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immigration - Page 637

  • Pompiers en colère !

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Notre sympathie, notre estime et notre solidarité à l'égard des sapeurs pompiers qui manifestent ce mardi sont acquises, totales et absolues.
    Leurs revendications en termes de renumérations, de prime au feu et de renforcement des effectifs sont, sans nul doute, légitimes et doivent être satisfaites.
    Mais le seraient elles que le drame national auquel sont confrontés les soldats du feu, comme le sont les policiers, les médecins, les instituteurs, les professeurs, les commerçants  de nos banlieues et de plus en plus souvent de nos villes et même de nos campagnes, resterait entier.
    Ce drame national est celui de l'ensauvagement de la France, conséquence d'un demi siècle de politique laxiste et immigrationniste.
  • Levons le voile sur la stratégie de l’islam politique

    Levons le voile sur la stratégie de l’islam politique

    En 2000, un prêtre et une religieuse avaient dû retirer leur croix et leur voile pour s’asseoir dans l’hémicycle de l’Assemblée Nationale.

    Selon Guillaume Bernard, dans la tradition occidentale, se cacher les cheveux signale la volonté se retirer de la sphère politique: c’est le cas des religieuses. Le voile islamique signifie l’exact inverse: la prétention (sous le prétexte de pudeur) de transformer l’ordre public.

    Ces deux éléments doivent permettre de comprendre, loin des polémiques gauchistes, l’intervention de l’élu RN Julien Odoul, au conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté :

    Julien Odoul a donc demandé à ce qu’une mère de famille voilée sorte de la salle. Lundi matin, sur Europe 1, l’élu RN a assumé :

    « Dans le contexte où nous sommes, où nous avons subi le 18e attentat depuis 2012, où notre pays a été endeuillé par 263 morts tout de même, que nous avons perdu quatre des nôtres la semaine dernière à la préfecture de police de Paris ; dans ce contexte aussi où il y a des divisions sur ce sujet du voile, venir dans une enceinte démocratique avec un voile islamique, je considère que c’est une provocation communautariste ». « Soit cette personne est naïve et n’a pas compris — mais dans ce cas c’est à l’autorité légale, c’est aux élus de la République, de lui faire savoir —, soit cette personne est dans la provocation ».

    La présidente (PS) du conseil régional, Marie-Guite Dufay, a refusé et les élus RN sont sortis.

    Même à droite, des voix s’élèvent pour critiquer « l’humiliation » d’une mère devant son fils. La journaliste Eugénie Bastié, du FigaroVox, twittera ainsi : « Même à la guerre on n’humilie pas les mères. » L’eurodéputé RN Nicolas Bay déclare que « dans l’état actuel du droit, il n’est pas interdit pour une femme de porter le voile », et qu’il s’agit de la part de Julien Odoul d’« une maladresse d’un jeune élu régional ». De fait, si la loi interdit le port de signes religieux ostentatoires à l’école, la mesure n’est étendue à l’ensemble de l’espace public que dans le cas du voile intégral.

    Mais cette affaire de voile au conseil régional pourrait avoir été mise en scène par les musulmans : la mère porte un voile noir, d’obédience salafiste et wahhabite. Nisrine Zaïbi, conseillère régionale PS qui est accourue au secours de l’accompagnatrice, avait, en 2015, cosigné une tribune au Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), avant de participer, en 2016, à une réunion organisée au Bourget par l’UOIF. Le même CCIF s’est fendu d’une annonce aussitôt la polémique étalée sur les unes, mettant à la disposition de la “victime” son « soutien psychologique et juridique » devant ce que l’association appelle, le plus sérieusement du monde, « les premiers signes d’un apartheid assumé ».

    La stratégie de l’islam politique est perverse : agresser notre culture et nos vies et, dans une incroyable inversion accusatoire, présenter notre légitime réaction comme une agression contre les musulmans qui seraient victimes d’un nouvel apartheid.

    https://www.lesalonbeige.fr/levons-le-voile-sur-la-strategie-de-lislam-politique/

     

  • Le Danemark rejette le système de redistribution des migrants de l’UE

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    Le Danemark a récemment déclaré qu’il refuserait de prendre part à la nouvelle proposition de Bruxelles de répartition des migrants, que certains des Etats membres ont adopté.

