Discours absolument remarquable du sénateur Stéphane Ravier dénonçant l'immigration de peuplement pour assistés sociaux.
Source: public senat
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Discours absolument remarquable du sénateur Stéphane Ravier dénonçant l'immigration de peuplement pour assistés sociaux.
Source: public senat
Après l’incident survenu, vendredi dernier, au conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté, la mère accompagnatrice voilée lors d’une sortie scolaire a porté plainte contre l’élu RN Julien Odoul.
Maître Gilles-William Goldnadel, revient sur les conséquences de cette affaire, « un psychodrame disproportionné et ridicule », et dénonce les propos ambivalents d’Emmanuel Macron sur la question du voile.
A quand une pétition pour dire : Stop à la haine contre la France ? Le Monde de ce mercredi publie une adresse à Emmanuel Macron : “Monsieur le président, dites stop à la haine contre les musulmans de France“. Ce texte fait suite à l‘incident politique causé par un élu RN à la vue d’une femme portant un hidjab noir dans le public de l’assemblée régionale de Bourgogne-Franche-Comté. Il a été signé par 90 noms du show-biz, des médias ou du monde universitaire. Le plus connu est l’acteur Omar Sy. Les signataires rappellent le “traumatisme” subi par l’enfant de 10 ans venu se blottir dans les bras de sa mère mise en cause. Ils assurent : “Ne nous y trompons pas, l’extrême droite a fait de la haine contre les musulmans un outil majeur de sa propagande, mais elle n’en a pas le monopole”. Le ton est, à plusieurs reprises, menaçant. “Jusqu’où allons-nous accepter que des citoyens, des citoyennes, soient insultés, agressés, attaqués, stigmatisés en raison de leur religion ? (…) Jusqu’où pouvons-nous tolérer encore ces discours et actes de haine contre une partie de nos concitoyens ?“.
A aucun moment, ces protestataires n’ont fait connaître leur effarement après les assassinats de quatre policiers par un islamiste infiltré au coeur de la préfecture de Paris. Aucun d’entre eux n’étaient présents non plus, jeudi place Saint Michel à Paris, pour dénoncer la dérive islamiste. A dire vrai, la manifestation, organisée par l’imam de Drancy, Hassen Chalghoumi, n’a rassemblé qu’une dizaine d’imams et un public très clairsemé, dont votre serviteur.
Il est saugrenu de voir Omar Sy, personnalité préférée des Français dans le dernier classement du JDD, se prêter à la victimisation des musulmans mal aimés. Plus grave est la dialectique des pétitionnaires, qui criminalisent l’approche critique de l’islamisme. Le redire, à tous les idiots utiles de cette idéologie sexiste et judéophobe : mettre en cause l’islam politique, identifiable aux uniformes qu’il arbore, n’a rien à voir avec une stigmatisation des musulmans dans leur ensemble. Ce sont les signataires qui se prêtent à l’amalgame en prétendant parler au nom de tous les musulmans. En réalité, ils sont les porte-paroles d’un islam séparatiste qui combat les règles communes de la discrétion, socle de la laïcité. Porter un hidjab au cœur d’une assemblée politique est une provocation politique.
Fatima, la femme voilée, a été soutenue durant l’épisode par une élue régionale, Nisrine Zaïbi, qui a été naguère en rapport avec l’UOIF et le CCIF (L’Opinion, ce mercredi). Fatima s’est d’ailleurs confiée au Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), proche des Frères musulmans. Elle déclare : “Aujourd’hui, j’ai une opinion négative de ce qu’on appelle la République. Et je trouve que le ministre de l’Education a dit quelque chose de honteux lorsqu’il a parlé du voile”. Jean-Michel Blanquer ne juge “pas souhaitable” le port du voile pour les mères accompagnatrices lors de sorties scolaires. Ces militants islamistes peuvent parfaitement vivre selon leurs règles. Mais alors, qu’ils rejoignent un pays islamique. Et qu’ils laissent la France en paix !
