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immigration - Page 767

  • Patricia Perez chez Bourdin : « Nos enfants se font assassiner sauvagement, et par toujours les mêmes. Toujours les mêmes ! »

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    C'est un bel article que Gabrielle Cluzel vient d'écrire sur cette tragédie. Une de plus. [Boulevard Voltaire, 8.08].  

    Rappelons pour ceux qui l'ignoreraient que Gabrielle Cluzel participe - d'ailleurs toujours brillamment - à certains de nos colloques et conférences, dont quelques unes sont les siennes propres.   LFAR

    On peut décider de ne pas écouter ceux qui tirent la sonnette d’alarme : les politiques – ils instrumentalisent ! -, les journalistes – ils « fakenewsent » ! -, les intellectuels – ils échafaudent et théorisent ! -, mais les mères de famille ?

    Patricia Perez – son nom n’aurait jamais dû sortir de son heureux anonymat – n’instrumentalise pas, ne « fakenewse » pas, n’échafaude pas de grande théorie. Elle pleure. Son fils qu’elle enterre, comme dans L’Office pour l’enfant mort« l’enfant frêle qui [lui] était né », devenu grand jeune homme de 26 ans. Aujourd’hui, elle « attend le soir, attend le froid, attend le noir ». Et elle attend aussi des réponses à ses interrogations qui sonnent comme un grand cri : « Notre France ne fait rien pour ses enfants. »

    La question n’est pas de savoir s’ils auront sa haine ou pas. C’est de chagrin et de désespoir qu’il s’agit. Et surtout de vérité. Invitée de « Bourdin direct » en ce jour de marche blanche grenobloise, elle rétablit les faits, pour l’honneur de son petit : ce n’est pas d’une « rixe », d’une « embrouille » ou d’une « bagarre » qu’il s’agit, mais d’un assassinat. Son fils n’était pas armé. Les autres si. Ils l’ont poignardé au cœur et ont lacéré son visage, si violemment que même le maquillage mortuaire, dans le cercueil, n’a pu le camoufler. Ce n’était pas plus une querelle, bien sûr, qu’un viol n’est une dispute amoureuse.

    « Nos enfants se font assassiner sauvagement, et par toujours les mêmes. Toujours les mêmes ! » Qui ? Le journaliste ne pose pas la question. Peut-être parce que la réponse serait malséante, mais qu’il serait sans doute aussi malséant, en ces circonstances, de faire brutalement taire cette mère. Le journaliste est prudent. Mieux vaut changer de sujet gentiment.

    Patricia Perez nous met en garde : son enfant n’est pas le premier, il ne sera pas le dernier. Statistiquement, peu de chances qu’il s’agisse du mien ou du vôtre. Quoique.

    On ne devrait pas sous-estimer une mater dolorosa. Elle n’a rien à perdre. Cela s’appelle l’énergie du désespoir. L’histoire des soulèvements dans le monde est marquée par la détermination douloureuse de ces mères-là. « Nos gouvernants, nos pouvoirs publics ne font rien, Monsieur. Ils ne font rien, je suis révoltée. Combien de nos jeunes vont partir comme ça, dans la violence gratuite ? » Je serais Emmanuel Macron, je reviendrais de vacances et m’exprimerais fissa. La brûlante controverse piscine ou bord de mer attendra.  

     Ecrivain, journaliste Son blog

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Hongrie, Italie, Autriche, Scandinavie… Contre l’invasion, l’Europe se réveille

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    Par Françoise Monestier, journaliste pour Présent 

    Viols, attaques au couteau, violations du droit de propriété, déprédations diverses et variées… Il ne se passe pas de jour sur notre vieux continent européen sans que les immigrants – Africains et musulmans pour la plupart, et qui se font passer pour des demandeurs d’asile —, ne se livrent à leurs sports favoris. S’ils sont, en Espagne nouvellement socialiste par exemple, défendus bec et ongles par une minorité d’imbéciles atteints du syndrome de Stockholm et surtout désireux de gommer le passé franquiste du pays, il n’en est pas de même dans le reste de l’Europe où le succès de la droite italienne a décomplexé tous ceux qui en ont plus qu’assez de l’invasion migratoire et  du grand changement imposés par George Sörös et les puissances financières à la manœuvre  qui craignent un retour de bâton aux prochaines élections européennes de 2019 et font tout pour caricaturer les différentes droites nationales et donner le beau rôle aux nouveaux envahisseurs.