    Le ministre danois de l’immigration et de l’intégration, Mattias Tesfaye, a déclaré que son pays ne participerait pas à l’arrangement qui permettrait de répartir les migrants nouvellement arrivés entre divers États membres, rapporte le média danois The Local.

    A la fin septembre, quelques Etats membres de l’UE ont accepté d’accueillir plus de migrants, dans un « effort de redistribution », lors d’une réunion à Malte.

    Le Danemark ne veut rien entendre

    « Nous ne voulons pas prendre part à la redistribution convenue entre les pays de l’UE et le soi-disant accord de Malte », a déclaré Tesfaye lors de la réunion de mardi entre les ministres européens de l’intérieur au Luxembourg.

    Le ministre danois a alors averti que le nouveau programme de redistribution de l’UE ne ferait qu’encourager davantage de migrants à traverser la Méditerranée.

    « Je pense que c’est une solution à court terme car de plus en plus de bateaux navigueront vers les ports européens », a déclaré Tesfaye.

    Jusqu’à présent, en dehors de quatre pays de l’UE qui ont élaboré un plan de répartition des migrants, seuls trois autres Etats membres ont adhéré au programme – l’Irlande, le Portugal et le Luxembourg.

  • 66% des Français favorables à l'interdiction port du voile lors des sorties scolaires, selon un sondage

    femmes-voilees.jpgUn sondage IFOP-Fiducial pour Sud Radio révèle que deux tiers des Français sont favorables à l'interdiction de signes religieux ostensibles comme le port du voile, aux parents d'élèves qui accompagnent les sorties scolaires.

    Deux Français sur trois (66%) se sont prononcés en faveur de l’interdiction de signes religieux ostensibles pour les parents d’élèves qui accompagnent les sorties scolaires. L'enquête a été réalisée fin septembre après la diffusion d'une affiche de la FCPE montrant une femme voilée lors d'une sortie scolaire.
    37% des sondés se disent même "très favorables" à son interdiction quand 18% y sont «plutôt opposés» et 16% «très opposés».
    Pour 65% des Français, l’affiche montrant une femme voilée «représente une atteinte au principe de laïcité», tandis que 69% des personnes interrogées estiment que «la FCPE flatte le communautarisme à quelques semaines des élections des parents d’élèves».
    L’enquête a été réalisée avant la polémique créée par Julien Odoul, qui a demandé à une accompagnatrice scolaire d’enlever son voile, ce vendredi 11 octobre, au conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté.
  • Jean Messiha : « La France n’est pas un désert identitaire »

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    "La France est bien plus ancienne que la République..."

    Polémiques autour de l’intervention de Julien Odoul au conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté pour faire enlever le voile islamique à une accompagnatrice scolaire, mais aussi au sujet du match de qualification France-Turquie pour l’Euro 2020. Jean Messiha réagit au micro de Boulevard Voltaire.



    Julien Odoul, le conseiller régional Rassemblement national avait créé une polémique en demandant à une femme voilée accompagnant des enfants en sortie scolaire d’enlever son voile.
    Que pensez-vous de cette histoire ?

    Je ne vais pas revenir sur le soutien que je lui ai accordé dès le début. Il n’a pas demandé à la femme d’enlever son voile, il a demandé à la présidente du Conseil régional de bien vouloir procéder à l’évacuation de cette femme de la salle. Cela n’est pas la même chose.
    Nous ne nous attaquons pas aux individus. Nous nous attaquons aux politiques. Nous nous attaquons à ces politiques qui encouragent l’islamisation de notre société, y compris au travers de la façon dont elles s’incarnent chez les personnes.
    En l’occurrence, ce n’est pas la faute de cette femme, mais surtout celle de l’idéologie de nos élites politiques qui consiste à permettre à cette femme d’arriver voilée dans un Conseil régional, c’est à dire une instance symbolique de la République française.

