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immigration - Page 635

  • L’Europe, c’est l’Eldorado, j’ajouterais… l’Eldorado de la méduse !

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    Source Riposte laïque cliquez ici

    Samedi 12 et Dimanche 13 octobre se tenaient les treizièmes journées de « Synthèse Nationale », qui ont accueilli – notamment – Monsieur Jean-Marie Le Pen. Le père de la Droite nationale patriote nous a offert un discours d’une grande clarté, d’une grande humanité et d’une grande vérité, comme toujours.

    L’Occident s’est construit durant des siècles et a déjà, par le passé, fait face à deux invasions migratoires. L’une, Al Andalus, en Espagne, a duré du VIIe au XIIe siècle sans jamais apporter de progrès, l’autre fut arrêtés à Vienne, au XVe siècle. Dans les deux cas, ces invasions furent permises non seulement par la détermination sauvage des disciples de Mahomet, pourtant souvent inférieurs en nombre, mais également et souvent par la complicité et la trahison de certains potentats locaux…

    On le voit, l’Histoire se répète. Pourtant, souligne Monsieur Jean-Marie Le Pen, le monde occidental et l’Europe en particulier n’ont jamais été dans la situation où ils se trouvent aujourd’hui. « Il vient de se produire, dans les cinquante dernières années, l’un des phénomènes les plus extraordinaires de l’humanité. C’est la révolution démographique qui a porté la population mondiale de deux à huit milliards d’individus. » Et d’ajouter : « Le seul continent qui échappe à ce phénomène est celui que j’appelle le continent « Boréal », de Vladivostok à Gibraltar et qui comprend également les pays slaves… ». Huit milliards d’individus, donc, dont la majorité, grâce à une natalité non maîtrisée : « vivent dans des pays qui sont déjà aux limites de la catastrophe sociale et aux limites de la misère et si l’on augmente de telle façon les populations de ces pays sans y adjoindre les productions de biens qui correspondraient aux besoins, on entre dans une période de troubles extrêmement graves. Ces populations chercheront à fuir [comme on le constate aujourd’hui - NDLR] pour rejoindre l’Europe. » Cette Europe que l’on vante à travers le monde, attractive pour ceux qui ont peu, parfois rien, ces populations veulent la rejoindre. L’Europe, ajoute Monsieur Le Pen, décidément, ne perd pas son sens de la formule « C’est l’Eldorado… L’Eldorado de la Méduse !» On comprend que ce problème majeur dans notre monde occidental n’est pas près de trouver sa solution, si l’on ne réagit pas massivement ! Note d’espoir, toujours selon notre Patriarche : « Il n’est pas trop tard ! cependant, il faudra du courage et de l’imagination pour refouler ces gens qui ne sont pas compatibles avec notre conception du monde. Il ne faut pas croire, comme le pensent un certain nombre de benêts, qu’il suffit d’être gentils et courtois pour être admis pour se partager le pouvoir… Dans ce genre de conflits, il y a un vaincu et un vainqueur et, généralement, le sort du vaincu est peu enviable. »

    Si l’on veut éviter cet avenir désastreux pour notre pays, « il faudra impérativement envoyer un message fort à ces populations et à leurs dirigeants, et il faudra dans le même temps changer nos législations sociales, car c’est à cause de ces législations que ces populations viennent en France. On ne peut pas leur faire le grief de vouloir sauver leur peau, chez eux, ils sont menacés de mort ou crèvent de faim ou de soif… » souligne Monsieur Le Pen.

    Pour finir, toujours avec cette clairvoyance à laquelle ce grand patriote nous a habitués, il nous prévient : « Nous devons poser en principe que nous avons le droit et le devoir de nous défendre en priorité. On me demande souvent, que feriez-vous si vous arriviez au pouvoir ? La première chose que je ferais, c’est une adresse que je lancerais à l’égard du monde en leur disant : écoutez, nous savons que vous avez de grandes difficultés dans vos pays – et qu’elles vont s’aggraver. Nous avons pour vous de la sympathie et nous ferons pour vous tout ce que nous pourrons – au-delà de ce qui est nécessaire à notre peuple lui-même – pour vous aider. Mais il faut que vous sachiez que, si vous venez chez nous, sans titre et sans autorisation, vous n’aurez droit à rien, à strictement rien. Ni logement, ni travail, ni école pour vos enfants, ni place dans nos hôpitaux à l’exception d’accidents particuliers… »

    Sortir l’Europe de la repentance et l’Afrique de l’infantilisme

    La faiblesse, le manque de courage politique et la « fameuse » repentance largement soutenue jusque par Macron à propos, notamment – de l’Algérie, caractérisent à ce point nos dirigeants, depuis des décennies, qu’ils sont responsables, avec une partie consentante du peuple français, de la situation catastrophique que nous connaissons aujourd’hui. Et tout sens critique nous étant interdit, nous acceptons de voir arriver sur notre sol des populations qui seraient plus utiles au développement de leurs pays. Il nous faut entendre ceux qui se lèvent avec courage pour nous aider à comprendre. Parmi les « lanceurs d’alerte » et il y en a de plus en plus. Éric Zemmour, Céline Pina, et aujourd’hui, parmi d’autres, Ernest Tigori, un Africain intellectuel ivoirien engagé exilé en France qui a reçu le Prix Mandela de littérature en 2017.

