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immigration - Page 1462

  • La grande illusion de l’intégrationnisme / assimillationnisme par André WAROCH

     Je ne veux faire ni du verbiage mondain, ni de la masturbation intellectuelle, mais mettre en garde contre ceux, à l’intérieur de la grande famille de pensée de ce que j’appellerais la droite « anti-système » (dont les membres n’ont guère en fait comme points communs que d’être interdits dans les médias et d’être foncièrement hostiles à l’immigration islamique – le deuxième étant la conséquence du premier) qui proposent des « solutions » qui n’en sont pas, qui ne peuvent pas en être, et qui pourraient même accélérer le point de non-retour, à partir duquel les autochtones auront perdu la maîtrise des derniers leviers de commande qui leur permettent de décider du destin de leur pays.

     

    Claude Reichman, qui tient une émission sur Radio-Courtoisie, affirme qu’il ne faut pas fantasmer au sujet des « Français de papier » musulmans, que nous ne les rejetterons pas à la mer. Il affirme que la solution aux maux des banlieues passe d’abord bien par une répression accrue, et ensuite une révolution libérale qui profiterait à tout le pays, et sortirait les habitants de ces quartiers de la misère dans laquelle ils se trouvent. Il prenait pour exemple les États-Unis et la minorité noire.

     

    Ce raisonnement est faux, et dangereux.

     

    Mettons une chose au point : les islamistes ne sont impliqués, ni de près ni de loin, dans les émeutes de 2005. Les émeutiers en question ne sont contrôlés par personne, il n’y a pas eu de concertation, aucun plan, aucune stratégie. Il s’agit de minables, stupides mais très dangereux face à un État qui n’ose pas exercer à leur encontre la répression qui s’imposerait.

     

    Il s’agit de l’aboutissement de la première phase de l’islamisation exponentielle de la société française à laquelle nous assistons depuis trente ans, c’est-à-dire une islamisation de peuplement, qui a préparé le terrain de la deuxième phase. L’organisation méthodique de cette islamisation, la prise en main de cette population décérébrée par les imams de France et de Navarre. Eux ont un projet global, un projet théocratique, une volonté tout à fait consciente d’éradiquer les sociétés non-musulmanes. Cette islamisation aura lieu, avec ou sans répression, avec ou sans décollage économique qui réduirait les inégalités et la paupérisation des quartiers populaires.

     

    Au moment des émeutes, Paul-Marie Coûteaux, un des principaux dirigeants du parti de Philippe de Villiers,  s’offusquait que, lors de la manifestation M.P.F. à laquelle il avait participé devant l’Assemblée nationale (votre serviteur y était également), des sympathisants lui aient affirmé vouloir qu’on enlève la nationalité française aux émeutiers d’origine étrangère. Paul-Marie Couteaux, ponte du M.P.F., a la théorie suivante : si les immigrés, musulmans ou non, ne s’assimilent pas, c’est parce que la France a honte d’elle-même, que ses élites médiatiques et politiques font l’apologie de la haine de la France, dénigrent sa culture, son histoire. Soyons de nouveau fiers de nous-mêmes, et les immigrés, y compris musulmans, n’hésiteront plus à abandonner leur identité d’origine pour se revendiquer de cette identité française redevenue la fierté du pays.

     

    Cette théorie est peut-être valide pour ce qui concerne les Portugais ou les Asiatiques, sûrement pas concernant les musulmans. Je trouve même hallucinant qu’un député européen du M.P.F., parti qui a fait  de la lutte contre l’islamisation de la France son cheval de bataille, tienne un raisonnement aussi stupide.

     

    Que chacun se mette bien ceci dans le crâne. Tout pays abritant une minorité significative de musulmans s’expose à des problèmes gravissimes, touchant à l’intégrité même de son territoire, et le degré de nationalisme n’a rien à voir là-dedans. Je vais de nouveau citer cette phrase de l’ancien président bosniaque, Alia Itzetbegobic, grand ami de B.H.L., coqueluche des médias occidentaux au moment de la guerre, présenté comme un modéré, comme un partisan du multiculturalisme : « Il n’y a pas de paix, ni de coexistence possible entre la religion islamique et les institutions politiques et sociales non-islamiques ».