    Certaines personnes au Rassemblement national concédaient une petite maladresse de la part de Julien Odoul. Pensez-vous vraiment qu’il ait eu raison d’agir de la sorte ?

    Il a parfaitement eu raison d’agir de la sorte. Je crois qu’aujourd’hui l’heure n’est plus ni à la mièvrerie ni aux concessions ni à l’accommodement. L’heure est grave ! L’attitude de Julien Odoul n’a été ni agressive ni excessive. Il a réagi de manière parfaitement calme et sereine. C’est surtout l’excitation que cela a provoquée qui doit être pointée du doigt. La polémique n’a pas été créée par Julien Odoul, mais par l’envie pressante de cette femme d’arriver voilée dans un Conseil régional. Ces gens n’ont plus peur de rien !

    Le match France-Turquie est un match sous tension. Beaucoup s’expriment pour annuler ce match.
    Faites-vous partie de ceux-là ?

    J’étais ce matin parmi les premiers à Twitter en ce sens. Quand une équipe nationale se permet de fissurer la limite entre le sport et la politique de manière aussi symbolique qu’un salut militaire, on ne peut évidemment pas laisser passer cela. Ce salut militaire est le symbole d’une allégeance à l’armée turque dont on sait aujourd’hui qu’elle procède à des exactions à la frontière syrienne. À partir du moment où cette équipe nationale a politisé le sport, il faut apporter une réponse politique à cette compétition sportive.
    J’ajoute que les Turcs n’en sont pas à leur première provocation. Rappelez-vous que les supporters turcs avaient refusé de respecter la minute de silence au stade de France à l’égard des victimes du Bataclan. Pour des raisons d’ordre public, mais beaucoup plus pour des raisons symboliques et d’honneur national, il appartient à nos élites dirigeantes de procéder illico presto à l’annulation de ce match.

    Que ce soit au Moyen-Orient avec l’armée turque ou au sein de nos conseils régionaux avec cette histoire de voile, ou encore à la Préfecture de Police d’un point de vue terroriste, les relations entre l’islam et la République se tendent de plus en plus.
    Comment voyez-vous la suite ?

    Cela fait des années que je dis que l’islam n’est pas compatible avec la République. Il ne faut cependant pas faire de confusion avec les musulmans qui sont des citoyens français. Il ne nous appartient pas de dire comment la République doit s’accommoder pour intégrer l’islam comme l’a récemment affirmé Jean-Michel Apathie parlant au nom du système qui gouverne la France. Il nous appartient de réaffirmer notre identité partout et de remettre enfin le mot national dans notre identité. La France n’est pas un désert identitaire que des identités alternatives ou différentes pourraient investir et conquérir. À partir du moment où l’identité nationale n’est pas réaffirmée, d’autres irrédentismes identitaires vont l’investir et faire souche chez nous. C’est précisément ce que nous combattons.
    Nous avons aujourd’hui une islamisation rampante de la société française à tous les niveaux. Le terrorisme n’est que la face émergée, sanglante et tragique de l’iceberg. Au-delà de cela, vous avez tout le terreau identitaire qui fleurit sur des territoires qui ne sont plus des territoires de non-droit, mais des territoires de non France. On ne combattra pas l’islamisation de la société avec la République, mais avec la France. La République est française. Ce n’est pas une République qui se tient en l’air comme cela sans être soutenue. Elle est irriguée par la France qui est bien plus ancienne que la République. Il faut impérativement remettre la France au cœur de la République et la République au cœur de nos territoires.

    https://www.bvoltaire.fr/jean-messiha-la-france-nest-pas-un-desert-identitaire/

  • Islamisme : la fierté de Mme Belloubet

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    Mme Belloubet, qui exerce avec brio les fonctions de ministre de la Justice, est très fière. Depuis le début de l’année 2019, 5 gardiens de prison ont été écartés de leurs fonctions pour islamisme radical. Oui, 5 ! Et 25 personnes ont été recalées au concours d’entrée dans la fonction publique pénitentiaire pour les mêmes raisons en 2018. Voilà pourtant un résultat qui démontre l’inefficacité de l’action gouvernementale dans la lutte contre l’islamisme radical.