Ivan Rioufol
Texte daté du 16 octobre 2019 et repris du blog d’Ivan Rioufol
https://fr.novopress.info/215842/stop-a-la-haine-contre-la-france-par-ivan-rioufol/
Cinq jours après l’attentat de la Préfecture de police de Paris, Emmanuel Macron a appelé à une société de vigilance face à l’hydre islamiste. Une déclaration fourre-tout du chef de l’Etat dont les contours manquent de clarté et peuvent conduire à une société de délation, aux antipodes du politiquement correct martelé depuis des années.
C’était le 8 octobre dernier. 5 jours après l’attentat perpétré par Mickael Harpon à la Préfecture de police de Paris, Emmanuel Macron a donc appelé à bâtir une « société de vigilance » pour faire face à l’hydre islamiste lors de l’hommage rendu aux quatre victimes du terroriste. Des mots forts pour tenter de rassembler une société fragilisée, divisée et en manque de confiance vis-à-vis de ses institutions et plus particulièrement du gouvernement. En effet, malgré les discours qui se répètent inlassablement, ce dernier acte terroriste a marqué les esprits en frappant directement le cœur des services de sécurité et de renseignement.
Ainsi, les mots du chef de l’Etat ont un écho tout particulier. S’il est vrai qu’en appelant à faire bloc et à une forme de solidarité nationale, Emmanuel Macron souhaite fédérer il n’en demeure pas moins que son discours reflète une impuissance réelle de la part des institutions et donc de son gouvernement face au terrorisme islamiste. Si, dans un tel contexte, de nombreux Français peuvent adhérer aux propos d’Emmanuel Macron, puisque liés aux attentats islamistes, en réalité, la société de vigilance voulue par Emmanuel Macron pourrait créer de nombreux malaises.
Bon nombre d’interrogations ont été soulevées par le manque de clarté des déclarations présidentielles. Sans définition concrète, une société de vigilance est une porte ouverte à une société de délation et de surveillance généralisée. Dans la même veine, le ministre de l’intérieur, Christophe Castaner, a affiché sa volonté de signaler systématiquement tous les individus présentant des « signaux » de radicalisation. Parmi ceux-ci : le port de la barbe, la pratique régulière et ostentatoire de la prière rituelle, une pratique religieuse exacerbée en période de Ramadan, ou encore le refus de serrer la main, de faire la bise ou de faire équipe avec une femme. Des petits éléments qui permettront à tout un chacun de devenir un véritable petit enquêteur en herbe. Cependant, cette pratique de repérage est aux antipodes des volontés du politiquement correct sous le principe du “pas d’amalgame”.
Ainsi, il apparaît difficile de dénoncer ces signaux sans être taxé d’islamophobie. D’ailleurs, les premiers effets se sont déjà faits ressentir. En Seine-Saint-Denis, certains agents de police de confession musulmane ont été reçus par leur direction pour faire un point sur les risques de radicalisation dans le commissariat. Des entretiens perçus comme discriminatoires et qualifiés de chasse aux sorcières anti-musulmans.
Au-delà de ce risque, de nombreuses voix, notamment dans le secteur public, pointent du doigt le manque de coordination et de transmission des informations aux élus locaux, les maires n’ayant toujours pas connaissance de la présence de fichés S sur leur territoire. Et c’est sur ce point que le bât blesse. En effet, avant d’en appeler à une telle société, la vigilance passe avant tout par le domaine public sous l’égide de l’Etat, et l’attentat de Mickäel Harpon y a révélé de nombreuses failles.
Des failles au sein de la police mais qui existent également dans le système scolaire. Là encore, les faiblesses sont nombreuses et se développent même dans l’enseignement supérieur. Certaines universités se montrent peu conciliantes sur le sujet. Le syndicat étudiant UNI dénonce d’ailleurs les failles présentes notamment à l’université de Cergy-Pontoise. Après la diffusion, lundi, d’un formulaire destiné à détecter les « signaux faibles » de radicalisation chez les étudiants et enseignants et face au tollé suscité sur les réseaux sociaux, et alimenté par quelques enseignants, l’Université et son Président ont présenté leurs excuses.
