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Visite chez l’islamiste Kamel Daoudi
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Immigration : l'aveu.
En couplant dans un même intitulé de commissariat européen les mots "migrations" et "protection du mode de vie européen", la nouvelle présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, a, sans doute par inadvertance et étourderie, créé une polémique qui en dit long sur les vraies intentions des tenants du mondialisme et de l'immigrationnisme.
En hurlant au scandale et en exigeant la modification du nom de ce portefeuille, la gauche, les Verts, le centre, la fausse droite, les libéraux planétaristes, tous unis dans une même réprobation idéologique, formulent l'aveu éclatant de leurs intentions véritables : changer le mode vie européen, transformer l'identité des peuples, saper les principes et valeurs traditionnels, substituer un soubassement culturel à un autre.Ce tohu-bohu, pensé, voulu et organisé porte un nom : c'est LE GRAND REMPLACEMENT.Qui a parlé de fantasme ?Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, Europe et Union européenne, immigration, lobby 0 commentaire -
Ces quatre guerres qui se livrent sous nos yeux
En 2006, Warren Buffet avait osé cette provocation : « C’est ma classe, les riches, qui a déclaré cette guerre et c’est elle qui est en train de la remporter. » Il confirma cette victoire après la crise. En fait, la guerre se poursuit, ou plutôt les guerres se développent. Ce n’est pas seulement celle qui oppose la classe supérieure mondialisée, ce 1 % qui, selon OXFAM, avait capté, en 2017, 82 % de la richesse mondiale au reste de l’humanité, dont il faut dire que la pauvreté régresse, mais moins vite que la richesse des milliardaires n’augmente. Pour cette oligarchie planétaire qui se réunit à Davos, les frontières n’existent guère et il faudrait, d’ailleurs, qu’il n’en existe que le moins possible, tant la circulation des capitaux, des biens et des personnes joue un rôle positif dans la croissance des profits. Beaucoup songent à un gouvernement mondial qui régulerait le marché pour éviter les crises.
La seconde guerre est justement celle des frontières, notamment celles des États-nations anciens qui veulent sauvegarder leur souveraineté et leur identité. L’Europe vieillissante, usée par les conflits mondiaux dont elle a été le centre, voit son importance économique reculer, son industrie dépassée et sa population changer. Son destin est-il de ne devenir qu’une péninsule de l’Asie, n’inventant plus guère, peuplée de consommateurs achetant les produits de la planète entière avec de l’argent de moins en moins issu du travail, de la production et des exportations, vendant ses entreprises au plus offrant et comptant sur l’immigration pour se renouveler et préserver son économie grâce à la modération des salaires ? Cette hypothèse ne gêne guère l’oligarchie mondiale, ni ses proconsuls au pouvoir, comme le Président français. Elle révolte une partie grandissante des peuples, ceux dont le destin et celui de leurs enfants sont liés à la nation dont ils sont les héritiers, et qui sont de plus en plus conscients du déclin, de la décadence et du risque de disparition. Les États-Unis ou l’Australie, ces colonies européennes, font preuve désormais de vigilance sur la protection de leurs frontières et la limitation d’une immigration qui les a pourtant fait naître. Cette guerre des frontières est, cependant, avant tout une guerre civile. Le cosmopolitisme des milliardaires, assez compréhensible, trouve dans le microcosme politique, médiatique et judiciaire des collaborateurs aussi zélés que totalement aveugles sur le long terme. Tous les moyens sont bons pour que les partisans de l’identité et de la souveraineté, les démocrates qui parlent au nom du peuple, soient écartés du pouvoir pour « populisme » – un mot révélateur ! Salvini trouve, en face de lui, la coalition des ennemis d’hier. Boris Johnson se voit accuser de trahir la démocratie alors qu’il essaie de mettre en œuvre la volonté exprimée par une majorité lors d’un référendum. Une étonnante « légitimité » est à l’œuvre derrière ces manœuvres : il n’y a qu’une voie et, comme par hasard, c’est celle qui correspond aux vœux de l’oligarchie mondialiste.
Mais il y a une troisième guerre, qui est celle du G20 contre le G7, celle de l’avenir contre le passé, des puissances émergentes contre le vieil Occident. Ce n’est pas très malin d’avoir rejeté la Russie parmi les adversaires de l’Occident. La Chine, l’Inde, le Brésil et la Russie sont en train de dépasser les nations occidentales, les unes après les autres. Elles possèdent la puissance économique, acquièrent peu à peu la force militaire et aspirent à se voir reconnaître à leur niveau. La dernière réunion du G7 appartenait au passé et n’était plus qu’une apparence nostalgique privée de tout futur. On aurait tort de négliger la réponse de Bolsonaro à Macron dénonçant son colonialisme : c’était, malheureusement, le bon angle d’attaque.
