Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

immigration - Page 1388

  • Milan : le peuple italien dans la rue contre l’immigration clandestine

    « Assez d’immigration ! », « Nous ne voulons plus de centres d’accueil ! », « Pour chaque immigré sous-payé, c’est un italien au chômage ! », « Nous défendons la Nation, nous ne voulons plus d’immigration », tels étaient quelques-uns des slogans qui ont retenti samedi dans les rues de Milan à l’occasion de la grande manifestation nationale organisée par la Ligue du Nord pour dénoncer les ravages de l’immigration clandestine qui frappe l’Italie de plein fouet.

    Ce sont ainsi plus de 100.000 personnes, selon les médias italiens, qui ont défilé pour réclamer le contrôle des frontières nationales et exiger l’arrêt immédiat de l’opération de soutien aux clandestins « Mare Nostrum ».

    L’Italie, fortement éprouvée par la crise économique et les politiques ultra-libérales imposées par l’Union Européenne et les instances internationales, n’est plus capable de faire face au déferlement continu d’immigrés clandestins africains débarquant sur son sol, notamment via la tête de pont de Lampedusa. Face au « pathos » des médias et à la fausse charité des bien pensants, Matteo Salvini, le chef de la Lega (Ligue du Nord) en appelle au réalisme et à la responsabilité politique pour sauver ce qui peut encore l’être de la nation italienne.

    manif-milan-lega-immigration.jpg
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Au sein de l’immense cortège, on notait la présence de près de 2.000 militants du mouvement Casapound Italia dont la participation à l’événement est le nouveau signe d’un rapprochement avec la Lega. Rapprochement qui fait la une de nombreux journaux transalpins et inquiète fortement l’establishement de la péninsule.

    Lire la suite

  • Le cinéma français sous la coupe des bien-pensants

    Propagande. Avec la sortie de “Samba”, comédie à la gloire des sans-papiers et de ceux qui les aident, le cinéma français s’enfonce une nouvelle fois dans un moralisme qui ne date pas d’hier mais se fait de plus en plus pesant, utilisant la fiction pour changer les mentalités.

    Il existe un pays merveilleux où les immigrés ne posent pas le moindre problème mais ne sont qu’une source incontestable d’enrichissement mutuel ; une contrée enchantée où, tous sans exception ou presque, ils sont gentils, travailleurs, modestes, laïcs, avides de s’intégrer sans rien renier, naturellement, de leurs racines (car tout peut se concilier, la contradiction n’existant pas dans ce pays de cocagne), généreux, chaleureux, ne connaissant de la violence que celle qu’ils subissent de la part d’une minorité d’autochtones aussi racistes que lâches, et d’une police qui s’obstine à les traquer sans raison valable. Ils sont certes un peu truqueurs, brandissent parfois de faux papiers ou des identités fictives, mais ce n’est qu’un hommage à ce pays fabuleux où ils rêvent de vivre pour de bon, et où ils mèneraient une vie paisible si une législation absurde ne persistait à leur refuser l’accueil fervent qu’ils méritent.

    Songerie que tout cela, me direz-vous, au regard d’une actualité où chaque jour apporte son lot de nouvelles qui contredisent ce tableau idyllique et nous confirment hélas, de djihadisme en faits divers en passant par des manifestations croissantes d’un communautarisme agressif, que l’intégration paisible de millions d’immigrés d’origine extraeuropéenne relève plus de la douce utopie que de la promenade de santé, quand bien même une majorité d’entre eux la souhaiteraient : ce pays n’existe pas, ne peut pas exister. Eh bien si, ce pays existe : c’est le cinéma français.

    S’il abrite heureusement des provinces plus réalistes, où la vie quotidienne est affrontée dans sa complexité, de la Haine à la Désintégration en passant par Pierre et Djemila, notre cinéma national s’est en effet fait le chantre, depuis quelques années, d’une vision hagiographique de l’immigration, visant à sanctifier notamment les clandestins et à culpabiliser les Français qui ne se montreraient pas assez accueillants voire racistes. Sur nos écrans depuis le 15 octobre, Samba, d’Éric Toledano et Olivier Nakache, en fournit une variante exemplaire. Écrit et réalisé par les auteurs d’Intouchables, le film semble promis à un vaste succès qui, à la manière du récent Qu’est-ce que j’ai fait au bon Dieu ?, devrait lui permettre de marquer durablement les esprits.[....]

    Laurent Dandrieu 

    La suite sur Valeurs Actuelles

  • Le cinéma français sous la coupe des bien-pensants

    Propagande. Avec la sortie de “Samba”, comédie à la gloire des sans-papiers et de ceux qui les aident, le cinéma français s’enfonce une nouvelle fois dans un moralisme qui ne date pas d’hier mais se fait de plus en plus pesant, utilisant la fiction pour changer les mentalités.

