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On parle beaucoup en ce moment de l’activité redoutable de sape des Frères musulmans.
Cela fait plus de 30 ans qu’ils sévissent en Europe et principalement dans notre pays.
Et nos dirigeants commencent maintenant seulement à mesurer le danger que représente leur implantation. Ils ne sont pas les seuls, mais donnent le tempo à d’autres revendications qui ont une vision prosélyte du monde.
« La République gouverne mal, mais se défend bien », la citation de Charles Maurras, inspirée par une phrase d’Anatole France, décrit bien un pouvoir qui sait se montrer fort, quand il est exercé contre une certaine partie de la population (révolte des gilets jaunes, mesures liberticides pendant le Covid). Mais cette force se transforme très vite en lâcheté dès qu’il s’agit des banlieues de l’immigration. C’est ce que nous présente Céline Cléber dans un roman dystopique qui expose la faiblesse de l’État, dans une France en proie à la guerre civile.
Ne seraient-ils pas infectés parNaegleria fowleril’amibe mangeuse de cerveau ?
Il y a bien deux poids et deux mesures en France dans le traitement médiatique, politique et judiciaire des délits d’opinion. Toute critique de la religion du pédo-prophète proférée par un Koufar est un « propos de haine » qui sera condamné. En mettant sur la paille le blasphémateur.
Selon RTBF, neuf pays européens – l’Italie, le Danemark, l’Autriche, la Pologne, l’Estonie, la Lettonie, la Lituanie, la République tchèque et la Belgique – ont cosigné une lettre ouverte réclamant un assouplissement du cadre juridique européen afin de faciliter l’expulsion de migrants en situation irrégulière et condamnés pour des délits.
Le remue ménage autour de la publication du rapport sur les Frères-Musulmans fait un peu penser à la découverte de l’eau chaude. Et tout le cortex médiatico-politique nous refait le coup du « ça n’a rien à voir avec l’islam », comme les terroristes au cri de Allah-Akbar, qui n’ont rien à voir avec l’islam et qui sont de simples déséquilibrés. Encore une fois personne n’explique sur quelles considérations est basé le subtil distinguo entre islam modéré, islam radical, Frères-Musulmans et terroristes. Cependant, tout le monde s’accorde à trouver, avec une moue sérieuse, que oui, il faut lutter contre l’entrisme des Frères-Musulmans et Retailleau d’expliquer, martial, que leur projet est de nous islamiser. Il fait bien de le reconnaître, depuis le temps que les intéressés ne s’en cachent pas. Car c’est un peu ça le problème, quand on parle de la volonté de ces gens là d’installer la charia, on se fait traiter de raciste ou de complotiste, alors que c’est bien leur volonté affichée, dite et même écrite et pas depuis avant-hier…
Le mardi 20 mai, l’Italie a ratifié une loi limitant l’accès à la nationalité italienne. Le gouvernement de Giorgia Meloni avait présenté un projet en ce sens au Parlement italien, courant mars. Il est désormais entériné.
Selon Le Figaro, dans une lettre ouverte bouleversante, Stéphanie, la mère d’Elias, adolescent de 14 ans tué à Paris le 24 janvier 2025 pour un simple téléphone portable, interpelle l’opinion publique quatre mois après les faits. Elle décrit le déroulement de cette soirée tragique, quand Elias, sortant de son entraînement de football au Stade Jules-Noël (14e arrondissement), a été poignardé à la machette. Transporté à l’hôpital Necker, il est mort le lendemain d’une hémorragie interne.
Nouveau signe de radicalisation à l’université ? Sur Instagram, un étudiant, manifestement inscrit en master 2 à la Faculté des arts, lettres, langues et sciences humaines d’Aix-en-Provence, a proféré plusieurs insultes et menaces à l’encontre d’une de ses enseignantes. Confronté à cette publication en date du 7 mai, un élève de l’université décide de la signaler à l’UNI. Après une brève analyse des réseaux sociaux du mis en cause, le syndicat étudiant de droite alerte la présidence de l’université. Ce 22 mai, dans un communiqué, l’UNI annonce que la présidence d’Aix-Marseille Université a décidé de saisir le procureur de la République sur la base de l’article 40 du Code de procédure pénale.
Cette équipe, spécialisée dans l’entrée et le séjour des ressortissants égyptiens en France et aux États-Unis, vient d’être démantelée.
Cinq hommes, âgés de 24 à 73 ans, ont été mis en examen pour « aide au séjour et à l’entrée de personnes sur le territoire national, association de malfaiteurs, faux et usage de faux, blanchiment, fraude fiscale, abus de biens d’une SARL ».