     

    Si Monsieur Paul-Marie Coûteaux prenait cinq minutes de son temps pour s’intéresser aux problèmes intérieurs de la Chine ou de l’Inde, il découvrirait que ces pays ont beau être farouchement nationalistes, revendiquer haut et fort leur identité, leur histoire, la beauté (voire, pour la Chine, la supériorité) de leur culture, ils doivent faire face, tous deux, à une impitoyable guerre civile menée par les guerriers du Djihad, au Cachemire pour l’Inde, dans la province autonome du Xinjiang pour la Chine. Ces terroristes s’appuient, qu’on le veuille ou non, sur le soutien actif ou passif de la population dont ils sont issus, c’est-à-dire la minorité musulmane, majoritaire dans les régions concernées.

     

    Tant qu’il y aura en France des millions de musulmans, il y aura une menace absolument mortelle pour notre société, pour nos valeurs, et finalement pour notre droit à rester libre chez nous. À terme, il faudra bien envisager une solution qui est pour l’instant encore impensable pour beaucoup, même chez ceux qui font de la lutte contre l’islamisation leur combat principal.

     

    Cette solution, c’est le rapatriement dans leur pays d’origine de l’ensemble des populations musulmanes, avec interdiction nécessaire, au moins temporairement, de la pratique de l’islam pour le petit nombre qui sera resté, et qui aura impérativement du prouver son assimilation à la civilisation européenne, ce qui comprend par définition l’abandon de la religion islamique.

     

    André Waroch http://www.europemaxima.com

  • Quelques échos de « la France d’après »

    Un petit coup d’oeil à trois extrémités de notre doux pays, pour observer l’actualité locale.

    Dans la belle Alsace : une émeute a lieu à Wittelsheim dans la nuit de jeudi à vendredi. « Un groupe de jeunes » a brûlé des voitures puis caillassé les pompiers venus sur place. Se déplaçant, ils sont ensuite allés sur un pont et ont « jeté des pavés et des pierres » sur une route très fréquentée. Les policiers ont du couper la circulation puis appeler des renforts pour « pacifier la zone ». Aucune arrestation cette nuit-là.
    Les raisons de la colère des « jeunes » ? 5 de leurs congénères avaient été interpellés quelques jours plus tôt, pour une histoire de viol collectif sur une fille de moins de 15 ans…. (source)

    En Flandres, la boulangerie de la place de Béthune à Lille existe depuis 500 ans. La semaine prochaine, Myriam et Alain Sieuw arrêtent. C’est un kebab qui prend le relais. (source)

    A Avignon, a lieu un procès avec des jeunes immigrés. Les plus malchanceux d’entre eux vont s’en tirer avec quelques mois de prison, qu’ils ne feront probablement pas.
    « Le 7 janvier 2009, Serge Juillard, qui rentrait chez lui a été ralenti par un embouteillage dû à la neige. Au niveau de la Barbière, des jeunes de la cité s’amusaient à lancer sur les voitures des boules de neige « farcies avec des pierres ». Après avoir entendu un choc, M. Juillard est sorti constater les dégâts. Il a alors été victime d’une agression sauvage. Une dizaine de jeunes l’ont insulté, fait chuter au sol et l’ont passé à tabac. »
    Il lui ont baissé son pantalon pour mieux le frapper dans les parties génitales. Ils le maintenaient écartelé pour mieux le frapper à coup de barres de fer, en commençant par la tête.
    « J’ai essayé de faire le mort mais vous savez c’est difficile », témoigne avec une vive émotion M. Juillard, aujourd’hui cloué dans un fauteuil roulant. « Ils m’ont bourré la bouche avec de la neige, j’arrivais plus à respirer. » « Aujourd’hui, son quotidien, ce sont des crises et des souffrances terribles qu’il soulage avec de la morphine et le soutien indéfectible de son épouse.  »
    Une dizaine de suspects ont été interpellés mais seulement trois ont été renvoyés devant le tribunal pour enfants. (source)
    Notons que la motivation « raciale » – si souvent invoquée contre des Français -, n’a pas été retenue par la « justice » dans cette affaire.
    Pourtant, les mots dont se souvient la victime et qui résonnent encore dans sa tête sont « Finissons cette face de craie »

    A quand la révolution nationaliste ?!