    Il dénonce avec vigueur, depuis les années 90, la classe politique qui ruine son pays et le manque de courage et de clairvoyance de ses dirigeants. Il est venu, avant Monsieur Jean-Marie Le Pen, nous expliquer « qu’il faut cesser d’accabler à tort l’Europe repentante à propos de l’esclavage, la traite négrière, la colonisation, le néocolonialisme, le racisme ou l’immigration massive. » Tout ce qui pollue aujourd’hui le comportement social et politique d’une majorité de Français, permet aujourd’hui à la France d’accueillir massivement des populations exogènes, surtout venues d’Afrique, au nom des droits de l’homme, d’une grande inconscience, d’une parfaite naïveté et d’une non moins grande repentance, largement diluée dans une grande ignorance historique. Et puis, il faut bien l’avouer, notre pays est une terre d’accueil fertile en aides de toutes sortes, idéales pour ces migrants, leur permettant de « s’installer » durablement sans avoir aidé le moins du monde à construite le pays, pendant que sur leurs terres natales le niveau de vie baisse inexorablement, leur sécurité également jusqu’à leurs vies qui sont parfois considérées comme de la marchandise vivante.

    Et pour venir en complément des alertes de Monsieur Jean-Marie Le Pen, au cas où certains trouveraient encore à redire sur sa clairvoyance, son humanisme et son courage politique, Ernest Tigori avance également, dans son livre, à propos de l’immigration massive (page 403) «  Il y a aussi ceux qui cherchent de la publicité, qui se font passer à bon compte pour des humanistes, qui s’achètent une bonne conscience de pure ostentation […] parfois même à profiter d’une certaine naïveté de l’opinion pour jouer les humanistes pendant qu’ils s’empiffrent dans de juteuses filières de passeurs… » Et plus loin : « À toutes ces catégories, nous préférons celles qui s’engagent sur le terrain pour combattre le mal là où il se produit, c’est-à-dire en Afrique. […] Le mal est en Afrique où des potentats corrompus détruisent la vie de centaines de millions d’êtres humains, en toute impunité, couverts par la souveraineté des États ou protégés par des réseaux occultes internationaux. Et Ernest Tigari de finir par cet avertissement qui rejoint celui de Monsieur Jean-Marie Le Pen : « Si rien n’est fait, les migrations massives de populations du Sud vers le Nord de la Méditerranée déstabiliseront tout l’attelage Europe-Afrique. »

    Ernest Tigari est donc, parmi d’autres nous le disions, un lanceur d’alerte majeur, d’autant plus crédible sur le sujet africain très mal connu des Occidentaux qu’il est originaire de Côte d’Ivoire. « Sa logique rigoureuse dans l’analyse des faits ainsi que son courage politique font de lui un auteur qui sort des sentiers battus. » nous révèle l’éditeur dans la présentation de son dernier livre « L’Afrique à désintoxiquer », paru il y a peu aux éditions « Dualpha » cliquez ici. « Ernest Tigori se distingue de cette élite noire, majoritairement incapable d’autocritique, qui perd son temps en jérémiades au lieu d’être exigeante avec elle-même. […] Pour que l’attelage Europe-Afrique retrouve de la vigueur, il importe que les Africains sortent de l’irresponsabilité et de l’infantilisme… et les Européens de la repentance. » Il rejoint en cela la position de Monsieur Le Pen lançant aux peuples migratoires son message d’alerte. Sera-t-il entendu une bonne fois pour toutes quand, dans le concert lénifiant de « L’humanisme dégoulinant » sa voix avisée s’élève avec le courage patriote qu’on lui connaît pour défendre la vérité sur le devenir de notre nation ?

    Jean-Louis Chollet

     * Le titre est de Monsieur Jean-Marie Le Pen

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Voile islamiste : Edouard Philippe fait-il du clientélisme pour le Havre ?

    Voile islamiste : Edouard Philippe fait-il du clientélisme pour le Havre ?

    Interrogé sur CNews à propos du scandale actuel sur le voile islamiste, Erik Tegner affirme qu’Agnès Firmin, proche du Premier ministre et député du Havre, s’est affichée lundi 13 octobre avec l’association islamiste Havre De Savoir. L’association Havre De Savoir glorifie Hassan Al-Banna co-fondateur des frères musulmans. Elle recevait Tariq Ramadan et avait comme « parrain » le rappeur Médine qui voulait organiser un concert ”islamiste” au Bataclan.

