulliste) Vincent Monteil. Un univers qui par le biais de l’immigration (combien  y a t-il de musulmans en France? 4, 5, 6, 7 millions? Plus? Personne ne le sait précisément)  s’est implanté chez nous. Un univers qui  rythme désormais la vie de beaucoup de nos quartiers,  voire de communes entières.

    Comme l’avait bien vu le  célèbre   islamologue Louis Massignon, « l’islam est l’axe de l’arabisme et l’arabisme est l’axe de l’islam ». Or, Cette montée en puissance de l’islam est aussi la conséquence mécanique d’une explosion démographique des pays arabo-musulmans, qui vient cogner à la porte d’une Union  Européenne usée, fatiguée, vieillie...

    Une religion qui questionne nos sociétes européennes, islam qui est « combinaison unitaire de transcendance et de naturalisme, religion étrangère à toute forme de dualisme, à toute rupture ontologique, à toute opposition entre le profane et le sacré, la matière et l’esprit, le spirituel et le temporel... » (Robert de Herte). Religion guerrière aussi, religion du rapport de force (malheur aux vaincus...)  conquérante, prosélyte.

    Nous nous en faisions l’écho en mars 2008,  un article de La Libre Belgique relevait que chez nos voisins belges depuis 2001, Moham(m)ed est, chaque année, et de loin, « le premier prénom donné aux garçons nés à Bruxelles ». Le journal constatait que « les jeunes marquent un retour important vers le fait religieux. Quelques 75 % des musulmans s’estiment aujourd’hui pratiquants « .  » La journaliste flamande Hind Fraihi va plus loin : les jeunes sont de plus en plus radicalisés.  Ils rejettent les valeurs occidentales, même leurs parents s’en inquiètent… ».

    L’islam est la religion de citoyens paisibles, parfaitement respectables, mais elle est aussi brandie comme un marqueur identitaire, un instrument de rejet, de haine  de la France non seulement par le barbu islamiste mais aussi par la jeune racaille qui en viole pourtant les préceptes pour adopter tous les mauvais codes de la sous-culture des ghettos américains.

    La question centrale qui est posée ici, est  aussi celle de ces fameuses valeurs occidentales  auxquelles  les musulmans  sont priés de s’assimiler.

    Quelles sont elles? Dans le meilleur des cas  « l’égalité homme-femme » et  la « laïcité républicaine »? Ou encore « l‘Europe » cosmopolite, atlantiste, sans frontière? Le  culte des « droits de l’homme »? Le mariage et l’adoption par les couples homosexuels ? L’euthanasie ? La destruction de la famille ? La banalisation de l’IVG? Le mondialisme? L’individualisme forcené ? Le  métissage  obligatoire ? Le règne du relativisme, du matérialisme et de la marchandise?

    « De toutes les sociétés » était-il constaté il y a dejà 23 ans dans la défunte revue Identité« la société occidentale est la seule à avoir banni le sacré de l’organisation sociale, en le tenant pour une catégorie dépassée du développement humain. Un reliquat des temps obscurs où Dieu et la religion régnaient sur l’homme. Non seulement la mort du sacré constituerait une fatalité mais, plus encore, un progrès: le triomphe de la raison sur les passions et les superstitions.Aux âges théologiques, métaphysique et politique auraient succédé ceux de la science, de la technique et de l’économie, stades ultimes de l’évolution et marques de bonheur« .

    « Tel serait l’héritage de la philosophie des lumières: un monde parfait qui aurait fait sortir l’humanité de la disette pour la plonger dans l’abondance (…). Ainsi se présente la version officielle des choses. Une version qui passe pourtant sous silence la formidable impasse existentielle dans laquelle sont tombées les sociétés occidentales. Car le progrès matériel incontestable auquel elles sont parvenues s’est réalisé au détriment de l’âme, par un rétrécissement des champs spirituel et culturel. La soumission du monde et de la nature à la simple exploitation de l’homme, la réduction des aspirations humaines à la seule satisfaction des besoins matériels et des instincts les plus primaires (…), la substitution de l’homme à Dieu comme commencement et fin de toutes choses, tous ces bouleversements ont débouché sur un immense désenchantement ».