    http://www.contre-info.com/

  • Pourquoi le racisme anti-blancs est-il désormais au cœur du combat de la Licra ? par Gérald Pichon

    PARIS (NOVOpress) Comme il l’indique dans Sale Blanc ! Chronique d’une haine qui n’existe pas, Gérald Pichon explique qu’après avoir été le grand tabou des médias et des politiques le racisme anti-blancs devient désormais l’objet d’une récupération politicienne mais aussi par des associations « antiracistes ». Une récupération dont les vraies victimes de cette haine, les Français de souche européenne, feraient les frais…

    Le 47ème congrès de la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (Licra) sera consacré cette année à la « Nouvelle Donne contre le racisme et l’antisémitisme ». Nouvelle donne car, comme l’explique son président, Alain Jakubowicz, le combat antiraciste doit s’adapter « à l’évolution de la société » avec la fin de l’idéologie antiraciste de l’après guerre qui a formaté plusieurs générations élevées « avec l’idée que les minorités étaient consubstantiellement victimes » et « que les racistes et les antisémites étaient blancs, chrétiens et de droite. Tout ça a complètement explosé » (Actualité juive n°1245).

    Le raciste était forcément français/blanc
    La Licra s’apprête donc à opérer un virage important dans ses convictions idéologiques, elle dont l’ancien président, Jean Pierre-Bloch, déclarait en 1988 que « s’il s’agit de crimes, il y a en effet deux vitesses : quand le travailleur immigré tue un Français, il ne le tue pas parce qu’il est français et blanc mais parce qu’il veut le voler. Quand un Français tue un immigré, il le tue parce qu’il est arabe ou immigré. Et c’est là le racisme » (La France et ses immigrés, Ménie Grégoire). Il figeait ainsi pendant des décennies sur les tables de lois de la pensée unique, la vision manichéenne du Blanc forcément raciste et des extra-Européens forcément victimes.

    La Licra s’adapte au glissement politique vers la droite de la communauté juive
    Se déclarant désormais apolitique et ouverte à tous, la Licra est la continuité de la LICA (Ligue internationale contre l’antisémitisme, le changement de nom date de 1979), « un groupement juif à vocation unitaire fortement ancré à gauche » (Des hommes libres : Histoires extraordinaires de l’histoire de la Licra, Jean-Perre Allali-Haim Miscant). Mais à mesure que la communauté juive a glissé vers la droite, la Licra s’est adaptée à cette nouvelle donne, quitte à changer son fusil d’épaule en dénonçant non plus l’antisémitisme d’extrême droite, mais celui arabo-musulman et le silence complice de la gauche.

    L’électrochoc de la seconde Intifada
    Jusqu’à la fin des années 1990, la communauté juive a « toujours massivement soutenu la gauche : 43% des juifs votent pour les socialistes, 1% pour l’extrême gauche, 41% se définissaient au centre et 14% de droite, enfin 1% d’extrême droite. » (OPA sur les juifs de France, Cecilia Gabizon-Johan Weisz). La deuxième Intifada en octobre 2000 se solde par 120 actions violentes (synagogues incendiées, agressions, etc) contre des cibles juives (en 1999 : 9).

    La communauté juive se sent abandonnée face aux musulmans
    Plus que la violence, c’est le silence de la classe politique de gauche qui entraîne un sentiment d’abandon de la communauté juive, se sentant trahie au profit des Arabo-Musulmans. L’idée est que le rapport du nombre jouerait en la défaveur des juifs de France. « Le côté démographique ne sera pas à notre avantage. Est-ce qu’on veut se battre contre des gens cent fois plus nombreux que nous ? (…) Est-ce que nous devons subir le fait qu’il y a cinq, sept voire millions de musulmans en France », déclare Serge Hajdenberg, président-fondateur de Radio J en 2004 lors d’une conférence sur « l’avenir des juifs de France » (OPA sur les juifs de France, Cecilia Gabizon-Johan Weisz).

    La recherche de nouvelles alliances : Occident contre islamistes
    Au début des années 2000, une partie de la communauté juive va chercher de nouvelles alliances auprès de la droite, voire même de l’extrême droite. Au nom de la lutte contre l’islamisme (« ici comme en Israël ») et de la défense de l’Occident (Europe+Israël+Etats-Unis), de nouvelles personnalités vont dépasser par la droite les instances communautaires et obtenir une écoute attentive de la part des juifs des classes populaires.

