Parmi eux, 110 signalements ont été effectués dans la police, aboutissant à deux mises à l’écart.
Le chiffre est inquiétant. Ce jeudi 5 mars, le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner a fait le bilan des cas de radicalisation islamiste chez les agents publics, depuis l’attentat de la préfecture de police du 3 octobre dernier, rapporte notamment Le Figaro. D’après le décompte de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), « 287 signalements » ont été effectués.