Un terrible désaveu alors même que la plupart des personnes recrutées en France pour faire le djihad ont moins de 25 ans, faisant ainsi des lycées et des universités un véritable terreau à apprentis terroristes. Une faiblesse du ministère de l’enseignement supérieur à contretemps du discours d’Emmanuel Macron. C’est certainement sur ce point que devrait débuter cette fameuse société de vigilance.
Ce sujet sera abordé lors du JT de TV Libertés de ce soir
https://www.tvlibertes.com/actus/societe-de-vigilance-le-flou-demmanuel-macron
Deux incidents bien significatifs, qui viennent de se produire dans l'espace hexagonal, ont manifestement produit, auprès de l'opinion française, presque plus de réactions indignées que l'offensive du régime Erdogan contre la Syrie.
Le 11 octobre, à Dijon, c'est à l’occasion d'une séance plénière du Conseil de Bourgogne et Franche-Comté qu'un conseiller régional, Julien Odoul, a osé poser le problème de la présence d'une accompagnatrice voilée auprès d'une sortie scolaire. Tollé : "racisme, discrimination et incitation à la haine" hurlent les professionnels du politiquement correct. Bien entendu.
Le 14 octobre c'est à Paris que le ministre de l’éducation Jean-Michel Blanquer exige une saisie de la commission des conflits du parti macronien après une critique de ses propres propos sur le port du voile.
Ce 15 octobre, on vient d'apprendre que, pour le Premier ministre Édouard Philippe, interpellé à l’Assemblée nationale, "ce n’est pas un enjeu".
Et pourtant. Depuis exactement 30 ans, depuis l'affaire du voile des lycéennes de Creil cette question n'a pas cessé de déchirer l'opinion, au nom de principes parfois très vagues et mal définis, comme la "laïcité" dont le conseil constitutionnel a compliqué le fonctionnement même au nom du concept pervers de "bloc de constitutionnalité".
En réalité, le voile n'est nullement une question de liberté "religieuse". Il fonctionne, dans l'esprit de ses promoteurs, comme une affirmation identitaire au service d'un droit de conquête.
Pendant ce temps le terrorisme islamique reprend ses aises et s'apprête même à retrouver une base territoriale dans les fourgons de l'armée turque.
Pendant ce temps on découvre chaque jour un peu plus l'échec de ce qu'on appelle "déradicalisation", cette tentative de guérir le mal par l'eau tiède.
Pendant ce temps quand Éric Zemmour ose constater que l'immigration aggrave les problèmes du pays, et que l'offensive de l'islamisme alourdit l'addition, les professionnels du politiquement correct appellent avec véhémence à la répression de sa libre expression, en application de leur propre "haine".
L'enjeu saute aux yeux, n'en déplaise au chef du gouvernement.
La symétrie du "en même temps", "et de droite et de gauche", ça ne marche absolument plus, n'en déplaise au chef de l'État.
S'il prétend faire la guerre à l'islamo-terrorisme, ou plutôt s'il accepte de considérer que celui-ci nous a déclaré la guerre, il faut cesser de boxer avec une main dans le dos.
Le monde a largement changé avec le choc pétrolier de 1973 : à partir de ce moment, le politiquement correct a cessé de fonctionner à partir des seuls cercles de gauche et autres groupes de pression bien connus, bien repérables, inhérents au régime républicain. Il est investi désormais par la finance islamique.
La lâcheté consiste à ne pas adopter une ligne ferme, au moins d'application de la loi, et à faire semblant de tenir la balance égale entre la menace islamiste et une "ultradroite" largement mythique.
L'ignorance de la réalité islamique, l'ignorance de la stratégie provocatrice, l'ignorance des ambitions turques, ont provoqué au moins autant de dégâts.