    Le rôle de Gilles-William Goldnadel
    Gilles-William Goldnadel est l’une d’entre elles. Issu des milieux souverainistes et s’assumant en « juif de combat » qui « défend Israël de manière tribale », il va faire converger la lutte contre l’antisémitisme à la lutte contre le racisme anti-blancs. Pour l’auteur de Réflexions sur la question blanche : Du racisme blanc au racisme anti-blanc, « Israël, avec Tsahal, est devenu pour son malheur médiatique le dernier des maudits Blancs. Un Blanc au carré ! Le drame du Juif, c’est sa boiterie face à l’histoire : à l’époque du nationalisme triomphant, il était apatride, et voilà qu’à l’heure du “dénationalisme” il est celui qui défend bec et ongles un Etat-nation occidental. L’anachronisme juif ! Là est le vertige : j’ose suggérer que, pendant que le Blanc se faisait juif par tropisme victimaire, le Juif – l’Israélien et, par procuration, tous les autres -, se faisait blanc. »

    Un mouvement sioniste de gauche lance le débat médiatiques sur les « ratonnades anti-Blancs »
    En mars 2005, les manifestations lycéennes en plein cœur de Paris sont attaquées par des bandes ethniques agressant et lynchant des manifestants à cause de la blancheur de leur peau. Le nombre de victimes comme la violence des agressions obligent, pour la première fois, les médias, comme le quotidien Le Monde, a évoqué ce tabou. Pour dénoncer ces « ratonnades anti-blancs », le mouvement « juif, sioniste et socialiste » Hachomer Hatzaïr et la radio communautaire Radio Shalom lancent un appel signé par plusieurs personnalités pour dénoncer le fait que « des lycéens, souvent seuls, sont jetés au sol, battus, volés et leurs agresseurs affirment, le sourire aux lèvres : “parce qu’ils sont Français”. (…) On a parlé de David, on a parlé de Kader mais qui parle de Sébastien ? »

    Pourquoi cette prise en compte de la haine antiblanche ?
    Voici par ordre d’importance les motivations poussant les instances communautaires à faire cet aggiornamento idéologique :

    1. Garder une crédibilité face au caractère massif du phénomène de la haine antiblanche
    2. Pour contrecarrer le sentiment d’abandon et face à l’éclatement communautaire français, chercher des alliés.
    3. Associer Israël. Faire passer cette idée : les Israéliens et les Gaulois ont le même ennemi.

    Gérald Pichon http://fr.novopress.info/

  • Femmes européennes : Le tabou des viols racistes

    Auteur de « Sale Blanc ! Chronique d’une haine qui n’existe pas », Gérald Pichon revient longuement dans son ouvrage sur les viols racistes dont sont victimes les femmes européennes. Car « trop blanches » pour être entendues et « trop seules » pour être défendues, elles sont des proies faciles pour les bandes ethniques.

    Quand on traite ce genre de sujet, il faut éviter de tomber dans le fantasme et voir des motivations racistes à l’encontre des «Gauloises », chaque fois qu’un de ces actes ignobles se produit. Majoritairement, les viols se déroulent en effet dans un cadre familial ou entres membre d’une même communauté. Mais on ne peut pas nier que certains violeurs s’en prennent aux femmes blanches avec des motivations clairement racistes, notamment lors des fameuses « tournantes », mot de la novlangue médiatique pour cacher le véritable terme de viol collectif.

    Le tabou des babtous

    D’ailleurs, les viols racistes en Europe pourraient être définis comme le tabou dans le tabou de la haine antiblanche. Il est en effet impossible d’avoir des chiffres officiels, aucun homme politique et aucun média en France n’a évoqué ce sujet. Et pourtant… En se basant sur la face émergée des faits divers dont les journaux se font écho, on peut estimer à plusieurs milliers le nombre de femmes européennes violées chaque année à cause de la blancheur de leur peau.