    Il existe un pays merveilleux où les immigrés ne posent pas le moindre problème mais ne sont qu’une source incontestable d’enrichissement mutuel ; une contrée enchantée où, tous sans exception ou presque, ils sont gentils, travailleurs, modestes, laïcs, avides de s’intégrer sans rien renier, naturellement, de leurs racines (car tout peut se concilier, la contradiction n’existant pas dans ce pays de cocagne), généreux, chaleureux, ne connaissant de la violence que celle qu’ils subissent de la part d’une minorité d’autochtones aussi racistes que lâches, et d’une police qui s’obstine à les traquer sans raison valable. Ils sont certes un peu truqueurs, brandissent parfois de faux papiers ou des identités fictives, mais ce n’est qu’un hommage à ce pays fabuleux où ils rêvent de vivre pour de bon, et où ils mèneraient une vie paisible si une législation absurde ne persistait à leur refuser l’accueil fervent qu’ils méritent.

    Songerie que tout cela, me direz-vous, au regard d’une actualité où chaque jour apporte son lot de nouvelles qui contredisent ce tableau idyllique et nous confirment hélas, de djihadisme en faits divers en passant par des manifestations croissantes d’un communautarisme agressif, que l’intégration paisible de millions d’immigrés d’origine extraeuropéenne relève plus de la douce utopie que de la promenade de santé, quand bien même une majorité d’entre eux la souhaiteraient : ce pays n’existe pas, ne peut pas exister. Eh bien si, ce pays existe : c’est le cinéma français.

    S’il abrite heureusement des provinces plus réalistes, où la vie quotidienne est affrontée dans sa complexité, de la Haine à la Désintégration en passant par Pierre et Djemila, notre cinéma national s’est en effet fait le chantre, depuis quelques années, d’une vision hagiographique de l’immigration, visant à sanctifier notamment les clandestins et à culpabiliser les Français qui ne se montreraient pas assez accueillants voire racistes. Sur nos écrans depuis le 15 octobre, Samba, d’Éric Toledano et Olivier Nakache, en fournit une variante exemplaire. Écrit et réalisé par les auteurs d’Intouchables, le film semble promis à un vaste succès qui, à la manière du récent Qu’est-ce que j’ai fait au bon Dieu ?, devrait lui permettre de marquer durablement les esprits.[....]