Enfin, il y a une guerre dont on s’efforce de parler moins en voyant derrière chaque terroriste islamique un déséquilibré. Elle a disparu des écrans, mais elle s’amplifie aux frontières des quartiers sensibles de plus en plus nombreux dans notre pays, très loin de Davos, d’Abou Dabi ou des îles Caïmans.
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Ligue de défense noire africaine : cette organisation raciste qui bénéficie d’une impunité ahurissante, par Franck Deletraz
Il aura vraiment fallu que deux de ses militants agressent jeudi dernier le couple Balkany dans les rues de Levallois-Perret pour que de rares médias daignent enfin consacrer quelques lignes très vagues à la Ligue de défense noire africaine. Pourtant, il y aurait beaucoup à dire sur cette organisation noire ouvertement raciste, qui lance régulièrement des appels aux meurtres contre les Blancs, mais a quand même pignon sur rue dans notre pays si tatillon avec « l’extrême droite ».
Menaces de mort et actes d’intimidation
Lundi, le nom de cette organisation a en effet été brièvement cité, sans plus de commentaires, par certains de nos médias, parce que deux de ses militants soupçonnés d’avoir agressé le couple Balkany devaient être jugés en comparution immédiate par le tribunal de Nanterre pour « menaces et actes d’intimidation » envers l’élu, et pour « menaces de mort » envers une gardienne d’immeuble qui s’était interposée. Une affaire qui remonte au 5 septembre, lorsque les deux hommes, dont l’un s’est avéré être le porte-parole de la LDNA, ont invectivé et insulté Balkany « tout au long du chemin menant à l’hôtel de ville » avant de le bousculer en l’attrapant par l’épaule. Interpellés et mis en garde à vue le jour même, les deux individus avaient été placés en détention provisoire samedi soir dans l’attente de leur procès lundi. Procès qui a finalement été renvoyé au 14 octobre. L’histoire, en revanche, ne dit pas si ces deux suprématistes noirs, passablement abrutis par leur idéologie raciste, s’en sont pris au couple Balkany parce qu’il est soupçonné de… « blanchiment à grande échelle ».
« Commencez par tuer les Blancs »
Quoi qu’il en soit, quand on sait à quel point les médias se montrent intarissables dès lors qu’une agression a été commise par des extrémistes de droite (ou prétendus tels), on peut s’étonner d’une telle discrétion s’agissant de la LDNA. Mais tout s’explique lorsque l’on étudie de plus près cette organisation ouvertement raciste, dont l’un des membres, lors d’une manifestation censée dénoncer « la xénophobie » vendredi dernier devant l’ambassade d’Afrique du Sud à Paris, a ouvertement appelé à tuer « des Blancs, des Chinois et des Indiens » en Afrique du Sud, sous les applaudissements nourris des sympathisants et sans la moindre réaction des forces de l’ordre. En effet, s’est exclamé l’individu, « si vous voulez être xénophobe, d’accord. Commencez par tuer les Blancs, commencez par tuer les Chinois, commencez par tuer les Indiens. Ne tuez pas vos frères […], nous avons la même couleur [de peau] » ! On n’ose imaginer la réaction du gouvernement si un groupe de suprématistes blancs avait appelé dans les mêmes conditions à tuer des Noirs… Cela n’empêche pourtant pas ces gens de disposer aujourd’hui d’un site Internet dernier cri, accessible à tous, sur lesquels les curieux peuvent découvrir la prose consternante de ces suprématistes noirs, antisémites, racistes anti-Blancs, anti-Arabes, et anti-Asiatiques. Ni même d’une cagnotte Leetchi, qui a tout de même été suspendue pour vérification lundi, grâce au signalement effectué par un internaute.