    Cette déclaration a été faite quelques jours après l’attentat de la préfecture de police de Paris. Alors que quatre personnes sont mortes sous le couteau d’un fonctionnaire converti à l’islam, et après que le gouvernement a prudemment affirmé dans un premier temps qu’aucun élément ne permettait de placer cet acte de barbarie dans un contexte terroriste. Avant d’être sèchement recadré par le patron du parquet antiterroriste, qui a déroulé devant les caméras toutes les preuves du caractère islamiste de ce massacre.

    Ces gens n’ont décidément aucune pudeur, aucune honte. À quels imbéciles – surtout parmi ceux qui connaissent réellement l’institution – feront-ils croire que la profession de gardien de prison ne compterait que cinq terroristes en puissance ? Que parmi les candidats à cette fonction ingrate, mais au contact permanent de criminels et délinquants musulmans, seules vingt-cinq personnes seraient suspectes d’accointances avec cette idéologie criminelle ? Et on ne parle ni de la police – dont Mickaël Harpon est le dernier avatar – ni de l’armée, ni des hôpitaux, des administrations, ni des entreprises nationales « sensibles ». Mme Belloubet, qui s’intéresse plus aux transsexuels hommes devenus femmes candidats à la PMA, n’en parle pas.

    Il est vrai qu’il ne faut pas en parler. Cela pourrait donner des idées aux électeurs. Semer la panique, peut-être. Accorder du crédit au fantasme remplaciste. À tout le moins, le gouvernement, dont la fonction est de protéger les Français, pourrait agir, à défaut d’en parler. Mais il ne le peut pas. Paralysé par les conséquences de la lutte contre toutes les discriminations, il ne peut pas mettre en œuvre les filtres efficaces qui élimineraient des postes à risques les adeptes d’un système théocratique immuable et irréformable, puisqu’il est révélé une fois pour toutes. Alors il se rabat sur des concepts creux, au premier rang desquels la notion de « radicalisation ». Cela ne signifie rien du tout, chacun le sait, mais cela permet de ne pas stigmatiser.

    Un gouvernement courageux pourrait prendre des mesures courageuses. Il dénoncerait toute idéologie, toute religion, toute pratique qui ne respecte pas les principes élémentaires de notre civilisation occidentale, et en interdirait la manifestation, y compris vestimentaire. Il imposerait à ses agents publics et, au-delà, à tous ceux qui ont une activité dans des secteurs essentiels (énergie, communications, sécurité, etc.) de souscrire à une déclaration d’adhésion à ces principes : égalité entre les hommes et les femmes, égale dignité de tous, liberté de conscience, distinction du spirituel et du temporel, primat de la loi nationale sur les coutumes extranationales. Et, surtout, il mettrait en place une surveillance régulière en sanctionnant ceux qui ne respecteraient pas ces principes.

    L’idée est séduisante, mais irréaliste. Elle nécessite d’abord des moyens que l’État n’a plus. Contrôler ses agents n’est pas dans ses capacités, cela nécessiterait un appareil de surveillance tentaculaire. Mais cette idée est surtout porteuse d’un risque majeur de totalitarisme, de la part d’un régime tenté en permanence par la censure et le conditionnement des esprits. Mise en œuvre pour empêcher l’infiltration d’éléments criminels au nom d’une civilisation exogène, elle serait légitime. Utilisée pour criminaliser tous ceux qui n’adhèrent pas au dogme républicain, elle serait redoutable et terrifiante. Les technologies numériques lui donneraient un pouvoir exorbitant, à côté duquel Gestapo et KGB passeraient pour de minables amateurs.