    Pour autant, « rien ne permet de conclure au caractère irreversible de ce retrait du sacré, simple éclipse peut être. Le défi que représente pour la vieille Europe la concurrence ou la confrontation avec des peuples qui ont conservé, voire renforcé , leur dynamisme et leur foi, peut aussi constituer l’occasion d’un « retour de Dieu »…

    Dans son livre d’entretien Une volonté, un idéal  (2010), Bruno Gollnisch  déclarait : « Je ne pense pas que l’islam soit la vraie religion, sinon je l’aurais adopté ! Je respecte les musulmanscependant comme je respecte les bouddhistes ou les agnostiques (…). Le problème est que l’islam n’est pas seulement une religion ; c’est aussi un code de loi. Malheureusement ce code de lois était peut être approprié dans la société des bédouins des VIIe et VIIIe siècles, mais il estétranger à nos moeurs, à nos coutumes et à nos traditions ». « Je ne souhaite pas bien sûr, que la société française devienne une société musulmane ; pour autant je n’ai pas l’intention de faire la guerre aux musulmans. « 

    Cependant, « les musulmans qui voudraient imposer la loi islamique (la charia) n’ont pas leur place ici, c’est clair. Mais ce n’est pas le cas de tous et, contrairement à un certain nombre de mes amis, qui estiment qu’il n’y a pas d’islam modéré, je pense que s’il n’y a pas d’islam modéré, peut être, il y a des musulmans modérés. Et je ne fais pas d’angélisme. La bourgeoisie francophile sunnite du Liban d’avant la guerre, ce n’est pas du tout la même chose que lessalafistes, qui ne sont pas la même chose que les Iraniens chiites. Il y a des différences considérables. « 

    « Ceci étant, je préférerais que les musulmans restent dans leur pays d’origine, et je vois avec inquiétude l’islamisation de la France, car je constate que beaucoup de musulmans qui vivent en France commencent à revendiquer de vivre selon leurs mœurs, leurs coutumes puis leurs lois propres. Les exemples sont nombreux : le régime alimentaire, les piscines, etc, qui manifestent la volonté, non seulement de revendiquer de vivre selon leurs mœurs, mais de les imposer à leur entourage (…).Je combats totalement cette évolution bien sûr, maisj’observe qu’elle est quand même d’abord le fruit de l’immigration beaucoup plus que des conversions à la religion musulmane. »

    Bref, « le problème de fond en France n’est pas plus le minaret qu’il  n’est la burqa : il est celui de l’immigration massive ». Le problème de fond est aussi, nous l’avons vu,  celui de la décadence de nos sociétés européennes,  décadence démographique, intellectuelle et morale. La nature a horreur du vide C’est aussi par un sursaut de l’esprit, en revendiquant fièrement, clairement, posément mais fermement  ce que nous sommes,  que nous gagnerons le respect ou la crainte de ceux qui imaginent que nos sociétés peuvent tomber  demain comme un fruit mûr.

    Faire front, ne pas baisser la garde implique de réaffirmer notre  vision du monde qui puise sa source dans une éthique classique de mesure, de responsabilité, de liberté, de libre-arbitre, dedéfense du Bien, du Beau et du Vrai ; dans les valeurs de notre civilisation helléno-chrétienne, aujourd’hui  également combattues et moquées  par les  » progressistes » qui règnent sans partage sur tous les rouages du Système.

    http://gollnisch.com/2014/09/30/islam-leternelle-question/

  • Face aux barbares, la civilisation unique ?

    Le politiquement correct est une idéologie totalitaire douce pour défendre une pensée qui s’écrit à la gomme en effaçant notre identité.

    C’est ainsi que l’actualité présente nous invite à nous méfier du mot « civilisation ». Il est exclu d’évoquer la lutte contre le prétendu « État islamique » comme un choc de civilisations. Tout au plus peut-on opposer LA civilisation à la barbarie. D’un côté, il y aurait l’immense majorité des humains avec leurs différences culturelles et, de l’autre, une poignée de fanatiques qui n’auraient pas lu le Coran. La civilisation, ce serait donc la quasi-totalité de l’humanité. Cette conception large justifierait amplement que les nations européennes, les États-Unis et l’Arabie saoudite forment une coalition contre le terrorisme prétendument islamique. Mais que défend cette coalition ? Les naïfs diront aussitôt : l’humanisme, le respect de l’autre, la tolérance, la liberté, la démocratie. C’est d’ailleurs au nom de ces valeurs que nous rejetons à la fois les djihadistes et leurs adversaires, les régimes autoritaires laïcs, leurs massacres au gaz, et leur implacable tyrannie.

