Par jugement du 3 mars 2023, la cour administrative d’appel de Paris a annulé la délibération du conseil de Paris adoptée en 2019 visant à accorder une subvention de 100 000 euros à l’association SOS Méditerranée. Sa décision est motivée notamment par le fait qu’elle estime que le conseil de Paris a par cette subvention interféré dans la politique étrangère de la France et la compétence des institutions de l’Union européenne. L’avenir dira si ce jugement ouvre une brèche pour les citoyens qui contestent devant les tribunaux le versement de subventions publiques aux O.N.G. dont les bateaux croisent en mer Méditerranée.
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Immigration et financement des O.N.G. : vers une jurisprudence SOS Méditerranée ?
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Gennevilliers (92) : Enlevé, battu, mis à nu et plongé dans la Seine par Seïd B., le frère de sa petite-amie, qui voulait “défendre l’honneur” de sa soeur ; une demi-douzaine d’individus se sont acharnés sur la victime (MàJ)
05/03/23
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“Que les trafiquants d’êtres humains soient arrêtés”
Une semaine après le naufrage d’une embarcation qui a coûté la vie à au moins 70 personnes dans le sud de l’Italie, le pape a demandé :
« Que les trafiquants d’êtres humains soient arrêtés, qu’ils ne puissent plus disposer de la vie de tant d’innocents ». « Que ces voyages d’espoir ne se transforment plus jamais en voyages de la mort, et que les eaux claires de la Méditerranée ne soient plus ensanglantées par des incidents aussi dramatiques ».
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Moral ? SOS Méditerranée a reçu un million d’euros de nos collectivités publiques en 2021
Pour toutes les collectivités publiques si généreuses avec l’argent de leurs administrés, la décision de justice tombée ce vendredi 3 mars est une bombe.
La cour administrative d’appel de Paris a en effet annulé à cette date la subvention de 100.000 euros généreusement offerte en 2019 par la ville de Paris à l’ONG SOS Méditerranée. Les juges avaient été saisis par un militant zemmouriste. La démarche va faire tache d'huile.
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Paris, Marseille, Lourdes, Malzéville, la préfecture de Haute-Vienne… le voile islamique à l’honneur un peu partout en France pour la journée des droits des femmes
Les visuels pour la journée des droits des femmes sont classés par département. A la fin de l’article figurent les visuels sans lien géographique, comme celui de Radio France. Les sources sont indiquées en bas à droit de chaque visuel.
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L’Etat va ouvrir dix « sas » d’accueil de migrants dans dix régions pour désengorger l’Ile-de-France
Selon le quotidien 20 minutes, l’Etat va ouvrir dix sas dans dix régions françaises, qui recevront des migrants et migrantes issues de campements parisiens essentiellement. L’idée est de désengorger la capitale, dans une logique d’égalité territoriale, mais les associations s’inquiètent des effets de ce système, qui pourrait permettre selon elles de renvoyer dans leurs pays plus discrètement des migrants qui n’ont pas le droit de séjourner en France.
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“Ne privons pas l’Afrique de ses médecins” : des sommités de la médecine appellent le gouvernement à retirer son projet de loi sur l’immigration (MàJ – Bernard Lugan : “L’Afrique est en voie de paupérisation sanitaire”)
04/03/2023
(…)
En 2021 environ 12000 médecins africains dont les 2/3 étaient Algériens exerçaient en France où l’insensée politique de numerus clausus a provoqué l’apparition de « déserts médicaux ». Déjà en 2014, dernière année donnant des statistiques fiables, sur 215 865 médecins exerçant en France, 19 762 disposaient d’un diplôme obtenu à l’étranger, hors UE, soit 8% des inscrits à l’ordre des médecins, dont 3,9% de médecins sud-sahariens (Source : Atlas national de la démographie médicale, Conseil de l’ordre des médecins, 4 juin 2013). Cependant, cette statistique ne prenait pas en compte les médecins étrangers établis en France et y ayant obtenu leur diplôme. Concernant les médecins exerçant en France et titulaires de diplômes étrangers hors Union européenne, 31,5% étaient originaires d’Afrique du Nord dont 22,2% d’Algérie, 5,8% du Maroc, 2,5% de Tunisie et 1% d’Egypte.
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La Justice annule une subvention de 100.000 euros accordée par la mairie de Paris à SOS Méditerranée
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Pour fuir l’immigration, ces Français choisissent l’émigration
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Äbdulkerim Dogan, un chef d’entreprise rémois qui a « oublié » de déclarer ses employés auprès de l’Urssaf, devra rembourser 1.215.000 euros
Pendant quatre années, ce chef d’entreprise rémois a employé près de 200 salariés. Seul problème, il a quelque peu « oublié » de les déclarer auprès de l’Urssaf. De 2018 à 2020, alors que la structure spécialisée dans la maçonnerie générale et le gros œuvre du bâtiment affiche officiellement un effectif moyen de deux salariés, l’administration a retrouvé la trace de 150 personnes grâce aux virements réalisés avec l’en-tête « salaire ». En 2018, le patron a ainsi déclaré 2 221 euros des salaires versés quand dans la réalité, c’était 100 fois plus.