    Ainsi, le régime de M. Macron et tous ses émules sont essentiellement incapables de lutter contre l’infiltration islamiste sans risque pour l’ensemble de la population. Aux Français d’en tirer les conséquences…

    François Teutsch

    https://www.bvoltaire.fr/islamisme-la-fierte-de-madame-belloubet/

  • «Provocation communautariste» : malgré la polémique, Julien Odoul persiste et signe

    images.jpegInvité sur le plateau de CNEWS, Julien Odoul a une nouvelle fois dénoncé une «provocation communautariste» après l'incident de vendredi lors d'une assemblée plénière du Conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté.

    Au beau milieu de la séance plénière, le responsable du groupe Rassemblement national avait demandé à une accompagnatrice scolaire d’enlever son voile dénonçant "une atteinte scandaleuse à notre principe de laïcité".

    "Au nom de nos principes républicains et laïcs, j’ai demandé à Marie Guite Dufay de faire enlever le voile islamique d’une accompagnatrice scolaire présente dans l’hémicycle. Après l’assassinat de nos 4 policiers, nous ne pouvons pas tolérer cette provocation communautariste", avait écrit sur Twitter, Julien Odoul.

    Trois jours après le début de la polémique, Julien Odoul persiste et signe.
    Pourtant, ni le règlement du conseil régional ni la loi n'interdisent le port du voile au sein de l’hémicycle, a argumenté la présidente du conseil régional, qui envisage de porter plainte.
    Ce dimanche, Jean-Michel Blanquer a affirmé sur BFMTV que "Le voile n'est pas souhaitable dans notre société." Le ministre de l'Education estime que le port du voile "n'est pas quelque chose à encourager". "Ce que ça dit sur la condition féminine n'est pas conforme à nos valeurs."
    Le ministre a rappelé également que la loi autorisait le port du voile dans l’espace public ainsi que lors des sorties scolaires par les femmes accompagnatrices. Mais « nous n'avons pas envie d'encourager le phénomène », a-t-il ajouté.
    Le 31 août 2019, Julien Odoul s'en était violemment pris à une jeune lycéenne d’origine algérienne pour son voile islamique. Dans un tweet, l'élu du Rassemblement national avait qualifié la lycéenne de « communautariste en puissance » et l’accusait d’avoir violé « le principe de laïcité » en portant un voile islamique.
  • Pendant que les télés bavassent sur Dupont de Ligonnès et le voile, des « jeunes » attaquent violemment policiers et pompiers !

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    Pendant que toute la presse et toutes les télés vous faisaient tourner en boucle le vrai-faux retour de Dupont de Ligonnès et qu’on débattait mollement, une énième fois, sur ce voile « pas souhaitable pour notre société” (Jean-Michel Blanquer) mais qu’on laisse de fait s’imposer, samedi soir, une banlieue s’enflammait.
    Dans le quartier du Val Fourré, à Mantes-la-Jolie, des groupes de « jeunes » nombreux, et particulièrement violents, s’en sont pris sans raison à une voiture de police qui patrouillait.
    D’après Le Parisien, « une cinquantaine de jeunes, décrits comme excités et très agressifs, se mettent à agresser les fonctionnaires qui se trouvent dans leur véhicule. Des projectiles et une dizaine de mortiers de feux d’artifice sont lancés sur eux ».
    Les policiers ont été contraints d’effectuer « un tir de lanceur de 40 mm pour disperser leurs agresseurs » et ont dû quitter le quartier !
    Mais les choses n’en sont pas restées là : une heure plus tard, rebelote !
    Une nouvelle voiture de police prend en chasse une Clio ayant refusé un contrôle.
    Les policiers sont de nouveau la cible de projectiles.
    Contraints de nouveau de battre en retraite, ils endommagent leur véhicule…
    Il y a eu, malheureusement, un troisième acte.
    Le Parisien rapporte qu’« à minuit, une autre patrouille est violemment prise à partie sur le boulevard Charles-de-Gaulle qui traverse le quartier. Le pare-brise du véhicule, pourtant renforcé, est brisé par des tirs de mortiers. »
    Une voiture est incendiée.
    Les pompiers, à leur tour, ne peuvent pénétrer dans le quartier et doivent laisser la voiture brûler.
    Bilan de la soirée : pompiers et forces de l’ordre sont tenus en échec.
    Le Parisien ajoute, sans détailler, que « des violences similaires se sont produites dans la nuit aux Mureaux et à Trappes obligeant les forces de l’ordre à intervenir ».
    Et à reculer ?
    Le ministre de l’Intérieur a-t-il réagi ?
    Dominique Monthus