    Malheureusement, cette proclamation ne résiste pas à la critique. Le royaume wahhabite, notre allié, qui règne sur les lieux saints de l’islam, n’est évidemment pas une démocratie. La liberté y est inconnue, la charia y est appliquée avec rigueur. Les décapitations publiques au sabre s’y font simplement davantage dans les formes. On cherchera, en vain, la dose supplémentaire d’humanisme présente à Riyad et absente à Damas. Il est possible, depuis près de vingt siècles, d’être pleinement chrétien en Syrie quand ça ne l’est pas, aujourd’hui, en Arabie saoudite. La différence est la même pour la condition féminine. Nous ne défendons pas une civilisation commune qui n’existe nullement.

    Si l’on descend de l’étage de la réflexion philosophique pour en revenir à l’examen des intérêts réels en jeu, on comprend bien que les États peu démocratiques du Golfe, nos économies et nos puissants groupes pétroliers soient dans le même camp.

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  • Condamné en 2007 à 11 ans de prison, il en sort en 2010 et devient un des pires jihadistes

    Elle sont belles les soeurs justice et intégration en France :

    "Parmi les personnes liées à l'Etat islamique particulièrement recherchées par les Etats-Unis, on trouve des Syriens, des Russes, des Tchétchènes, des Marocains… et un Français, Salim Benghalem. 

    Comme l'ont repéré Europe 1 et Le Monde.fr, ce trentenaire originaire de Cachan dans le Val-de-Marne, figure en effet sur la liste des Specially Designated Global Terrorists, qui désigne les personnes ou organisations les plus dangereuses pour le gouvernement américain. Il est présenté comme un bourreau de l'organisation terroriste". 

    Le Salon Beige

  • Sur France 2, on est "islamiquement ignare"

    L'expression, savoureuse, est de Bernard Antony, qui nous propose un petitretour sur  l'émission "envoyé spécial" de France 2 :

    "Hier au soir, sur France 2, à l’émission « Envoyé Spécial », deux animatrices énamourées se pament d’admiration pour l’iman d’Ivry, développant doctement, le coeur sur la main et citant quelques versets anodins, qu’il n’y a rien dans le Coran pour justifier l’islamisme.

    Le Coran à l’en croire n’est qu’un livre de paix et de bonheur et son prophète Mahomet un tendre humaniste, un doux pacifiste. Avec l’iman, pas question pour les animatrices d’être insolentes ou de manifester simplement quelque étonnement, pas question de le questionner sur la réalité historique de l’islam.

    L’iman, avec un incroyable culot, évoque la Saint-Barthélémy pour dire que dans la chrétienté il y a eu aussi des guerres de religion et des massacres. Certes !

    Aucune des deux ne s’avise de lui rétorquer ce que dit la grande historienne du jihâd et de la dhimmitude, Bat’Ye-Or : « De religion juive, je n’en suis que plus à l’aise pour rappeler que lorsque des chrétiens se livrent à des violences, ce n’est pas selon l’imitation de Jésus-Christ, tandis que lorsque les musulmans égorgent, c’est selon le modèle de Mahomet».

    Mais surtout, aucune des deux ne le questionne sur quelques-uns des 700 versets de violence du Coran ou sur ce que contiennent les Hâdiths. À l’évidence, elles sont islamiquement ignares.

    Aucune ne lui demande pourquoi aucun non-musulman, sous peine de mort, ne peut se rendre à La Mecque ou à Médine. Pas de question sur la charia appliquée par l’État islamique, certes dans un paroxysme de sauvagerie, mais qui ne l’est pas moins, dans toute son horreur, en Arabie Saoudite, en Iran et dans des dizaines d’autres pays.

    Aucune ne lui pose de questions sur le statut des femmes, sur la liberté religieuse, sur l’égalité et la réciprocité : l’iman ravi baigne dans le lait et le miel d’une douceur médiatique toute de complaisance. Et tant pis pour l’information des téléspectateurs. Mais la désinformation est à vrai dire grandiose.

    Mais, comme l’aurait conclu Vialatte, « c’est ainsi qu’Allah est grand ! »."

    Marie Bethanie

  • « Pas d’amalgame » : les médias mettent le paquet

    Suite à l’assassinat de l’otage français par des musulmans radicaux, les médias du Système reprennent leur litanie habituelle pour qu’on ne fasse pas de lien entre islam et islamistes…

    Le Parisien en fait des tonnes (comme d’habitude depuis quelques années), c’est devenu un grossier outil de propagande cosmopolite :

    Titrer en une et en énorme « les musulmans de France disent non à la barbarie », c’est sous-entendre que c’est là quelque chose de remarquable ! Ils ne disent pas « oui », c’est merveilleux !

    http://www.contre-info.com/