    Laurent Dandrieu 

    La suite sur Valeurs Actuelles

  • Le port de Calais en état de siège face aux migrants

    Le « Far West ». Une situation « hors de contrôle ». Une « zone de non-droit ».
    A Calais, le port et la ville sont « en état de siège », désespèrent autorités et riverains face à la dégradation de la situation, avec l’explosion du nombre de clandestins et l’intensification de leur détermination à rejoindre l’« eldorado » anglais.
    Malgré le récent accord franco-britannique prévoyant une coopération des deux gouvernements pour mieux gérer la pression migratoire transmanche, une agressivité nouvelle et des pratiques jamais vues jusque-là se déploient sur le terrain, où se multiplient incidents et débordements.
    Sont en cause notamment, ces phénomènes d’intrusion massive où 300 à 400 migrants prennent d’assaut le port ou la rocade autoroutière qui le dessert. Le mercredi généralement, comme le 17 septembre dernier, jour où le trafic de camions est le plus important, il se crée des ralentissements opportuns pour monter à leur bord.
    Dès l’aube, des ombres encapuchonnées se détachent sur les talus qui ceinturent la rocade A16-A26 surplombant le port. Dans le soleil montant, elles s’allongent et se démultiplient jusqu’à laisser apparaître de vraies colonies d’hommes aux aguets, qui serpentent et s’éparpillent dans un faux désordre. Chaque poste est choisi. Au moindre signal, ils fondent sur l’asphalte, s’accrochent aux portes des poids lourds, se glissent sous les essieux, parfois même dans les cabines. « Incroyable ce qu’ils sont vifs et habiles!, s’étonne un CRS en poste sur la rocade. En moins de deux secondes ils ont embarqué.» Le chauffeur tchèque qui passe sur la route inférieure vient de s’arrêter pour les faire descendre de son chargement. A l’ouverture des portes, trois jeunots s’extirpent des palettes, sans heurts cette fois, tandis que deux autres en profitent pour se glisser dans la cabine. Philosophe, le chauffeur répond à leur sourire. « Sans rancune », semblent-ils se dire, comme après une défaite au jeu. À cet endroit, où sont concentrées les stations-service pour poids lourds, le manège est incessant. Un camion à la pompe, c’est un assaut d’une vingtaine de clandestins. Comme à chaque fois la police surgit, comme à chaque fois la volée d’étourneaux se disperse… avant de revenir.
    A quelques pas de là, postés dans les herbes folles des dunes, ce sont deux migrants isolés qui tentent d’escalader la clôture barbelée du port. L’autre jour ils étaient 250 à la franchir, certains se sont même jetés à l’eau près des ferries.
    Des scènes de panique pour les routiers mais aussi les familles et les touristes, malgré le renfort policier de 60 hommes 24 heures sur 24. Un millier d’interpellations ont lieu chaque semaine, confie le préfet du Pas-de-Calais, Denis Robin. Mais malgré les contrôles systématiques de camions au détecteur de CO2 et de battements cardiaques, «il en passe chaque semaine», dit un responsable de la brigade cynophile de la police aux frontières (PAF).
    « Des filières structurées »
    Les opérations de démantèlement des deux gros camps du centre-ville, fin mai et début juillet, n’ont fait que déplacer le problème. Les squats dans les biens privés et publics du centre-ville se sont multipliés, des tentes se sont plantées dans le sable du «cordon dunaire», près du port, et deux énormes camps se sont reconstitués en périphérie: la «jungle» qui compte plus de 500 migrants, dans l’usine en activité Huntsman Tioxide, au pied de la rocade, et le camp «Vandamme», un site de recyclage de métaux désaffecté où ils seraient 150, selon le préfet.
    Ces réinstallations dans les deux gros camps sont « clairement l’œuvre des “no borders”, ces altermondialistes prônant la vie “sans frontières”», déplorent les autorités qui les estiment à une trentaine. Ils organisent la vie des camps jusque dans leurs loisirs. Comme, depuis peu, ces matchs de foot dans les stades de la ville qui ont déclenché les foudres du maire (UMP) de Calais, Natacha Bouchart.
    Les passeurs, eux, sont ici des spectres. Des marionnettistes à distance qui officient par téléphone depuis l’Angleterre, avec « des relais locaux ici à Calais », et « un représentant par langue ».« Le migrant qui arrive seul, ça n’existe pas, dit Denis Robin, le préfet. Il vient toujours via des filières très structurées. » Des migrants qui ont déjà « payé beaucoup » pour arriver jusque-là, et qui pour traverser la Manche doivent encore régler en moyenne 2000 €, dit-on.
    Certains, plus nantis, séjournent à l’hôtel. Les Albanais surtout. Dans des baskets de marque, pendus à leur téléphone portable jusque tard le soir, ils opèrent un drôle de manège dans le hall de cet établissement du centre. La gérante les connaît bien. « On en a tout le temps, dit-elle, 8 à 10 par semaine, de une à sept nuits », à 70 euros la nuitée. « Ils payent sans problème ceux-là, dit-elle. Moi qui travaillais à Tourcoing avec la racaille… avec eux ça se passe bien. Sauf quand ils font entrer en douce 5 à 6 autres personnes dans leur chambre pour passer la nuit ». Aucune chance de les retrouver dans le centre d’accueil de jour de 400 places prévu par le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve… Un projet qui déroute les Calaisiens, en attente de « vraies solutions politiques ».
    Le phénomène s’étend à d’autres villes
    Selon certains responsables publics et des transporteurs qui empruntent différents ports français d’embarquement vers la Grande-Bretagne, le phénomène des migrants s’étendrait à d’autres villes que Calais. Le patron d’une société de Bordeaux évoque ainsi des ports de Bretagne et de Normandie. « On en voit de plus en plus dans l’Ouest, c’est un phénomène qu’on n’observait pas avant », dit-il.
    A Dunkerque, selon des sources policières et portuaires, «on détecte aujourd’hui deux fois plus de migrants qu’il y a un mois».
    La capitainerie de Cherbourg confirme la présence de clandestins, dans de bien moindres proportions, toutefois, qu’à Calais. « C’est un mouvement épisodique et qui se déplace, les migrants sillonnent plusieurs ports pour les tester, pour voir comment ça réagit, dit un responsable en reprenant l’explication que la police aux frontières (PAF) lui a donnée. Cette année, quelques-uns ont tenté de monter sur les ferries, nous avons même dû secourir l’un d’entre eux qui était tombé à l’eau. »
    Au Havre, deux épisodes sont survenus cette année. «Un bateau a été loué au port pour faire traverser des Ukrainiens, qui ont finalement été appréhendés en Angleterre, et un navire russe, acheté en Hollande pour passer les migrants du Havre en Angleterre, a été abandonné chez nous après avoir été repéré», comptabilise un responsable du port.
    Interrogée par Le Figaro, la Direction générale de la police nationale (DGPN) n’a pas souhaité commenter ce phénomène ni l’éclairer de chiffres.
    Delphine de Mallevoüe, 30/09/2014
    Source : Figaro.fr

  • Migrations : le livre que les nuls de la presse n'ont pas lu

    Consultant international sur l'Afrique et les migrations, docteur en sciences de l'information et de la communication, Jean-Paul Gourévitch vient de publier un ouvrage qui a reçu un accueil polémique par la presse. Et pour cause, il vient de signer dans la collection “Pour les nuls”, qui vise le grand public sans rien lâcher sur l’exigence scientifique, une somme sur Les Migrations. Jean-Paul Gourévitch répond à L'Action française 2000 :

    "Vous et votre éditeur avez été victimes d’une tentative de déstabilisation. Pourquoi, alors que vous êtes un spécialiste internationalement reconnu de la question ?