    Puis, Edouard Philippe a recadré Jean-Michel Blanquer, qui a réclamé l’intervention de la commission des conflits de LREM contre le député Aurélien Taché, qui accusait Blanquer de reprendre les mots du RN quand il déclare «non souhaitable» la présence de mères voilées lors des sorties scolaires. Mais Edouard Philippe a sans doute eu cette déclaration par clientélisme pour sa ville du Havre…

    https://www.lesalonbeige.fr/voile-islamiste-edouard-philippe-fait-il-du-clientelisme-pour-le-havre/

  • BFMTV, la propagande migratoire toujours à l’heure

    Avec une chaîne de télévision en continu, il est difficile de tout voir. Le spectateur rate forcément certains moments de propagande. Parfois, par hasard, l’un d’entre eux lui tombe sous les yeux. Alors, il se dit que la propagande est un outil massif dans la France d’aujourd’hui. Surtout en plein « débat » sur les migrations à l’Assemblée Nationale.

    BFMTV, n’est pas considérée particulièrement comme un idéal de l’objectivité journalistique. Bien sûr, cette dernière est un leurre et tout journaliste est sous influence. Il y a cependant une différence entre être sous l’influence de son propre contexte socio-culturel, de ses opinions politiques ou de la ligne directrice d’un média, pour un journaliste-individu, et une chaîne de télévision tournée vers une seule conception du monde : celle de la société ouverte et liquide, mondialisée, récemment critiquée entre autres par Pierre Vermeren dans un petit livre incisif. Cette société que fustigent aussi des essayistes tels que Christophe Guilluy, Olivier Maulin, Eric Zemmour, Matthieu Baumier, Alain de Benoist, Laurent Obertone et d’autres, dans un contexte de massification de l’information à la gloire du multiculturel. Une vue du monde encensée chaque jour par BFMTV. Un exemple attrapé au vol, au hasard, le 9 octobre 2019.

    Sur BFMTV, on aime bien les migrants (dans les villages)

    De mauvaises langues diront qu’ils ne sont pourtant jamais invités sur les plateaux de la chaîne de télévision, ces migrants, hors reportages larmoyants. Sans doute la direction ne juge-t-elle pas les ressortissants de pays d’Afrique ou du Moyen-Orient suffisamment au niveau intellectuel pour parler à l’homme blanc européen en direct à la télévision ? Ou encore que la couleur de peau passe mal à la télévision ? Il y a des associations et des personnalités qui se taisent étrangement devant la vraie réalité : qui voit des migrants sur les plateaux de BFMTV ? C’est un fait : BFMTV est une chaîne de télévision d’élites blanches parisiennes mondialisées. C’est tout le comique, ou le tragique, de la situation : ceux qui prétendent défendre les pauvres hères du monde sont ceux qui contribuent à créer et développer les conditions de cette même pauvreté de l’immigration, tout en faisant sans cesse la propagande de cette même idéologie qui promeut « l’immigration heureuse ».

    Ainsi, le 9 octobre 2019 BFMTV veut démontrer que venant dans le village de Châteaudouble un an auparavant, « qu’elle présentait comme un symbole de ce qui se passe dans toute la France aujourd’hui », Marine le Pen se serait (évidemment) trompée puisque « les 72 migrants accueillis semblent avoir bel et bien réussi à s’intégrer ». La France est ainsi, comme par magie, redevenue un modèle d’intégration aux yeux de BFMTV. Chacun appréciera selon ce qu’il a sous les yeux au quotidien, en particulier dans la France périphérique, celle de ces villages et petites villes où sont justement envoyés les migrants. Bien loin des plateaux de télévision, du centre de Paris et des villes de la couronne ouest de Paris.

    Les outils de la propagande

    Le reportage dure une minute seize et montre d’abord l’apprentissage du français par soixante migrants essentiellement africains dans un village du Var. Sinon, ils s’ennuient et jouent au foot avec les habitants du village. Plusieurs témoins disent que « cela se passe super bien », que c’est « la solution au vieillissement » et que « l’on se fait des amis ». Ce sont les images. À aucun moment, la parole n’est donnée à un villageois, ou pourquoi pas à un habitant d’un village voisin, pour apporter la contradiction. Devons-nous conclure que tout le monde est d’accord ? Il semble bien que oui. A Châteaudouble, ce sont 72 migrants (appelés « demandeurs d’asile ») qui « cohabitent » avec les 450 habitants. Autrement dit, la population de ce village est passée d’un coup à 522 habitants dont plus de 15 % sont maintenant des migrants.