    La faillite de l’élite européenne

    Comme l’a indiqué le 28 juillet Viktor Orbán dans son discours doctrinal annuel prononcé traditionnellement en Transylvanie [1], « l’Europe a renié ses racines chrétiennes et bâti l’Europe de la société ouverte où les Européens sont interchangeables avec les immigrés ». Une constatation que l’on peut faire tous les jours dans nos différents pays et qui montre — si besoin était — le poids de l’économie réglementée par Bruxelles et les différents lobbies financiers. Pour le Premier ministre hongrois, le symbole de la faillite de l’Europe est la Commission européenne, incapable de préserver les différents pays qui la composent du Grand Remplacement. Il a donc appelé ses partisans et les autres pays européens à profiter du scrutin de 2019 pour afin barrer la route à tous ceux qui veulent « faire passer l’Europe à l’ère postchrétienne » et appelé à dire adieu « à l’ensemble de l’élite soixante-huitarde ». Faute de quoi, prédit-il, « on ne pourra plus gagner d’élections en Europe sur une base chrétienne, car les groupements fidèles aux traditions chrétiennes seront définitivement exclus des sphères du pouvoir et l’avenir de l’Europe se décidera sans eux ». A bon entendeur, salut.

    La nouvelle résistance

    Des propos que le général Robert Brieger, nouveau chef d’état-major de l’armée autrichienne a dû particulièrement apprécier, lui qui se dit préoccupé par « la migration de masse incontrôlée » qui touche toute l’Europe. Le ministre autrichien de la Défense, conscient des menaces terroristes qui pèsent sur son pays a d’ailleurs décidé de doubler le budget de son département. Le 26 juin dernier, l’armée et la police ont ainsi effectué à la frontière slovène un exercice de simulation (baptisé PUMA) d’afflux de migrants afin de se préparer à repousser une nouvelle vague transitant par les Balkans, comme cela avait été le cas en 2015.

    En Bavière voisine, une jeune femme de 28 ans qui se rendait à son travail à vélo a été interceptée par un Gambien de 22 ans qui, non content de la violer, a pris la fuite après lui avoir volé sa monture. Il s’était déjà rendu coupable de violences, mais la police locale n’avait pas jugé bon de lui mettre la main au collet. Un triste fait divers qui pourrait influer sur les élections régionales bavaroises du 14 octobre prochain, où Katrin Ebner-Steiner défendra les couleurs de l’AfD (Alternative pour l’Allemagne). Cette mère de famille nombreuse pense que Merkel et son ministre de l’intérieur sont ses « meilleurs alliés objectifs » car ils ont perdu, avec leurs gesticulations, le peu de crédibilité qu’il leur restait.

    Réaction « populiste » en Scandinavie

    Après avoir accueilli plus de 30 000 clandestins et autres demandeurs d’asile entre 2015 et 2017 et fait grimper les populations non européennes à plus de 8% de la population, le Danemark a fermé ses frontières terrestres avec l’Allemagne et durci ses conditions d’accueil. Quant au parti social-démocrate, première force d’opposition au gouvernement de centre-droit, il vient de présenter, au grand dam des autres partis de gauche, un projet de réforme plafonnant le nombre d’étrangers non occidentaux accueillis au Danemak. Les demandeurs d’asile qui se présenteront spontanément dans le pays seront renvoyés vers un centre d’accueil situé hors d’Europe pendant l’examen de leur dossier. Si le dossier est accepté, ils resteront dans le pays de transit où la demande a été traitée, sous la protection du HCR, mais à la charge financière de Copenhague. Le projet a bien évidemment reçu le soutien du Parti populaire danois, fort de 38 députés.

    Dans la Suède voisine, où ne cesse de progresser le parti dit populiste des Jeunes Démocrates, la majorité municipale social-démocrate d’Eskilstuna, ville de plus de 100 000 habitants à l’ouest de Stockholm touchée par une immigration importante, a voté une motion avec le soutien de l’extrême-droite, soumettant la « collecte passive d’argent » sur la voie publique à une autorisation obtenue en commissariat contre le paiement d’un droit. En ligne de mire, une bonne centaine de Roms de Roumanie et de Bulgarie qui exaspèrent la population. « L’arrêt mendicité » et le « modèle Eskilstuna » auraient même les faveurs de Jimmy Jansson, à la tête de la municipalité de Stockholm depuis 2011. Ce social-démocrate qui n’hésite pas à dire que « la totalité des jeunes qui se tirent dessus, se font exploser et se battent pour le marché de la drogue sont d’origine étrangère », reconnait volontiers que son parti a trop longtemps refusé de reconnaître les méfaits de l’immigration.

