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immigration - Page 777

  • Résister au grand effacement de l’histoire de France, par Guillaume de Thieulloy

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    Comme je l’avais évoqué récemment, je reviens sur le dernier livre d’Éric Zemmour : « Destin français ».

    Disons-le tout net : c’est un excellent cru !

    D’abord, parce qu’il a été écrit comme un livre et non comme un recueil de chroniques et qu’il se lit donc avec plaisir.

    Ensuite, parce que ce livre signe une intéressante évolution d’Éric Zemmour.

    On sait que le journaliste était très attaché à la figure du général De Gaulle. Ce qui peut naturellement se comprendre quand on voit les successeurs du général, mais ce qui ne peut occulter la responsabilité de ce dernier dans l’actuelle décadence de la France. En particulier, comment oublier les guerres civiles auxquelles le général présida ?

    Bien sûr, il ne s’agit pas de faire porter à l’intéressé toutes les turpitudes des communistes en 1944 ou des politicards de la IVe République en 1958.

    Il n’empêche que le Général ne sut pas tendre la main aux soutiens du Maréchal – dont l’écrasante majorité n’avait rien à voir avec la collaboration – pour rebâtir la France.

    Pour sa propre légitimité, il choisit de se mettre dans la main des communistes, les laissant maîtres de la sordide épuration et les laissant prendre, entre autres, le contrôle de l’Éducation nationale, ce dont nous subissons encore les conséquences.

    Quant à l’abandon sanglant de l’Algérie et des populations qui avaient cru en la France, il restera une tache indélébile.

    Ce qui n’empêche pas d’admirer l’œuvre de restauration de l’État, la politique d’indépendance, le scepticisme devant les différents « machins » multinationaux.

    Mais, ici, Zemmour plonge aux sources de la France et, sans rien renier de son admiration pour De Gaulle, la nuance nettement – notamment par un éloge de Pétain comme « bouclier ».

    À l’exact rebours de l’histoire telle qu’elle est enseignée par l’Éducation nationale, il assume sa fierté d’être Français ; j’oserais presque dire, sa piété filiale – vertu qui apparaît si désuète à nos oligarques, mais sans laquelle aucune civilisation ne peut tenir.

    Il met en scène des grands hommes, les héros de notre longue histoire, alors même que l’histoire biographique et l’histoire chronologique semblent si « ringardes » pour nos dirigeants.

    Et c’est là que se trouve la troisième raison d’apprécier ce livre. C’est en effet un ouvrage de résistance à la dissolution de la France.

    Comme le fait remarquer Zemmour lui-même, « le grand effacement de notre histoire accompagne le grand remplacement des populations ».

    C’est pourquoi s’attacher à notre histoire n’est pas seulement un acte culturel louable, c’est aussi, c’est surtout un acte de résistance politique.

    Si nous ne voulons pas que la France disparaisse, la première des choses à faire est de l’aimer, dans son histoire, ses paysages, son identité charnelle.

    Je sais bien que ces expressions donnent de l’urticaire à ceux qui prétendent nous gouverner et qui, pour la plupart, croient, comme Emmanuel Macron, qu’il n’existe pas de culture française. Mais c’est la réalité et c’est pourquoi le livre de Zemmour est si important : il nous rappelle la grandeur de la France, que nos pseudo « élites » ignorent. Et il rend ainsi possible la renaissance de la France que nos pseudo « élites » veulent à tout prix empêcher.

    Guillaume de Thieulloy

    Tribune reprise de les4verites.com

    https://fr.novopress.info/212361/resister-au-grand-effacement-de-lhistoire-de-france-par-guillaume-de-thieulloy/

  • Aujourd’hui, en France, c’est Clovis ou le Coran!

    Aujourd’hui, en France, c’est Clovis ou le Coran!