    Mais personne ne paraît trouver à redire à cela dans le village, selon BFMTV. Et comme tout va pour le mieux dans le pays des bisounours, le reportage se conclut par une belle annonce du maire : deux « demandeurs d’asile » seront embauchés par la mairie quand « ils auront reçu le statut de réfugiés », ce que la France officielle ne manquera pas de leur accorder puisque l’une de ses particularités est de faire dans le réel le contraire de ce que dit le président en public. Et comme ce dernier annonçait la nécessité de plus de rigueur concernant le droit d’asile et de fermeté concernant la politique migratoire…

    Article repris du site OJIM

    https://fr.novopress.info/

  • Marseille, bientôt porte d’entrée de l’immigration illégale par la Méditerranée ?

    Marseille, bientôt porte d’entrée de l’immigration illégale par la Méditerranée ? 
    Après l’Espagne, l’Italie, la Grèce et Malte, la France pourrait prochainement faire partie des pays européens d’arrivée par la mer de l’immigration clandestine (1).
    La possibilité que Marseille devienne un port d’accueil des bateaux des organisations non gouvernementales recueillant en mer des clandestins pourrait se concrétiser dans le cadre d’un accord – toujours en négociation – visant à une répartition automatique des migrants en Europe.
    Si tel était le cas, ce serait non seulement un appel d’air préjudiciable à la France, mais aussi un coup de pouce à des réseaux mafieux qui prospèrent grâce à l’immigration illégale.
    La seule réponse raisonnable en la matière est, comme l’ont fait l’Australie et l’Italie, de mettre un coup d’arrêt à ce business cynique.
    L’ampleur des arrivées en Italiepar la méditerranée
    S’exprimant sur la politique d’asile fin août lors d’une réunion de diplomates français, le Président Macron a réfuté la notion d’ « appel d’air » (2).
    Pourtant, s’il est un domaine où cette notion est pertinente, c’est bien celui de l’immigration.
    Il suffit de regarder le lien entre le nombre des arrivées par la mer de migrants en Italie, les gouvernements en place et la politique menée :
     
    Année Gouvernement Nombre d’arrivées
    2014 Renzi (centre) 170 100
    2015 Gentiloni (centre) 153 842
    2016 Gentiloni (centre) 181 436
    2017 Gentiloni (centre) 119 369
    2018 Conte (5 Etoiles-Ligue) 23 370
     
    Source du nombre d’arrivées : UNHCR Operational portal, refugee situation
    La chute drastique des arrivées de clandestins en Italie par la mer en 2018 a une explication : le refus du Ministre de l’intérieur Matteo Salvini (Ligue) de laisser accoster les bateaux des organisations non gouvernementales.
    Autre exemple, depuis fin août 2019, la Ligue a été évincée du pouvoir.
    L’heure est de nouveau au laxisme.
    La politique du « no way », le refus d’accostage sur les côtes italiennes, est terminée.
    L’effet est immédiat : de plus en plus de bateaux d’O.N.G. se dirigent vers les côtes italiennes.
    Le nombre d’arrivées de clandestins en Italie par la mer n’a jamais été aussi important en 2019 que depuis que le nouveau gouvernement dirigé par Giuseppe Conte sans la Ligue est au pouvoir.
    Il y a eu 2 498 arrivées en septembre sur les côtes italiennes, alors qu’elles étaient moitié moins nombreuses en août (3).
    Le droit maritime, alibi facile
    L’argument mis en avant par les partisans d’un accueil des clandestins dans des ports européens est le devoir d’assistance.
    Pourtant, les bateaux des O.N.G. qui croisent au large de la Libye ne sont-ils pas plus près des côtes tunisiennes que de celles d’Italie et a fortiori de France ?
     Le droit maritime distingue clairement le devoir d’assistance et l’obligation d’accueil.
    Reconduire les bateaux de migrants sur le continent africain tarirait sans nul doute les départs des côtes libyennes.
    Mais cette option n’est jamais envisagée par nos gouvernants « progressistes ».
    Des « réfugiés » ou des clandestins ?
    Les migrants qui embarquent clandestinement en Libye, et de plus en plus souvent en Tunisie, sont fréquemment présentés comme des « réfugiés ».
    C’est passer sous silence le fait que nous sommes en présence d’une immigration illégale et souvent économique.
    Les migrants arrivés en Italie par la mer en 2019 sont par ordre d’importance issus de Tunisie, du Pakistan, de Côte d’Ivoire et d’Algérie.
    Des pays à la démographie élevée pas forcément classés parmi les dictatures les plus sanguinaires.
    Alors que quiconque, même issu d’un pays sûr, peut déposer une demande d’asile en France, cette démarche permet dans la quasi-totalité des cas de rester sur le territoire.
    Ils ne s’en priveront pas en arrivant en France.
    L’économie criminelle, bénéficiaire de l’immigration illégale
    L’organisation de l’accueil de clandestins par l’ouverture des ports européens et une répartition automatique des migrants vont indirectement pérenniser, voire favoriser une économie criminelle.
    • Le recours aux passeurs pour atteindre l’Europe alimente une économie souterraine florissante. Le trafic d’êtres humains a permis aux passeurs d’empocher sur la seule année 2016 7 milliards de dollars, selon l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (4). C’est tout un secteur mafieux qui prospère grâce au trafic des passeurs.
    • Alors que l’armée française est engagée en Afrique sahélienne dans la lutte contre les organisations islamistes, le gouvernement se tire une balle dans le pied en acceptant l’immigration illégale. Selon Wolfgang Pusztai, un colonel autrichien, analyste politique et président du conseil consultatif du Conseil national sur les relations américano-libyennes, « il existe de fortes preuves que des groupes terroristes, tels que l’État islamique (Daesh) et l’organisation Al-Qaïda au Maghreb islamique, gagnent de l’argent en extorquant des convois de migrants sous prétexte de les protéger » (5). Sauf à être schizophrénique, tarir les flux d’immigration illégale reviendrait à tarir les sources de financement d’organisations que la France combat en Afrique.
    Les Organisations non gouvernementales : une activité qui s’auto-entretient
    Outre les passeurs, toute un secteur économique composé des bateaux des O.N.G., de leurs équipages et de leur personnel à terre, vit de subventions et de dons publics et privés(6).
    L’immigration illégale et le business des passeurs ne s’arrêteront pas d’eux-mêmes : trop d’argent est en jeu.
    Les exemples australiens et italiens
    Confronté à une importante immigration illégale, le gouvernement australien a à partir de septembre 2013 catégoriquement refusé de laisser accoster les bateaux de clandestins sur ses côtes.
    Cette politique, appelée « no way », a permis un arrêt brutal des arrivées.
    Alors que dans la période 2012-2013, on comptait 190 arrivées illégales de bateaux en Australie avec 12 700 clandestins à bord, les flux se sont taris soudainement (7).
    Une enquête réalisée en octobre 2018 met en avant le fait que la mortalité en Méditerranée a baissé en 2018 quand les bateaux des O.N.G. ont réduit leur activité suite notamment aux mesures de refoulement de l’Italie (8).
    A contrario, les passeurs ont intégré l’idée qu’ils peuvent affréter des embarcations de fortune si un quasi « pont maritime » existe entre l’Afrique et l’Europe.
    Dans ces conditions, on ne peut que saluer la vigoureuse dénonciation de la politique migratoire du gouvernement français par le maire du 7arrondissement de Marseille, Stéphane Ravier, devant les sénateurs le 9 octobre (9).