Et l’Etat, me direz-vous ? Connu pour sa promptitude à dissoudre les « groupuscules d’extrême droite », pour des raisons infiniment moins graves, celui-ci se montre curieusement absent et n’envisage pas à ce jour de dissolution de LDNA. Une absence totale de réaction qui scandalise à juste titre nombre de patriotes, dont l’Organisation de lutte contre le racisme anti-Blanc, qui a demandé « l’intervention immédiate de l’Etat pour faire cesser les activités de ce groupement de haine ». Ou encore Stop au racisme anti-Blanc, qui a mis en ligne une pétition réclamant la dissolution immédiate de ce « mouvement extrémiste appelant à la haine et au meurtre »
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Scandale à Bruxelles : le portefeuille sur les migrations intitulé « protéger notre mode de vie »
La nouvelle présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, issue du PPE, a suscité des réactions hostiles, en associant le portefeuille du commissaire chargé des migrations à la « protection du mode de vie européen ». De quoi provoquer la surprise, voire l’indignation de l’opposition de gauche, notamment des Verts et des sociaux-démocrates, sans compter Amnesty International. Mais, à y regarder de près, tout comme l’habit ne fait pas le moine, l’intitulé d’un poste ne fait pas une politique.
« Cela fait peur de voir proposer un portefeuille sur la “protection du mode de vie européen” qui inclut la migration et la protection des frontières », a déclaré Ska Keller, co-présidente du groupe des Verts, ajoutant : « Nous espérons que la présidente von der Leyen ne voit pas une contradiction entre soutenir les réfugiés et les valeurs européennes ». Plus offensif encore, du moins en apparence, Claude Moraes, membre des sociaux-démocrates, a souligné qu’il soulèverait ce « vrai problème » auprès de son groupe, estimant qu’un portefeuille ainsi nommé ne pouvait pas exister. Et Amnesty International de dénoncer l’emploi de « la rhétorique de l’extrême droite ».
Ursula von der Leyen est pourtant loin de vouloir bouleverser la politique migratoire de l’Europe : « Notre mode de vie européen, c’est s’accrocher à nos valeurs », a-t-elle expliqué, précisant que « la beauté de la dignité de chaque être humain est l’une des plus précieuses valeurs ». De son côté, son porte-parole a rappelé que « l’Europe est synonyme de sociétés ouvertes et démocratiques », tandis qu’un membre de son entourage ajoutait, au cas où l’on n’aurait pas bien compris, que « la protection de notre mode de vie européen fait référence aux valeurs européennes, à savoir la tolérance, l’accueil, l’asile ».
On peut donc présumer qu’il n’y aura guère d’inflexion importante dans la politique migratoire de l’Union européenne. Un intitulé aussi vague que la « protection du mode de vie européen » permet d’en faire une auberge espagnole où chacun aura l’illusion de pouvoir apporter sa part, alors que le menu est fixé d’avance. Et ce n’est pas le détenteur de ce poste, le Grec Margaritis Schinas, qui pourra lever cette ambiguïté, lui qui, jusqu’en juillet dernier, était le premier porte-parole de la Commission Junker. Tout au plus pourra-t-il rassurer les Grecs, particulièrement soumis à la pression migratoire, et des membres du PPE réticents, comme François-Xavier Bellamy.
Encore qu’il soit peu probable que ce député, à titre personnel, tombe dans le piège tendu pour atteindre une fausse unanimité de la droite au Parlement européen. Il est encore plus improbable que les partis souverainistes réagissent favorablement à cette nouvelle appellation du portefeuille des migrations. Le choix de cet intitulé apparaît surtout comme un trompe-l’œil, qui n’appâtera que ceux qui ne souhaitent qu’être appâtés et justifier leur adhésion à la politique de l’UE. Sans exclure la volonté de plaire à Macron, qui, pour mieux avaler la droite, multiplie lui-même les déclarations ambiguës.
Le débat sur la politique migratoire voulu par notre Président devrait avoir lieu le 25 septembre à l’Assemblée nationale et le 2 octobre au Sénat. Sans vote, il va de soi !
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« Le peuple historique de Marseille est remplacé par ceux qui descendent de l’Aquarius », affirme le sénateur Stéphane Ravier (RN)
Stéphane Ravier, sénateur RN des Bouches-du-Rhône et prétendant à la mairie de Marseille, était l’invité du Grand Oral des Grandes Gueules ce mercredi 11 septembre. Il est notamment revenu sur la politique migratoire exercée par Jean-Claude Gaudin.
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La complicité entre ONG et passeurs à nouveau mise en évidence
Et c’est un article de L’Obs qui le révèle en France :
On connaît les raisons de la mise sous séquestre du navire “Juventa”, le 28 juillet à Lampedusa (Sicile) : une “taupe” infiltrée a dévoilé les liens douteux qu’entretient ce navire sauveur de migrants, et appartenant à l’ONG allemande “Jugend Rettet “, avec les passeurs.