    Les Français doivent choisir tant qu’ils le peuvent :

  • Manifestation pro-migrants en Bretagne : « Fachos hors de nos campagnes ! ! »

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    Le samedi 13 octobre, près de 150 militants anti-migrants se rassemblent devant l’ancienne caserne de gendarmerie d’Allaire (Morbihan) contre la décision d’implanter une vingtaine de « sans-papiers », mineurs isolés, sans l’aval du maire et de ses administrés. Comme chaque fois se trouvent en face un nombre équivalent de gens venant de partis comme le PCF, d’associations comme la Ligue des droits de l’homme ou le comité de soutien aux migrants. L’ambiance électrique oblige les gendarmes, en milieu d’après-midi, alors que les pro-migrants tentent par les champs de se confronter aux anti-migrants, à faire usage de bombes lacrymogènes contre ces derniers.

    Heureusement, vers 15 h 30, les deux rassemblements se dispersent et le calme revient. Ceux appelés par le Rassemblement national à se réunir ont dû regagner leurs véhicules, protégés par leur propre service de sécurité et les gendarmes sous les huées des pro-migrants.

    En résumé, rien de bien particulier dans ce face-à-face entre la France enracinée majoritaire (six Français sur dix) et l’Anti-France. Des informations tirées d’un article du journal Ouest-France. Ce qui est le plus symbolique, dans cet article, n’est pas tant le récit de ces deux manifs que la photo encadrant l’article. On y voit, en effet, une pro-migrante assise sur la route brandissant une affichette sur laquelle est écrit : « Fachos hors de nos campagnes ! »

    Un slogan simpliste et, pour tout dire, assez effarant qui amène à poser deux questions à son « rédacteur ».

    Tout d’abord, cette pro-migrante est là pour s’opposer à des gens simples : des Bretons, des artisans, des petits paysans ou des retraités qui privilégient le proche au lointain. Elle n’est pas confrontée à une garde prétorienne, armée jusqu’aux dents. Or, si l’« humanisme » pousse cette manifestante à défendre les migrations, pourquoi, sur son affiche, privilégie-t-elle la chasse aux « fachos » ? Certes, il est difficile d’argumenter et développer des idées sur un morceau de carton, mais gommer le sujet antagoniste pour mieux diaboliser l’adversaire est simpliste et grotesque.

    Ensuite, cette manifestante connaît-elle véritablement le sens des mots qu’elle a écrits ?

    Les fachos, ou « fascios », en italien, étaient des groupes créés par Mussolini à la fin de la Première Guerre mondiale ; le totalitarisme fasciste en résulta. Difficile, avouons-le, d’assimiler ces Morbihannais à des chemises noires ! Mais sait-elle que ses camarades de combat communistes ont menés des répressions bien plus féroces, qui se chiffrent par près d’une centaine de millions de morts ? Voici, dans les années 70, ce que déclarait Pietro Nenni, président du Parti socialiste italien, adversaire farouche du « Duce » : « Mussolini n’est pas cruel. Il ne se livrera jamais aux accès habituels de dictateurs comme Hitler, Staline ou Mao. »

    Il est vrai que de taxer de « fachos » tout ce qui est considéré comme étant un peu à droite est caractéristique de l’inculture et, je dirais même, de l’analphabétisme chez les « antifas ». Inculture car ceux-ci ne se sont jamais penchés sur les livres d’histoire de l’entre-deux-guerres, trop occupés à manier la batte de baseball. Quant à leur analphabétisme, il se révèle par leur incapacité à communiquer normalement, préférant un langage primaire basé sur quelques mots scandés inlassablement : « Facho, raciste, SS, nazis ! » comme si le rabâchage tenait lieu d’argumentaire, comme si l’éructation de ces noms dispensait du raisonnement.

    Incapables de délivrer une pensée aboutie, ils se muent en perroquets fiers de rabâcher leur pauvre vocabulaire. « Fachos hors de nos campagnes ! » Un slogan d’autant plus scandaleux que ces « fachos » sont tout de même « un peu, beaucoup » chez eux, dans ces campagnes.