    La répartition automatique des migrants ne va faire qu’accroître les flux d’immigration clandestine. Marseille, une ville qui détient le record du nombre de morts par balle, où 28 % de la population est en dessous du seuil de pauvreté, où le salafisme est en pleine expansion (10)… deviendrait selon la décision de quelques dirigeants européens et avec l’accord du Président Macron, une porte d’entrée « officielle » à l’immigration illégale.
    Tout un symbole.
    Même l’auteur du « camp des saints », Jean Raspail, n’y avait pas pensé…
    Paul Tormenen, juriste 13/10/2019
    (1) « Migrants : Marseille pourrait devenir un port d’accueil pour les naufragés en méditerranée ». Le Figaro. 7 octobre 2019.
    (2)« Macron aux diplomates : je sais que beaucoup d’entre vous ont de la défiance vis-à-vis de la Russie ». L’Opinion. 28 août 2019.
    (3) « Arrivals to Europe 2019». International Organization for Migration.
    (4) « Global study on smuggling ». United nations office on drugs and crime. 2018.
    (5) « Non secure routes, the hidden world of illegal migration in Libya ». The Investigative journal. 1er mai 2019.
    (6) « Que sait-on des bateaux qui aident les migrants en méditerranée ? ». Le Figaro. 13 septembre 2019.
    (7)« SatisfiedAustralia marks six monthswith no boat people ». SBS News. 19 juin 2014.
    (8) « Migrants, à qui profite le drame ? ». Causeur. Octobre 2019.
    (9) « Discours de Stéphane Ravier sur l’immigration ». Polémia. 11 octobre 2019.
    (10) « A Marseille, l’omniprésence d’un islam salafiste ». Le Monde. 1er février 2018.
    Crédit photo : Domaine public

  • L’islamisme gagne en se victimisant, par Ivan Rioufol

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    La démocratie française peut perdre contre l’islam politique. Ce “combat de toute une nation”, auquel a appelé Emmanuel Macron mardi dernier, vient de subir une défaite symbolique à Dijon. Parce qu’un élu du RN, Julien Odoul, a involontairement fait pleurer un enfant, consolé par sa mère voilée, vendredi lors d’une séance du Conseil régional de Bourgogne-France-Comté, la présidente socialiste de la région a annoncé envisager un signalement des faits au procureur de la République.
    Même le vice-président du RN, Nicolas Bay, a estimé ce lundi que Odoul avait été “inutilement blessant et agressif”. L’élu, constatant dans le public qu’une mère accompagnatrice d’une classe de CM2, avait conservé son hidjab dans l’hémicycle, avait demandé à la présidente de faire enlever ce voile, en expliquant : “Après l’assassinat de nos quatre policiers, nous ne pouvons pas tolérer cette provocation communautaire“.