Il est plus que temps de les réparer
JG Malliarakis
Une réunion des Amis de l'Insolent
Jeudi 17 octobre JG Malliarakis donnera une conférence suivie d'un débat sur le thème "Les Sociétés de pensée et la Révolution" de 18 h à 20 h Brasserie du Pont Neuf 14 quai du Louvre Paris 1er
Avoir le courage de voir la vérité en face René Marchand : "La France en danger d'islam"
Depuis 11 septembre 2001, tous nos pays se trouvent menacés par l'offensive islamo-terroriste.
Nous ne devons pas nous résigner. L'auteur nous indique quelques pistes... Familier des cultures arabe et iranienne, l'auteur au contraire annonçait dès 2002 l'essentiel du scénario que la France a subi depuis. Nos politiciens n'ont pas voulu voir la mise en œuvre par les tenants de l'islamisme politique d'un véritable plan de subversion et de conquête.
Le conformisme politiquement correct se trouve contredit par la nécessité de comprendre l'islam tel qu'il est…
••• Un livre de 540 pages au prix de 29 euros.
• à commander sur la page dédiée à l'islamisme des Éditions du Trident
• ou par chèque en téléchargeant un bon de commande
https://www.insolent.fr/2019/10/le-voile-islamique-la-lachete-et-lignorance.html
Source Riposte laïque cliquez ici
Samedi 12 et Dimanche 13 octobre se tenaient les treizièmes journées de « Synthèse Nationale », qui ont accueilli – notamment – Monsieur Jean-Marie Le Pen. Le père de la Droite nationale patriote nous a offert un discours d’une grande clarté, d’une grande humanité et d’une grande vérité, comme toujours.
L’Occident s’est construit durant des siècles et a déjà, par le passé, fait face à deux invasions migratoires. L’une, Al Andalus, en Espagne, a duré du VIIe au XIIe siècle sans jamais apporter de progrès, l’autre fut arrêtés à Vienne, au XVe siècle. Dans les deux cas, ces invasions furent permises non seulement par la détermination sauvage des disciples de Mahomet, pourtant souvent inférieurs en nombre, mais également et souvent par la complicité et la trahison de certains potentats locaux…
On le voit, l’Histoire se répète. Pourtant, souligne Monsieur Jean-Marie Le Pen, le monde occidental et l’Europe en particulier n’ont jamais été dans la situation où ils se trouvent aujourd’hui. « Il vient de se produire, dans les cinquante dernières années, l’un des phénomènes les plus extraordinaires de l’humanité. C’est la révolution démographique qui a porté la population mondiale de deux à huit milliards d’individus. » Et d’ajouter : « Le seul continent qui échappe à ce phénomène est celui que j’appelle le continent « Boréal », de Vladivostok à Gibraltar et qui comprend également les pays slaves… ». Huit milliards d’individus, donc, dont la majorité, grâce à une natalité non maîtrisée : « vivent dans des pays qui sont déjà aux limites de la catastrophe sociale et aux limites de la misère et si l’on augmente de telle façon les populations de ces pays sans y adjoindre les productions de biens qui correspondraient aux besoins, on entre dans une période de troubles extrêmement graves. Ces populations chercheront à fuir [comme on le constate aujourd’hui - NDLR] pour rejoindre l’Europe. » Cette Europe que l’on vante à travers le monde, attractive pour ceux qui ont peu, parfois rien, ces populations veulent la rejoindre. L’Europe, ajoute Monsieur Le Pen, décidément, ne perd pas son sens de la formule « C’est l’Eldorado… L’Eldorado de la Méduse !» On comprend que ce problème majeur dans notre monde occidental n’est pas près de trouver sa solution, si l’on ne réagit pas massivement ! Note d’espoir, toujours selon notre Patriarche : « Il n’est pas trop tard ! cependant, il faudra du courage et de l’imagination pour refouler ces gens qui ne sont pas compatibles avec notre conception du monde. Il ne faut pas croire, comme le pensent un certain nombre de benêts, qu’il suffit d’être gentils et courtois pour être admis pour se partager le pouvoir… Dans ce genre de conflits, il y a un vaincu et un vainqueur et, généralement, le sort du vaincu est peu enviable. »
Si l’on veut éviter cet avenir désastreux pour notre pays, « il faudra impérativement envoyer un message fort à ces populations et à leurs dirigeants, et il faudra dans le même temps changer nos législations sociales, car c’est à cause de ces législations que ces populations viennent en France. On ne peut pas leur faire le grief de vouloir sauver leur peau, chez eux, ils sont menacés de mort ou crèvent de faim ou de soif… » souligne Monsieur Le Pen.