    J.-P. Fabre Bernadac

    http://www.bvoltaire.fr/manifestation-pro-migrants-en-bretagne-fachos-hors-de-nos-campagnes/

  • Royaume uni : soutien massif à Tommy Robinson et aux soldats britanniques

    44273508_1402639603205423_5780482795902074880_o-702x459.jpgUn soldat connu uniquement sous le nom de «Soldier X» a été renvoyé des forces armées britanniques après avoir posé pour un selfie avec Tommy Robinson.

    Tommy Robinson s’est arrêté pour prendre une pause de conduite lorsqu’il a rencontré des soldats dans une station-service et qu’il a été «honoré» de leur serrer la main, juste pour quelques instants.

    Après une plainte du Conseil musulman britannique, les soldats ont été punis par les forces armées. Même le conseiller islamique officiel des forces armées, Asim Hafiz, a condamné les soldats qui ont posé avec Tommy Robinson.

    Mais des milliers de messages et des centaines de photos de soutien ont afflué de toutes les forces armées, dont beaucoup, que Tommy partage sur sa page Facebook. Près de 200 000 signatures publiques ont déjà été signées en faveur du «Soldier X».

    « Cela n’a violé aucune réglementation, mais le Conseil musulman de Grande-Bretagne s’est plaint. Le politiquement correct a pris le contrôle de l’armée! La façon dont ils traitent les hommes et les femmes qui se sont engagés à risquer leur vie pour ce pays est une honte » a déclaré Tommy Robinson sur sa page Facebook.

    Source : Voice of Europe

    https://lecrieuropeen.com/2018/10/19/royaume-uni-soutien-massif-a-tommy-robinson-et-aux-soldats-britanniques/

  • De Mayotte à Anjouan : le verrou de l’immigration sur le point de sauter

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    Les Comores sont entrées en ébullition ces derniers jours. Le président en poste Azali Assoumani, au pouvoir depuis 1999 à la suite d’un coup d’Etat, veut rester président à vie. Les habitants d’Anjouan, l’une des trois îles qui composent ce pays, ne l’entendent pas de cette oreille. Ils sont entrés en rébellion au début de cette semaine. A 70 kilomètres de Mayotte, et donc de terres françaises, des combats à l’arme lourde se déroulent actuellement dans les rues de Mutsamudu, la capitale locale, dont la médina est assiégée. Les rares témoins ont vu des morts, des blessés, des barrages sur les axes routiers, des hommes masqués qui s’affrontent à la kalachnikov ou au coupe-coupe.

    Du coup des bateaux, des « kwassas » (ou mangeoires à requins) surchargés de réfugiés ou de militants anti-régime débarquent actuellement à Mayotte.

    Or Mayotte est déjà submergée par l’immigration sauvage, l’île étant considérée comme la porte régionale vers l’Europe. Venus du continent africain, les immigrés passent d’île en île, de la Grande Comore à Mohéli, et de Mohéli à Anjouan, pour gagner Mayotte, qui est la France. Les femmes sont nombreuses aussi, les femmes enceintes, s’entend. Car une naissance à Mayotte, c’est la carte d’identité à la clé. Et la criminalité explose.

    Naufrage par submersion migratoire

    Les Mahorais avaient choisi de rester Français en 1974 et font partie de la Communauté européenne. Mais Mayotte est prise d’assaut, suscitant de violentes réactions des autochtones. Ce mercredi des bagarres ont éclaté entre Mahorais et immigrés, à Mamoudzou, la préfecture de Mayotte. Les manifestants tentent d’empêcher les immigrants d’avoir accès aux salles de soins d’un dispensaire, pour éviter qu’ils s’implantent définitivement.

    Les violences d’Anjouan risquent de créer une vague d’immigration telle que les habitants de Mayotte ne pourront plus s’opposer, que le verrou sautera, provoquant le premier naufrage par submersion migratoire d’un département français.