    Cette mise en cause allait provoquer les larmes de l’enfant, photographié dans les bras de sa mère caressante. Dans la guerre des images, l’émotivité l’emportera toujours sur l’argument rationnel. Les islamistes ne peuvent que se satisfaire de leur victoire médiatique qui met en scène la brutalité d’un vilain membre du RN face à la douceur maternelle d’une femme arborant le voile islamique. La victimisation fait partie des armes utilisées par l’islam politique. Il sait se présenter en agneau, sous les yeux attendris d’humanistes du dimanche. Ces nouveaux collabos voient une “haine antimusulmane” dans la résistance à l’islamo-fascisme.

    Il est aisé de reprocher à Odoul son manque de délicatesse. Mais Le Point pose la bonne question cette semaine : “Face à l’islamisme, sommes-nous devenus lâches ?“. La réponse est oui. Le chef de l’Etat vient d’inviter “à bâtir une société de vigilance” contre “l’hydre islamiste”. Or il est paradoxal d’accabler un élu, fut-il RN, pour avoir alerté sur un signe évident de radicalisation dans un espace public. Le voile islamique, porté par les mères accompagnatrices de sorties scolaires, peut être vu comme un uniforme affirmant un séparatisme culturel et une allégeance à une idéologie d’essence totalitaire. Il a certes été autorisé par le Conseil d’Etat. Mais Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Education, a dit ne pas “souhaiter encourager le phénomène“.

    Ce lundi, le nouveau président LR, Christian Jacob, s’est prononcé pour son interdiction lors des sorties scolaires. Quand à Christophe Castaner, ministre de l’Intérieur, il a été jusqu’à lister, l’autre jour, les “signaux faibles” de la radicalisation : “Le port de la barbe, le fait de ne pas faire la bise (aux femmes) ou plus, la pratique régulière et ostentatoire de la prière rituelle, la tabaâ (marque) au milieu du front (…)”. Toutefois, tout ceci reste des mots. Lutter contre l’islamisme conduit inévitablement à mettre en cause ses militants. Ceux-ci savent que la République a la main qui tremble. Elle est prête à reculer à la première larme d’un enfant. Qui ne serait pas ébranlé ? Mais c’est ainsi que les combats se perdent.

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 14 octobre 2019 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/215810/lislamisme-gagne-en-se-victimisant-par-ivan-rioufol/

  • Pompiers en colère !

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Notre sympathie, notre estime et notre solidarité à l'égard des sapeurs pompiers qui manifestent ce mardi sont acquises, totales et absolues.
    Leurs revendications en termes de renumérations, de prime au feu et de renforcement des effectifs sont, sans nul doute, légitimes et doivent être satisfaites.
    Mais le seraient elles que le drame national auquel sont confrontés les soldats du feu, comme le sont les policiers, les médecins, les instituteurs, les professeurs, les commerçants  de nos banlieues et de plus en plus souvent de nos villes et même de nos campagnes, resterait entier.
    Ce drame national est celui de l'ensauvagement de la France, conséquence d'un demi siècle de politique laxiste et immigrationniste.
  • Levons le voile sur la stratégie de l’islam politique

    Levons le voile sur la stratégie de l’islam politique

    En 2000, un prêtre et une religieuse avaient dû retirer leur croix et leur voile pour s’asseoir dans l’hémicycle de l’Assemblée Nationale.

    Selon Guillaume Bernard, dans la tradition occidentale, se cacher les cheveux signale la volonté se retirer de la sphère politique: c’est le cas des religieuses. Le voile islamique signifie l’exact inverse: la prétention (sous le prétexte de pudeur) de transformer l’ordre public.

    Ces deux éléments doivent permettre de comprendre, loin des polémiques gauchistes, l’intervention de l’élu RN Julien Odoul, au conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté :

    Julien Odoul a donc demandé à ce qu’une mère de famille voilée sorte de la salle. Lundi matin, sur Europe 1, l’élu RN a assumé :

    « Dans le contexte où nous sommes, où nous avons subi le 18e attentat depuis 2012, où notre pays a été endeuillé par 263 morts tout de même, que nous avons perdu quatre des nôtres la semaine dernière à la préfecture de police de Paris ; dans ce contexte aussi où il y a des divisions sur ce sujet du voile, venir dans une enceinte démocratique avec un voile islamique, je considère que c’est une provocation communautariste ». « Soit cette personne est naïve et n’a pas compris — mais dans ce cas c’est à l’autorité légale, c’est aux élus de la République, de lui faire savoir —, soit cette personne est dans la provocation ».