    Trop blanches

    Depuis le début des années 1990, on assiste à une explosion du nombre de viols, notamment des viols collectifs, aggravés souvent « d’actes de barbarie : séquestration, coups, brûlures », comme pour humilier encore plus les victimes. Mais aucune statistique ethnique des violées n’est venue infirmer ou confirmer la déclaration de Julien Dray, fondateur de Sos Racisme et porte-parole du PS, sur le fait que les « incendies de voitures, rackets, viols. Les violences prennent de préférence pour cibles les “Babtous“, c’est-à-dire les Blancs. » (livre : Etat de violence).

    Par contre, l’origine communautaire des violeurs est connue grâce à une étude du docteur Patrice Huerre. Selon « un échantillon de 52 expertises psychiatriques portant exclusivement sur des auteurs de viols, agressions et attentats à la pudeur commis en réunion », les auteurs étaient à « 52% originaires des pays du Maghreb, 20% d’Afrique noire, le restant des sujets étant issu de familles d’origine française ».

    Trop seules

    Car ce que les Français de souche et les Européens ont oublié, c’est que le bien le plus précieux d’un peuple ce sont ses femmes. Et comme leur communauté est incapable de les défendre, bon nombre de « Gauloises » sont la proie des prédateurs. Comme Laëtitia, habitante de la cité des Minguettes à Vénissieux, qui déclara dans un reportage du journal de 20h de TF1 avoir peur d’être « victime d’une tournante », car elle s’estimait « être une proie facile » en tant que « Française », avant d’ajouter « qu’elle aurait aimé être une Maghrébine et avoir un grand frère » pour « avoir du respect ».

    Et ce cas n’est pas isolé, car les filles que leur clan et leur communauté ne protègent pas sont réellement en danger. Corinne, blonde aux yeux clairs, interrogée par le quotidien Le Figaro, fait la même réflexion : se convertir à l’islam « pour avoir la paix ». Car, comme le note la journaliste « les Gauloises » sont « considérées comme des filles faciles », et « subissent un véritable racisme ».

    Il viole 15 femmes pour « humilier les Blancs »

    Le magazine Envoyé Spécial avait suivi il y a quelques années le procès de victimes d’un violeur en série. Dans ce reportage, on apprenait 2 choses : la première, que le violeur, un jeune Africain, avait violé 15 jeunes filles blanches et blondes à cause de la couleur de leur peau et la deuxième, on l’entendait lors du procès déclarer textuellement qu’il agissait  pour « humilier les Blancs ». Ces faits n’ont jamais été reconnus comme des actes racistes par la justice et comptabilisés comme tels par les rapports de la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH).

    Citons encore le drame de Delphine, violée à 13 ans par une trentaine de racailles [vidéo à voir jusqu'à la fin !] :

    http://fr.novopress.info

    Source : le webzine féminin Belle et rebelle.