    Bizarrement, en métropole, un voile pudique est jeté sur cette situation. Et comme les anti-immigrants sont noirs de peau, personne ne s’avise de dénoncer leur racisme et leur xénophobie . Ils ont au moins cette chance, dans leur malheur.

    Francis Bergeron

    Article repris du quotidien Présent

    https://fr.novopress.info/

  • Le migrant est l’avenir de Libération, par Francis Bergeron

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    Le manifeste lancé lundi par Libération : « Le migrant est l’avenir de l’homme » entend réinjecter dans l’air du temps un discours qui n’a plus guère la cote, celui selon lequel l’immigration serait « une chance pour la France », selon la formule de Bernard Stasi datée de 1984. A l’époque, ce slogan passait mieux. Mais c’est un discours de ce type que veut réhabiliter le quotidien du milliardaire israélien Patrick Drahi. Libération nous annonce donc que « le migrant est l’avenir du monde ».

    Remarquez que Libération ne parle pas d’« immigrés », de « sans-papiers », de « clandestins », ni même de « réfugiés ». Toutes ces appellations concernent a priori des hommes qui arrivent temporairement dans un pays, qui n’y étaient pas attendus, qui n’y sont pas forcément accueillis dans la joie et l’allégresse. Le mot « migrant », lui, recouvre une tout autre réalité. Il s’agit de populations que des phénomènes climatiques, économiques ou autres, transportent vers de nouvelles contrées, sans idée de retour.

    C’est un peu cette image que Libération veut imposer. L’Europe – la France tout particulièrement –, est une nouvelle « bonne frontière », pour des peuples en transhumance depuis l’Afrique et l’Asie.

    Parce que cet élan vers la vieille Europe a été souhaité, voulu, sans garde-fous, sans limites qualitatives ou quantitatives, il est possible de parler de grand remplacement. Le « pseudo-grand remplacement », comme écrivent parfois nos médias.

    Mais Libération, lui, ne truque pas son discours. Ce grand remplacement, il l’appelle de ses vœux. Pourquoi ? « Pour que la Méditerranée cesse d’être un cimetière. » Nous entrons alors dans le volet culpabilisateur du manifeste de Libération. Depuis 18 ans, 50 000 personnes auraient trouvé la mort en Méditerranée. Ces morts seraient donc, à en croire Libération, un nouveau crime commis par les hommes blancs d’une Europe égoïste. Comme l’écrit Hugues Moutouh dans une récente tribune du Figaro, il s’agit d’empêcher de « traiter du sujet comme il devrait l’être : uniquement sous l’angle politique et non à travers un prisme déformant, exclusivement humanitaire ».

    « Notre Europe vieillissante a besoin d’une population active renouvelée », écrit Libération. Si ce n’est pas du grand remplacement, cela y ressemble terriblement : renouveler la population active ; pousser les Français à ne plus avoir d’enfants… Faire ainsi de la place pour ces jeunes hommes venus de pays aux ressources plus limitées. « Nos budgets sociaux ont besoin de ces actifs cotisants dont le régime de la clandestinité les prive. »

    Une tendance anti-immigration de gauche

    Il s’agit clairement d’un appel à la régularisation générale des clandestins… au nom du renflouement des caisses sociales. Or nul n’ignore pourtant que la paupérisation actuelle et le taux de chômage qui ne se réduit pas ont notamment pour origine, en France, cette immigration non choisie, peu ou pas qualifiée. Régulariser les illégaux, ne pas viser à les renvoyer, serait, aujourd’hui, mettre en faillite l’ensemble de nos régimes de protection sociale.

    Libération se plaint également de l’apparition d’une tendance anti-immigration de gauche, en Europe : « La vieille droite y faisait son ordinaire, rejointe aujourd’hui par une ancienne gauche qui, en Allemagne, en France ou en Italie, espère ainsi sa part de gâteau électoral. »

    Le message de Libération s’adresse en fait à ce peuple de gauche qui met au premier rang de ses préoccupations la survie des systèmes sociaux, au risque de rejoindre « l’orthodoxie identitaire, l’archaïsme culturel, la crispation néo-nationaliste ». Que d’inquiétudes pour le bon vieux Libé !