    La présidente (PS) du conseil régional, Marie-Guite Dufay, a refusé et les élus RN sont sortis.

    Même à droite, des voix s’élèvent pour critiquer « l’humiliation » d’une mère devant son fils. La journaliste Eugénie Bastié, du FigaroVox, twittera ainsi : « Même à la guerre on n’humilie pas les mères. » L’eurodéputé RN Nicolas Bay déclare que « dans l’état actuel du droit, il n’est pas interdit pour une femme de porter le voile », et qu’il s’agit de la part de Julien Odoul d’« une maladresse d’un jeune élu régional ». De fait, si la loi interdit le port de signes religieux ostentatoires à l’école, la mesure n’est étendue à l’ensemble de l’espace public que dans le cas du voile intégral.

    Mais cette affaire de voile au conseil régional pourrait avoir été mise en scène par les musulmans : la mère porte un voile noir, d’obédience salafiste et wahhabite. Nisrine Zaïbi, conseillère régionale PS qui est accourue au secours de l’accompagnatrice, avait, en 2015, cosigné une tribune au Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), avant de participer, en 2016, à une réunion organisée au Bourget par l’UOIF. Le même CCIF s’est fendu d’une annonce aussitôt la polémique étalée sur les unes, mettant à la disposition de la “victime” son « soutien psychologique et juridique » devant ce que l’association appelle, le plus sérieusement du monde, « les premiers signes d’un apartheid assumé ».

    La stratégie de l’islam politique est perverse : agresser notre culture et nos vies et, dans une incroyable inversion accusatoire, présenter notre légitime réaction comme une agression contre les musulmans qui seraient victimes d’un nouvel apartheid.

    https://www.lesalonbeige.fr/levons-le-voile-sur-la-strategie-de-lislam-politique/

     

  • Le Danemark rejette le système de redistribution des migrants de l’UE

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    Le Danemark a récemment déclaré qu’il refuserait de prendre part à la nouvelle proposition de Bruxelles de répartition des migrants, que certains des Etats membres ont adopté.

    Le ministre danois de l’immigration et de l’intégration, Mattias Tesfaye, a déclaré que son pays ne participerait pas à l’arrangement qui permettrait de répartir les migrants nouvellement arrivés entre divers États membres, rapporte le média danois The Local.

    A la fin septembre, quelques Etats membres de l’UE ont accepté d’accueillir plus de migrants, dans un « effort de redistribution », lors d’une réunion à Malte.

    Le Danemark ne veut rien entendre

    « Nous ne voulons pas prendre part à la redistribution convenue entre les pays de l’UE et le soi-disant accord de Malte », a déclaré Tesfaye lors de la réunion de mardi entre les ministres européens de l’intérieur au Luxembourg.

    Le ministre danois a alors averti que le nouveau programme de redistribution de l’UE ne ferait qu’encourager davantage de migrants à traverser la Méditerranée.

    « Je pense que c’est une solution à court terme car de plus en plus de bateaux navigueront vers les ports européens », a déclaré Tesfaye.

    Jusqu’à présent, en dehors de quatre pays de l’UE qui ont élaboré un plan de répartition des migrants, seuls trois autres Etats membres ont adhéré au programme – l’Irlande, le Portugal et le Luxembourg.

  • 66% des Français favorables à l'interdiction port du voile lors des sorties scolaires, selon un sondage

    femmes-voilees.jpgUn sondage IFOP-Fiducial pour Sud Radio révèle que deux tiers des Français sont favorables à l'interdiction de signes religieux ostensibles comme le port du voile, aux parents d'élèves qui accompagnent les sorties scolaires.

    Deux Français sur trois (66%) se sont prononcés en faveur de l’interdiction de signes religieux ostensibles pour les parents d’élèves qui accompagnent les sorties scolaires. L'enquête a été réalisée fin septembre après la diffusion d'une affiche de la FCPE montrant une femme voilée lors d'une sortie scolaire.
    37% des sondés se disent même "très favorables" à son interdiction quand 18% y sont «plutôt opposés» et 16% «très opposés».
    Pour 65% des Français, l’affiche montrant une femme voilée «représente une atteinte au principe de laïcité», tandis que 69% des personnes interrogées estiment que «la FCPE flatte le communautarisme à quelques semaines des élections des parents d’élèves».
    L’enquête a été réalisée avant la polémique créée par Julien Odoul, qui a demandé à une accompagnatrice scolaire d’enlever son voile, ce vendredi 11 octobre, au conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté.
  • Jean Messiha : « La France n’est pas un désert identitaire »

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    "La France est bien plus ancienne que la République..."