Certaines ONG qui opèrent au large de la Libye et qui transportent dans les ports italiens des centaines de Maliens, Nigérians, Syriens (95.811 depuis le début de l’année) étaient déjà soupçonnées d’entretenir des rapports douteux avec les passeurs. Cette fois, les rapports de collaboration et de complicité – jamais commerciaux – ont été confirmés par cette “taupe” italienne qui a pu embarquer à bord du navire de l’organisation “Save the children”.
https://www.lesalonbeige.fr/la-complicite-entre-ong-et-passeurs-a-nouveau-mis-en-evidence/
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Turquie : les quatre leviers du chantage.
Le sultan Erdogan est un maître chanteur. Comme tous les maîtres chanteurs, il tente de faire jouer plusieurs leviers à la fois pour parvenir à ses fins.Levier de la déferlante migratoire quand il menace l'Europe - si la manne financière internationale consentie à Ankara ne venait pas à être rehaussée - de rouvrir les portes du continent à la multitude de réfugiés confinés en Turquie qui n'attendent qu'un signal pour reprendre leur marabunta vers les villes occidentales.Levier de la diaspora turque en Allemagne ou en France pour que Berlin et Paris ne s'opposent pas aux positions ottomanes sur la question kurde et, plus généralement, sur les intérêts régionaux turques.Levier de son appartenance à l'OTAN pour mieux affirmer ses ambitions héritées de son passé impérial.Levier enfin de l'aide au terrorisme islamique dans une recherche à long terme d'un leadership sunnite.Comme tous les dictateurs, Erdogan avance ses pions tant qu'il sait pouvoir le faire sans résistance.L''Europe occidentale, aboulique et impuissante, est un otage consentant. -
Des « circonstances atténuantes » à la tuerie de Villeurbanne ?
Bernard Plouvier
Pour la énième fois depuis 2014, un « réfugié » mahométan tue et blesse avec un poignard d’honnêtes passants, par le simple fait qu’ils ne sont pas de sa race et de sa religion.
Le fait est patent. Néanmoins, voilà-t-il pas qu’au lieu de se pencher sur le caractère multi-récurrent du phénomène depuis cinq longues années, meurtrières à souhait, les journalistes des chaînes télévisées et radiophoniques cherchent et trouvent (!) des excuses au meurtrier, comme ils le font avec les violeurs et les pédophiles, sauf s’ils sont européens de souche et/ou (de mauvais) chrétiens.
Pourtant, les choses sont simples : chaque mois, on tue du « Souchien », du non barbu - un mahométan y regarde à deux fois avant d’expédier un barbu puisque cet artifice pileux est fort « tendance » chez ses coreligionnaires. L’évidence du crime sélectif et gratuit devrait être constatée par nos « chers journalistes ». Que non pas !
Tout le monde connaît le déchaînement de haine envers ceux qui nient la réalité de tel ou tel génocide. Or, le négationnisme se porte bien, s’il a pour but de renforcer la politique immigrationniste de nos princes, toutes tendances confondues, depuis la funeste année 1976 et le décret de regroupement familial des travailleurs immigrés décidé par le couple maudit Giscard-Chirac.
Crevez, Français de souche européenne, vous n’intéressez pas nos princes et leurs valets du monde merveilleux des média, au service de la méga-consommation.
Après tout, si vos enfants meurent, s’ils sont rackettés, tabassés, violés, c’est peut-être parce que, depuis un demi-siècle, vous votez pour les candidats d’une mafia au service, non pas de la Nation, non pas du « peuple souverain », mais au service des superbénéfices des producteurs et des négociants… qui n’ont pas toujours une quelconque attache française ni même européenne.
Électeurs, vous avez gravement péché contre la Nation et l’État. Vos enfants et petits-enfants en subiront toutes les conséquences… à moins d’un sursaut d’honneur et d’orgueil national, de moins en moins probable, s’agissant d’un « peuple de veaux », comme disait ouvertement le sieur de Gaulle.
Faudra-t-il attendre un salut de l’Est ?
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Isabelle Surply : « Le meilleur moyen d’aimer la France c’est d’être patriote et non antiraciste »
Nouvelle polémique au sujet du racisme anti-Blanc après les propos du journaliste Pierre Ménès ; selon lui, le racisme anti-Blanc est bien présent dans les stades de football.
Boulevard Voltaire a recueilli la réaction d’Isabelle Surply
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