    Francis Bergeron

    Article repris du quotidien Présent

    https://fr.novopress.info/212349/le-migrant-est-lavenir-de-liberation-par-francis-bergeron/

  • GB : Les visages du gang de violeurs d’adolescentes qu’avait voulu dévoiler Tommy Robinson enfin officiellement révélés

    (…) Nous pouvons révéler qu’un total de 20 hommes, principalement d’origine pakistanaise, ont été reconnus coupables de plus de 150 crimes contre 15 filles dans le cadre de trois procès distincts.

    Le gang de viol en réunion (grooming) que Tommy Robinson a voulu démasquer, ce pour quoi il a été emprisonné, a été condamné à une peine cumulée de 221 ans pour avoir violé, agressé et trafiqué des jeunes filles dont la plus jeune avait à peine 11 ans.

    Ce gang est l’auteur d’agissements ignobles entre 2004 et 2011, comprenant des dizaines de viols, des agressions sexuelles, du trafic de personnes, des enlèvements et de la prostitution d’enfants.

    Des images liées au gang ont été diffusées en direct par Tommy Robinson, qui a été emprisonné pour cela au motif d’outrage au tribunal car le juge avait imposé des restrictions strictes sur la divulgation.
    Ces affaires judiciaires stupéfiantes ne peuvent être rendues publiques que maintenant qu’un juge ait levé les restrictions imposées il y a près de 12 mois sur la diffusion d’informations à leur sujet.
    L’ignoble gang (de gauche à droite et de haut en bas) : Amere Singh Dhaliwal, Irfan Ahmed, Zahid Hassan, Mohammed Kammer, Raj Singh Barsran, Mohammed Rizwan Aslam, Abdul Rehman, Nahman Mohammed, Mansoor Akhtar, Mohammed Irfraz, Nasarat Hussain, Sajid Hussain, Faisal Nadeem, Mohammed Azeem, Wiqas Mahmud, Manzoor Hassan, Niaz Ahmed, Mohammed Imran Ibrar, Asif Bashir et Mohammed Akram

    Beaucoup de membres du gang étaient connus par leurs surnoms, comme Chiller, Dracula et Bully.
    D’autres procès sont prévus l’année prochaine, mais le juge a déclaré qu’il était temps que le public sache ce qui s’était passé et qui en était responsable.

    Le gang a été emprisonné au Leeds Crown Court.
    Les derniers actes ont eu lieu à Huddersfield, West Yorks, et font suite à des scandales similaires à Rotherham, Rochdale, Telford, Oxford et Newcastle.
    Le juge du Leeds Crown Courta déclaré que « la gravité (de l’infraction) dépassait de loin » tout ce qu’il avait vu auparavant.

    Nous pouvons maintenant révéler les grandes lignes :
    – Certaines victimes du gang ont été emportées à la sortie de l’école, dans leur uniforme.
    – D’autres ont été emportées de leurs familles de placement.
    – Elles ont été conduites dans des lieux éloignés et ont été maltraitées à maintes reprises par de multiples hommes.
    – Les familles des filles ont tiré la sonnette d’alarme après leur disparition.
    – Les travailleurs sociaux n’ont pas voulu garder un contact suffisant avec les familles ni prendre leurs demandes au sérieux.
    – Les policiers ont (parfois) rejeté la validité des demandes en considérant que ces filles étaient suffisamment expérimentées ou complices des sévices qu’elles subissaient.

    Ils ont été emprisonnés pour une période allant de cinq ans à la perpétuité, avec un minimum de 18 ans d’emprisonnement.

    Des preuves déchirantes ont révélé comment les victimes ont été délibérément ciblées par le gang de Huddersfield, qui a abusé d’elles à volonté.