    NComme il était difficile de s’en prendre à l’ouvrage, on a cherché à diaboliser l’auteur, et ainsi à discréditer à la fois le propos et la collection. Tout est parti d’un seul article très “militant” d’une journaliste de l’AFP, repris in extenso le jour même et le lendemain par cinquante et un journaux parmi les plus célèbres qui n’ont ni consulté l’ouvrage, ni interrogé l’auteur ou l’éditeur. Cela peut laisser rêveur sur la déontologie d’une certaine presse qui, pourtant, ne se fait pas faute de donner des leçons. Quand mon avocat et moi-même avons demandé à l’AFP comment elle comptait réparer le préjudice subi, l’Agence a répondu qu’elle ne voyait pas où se trouvait ce préjudice. Pourtant, dix millions de lecteurs de cette presse ont bien été “informés” qu’il s’agissait d’un ouvrage écrit par un auteur “très à droite” donc suspect. La preuve : ses thèses avaient été citées par le Front national, et des sommités de gauche et d’extrême gauche, les seules interrogées par la journaliste, en contestaient la teneur. Pourtant, aucune n’avait lu l’ouvrage, puisqu’il était sorti le jour même et qu’elles n’avaient pas reçu de service de presse. Bien entendu, on s’attardait sur les événements organisés par la droite ou l’extrême droite au cours desquels l’auteur avait donné des conférences, en oubliant ceux organisés par la gauche ou l’extrême gauche au cours desquels il était également intervenu, voire en niant qu’ils aient existé, alors qu’ils sont parfaitement consultables sur Internet et ont donné lieu à des publications. On en est même venu à contester ma qualité de consultant international sur l’Afrique et les migrations. Pourtant, en vingt-cinq ans de carrière dans ce domaine, j’ai fait plus de trente-cinq missions, dont certaines ont duré des mois, voire des années, notamment en Afrique, pour des organismes aussi divers que l’Unesco, l’Union européenne, Le ministère des Affaires étrangères, la Banque mondiale, des ONG ou des cabinets d’expertise. Et mon rapport sur les migrations subsahariennes a été voté par le Conseil de l’Europe à l’unanimité (moins deux abstentions), ce qui n’est quand même pas courant. On ne peut résister seul à cette lapidation organisée. J’ai obtenu des droits de réponse de la part de trois journaux qui en avaient rajouté jusqu’à la diffamation. Mais je constate avec amertume que, dans un pays profondément divisé où l’opinion publique n’est plus en phase avec ses représentants, il est difficile, sur un sujet sensible et qui pourtant concerne son présent et son avenir, de porter une parole documentée, indépendante, aussi impartiale que possible, qui donne les sources de ses données et explicite sa démarche."

    Michel Janva

  • Migrants clandestins : l’invasion de l’Europe

     Est présentée ici la situation actualisée de l’immigration en France, un phénomène absolument pas contrôlé, qui n’est déjà plus maîtrisable.

    Guillaume Faye fournit les chiffres du flux des immigrés irréguliers, des opérations de la police qui ne peut plus faire face, du coût des hébergements, de celui de la charge médicale… Quelle sera l’issue ? Quelles sont les dispositions envisagées par le gouvernement hormis celles de « laisser faire » et de saigner à blanc les pauvres Français qui n’y peuvent mais ?

    Polémia

    La France (comme l’Union européenne) est une passoire. L’année 2014 aura vu une aggravation brutale des flux d’immigrés illégaux, vrais ou faux réfugiés, les seconds étant nettement plus nombreux. Nous vivons une crise migratoire majeure qui surpasse en intensité la vague du « Printemps arabe » de 2011.

    Les flux de clandestins explosent. C’est d’une véritable invasion qu’il s’agit. Prélude à une submersion ? En face, aucune résistance : l’agence Frontex de protection des frontières ne sert rigoureusement à rien, les lobbies pro-immigration (No Borders, etc.), épaulés par l’Église et les médias, désarment toutes les résistances par leur matraquage idéologique. De plus, mieux traités et mieux soignés que des Français de souche pauvres, les « invisibles », les migrants illégaux se savent pratiquement inexpulsables. La pompe aspirante de l’immigration clandestine fonctionne à plein régime et s’emballe. Surtout depuis que le chaos s’installe en Afrique et dans tout le Moyen-Orient.

    La déferlante

    De janvier à fin septembre 2014, 100.000 clandestins sont entrés en France par la frontière italienne ! A Menton, la police submergée voit arriver 10.000 clandestins par mois ; elle en refoule 4.000, qui reviennent. Sur la Côte d’Azur, la police a procédé à 19.000 interpellations depuis le début de l’année. Brièvement incarcérés, ils sont tous ensuite relâchés dans la nature, du fait du laxisme et de la complexité procédurale ubuesque du droit français. Sans compter ceux qui arrivent par les aéroports.