    Puissent les édiles suédois être imités un jour par tous les maires de France qui devraient prendre le même arrêté !
    Puissent Macron et ses sbires arrêter de nous imposer, comme l’a récemment dit Marine Le Pen s’agissant de la Loi Asile/Immigration censée régler tous les problèmes la simple « organisation d’une immigration supplémentaire » !

    Françoise Monestier 10/08/2018

    [1] Province nord de la Roumanie revendiquée par la Hongrie dont elle fut une principauté du XIème siècle au traité de Saint-Germain-en-Laye imposé à Budapest en 1919.

    Source : Présent

    Crédit photo : Bataille de Lépante, Musée national de la Marine [Domaine public], via Wikimedia Commons

  • De nombreux cas de viols recensés sur l’Aquarius

    Selon RFI Afrique du 03 août 2018, la majorité des femmes embarquées sur le navire Aquariusspécialisé dans le transport illicite d’êtres humains ont été violées :

    « En deux ans d’opérations en Méditerranée, les équipes de l’ONG SOS Méditerranée ont porté assistance à 4 000 femmes, sur 27 000 personnes secourues. Des femmes qui payent un très lourd tribut lors de ces traversées. Parmi elles, beaucoup ont été victimes de violences sexuelles sur la route qui les a amenées jusqu’à la mer.

     « Etes-vous enceinte ? » C’est la question qu’Alice Gotreau a posée, inlassablement, aux femmes accueillies à bord de l’Aquarius. Sage-femme pour Médecins sans frontières, elle a travaillé sur le bateau de SOS Méditerranée à l’été 2017. « A peu près 20% des femmes que l’on récupère sont enceintes, ce qui est un nombre assez élevé », explique-t-elle. La plupart d’entre elles ont moins de trente ans, « donc à une période très, très fertile de leur vie » et surtout « voyagent seules ». C’est ça « qui est un peu difficile, parce que comment sont-elles devenues enceintes, si elles sont seules? », interroge avec pudeur la sage-femme. C’est fréquemment pendant les consultations de grossesse que ces femmes « parlent un peu de ce qu’il s’est passé ».Pour beaucoup originaires du Nigeria, de l’Erythrée ou de Côte d’Ivoire, c’est souvent en Lybie qu’elles tombent enceintes contre leur gré. « Elles sont pour la plupart, à quasiment 100%, soit des sortes d’esclaves sexuelles – elles sont prostituées – soit directement violées », raconte le président de SOS Méditerranée, Francis Vallat. « Beaucoup d’entre elles sont dans un état absolument déplorable, y compris sur le plan des blessures physiques. » « C’est elles qui subissent les tortures, qui ont la vie la plus difficile pendant le voyage. Ça commence dès leur pays d’origine, puis sur le chemin, où elles sont très souvent victimes de viols », renchérit Fabienne Lassalle, directrice adjointe de SOS Méditerranée France. La part des femmes enceintes accueillies sur l’Aquarius a doublé entre 2016 et 2017. La clinique du navire se transforme parfois en salle d’accouchement : en deux ans, cinq enfants y sont nés. Même quand ces femmes qui risquent leur vie en mer Méditerranée échappent aux violences sexuelles, elles ont « une place très difficile » pendant la traversée, alerte Fabienne Lassalle. Les hommes, « pensant les protéger plus, les placent au centre des embarcations de fortune, pour les éloigner de la mer. Or, c’est la place la plus dangereuse ». En effet, explique l’humanitaire, « elles [y] baignent dans une espèce de mélange de fioul et d’eau, qui est un ensemble absolument corrosif, qui les asphyxie. Ce sont aussi elles qui sont assises sur des planches avec des clous qui ressortent. Enfin, c’est elles qui sont les premières piétinées dès qu’il y a un mouvement de panique [et] meurent étouffées. » »