Pour finir, toujours avec cette clairvoyance à laquelle ce grand patriote nous a habitués, il nous prévient : « Nous devons poser en principe que nous avons le droit et le devoir de nous défendre en priorité. On me demande souvent, que feriez-vous si vous arriviez au pouvoir ? La première chose que je ferais, c’est une adresse que je lancerais à l’égard du monde en leur disant : écoutez, nous savons que vous avez de grandes difficultés dans vos pays – et qu’elles vont s’aggraver. Nous avons pour vous de la sympathie et nous ferons pour vous tout ce que nous pourrons – au-delà de ce qui est nécessaire à notre peuple lui-même – pour vous aider. Mais il faut que vous sachiez que, si vous venez chez nous, sans titre et sans autorisation, vous n’aurez droit à rien, à strictement rien. Ni logement, ni travail, ni école pour vos enfants, ni place dans nos hôpitaux à l’exception d’accidents particuliers… »
Sortir l’Europe de la repentance et l’Afrique de l’infantilisme
La faiblesse, le manque de courage politique et la « fameuse » repentance largement soutenue jusque par Macron à propos, notamment – de l’Algérie, caractérisent à ce point nos dirigeants, depuis des décennies, qu’ils sont responsables, avec une partie consentante du peuple français, de la situation catastrophique que nous connaissons aujourd’hui. Et tout sens critique nous étant interdit, nous acceptons de voir arriver sur notre sol des populations qui seraient plus utiles au développement de leurs pays. Il nous faut entendre ceux qui se lèvent avec courage pour nous aider à comprendre. Parmi les « lanceurs d’alerte » et il y en a de plus en plus. Éric Zemmour, Céline Pina, et aujourd’hui, parmi d’autres, Ernest Tigori, un Africain intellectuel ivoirien engagé exilé en France qui a reçu le Prix Mandela de littérature en 2017.
Il dénonce avec vigueur, depuis les années 90, la classe politique qui ruine son pays et le manque de courage et de clairvoyance de ses dirigeants. Il est venu, avant Monsieur Jean-Marie Le Pen, nous expliquer « qu’il faut cesser d’accabler à tort l’Europe repentante à propos de l’esclavage, la traite négrière, la colonisation, le néocolonialisme, le racisme ou l’immigration massive. » Tout ce qui pollue aujourd’hui le comportement social et politique d’une majorité de Français, permet aujourd’hui à la France d’accueillir massivement des populations exogènes, surtout venues d’Afrique, au nom des droits de l’homme, d’une grande inconscience, d’une parfaite naïveté et d’une non moins grande repentance, largement diluée dans une grande ignorance historique. Et puis, il faut bien l’avouer, notre pays est une terre d’accueil fertile en aides de toutes sortes, idéales pour ces migrants, leur permettant de « s’installer » durablement sans avoir aidé le moins du monde à construite le pays, pendant que sur leurs terres natales le niveau de vie baisse inexorablement, leur sécurité également jusqu’à leurs vies qui sont parfois considérées comme de la marchandise vivante.