    De l’île de Lampedusa à l’archipel du Dodécanèse (+223% d’arrivants clandestins en 2014) sans oublier Gibraltar, la façade méditerranéenne de l’Europe est le théâtre d’une véritable invasion déferlante qui s’amplifie chaque année. La prophétie de Jean Raspail, dans Le Camp des Saints, se réalise exactement.

    Beaucoup de migrants clandestins gagnent l’Allemagne ou la Suède. La première a fait face en 2014 à 200.000 demandes d’asile, contre 50.000 en 2011 ; la seconde, qui n’a que 9 millions d’habitants, a géré cette année 80.000 demandeurs du statut de réfugié. En France, de 67.000 demandes d’asile en 2013, on passera à 80.000 cette année. Et partout, ils savent qu’ils ne seront jamais expulsés. Les « reconductions à la frontière », en réalité très minoritaires, se soldent en général par des retours.

    Sur les 40.000 déboutés annuels du droit d’asile (on en sera à 50.000 cette année) l’immense majorité reste sur le territoire. Après la vague des Tunisiens, voici les Libyens, les Érythréens, les Soudanais et les Syriens, qui arrivent souvent par familles entières. Sans compter les migrants d’Afrique centrale et de l’Ouest, toujours plus nombreux. Même les Chinois et divers Asiatiques s’y mettent. Tout le monde, en somme.

    L’impuissance à endiguer le flux invasif

    Le dispositif Frontex de protection des frontières de l’UE est un échec retentissant. L’opération Mare Nostrum (qui a été remplacée par l’opération Triton en novembre, changement magique de dénomination) de surveillance des côtes méditerranéennes de l’UE n’est pas du tout une protection ni une dissuasion, mais une opération de sauvetage en mer. 70.000 migrants clandestins ont été sauvés de la noyade en 10 mois ! Ce qui encourage les passeurs à augmenter encore les traversées. C’est « un pont vers l’Europe », a déclaré le ministre de l’Intérieur italien.

    Sur la côte d’Azur, l’administration truque les chiffres des entrées clandestines. La police débordée procède à 150 interpellations par jour. Les clandestins ne retournent jamais en Italie et finissent par être relâchés au bout de 4h de garde à vue : ils sont LAP, (libres après procédure). Les OQTF (Obligation de quitter le territoire français) ne sont d’aucune valeur ; et les RLT (Remises à la limite du territoire, c’est à dire les reconductions à la frontière italienne) se traduisent par des retours dans 100% des cas. L’impuissance est totale et les clandestins le savent bien. L’invasion est autorisée, pourquoi se gêner ?

    Un gouffre financier

    A la charge financière énorme, au boulet que représente l’immigration au sens large (voir autres articles de ce blog), même légale ou naturalisée, s’ajoute le coût des clandestins, qui explose. Sur 47.000 places d’hébergement d’urgence disponibles, 22.000 sont des nuits d’hôtels, au prix astronomique, supporté par le budget de l’Etat déficitaire. Le clandestin est beaucoup mieux traité qu’un Français de souche qui perd son traitement et son logis ; il ne risque pas de se retrouver à la rue, lui ! Il en est de même pour la prise en charge médicale et hospitalière.

    Il s’agit de l’Aide médicale d’État (AME), ce dispositif unique au monde, qui est un scandale. Elle assure aux clandestins étrangers une couverture médicale complète dont ne bénéficient pas des millions de Français non-fonctionnaires qui ont pourtant cotisé toute leur vie.

    L’AME a coûté 744 millions d’euros en 2013, en augmentation constante (dérapage), vu l’accroissement des arrivées de clandestins. A mettre en parallèle avec les 700 millions qui ont été retirés des prestations familiales aux Français. A ajouter : un surcoût de 350 millions d’euros dus aux centres d’hébergement d’urgence, aux allocations temporaires d’attente et aux frais d’hôtels pour les (faux) réfugiés demandeurs d’asile. En tout, le coût des sans-papiers dépasse le milliard d’euros annuel. Et le gouvernement a décidé pour 2015 d’augmenter encore les crédits de l’AME de 73 millions d’euros. Rien n’est trop beau ni trop généreux pour les clandestins. L’AME bénéficie déjà à près de 300.000 étrangers irréguliers.

    Sans compter les innombrables fraudes à l’hospitalisation ou à le revente des médicaments obtenus gratuitement en pharmacie par les clandestins. Mais on leur pardonne, ils savent qu’ils ne seront jamais poursuivis. Pourquoi se gêner ?

    Et la criminalité suit

    L’afflux incontrôlé de clandestins fait mécaniquement augmenter la criminalité. Celle-ci déferle d’autant plus facilement que Mme Taubira est en train de déconstruire sciemment l’appareil pénal répressif, ce qui se sait partout. Le clandestin qui arrive en France sait parfaitement non seulement qu’il sera pratiquement inexpulsable et aidé mais que règne un laxisme pénal et judiciaire unique au monde qui laisse pratiquement impunis les exactions et trafics divers.