    L’une des filles, qui n’avait que 12 ans à l’époque, a été retirée de force de sa famille de placement après que ses agresseurs eurent dit au personnel : « Je veux la baiser. »

    Une autre a tenté de se suicider alors qu’une autre avait avorté après avoir été rendue enceinte par un de ses prédateurs.
    Toutes les filles menaient une vie chaotique et dysfonctionnelle.

    L’ancien chef du groupe d’extrême droite English Defence League a été emprisonné pendant 13 mois parce qu’on craignait qu’il fasse dérailler les procès.
    Tommy Robinson, sur Facebook, a diffusé en continu une diatribe d’une heure dans laquelle il a nommé les accusés et toutes les accusations auxquelles ils faisaient face.
    Cette diffusion était en violation flagrante de la sentence d’outrage au tribunal (contempt of court) rendue contre lui par le juge de première instance, et risquait sérieusement de porter préjudice aux procès.
    Les images des défendeurs à leur arrivée au tribunal de Leeds en mai ont été visionnées 250 000 fois.
    Le juge de première instance Geoffrey Marson avait alors déclaré que l’ordonnance visait à assurer l’intégrité de l’affaire.
    Robinson (de son vrai nom Stephen Yaxley-Lennon) a été arrêté et incarcéré, mais libéré en août en appel.
    Un juge de l’Old Bailey devait décider la semaine prochaine s’il doit être condamné une seconde fois.

    C’est vers la fin du second de ces procès, en mai, que Tommy Robinson, fondateur de l’English Defence League, a été arrêté alors qu’il rapportait l’affaire en direct sur Facebook depuis l’extérieur du tribunal.

    Certaines des filles suivaient le mouvement par besoin d’attention, alors que d’autres, beaucoup plus naïves, croyaient sincèrement être dans des relations amoureuses.
    Mais ce que toutes les filles avaient en commun, c’était leur âge, leur isolement social et leur grande vulnérabilité.
    Tragiquement, chacune d’entre elles a ensuite été rejetée à plusieurs reprises par le système.
    Le procureur Richard Wright a dit au jury à chacun des trois procès : « Vous vous demandez peut-être pourquoi personne ne s’occupait du bien-être de ces filles. qu’il s’agisse de leur famille ou des personnes responsables à l’école, dans les services sociaux ou dans les forces de police ? Nous vous prouverons que les amis et les familles de bon nombre de ces filles étaient très inquiets pour elles.

    (…) Le meneur a été reconnu coupable de 54 infractions contre 11 victimes, dont le viol d’un enfant de moins de 13 ans. Au total, il a été reconnu coupable de 22 viols, agressions sexuelles, incitation d’un enfant à se livrer à des activités sexuelles, prostitution, trafic, trafic de drogue et coups. Il les inondait d’attention, leur faisait absorber de l’alcool et de la drogue et les préparer à s’adonner régulièrement au sexe avant de les prostituer à d’autres hommes.

    Le juge Geoffrey Marson a condamné les dix hommes à un total de 123 ans de prison – et a révélé comment ils ont imposé un régime de terreur.
    Lors du deuxième procès, huit membres du gang de grooming ont été condamnés à une peine totale de 98 ans pour une série d’infractions similaires.
    L’une des membres du groupe, Nasarat Hussain, 30 ans, a violé une des filles en uniforme scolaire alors qu’elle n’avait que 15 ans. Les abus ont eu lieu dans tout Huddersfield « dans des voitures, des parkings, des maisons, un salles de billard, un établissement d’alimentation à emporter, un parc et d’autres endroits ».
    Lors du troisième procès, quatre hommes ont été reconnus coupables de viol, de traite, de préjudice corporel et d’agression sexuelle. Ils seront emprisonnés le 1er novembre.