  • Arizona vs États-Unis

    Près d'une dizaine d'États - de la Pennsylvanie à la Caroline du Sud en passant par l'Oklahoma, le Texas et le Missouri, pour ne citer que ceux-là vont bientôt se lancer dans une guerre politico-institutionnelle contre Washington-la-hautaine, contre l'insatiable Potomac, bref contre les autorités fédérales accusées d'irresponsabilité, d'inertie, voire de trahison. Objet du conflit : l'immigration illégale, devenue aux États-Unis une invasion qui n'ose pas dire son nom. Cadre du conflit : la subtile articulation de ce cher et vieux fédéralisme qui est l'arbre de vie du pays. Né dans l'esprit des légistes avec les premières cités de l'homme, le fédéralisme s'est imposé dans tous les continents comme un système fragile, utile, parfois même indispensable. Le Français en ignore souvent tout pour avoir vécu depuis des dizaines de générations, dès la sortie du Moyen-Âge, dans des structures étatiques pétries de centralisme organisateur - Tocqueville l'a magistralement montré - d'où l'œil royal, impérial puis républicain veilla à la marche des affaires publiques jusqu'aux moindres détails.
    À l'inverse, l'Américain passe son existence à cheval sur deux États : celui de son quartier, l'immédiat, le fédéré, le charnel qui devient sa petite patrie ; et l'autre, celui dont s'étourdit la presse, le lointain, le fédéral, le mythique qui a fini par devenir sa lancinante obsession. En principe, ces deux types d'États ont des pouvoirs qui s'équilibrent et des devoirs qui se complètent : le fédéral gère les problèmes nationaux tandis que le fédéré se penche sur la besogne quotidienne. Chacun son domaine. Mais dans les interstices laissés par ces deux énormes meules qui ne tournent pas dans le même sens ni toujours dans le même but, se glissent - suprême astuce des Pères fondateurs - les libertés citoyennes d'autant plus réelles qu'elles profitent de l'imbrication souvent aléatoire et parfois contestée d'un double mécanisme compliqué. Lorsque les deux meules s'opposent, aux étincelles qui en résultent s'éclaire l'électeur et se chauffe le frondeur sommeillant en lui. Car c'est bien à une véritable fronde que nous assistons. Mais contrairement à celle jadis phagocytée par Mazarin, il n'est pas certain que Washington sorte vainqueur de celle-ci.
    Cette fronde a toutes les allures d'un défi et, comme beaucoup de révoltes, commence par l'initiative d'un téméraire. Car si le groupe d'États dressés désormais contre Washington s'étoffe de mois en mois, l'affaire à ses débuts consista en un « coup de gueule » solitaire, une sorte de « ras-le-bol » clamé par une citadelle sans défense sur des marches sans illusions quant à la rapacité du tiers-monde. Ce faux glacis traversé par toutes les impostures se voit planté par dérision dans un superbe décor à la Buzzati, un décor d'épopée : au pied de murailles béantes, la sécheresse mystérieuse et angoissante du "Désert des Tartares" s'enfonce dans l'hispanité comme pour mieux en aspirer les hordes vengeresses. Cette victime expiatoire de toutes les trahisons fédérales, c'est l'Arizona. Ce repaire de frondeurs exaspérés, c'est encore l'Arizona. Cet audacieux qui alluma la mèche de la sédition, c'est toujours l'Arizona : une aridité lunaire plongée dans une étuve saharienne que quelques oasis peignent en vert le long d'une frontière barbelisée par habitude et poreuse par négligence.
    L'État occupe les premières loges au théâtre des invasions mais doit se contenter du poulailler dans les débats sur l'immigration. Cette injustice provoqua une fermentation des esprits qui dure depuis un quart de siècle. C'est beaucoup, vingt-cinq ans, lorsqu'on voit pénétrer chaque jour des centaines de clandestins dont l'impunité génère autant de trafics que d'exactions. C'est trop, vingt-cinq ans, lorsqu'on mesure l'inertie du Congrès, l'apathie de la Maison-Blanche et l'hypocrisie de l'administration. Plus d'une dizaine de réformes furent mises en chantier afin d'endiguer les flots d'étrangers. Toutes bénéficièrent en apparence des meilleures intentions parlementaires. Et toutes sentirent le souffle bienveillant de l'autorité présidentielle. Mais toutes finirent dans les mouroirs institutionnels. D'un côté un arsenal sans consistance, de l'autre une menace quotidienne ; d'une part une lâcheté quasi générale, de l'autre des prédateurs enragés. Au milieu de ce nauséeux combat, l'Arizona, seul ou presque, exposé à tous les coups sans pouvoir en rendre, sacrifié sur l'autel du politiquement correct avec devant les yeux son image - terrible image renvoyée par tous les miroirs : le sas de la honte.