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/10/pendant-que-les-teles-bavassent-sur.html#more

  • PROTECTION DE L’ISLAM CRIMINEL : LA STRATEGIE DU POUVOIR S’ECROULE (Suricate)

    Une des pires choses qui pouvait arriver à un journaliste, à un activiste de gauche, à une membre du gouvernement, au président de la République, aux associations pro-islamistes, c’est que la réalité leur saute à la figure. Depuis des jours ils ramaient comme des malades pour convaincre les Français de la vilenie d’Eric Zemmour et de l’innocence de l’islam dans le dernier attentat sanglant à la Préfecture de Police de Paris (PPP).
    En même temps, l’activiste élyséenne Sibeth Ndiaye tentait une fois de plus de dissuader les Français d’écouter ou de lire les ré-informateurs de l’opposition et de suivre religieusement les cafouillages et les mensonges de la presse officielle.
    Et voilà que le Parquet anti-terroriste déclare qu’il s’agit bien d’un attentat islamiste, très modèle Daesh (1) de surcroît, et avec préméditation.

    egorgement-300x196.jpgTrop d’indices concordants : le Parquet n’avait pas le choix

    Il y eut l’ineffable Castaner, ci-devant ministre de l’Intérieur, pour venir minimiser l’affaire devant les caméras, il doit aujourd’hui choisir de se défendre soit pour ses mensonges, soit pour son incompétence.

    Puis l’humoriste Sibeth Ndiaye fit son numéro habituel de haine anti blogs et sites de réinformation, grâce auxquels les médias peuvent enfin s’informer sur les faits et rectifier les fake news qu’ils ont publiées dans les premières heures.

    D’abord le Parquet anti-terrorisme décide de ne pas suivre la piste de l’acte terroriste. Des problèmes de Mickaël Harpon avec sa hiérarchie furent évoqués, un dépit amoureux, des problèmes psychiatriques… mais les indices s’accumulant : rapidité d’exécution, précision des coups mortels, égorgement, montrent, sinon un professionnel, au moins un homme bien entraîné. Ses liens avec la mosquée salafiste de Gonesse sont alors révélés, sa radicalisation remontant à une dizaine d’années. Le Parquet décide alors de requalifier le massacre de la PPP en acte terroriste avec préméditation.
    Il ne pouvait guère faire autrement : il ne faut pas prendre les policiers pour des imbéciles comme le fait la gauche.

    Comme je l’indiquais dans mon dernier article que Minurne a publié, il y a trop de signes montrant que le tueur, Mickaël Harpon, n’était pas un malheureux sourd-muet mais un homme entraîné à tuer vite et de manière à ce que ses victimes (cinq et non quatre) n’aient pas la possibilité de crier, de donner l’alerte, de résister comme des policiers aguerris comme le sont ceux de la préfecture. Or, le seul moyen d’obtenir ce résultat, c’est d’égorger, car même un coup direct au cœur n’empêche pas un cri, un râle, quelque chose qui alerte dans le bureau voisin.Et où apprend-t-on à égorger vite et bien ?

    Des prétendues mosquées où l’on apprend à tuer, il y en a plusieurs en France, soigneusement éparpillées dans tout le pays et quelques-unes en région parisienne. Il est difficile d’affirmer que la mosquée de la Fauconnière à Gonesse où résidait Mickaël Harpon en fait partie, mais de nombreux éléments plaident en ce sens.