    (…) The Sun

    http://www.fdesouche.com/1090625-les-visages-du-gang-de-violeurs-dadolescentes-quavait-voulu-devoiler-tommy-robinson-enfin-officiellement-reveles

  • Pour Radio France et Éric Fassin, dans les sciences sociales le racisme anti-blancs n’existe pas

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    « Je rentre dans les crèches et je tue des bébés blancs, attrapez-les vite et pendez leurs parents, écartelez-les pour passer le temps, divertir les enfants noirs de tout âge, petits et grands » rappait Nick Conrad, artiste jusqu’alors pratiquement inconnu. Face à la tempête médiatique, le rappeur s’était défendu en expliquant qu’il avait voulu « inverser les rôles de l’homme blanc et de l’homme noir ».

    Des « idées claires », mais pas pour les Blancs

    Régissant à cette polémique, dans Les idées claires, émission hebdomadaire (10 octobre 2018) co-produite par les médias publics France Info et France Culture, le professeur de sociologie à l’université Paris-VIII, Éric Fassin répondait à la question « Le racisme anti-Blancs existe-t-il ? » : « Le racisme anti-Blancs n’existe pas pour les sciences sociales, ça n’a pas de sens. » Concédant que les « insultes » et les « agressions » existent, le sociologue considère qu’on ne peut cependant pas appeler cela du racisme. « Si on commence à reprendre à son compte le discours de l’extrême-droite qui nous dit qu’au fond tous les racismes se valent, on est en train de nier la réalité de l’expérience d’une partie importante de nos concitoyens et concitoyennes », estime-t-il.

    Éric Fassin argumentait sur France Culture : « Être minoritaire ce n’est pas seulement une question statistique, ce n’est pas « combien il y en a », ce sont des rapports de pouvoir. » Pour les sciences sociales, le racisme, c’est à la fois des agressions et des injures, mais avant tout une expérience sociale de discrimination, qui favorise les risques face à l’emploi, face au logement, face à la police, ce dont les Blancs ne souffrent pas.

    Les sciences sociales au service de l’idéologie racialiste

    Depuis une dizaine d’années, dans les départements universitaires français de Sciences humaines, nombre de chercheurs reprennent les grandes théories des gender studies ou des racial studies élaborées aux États-Unis. Ils expliquent que ce qui compte, ce n’est pas l’expérience individuelle, mais l’expérience collective. Ce n’est pas le réel, mais les représentations mentales et sociales.

    Le concept de « construction sociale » ou d’« inconscient collectif » permet d’attribuer toute pensée déviante à un groupe social. On vous enferme dans un groupe d’appartenance – supposé ou réel – en vous attribuant une identité négative ou positive, qui détermine votre pensée. Ainsi, tous les « vieux mâles blancs hétérosexuels » deviennent nécessairement racistes et sexistes. A l’inverse, si vos ascendants furent esclaves, colonisés, exterminés ou si vous êtes née femme, vous êtes à jamais victime. Les indigénistes recourent systématiquement à l’essentialisation pour stigmatiser les « oppresseurs ». Essentialisation qu’ils ne manquent cependant pas de dénoncer dès qu’il s’agit des « victimes ».

    Conclusion : pour une bonne partie sciences sociales, comme pour Radio France, les Blancs sont par essence des oppresseurs, jamais des victimes. Vous êtes prévenus.

    Article paru sur le site Ojim daté du 17 octobre 2018

    https://fr.novopress.info/212336/pour-radio-france-et-eric-fassin-dans-les-sciences-sociales-le-racisme-anti-blancs-nexiste-pas/

  • Un nouveau site de diffusion de l’islam radical prônant le djihad découvert près de Dunkerque

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Mardi dernier, le préfet du Nord a ordonné la fermeture du centre chiite Zahra dans la ville de Grande-Synthe, près de Dunkerque, pour une durée de 6 mois.

    Il accuse le lieu de culte de contribuer à « la diffusion de l’islam radical chiite à l’échelle européenne ». Selon le préfet Michel Lalande, le lieu de culte diffuse « des messages légitimant ouvertement le djihad armé ».