    Polémiques autour de l’intervention de Julien Odoul au conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté pour faire enlever le voile islamique à une accompagnatrice scolaire, mais aussi au sujet du match de qualification France-Turquie pour l’Euro 2020. Jean Messiha réagit au micro de Boulevard Voltaire.



    Julien Odoul, le conseiller régional Rassemblement national avait créé une polémique en demandant à une femme voilée accompagnant des enfants en sortie scolaire d’enlever son voile.
    Que pensez-vous de cette histoire ?

    Je ne vais pas revenir sur le soutien que je lui ai accordé dès le début. Il n’a pas demandé à la femme d’enlever son voile, il a demandé à la présidente du Conseil régional de bien vouloir procéder à l’évacuation de cette femme de la salle. Cela n’est pas la même chose.
    Nous ne nous attaquons pas aux individus. Nous nous attaquons aux politiques. Nous nous attaquons à ces politiques qui encouragent l’islamisation de notre société, y compris au travers de la façon dont elles s’incarnent chez les personnes.
    En l’occurrence, ce n’est pas la faute de cette femme, mais surtout celle de l’idéologie de nos élites politiques qui consiste à permettre à cette femme d’arriver voilée dans un Conseil régional, c’est à dire une instance symbolique de la République française.

    Certaines personnes au Rassemblement national concédaient une petite maladresse de la part de Julien Odoul. Pensez-vous vraiment qu’il ait eu raison d’agir de la sorte ?

    Il a parfaitement eu raison d’agir de la sorte. Je crois qu’aujourd’hui l’heure n’est plus ni à la mièvrerie ni aux concessions ni à l’accommodement. L’heure est grave ! L’attitude de Julien Odoul n’a été ni agressive ni excessive. Il a réagi de manière parfaitement calme et sereine. C’est surtout l’excitation que cela a provoquée qui doit être pointée du doigt. La polémique n’a pas été créée par Julien Odoul, mais par l’envie pressante de cette femme d’arriver voilée dans un Conseil régional. Ces gens n’ont plus peur de rien !

    Le match France-Turquie est un match sous tension. Beaucoup s’expriment pour annuler ce match.
    Faites-vous partie de ceux-là ?

    J’étais ce matin parmi les premiers à Twitter en ce sens. Quand une équipe nationale se permet de fissurer la limite entre le sport et la politique de manière aussi symbolique qu’un salut militaire, on ne peut évidemment pas laisser passer cela. Ce salut militaire est le symbole d’une allégeance à l’armée turque dont on sait aujourd’hui qu’elle procède à des exactions à la frontière syrienne. À partir du moment où cette équipe nationale a politisé le sport, il faut apporter une réponse politique à cette compétition sportive.
    J’ajoute que les Turcs n’en sont pas à leur première provocation. Rappelez-vous que les supporters turcs avaient refusé de respecter la minute de silence au stade de France à l’égard des victimes du Bataclan. Pour des raisons d’ordre public, mais beaucoup plus pour des raisons symboliques et d’honneur national, il appartient à nos élites dirigeantes de procéder illico presto à l’annulation de ce match.

    Que ce soit au Moyen-Orient avec l’armée turque ou au sein de nos conseils régionaux avec cette histoire de voile, ou encore à la Préfecture de Police d’un point de vue terroriste, les relations entre l’islam et la République se tendent de plus en plus.
    Comment voyez-vous la suite ?

    Cela fait des années que je dis que l’islam n’est pas compatible avec la République. Il ne faut cependant pas faire de confusion avec les musulmans qui sont des citoyens français. Il ne nous appartient pas de dire comment la République doit s’accommoder pour intégrer l’islam comme l’a récemment affirmé Jean-Michel Apathie parlant au nom du système qui gouverne la France. Il nous appartient de réaffirmer notre identité partout et de remettre enfin le mot national dans notre identité. La France n’est pas un désert identitaire que des identités alternatives ou différentes pourraient investir et conquérir. À partir du moment où l’identité nationale n’est pas réaffirmée, d’autres irrédentismes identitaires vont l’investir et faire souche chez nous. C’est précisément ce que nous combattons.
    Nous avons aujourd’hui une islamisation rampante de la société française à tous les niveaux. Le terrorisme n’est que la face émergée, sanglante et tragique de l’iceberg. Au-delà de cela, vous avez tout le terreau identitaire qui fleurit sur des territoires qui ne sont plus des territoires de non-droit, mais des territoires de non France. On ne combattra pas l’islamisation de la société avec la République, mais avec la France. La République est française. Ce n’est pas une République qui se tient en l’air comme cela sans être soutenue. Elle est irriguée par la France qui est bien plus ancienne que la République. Il faut impérativement remettre la France au cœur de la République et la République au cœur de nos territoires.

    https://www.bvoltaire.fr/jean-messiha-la-france-nest-pas-un-desert-identitaire/