    Le site internet de la mosquée de Gonesse en apprend beaucoup (4)

    En se rendant sur le site de cette mosquée, on voit que parmi les prêcheurs invités se trouve Youssef Baouendi, dirigeant le Bureau de l’organisation de la Ligue islamique Mondiale basé à Mantes-la-Jolie. L’imam de la mosquée de Gonesse, le marocain Hassan El Houari, est membre du Conseil théologique des musulmans de France, composé à sa grande majorité de prédicateurs de la mouvance Frères Musulmans. S’il invite Youssef Baouendi, ce n’est pas par hasard.

    Officiellement  « la LIM s’efforce de faire connaître la charia et de répandre l’enseignement islamique à travers la construction d’écoles et d’instituts musulmans, avec appuis et apports». Appuis et apports de qui ? Ce n’est pas dit. Et selon ses nouveaux statuts de 2016 la LIM « contribue à faire vivre le message de l’Islam, dans le sens qui est le sien : celui de l’équilibre et de la modération, combattre les mouvements qui prônent la violence, s’engagent dans le terrorisme, et pratiquent l’exclusion, pour construire un monde de paix, de justice, et de coexistence harmonieuse».
    Taqyya quand tu nous tiens !

    La Ligue a statut d’observateur (catégorie A) à l’ONU. Elle est accréditée par l’UNICEF. Elle a statut d’observateur à toutes les conférences de l’Organisation de la Conférence Islamique (Frères musulmans). Elle est membre fondateur de l’International Supreme Council for Dawah and Relief, une organisation islamiste radicale créée par l’Arabie saoudite.

    La LIM est considérée par les gouvernements européens comme une organisation gouvernementale internationale.

    En réalité, selon la Commission d’enquêtes judiciaires du Sénat américain, c’est une instance salafiste wahhabite  dont le siège est à La Mecque et qui dépend directement de l’État saoudien

    Elle prêche peut-être la paix et la coexistence harmonieuse, mais « en même temps », elle finance des mosquées et des mouvements islamistes extrémistes. C’est ce que Mohammed Sifaoui, appelle La Taqyya dans son dernier livre.

    Hassan el Houari invite aussi à la mosquée de Gonesse, à laquelle la municipalité socialiste vient de donner un terrain de 5000 m2 pour la remplacer par une grande mosquée, Ahmed Jaballah, ex président de l’UOIF et membre du Conseil européen de la fatwa (CEFR) et de l’Union internationale des savants musulmans (UISM, tous deux présidés par Yousef Al Qaradâwi, le guide spirituel des Frères Musulmans (2).
    Sans oublier Larbi Becheri également membre du CEFR et de l’UISM et responsable de l’École de charia des Frères Musulmans en France. Ni Ounis Guergah, diplômé en charia de l’Université de Médine, membre du CEFR et de l’UISM, professeur de théologie musulmane et directeur des études à l’IESH de Paris, la « Faculté d’études islamiques » comme l’annonce un panneau indicateur (3).

    Hassan El Haroui lui-même a des prêches « de paix » :  » Combattre les incroyants est la plus grande des causes. En fait, c’est la meilleure chose qu’une personne peut rechercher.
    Allah dit, Coran, 4:95 : « Ne sont pas égaux ceux des croyants qui restent chez eux-sauf ceux qui ont quelque infirmité- et ceux qui luttent corps et biens dans le sentier d’Allah. Allah donne à ceux qui luttent corps et biens un grade d’excellence sur ceux qui restent chez eux. Et à chacun Allah a promis la meilleure récompense, et Allah a mis les combattants au dessus des non-combattants, en leur accordant une rétribution immense. »
    Dans un prêche de septembre dernier, il réclamait l’éradication de l’État français et la création d’un État musulman régi par les lois de l’islam.

    Avec d’aussi excellents professeurs, on comprend que le pauvre Mickaël Harpon ait basculé dans le crime islamique.

    Il est inquiétant de voir que les services de renseignement de la PPP tolèrent en leur sein des musulmans fréquentant les mosquées compatibles avec la pensée salafiste et « salafiste-réformiste » des Frères Musulmans.