Et pour venir en complément des alertes de Monsieur Jean-Marie Le Pen, au cas où certains trouveraient encore à redire sur sa clairvoyance, son humanisme et son courage politique, Ernest Tigori avance également, dans son livre, à propos de l’immigration massive (page 403) « Il y a aussi ceux qui cherchent de la publicité, qui se font passer à bon compte pour des humanistes, qui s’achètent une bonne conscience de pure ostentation […] parfois même à profiter d’une certaine naïveté de l’opinion pour jouer les humanistes pendant qu’ils s’empiffrent dans de juteuses filières de passeurs… » Et plus loin : « À toutes ces catégories, nous préférons celles qui s’engagent sur le terrain pour combattre le mal là où il se produit, c’est-à-dire en Afrique. […] Le mal est en Afrique où des potentats corrompus détruisent la vie de centaines de millions d’êtres humains, en toute impunité, couverts par la souveraineté des États ou protégés par des réseaux occultes internationaux. Et Ernest Tigari de finir par cet avertissement qui rejoint celui de Monsieur Jean-Marie Le Pen : « Si rien n’est fait, les migrations massives de populations du Sud vers le Nord de la Méditerranée déstabiliseront tout l’attelage Europe-Afrique. »
Ernest Tigari est donc, parmi d’autres nous le disions, un lanceur d’alerte majeur, d’autant plus crédible sur le sujet africain très mal connu des Occidentaux qu’il est originaire de Côte d’Ivoire. « Sa logique rigoureuse dans l’analyse des faits ainsi que son courage politique font de lui un auteur qui sort des sentiers battus. » nous révèle l’éditeur dans la présentation de son dernier livre « L’Afrique à désintoxiquer », paru il y a peu aux éditions « Dualpha » cliquez ici. « Ernest Tigori se distingue de cette élite noire, majoritairement incapable d’autocritique, qui perd son temps en jérémiades au lieu d’être exigeante avec elle-même. […] Pour que l’attelage Europe-Afrique retrouve de la vigueur, il importe que les Africains sortent de l’irresponsabilité et de l’infantilisme… et les Européens de la repentance. » Il rejoint en cela la position de Monsieur Le Pen lançant aux peuples migratoires son message d’alerte. Sera-t-il entendu une bonne fois pour toutes quand, dans le concert lénifiant de « L’humanisme dégoulinant » sa voix avisée s’élève avec le courage patriote qu’on lui connaît pour défendre la vérité sur le devenir de notre nation ?
Jean-Louis Chollet
* Le titre est de Monsieur Jean-Marie Le Pen
Interrogé sur CNews à propos du scandale actuel sur le voile islamiste, Erik Tegner affirme qu’Agnès Firmin, proche du Premier ministre et député du Havre, s’est affichée lundi 13 octobre avec l’association islamiste Havre De Savoir. L’association Havre De Savoir glorifie Hassan Al-Banna co-fondateur des frères musulmans. Elle recevait Tariq Ramadan et avait comme « parrain » le rappeur Médine qui voulait organiser un concert ”islamiste” au Bataclan.
Puis, Edouard Philippe a recadré Jean-Michel Blanquer, qui a réclamé l’intervention de la commission des conflits de LREM contre le député Aurélien Taché, qui accusait Blanquer de reprendre les mots du RN quand il déclare «non souhaitable» la présence de mères voilées lors des sorties scolaires. Mais Edouard Philippe a sans doute eu cette déclaration par clientélisme pour sa ville du Havre…
https://www.lesalonbeige.fr/voile-islamiste-edouard-philippe-fait-il-du-clientelisme-pour-le-havre/
Avec une chaîne de télévision en continu, il est difficile de tout voir. Le spectateur rate forcément certains moments de propagande. Parfois, par hasard, l’un d’entre eux lui tombe sous les yeux. Alors, il se dit que la propagande est un outil massif dans la France d’aujourd’hui. Surtout en plein « débat » sur les migrations à l’Assemblée Nationale.
BFMTV, n’est pas considérée particulièrement comme un idéal de l’objectivité journalistique. Bien sûr, cette dernière est un leurre et tout journaliste est sous influence. Il y a cependant une différence entre être sous l’influence de son propre contexte socio-culturel, de ses opinions politiques ou de la ligne directrice d’un média, pour un journaliste-individu, et une chaîne de télévision tournée vers une seule conception du monde : celle de la société ouverte et liquide, mondialisée, récemment critiquée entre autres par Pierre Vermeren dans un petit livre incisif. Cette société que fustigent aussi des essayistes tels que Christophe Guilluy, Olivier Maulin, Eric Zemmour, Matthieu Baumier, Alain de Benoist, Laurent Obertone et d’autres, dans un contexte de massification de l’information à la gloire du multiculturel. Une vue du monde encensée chaque jour par BFMTV. Un exemple attrapé au vol, au hasard, le 9 octobre 2019.