    Il ajoute qu’il « se livre en permanence à une propagande », incite « à la haine, à la discrimination et à la violence ». En plus de diffuser le terrorisme islamique, le centre possédait des armes illégales.

    https://fr.novopress.info/212339/un-nouveau-site-de-diffusion-de-lislam-radical-pronant-le-djihad-decouvert-pres-de-dunkerque/

  • Pourquoi nous soutenons l’action de Génération Identitaire dans les locaux de SOS Méditerranée

    Pourquoi nous soutenons l’action de Génération Identitaire dans les locaux de SOS Méditerranée

    Dans une tribune publiée dans Valeurs Actuelles, une cinquantaine de personnes, parmi lesquelles Guillaume de Thieulloy et votre serviteur, signent une tribune en soutien à l’action de Génération Identitaire, qui ont brièvement envahi les locaux de l’association d’aide aux migrants SOS Méditerranée, déployant une banderole dénonçant l’aide aux clandestins apportée par l’ONG. Une opération qui a valu à 22 d’entre eux d’être immédiatement arrêtés par les forces de l’ordre et d’être mis en examen pour « violences en réunion », « séquestration », « participation à un groupement en vue de commettre des violences » et « enregistrement et diffusion d’images violentes ».

    Parce que l’occupation des locaux de SOS Méditerranée le 5 octobre 2018 a été menée de façon pacifique. Il n’y a pas eu d’effraction, la porte du siège a été ouverte par les membres de l’association. Il n’y a pas eu de « séquestration », les activistes pro-clandestins ont pu sortir librement. Aucun coup n’a été porté ni reçu. Ni le mobilier, ni la façade de l’immeuble n’ont été endommagés.

    Parce que cette non-violence a été confirmée par le porte-parole de la Direction départementale de la sécurité publique des Bouches-du-Rhône en ces termes : « aucune personne n’a été blessée et les interpellations se sont déroulées sans incident ». La porte-parole de SOS Méditerranée a, elle aussi, reconnu l’absence de violence.

    Parce que la répression contre les militants identitaires relève de l’acharnement politique et non du droit. Pour cette occupation symbolique d’une heure, les 22 militants de Génération Identitaire ont été placés en garde à vue durant 2 jours et deux nuits. La longueur de cette garde à vue ne se justifiait pas. Il s’agit d’une décision politique venue du Ministère de l’Intérieur. Libérés le dimanche 7 octobre en fin d’après-midi, les 22 militants devront se soumettre à un contrôle judiciaire. Ils sont mis en examen notamment pour « violence en réunion » et « séquestration », deux charges imaginaires qui visent uniquement à criminaliser une simple occupation temporaire de locaux.

    Parce que l’action de Génération Identitaire est justifiée par les agissements délétères de SOS Méditerranée. 30 000 clandestins transportés en trois ans depuis les côtes libyennes alors même que, selon un rapport d’Interpol, 90% des passages de migrants vers l’Europe ont été organisés par des réseaux criminels.

    Parce que SOS Méditerranée est incapable de dire la vérité sur les conséquences de son action. Combien parmi les 30 000 migrants débarqués par l’Aquarius venaient vraiment de pays en guerre ? Combien se sont ensuite rendus coupables en Europe de délits et de crimes ? SOS Méditerranée prétend « sauver des vies » mais combien, par son action, en a-t-elle gâchées et détruites en Europe ?

    Parce que la grande majorité des Français refuse cette immigration massive imposée. A contrario, les 60 rassemblements organisés samedi 6 octobre par SOS Méditerranée ont été un échec avec moins de 8 000 personnes au total.

    Pour toutes ces raisons :

    Nous soutenons les 22 de Marseille. Nous appelons à l’abandon des charges à leur encontre. Nous demandons une enquête parlementaire sur SOS Méditerranée et la mise sous séquestre de son navire l’Aquarius. 

    https://www.lesalonbeige.fr/pourquoi-nous-soutenons-laction-de-generation-identitaire-dans-les-locaux-de-sos-mediterranee/