    La forte emprise des Frères musulmans sur la France

    L’emprise des Frères musulmans sur la France est très forte ; elle est surtout très organisée et en passe de contrôler le pays dans quelques années. Mohamed Sifaoui est un journaliste franco-algérien connu pour son courage à infiltrer les réseaux islamistes et criminels. Son franc-parler lui vaut souvent des ennuis. Il est depuis janvier 2018 directeur de la revue Contre-Terrorisme. Dans son dernier livre, Taqiyya, il fait une description glaçante de l’entrisme des Frères musulmans dans les institutions françaises et jusqu’au sommet de l’État où le Frère Hakim el Karoui a su devenir l’ami et confident du Président Macron, qui n’y voit que du feu et le croit modéré et musulman bien français.

    Dans Taqiyya on comprend que si la stratégie des Frères musulmans consiste essentiellement dans une entreprise d’infiltration, d’entrisme, et que sa tactique relève donc principalement de la dissimulation, la taqiyyales attentats terroristes collectifs ou individuels comme celui qui vient d’ensanglanter la PPP ne sont pas sans lien avec la doctrine islamiste globale à laquelle se rattache celle des Frères musulmans.

    On découvre un réseau fait de liens d’amitié et d’allégeance, de clientélisme et d’intérêts divers, de circuits de formation comme l’IESH, et on découvre l’ampleur des champs d’intervention et le nombre d’organisations et d’associations fréristes de toute nature qui irriguent la France.
    Sifaoui rapporte un propos saisissant d’un responsable du CFCM (Conseil Français du Culte Musulman : « …si des personnes liées à l’UOIF sont éparpillées sur le territoire national, ce n’est pas le fruit du hasard. Si Abdelhaq Nabaoui est en Alsace, Amar Lasfar dans le Nord, Tareq Oubrou à Bordeaux ou Azzedine Gaci dans la région lyonnaise, à Villeurbanne, c’est aussi pour se répartir les rôles et être présents localement. Si les pouvoirs publics prétendent ignorer cela, c’est qu’ils vous mentent ».

    Ils mentent peut-être, ils font surtout preuve d’une méconnaissance dramatique, voire criminelle, de ce qu’est l’islam conquérant et de qui sont les personnages sulfureux qu’ils fréquentent et en lesquels ils ont confiance. C’est Juppé avec Oubrou, Macron avec El Karoui… Des naïfs qui se font rouler dans la farine de blé dur islamiste. « Pendant ce temps en France, l’installation de la pensée des Frères musulmans s’opère en silence », par l’action de nombreux immigrés accueillis comme « réfugiés politiques » ou « étudiants » qui diffusent leur doctrine dans les banlieues qui deviennent depuis quelques années, notamment par le regroupement familial, des espaces de repli identitaire et de fermentation anti-occidentale, explique Sifaoui.

    Suricate 6 octobre 2019

    1 : Daesh, dans ses dernières déclarations, recommandait à ses fidèles d’attaquer et de tuer des militaires des policiers, des gendarmes…

    2 : Si Youssef al-Qaradawi a choisi de ne pas être officiellement le guide suprême des Frères musulmans, il en est pourtant le leader incontesté. Déclaré persona non grata dans de nombreux pays, condamné à mort en Égypte pour des liens supposés avec le Mossad, recherché par Interpol, notamment pour apologie du terrorisme et appel au meurtre des homosexuels, le prédicateur égypto-qatari vit des jours tranquilles et luxueux au Qatar où il s’est réfugié.

    3 : L’IESH, Institut Européen des Science Humaines, plus connu en Arabie comme « La maison d’Allah en France » et un organisme d’enseignement de l’islamisme financé par les inscriptions des étudiants, Qatar charity et de nombreux milliardaires du Golfe. Son trésorier est, selon les Renseignements Généraux, un militant islamiste convaincu.

    4 : Sources Le ParisienObservatoire de l’islamisation

    https://www.minurne.org/billets/21675