    L'Arizona brisa les miroirs accusateurs avant de métamorphoser son insupportable visage. Puisque le pouvoir fédéral stagnait dans l'incurie, les instances fédérées avaient le droit de se substituer à lui ; Phoenix prenant le pas sur Washington. En somme, une guerre de capitales. Mais une guerre (presque) prévue par la Constitution. Celle-ci stipule en effet que « l'Union doit garantir à chacun des États non seulement la forme républicaine de son gouvernement mais aussi la protection de ses frontières contre l'invasion ». Nous sommes au cœur du débat. Depuis vingt-cinq ans, la Constitution est violée une centaine de fois par jour sur les bords du Potomac parce qu'au même moment, sur la façade méridionale de l'Arizona, une centaine d'illégaux parviennent sans obstacles à serpenter sous les barbelés. Ce viol obsessionnel électrisa Russell Pearce. Élu républicain au sénat de l'Arizona, Pearce rédigea un projet de loi réclamant pour sa « petite patrie » le droit d'exercer une défense légitime en l'absence de toute autre volonté hiérarchiquement responsable.
    Le texte fut voté par les deux chambres locales à une forte majorité et signé le 23 avril dernier par Madame le Gouverneur Jan Brewer. Celle-ci ne mâcha pas ses mots lorsque l'entourèrent les micros du prêt-à-penser. « L'Arizona, déclara-t-elle, vient de se doter d'un outil pour résoudre une crise que nous n'avons pas créée mais que le gouvernement fédéral a amplifiée en refusant de s'y intéresser lorsqu'il était encore temps. Nous avons été patients. Pendant des décennies, nous avons attendu que Washington agisse. En vain. La situation devenant intolérable, il a fallu trancher. » La loi entrera en vigueur le 31 juillet. Que veut-elle ? Faire pression sur les 500 000 illégaux comptabilisés par les différents shérifs afin de ne leur laisser le choix qu'entre un long séjour dans une prison américaine er le retour immédiat dans leur propre pays. Que prévoit-elle ? Des pouvoirs accrus aux forces de police : elles pourront désormais arrêter et demander ses papiers d'identité à toute personne suspectée, à cause de son apparence ou de son attitude, d'avoir pénétré clandestinement aux États-Unis. Les contrevenants seront expulsés. Et dans la même logique, ceux qui transporteront ou hébergeront des illégaux seront punis.
    Considérée comme un cinglant affront à l'ordre établi par la presse aux ordres et l'establishment aux fers, la nouvelle loi fut qualifiée de « fâcheux dérapage » par Barack Obama, d'« ignoble opération » par Eric Holder, ministre de la Justice, et de « mesure destructive » par Janet Napolitano, ministre de la Sécurité intérieure. Quant au cardinal Roger Mahony, ex-archevêque de Los Angeles, toujours en tête des gourous bien pensants, il a cru voir dans les efforts d'assainissement pris par les corps constitués de l'Etat rebelle des « techniques dignes du bolchevisme et du nazisme ». Cette emphase pavlovienne paraît grotesque face aux 72 % d'opinions favorables recueillies parmi les vrais Arizoniens, face également au vif intérêt suscité un peu partout par l'initiative de Pearce. Trois nouveaux États - l'Utah, la Géorgie et le Colorado - sont venus s'ajouter l'autre semaine à la liste déjà longue des frondeurs de l'Obamaland. Tous préparent un arsenal anti-illégaux. Et tous attendent le 31 juillet comme l'amorce d'une ère de reconquête. Sur celle-ci tirent déjà ceux qui estiment que le dispositif honni pèche par deux aspects. Il invite les agents de la force publique à une gigantesque chasse au faciès où régnera en maître absolu l'arbitraire raciste : faux. Les policiers ne pourront intervenir que si la personne suspectée d'être clandestine a déjà commis une faute ou un délit, par exemple un excès de vitesse, un feu rouge grillé ou un vol à la roulotte. Sans enfreinte au règlement, pas d'interpellation et donc pas de contrôle. Autre attaque : le dispositif inaugure un type de surveillance qui exige de l'étranger d'avoir toujours sur lui un papier d'identité : faux. On a oublié que depuis 1940, une décision fédérale oblige les non-citoyens à porter constamment sur eux un document prouvant la légalité de leur présence sur le sol américain, c'est-à-dire un document visé par les services d'immigration.
    Ainsi, dans ce domaine qui devient ultrasensible, l'Arizona n'a nullement innové. Il n'a fait que suivre Washington et le Congrès. Précieux atout pour les frondeurs qui devront ferrailler devant la justice. Et argument inestimable pour les candidats nationaux à l'élection législative de novembre prochain. L'Arizona comme État pilote : tout un programme.
    CHRISTIAN DAISUG PRESENT du 19 juin 2010