    Dans le Nord et sur la Côte d’Azur, on est obligé d’envoyer CRS et gendarmes mobiles pour épauler la police découragée et submergée et tenter de parer à la délinquance endémique des clandestins. Un escadron de gendarmes mobiles coûte 21.000 € par jour en logement hôtelier. A Calais, selon les syndicats de police, on a dénombré de juillet à septembre 2014, 80 crimes et délits, contre 7 pendant la même période de 2013 ! En région parisienne, depuis les vagues d’arrivées de Tunisiens clandestins en 2011, on note une augmentation de la criminalité.

     Guillaume Faye, 15/10/2014 Source : Blog de Guillaume Faye

    http://www.polemia.com/migrants-clandestins-linvasion-de-leurope/

  • France: 12 millions d'immigrés et d'enfants d'immigrés

    Selon l'Insee, la deuxième génération est plus importante en nombre que la première. Une situation originale en Europe. 

    C'est une position originale en Europe: en France, les descendants d'immigrés sont plus nombreux que les immigrés. Selon l'étude «Immigrés et descendants d'immigrés en France», publiée ce mercredi par l'Insee (Institut national de la statistique et des études économiques), plus de 5,3 millions d'immigrés vivaient en France en 2008, les deux tiers natifs de pays hors UE. Leurs descendants sont près de 6,7 millions, soit 11% de la population. Au total, plus de 7 millions de personnes nées à l'étranger résident en France.

    «Jusque dans les années 1970, l'immigration est surtout économique, plutôt masculine et reste principalement limitée à cinq origines (Algérie, Espagne, Italie, Maroc et Portugal), note Gérard Bouvier, chef de division au sein du département des statistiques, des études et de la documentation du Secrétariat général à l'immigration et à l'intégration. Puis, l'immigration change avec les motivations des immigrés: de plus en plus de femmes, et une immigration familiale qui signifie l'installation définitive en France, et qui favorise la constitution d'une population de descendants d'immigrés». Tandis que s'opère une diversification des origines, avec notamment une forte croissance de l'immigration d'origine africaine (hors Maghreb), turque et chinoise, la part des immigrés dans la population augmente à nouveau: elle représentait 8,4% en 2008. 

    «Depuis les années 2000, les flux annuels d'immigration sont un peu plus faibles en France que dans les principaux pays européens, poursuit Gérard Bouvier. Cette relative faiblesse, combinée à l'ancienneté de l'immigration, place la France un peu en deçà de la plupart de ses voisins au regard des personnes nées à l'étranger». En revanche, la France figure parmi les pays où la «deuxième génération» est la plus présente, tant en proportion (13,5% des 25-54 ans) qu'en nombre. 

    Dans les zones frontalières, urbanisées et industrielles 

    La première caractéristique de cette «deuxième génération» est sa jeunesse. Les moins de 35 ans représentent plus de 40% des descendants d'immigrés adultes, contre un quart pour les «ni immigrés, ni descendants d'immigrés». 

    La moyenne 2005-2010 des premiers titres de séjour délivrés à des étrangers est de l'ordre de 190 000 par an. Hormis les étudiants (environ 60.000 en 2010), il s'agit de «migration familiale» (85.000), de migrants économiques (20.000) et d'environ 10.000 réfugiés. Parmi ces 190.000 nouveaux bénéficiaires de titres de séjour, quelque 100.000 personnes -des ressortissants de «pays tiers» s'installant durablement en France- signent un Contrat d'accueil et d'intégration (CAI). Ce contrat entre l'État et le nouvel arrivant, qui propose par exemple des formations linguistiques, est très majoritairement délivré au titre de la migration familiale (73%). Moins d'un titre sur dix est accordé pour motif professionnel. 

    Où s'installent ces immigrés? Principalement dans les zones frontalières et les régions urbanisées et industrielles. Quelque 43% des immigrés et 32% de leurs descendants résident en Ile-de-France, alors que la population francilienne ne représente que 18% de la population totale. La part des immigrés dans la population active est également supérieure à la moyenne (entre 10 et 20%) dans les régions du Sud-Est (Paca, Languedoc-Roussillon, Corse) et en Alsace. 

    L'Afrique en hausse 

    Du milieu des années 1970 au début des années 2000, souligne l'étude de l'Insee, la part des immigrés en France est restée proche de 7,5% de la population totale. Ce chiffre, stable avant de passer à 8,4% en 2008, cache pourtant de multiples évolutions. 

    Entre 1975 et 2008, la part des immigrés venus de l'ensemble de l'Europe a constamment diminué, passant de 66% à 38%. Une grande partie des travailleurs venus d'Espagne, d'Italie ou du Portugal sont rentrés chez eux. Depuis 1999, on note également une diversification des pays d'origine européens: le nombre de natifs du Royaume-Uni a augmenté de 73.000, de Serbie de 51.000 et de Russie de 40.000. 