    Et le tout avec la complicité des négriers des temps modernes, qui pillent l’Afrique de ses richesses humaines pour appauvrir l’indigène européen. Remarquez, il faut bien que certains colons s’entraînent sur le navire pour ne pas perdre leur enrichissantes compétences, un peu comme lors de la Coupe du Monde 1930, les équipes de France, Belgique, Roumanie et Yougoslavie s’étaient entraînées en jouant au foot sur le pont du navire. Du moins, avant que tous les ballons ne passent par-dessus bord…

    Hristo XIEP

    http://www.medias-presse.info/de-nombreux-cas-de-viols-recenses-sur-laquarius/96375/

     

  • Face aux invectives des européistes, Boris Johnson maintient ses propos sur les musulmanes en burqa qui ressemblent « à des boîtes aux lettres »

    Boris Johnson burqa musulmanes européistesBoris Johnson tient bon, soutenu par les sondages, face au déferlement de critiques, à la limite de l’insulte, venu de la gauche travailliste mais aussi voire surtout des conservateurs, principalement les européistes. L’homme qui a démissionné de son poste de Secrétaire d’Etat aux Affaires étrangères le 9 juillet pour incompatibilité avec le « Brexit mou » prôné par Theresa May, a osé comparer – blasphème pour la secte maçonnique cosmopolite – les musulmanes affublées d’une burqa à « des boîtes aux lettres ou à des braqueurs de banques ». Le Danemark vient d’interdire le port de ce voile intégral, comme c’est déjà le cas en France et dans de nombreux autres pays européens. Johnson, qui contestait cette décision danoise, critiquait la burqa au nom de la défense des femmes musulmanes. Au Royaume-Uni, les boîtes aux lettres sont de hauts cylindres rouges dont la taille, le diamètre et la forme sont en effet comparables à ceux d’une matrone.
    Pas question de présenter des excuses aux censeurs dont les bêlements ont jailli comme lave en fusion. Il faut dire que leurs arguments relèvent du plus haut comique. Evidemment la gauche travailliste avait embouché les trompettes de l’infamie. Le député socialiste David Lammy a sur-le-champ comparé Boris Johnson à « un sous-traitant de Donald Trump », l’accusant l’alimenter, par ses propos sur les musulmanes en burqa, le brasier de l’islamophobie. Mais le déchaînement constaté chez les conservateurs est le plus édifiant.

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  • Africains, n’immigrez pas en Europe ! Encore un exemple de passeurs fournissant des réseaux d’esclaves

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    Espagne – Un réseau d’esclavage a été démantelé par les autorités espagnoles avec l’aide d’Europol (l’Interpole européen). Sept hommes ont été arrêtés en Espagne. Ils sont soupçonnés d’avoir fait entrer plus de 300 immigrés clandestins en Europe. Les sept individus arrêtés ne sont pas considérés comme des passeurs, mais comme des hommes trafiquants d’êtres humains car ils revendaient les immigrés clandestins comme esclaves en France, en Allemagne, et en Grande-Bretagne.

    Les immigrés, partis d’Afrique de l’Ouest et arrivés clandestinement en Espagne par bateau avec l’aide de passeurs, étaient immédiatement pris en charge par ce vaste réseau très organisé. Les trafiquants leur fournissaient des faux papiers et leur faisaient miroiter un Eldorado en Europe. Mais ils finissaient esclaves de réseaux qui les forçaient à la mendicité ou les plaçaient sur des chantiers.

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    Maria Buyo, porte-parole de la police espagnole, raconte : « Nos hommes ont obtenu des informations comme quoi il y avait deux personnes suspectes à un arrêt de bus de la ville de San Sebastian. Ils attendaient de transférer des étrangers jusqu’à la gare et dans notre enquête, on s’est rendu compte que plus de 300 personnes avaient traversé l’Espagne de cette manière. Les migrants étaient acheminés en train, en taxi, et en bus afin d’être acheminés vers d’autres réseaux afin d’être exploités. »

  • Patricia Perez nous met en garde : son enfant n’est pas le premier, il ne sera pas le dernier

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    On peut décider de ne pas écouter ceux qui tirent la sonnette d’alarme : les politiques – ils instrumentalisent ! -, les journalistes – ils « fakenewsent » ! -, les intellectuels – ils échafaudent et théorisent ! -, mais les mères de famille ?