Sur BFMTV, on aime bien les migrants (dans les villages)
De mauvaises langues diront qu’ils ne sont pourtant jamais invités sur les plateaux de la chaîne de télévision, ces migrants, hors reportages larmoyants. Sans doute la direction ne juge-t-elle pas les ressortissants de pays d’Afrique ou du Moyen-Orient suffisamment au niveau intellectuel pour parler à l’homme blanc européen en direct à la télévision ? Ou encore que la couleur de peau passe mal à la télévision ? Il y a des associations et des personnalités qui se taisent étrangement devant la vraie réalité : qui voit des migrants sur les plateaux de BFMTV ? C’est un fait : BFMTV est une chaîne de télévision d’élites blanches parisiennes mondialisées. C’est tout le comique, ou le tragique, de la situation : ceux qui prétendent défendre les pauvres hères du monde sont ceux qui contribuent à créer et développer les conditions de cette même pauvreté de l’immigration, tout en faisant sans cesse la propagande de cette même idéologie qui promeut « l’immigration heureuse ».
Ainsi, le 9 octobre 2019 BFMTV veut démontrer que venant dans le village de Châteaudouble un an auparavant, « qu’elle présentait comme un symbole de ce qui se passe dans toute la France aujourd’hui », Marine le Pen se serait (évidemment) trompée puisque « les 72 migrants accueillis semblent avoir bel et bien réussi à s’intégrer ». La France est ainsi, comme par magie, redevenue un modèle d’intégration aux yeux de BFMTV. Chacun appréciera selon ce qu’il a sous les yeux au quotidien, en particulier dans la France périphérique, celle de ces villages et petites villes où sont justement envoyés les migrants. Bien loin des plateaux de télévision, du centre de Paris et des villes de la couronne ouest de Paris.
Les outils de la propagande
Le reportage dure une minute seize et montre d’abord l’apprentissage du français par soixante migrants essentiellement africains dans un village du Var. Sinon, ils s’ennuient et jouent au foot avec les habitants du village. Plusieurs témoins disent que « cela se passe super bien », que c’est « la solution au vieillissement » et que « l’on se fait des amis ». Ce sont les images. À aucun moment, la parole n’est donnée à un villageois, ou pourquoi pas à un habitant d’un village voisin, pour apporter la contradiction. Devons-nous conclure que tout le monde est d’accord ? Il semble bien que oui. A Châteaudouble, ce sont 72 migrants (appelés « demandeurs d’asile ») qui « cohabitent » avec les 450 habitants. Autrement dit, la population de ce village est passée d’un coup à 522 habitants dont plus de 15 % sont maintenant des migrants.
Mais personne ne paraît trouver à redire à cela dans le village, selon BFMTV. Et comme tout va pour le mieux dans le pays des bisounours, le reportage se conclut par une belle annonce du maire : deux « demandeurs d’asile » seront embauchés par la mairie quand « ils auront reçu le statut de réfugiés », ce que la France officielle ne manquera pas de leur accorder puisque l’une de ses particularités est de faire dans le réel le contraire de ce que dit le président en public. Et comme ce dernier annonçait la nécessité de plus de rigueur concernant le droit d’asile et de fermeté concernant la politique migratoire…
Article repris du site OJIM
Année | Gouvernement | Nombre d’arrivées |
2014 | Renzi (centre) | 170 100 |
2015 | Gentiloni (centre) | 153 842 |
2016 | Gentiloni (centre) | 181 436 |
2017 | Gentiloni (centre) | 119 369 |
2018 | Conte (5 Etoiles-Ligue) | 23 370 |