    L'immigration en provenance du Maghreb s'est elle aussi considérablement développée. De 554.000 en 1975, le nombre d'Algériens a augmenté de 28%, pour atteindre 710.000 en 2008. L'immigration marocaine a presque triplé depuis 1975: les Marocains constituent désormais 12% de la population immigrée. Celle des autres pays d'Afrique est plus récente. Si elle ne représente aujourd'hui qu'un huitième de la population étrangère, elle a contribué à raison d'un quart à son accroissement depuis 1999. Il s'agit principalement de Camerounais, d'Ivoiriens et de ressortissants de la République démocratique du Congo. 

    En ce qui concerne l'Asie, l'immigration en provenance des pays autres que Cambodge, Laos et Vietnam - dont les ressortissants étaient arrivés pour l'essentiel à la fin des années 1970 - a bondi de 51% entre 1999 et 2008. L'immigration d'origine asiatique est aujourd'hui principalement d'origine turque et chinoise. Le nombre de nouveaux arrivants natifs de Chine a plus que doublé depuis 1999, pour atteindre 80.000 en 2008.

    Le poids de l'histoire 

    En 2008, 3,7 millions d'étrangers et 5,3 millions d'immigrés, selon la définition proposée par l'Insee dans son rapport ont été recensés en France. Quatre immigrés sur dix avaient déjà acquis la nationalité française. 

    L'étude porte également sur les descendants directs d'immigrés, ayant au moins un parent immigré. Fin 2008, parmi les plus de 18 ans résidant en France, 4,5 millions de personnes correspondent à cette définition. Parmi les enfants mineurs nés en France, 2,1 millions vivent dans une famille dont au moins un des parents est immigré. Au total, l'Insee estime donc à environ 6,7 millions de personnes le nombre de descendants directs d'immigrés nés en France, soit 11% de la population. 

    La part, dans l'Hexagone, des résidents nés à l'étranger est également d'environ 11%. Cela situe la France, comme d'autres grands pays européens (Allemagne ou Royaume-Uni), et les États-Unis, dans une position médiane. C'est bien moins que dans certains États comme l'Australie, le Canada, le Luxembourg ou encore la Suisse. Mais c'est beaucoup plus que dans bien des pays d'Amérique du Sud ou les géants asiatiques (Chine, Inde, Japon). 

    En Europe, les liens géographiques et historiques sont déterminants : la quasi-totalité des immigrés algériens, par exemple, se retrouvent en France, tandis que les Turcs ont choisi l'Allemagne. Le Royaume-Uni connaît un changement important: alors que ses habitants sont nombreux à être nés en Irlande, en Inde ou au Pakistan, on enregistre depuis 2004 des arrivées importantes de Polonais. 

    Entre 2004 et 2008, le flux annuel de personnes ayant migré pour s'installer dans un pays de l'Union européenne, qu'elles aient la nationalité d'un pays communautaire ou non, est d'environ 3,5 millions.

    Source

    http://www.oragesdacier.info/2014/10/france-12-millions-dimmigres-et.html

  • Nadine Morano, coupable d’avoir voulu faire respecter la loi

    Nous demandons simplement que la loi interdisant le port du voile intégral - rendue le 1er juillet 2014 par la Cour européenne des droits de l'homme - soit appliquée... mais leur mépris à tous est total.   

    Nadine Morano, c’est l’enfant terrible de la République et certainement le cauchemar de l’UMP. Nadine Morano, c’est une ex-ministre que la vue d’une femme voilée sur une plage, dans la France de 2014, offusque. Et qui, à cette occasion, se fera tancer par Abdallah Zekri, le président de l’Observatoire national contre l’islamophobie au Conseil français du culte musulman. M.Zekri, ancien membre de l’UMP, qu’il a quittée « après avoir senti monter des discours racistes et de haine. » Rien que cela.

    Madame Morano vient d’aggraver son cas. En cause ? Un tweet posté sur le vif. Ce mardi, la vue d’une femme en burqa, gare de l’Est, a profondément irrité l’élue de la République. Interpellant alors cette personne pour lui rappeler la loi, la burqa passa son chemin « dans le mépris le plus total», selon les mots de la députée sur Twitter.

    Lire la suite

  • Allemagne : les hooligans veulent « chasser les djihadistes »

    En Allemagne, le phénomène inquiète : des hooligans de plusieurs clubs enterrent leurs différences pour «combattre» ensemble les islamistes radicaux.

    Nombre de ces hooligans sont affiliés à des partis d’extrême droite, qui soutiennent leur rhétorique islamophobe depuis longtemps. Mais récemment, c’est le mode d’action qui a changé, relate le journal allemandDie Zeit.