    Patricia Perez – son nom n’aurait jamais dû sortir de son heureux anonymat – n’instrumentalise pas, ne « fakenewse » pas, n’échafaude pas de grande théorie. Elle pleure. Son fils qu’elle enterre, comme dans L’Office pour l’enfant mort« l’enfant frêle qui [lui] était né », devenu grand jeune homme de 26 ans. Aujourd’hui, elle « attend le soir, attend le froid, attend le noir ». Et elle attend aussi des réponses à ses interrogations qui sonnent comme un grand cri : « Notre France ne fait rien pour ses enfants. »

    La question n’est pas de savoir s’ils auront sa haine ou pas. C’est de chagrin et de désespoir qu’il s’agit. Et surtout de vérité. Invitée de « Bourdin direct » en ce jour de marche blanche grenobloise, elle rétablit les faits, pour l’honneur de son petit : ce n’est pas d’une « rixe », d’une « embrouille » ou d’une « bagarre » qu’il s’agit, mais d’un assassinat. Son fils n’était pas armé. Les autres si. Ils l’ont poignardé au cœur et ont lacéré son visage, si violemment que même le maquillage mortuaire, dans le cercueil, n’a pu le camoufler. Ce n’était pas plus une querelle, bien sûr, qu’un viol n’est une dispute amoureuse.

    « Nos enfants se font assassiner sauvagement, et par toujours les mêmes. Toujours les mêmes ! » Qui ? Le journaliste ne pose pas la question. Peut-être parce que la réponse serait malséante, mais qu’il serait sans doute aussi malséant, en ces circonstances, de faire brutalement taire cette mère. Le journaliste est prudent. Mieux vaut changer de sujet gentiment.

    Patricia Perez nous met en garde : son enfant n’est pas le premier, il ne sera pas le dernier. Statistiquement, peu de chances qu’il s’agisse du mien ou du vôtre. Quoique.

    On ne devrait pas sous-estimer une mater dolorosa. Elle n’a rien à perdre. Cela s’appelle l’énergie du désespoir. L’histoire des soulèvements dans le monde est marquée par la détermination douloureuse de ces mères-là. « Nos gouvernants, nos pouvoirs publics ne font rien, Monsieur. Ils ne font rien, je suis révoltée. Combien de nos jeunes vont partir comme ça, dans la violence gratuite ? » Je serais Emmanuel Macron, je reviendrais de vacances et m’exprimerais fissa. La brûlante controverse piscine ou bord de mer attendra.

    Gabrielle Cluzel

    http://www.bvoltaire.fr/patricia-perez-nous-met-en-garde-son-enfant-nest-pas-le-premier-il-ne-sera-pas-le-dernier/

  • La République tchèque finance la police aux frontières de Bosnie-Herzégovine pour bloquer l’immigration

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    N1 HINA / Ambassade tchèque en Bosnie-Herzégovine. Les autorités de Bosnie-Herzégovine feront tout pour protéger leurs frontières de l’immigration illégale, a déclaré mardi à Sarajevo le Ministre de la Sécurité, en recevant une donation tchèque d’un million d’euros, destinée à renforcer la police aux frontières, avant d’ajouter que Sarajevo comptait sur l’aide des pays voisins et sur une participation plus décisive de l’Union Européenne.

    Le Ministre Dragan Mektic a fait cette déclaration suite à la signature d’un accord avec l’ambassadeur tchèque en Bosnie-Herzégovine, Jakub Skalnik. Ce don de la République Tchèque doit aider à l’acquisition d’équipements destinés à la Police des frontières de Bosnie-Herzégovine, qui fait face à une lourde tâche dans la surveillance de ses frontières avec la Serbie et le Monténégro, à travers lesquelles arrivent quotidiennement, depuis le début de l’année, des dizaines d’immigrés illégaux.

    Ce financement permettra l’achat d’équipement technique des policiers aux frontières, caméras thermiques sophistiquées, drones équipés de caméras et appareils de détection de présence à bord des véhicules, a précisé Mektic.

    10.000 immigrés illégaux ont franchi la frontière bosniaque depuis le début de l’année. Généralement, ils tentent de poursuivre leur route vers la Croatie et ensuite vers l’Europe de l’ouest.

    Aucun des immigrés illégaux n’a obtenu l’asile en Bosnie-Herzégovine, ni ne devrait l’obtenir, car il s’agit de personnes qui ont quitté leur pays pour des motifs exclusivement économiques, a affirmé le ministre.