  • David Duke et les immigrationnistes - Diviser pour régner ; en se faisant haïr

  • Si je qualifiais BHL de néo-nazi, le parquet demanderait-il ma relaxe ? Par Jeanne Bourdillon

    Passionnée de droit, j’avoue que le dernier procès intenté par le Bloc Identitaire contre BHL [qui l'avait traité de néo-nazi] m’interroge. Rappelons rapidement le contexte. Mis hors de lui par la réussite des Assises Internationales sur l’Islamisation de nos pays, le « philosophe » avait commis, coup sur coup, deux articles vengeurs dans Le Point. La première semaine, il avait ciblé Bernard Cassen, le confondant avec notre fondateur Pierre Cassen, ce qui lui avait déjà valu, outre le ridicule, un procès, et un rectificatif humiliant dans un nouvel article paru la semaine suivante, intitulé « L’honneur des musulmans ».

    Nous n’ergoterons pas, dans ce deuxième article, sur une nouvelle confusion autour de Pierre Cassen, accusé par BHL d’avoir été lambertiste (organisation trotskiste très influente à Force ouvrière, la Libre Pensée et chez les francs-maçons), alors que notre fondateur n’a jamais milité dans ce groupuscule sectaire. Mais il est vrai que quand, comme BHL, on a fait rire la France entière en parlant d’un philosophe, Botul, qui n’a jamais existé, on n’est plus à cela près.

    Dans cet article, Botul-Levy classait le Bloc Identitaire comme « groupuscule néo-nazi ».
    Manifestement, le qualificatif n’a pas plu à Fabrice Robert et ses amis du Bloc Identitaire, qui ont décidé de traîner devant les tribunaux l’icone BHL. Le procureur ayant instruit la plainte, le procès se déroulait donc ce mardi 12 mars. C’est là que la passionnée de droit s’interroge. Alors que l’avocat du BI, Maître David Dassa Ledeist, demandait 15.000 euros de dommages et intérêts, estimant que « traiter quelqu’un de nazillon était outrageant et diffamatoire », le représentant de la République, Madame le procureur Diane N’Gomsik, a, si on en croit le compte-rendu de L’Express, demandé la relaxe du philosophe, au bénéfice de sa bonne foi.

    C’est ce passage qui, en droit, m’interroge. Si je comprends bien, on peut qualifier quiconque de « néo-nazi », si on peut prouver qu’on l’a fait de bonne foi. Dois-je comprendre, dans ce cas, que je pourrais qualifier BHL, moi aussi, de néo-nazi, à condition de pouvoir prouver ma bonne foi ? Si j’expliquais, par exemple, que BHL a contribué à mettre en place, en Libye, avec son ami Sarkozy, des rebelles financés par le Qatar, qui n’avaient qu’un seul objectif : y installer la charia. Même Les Guignols de Canal Plus, à l’idéologie pourtant proche de cette du philosophe, n’ont pu s’empêcher de se moquer de lui, dans cette vidéo intitulée « BHL charia Express ».

    Si je démontrais, ensuite, que la charia, donc la loi islamique, demande à ses disciples musulmans d’exterminer tous les juifs, avec des propos proches de ceux contenus dans Mein Kampf, d’Adolf Hitler.

    « Maudits, quelque part qu’ils [les juifs] soient acculés, ils seront pris et tués sans pitié. »
    Le Coran, sourate 33, v.61

    Si je montrais enfin que le racisme des jihadistes mis en place par BHL, faute de juifs sur place, s’est surtout exercé contre des travailleurs immigrés noirs, en amenant des preuves indiscutables :

    Si je démontrais, pour finir, à l’auteur de l’article « L’honneur des musulmans » que ceux à qui il rend hommage sont les meilleurs lecteurs de « Mein Kampf » dans le monde…

    Pourrais-je alors dire qu’en mettant en place un régime politico-religieux raciste, à l’idéologie très voisine de celle des néo-nazis quant à l’antisémitisme, BHL a tombé le masque, et montré qu’il était un néo-nazi ? Bien évidemment, je jurerais, devant le tribunal, que j’ai écrit cela de bonne foi, m’appuyant sur un raisonnement qui m’a semblé cohérent.

    Je serais vraiment curieuse de voir comment le tribunal qui, après la demande de relaxe du procureur, acquittera probablement BHL, pourrait, dans ce cas, me condamner, puisque chacun est égal devant la loi, et devant la justice de son pays.

    Mais bien évidemment, seul mon esprit curieux m’a amenée à de telles réflexions, et jamais je ne commettrai un tel article, eu égard au combat exemplaire (sic !) mené par le philosophe (sic !), tout au long de sa vie, contre la peste brune !

    Jeanne Bourdillon http://fr.novopress.info

    Source : Riposte Laïque.