    D’habitude peu organisés, les hooligans cherchent désormais de nouvelles formes de protestation. Pour Erich Rettinghaus, chef du syndicat de la police de Rhénanie-du-Nord-Westphalie cité par le journal Kölner Stadt-Anzeiger: «Les fans de foot capitalisent sur la fenêtre d’opportunité et se font passer pour des gens bien afin de rallier plus de monde à leur causes», par le biais, notamment, de manifestations.

    «Hooligans Contre Salafistes»

    Le mouvement «Hooligans Contres les Salafistes» (HoGeSa) est entre autre porté par Dominik Horst Roseseler, un membre du parti d’extrême droite Pro-NRW (ndlr: les initiales du land Nordrhein-Westfalen). Son mot d’ordre: «Séparés par les couleurs, unis pour la cause», explique Die Welt.

    Les forces de l’ordre s’intéressent de près à une manifestation prévue à Cologne le 26 octobre prochain. Trois cents participants sont prévus, mais ils pourraient être beaucoup plus nombreux compte tenu de la popularité du hashtag #HoGeSa sur les réseaux sociaux. Une contre-manifestation «anti-fasciste» s’organise actuellement sur Twitter.

    Les combats de rue entre hooligans et islamistes radicaux sont d’ores et déjà redoutés par la police, qui est en état d’alerte – A Hambourg, une manifestation pro-kurde avait déjà tourné à l’émeute le 8 octobre suite à un face à face avec des islamistes radicaux.

    Source : lematin.ch

    http://www.contre-info.com/allemagne-les-hooligans-veulent-chasser-les-djihadistes

  • Ne parlez pas du Coran, lisez-le !

    Magistral article en accès libre de notre confrère Politique Magazine :

    "Notre Premier Ministre a récemment déclaré que l’islam était une « religion de tolérance, de respect, de lumière et d’avenir. » Puisqu’il est apparemment versé en théologie, nous aimerions obtenir de Manuel Valls un petit commentaire des versets suivants du Coran :

    • XLVII, 4 : Lorsque vous rencontrez ceux qui ont mécru, frappez-les à la gorge.
    • IX, 5 : Quand les mois sacrés seront expirés, tuez les infidèles où que vous les trouviez !
    • VIII, 39 : Combattez-les jusqu’à ce que la religion soit entièrement à Allah !
    • VIII, 67 : Un prophète ne devrait pas faire de prisonniers avant d’avoir prévalu sur la terre.
    • IX, 73 : Ô Prophète, mène le combat (jihâd) contre les infidèles et les hypocrites, et sois dur à leur égard.
    • IX, 30 : Les chrétiens disent : « le Christ est le fils d’Allah » –qu’Allah les anéantisse !

    Normalement, à ce moment précis de l’exposé, je suis interrompu par une voix qui dit : « Oui, mais si tu veux aller par là, dans toutes les religions on trouve des appels au meurtre ! » Je lance donc un grand jeu-concours : trois kilos de cochonnaille à celui qui trouve un seul verset de l’Évangile qui invite les chrétiens à tuer les incroyants pour accélérer l’expansion du christianisme. Derrière l’objection de la petite voix, on trouve le préjugé contemporain typique selon lequel toutes les religions sont également bonnes sauf quand elles sont appliquées à fond (version G.L.F.), ou toutes également mauvaises mais tolérables quand elles sont peu appliquées (version G.O.F.). Le problème est que la religion chrétienne appliquée à fond consiste à imiter Jésus-Christ, qui est mort crucifié en pardonnant à ses bourreaux, tandis qu’appliquer l’islam consiste à imiter Mahomet, chef de guerre qui, entre autres choses, égorgeait les infidèles de ses propres mains. Les religions ne se ressemblent pas. C’est ainsi. Que la plupart des musulmans vaillent infiniment mieux que leur religion (qu’ils ignorent bien souvent, et appliquent assez mollement), nous n’en doutons pas. Mais c’est une autre question. Notre problème, ce sont ceux qui l’appliquent sérieusement.

    Avant de se jeter dans la consultation fébrile des évangiles pour y chercher des versets homicides, mon objecteur tentera sans doute une parade : « Bon d’accord, mais tu extrais trois versets du Coran, qui est un livre de 600 pages, c’est un peu facile. » Ici, pas de jeu-concours, je donne la réponse d’entrée : sur les 6236 versets que compte le Coran, 800 sont des injures et des malédictions contre les Juifs, les Chrétiens, les infidèles en général, ou encore des appels à la guerre, au meurtre, à la mutilation. Faites l’expérience : ouvrez le Coran à n’importe quelle page, vous trouverez une malédiction et une ou deux menaces de « châtiment humiliant » et de « punition avilissante » (crucifixion, amputation, eau bouillante, coups de fouet). Cela représente donc environ 13% du texte total ! Pour trouver un tel degré d’agressivité dans un livre, il faut se tourner vers la propagande politique. Et encore.

    Et maintenant, venons-en au cœur du problème.

    Lire la suite "Ne parlez pas du Coran, lisez-le !"

    Paula Corbulon