27/02/23
Toulouse : des étrangers en situation irrégulière recrutés par les réseaux de trafiquants
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
27/02/23
Toulouse : des étrangers en situation irrégulière recrutés par les réseaux de trafiquants
À la fin du mois de février, un migrant d’origine koweïtienne a été condamné à une amende délictuelle pour avoir frappé un policier Article réservé aux abonnés
Le 22 février dernier, vers 12 h 50, à Calais, une habitante appelle la police car un homme, un ressortissant koweïtien de 26 ans, passablement ivre, se trouve sur l’un des paliers de son immeuble et se comporte de manière agressive.
Le 12 février, vers minuit, une femme de 40 ans a été violée en rentrant du travail à Saint-Etienne. Un suspect de 21 ans a été interpellé grâce aux images de vidéosurveillance.
Depuis un an, près de 120 000 Ukrainiens ont bénéficié d’une protection de la France, dont 20 000 sont déjà repartis. Avec eux, l’Hexagone découvre des immigrants pressés de rentrer chez eux. De quoi perturber les institutions, habituées à des déplacés désireux d’établir leur vie dans le pays d’accueil.
Le projet de loi visant à «contrôler l’immigration et améliorer l’intégration» qui doit être examiné au Sénat à partir du 28 mars, «fragilise considérablement les droits et libertés fondamentaux des étrangers», s’inquiète la Défenseuse des droits, Claire Hédon, dans un avis très critique rendu public ce jeudi.
Les autorités italiennes ont imposé, jeudi dans la soirée, au Geo Barents de rester à quai. Le navire humanitaire de Médecins sans frontières (MSF) sera bloqué au port d’Ancône, dans le centre de l’Italie, pour 20 jours. Une amende de 10 000 euros a également été assignée au capitaine du bateau.
Bernard Germain
Porte-parole de la Coordination "Partout Callac"
Voilà ce qu'a déclaré Macron devant les préfets réunis à l'Elysée le 15 septembre 2022.
La "transition démographique", c'est à dire l'arrivée massise d'immigrés dans les campagnes doit faire l'objet d'une Loi discutée et votée au parlement au printemps 2023. Sans attendre cette Loi, Macron a donné ordre à ses préfets de commencer à placer des migrants dans les campagnes en s'appuyant sur des associattions gavées de suventions (...nos impôts) pour "accompagner" les migrants. Ce projet n'était nullement dans le programme du candidat Macron. Comment peut-il décider d'un pareil projet qui aura autant de conséquences pour les français sans les consulter par voix de référendum ?