    « Ceci est un problème européen qui nécessite une solution européenne. La Bosnie-Herzégovine ne peut pas la trouver seule, mais elle participera à une solution commune« , a déclaré Mektic en soulignant que 80% des migrations illégales sur la route depuis la Turquie étaient dans les mains du crime organisé.

    http://www.medias-presse.info/la-republique-tcheque-finance-la-police-aux-frontieres-de-bosnie-herzegovine-pour-bloquer-limmigration/96311/

  • Meurtre d’Adrien Perez : le grand silence des bien-pensants !

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    Jean-Pierre Fabre Bernadac

    Boulevard Voltaire cliquez ici

    Du sang, des larmes et le silence, ce silence assourdissant de la bien-pensance qui équivaut à un crachat sur la dépouille d’un jeune homme.

    Mais commençons par le début : Adrien Perez, pour son anniversaire, samedi soir 28 juillet, invite des amis à faire la fête au Phénix, une discothèque de Meylan (Isère). Dans l’établissement, trois « jeunes », issus des banlieues à risque qui foisonnent autour de Grenoble, se font remarquer en adressant à la jeune femme du groupe gestes et remarques déplacés. La réaction immédiate des copains provoque un premier incident sans gravité. Mais vers 5 h 30, à la sortie des fêtards, nos racailles remettent cela. Une rixe éclate sur le parking, les trois malfrats brandissent des armes blanches. Adrien, frappé en plein cœur, meurt sur le coup, un de ses amis est grièvement blessé d’un coup de couteau qui lui perfore un poumon. Heureusement pour les enquêteurs, la scène a été filmée par des caméras de vidéosurveillance. Le lendemain matin, deux frères, Younes et Yanis El Habib, se livrent à la gendarmerie. Un troisième individu, arrêté, est lui aussi mis en examen.

    Dans une interview accordée au Dauphiné libéré, les parents d’Adrien se disent révoltés par ce drame :

    « Le niveau de violence dans l’agglomération grenobloise est inadmissible… C’est en venant aider un couple d’amis qu’il a été tué. Il a fait preuve d’héroïsme. Ni lui ni ses copains n’étaient évidemment armés. Comment est-il possible que des gens puissent entrer dans une discothèque avec des couteaux ? »

    Effondré, le père conclura par ces mots : « En tuant notre fils, ils ont détruit notre vie, je ne pardonnerai jamais. »

    Voilà, dans toute sa barbarie, le récit de ce drame. Encore une fois, pour ce type de meurtriers, le relatif silence de la presse est de rigueur. Aujourd’hui, j’ai décidé d’exprimer ma colère contre la multitude de ces agressions commises par des bandes ethnicisées et aussi ma honte face à ce deux poids deux mesures.

    Honte à France 3 Rhône-Alpes, qui retient surtout que le papa ne veut pas être catalogué comme « raciste » et ne désire pas « que les politiques récupèrent cette affaire ».

    Honte au juge des libertés et de la détention qui, pour le troisième suspect mis en examen, n’a pas suivi les réquisitions du parquet et l’a laissé en liberté sous contrôle judiciaire.

    Honte à tous ces médias « mainstream » qui se répandent en écrits haineux contre les gendarmes dans l’affaire Adama Traoré, mort suite à son interpellation, mais qui refusent de consacrer une ligne au meurtre d’Adrien.

    Honte à cet ancien président de la République qui se rend au chevet de Théo Luhaka, un menteur et un délinquant, mais ne daigne pas envoyer un simple message à la famille de la jeune victime.

    Honte à ces artistes qui, comme le comédien Omar Sy, soutiennent les crapules si elles sont de couleur mais n’ont pas un mot pour un Perez.

    Honte au Figaro qui détaille le jet, en Italie, d’un œuf en voiture contre Daisy Osakue, athlète d’origine nigériane, en concluant que l’Italie est face à une série d’agressions racistes (ce qui serait faux) mais est resté muet jusqu’à ce matin sur le crime de Meylan.

    Honte, enfin, à Macron, qui a félicité à l’Élysée Mamoudou Gassama et l’a naturalisé mais n’a fait aucune allusion à la bravoure du jeune Grenoblois.

    Pour ma part, je vais mettre un mot sur le site Libra Memoria et envoyer une étoile.

  • HARCÈLEMENT DE RUE ET PROTECTION DES MINEURS : LA MASCARADE SCHIAPPA