
La quinquagénaire sortait de la station de métro Dupleix, vers 1 heure du matin, lorsqu’un inconnu l’a alpaguée avant de soulever sa jupe et de lui toucher les fesses.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

La quinquagénaire sortait de la station de métro Dupleix, vers 1 heure du matin, lorsqu’un inconnu l’a alpaguée avant de soulever sa jupe et de lui toucher les fesses.

On a l’air de commencer à s’inquiéter de l’entrisme des Frères musulmans en France. Mais on prend garde de bien les séparer de l’islam, ce qui fait penser à l’islamisme, qui n’a rien à voir avec l’islam, évidemment, qui est une religion de paix et d’amour, tout le monde sait cela. Ainsi la mascarade peut continuer. Tout comme les attentats aux cris de Allah Akbar n’ont rien à voir avec l’islam, les Frères musulmans sont à bien distinguer de l’islam afin de ne pas froisser « l’immense majorité » qui s’intègre parfaitement à la République. Qui s’intégrerait plutôt, uniquement dans le discours, car en pratique, ce n’est pas l’impression qu’on en a en regardant nos rues, désormais bordées de commerces communautaires, coiffeurs, barbiers, épiceries, dont on sait pertinemment que ce sont les façades à peu près acceptables d’un large processus de blanchiment d’argent sale. Ces mêmes rues qui se constellent de femmes voilées, lesquelles font le forcing pour entrer avec leur accoutrement, dans les écoles et les sports de compétition.
Michel Festivi
Il y a des « romans » d’anticipations qui très rapidement dépassent la fiction et de très loin. Ce fut le cas pour 1984 de George Orwell, qui décrivait la main mise totalitaire sur la société par la surveillance généralisée, une novlangue obligatoire, et l’interdiction absolue d’émettre des idées contraires à la doxa, comme le wokisme islamogauchiste qui gangrène toute la société désormais. Nous en vivons aujourd’hui en Europe tous les stigmates liberticides. Et bien le rapport des services de renseignements de 73 pages, déposé sur le bureau de Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur, pour décrire l’emprise et la ramification des Frères musulmans sur la société française, démontre que les lanceurs d’alerte qui furent insultés et vilipendés, avaient une fois de plus raison, mais comme le disaient les romains il y a plus de 2 000 ans : Vox clamantis in deserto.

Les faits se sont déroulés en quelques minutes, en plein centre-ville de Givors. Vendredi 16 mai vers 21 heures (…) Selon les premiers éléments rapportés par le Progrès, un homme se serait approché d’elle, aurait tenté de l’embrasser de force et de lui baisser son pantalon.

« Il aurait reçu un coup de hache sur la route avant de venir s’écrouler sur le parking et de perdre tout son sang, soupire l’élu Moktar Allouache, adjoint au maire de Nogent-sur-Oise. C’est tellement choquant, rien que d’en parler j’en ai des frissons. » (…)

On a l’air de commencer à s’inquiéter de l’entrisme des Frères-Musulmans en France. Mais on prend garde de bien les séparer de l’islam, ce qui fait penser à l’islamisme, qui n’a rien à voir avec l’islam, évidemment, qui est une religion de paix et d’amour, tout le monde sait cela. Ainsi la mascarade peut continuer. Tout comme les attentats aux cris de Allah-Akbar n’ont rien à voir avec l’islam, les Frères Musulmans sont à bien distinguer de l’islam afin de ne pas froisser « l’immense majorité » qui s’intègre parfaitement à la République. Qui s’intégrerait plutôt, uniquement dans le discours, car en pratique, ce n’est pas l’impression qu’on en a en regardant nos rues, désormais bordées de commerces communautaires, coiffeurs, barbiers, épiceries, dont on sait pertinemment que ce sont les façades à peu près acceptables d’un large processus de blanchiment d’argent sale. Ces mêmes rues qui se constellent de femmes voilées, lesquelles font le forcing pour entrer avec leur accoutrement, dans les écoles et les sports de compétition.

Le 22 mars 2023, un coup de tonnerre éclatait dans le petit monde politico-médiatique. Les deux voitures de la maison du maire de Saint-Brevin, Yannick Morez, étaient incendiées, provoquant un début d’incendie, vite maîtrisé, devant sa maison. Nous étions alors, dans la foulée de la victoire de Callac, en pleine bataille contre l’installation d’un Cada dans le quartier de la Pierre Attelée, près d’une école maternelle et primaire.

«Je me suis évidemment interrogé car il est assez inédit qu’un préfet prenne la plume pour témoigner, explique Alexandre Brugère au Figaro. Mais je l’ai fait au regard de l’importance du sujet, car il est important que des acteurs de terrain s’expriment pour avoir une parole républicaine et rationnelle, expliquer la réalité de la menace et les moyens que nous mobilisons dans le cadre de cette lutte.» Son constat est sans appel : les islamistes prospèrent et s’attaquent «à tous les champs de notre vie collective».